Un Mois D'Extase [PV]

« On y est, amour ! »

Bethany & Zeras étaient deux individus très particuliers. La première était une belle Nexusienne qui suivait des études magiques à l’académie magique de Nexus, et lui était un elfe... Ou, plus précisément, un Bas-Elfe, vivant dans les quartiers populaires de Nexus. Un elfe assez musclé à la peau cuivrée, qui travaillait comme manutentionnaire. Leur histoire avait tout d’une romance impossible, d’une histoire digne d’un conte de fées.

Torse nu, Zeras, qui avait voyagé sur de nombreux navires entre Nexus et les Îles Mélisi, pilotait leur voilier. Il avait construit ce bateau tout seul, dans une petite crique le long des plages de Nexus. Le jeune elfe oscillait de contrats courts en contrats courts, travaillant une fois comme marin, une autre fois comme docker, comme maçon... C’est comme ça qu’il avait rencontré Zeras. La jeune femme avait pris un navire menant à l’une des colonies maritimes de Nexus, abritant un ancien sanctuaire elfique où elle devait se rendre dans le cadre d’une congrégation magique. Elle s’était rapprochée de lui, initialement pour savoir s’il avait des informations sur le sanctuaire. Zeras lui avait expliqué qu’il était un elfe totalement déraciné de ses origines, n’ayant connu que les bas-fonds de Nexus. Il s’était attendu à rencontrer l’hostilité de Bethany, comme n’importe quel humain venant de la haute société... Mais la jeune femme lui avait expliqué venir des provinces, et être totalement perdue dans cette immense ville. En fait, ils avaient parlé toute la nuit, assis sur la proue du navire, observant les reflets de la lune sur la mer.

Les deux avaient continué à se voir ensuite, et Zeras avait parlé à Bethany de ces quelques îles vierges, de petits ilots reculés, loin des routes commerciales, où il n’y avait personne... Et l’idée folle avait émergé en eux de s’y rendre, de se couper du monde délirant et anxiogène de Nexus un mois par an, lors des vacances de Bethany. Très manuel, Zeras profitait de ses permissions lors des escales maritimes pour rejoindre cette île, où il y construisait une petite cabane en bois. Le jeune elfe avait ainsi créé leur cabane, et le duo avait entrepris leur folle croisière.

Sur le frêle voilier, Zeras s’avérait être un bon navigateur. Né de basse extraction, il n’en était pas moins un garçon très attentif, suffisamment talentueux pour apprendre des nombreux capitaines de mers, généralement plus tolérants et plus ouverts à la discussion que les Nexusiens de la capitale voyant en lui un voleur et un renégat. Avec Bethany, il avait enfin trouvé une raison de vivre.

Lui n’était pas vierge quand ils avaient fait l’amour pour la première fois, contrairement à elle. Pour eux, c’était l’occasion de passer à une étape supérieure dans leur couple, car, plus Zeras y réfléchissait, et plus il avait envie d’épouser cette femme, avec qui il vivait maintenant habituellement depuis plusieurs mois.

« Tu vois, chérie ? Il n’y a personne ici ! »

L’île apparaissait au détour de plusieurs récifs. Les courants étaient trop violents pour que des navires conséquents approchent. Seule une petite embarcation comme la leur pouvait passer. Régulièrement, Zeras abaissait le mât pour mieux orienter le voilier, et réussit ainsi à approcher de la plage. Sa petite cabane se trouvait là. Il l’avait construit sur une ancienne cache de contrebandiers, et, sous le chalet en bois, il y avait une cale, abritant des conserves et de la nourriture... Ainsi que de l’alcool. Après tout, quand on était marin, on ne rechignait jamais sur une caisse de rhum, et sur quelques chansons paillardes.

Zeras accosta donc, se rapprochant lentement, invitant Bethany à jeter l’ancre dans l’eau... Ce qui l’amena donc à se trouver sur le rebord. Et, quand elle jeta l’ancre, Zeras, en souriant malicieusement, donna un brusque coup à la barre, déstabilisant sa chérie. Dans un hurlement de surprise, celle-ci tomba du voilier, et s’affala dans la plage, mouillant instantanément sa belle robe blanche. Et, le temps que celle-ci se retourna, Zeras avait bondi également, atterrissant ainsi contre elle. Ses mains se saisirent des poignets de Bethany, et il les plaqua sur le sable, avant d’aller l’embrasser.

