Ce n'est pas que la centaure ne savait pas viser, loin de là. Avant sa capture, la créature s'était déjà accouplée à d'autre membres de son espèce, au fessier aussi large que le siens ou que celui de la biche. Seulement, elle était en chaleur depuis si longtemps maintenant sans de quoi véritablement la contenter, qu'elle avait fait preuve d'une hâte sans pareil. Inutile donc de lui donner des conseils, sa fierté de centaure en fut touché, peut-être même un peu plus que prévu à cause de ses hormones déréglées par ses chaleurs. Comme pour le faire comprendre, ses sabots avants s'appuyaient sur le dos de la centauresse biche plus férocement, jusqu'à lui forcer une position de soumise absolue, les deux pattes avants cambrées vers le sol comme une révérence.
Ne dit pas à Phylëa comment elle doit s'y prendre, petite bichette. Tu es juste là pour que Phylëa remplisse ton gros cul.
C'était pas forcément méchant, mais cette pulsion dominante était la preuve de sa frustration tant retenue. Une frustration qu'elle devait déverser dans ce derrière galbé de centauresse. D'un puissant élan et bavant à moitié sous l'extase, le membre équin de Phylëa aussi gros et long qu'ont pouvait se l'imaginer, fonça cette fois-ci bien droit sur sa cible... ou plutôt, dans sa cible ! Le choc fut si brutal que son propre corps en trembla. C'était bon, si bon de sentir une paire de fesses ENFIN capable de contenir le monstre qu'elle possédait entre ses deux pattes arrières. Si bon qu'elle n'eut besoin que de trois longs coups de bassins avant de sentir sa verge palpiter et éjaculer.
La quantité était effroyable et témoignait du long supplice de Phylëa, de cette insoutenable attente. Impossible de dire combien de litre se déversa au fond de la petite biche, mais un humain normal aurait déjà eu une énorme bosse au niveau du bas ventre. Ca ne semblait pas s'arrêter de plus, sous les longs râles de bonheurs le fluide chaud et épais remplissait son amante par décharges. Peut-être une bonne dizaine de rasades plus tard, Phylëa retomba lourdement sur la petite bichette en prononçant difficilement quelques mots dans cette insoutenable chaleur.
Ah... AH... si bon... Phylëa va encore te remplir avec amour... Jusqu'à ce que ton gros cul déborde !
Une sueur bestiale et odorantes caractéristique de ses chaleurs, suintait sur tout son corps. Un détail qui ne mit surement pas faim aux festivités prévues. La centaure à peine remis de son orgasme, et expirant chaudement, reprends ses vas et viens avec la même brutalité. A la différence que la pénétration sera cette fois plus longue, puisque son surplus était déjà déversé. Pour autant ses bourses étaient encore chargées et aussi grosses que les petits seins d'une humaine, laissant imaginé que c'était loin d'être fini. Les deux testicules enflés commençaient d'ailleurs à cogner le derrière de son amante, qui allait bientôt ressembler à un vulgaire réservoir à semence, si on en croyait les plans de Phylëa.
Ah .... oui !!!! Si bon !!!! Phylëa va continuer tant que tu peux tenir debout !
Les pénétrations étaient si brutales que la verge s'enfonçait tout au fond, disparaissant entièrement dans ce large derrière. Elle prenait bien soin d'y mettre assez de force pour que le corps de la biche ne soit bousculé dans tous les sens, sans aucun ménagement. Et cela ne prendrait pas fin tant qu'elle ne s'écroulerait pas sous son propre poids, une fois remplie, peut importe ce que la créature généreusement offerte à elle puisse dire... La seconde rasade n'allait d'ailleurs pas tarder à ce rythme.