Cocks 'n Rock [Pv ~ Akua Hotomi]

Akua savait que ce qu’elle demandait à Celes n’était pas facile. Mais c’était plus supportable s’accepté le plaisir que de lutter et en souffrir. Le plus dur était d’arrivé à garder la raison, pouvoir gardé dans un petit coin de sa tête toute sa conscience pendant qu’on s’abandonne au plaisir. Si  cela pouvait apparaitre aberrant c’était pourtant pas si mal, car c’était souvent en lutant qu’on se blessait le plus facilement en s’opposant au mouvement on se fatiguait plus vite et se blessait. C’était un peu comme se faire emporter par les vague, plus on se débat, plus on a de chance d’y resté.

-Fait-moi confiance. Je te sortirais de là c’est promit, ARG !

La chose qui montait peu à peu venait subitement rentrer en elle, un tentacule gros qui maintenant était au plus profond d’elle. Sa lui avait fait mal sur le coup, mais c’était encore supportable. Akua regardait Celes qui subissait une sorte de fouettage de son intimité, qui semblait violente, déjà son regard semblait perdu. Pour vue qu’elle suivait son conseil. Elle ne pouvait pas lui dire qu’elle avait déjà subi une situation du genre, qu’elle c’était déjà faite violé par une créature inhumaine. De toute façon il était trop tard pour qu’elle soit surement encore capable de la comprendre.

La geekette se laissa envahir par le plaisir, que lui procurait les mouvements du tentacule en elle, elle sentait son corps se déformé, c’était douloureux. Slimia lui avait fait la même chose, mais la slim avait su maitrisé les proportions pour éviter la douleur, le tentacule lui n’y prêtait pas la moindre attention bougeant en la stimulant au maximum. Akua avec son petit corps devais rendre la scène encore plus impressionnante aux yeux de Celes.  Akua pouvais voir à l’avance un tentacule s’approche des fesses de cette dernière, la pauvre allait surement se faire prendre par le cul. Si ses tentacules fonctionnait comme dans les hentai, elle aussi allait pas tarder à sentir son derrière se faire écarter. Il y a peu de chance que la moindre partie sexuelle leur soit réellement épargnée. Akua poussait que simple halètements, retenant comme toujours et par habitude ses gémissement. Malgré tout elle ressentait beaucoup de plaisir et de douleur par les mouvements rapide du tentacule en elle, mais c’était loin d’être finit, car déjà elle sentait quelque chose forte contre ses fesses.  Mais se qui l’inquiétait le plus c’était ceux qui leur tourné autour sans encore les touchée, comme un avec une forme étrange qui semblait petit à petit s’approchait de son visage.

« Fait-moi confiance. Je te sortirais de là c’est promit, ARG ! »

Impossible de contre-attaquer, impossible de résister, et si Akua prouvait par maintes fois qu'elle était encore en capacité de ne pas se laisser faire, il ne faisait aucun doute que cela n'était pas vraiment de l'avis de ces choses qui les entouraient, celle-ci voulaient avoir deux proies faciles à s'occuper, et pas la moindre résistance en vue. Akua fut la première à être pénétrée, et il ne faisait aucun doutes que les mouvements du tentacule étaient fait pour qu'elle ne puisse que se retrouver sur la défensive, avant d'être brisée mentalement, celle-ci allant pour lui octroyée la chevauchée la plus vive et diabolique qu'elle ait put ressentir jusqu'ici, rebondissant entre ses reins à une vitesses proprement inhumaine, et allant presque toujours plus loin dans chacun de ses passages. Céles ne pouvait que rester là, hypnotisée par ces mouvements, tandis que ses propres tortionnaires semblaient plus encline à la préparer, sûrement parce qu'elle était déjà vaincue, et qu'elle ne pouvait rien faire de plus que subir leurs ignobles propositions, mais plus elle remarquait le mélange étrange et stupéfiant de douleur et de plaisir mêlé d'Akua, et plus elle se sentait désireuse de connaître pareille approche, le bas-ventre en feu. Elle restait les yeux rivés sur le corps de sa camarade, celle-ci pouvant remarquer la légère distorsion de son bas-ventre à chaque avancée de l'horrible élément gluant qui était en train de la satisfaire sans son accord, et il n'était pas à douter que les choses ne faisaient que débuter, tant ce qui les entouraient semblait s'activer à mesure qu'elle perdait définitivement le contrôle de leur propre être.

D'un coup d'ailleurs, les événements vinrent à s'accélérer de manière parfaitement coordonnées. Au même instant, ce furent Akua et Céles qui purent sentir une forme longue, bien plus gluante que les autres, l'huile poisseuse provoquant un long frisson le long de l'échine de la chanteuse, rentrer soudainement entre leur fesses, et prolonger leur avancée pendant un bon moment, avant de commencer à onduler à une vitesse toujours aussi surprenante. Ce fut le coup de trop pour l'amie d'Akua, elle se brisa, perdit la tête, et ses yeux se révulsèrent légèrement alors qu'elle ouvrit la bouche pour gémir sans résister, la langue légèrement pendante, en train de goûter bien malgré elle à la rosée de l'herbe sur laquelle elle se trouvait en train de couiner de plaisir. Presque comme une récompense, ce fut aussi le moment où le tentacule, qui l'avait tant et tant martyrisée plus tôt, vint à cesser ses longues caresses pour se diriger droit vers son intimité, et pratiquer la même entrée soudaine qu'avec la jolie petite bassiste, s'enfonçant profondément, mais sans douleur pour le coup au vu de la préparation que Céles avait reçue, et son excitation des plus fiévreuse. D'un coup, elle avait tout abandonnée, elle voulait absolument tout faire pour que ces choses immondes la satisfasse, qu'elles viennent encore et encore la prendre jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus qu'être une forme épuisée au sol, remplie de leurs sucs. D'ailleurs, elle ne savait pas si ces choses pouvaient jouir, mais elle l'espérait au plus profond d'elle, n'ayant que la hâte d'être remplie une première fois, de devenir le jouet attitré de ces choses... Mais ce n'est pas elle qui put découvrir si les tentacules avaient en effet la capacité de produire quelques sécrétions de jouissances...