« Je crois que tu vas devoir te passer de ta robe, ma chérie, j’ai malheureusement glissé sur la barre... » avoua-t-il avec un sourire insolent, celui qu’il faisait généreusement pour signifier qu’il était en train de lui mentir, mais en le faisant avec amour !

La jeune Bethany goûtait enfin à un répit bien mérité après quelques mois qui avaient été éprouvants...mais elle ne regrettait absolument pas les décisions qu'elle avait du prendre pendant ce temps. Rebecca était une étudiante de la grande académie de magie de Nexus, issue d'une famille noble de propriétaires terriens dans les provinces campagnardes du territoire nexusien, ils étaient loin d'être les plus riches qui soient, mais suffisament pour avoir pu envoyer leur fille, dotée du don de magie, à cette académie. Bethany ne s'était toutefois jamais vraiment bien intégrée dans ce lieu, du moins vis à vis de ses camarades, qui étaient presque tous issus de la grande capitale, et qui la méprisaient volontiers pour venir de la campagne. Toutefois, ces railleries et ces moqueries n'avaient finalement fait que contribuer à faire d'elle l'une des élèves les plus prometteuses à être jamais entrée dans l'académie. Intelligente et vive d'esprit, Bethany clouait au poteau tous ses camarades par ses résultats et sa maîtrise presque innée des arcanes magiques, et si elle était encore plus détestée de ce fait, ses professeurs eux en revanche ne cessaient de la féliciter pour sa réussite, lui assurant qu'un brillant avenir l'attendait.Berthany en était bien entendu très fière, mais était aussi malheureuse de se retrouver aussi seule...jusqu'à ce jour béni où elle avait rencontrée Zeras.
La jeune femme se souviendrait à jamais de cette soirée qu'ils avaient passé à discuter sur le pont du navire qu'elle empruntait, et sur lequel le bel elfe était engagé comme marin, tous les deux mis à part pour des raisons différentes, mais celà avait suffi à les rapprocher. Bethany surtout avait brillée ce soir là, sans doute en se montrant sincère et honnête, car elle savait que ça faisait que d'être mis à l'écart pour des raisons stupides. Cela aurait pu en rester là, mais Zeras et Bethany avaient décidé de continuer à se voir régulièrement, la jeune femme trouvant un réconfort certain dans le fait de pouvoir enfin fréquenter quelqu'un d'autre que ses professeurs. Ils se voyaient donc à chaque fois qu'ils le pouvaient, quand Zeras n'était pas en mer, et que Bethany pouvait momentanément se permettre de faire une pause dans ses études. Ce qui n'était initialement qu'une simple amitié évolua en quelques chose de beaucoup, beaucoup plus profond.

Cela faisait maintenant quelques mois que Bethany formait un couple avec Zeras, mais c'était là une nouvelle qui, hélas, parvint aux oreilles de sa famille, qui ne voyait pas du tout d'un bon oeil le fait que Bethany sorte avec un elfe, et un roturier de surcroît. Les parents de Bethany, face au refus de leur fille d'arrêter de le voir, la menacèrent de lui couper les vivres...mais la jeune femme ne céda pas, trop bien consciente que cela ne pouvait que signifier que ses parents voulaient la marier contre son gré à quelqu'un d'autre. La période qui suivit fut assez rude pour la jeune femme, qui du continuer ses études sans avoir le soutien financier de ses parents, une situation qui toutefois avait trouvée un récent dénouement heureux. Bethany avait encore plus travaillée, et avait obtenue des résultats proprement exceptionnels à ses examens de fin d'année. Si exceptionnels, que l'académie l'avait récompensée en lui accordant une bourse au mérite conséquente, qui la mettait hors du besoin pour un moment, et lui permettrait de continuer ses études en étant financièrement sereine. Cette nouvelle, elle l'avait fêtée par la suite avec Zeras, en faisant l'amour, une première fois pour la jeune Bethany qui lui avait offert sa précieuse virginité.

Maintenant, Bethany disposait d'un mois complet de congés avant la reprise de ses études, un mois qu'elle allait intégralement passer avec Zeras, sur ce petit coin de paradis isolé qu'il leur avait trouvé, et qu'il avait préparé en prévision de cet instant. La jeune magicienne était à l'avant de leur petit voilier, observant avec des yeux pétillants l'île d'où elle apercevait une cabane, leur cabane.

