Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

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Stephen, l'errant

Humain(e)

Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

lundi 01 août 2016, 21:23:04

Stephen avait son pantalon de toile à la limite de la déchirure, et son excitation sexuelle est proche de l'explosion. Alors qu'il avait, au gré de ses pérégrinations, passé des semaines entières sans la moindre image érotique à se mettre dans l'imaginaire, voilà qu'il est à la limite de l'overdose !

Ce n'est pourtant pas la première fois qu'il pénètre, disons avec insistance voire sans autorisation, dans un établissement scolaire. Il sait d'expérience que ces lieux lui offriront la nourriture, fut-ce les restes de repas même pas distribués, mais aussi des installations sanitaires où il pourra se doucher et garder figure humaine.

Sauf que, au lycée Mishima, les seules douches sont celles des dortoirs, plus précisément des dortoirs des filles. Des dizaines, des centaines même, de jouvencelles tout juste majeures, et qui, entre elles, ne gardent plus la moindre pudeur. Des corps nus ou si peu vêtus à foison, des parfums aux senteurs plus capiteuses les unes que les autres, des rires vifs et des plaisanteries lestes.

Il pensait avoir le temps de se doucher, mais, en entendant cette nuée arriver, il a juste eu le temps de courir, même pas rhabillé, dans un cagibi au fond, dont la porte promptement refermée lui offre néanmoins la vision de ces corps nus courant en désordre. Des seins de toutes les formes mais cependant tous fermes, des sexes aux toisons pour tous les goûts voire totalement glabres, et même des mains baladeuses dont la précision ne laissait aucun doute quant à l'intimité de certaines des pensionnaires.

Nu comme un ver, il sent aussitôt son sexe se dresser, excité par cette vision paradisiaque, frustré par l'impossibilité de faire qui que ce soit, sinon se masturber. Et, sitôt les cabines de douches fermées, Stephen entend encore ces voix juvéniles, ces gloussements qui se répondent, ces plaisanteries qui fusent. Aucun doute, ces jouvencelles sont loin d'être innocentes, sous leur bel uniforme sage, et plus d'une a déjà dû voir le loup, avec un garçon ou avec ses colocataires !

Mais la joyeuse mélopée s'interrompt soudain, lorsque un « Silence ! » aussi fort que glaçant déchire l'ambiance, et fait aussi s'écrouler l'érection qui taraude Stephen. Comme tue l'amour, la garde-chiourme a de la compétence, et plus une voix ne vient troubler l'eau qui s'écoule sur ces corps pourtant désireux de folies.

Même ambiance sans rires, lorsque les douches s'arrêtent, et que Stephen voit, à travers la porte du cagibis, les lycéennes repartir en rang sans un mot. Heureusement que leurs petits culs ondulant en rythme lui offrent une ultime vision enchanteresse. D'ailleurs, voilà que son érection reprend de plus belle. Pas utile quand on n'a personne à se faire, pas pratique lorsqu'on dot se rhabiller pour aller dormir.

Eh bien tant pis ! A cette heure, les couloirs sont déserts. Stephen a déjà repéré, au dernier étage, de petites chambres, sans doute destinées aux professeurs remplaçants qui ne viennent que pour quelques semaines, et il n'est pas grave de s'y rendre discrètement, ses habits sur le bras.

Aucune probabilité, hélas, pour que quelque lycéenne échappée du carcan de l'autre garde-chiourme, ne vienne à le croiser, qui plus est à se dire qu'il serait dommage de passer à côté d'un homme nu sans s'y intéresser.

L'étage est désormais désert et silencieux, les lumières des blocs de sécurité lui dessinent un passage d'ombres, là où d'ordinaire piaillent des centaines de lycéennes si peu sages sous leurs sombres uniformes.

Ah, si seulement l'une d'elles pouvait soudain sortir d'une classe, et l'accompagner...

