Un gîte mais à quel prix ? [PV Morigan]

Le jeune humain était perdu sur Terra. Il fallait dire que s’il avait fait le malin au début, il s’était bien rendu compte qu’au final, crâner n’était certainement pas la meilleure des solutions en ce qui concerne la survie. Il n’avait pas beaucoup mangé depuis son arrivé, mais avait pris le pli, ne voyageant que la nuit, pour limiter le contact avec les terranes, pouvant cacher des créatures, mais surtout des voleurs voire pire, des esclavagistes. Il avait entendu parler de ses êtres, notamment l’archétype de l’humain musculeux avec une flopée de sous-fifre à ses bottes.  Il avait fait une petite halte dans une forêt, où il avait volé, sans vergogne la tenue d’une elfe qui prenait sa douche sous une cascade. Furette avait tout de même laissé sa tenue de la Terre, histoire que l’elfe ne se retrouve pas totalement nue. Il n’avait pas de regret dans son geste, il avait besoin d’une tenue pour se fondre dans la masse et l’elfe avait eu ce qu’il fallait pour.

La tenue en elle-même était simple. Une longue robe blanche en lin, une paire de botte haute en cuir marron et une cape verte en coton avec une capuche. Une fois vêtu, il ne restait plus qu’à trouver un endroit où pouvoir se sustenter. Pour cela, il se mit en marche et fit les rares châteaux qui parsemaient sa route, ne trouvant au final qu’un refus de l’héberger. Sa tenue y était sans doute pour quelques choses, mais il n’était clairement pas en capacité d’attaquer un noble, tenant bien plus à sa vie qu’un bout de tissus de la haute noblesse.  Sa marche fini par l’amener sur le domaine de Morigan, ne sachant clairement pas où il avait mis les pieds. Cependant son estomac demandait sa pitance et il n’eut d’autre choix que de se diriger vers le manoir et stopper devant la grande porte, qui devait faire plus de deux fois sa taille.

Timidement il saisit l’anneau, ne faisant pas attention à l’ouvrage, pour tambouriner la porte, le bruit venant résonner derrière le palier. Furette vint à cacher au mieux son visage, baissant la tête. Il attendit qu’une personne ouvre la porte pour demander d’une petite vois le gîtes et le couverts.


Tenue de Furette : https://www.tbib.org/index.php?page=post&s=view&id=4415077

Morigan passait ses journées dans son palais. Elle passait la plupart de son temps à recevoir de la visite, elle accueillait ceux qui venait s'amusés avec ses esclaves sexuels, traitait avec ceux qui venait pour négocier alliance et tout autre genre d'amicalité et évidement repoussait ceux qui venait avec des intentions moins louables. Mais dès qu'elle pouvait, elle prenait également du bon temps et le plus souvent c'était avec ses trois protégées. Elle était avec ses trois filles dans sa suite personnelle en train de s'envoyer en l'air. Elle aimait beaucoup la vitalité et l'application que mettait Sofia dans ses coups de reins lorsqu'elle s'empalai sur son membre. Valentine elle était plus discrète, elle préférait se mettre en retrait et se masturbée jusqu'à ce que Morigan lui prenne les hanches pour la positionné au dessus d'elle et passa sa langue dans le sexe de la jeune démone. Emilie quand à elle était attachée, ligotée et bâillonnée à coté, une chaine était fixée à ses piercings, passait dans un anneau sur le collier qu'elle portait et Morigan tirait dessus de temps en temps, lui arrachant des gémissements. La Maîtresse la gardait pour la fin, jouant beaucoup sur sa libido augmentée devant un pénis en action.

C'est pendant cet ébat que quelqu'un toqua à l'entrée. La succube stoppa ses protégées, ne pensant pas recevoir de visite à cette heure. Elle se releva et attrapa une nuisette et un pénoir qu'elle enfila rapidement. Elle quitta la pièce donnant une fessée à la succube soumise et dis aux deux autres qu'elles pouvaient continuer sans elle. Elle se dirigea donc vers la porte d'entrée, s'interrogeant sur l'identité de son et de sa visiteur / visiteuse. elle ne prit pas la peine de se transformée et garda son aspect de succube avec ses quatre bras, ses muscles et bien sur sa poitrine bien développée. Elle poussa donc la porte et regarda devant elle.

Elle se retrouva devant un jeune Terrien mais elle distingua bien des vêtement venant de Tarra. Ce jeune homme ne devais pas être bien âgée et son visage avait quelque chose de feminin. Cela plaisait beaucoup à la démone. Elle souri et n'exerça aucun sort de contrôle mental.