Oh Zeras, c'est si beau !

Et effectivement, personne ne semblait passer par ces environs, ils allaient être seuls en amoureux sur cette belle île tropicale, à l'ombre des cocotier et sur le sable chaud, avec une belle mer bleue. Zeras fit ses manoeuvres, tandis que Bethany, à son signal, lança l'ancre par dessus bord pour l'immobiliser une fois près de la plage...mais un vif mouvement du navire la destabilisa.

IIIIIII !!!!!

Bethany tomba directement par dessus bord, mais elle ne pouvait pas se noyer, elle était presque sur la plage, juste à cet endroit où les remous de l'eau allaient et venaient. Elle même n'avait rien, mais sa belle robe blanche...ah, elle était complètement trempée, et tout juste la jeune femme eut-elle le temps de se retourner qu'elle vit Zeras lui sauter dessus. L'elfe se saisit alors des poignets de la jeune femme, les plaquant contre le sable, au dessus de sa tête, et vint l'embrasser "sournoisement".

Hmmmm...

Bethany sentait son coeur battre la chamade, alors que le corps de son bel elfe était blotti contre le sien, l'écrasant délicieusement sous ses muscles. Puis...et bien il la nargua, affirmant qu'il avait fait une petite erreur de navigation. Bethany, alors....lui sourit.

Zeras...tu es vraiment un vaurien...

Oh comment pouvait-elle seulement lui en vouloir ? Elle était bien trop heureuse d'être ici, seule avec lui, après tout ce qu'ils avaient du affronter pour pouvoir espérer s'y trouver. Elle lui vola un bref baiser sur les lèvres, puis lui demanda de l'aider à se relever, pour qu'elle puisse constater les dégâts. Bon, fort heureusement, ce n'était que de l'eau, sa robe s'en remettrait donc, même si en l'était elle était complètement trempée.

Tu sais amour, tu aurais juste pu me demander de l'ôter...peut-être que je l'aurais fait de moi même...

Oui, elle avait très bien compris pourquoi Zeras lui avait fait cette farce, de même que le choix d'un coin paradisiaque aussi isolé...c'était pour qu'ils puissent tous les deux se laisser aller, et par se laisser aller, cela incluait de porter le minimum de vêtements. Ainsi, la jeune femme retira prestement sa robe trempée, révélant alors une grosse majorité de son corps pulpeux et généreux, elle ne portait de fait guère plus qu'une très fine culotte blanche retenue par des ficelles sur le côté, avec des noeuds...autant dire très facile à enlever. Comme à son habitude, Bethany se mit à rougit benoitement face à son bel elfe qui la dévorait du regard. Bethany était encore quelque peu pudique vis à vis du sexe, et devait même encore s'habituer au fait que Zeras la voie nue.

Tu préfère comme ça alors ?

Zeras était un « vaurien ». C’est comme ça que les parents de Bethany l’avaient qualifié quand il avait eu la chance de les croiser en venant un soir chez Bethany. Sa chérie s’était battue contre eux, car ils avaient été scandalisés que leur fille s’éprenne d’affection pour un homme de ce type. Zeras aurait pu s’en sentir humilié, mais, quand ils étaient partis, il avait justement glissé dans le creux de l’oreille de Bethany qu’il était « son vaurien », et que, comme tout vaurien, il ne respectait pas la loi, et pouvait donc l’embêter volontiers. Depuis lors, Bethany avait fini par prendre l’habitude de l’appeler ainsi. Si elle avait eu peur que cela ne le vexe au début, elle avait surtout compris que ce mot était une parfaite excuse pour permettre à Zeras de lui faire l’amour dans des positions insolites. Très clairement, le jeune homme était plus extraverti que la jeune femme, qui, originaire de la province, avait vite tendance à rougir. Il aimait ainsi la masturber en public, dans une ruelle, se régalant de la voir trembler à l’idée qu’on puisse les surprendre... Alors, il fallait bien s’attendre à ce qu’il la renverse en la faisant tomber du voilier !