Shani Stevens

Dieu

Re : Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 1 vendredi 05 août 2016, 13:30:18

« Hnnnnn... !! »

Dans un long cri étouffé, Takeshi Nigimuro éjacula dans l’intimité ruisselante de Shani, qui soupira à son tour, assise sur l’homme, qui se tenait sur son fauteuil en cuir, dans son grand en bureau. Le membre du conseil d’administration, et qui faisait partie du personnel chargé de la gouvernance du lycée, soupira longuement. Sur son bureau, une photo le montrait, tout sourire, tenant sur ses épaules sa fille, son fils à sa gauche, et sa femme à sa droite, posant lors d’un voyage devant un lac du Shiretoko Kokuritsu Kōen, le parc national de Shiretoko, au nord du Japon. Avoir une femme n’empêchait nullement Takeshi de la tromper, comme il le prouvait en ce moment... Mais, en même temps, comment était-il possible, au lycée Mishima, quand on était chargé de l’évaluation de femmes comme la belle secrétaire française devant lui, de rester calme ?

Ce fut donc avec le plus grand des plaisirs qu’il jouit en elle, et sentit ensuite Shani s’écrouler contre son corps. Le quinquagénaire n’aurait jamais cru tromper sa femme à Seikusu. Il était à Tokyo, avant, et avait choisi de venir à Seikusu, où on lui avait proposé une rémunération plus importante, soit la possibilité de pouvoir enfin voyager. Fidèle pendant plus de vingt ans de mariage, au bout de quelques semaines à Mishima, il avait fini par craquer.

« Ah, Shani, vous... Vous êtes épuisante, vraiment !
 -  Hhmmm... Vous aussi, Nigimuro-san... »

Sa queue était toujours en elle. Elle avait perdu de sa splendeur, et elle l’embrassa dans le creux du cou. Elle pouvait sentir les mains de l’homme continuer à la caresser. Après plus de vingt ans de frustration au mariage, il était un véritable étalon, mais il ne pouvait guère espérer rester plus longtemps, sous peine d’attirer la méfiance de sa femme. Embrassant sa belle égérie, il se redressa donc, remettant en place son costume.

« Je... Je dirais que l’évaluation de vos compétences est excellente, Miss Stevens. Je vous ferais parvenir mon rapport dès qu’il sera tapé. »

Takeshi se retira donc, et Shani ne tarda pas à en faire de même. L’évaluation avait néanmoins duré un peu longtemps, et le lycée était maintenant vide. Il n’y avait plus grand-monde dedans, et elle s’aventura le long de couloirs déserts. Shani s’avançait le long des couloirs, ses talons résonnant dans le sol, et atteignit l’escalier, descendant vers le premier étage, ses écouteurs sur ses oreilles diffusant une musique des Arctic Monkeys, Do I Wanna Know ?

Tout en écoutant cette musique, la jeune femme avançait donc, sans se douter qu’elle n’était pas toute seule dans le lycée, et que la ronde du  vigile se situait à l’autre bout du bâtiment principal...
DC d’Alice Korvander.

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Stephen, l'errant

Humain(e)

Re : Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 2 dimanche 07 août 2016, 07:06:18

« Mal lavé ce lycée », avait songé Stephen, avant de remettre ses chaussettes bon gré mal gré, pestant contre ces longs couloirs au sol jonché de débris, parfois même de minuscules graviers qui lui avaient meurtri la plante des pieds. D'ailleurs, en avançant, il avait fini par plus ou moins se rhabiller ; pas facile de trimballer un sac et des fringues ! De toutes façons, si l'une de ces petites lycéennes s'aventure par là, son sexe est si à l'étroit sous son pantalon, qu'il n'aura aucun retard à exhiber une queue sitôt dressée et à lui fourrer dans la bouche.

Une fellation, ça l'obsède. Il y a si longtemps qu'il n'en a pas reçue. Mais une vraie ! Pas de celles faites à la va-vite par une pute de bar, dans un chiotte puant, et qui détourne le sexe vers le mur, quand elle devine que ça va envoyer. Non, il en veut une par une connaisseuse, celle qui utilise la langue, les lèvres, les doigts, celle qui continue à vous lécher quand vous éjaculez enfin, celle qui avale tout votre foutre en vous lançant un regard qui vous fait bander plus encore ! D'ailleurs, voilà que ça continue; il ne tiendra pas la nuit sans se soulager.