En revanche, la belle bassiste aux cheveux long ne put que voir la forme étrange d'un autre de ses tortionnaires s'approcher. C'était désormais clair, elle était la seule à résister, alors peut-être fallait-il la rendre plus docile, plus encline à devenir la petite chose bavante et heureuse qu'était déjà devenue sa compagne, et c'est avec ce but que le nouvel arrivant s'approchait lentement, comme pour faire sentir à la jeune femme la cruauté de la situation, une sorte de constat préliminaire qui allait bientôt se révéler parfaitement ignoble, et encore un peu plus après, terriblement satisfaisant. La chose, dotée d'une ventouse dorsale, semblait posséder une longue fente au niveau de l'avant, mais rien ne laissait encore comprendre son utilité alors qu'elle commença à chercher à forcer les lèvres de la jeune pokémorphe, tentant d'abord d'approcher lentement, puis essayant de forcer, avant que finalement, de frustration, les deux formes déjà en elle se mettent d'un coup à bouger vivement, à l'unisson, et en caressant de manière particulièrement précise ses point les plus sensibles pour l'amener à gémir, à ouvrir la bouche dans un hurlement, un cri de plaisir. Et dés qu'elle vint à fauter, dés qu'elle mua ses bas gémissement en un cri honnête, le dernier tentacule se glissa dans sa bouche, la ventouse se colla au palais, avant qu'elle ne puisse sentir la chose gonfler avec une certaine horreur, sans pour autant qu'elle ne l'étouffe, et venir cracher de manière quasi-immédiate un épais liquide sucré dans sa bouche, et en bonne partie dans sa gorge. Lentement, le mélange sirupeux et chaud descendit le long de son oesophage, allant rejoindre son estomac, pour commencer son lent travail pour lui faire perdre le contrôle de son corps...

« Aaaaaah... Aaah... Akuaaaah... Chan... Chanceuse ! »

Céles avait tout vu, elle avait remarquée le filet de substance étrange qui s'écoulait depuis la commissure de la bouche de la bassiste, et elle l'avait directement assimilé à ce qu'elle voulait tant et tant sentir en elle, à tel point qu'elle ne manqua pas d'essayer de lutter un peu pour en avoir, cherchant à se libérer de l'emprise du large et lourd membre luisant sur ses épaules et ses bras. Et étrangement pour les deux jeunes femmes, mais bien moins de la créature qui savait très bien ce qu'elle réalisait, ce dernier se retira lentement, offrant enfin à la femme brisée un peu de liberté de mouvement, liberté qu'elle ne vint clairement pas gâchée, en se redressant lentement avant de donner un grand mouvement vers l'arrière, s'enfonçant encore plus sur les deux tentacules en mouvement en elle, avant de se traîner mollement vers son amie pour entourer ses hanches de ses bras, tout en la regardant d'un air éperdûment affectueux. Aussi imprévisible cela pouvait être, elle ne sauta pas aux lèvres de son amie, mais vint d'abord passer sa langue sur la partie rebondie du bas-ventre de son amie, l'embrassant même délicatement et y frottant la joue avec affection, avant de remonter mollement, les yeux perdus dans le vague, et de finir devant le visage d'Akua afin d'y récupérer le suc mielleux qu'elle n'avait put avaler, le récupérant le long de son menton. Délicieux, envoûtant, collant et aphrodisiaque, cette sécrétion était tout simplement enivrante, et ne tarderait pas à agir sur la bassiste qui cherchait encore à garder l'esprit claire... Mais pour le coup, la coup traître ne vint pas des autres formes autours d'elle, mais de Céles elle-même, alors qu'elle vint l'enlacer tendrement contre son corps bouillant :

« Tu aaaaah... avais raison.... Hnnnnn... C'est tellement bon... Tellement bon quand... iiiiihhhhk... quand tu acceptes... AaaaAaaah »

Sa voix tremblotait, ses paroles étaient inhabituellement faibles, mais son ton était si sures, si assurés, comme si elle découvrait une vérité enfouie depuis des millénaires, et qu'elle pouvait dés lors en goûter la plus intense des satisfactions.

« Je le sens... Hnnnn... Je sens la chose en toi.... Hiiiiiii... Je la sens buter... AAAah... contre mon bassin !... Oh putain ouiiiiii... Je veux ... Aaaannnh... Je veux qu'ils.... Aaaah... qu'ils me remplissent ! »

Akua sentait son corps de faire de plus en plus secoué, les mouvements des tentacules était violent en elle tout comme dans Célés, les deux filles était secoué et en même temps retenue par les immonde forme verdâtre qui les faisait prisonnière.  Si seulement, elle pouvait se transformé pour se dégager de tout ça et détruire ses immondice. Mais quelque chose bloquait ses pouvoir, même ses cheveux habituellement flottant derrière pendait dans son dos secoué par le même rythme que son corps martyrisé.