La rejoignant, Zeras se redressa légèrement, restant allongé contre elle, laissant ainsi la jeune femme retirer sa robe, souriant malicieusement quand elle lui reprocha son geste, expliquant qu’elle aurait pu l’ôter s’il s’était contenté de lui demander. Le bel elfe sourit plus franchement, et avança légèrement son buste, pour que Bethany puisse sentir, pendant quelques secondes, la forme arrondie de son érection, qui déformait son pantalon :

« Mais, si j’avais fait ça, je ne serai pas ton vaurien adoré, ma belle princesse... »

Zeras se gaussait souvent de leurs différences sociales. Bethany venait d’une famille assez aisée de la province, alors que lui n’avait connu que les ghettos, les squats et les bas-fonds sinistres de Nexus. Mais, de manière amusante, c’était surtout Bethany qui se sentait complexée par ça, par leurs différences sociales, s’efforçant de tout faire pour que Zeras ne se sente pas rabaissé par elle. En tout cas, elle retira tant bien que mal sa robe, et finit presque nue, ne portant plus que ses gants blancs et une très légère culotte blanche, relevant plus du string qu’autre chose. Devant son corps aux formes généreuses, Zeras sourit encore, une lueur malicieuse dans ses yeux, et la vit rougir. Comme d’habitude, avec son visage jovial et ovale, elle ressemblait à une délicieuse pomme, et il se pencha encore vers elle. Son membre tendu déformait son pantalon, tirant sur les nœuds de son pantalon, nœuds qui étaient déjà légèrement défaits.

Il sourit donc, l’observant encore, savourant le spectacle de ses seins, et, quand Bethany fit mine de les cacher en mettant une main dessus, sa propre main se saisit du poignet de la femme, et il la plaqua contre le sable, faisant de même avec son autre poignet. Zeras se montrait ferme, rapide, avec un brin d’autorité, et embrassa ensuite la femme sur la joue, léchant sa peau.

« Tu es si belle, Bethany... » glissa-t-il, tout en continuant à s’appuyer sur elle, à lui faire goûter contre ses cuisses l’épaisseur de son chibre.

Zeras appuyait volontairement, avant de se redresser, et d’appuyer encore, tout en léchant ses joues, remontant près de ses lunettes3.

« J’adore toujours autant te voir rougir, tu sais... »

Il déposait une série de baisers sur ses belles joues rondes, se rapprochant progressivement de ses lèvres, puis l’embrassa à pleine bouche, appuyant encore son corps contre le sien, s’étalant dans l’eau. Sa bouche se colla à la sienne, et il prolongea le baiser, serrant son corps sur celui de Bethany, fourrant sa langue dans sa bouche, et soupira de plaisir. Les lèvres de Bethany étaient onctueuses, magnifiques, et il adorait les embrasser, sachant combien Bethany aimait ça. Le jeune elfe en avait une superbe érection, provoquant en lui une série de frissons et de délectables picotements, des ondulations de plaisir...

...Mais aussi de douleur, car il s’amusait à retirer sa langue, et à mordiller la lèvre inférieure de Bethany, tirant dessus, avant de reprendre le baiser, relâchant lentement la pression qu’il exerçait sur les poignets de sa femme...

« Hmmm... ! »

Bethany avait clairement pu sentir ses joues devenir rouges, tant la température de son corps était en train de monter, car Zeras avait une sorte de don pour arriver à la rendre ainsi gênée. Ce n'était pas bien compliqué en même temps, Bethany était une personne très gentille, mais d'un tempérament timide, et à ne jamais trop élever sa douce voix...et dont c'était la première expérience de vie en couple. Les parents de la jeune femme avaient toujours été très stricts là dessus, et si Bethany avait initialement cru que c'était parce qu'ils s'inquiétaient pour elle, elle était devenue furieuse quand elle avait appris qu'elle avait été en réalité promise à un noble nexusien qu'elle n'avait jamais vu ou entendu parler. Heureusement qu'elle avait eu Zeras à ce moment là pour la consoler, l'elfe était son ancre qui lui permettait de rester à flots. Oh elle l'aimait, tellement...en ce moment même, son coeur battait si fort qu'elle avait l'impression qu'il pouvait à tout moment s'arracher de sa cage thoracique, des battements si forts qu'elle les ressentait même à plusieurs endroits de son corps, comme sa gorge.
Ayant fini d'enlever sa robe, Bethany était pour ainsi dire presque nue, et encore, ce n'était pas sa fine et transparente culotte qui allait cacher quoi que ce soit. C'est par réflexe qu'elle tenta de cacher la vue de ses seins, la jeune femme était très pudique, même encore maintenant, étant encore au stade de s'habituer à être nue en présence d'un homme. Zeras toutefois ne l'entendit pas de cette oreille, et amena de nouveau ses mains à saisir les poignets de Bethany pour les plaquer contre le sable, pendant que lui même se collait de tout son corps contre le sien.