"Et puis non, tout bien réfléchi, pas cette fois..." Il se remémore ces jeunettes tout fraîchement arrivées à leurs dix-huit printemps. Il en bande comme un taureau, et son sexe est à l'étroit dans les tissus. Hum, ces lèvres arrondies qui glisseraient au long de sa queue dressée, une inexpérience qui rendrait ça encore plus excitant, quoiqu'il doive y en avoir des plus expérimentées, tiens comme la dénommée Aïkito qui se caressait sous sa douche, celle-là même qui avait un si joli petit cul que... Qu'il l'enfilerait bien, qu'il se plairait à écarter cet endroit encore trop serré et peut-être même inviolé, qu'il la défoncerait sans se soucier de ses cris, oui, c'est ça, que ses cris fassent comme un écho dans ces couloirs déserts.

En fait d'écho, c'est autre chose qui résonne ! Stephen s'arrête net, sous un écriteau de porte qui doit signifier lingerie. Non, pas les petites culottes de ces demoiselles, ni le porte-jarretelles qu'avait la dernière nana qu'il ait sautée, c'était il y a... Il y a trop longtemps !

Non, là, c'est un bruit de pas, enfin pas tout à fait. Il y a comme une démarche balourde et sautillante, genre gros mec pressé qui dévale quatre à quatre, vers le bas de l'escalier où il arrive. Ca ne doit pas être le vigile, il était devant son film de cul, en train de s'astiquer le chibre, tiens encore un qui a l'air de fantasmer sur les trucs où il dot s'imaginer, avec sa queue molle, attaché et fouetté, tout en suçant les pieds de quelque pseudo-dominatrice !

D'ailleurs, peu importe à qui sont les pas de ce gros lourdaud, puisqu'il se barre. Non, il y a autre chose, vers le haut de l'escalier, celui-là même qui mène au deuxième étage, là où il y a les chambres. Des pas plus légers, plus martelants aussi. Des talons, c'est sûr ! Pas une lycéenne, c'est sûr, puisqu'elles doivent toutes se balader en ballerines. Une femme, une vraie ? Sachant que les femmes de ménage ne travaillent pas en escarpins, et que ce rythme de pas est assez alerte, ça pourrait être intéressant...

Ca y est, rien que d'imaginer, Stephen bande encore. Pas à dire, qui que ce soit, il faut qu'il se soulage, et il a de quoi tenir toute la nuit, sans petites pilules bleues. Jeune ou vieille, bombe ou débris, celle-là, il va se la faire ! Il est au pied de l'escalier, sac au dos et sexe tout dur, invisible dans les frêles lumières des blocs de secours, observant l'escalier un peu plus éclairé. Les pas ont franchi la première volée, une jambe apparaît d'abord, longue et fine, au bout d'un escarpin ; rien que ça et son pantalon se tend encore. Deuxième jambe, une jupe pas très longue mettant en valeur ces jambes d'un galbe incroyable. Et le reste est à l'avenant ; dans la blancheur du bloc de secours à mi-escalier se dessine, à son tour, une poitrine arrogante, des rondeurs invraisemblables. Et tout cela ondulant juste ce qu'il faut. Ca y est, Stephen est en train de tomber amoureux !

"Eh non, ressaisis-toi ! Rappelle-toi, tu cherches un coup à tirer, une gonzesse à sauter dans une piaule du deuxième." La (mauvaise) conscience de Stephen le ramène sur terre. D'ailleurs, la silhouette s'est arrêtée à mi-palier, et, vu l'arrondi du cul qu'elle dessine, ça n'invite pas davantage à la chasteté. Mais il y a un truc qui cloche. Pourquoi s'est-elle arrêtée? L'a-t-elle entendu? Impossible! Elle semble comme se rajuster, comme tendre sa jupe, comme vérifier son chemisier. Eh ben c'est ça ; une secrétaire qui vient de se faire sauter par le gros lourdaud qui s'est enfui juste avant, pour vite retrouver bobonne et lui raconter un bobard. Il a dû la sauter vite fait mal fait sur un coin de bureau, il a dû larguer trois gouttes dans une capote qu'il a aussitôt glissée dans sa poche, et il a laissé sa secrétaire frustrée. Bon, si une secrétaire se fait sauter sans jouir par son patron, c'est qu'elle est prête à écarter les cuisses même pour une notation ou une promotion, alors elle ne rechignera pas à ce qu'un autre lui passe dessus à la suite, mais pas qu'une fois... Alors, pas de remords !
« Modifié: mardi 16 août 2016, 14:40:51 par Stephen, le vagabond »