"- Bonjour jeune homme, vous êtes perdu ou c'est ici l'endroit que vous cherchiez ?"

Même si le jeune homme lui plaisait beaucoup, elle ne savait pas ce qu'il l'amenait. Elle fit donc comme quand elle reçoit n'importe qui, elle l'accueilli avec légèreté pour savoir qu'est ce qui l'amène.

Furette entendit la porte d’ouvrir et se mit à relever la tête, de plus en plus, jusqu’à voir la démone, qui était plus grande que lui, le contact visuel se faisant. Le jeune homme vint à baisser la tête, faisant un petit pas en arrière, ne sachant pas si cela était une si bonne idée d’avoir toqué à la porte, mais son estomac demandait à manger et il commençait à sérieusement montrer des signes de fatigue. Aussi se dit-il que la démone devait être tout de même gentille, malgré son aspect très musclé et ses deux paires de bras.  Il était d’autant étonné que cette créature puisse définir tout de suite son sexe. Pour l’humain, cela était soit avec l’usage de quelques chose dont il n’avait pas la connaissance, comme l’usage de la magie, soit d’un fait plus simple, la créature avait l’habitude d’héberger des personnes androgyne et avaient développé un œil avisé. Quoi qu’il en était, le jeune homme ne pouvait certainement pas aller à une possible prochaine demeure.  D’une voix ambigüe il se mit à répondre à la question de Morigan. 

- Je cherche un endroit où loger et, si possible, manger. J’ai fait d’autres demeures, mais l’on m’a refoulé. Serait-il possible de bénéficier de l’amabilité des maîtres de cette demeure. Je travaillerais pour payer ce qui est dû.

 Furette se doutait qu’avoir une personne à son service pas cher pouvait être une demande tentante, d’autant que rien n’interdisait  de prolonger le séjour. Il ne comptait donner son surnom que lorsqu’il serait reçu, cela ne servait à rien de se présenter à un noble qui fermerait la porte.

- Je cherche un endroit où loger et, si possible, manger. J’ai fait d’autres demeures, mais l’on m’a refoulé. Serait-il possible de bénéficier de l’amabilité des maîtres de cette demeure. Je travaillerais pour payer ce qui est dû.

Ce jeune humain ne semblait pas vraiment savoir à quelle porte il venait de frapper, mais cela n'était pas un problème. Maintenant qu'il était là, autant l'invité à entrée. Morigan remarqua qu'il ne s'était pas présenté. Soit il était impoli, au quel cas il ne restera pas bien longtemps sous le toit de la démone, soit il était malin et savait qu'il n'était pas utile de se présenter à quelqu'un qui ne veut pas de vous chez soi.

- Tout le monde est le bienvenue chez moi, jeune homme. Je me présente: je suis Morigan, maîtresse de ces lieux, succube et l'on me nomme parfois la Maîtresse du plaisir. Je vous prit entré, il y aura toujours un couvert à ma table. Et, au vue de la région, il n'est pas étonnant de ne trouver personne qui est l'amabilité de loger un inconnue. Les gens ici ne savent pas ce qui est bon.

La voie de la démone était la plus douce possible, en partie pour le charmer. Elle invita donc ce jeune humain à entré. Son visage et sa carrure ne laissait rien à savoir sur son sexe, bien que son énergie vital était typique d'un homme, mais qui avait cependant certains renvoie de celle d'une femme. Il était clair qu'avec un physique aussi indéterminé le jeune homme devait ne pas se poser de limite. Et il était bon pour Morigan de recevoir une tel personne en ses murs qui manquaient ces temps ci de visite. Donc, elle le laissa effectué quelques pas pour entré, passant devant la démone du plaisir alors qu'elle refermait la porte derrière lui. Quand elle se retourna, elle n'eu pas d'hésitation et avec une paire de ses bras elle le saisie à la taille et avec sa longue langue percée, elle lui lécha le lobe de l'oreille de la façon la plus érotique qu'il soit. Elle lui susurra tendrement à l'oreille :

- Je te laisse te rassasié dans la salle de réception, et quand tu auras bien mangé, demande à quelqu'un ma chambre... Je te donnerais le dessert ♥

Elle insista bien sur les derniers mots et se décolla de lui. Elle passa devant et alla ouvrir la porte de la dite salle de réception. La s'y trouvait plus de  nourriture qu'il en fallait pour nourrir ce pauvre jeune homme affamé. Quand à elle, elle alla dans sa chambre préparer l'arrivé de son nouvel invité avec qui elle avait hâte de faire plus amples connaissances, disons plus approfondies. Elle y retrouva ses trois filles qui continuaient leur partie de jambes en l'air. Sofia fut la première à sauter sur la succube et la débarrassa très vite de ses vêtements. Une fois le sexe de la démone à l'air, celui ci reprit regonfla rapidement. La démone se positionna sur le lit, ses trois protégées autour de son membre.