Zeras...

Que pouvait-elle seulement dire ? Bethany en avait le souffle coupé tant elle était traversée par des émotions intenses, mais elle ne cherchait même pas à lutter. De toutes façons, leur différence de gabarit rendait vaine toute tentative de résistance, car la jeune femme mesurait à peine un mètre quarante sept, et portait systématiquement des bottes à talons très hauts pour compenser sa petite taille. Sans cet artifice, qui permettait à Bethany d'au moins avoir sa tête atteignant le torse de Zeras, la jeune femme avait presque la taille approchant de la race des nains...un fait qui la complexait depuis toujours, mais un peu moins depuis que son amoureux lui avait avoué la trouver très mignonne ainsi. Mais le fait était que l'elfe parvenait sans le moindre effort à la "forcer" physiquement parlant, mais sans jamais réellement la forcer, elle se laissait juste délicieusement faire. Bethany n'aurait vraiment pas su expliquer pourquoi, mais elle adorait quand Zeras la saisissait ainsi par les poignets, ou la plaquait, que ce soit contre le sol ou contre un mur, même si comme bien d'autres des fantasmes qu'elle était en train de se découvrir, Bethany en avait encore honte...on ne se débarrassait pas aussi facilement d'une éducation à la limite du puritanisme.
Avoir rencontrée Zeras, et être en couple avec lui, était donc clairement une toute autre direction que ce que ses parents auraient voulu pour elle,mais maintenant qu'elle pouvait respirer financièrement grâce à sa bourse de l'académie, elle se sentait prête à pleinement s'investir dans cette relation...et à découvrir bien des choses. Zeras continua à la maintenir ainsi, contre le sable humide, puisque des vagues venaient régulièrement se heurter contre les corps du couple, et commença à déposer de multiples baisers sur le beau visage rond de la jeune femme...le tout en lui déclarant qu'elle était belle.

M-mon chéri...Aaaaah...Hummm...

Bethany tortillait légèrement son corps sous celui de Zeras, qui l'écrasait délicieusement sous son poids...sous les muscles saillants de son torse contre lequel elle adorait s'endormir, mais surtout, l'homme frottait sa verge contre ses cuisses, faisant sentir à la jeune femme à quel point il était présentement en train de bander. Tant de raisons pour cette petite prude de rougir, il en fit même la remarque, ajoutant qu'il adorait la voir rougir ainsi.

C'est...c'est de ta...t-ta fauuuute...haaaaa...

Entre ce corps qui s'écrasait sur elle, ses baisers, et la sensation des vagues venant délicatement la frapper régulièrement, Bethany se sentait fondre. Autant le cadre que le fait qu'elle soit seule avec Zeras la rendaient heureuse, et elle rougissait aussi rien qu'à l'idée de ce qu'allait impliquer le fait qu'ils soient seuls, tous les deux, sur une île paradisiaque pendant tout un mois. C'est à ce moment qu'ils échangèrent un baiser, un long baiser, auquel Bethany répondit avec plaisir. Ses délicates lèvres s'écartèrent pour laisser rentrer la langue de l'elfe, qui alla chercher la sienne pour entamer un délicat ballet humide.

Hmmm...Hffffmmm...♥

Bethany était heureuse, si heureuse d'être là, avec son beau vaurien rien qu'à elle...elle se laissa donc longuement embrasser, savourant ce moment où ils étaient enfin juste tous les deux, sans avoir à se soucier de quoi que ce soit. C'est en sentant la prise de Zeras sur ses poignets se radoucir qu'une idée traversa l'esprit très excité de la jeune femme, et elle tenta alors d'initier un petit mouvement de basculement sur le côté. Clairement, vu la différence de gabarit entre les deux, celà ne pouvait marcher que si Zeras, non seulement le voulait bien, mais aussi participait à la manoeuvre, ce qui fut le cas. Délicatement, sans jamais arrêter de l'embrasser, Bethany invita donc son bel elfe à inverser les rôles, lui se trouva donc allongé dos contre le sable, et Bethany était sur le dessus...à califourchon sur lui. Elle rompit alors le baiser, non sans qu'un ou deux filets de bave ne les relient encore, amis la jeune femme était bien trop sur un petit nuage pour se soucier d'un tel détail.