Shani Stevens

Dieu

Re : Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 3 dimanche 07 août 2016, 12:39:11

Crawling back to you

Ever thought of calling when you've had a few?
'Cause I always do
Maybe I'm too busy being yours to fall for somebody new
Now I've thought it through

Crawling back to you

La musique défilait dans ses oreilles, lui permettant de sortir de sa léthargie. La journée avait été longue, et l’entretien d’évaluation avait été le point d’orgue final. Shani avait l’impression de ne pas être chez elle depuis des jours, et elle se félicitait en se disant que, à cette heure, ses voisins ne pourraient pas à nouveau profiter d’elle, comme ils avaient l’habitude de le faire, depuis cette fois où Shani avait été agressée chez elle par un gang de Futanaris à forte poitrine en combinaisons moulantes en latex*. Se faire prendre par toutes ces femmes avait laissé des traces, et, outre les tatouages sur ses fesses, elle en portait aussi quand elle retournait chez elle, ou même le matin. La rumeur s’était répandue dans l’immeuble, et, très fréquemment, elle avait un voisin l’attendant sur le palier de sa porte, ou déposant une invitation à coucher dans sa boîte aux lettres.

Shani descendait les escaliers, ses talons claquant sur les marches. Il suffisait juste de rejoindre le rez-de-chaussée pour sortir, même si Shani prenait la sortie réservée  au personnel, car elle conduisait directement au parking, où il ne devait plus y avoir beaucoup de voitures, à part la sienne, et celle des vigiles. Conformément à la pratique dans les établissements japonais, il n’y avait pas de femmes de ménage. Le Japon avait une pratique, le sōji, qui était très particulière. Dans ce pays, les cours se finissaient généralement vers 15h ou 16h, mais, après les cours, la journée du lycéen nippon ne se terminait pas, car il y avait énormément d’activités extrascolaires à faire... Dont le ménage. Chaque classe effectuait le ménage des locaux du lycée, par petit groupe, que ce soit les salles de cours, les couloirs, les piscines, les gymnases, et même l’extérieur. Dans Mishima, un grand établissement, le nettoyage avait aussi lieu le matin, s’il n’avait pas été fait la veille, et les personnes désignées pour faire le ménage étaient grondées pour ne pas avoir fait leur travail. Par conséquent, il n’y avait pas de femmes de ménage la nuit, renforçant l’impression de solitude qui régnait ici.

I'm sorry to interrupt. It's just I'm constantly on the cusp of trying to kiss you
I don't know if you feel the same as I do
But we could be together if you wanted to

La secrétaire continuait à descendre, atteignant le rez-de-chaussée, sans réaliser qu’elle n’était pas seule. Plongée dans sa musique, elle s’absorbait dedans, oubliant les éléments extérieurs. Après tout, elle connaissait bien ce lycée, et, ce chemin, elle l’empruntait tous les jours. Et puis, à Mishima, il valait mieux ne pas s’attarder sur ce qui se passait le soir, sous peine de passer toute la nuit ici. Shani s’arrêta soudain en entendant la poche de sa minijupe vibrer, et attrapa son téléphone portable. Un sourire traversa ses lèvres en voyant le MMS envoyé par Nigimuro-san.

*Toujours aussi attentionné...*

Elle se mordilla les lèvres, en sachant que Nigimuro-san allait rapidement effacer le message sur son téléphone. Elle choisit néanmoins de conserver le message, une photographie d’elle en train de se faire prendre en levrette, avec une légende très significative. « J’aime toujours autant ton cul ! ». Shani secoua la tête, et reprit ensuite sa marche, filant vers la sortie du lycée...



* : Cf. RP « Gang bang sauvage ».
DC d’Alice Korvander.

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Stephen, l'errant

Humain(e)

Re : Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 4 lundi 08 août 2016, 10:56:46

Un chat, aussi souple et discret qu'un chat. Stephen s'était tapi juste à temps, pour voir passer cette silhouette de rêve dans l'escalier, cette jolie crinière. Cette femme qui descendait à la fois aérienne, mais aussi martelant de ses talons. Ah, le rêve ! A ne pas laisser fuir...