Alors qu’elle regardait son amie se perde de plus en plus dans le plaisir, elle remarqua que l’étrange tentacule arrivait maintenant proche de son visage s’avançant avec l’enter vers sa bouche. Il se mit à buté, cherchant à rentrer, Akua fermait bien sur la bouche, se doutant à sa forme étrange qu’il ne fallait pas qu’il rentre. Mais la créature n’u aucune pitié accélérant les mouvements des autre son corps si bien qu’elle n’arrivait plus a résisté et fini par cédé. Ne loupant pas l’occasion de la faible le tentacule s’engouffra dans sa bouche, venant avec une ventouse se colé à l’intérieur et commença à déversé un liquide à la fois immonde et agréable,  une sorte de drogue qui ne tarda pas à la remplir et à faire effet.

Akua ne put échapper au fait de l’avaler et très vite, elle s’entier l’excitation l’envahir, la drogue lui anesthésié l’esprit, elle n’arrivait plus à penser correctement et étrangement le plaisir de se faire labouré le corps devenais de plus en plus fort, de plus en plus bon. C’était devenue presque impossible à la geekette de résisté, si bien qu’elle ne se rendit pas compte tout de suite, qu’elle était maintenant coucher dans l’herbe et que Céles était coucher sur elle.

Son amie lui parlait, tout comme elle était envouté, mais sans c’être fait droguer. Akua ne pensais plus à s’en sortir, elle ne pensait même plus à rien, juste du plaisir.

Elle avait le corps chaud d'Akua contre elle, se lovait contre la peau délicate de la jeune femme, humait son parfum et sa sueur, née de la triste situation dans laquelle elles s'étaient retrouvées, et ne pouvait plus désormais la quitter, y trouvant un infini bonheur qui faisait non seulement sa joie, mais aussi l'aidait à s'abandonner à la lubricité de l'instant sans hésiter ! Comment pouvait-elle s'exprimer sur cette jouissance, sur cet instant de pur extase alors même que plus tôt elle avait tant et tant souhaitée que les choses ne se déroulent pas sous de tels augures ? Difficilement était peut-être le terme le plus convenable en ce cas, le fait même que sa bouche reste ouverte en permanence pour qu'elle puisse gémir du passage de ces longues formes visqueuses en elle étant déjà, en soi, une raison suffisante pour qu'elle ne puisse finalement reprendre le contrôle sur ses mots, et quand elle parvenait enfin à le faire, ce n'était jamais pour dire ce qu'elle souhaitait vraiment exprimer. Cela ne faisait finalement qu'ajouter à une certaine frustration qui montait en elle, celle de ne pas être pleinement utilisée par ces choses, celle d'avoir vue Akua avoir le droit à des "attaques" bien plus importantes, bien plus viles, qu'elle même n'avait pas encore eut l'occasion de se sentir subir. Finalement, elle trouvait vraiment le déroulement des choses bien plus à l'avantage de son amie qu'elle, et si elle avait de plus en plus envie de se faire prendre comme le dernier des jouets, elle en développait ainsi une grande... jalousie !

Une jalousie qui d'ailleurs ne manquait pas de prendre de plus en plus d'ampleur à mesure qu'elle sentait la bosse au niveau du bassin de sa camarade se frotter avec force, avec prestes mouvements, contre le sien, au point qu'elle commençait à avoir en tête de biens viles idées, de biens monstrueux désirs, le genre qui commençaient lentement à ne plus voir la bassiste comme une femme à sauver, mais bien comme une adversaire potentielle à ses propres désirs ! Et comment allait-elle faire pour se débarrasser d'une "ennemie" qui l'empêchait de profiter pleinement de l'une des plus intense jouissance qu'elle n'avait jamais connue ? Comment allait-elle s'assurée que celle-ci soit sur la sellette, incapable d'offrir plus de satisfactions à ces choses qui étaient en train de les liguer l'une contre l'autre, alors même qu'elles s'entendaient jusqu'ici parfaitement ? Eh bien d'une certaine manière, la chanteuse avait remarquée que son amie avait eut le droit à un traitement de faveur parce qu'elle avait résistée, parce qu'elle s'était montrée bien peu encline à répondre aux avances tentaculaires plus tôt, et qu'elle avait fait le choix de ne pas s'abandonner à leurs effets. Alors la solution lui paraissait évidente, elle devait faire d'Akua une bonne petite chienne, comme elle ! Elle devait s'assurer que la jeune femme soit si docile, si amen aux nombreux touchers, plus écoeurants dans le fond les uns que les autres, qu'elles se trouveront enfin à égalité, et que les autres choses gluantes se tournent plus vers son aliénation que celle de sa camarade. Ne restait donc plus qu'à mettre ces constats, ces décisions en marche, et de mettre fin aux derniers instants de lucidités de la belle petite demoiselle aux cheveux turquoises.