Mon beau...

Elle parlait d'une voix toute douce, transie de désir...amoureuse tout simplement. Les délicates et douces mains de la jeune femme commencèrent donc à flatter le torse du bel elfe, à explorer et caresser ses pectoraux, alors qu'elle approcha son visage pour déposer des baisers dans le creux du coup de l'elfe...remontant alors jusqu'à l'une de ses longues oreilles, où elle lui susurra:

Mon vaurien...

Elle entreprit alors de descendre ses baisers, mais non sans avoir déposée un dernier baiser sur les lèvres de l'elfe, juste avant donc de commencer une longue descente. Les lèvres de la jeune femme étaient douces et parfumées, et elle adorait déposer des baisers sur le magnifique corps athlétique de Zeras. Il était si beau, si fort, elle ne pouvait généralement pas s'empêcher d'aller l'embrasser sur les lèvres dès qu'elle le pouvait, mais là, elle était en train de s'occuper de son torse. Ainsi positionnée, un autre fait très important à noter était que ses belles fesses bien fermes frottaient contre le pantalon de Zeras, juste bien à hauteur de son érection, que la jeune femme sentait très bien, et vers laquelle elle semblait décidée à aller. Elle continuait en effet à descendre de plus en plus, arrivant bientôt à hauteur du nombril de son amant, sur lequel elle s'attarda un moment, lui permettant aussi par ce biais de finir de défaire les noeuds retenant le pantalon de l'elfe...et commencer à l'abaisser.

Hmmmm...

Bethany continuait ainsi avec ses baisers sensuels, comme si elle mettait à point d'honneur à vouloir embrasser chaque recoin de peau de son amoureux. Et, quand elle abaissa suffisamment le pantalon de Zeras pour que son sexe soit à l'air libre, et fièrement dressé, ce dernier se trouva alors merveilleusement fourré entre les deux seins de Bethany.

Oh chéri, tu es si dur...

Le fait qu'elle soit à l'origine d'une telle trique...la gênait un peu, mais l'excitait surtout beaucoup plus. La tentation fut forte pour elle de commencer à remuer de façon à le masturber avec sa généreuse poitrine...mais Bethany avait une envie encore plus forte, une envie qui l'amena à se faire descendre encore d'avantage, de façon à se retrouver avec son visage juste à hauteur de son sexe. La première fois qu'elle l'avait vu, lorsqu'ils avaient décidé de faire l'amour pour la première fois, Bethany avait été à la fois surprise et apeurée de voir la taille de la verge de Zeras, craignant qu'un tel engin de lui fasse mal. Le fait d'être aussi petite signifiait également que, forcément, un tel sexe était proportionnellement plus gros pour son intimité...mais elle avait rapidement pris un plaisir sans équivalent quand ils avaient fait l'amour.
Le saisissant avec une grande délicatesse dans l'une de ses mains gantées, Bethany redressa sa verge, et approcha son visage pour en humer l'odeur...avant de commencer à déposer de multiples baisers dessus. Il ne fallait pas s'attendre à ce que Bethany enchaîne de suite les gorges profondes, chose qu'elle n'arrivait d'ailleurs pas encore à faire, car elle aimait prendre ainsi son temps pour couvrir peu à peu se sa salive la queue de son aimé.

Ah...oh mon amour....ça m'avait tant manquée...hmmmm...

Et elle continuait à déposer des baisers, ponctués de coups de langue, jusqu'à ce que, "finalement"...Bethany n'ouvre sa bouche, et commence à le sucer.