Et là, il est juste derrière elle. Il l'a suivie dans l'escalier, elle n'a pu le capter, puisque la musique de ses écouteurs résonne elle aussi dans les couloirs déserts. Il est juste derrière elle. Elle ne peut même pas voir son ombre, ni deviner sa silhouette, les lumières sont trop faibles. Il est juste derrière elle. Il voit, malgré tout, ses fesses onduler, et il se dit qu'elle doit encore être chaude d'avant. Il est juste derrière elle. Il lui suffit de tendre les bras, un pour l'empêcher de crier, un à passer direct sous sa minijupe. Il est juste derrière elle. Et m... son put... de portable qui s'allume ! Juste le temps de s'écarter, avant que d'être en pleine lumière.

Il est temps de ne plus jouer au chat et à la souris. Bâtiment délaissé, avec le vigile qui doit toujours se tripoter devant son film de cul. Pas de caméra sur le parking, Stephen l'avait déjà remarqué. Un bref clic déverrouille la voiture, envoyant quelques lumières oranges dans la nuit. D'un bond, bref, il saute sur l'inconnue, la plaquant contre sa voiture. Technique rodée, une main sur la bouche tout en redressant la tête vers l'arrière pour taire tout cri et toute résistance, l'autre main sous la jupe pour la déstabiliser et lui faire perdre pied.

« Un mot, un seul, t'es morte ! ». Court et bref, mais audible car, dans l'attaque, les écouteurs ont glissé. Il a comme soulevé la femme de terre, et ses jambes semblent battre dans le vide, tandis que ses bras essaient en vain de donner quelque coup ou d'agripper quelque chose. « Calme-toi, et tout se passera bien ! » ajoute Stephen, avant de renforcer la pression sur le visage, d'un « Et, si tu bouges encore, je te brise la nuque ! ».

Mais la main, sous la minijupe, renvoie des questions tout autres...
« Modifié: jeudi 11 août 2016, 07:22:25 par Stephen, le vagabond »

Shani Stevens

Dieu

Re : Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 5 samedi 13 août 2016, 16:00:32

Tandis que Shani avançait vers le parking réservé au personnel, Arctic Monkeys laissa place à un groupe plus français dans sa playlist personnelle. Indochine déferla ainsi dans le creux de ses oreilles, car il fallait bien qu’une Française ait un peu d’Indochine avec elle. Un accord de guitare électrique sonna le début de la musique, rappelant à Shani son enfance. Carolyn, sa mère, était une Américaine, qui avait toujours aimé le rock. Entre Bruce Springsteen, Queen, et Eric Clapton, il y avait, par souci d’insertion sociale, une petite part réservée à certains groupes de rock français, comme Téléphone, ou encore Indochine. Ce qui est sûr, c’est que sa mère n’aurait pas aimé le Japon pour ça : trop de J-Pop.

La ville endormie les laisse seuls
Et sous la chaleur et sans un bruit
Ils rattraperont toute la nuit (la nuit)

Ses pas la dirigèrent finalement vers le parking, et elle ouvrit la porte permettant de sortir, verrouillée depuis l’extérieur au bout d’une certaine heure, mais qu’on pouvait ouvrir depuis l’intérieur à l’aide d’un badge. Dehors, l’air frais accueillit la jeune femme, frottant sur son visage. Il n’y avait plus que deux ou trois voitures, et il faisait déjà nuit, ce qui amena un léger soupir sur les lèvres de la secrétaire.

*Il va falloir que je demande une augmentation, si on continue à me faire travailler aussi tard...*

La jeune secrétaire descendit les quelques marches du perron, et s’avança vers sa voiture. Sa main se glissa dans sa poche, en sortant la clef, et appuya sur le bouton de déverrouillage, tout en rangeant ses écouteurs. Elle posa sa main sur la poignée de la portière, et fronça alors les sourcils en entendant un mouvement dans son dos.

*Que... ?*

Le choc fut aussi soudain que brusque. La clef tomba sur le sol, son corps s’écrasa contre la portière. Ses yeux s’écarquillèrent, et un cri mourut dans sa poitrine, tandis qu’elle sentait un homme dans son dos, lui hurlant dessus. Shani paniqua, bien sûr, mais avait aussi de l’expérience. Quand on était passée entre les mains d’un gang de Futas en combinaison noire... Sa réaction fut donc rapide, et elle ouvrit la bouche, puis mordit dans le creux de la main de l’homme, mordant aussi fort que possible. Déstabilisé, la prise de l’homme perdit de sa superbe, et Shani se retourna, puis le poussa, l’écartant d’elle.