- Maîtresse attend toujours que vous la fassiez jouir mes chéries

Les deux démones qui pouvaient bougées s'empressa alors de lui lécher et branler le sexe tandis que la troisième, qui était en face du membre, ne pouvant rien faire. Au final, sentant rapidement son orgasme arrivé, Morigan plaqua son gland dans la bouche d'Emilie qui bu tout le foutre qui en sortait, alors que les deux autres en ramassaient les goutes qui s'échappaient et qui coulait le long de sa queue. Une fois leur affaires finit, elle les chassa et attendit son invité, allongée dans son lit, coiffée et habillée d'une petite robe japonaise, très courte.

Furette se mit à écouter la longue présentation du succube. Il avait d’ailleurs tiqué légèrement à la présentation raciale de cette femme. Certes, il avait compris que ce n’était pas un humaine, mais le fait que cela soit un succube ne lui mettait pas en confiance. Mais antre ne pas avoir confiance et ne pas avoir de pitance, le choix était, encore une fois, vite fait. Il assimilait rapidement que la créature se nommait Morigan, lui rappelant qu’il y avait justement un succube dans un jeu vidéo qui avait le même prénom. Il ne croyait pas tellement aux coïncidences.  Il ne fut pas très réceptif à la tentative de charme, étant un peu trop aux aguets. Qui sait si cette créature tente de le faire entrer de force avec des tentacules, il avait lu beaucoup de doujin, donc la perversion des succubes, il avait une petite idée dessus. Mais iol se devait de se montrer poli, venant à prendre la parôle, conservant le timbre de sa voix. 

- Je me nomme Furette et ne suis qu’un simple humain. J’ai effectivement remarqué la méfiance des habitants d’ici.

Il vint à entrer, une fois qu’il eut l’autorisation de pouvoir faire un pas à l’intérieur. Il se doutait que la nuit n’allait certainement pas être de tout repos. Il ne se doutait pas encore de la surprise qu’avait Morigan entre les jambes, pensant avoir affaire à une simple femme et donc qu’il allait certainement être un soumis. Furette n’était pas dérangé d’être ainsi zyeuté, il était un humain des plus atypiques, quand on ne se basait que sur des notions stéréotypées concernant la masculinité et la féminité. Il eut cependant un sursaut quand les bras vinrent à limiter ses mouvements, se détendant par la suite en constatant que la créature était du genre tactile. Il émit un petit frémissement en sentant la langue jouer avec son oreille, entendant la maîtresse des lieux. Il vint, par la suite, à se mettre en route pour la salle de réception, venant doucement à se mettre à table et manger. 

Il préférait prendre des aliments riches et pas trop bourratif, il se doutait que si la soirée allait être du sexe, il fallait éviter d’avoir le ventre trop plein. Il mit donc le temps pour manger et boire suffisamment. Une fois ceci fait, il vint à demander à une des servantes la chambre de Morrigan, la servante venant à gentiment le conduire. Bien en fût, car Furette se serait certainement un peu perdu à travers toute les salles et les couloirs.  Le jeune humain attendait dix secondes avant de toquer à la porte, attendant d’avoir une réponse pour venir à entrer dans le domaine privé du succube. 

La démone du plaisir était donc dans son lit quand elle entendit toquer à sa porte. Sensible et attiré par la culture terrienne, et particulièrement la culture Nippone, elle avait sa petite robe courte. A genoux sur le lit, elle donna la permission à Furette de rentré par un "Entré !" classique. Une planche de bois était posé sur l'immense lit. Celui ci était bien plus grand que les lits classique, il pouvait facilement accueillir quatre personnes, en plus de la succube. Donc, sur la planche de bois était disposé deux tasses et une théière. Il n'était pas difficile de comprendre que, même si cela allait dans le sens de Morigan comme toujours, elle tentait de le mettre à l'aise. Bien qu'elle pensait bien à lui faire gouter à son sexe, elle ne voulait pas non plus le brusquer. Elle s'était fixée pour règle de ne jamais forcer ses invités. Mais il était fortement conseiller de s'amusé avec elle, dans leurs intérêt. Quand une succube désire du sexe avec quelqu'un, elle l'obtient à chaque fois. Seuls les manières changes selon la résistance de l'individu.

- Ne sois pas timide, mon beau. Tu as bien mangé j'espère ?