Zeras continuait à s’étaler sur elle, à la dominer, à la dompter... Mais il ne le faisait jamais avec obstination, jamais avec la volonté de la forcer vraiment. Bien au contraire, le bel elfe s’amusait à la titiller, à la pousser dans ses derniers retranchements, et à voir comment elle réagirait. Il avait découvert chez Bethany une grande fragilité, un complexe lié à sa petite taille. On se moquait régulièrement d’elle, la prenant pour « une petite naine ». Zeras le savait, et il en jouait, car lui-même avait toujours vécu mal le fait d’être un « vaurien ». Alors, plutôt que de vivre avec ce boulet dont il ne pourrait jamais se séparer, Zeras en avait fait sa force, traitant cela avec dédain, revendiquant le fait d’être « un vaurien », et il avait appris à Bethany à ne faire de même. Elle n’avait pas à rougir de sa situation de quasi-nanisme, car, comme Zeras le lui répétait souvent, il la trouvait très mignonne ainsi. L’homme aimait l’embrasser sur le front, poser sa main sur son menton pour soulever son beau visage, et la laisser se fourrer contre lui, tout en la narguant volontiers. Et puis, il pouvait la soulever plus facilement ainsi.

Il sentit alors les cuisses de Bethany se serrer autour de sa taille, et se laissa faire. Inversion rapide des rôles, car Bethany se retrouva sur lui, le chevauchant doucement. Quelques filaments de sable étaient sur le dos de la femme, et elle lui sourit, le soleil illuminant son corps, et ses douces mains gantées vinrent caresser son torse. Zeras frémit alors, et répondit à sa manière, en posant ses mains sur ses hanches, puis descendit doucement, palpant ses fesses tandis qu’elle se penchait vers lui, l’embrassant encore.

« Hmmm... Ma belle naine... »

Zeras la provoquait souvent, pour la faire sortir de ses gonds. C’était un jeu dangereux, car Bethany pouvait parfois se montrer susceptible, mais il agissait aussi ainsi pour qu’elle le pince, qu’elle le punisse, ou parce qu’il adorait clairement la voire rougir comme une pivoine. Oui, elle devenait une magnifique tomate, tout comme quand il la fessait abruptement. Son « vaurien » était fidèle à sa réputation, à ses provocations multiples, comme si tout était fait pour embêter sa Bethany... Qui, toutefois, n’avait ici rien à craindre. Pas de public, pas de voyeurs indésirables, pas de gênes potentielles... Juste eux deux, et leur amour grandissant, qui se matérialisa par une série de baisers. Bethany descendit lentement, embrassant le torse musclé de son amant, le parcourant de caresses buccales, excitant naturellement le jeune homme. Le « vaurien » frissonnait donc sur place, tout en ayant de plus en plus mal à hauteur de ses cuisses.

Ça, il n’y avait vraiment que Bethany pour réussir à l’exciter autant ! Elle le mettait dans tous ses états, avec sa série de baisers, en prenant son temps, témoignant à chaque coup de lèvres de sa profonde affection. Frissonnant une nouvelle fois, Zeras sentit les mains de la jeune femme tirer sur les cordes de son pantalon, tandis qu’elle embrassait son nombril, s’approchant d’une toison de poils partant de sous son nombril.

« Be... Bethany, hmmm... »

Il avait libéré les fesses de la femme, mais caressait ses cheveux, glissant ses doigts dans sa longue chevelure, jusqu’à sentir cette dernière abaisser son pantalon, l’arrêtant à hauteur des cuisses. Il ne portait pas de culotte dessous, et exhiba une magnifique verge. Un membre érectile qui se dressa fièrement, l’élançant douloureusement. En le regardant, Bethany s’enthousiasma. Elle adorait voir sa queue en érection, et n’hésitait pas à l’attacher parfois, juste pour contempler sa verge, et s’entraîner dessus en usant de sortilèges de magie rose. Ah, ça, Bethany pouvait parfois se montrer terrible ! Mais là, après avoir longuement embrassé l’homme, elle s’attaqua enfin à son sexe, venant déposer une série de baisers supplémentaires dessus.

Zeras soupira quand elle posa sa main sur sa hampe de chair, puis elle déposa ensuite une série de baisers. L’une de ses mains racla furieusement le sable, sous l’effet d’une vague de désir intense qui le traversa. Il déglutit encore, bien incapable de parler pendant quelques secondes, tant la vague qui l’envahissait venait de le submerger.

« Oui, moi aussi, hmmm... Tes lèvres, tes mains... Tout de toi sur ma queue, hmmm... Je... Je t’appartiens pleinement, ma chérie ! »