« Espèce de barjo’ ! » grogna-t-elle.

Sa main fila rapidement dans son sac à main, à la recherche de sa bombe au poivre, un petit appareil bien utile contre les agresseurs qui vous sautaient dessus à l’improviste.

*Merde, mais où je l’ai mis ?!*
DC d’Alice Korvander.

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Stephen, l'errant

Humain(e)

Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 6 mardi 16 août 2016, 14:42:55

« Argh salope ! », Stephen rate son coup, ne serrant pas assez la bouche pour l'empêcher de crier, et cette petite garce tranche au vif dans les chairs de sa main. Ce ne sont pas des dents, ce sont des crocs, ou quoi ? Il en lâche de son autre main, et la garce en profite pour le dégager d'un coup de reins. Aussi rapide que fut son attaque, aussi rapide est la parade. « La garce, elle m'a fait pisser le sang ». La tranche entre le pouce et l'index semble comme entaillée d'un couteau, et lui fait atrocement mal.

Mais il n'a pas le temps de s'apitoyer sur son propre sort. « Espèce de barjo ! », lui hurle-t-elle en pleine figure, lui montrant son visage pour la première fois. Même si les réverbères dispensent une faible lumière, elle a de jolis traits, enfin qui doivent sans doute être plus jolis en d'autres circonstances. Mais là, il n'est pas question de réfléchir à ça, il faut vite la mater avant qu'elle déclenche une émeute à crier comme ça. « Faut que je le fasse taire, et vite ! »

Vu qu'elle farfouille dans son sac à main, elle a, si ça se trouve, un de ces petits pistolets, et, là, ça devient bien moins bon comme situation. Comme autonome, guidée par son propre élan, la main droite de Stephen décolle, et vient s'abattre sur la joue, « Tiens, salope, je vais t'apprendre, moi ! », dans un claquement que renvoie en écho le parking désert. « Putain, ça fait mal ! », peste-t-il car, sans même réfléchir, c'est de sa main meurtrie qu'il a balancé cette claque, et le sang en a encore davantage jailli.

Lui qui hait tout homme frappant une femme, il y a pourtant mis toute son énergie, et la jeune femme en a quelque peu perdu l'équilibre, seulement retenue par le capot de sa voiture, pour ne pas tomber la tête la première sur le bitume. Elle doit être un peu sonnée, vu la violence du coup, et ça laisse juste quelques secondes pour agir. « Les clefs ! Elles sont tombées, il me les faut », le court moment de répit devient, pour Stephen, l'obsession d'empêcher cette garce de prendre sa voiture pour s'enfuir. Il aperçoit, heureusement vite, le bout de métal brillant à terre, et se penche pour aussitôt s'en emparer.

Il la tient, elle ne peut plus partir ! Il se redresse, triomphant.

Shani Stevens

Dieu

Re : Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 7 vendredi 19 août 2016, 08:29:24

Shani ignorait qui était ce mec, et réagit plutôt rapidement. Le fait est que ce n’était pas la première fois qu’on tentait de la violer, et, quand on avait enfin fini dans une ferme à esclaves, entre les mains de femmes hermaphrodites dotées de combinaisons noires en latex, on était plus prudente par la suite. Ses doigts écartèrent quelques paquets de mouchoirs, la batterie de son téléphone portable, du rouge à lèvres, tout le bric-à-brac usuel qu’on trouvait dans un sac à main. Elle trouva finalement sa bombe, mais eut à peine le temps d’en approcher sa main que l’homme réagit violemment... En la giflant.

« Haaa !! »

La secrétaire en lâcha son sac à main, qui tomba sur le sol, délivrant son contenu, et son corps s’affala contre le capot. Même son vibromasseur sortit du sac, filant se nicher près du pneu avant gauche, et elle secoua la tête, sonnée. Elle avait aussi lâché ses clefs, et ses lunettes avaient rebondi sur le capot, glissant dessus. De la main, elle attrapa l’une des branches, sentant l’homme tourner autour d’elle.