L'écrasant donc sous son corps, s'assurant que désormais c'était elle qui allait l'empêcher de fuir, l'empêcher de faire le moindre mouvement de recul face à ses perversités, elle vint sans la moindre hésitation chercher la petite poitrine d'Akua, de sa bouche, et commença alors un lent travail pour la rendre d'autant plus sensible, d'autant plus encline à se laisser faire. Sa langue se perdit sur la poitrine mince de son amie, celle-ci y laissant de légères traces de baves à mesure qu'elle dégustait la chair de la bassiste, et son mouvement passait de la chair rebondie à ses tétons, plus durs, dressés fièrement par l'excitation, qu'elle vint même mordiller par pure envie. Elle ne ressentait ni honte, ni doute, chacun de ses coups de langues visant l'absolu bonheur de la demoiselle, même si elle n'imaginait pas non plus l'effet que cela devait produire sur le corps drogué de la pokémorphe, se contentant de jouer de son expertise pour chercher à détruire les quelques résistances qui auraient put encore tenir le coup face aux assauts de la chose qui les soumettaient sans mal. D'ailleurs, l'être tentaculaires qui s'était attaqué à elles ne manqua pas de profiter de la bonne volonté de Céles pour entreprendre des mouvements plus brutaux au fond des deux jeunes femmes, plus vifs, plus intense, la position étant dans le fond parfaite pour qu'il les humilies d'autant plus. Le tout devint bestial, inhumain, la chanteuse aux cheveux d'argents ne manquant pas, par instant de manquer virer de l'oeil sous l'effet terrible d'un mouvement imprévisible, et si elle ne tenait pas tant à faire perdre sa contenance à Akua, elle aurait sans nuls doutes déjà eut l'occasion de devenir une simple poupée de chair, inconsciente et misérable.

« J'aiiiime.... Haaaaa... AAAAH C'est ... c'est merveilleux.... Haaaaan... J'ai le IIINNh... le corps en feu... »

Incapable de résister plus longtemps, elle se cambra sur le corps de son amie, et se redressa vivement, la bassin encore écrasé sur celui de la bassiste, mais ses seins désormais pleinement visible aux yeux de la jeune musicienne, qui put dés lors remarquer de fins tentacules s'y enrouler, et se mettre à malaxer la lourde chaire de manière bien vicieuse, étrange, et ininterrompue.

« Plus ! ....Haaaa plus !... Il m'en faut....Hnnnn... m'en faut plus ! »

Les choses bougeaient dans tout les sens autour d'elles, commençaient sérieusement à devenir inquiétante, et ce ne fut pas sans un certain aspect des plus inquiétants que lentement le tout s'approchait des deux femmes avec la lenteur d'un prédateur ayant déjà vaincu sa proie, s'apprêtant seulement à déguster avec un peu plus de terrible extase ce qu'il avait déjà prit dans ses filets. S'ajoutant aux membres déjà épais qui se déplaçaient en leur sein, l'un au coeur de leur intimité, l'autre entre leur fesses, ce fut un tentacule particulièrement visqueux qui chercha à forcer leurs ouvertures déjà bien malmenée, avant de s'y faufiler de manière surprenante, rendant la pénétration bien plus efficace tout d'abord, puis surtout fatale pour les minces restes d'esprits qu'elle possédaient encore ! Car en effet, une fois pleinement entrées en elles, ces choses gonflèrent un bref instant, cessant tout mouvement des autres éléments qui tambourinaient depuis au plus profond de leur êtres, comme pour ne pas blesser plus que de raisons ces pauvres victimes avec lesquelles il comptait encore passablement s'amuser, puis finalement expulsèrent de manière incroyablement pressante une dose incroyable du liquide qu'Akua avait déjà goûtée. Céles, incontrôlable en cette instant, s'arrêta soudainement, se tendit de tout son long, et ne put que garder la bouche grande ouverte sans qu'un seul son n'en sorte, alors que les flots de liquide sirupeux commençait à s'échapper de ses antres intimes, se vidant sur le bassin de sa camarade, qui elle même subissait le même traitement. Et aussi inconcevable que cela pouvait être... la présence de ce fluide en elles continuait d'avoir le même effet enivrant, transformant leur chairs déjà sensibles en des parois dont le moindre effleurement pourrait sûrement mené à une fatale jouissance...

Akua était allonger complément vaincu par le liquide, elle n’était plus capable de réfléchir, résisté lui paraissait vain. Puis après tout malgré les douleurs des mouvements violents des tentacules en elle, Akua en ressentait un fort plaisir. C’était devenue impossible de ne pas s’abandonnait à ses chose qui violait et violentait son corps. La pauvre jeune fille était incapable d’imaginais ce que lui réservé son amie sur elle, son amie qui avec sa langue ne faisait que lui donné d’avantage de plaisir. Tout ça n’avait plus d’importance, seule le plaisir qu’éprouvait son corps avait maintenant de l’importance. Si Céles ne l’empêchait pas ainsi de bouger, elle chercherait elle aussi à lui donné plus de plaisir, mais son corps était bloqué par le sien et les tentacules qui s’occupaient de leur corps.

La chose qui pouvait paraitre surprenant, c’était malgré tout ça, Akua ne poussait pas plus que des soupirs de plaisir, la geekette avait tellement l’habitude de prendre du plaisir discrètement qu’elle en retenait naturellement tout son. Ce qui fait que son premier orgasme passa inaperçu, si ce n’es ses jambes d’avantage trempé. Mais la créature tentaculaire comptait pas s’arrêté là, déjà un nouveau tentacule particulièrement gluant viens se glissé en plus de l’autre dans son intimité. Ce dernier bloqua les mouvements des autre en grossissant subitement, arrachant une grimace à Akua et vue le visage de son amie sur elle, elle n’était pas la seule à avoir subi ça. C’est alors que la chose en elle lâcha une énorme quantité de liquide en elle, la remplissant, venant faire gonflé son ventre. Le liquide fini par s’écoulait entre ses jambe, alors que d’autre coulait sur son ventre sortant du corps de son amie sur elle.