Elle arborait un grand sourire charmeur. La démone bomba légèrement la poitrine, la faisant un peu plus ressortir de la robe. On ne pouvait toujours pas voir son membre qu'elle cachait soigneusement, pour mieux le dévoiler le moment venu. Quoi qu'il en soit, elle attendait que le jeune terrien prenne place face à elle pour lui servir du thé, en espérant qu'il aime ça. Plusieurs sachets étaient disposés sur le plateau, chacun étant un goût différent. Ayant une préférence pour le citron, l'hôte avait déjà choisi le sien et avait posé son sachet dans sa tasse. Quand elle déversa l'eau chaude dessus, un parfum doux de citron s'échappa dans la pièce.

Doucement, il fit son entré dans la chambre de Morigan, ne sachant pas trop comment elle allait l’accueillir, et ne put retenir un petit sourire en coin en voyant la succube avoir une tenue légère. Par contre il fut impressionné par la taille du lit, qui était certainement le plus grand qu’il avait pu voir de sa courte vie. Il put constater la présence du service à thé, finement ouvragé, le genre d’objet qui devait coûter horriblement cher sur Terre. Après tout il n’avait aucune connaissance de la culture de Terra, un objet ridicule comme un simple trombone pouvait certainement valoir de milliard sur Terra. Il se mit à répondre de sa voix androgyne et calme.

- Le repas était excellent, vous pourrez remercier les personnes ayant cuisiné et dresser la table.

Il ne pouvait rester insensible aux charmes de la succube, mais restait tout de même méfiant. Heureusement la robe était suffisamment basse et détendue, pour éviter toute apparition de bosse. C’est en partie pour cela qu’il avait volé ce vêtement à l’elfe. Il remarquait juste à l’instant que l’odeur de la créature forestière était restée sur le vêtement, une odeur douce apaisante. Cela lui joua un premier tour, le rendant moins attentif, plus détendu, plus vulnérable. Il attendit que la maîtresse de maison choisisse son thé, avant de faire de même portant les sachets à ses narines pour sentir l’odeur et définir le goût que cela aurait. Son choix vint à se porter sur un thé aux fruits rouges, étant assez doux au goût et qui se marierait bien avec son repas léger. Il attendait que Morigan verse l’eau chaude.

- Vous avez une bien grande demeure. Je ne suis pas habitué à entrer dans la bâtisse des nobles et cela m’impressionne de voir autant d’objet.

Furette n’avait pas trouvé un autre sujet de discussion, oubliant un instant ce regard sur lui et l’idée qu’il pouvait être le dessert. 

Le jeune homme était très mignon. Cependant la démone ne savait pas s’il était mal à l’aise, s’il se méfiait ou s’il allait complètement prendre ses jambes à son cou. L’approche plutôt direct de la succube devait être, il est vrai, très brutale pour quelqu’un d’inhabitué. Elle avait pour règle d’être la plus accueillante dans sa demeure et en faire un lieu de paix, mais ses invités ne sont pas toujours au courant de ce point.

Cependant, la fuite n’avait pas été son choix. Morigan en fut ravi. Elle remarqua le petit sourire en coin qu’il fit en entrant dans la chambre de la maîtresse des lieux. Il vint ensuite s’installer sur le lit où la place ne manquait pas. Après que la démone prit un sachet sans hésitation, du thé au citron, il fit de même avec un sachet d’herbe aromatisé aux fruits rouges. Elle lui servit l’eau chaude, en mit dans sa tasse et commença à touiller avec une cuillère un morceau de sucre dans l’eau.

Vous avez une bien grande demeure. Je ne suis pas habitué à entrer dans la bâtisse des nobles et cela m’impressionne de voir autant d’objet.

Noble ? Enlève moi ce noble mon mignon. J’aime le respect que tu as pour ton hôte mais je ne suis pas une Noble. Tu ne sembles pas savoir où tu te trouves. Je suis Morigan, succube indépendante des enfers et ceci est un palais du plaisir. Tout le monde ici est libre d’assouvir ses envies. Et tout le monde y est aussi à l’abri, je dédie cet endroit comme asile, si tu n‘es pas là pour chercher des noises à mes serviteurs et mon personnel.

Elle lui déroula son discours calmement, lui exposant les faits sur un fond de mise en garde. Mais les présentations faites, le jeune homme allait-il toujours rester ? Et puis Morigan avait bien une idée derrière la tête. Elle le voulait bien comme dessert, mais d’une certaine manière. Elle déposa sa tasse sur le plateau et, toujours direct, elle se rapprocha de Furette.

Alors ? Tu penses resté longtemps en sachant cela ?