-Hum, encore du plaisir, moi aussi je veux encore du plaisir.

Son visage déformé par le mélange de l’excitation et la douleur, avec ses lentilles en spiral, donnais à son visage une expression de folie plutôt perturbante.

Même si Akua ne parvenait que peu à produire le moindre son, il aurait été étrangement difficile de l'entendre, et ce pour une bonne raison, mais les tentacules autour d'elles, gluants et généralement toutjours en mouvements, produisaient eux même un bruit particulièrement outraeant, le genre de ceux que l'on ne souhaiterais jamais avoir à entendre tant la particularité de ceux-ci semblent annoncer quelques luxures inacceptables. Céles elle même gémissait, longuement, pleineent, à plein poumon, avec son air de salope vaincue par le bonheur que lui procurait chacune de ces étranges entités, mais les bruits étranges qu'elle produisait, les gargouillis de bonheur inestimable qui s'échappaient de sa gorge restaient étrangement couvert par l'entité tentaculaire qui les utilisaient toutes deux comme bon lui semblait. L'une écrasée contre l'autre, il n'y avait rien qui ne permettait finalement de les ouïr réellement, si bien que désormais, même si la moindre personne approchait des lieux, il était quasiment certain que personne ne serait en mesure d'avoir le courage d'approcher l'épicentre de ce viol, et d'y découvrir dés lors les deux femmes en pleine extase. Quand à les sauver, c'était encore une autre question difficile à répondre, mais clairement, en cet instant, rien ne saurait finalement arrêté la monstruosité qui venait de lâcher en elles une telle quantité de substance qu'Akua comme Céles ne pouvaient finalement qu'attendre que leur ventre dégonfle lentement pour à nouveau s'étreindre...

« Hum, encore du plaisir, moi aussi je veux encore du plaisir. »

Etait-ce de la joie dans les yeux de Céles ? En tout cas elle s'approcha alors mollement d'Akua, la bouche ouverte dans un gémissement perpétuel, et l'embrassa sans la moindre hésitation, capturant entre leur deux lèvre le morceau de tentacule qui s'était logé contre le palais de la jeune bassiste, la chanteuse en profitant d'ailleur pour passer de rapide coup de langue dessus, avec une envie évidente. Dans son regard, au plus profond de celui-ci, ce qui semblait avoir germer était un besoin dévorant de plaisir, une envie ultime de ne plus jamais quitter ce qui était en train de les maltraiter, de les rendre folles, de leurs faire perdre les dernière résistances encore en place au coeur de leur âme. Si tant est que cela n'avait pas été atteint de la part de la femme aux cheveux courts ! En tout cas elle offrait ainsi un spectacle singulier à Akua, et se moquait parfaitemment de ce que la jeune demoiselle aux yeux spiralées pouvaient en penser ou en dire, elle continua leur baiser avec une fougue inexpugnable, et ne lui laissa pas plus de choix que les tentacules, l'amenant à s'abandonner à ses vagues forces, à ses légères impulsions d'une envie dévorante. Peut-être que dans le fond, elle n'avait fait que souhaiter prendre soin du plaisir de la jeune femme qui se trouvait avec elle, de son corps frêle, de son air vif et singulier, et que finalement les tentacules qui les maltraitaient n'étaient qu'une bonne excuse pour qu'elle s'adonne aux pires péchés ? En totu cas une chose était bien certaine, c'est que des deux, il y en avait une qui désormais avait choisie son camp, et n'irait plus jamais en arrière suite à cette bien étrange expérience.

« Akua... ma belle Akua... Tu es si belle comme ça... Je veux t'entendre... aaaah...t'entendre crier... Mmmmh... te voir gémir comme une salope... Akua... »

Difficile de croire qu'elle n'avait pas perdue la tête... Mais en tout cas, même si elle prononçait cela, les tentacules n'étaient pas vraiment du genre à jouer le jeu de ses jouets, et loin de suivre les désirs de celle qui avait déjà dans l'idée d'offrir son corps toute la nuit durant à ces choses étranges et malsaines, les dites monstruosités se remirent en marche, vivement, ce coup-ci dans leus deux trous respectifs, tandis que le reste commençait lentement à se réunir autour d'elles, à se rapprocher dansgereusement, sans même que l'une ou l'autre ne soit en état de craindre un tel mouvement.

Cette rudeur, cette vivacité, cette sensation... Céles n'avait rien pour la décrire, ni les mots, ni l'esprit suffisant, et tout ce qu'elle faisait, quand elle en avait la possibilité, c'était de se planter plus intensément sur les tentacules en allant à contre sens de ceux-ci ! À chaque fois, c'était un air de pur extase qui apparaissait sur son visage, l'expression même de la chienne qu'elle était en train de devenir, une pauvre chose sans maîtrise qui ne jurait plus que par ce que lui offrait ses tortionnaires informes, et son corps, tout tremblant qu'il pouvait se trouvait être, exprimait autant par la sueurs, que par les vifs sursauts incontrôlés de ses membres qu'elle atteignait un degré de satisfaction sexuel inimaginable. Coment avait-elle put les haïr, elle qui les aimait désormais plus que tout ? Son corps était déformés par leurs passages, ses seins rebondissaient devant les yeux d'Akua avec une obscènité indescriptible. Elle bavait sans se maîtriser, les gouttes de sa salive tombant mollement de son menton en direction du bassin de la jeune demoiselle aux longs cheveux bleux... Tout dans son être finalement la présentait comme une subordonnées de ces horreus tentaculaires, et si Akua ne l'avait pas rencontrée juste avant, il y avait de grandes chances qu'elle aurait tout aussi bien put le penser, au vu de cette passion impie que la chanteuse avait à se déhancher le long de ces choses qui les ramonaient toute deux dans une bestialité sans limites. Mais si finalement ce n'était que ça, si finalement ne se trouvait là que le maximum que ces choses pouvaient faire... Ce n'était pourtant guère le cas, car le pire arrivait.

De toutes parts, ces choses les entouraient désormais, et lentement, juste en dessous d'elles, d'autre tentacules encore sortaient de terre sans en endommager la surface... Rapidement, elle se trouvaient non seulement cernées par leurs tortionnaires, mais surtout, se trouvait installées dessus, livrées aux perpétuelles caresses gluantes et extasiante de ces choses impies :

« Akua... montre-moi... aaaaaAAAh..AAAah... montre moi à quel point... Mmmmh... tu peux être folle de plaisir... Aaaah. »

C'était bien les derniers mots qu'elle pouvait exprimer. L'instant d'après, elles se trouvaient toutes deux enrobées dans une bulle sombre de tentacules et de jouissance, ces choses les harcelants de toutes part. Par instant, un fin trait de lumière parvenait au travers des mouvements incessants de leurs terribles source de plaisir, mais ce n'était jamais pour découvrir une scène dénué d'une part terrible de luxure : le corps de leur camarade, enveloppé de nombreux tentacules, tâché de toute part du liquide de jouissance de ces choses, qui coulait lentement sur leurs formes envoûtantes, maltraitant tout autant leurs poitrines, leurs bouches, leurs intimités et leurs petit trou. Finalement, elles se trouvaient presque coupée du monde, et tout ce qu'elles pouvaient encore comprendre était les gémissements de leur partenaire d'infortune, les bruits de gargouillis étranges des liquides qu'elles recevaient en plein visage parfois, ou sur leur corps sali de cette semence aphrodisiaque, nons sans parler du toucher étrange de leur tortionnaires et de leurs chairs. Privées en grande partie de la vue, le tout de leur relation se résumait désormais à quelques sensations incompréhensibles dans une mer de jouissance continue, interminable, qui les amenaient finalement lentement, mais sûrement vers la plus simple des folie sexuelle... Impossible de savoir depuis combien de temps elles se trouvaient dans cette bulle d'orgasme, ni de savoir si dans le fond elles étaient encore consciente... Le tout de leur vie se résumait actuellement à un cycle de jouissance sans fin.

Akua était perdu, son esprit n’arrivait plus à penser clairement, le plaisir la dominait autant que la douleur, mais cette douleur arrivait à lui faire du bien, en voulait plus, toujours plus. C’était comme un tourbillon, plus elle plonger vers le font et plus elle s’entait son corps se noyer, mais plus elle en voulait d’avantage. Ce que disait Celes n’arrivait même plus à l’atteindre, elle la voyait bouger les lèvres, elle en entendait les mots, mais n’en comprenait pas le sens. A quoi bon comprendre ? Ce n’était pas ses mot qui allait l’aidé à ressentir d’avantage de plaisir. C’était comme ça langue dans sa bouche, comparé à ses tentacule sa semblait si insignifiant. C’était d’avantage de tentacule qu’elle voulait, pour plus de plaisir, oui toujours plus de plaisir. Ce qui poussait autour d’elle, les entourant, les enfermant dans un cocon tentaculaire, voilà c’était intéressant, plus de chose pour lui en donnais encore plus, son corps souffrait, elle avait l’impression de se déchiré sous ses pénétration, ses étreintes, ses liquides, mais ce n’était encore pas suffisant.  Le noir les engloutie, le cocon se refermait sur elle, à quoi bon la vue ? Ça ne l’aidait pas à recevoir plus de plaisir, non c’était plus tous ses tentacule sous elle qui était important, tous ses tentacules en elle. Le temps lui-même n’avait plus d’importance, la jouissance voilà ce qu’elle voulait, le temps entre chacun de orgasme, était encore trop long, elle voulait que cette état ne s’arrête pas, être au maximum du plaisir tout le temps. Son corps était à bout de force, mais ce n’était pas important, il lui fallait encore plus d’orgasme, sont cerveau allait forcément lâcher, mais tempi, il lui en fallait plus, encore plus, toujours plus, plus…plus…PLUS !!!!

Ce fut un cri fort intense, qui transperça la nuit, alors qu’Akua crus que son corps c’était déchiré sous l’effet de l’orgasme, comme si ce dernier c’était éclaté avec cette dernière vague de plaisir. Qu’es qui se passait ? Elle se sentait si légère, il n’y avait plus un bruit, plus de mouvement autour d’elle. Akua ouvrit les yeux et ut la surprise de se voir coucher sur le sol, aux milieux des bouteilles vide, Céles aussi était là coucher sur le sol endormit. Premier détail important toute les deux étaient couvertes de sueur, puis les jambe semblait couvert d’un liquide plus intime. Second détail important, comment elle pouvait se voir elle-même couché sur le sol ? Elle flottait au-dessus de ses deux corps endormit et qui semblait être à la fois torturé par le plaisir et un cauchemar sans fin. Leur visage lui donna un frisson. Puis elle ut la bonne idée de penché la tête vers elle-même car oui, son corps était au sol, mais elle-même était au-dessus. Elle était dans une étrange tenue noire, une sorte de robe, elle voyait des mèches de cheveux blancs. C’était étrange. Puis lui viens idée inspiré de la culture manga, si elle tentait de rentré dans son corps ? SI elle était devenue une sorte d’esprit ? C’est ce qu’elle fit et alors elle se réveillait cette fois pour de bon.

Tout devenais clair maintenant, tout ça n’avait était un cauchemar, un cauchemar si intense qu’elle avant avoir réellement jouie, c’était évidant vue l’état de Céles, qui avait un visage maintenant apaisé. L’origine de tout ça était se qu’elle était il y a encore une seconde, une nouvelle transformation qu’elle venait d’obtenir, Darkrai, le Pokémon cauchemar. A cause de cette transformation, elle venais de vivre une expérience unique et vue l’état de Céles à côté d’elle, cette dernière y était plonger aussi. Maintenant redevenue elle-même, Akua toujours trempé par un mélange de sueur et de cyprine, se penchant sur son amie et commença à la secoué pour la réveiller.

Elle n'aurait jamais put imaginer ce qui l'avait menée à connaître pareille situation, pareil événement. Qu'est-ce que cela avait été d'ailleurs ? Qu'est-ce qu'elle venait de connaître qui la laissait dans un tel état de déperdition et d'incompréhension, qu'est-ce qui avait put à ce point la rendre confuse, et la laisser là, sans grande réponse ? Telles furent les quelques étranges questions qui lui parvinrent quand, dans un mouvement qui se fut aussi délicat que plaisant, une petite main aux doigts fins vinrent lui secouer légèrement l'épaule, la tirant d'une torpeur surprenante, quelque chose qu'elle n'avait pas connue depuis longtemps, un véritable sommeil de plomb qui l'avaiet affectée sans même qu'elle ne s'en rende compte, et laissée inconsciente pendant de longues heures apparemment. Elle ouvrit lentement les yeux, et eut un peu de mal à se reconnecter avec la réalité, avec les faits, et elle ne sut même vraiment ce qu'elle faisait là pendant un court moment, avant de percevoir, parmi les ombres et les ténèbres de la toile de tente, la forme familière d'une jeune femme qui ne manqua pas de lui rappeler ce pourquoi elle se trouvait ici, accompagnée, à une telle heure de la soirée. La jolie et tendre bassiste semblait l'avoir réveillée, pour des raisons qu'elle ne connaissait guère, et produisant quelques mouvements bien simples pour pouvoir se redresser, elle ne manqua pas de buter contre les multiples et surprenants cadavres de bière étendus un peu partout dans les lieux. Etait-ce l'alcool qui lui créait une telle confusion ? Elle ne sut le dire, mais sa surprise s'exprima dans ses paroles plus que dans la lucidité de ses propos :

« Akua ? Qu'est-ce que... Mince je ne me rappelle pas m'être endormie... que s'est-il passé ? »

Parler au passé n'était pas foncièrement le plus judicieux, et la question réelle était plutôt "qu'est-ce qu'il se passe ?" étant donné que la femme voulait plutôt savoir les raisons de la jolies bassistes à la longue chevelure pour l'avoir ramenée à la conscience, plutôt que de comprendre une situation hypothétique dont elle n'avait plus de toutes manières que des souvenirs confus. Cela semblait si réelle, mais elle ne se souvenait seulement que de quelques éléments très étrange, le corps de la belle jeune femme dévoilé à sa vue, les longues formes inconnues qui avaient sut la mener à des extrémités de délices dont elle n'avait jamais eut ni la conscience, ni l'existence, mais surtout des propos troublants, déviants, dont elle avait la certitude d'en avoir été l'auteur. Elle vint à rougir, et sans même faire attention à l'éventuelle réponse que pouvait lui donner la belle demoiselle à ses cotés, elle vint placer sa main entre ses cuisse, y découvrant quelque chose qu'elle n'aurait jamais cru capable de considérer, à savoir qu'elle était si trempée, si mouillée, que son jean était plus informe et poisseux que sous une tempête automnale. Ce en fut plus le rouge qui lui monta aux joues, mais une honte et une gêne terrible, se demandant quelle genre de détraquée elle était pour s'être retrouvée dans un tel état, mais surtout, ce que devait en penser sa belle camarade aux yeux en spirales si elle venait de la réveiller à cause de ses gémissements et autres terribles aveux de jouissance au beau milieu de son sommeil. Se tournant vers elle, ce fut avec un grand trouble qu'elle reprit la parole, sans avoir remarquée que sa camarade était dans un état tout ausi déplorable que le sien.

« Je... Toutes... Toutes mes excuses Akua si j'ai agis bizarrement dans mon sommeil. Je ne voulais pas... enfin... Pitié dis moi que je n'ai rien fais de bizarre !? Je te jure, j'ai fais un rêve étrange, ça ne m'était jamais arrivée et... Enfin... »

Elle ne pouvait décemment lui en faire la description, qu'imaginerait-elle si elle lui avouait que le tout de son domaine onirique s'était tourné vers un viol infâme et terrible où la belle demoiselle aux cheveux verts, et sa propre personne, s'étaient retrouvées sujettes à des touchers qui défient toute logique, et qu'elle avaient tant et tant perdues la tête au creux de son imagination qu'elles avaient finit par s'abandonner dans cette jouissance impie sans résister plus que cela ? Non elle se trouvait bien trop mal à l'aise, et surtout, le sommeil en l'aidait en rien à se calmer. Regardant autour d'elle, et remarquant que le pack, comme les bières vides occupaient un espace bien trop conséquent pour leur offrir le moindre confort, elle eut la brillante idée de trouver là-dedans un moyen de couper court à une conversation qui, de toutes manières, la rendait bien trop mal à l'aise pour pouvoir lui permettre de s'exprimer correctement. Elle se déplaça alors vivement, signe de toute sa gêne, et vint à prendre les restes clairement décevants de leur début de soirée pour commencer à les virer, sans autre mots, et c'est avec une grande maladresse dans les gestes qu'elle put offrir à la jeune femme l'exemple même de ces dames parfois tellement troublées qu'elle n'ont même plus les forces pour dissimuler leur gêne, préférant l'avouer par des actions insignifiantes ou futilement grotesque plutôt que d'assumer de vive voix. Finalement, les bouteilles volaient par l'entrée de la tente avec une certaine vivacité quand elle parla à nouveau nerveusement, ses gestes mécaniques trahissant à quel point elle était encore sensible physiquement étant donné que son bassin restait fixe, immobile, et elle tenta comme elle put de se traduire en quelques excuses vaines envers son invitée de la soirée :

« Ne... Ne t'en fait pas je ne vais plus t'empêcher de dormir... Tu sais je... Je vais prendre un des duvets des gars et m'installer dehors, à la belle étoile... Tu pourras prendre le mien, il est chaud et tu pourra dormir aussi bien que tu le souhaite dedans... Encore pardon je ne sais pas ce qui m'est arrivée, je suis ridicule... Je... Je ne voulais vraiment pas te mettre dans une telle situation. »

C'est à peine si elle écoutait pour le coup ce qu'avait à dire la belle bassiste à ses cotés, la honte et la gêne ayant fait de tels offices, et son excitation encore palpable l'obnubilant bien trop, et elle continua son rapide rangement jusqu'à ce que la place soit pleinement libérée pour premettre à Akua d'avoir un espace de repos, ce qui quand même présentait à quel point Célès, malgré ses actions dans le rêve, tenait au bon état de sa camarade de nuit. Le souci survint réellement quand elle eut fini, car malgré tout son bon-vouloir, elle n'eut pas les forces de faire bouger ses hanches, elle ne put ni se mettre debout, ni même se dresser sur ses genoux pour aller trouver le dehors et le rafraîchissant air nocturne pour s'aider à se détendre, et pour cause : Elle venait d'essayer, et elle dut se mordre les lèvres pour ne pas gémir, son intimité ruisselante ayant frottée de manière tout à fait ignoble contre le jean de sa tenue, et lui ayant offert une terrible décharge de plaisir. Difficile à apercevoir dans la nuit, mais elle tremblait mollement, assise sur ses talons, et son corps se refusait à lui obéir, rajoutant encore un peu plus à sa détresse première. Elle ne pouvait rien dire à son amie, mais bien sur, difficile de garder le silence alors qu'elle se tenait là, dos à elle, à moitié paniquée à l'idée qu'elle remarque son état, mais surtout incapable de produire le moindre mouvement supplémentaire au risque de produire un nouveau frottis qui, lui, se révélera fatale pour son secret. Pour une dernière fois, elle allait avoir besoin de l'aide de sa camarade excentrique, d'un peu de douceur, d'une caresse salutaire, pour se sauver de tout cela, et, enfin, quitter définitivement les restes du cauchemar pour pouvoir se détendre, et retrouver une paix toute relative en compagnie d'Akua.

Akua était penché sur son amie, espérant la sortir de se cauchemar si jamais il persistait en elle, malgré la fin de sa transformation. Elle n’avait aucune idée de l’heur qu’il était, mais la sortir ainsi de son sommeil, surpris logiquement Celes. Cette dernière était un peu perdu et regardait autour d’elle se demandant ce qui c’était passé.

-Je crois qu’on trop bu, je n’ai pas souvenir de mettre endormi. Tu…

Céles ne l’était plus, elle venait de remarqué son état et pris par la gêne s’emballât se lançant dans un nettoyage maladroits de la tante. Akua la comprenait bien, elle aussi était complétement trempé et était encore sous l’effet de l’excitation. Elle décida plutôt de l’aidé à nettoyer pour lui laisser le temps de se calmé. Céles voulait aller dormir, persuadé qu’elle avait fait des bruit étrange qui l’avais réveillé, en fait elle en ce n’était pas rendu compte qu’Akua avait ses collant dans un état tout aussi gênant que son jean. Mais alors qu’Céles chercha à sortir, elle resta assise et tremblante légèrement. Céles était trop perturbé par tout ça, et Akua ne pouvait pas lui avoué que c’était elle qui c’était transformé inconsciemment qui les avait mise dans cette état.
Akua se trouvait dans son dos, elle se leva et viens fasse à elle et plongea son regarda dans le sien. Elle voyait toute sa gêne et sa détresse, elle lui fit un sourire et sans un mot la bascula pour la coucher sur son sac de couchage. La geekette se plaça au-dessus d’elle et lui attrapa une main pour venir lui faire poser sur ses collants pour lui faire remarquer qu’elle était dans le même état qu’elle. Elle se pencha alors pour venir tendrement l’embrassé et avec une main commença à lui défaire son jean pour ensuite lui retiré.

-Ne pense à rien, faisons nous plaisir, dormons ensemble, comme des amies qui aime se faire plaisir juste pour s’amusé. On a trop bu au point d’en finir dans cette état, autant en profité pour se lâché une fois et demain matin on en rigolera. C’est mieux que d’être gêné non ?