*Vite, vite, la bombe !*

Shani soupira à nouveau, et attrapa la bombe en se penchant vers le sol, et se releva.

« Fichez-moi la paix ! »

Elle avait beau agir vite, elle était lente, et le vagabond avait tout à fait le temps de bondir vers elle, et de faire tomber sa bombe, pour ensuite s’occuper d’elle...
DC d’Alice Korvander.

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Stephen, l'errant

Humain(e)

Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 8 dimanche 21 août 2016, 10:35:41

Par bonheur, il a pu se relever avant qu'elle n'ait tenté quoi que ce soit, et tout son bric à brac s'est même étalé à terre. « Le bruit, putain, le bruit ! Elle va ameuter le quartier ! ». Lui revient l'image de cette vénézuélienne qu'il avait failli tuer du coup de poing qu'il lui avait asséné, afin de la faire taire ; fort heureusement, elle n'avait été qu'étourdie, et il l'avait même réveillée en la baisant. Mais bon, celle-ci semble autrement plus coriace.

La gifle, outre le répit qu'elle a permis, l'a fait aussi se claquer contre le capot, tête la première. Elle a l'air un peu sonnée, et il faut en profiter, surtout que ce joli petit cul, dans une telle posture, ne demande qu'à se découvrir. Mais pas le temps de rêver, la coriace a encore de la réserve. Stephen rate sa prise et, telle une couleuvre, elle glisse au long du capot, s'emparant d'un...

« Merde ! » lâche-t-il aussitôt. Le machin au poivre, il s'en rappelle ; ça lui a valu les yeux brûlés à deux reprises, et heureusement que celles qui s'en étaient servi n'avaient que l'envie de s'enfuir et non de le faire arrêter.

« Fichez-moi la paix ! »


C'est comme si elle avait un temps de retard ; mais, là, elle lui fait face, occupée à essayer de décapuchonner cette maudite bombe, empêtrée avec les lunettes qu'elle tient comme elle le peut. Alors, sans plus réfléchir, Stephen se jette en avant, saisissant le poignet pour faire tomber l'ustensile, la renversant sur la capot de la voiture.

« Lâche ça, salope, ou je te jure que je te fais la peau ! »


Leurs deux corps ont heurté le capot, et il fait pression sur elle ; elle résiste, elle pourrait le mordre encore. En plus, sa main droite lui fait toujours mal, et continue de saigner. Bloquant le corps de cette furieuse du poids du sien, il essaie d'arracher la bombe heureusement toujours munie de son capuchon, tordant le poignet sans aucune délicatesse, tandis que, de son autre main, il essaie tant bien que mal de retenir cette furie prête à tout. « C'est excitant une proie qui résiste, ça renforce le plaisir de chasser. Mais il faut, à un moment, en finir ». Et l'autre se débat toujours.

Il n'y a plus qu'une solution !

Gardant enserré le poignet où subsiste la bombe menaçante, il porte son autre main à la poche. Le claquement est instantané, et la lumière des réverbères se reflète alors sur la lame. Pas pour longtemps, car elle descend aussitôt au ras du cou de cette folle furieuse.

« J'ai dit stop ! C'est clair ? »

Shani Stevens

Dieu

Re : Le lycée vit aussi la nuit (PV Shani Stevens)

Réponse 9 samedi 27 août 2016, 23:52:47

À force de faire du sport de chambre, de se faire sodomiser en levrette, et se faire prendre dans tous les sens, Shani avait développé une sorte de résistance physique redoutable pour un si petit gabarit. Cette espèce de vaurien qui avait débarqué comme un Diable hors de sa boîte en faisait justement les frais. Shani s’avérait ainsi plus résistante que de simples midinettes qui hurleraient en pleurant et en le suppliant. Elle, elle savait que les violeurs ne voulaient pas s’arrêter, et que les supplier ne faisait que les rendre plus agressif. Se tenant devant elle, elle put voir le corps massif de l’homme, une barbe épaisse sur le visage, et des yeux luisant de malice… Puis il se rua sur elle, et elle se retrouva plaquée contre le capot.

*Hnnn… ‘Te laisse pas faire, Shani !!*

La dernière fois qu’elle avait été violée, elle s’était retrouvée esclave dans une ferme avec des monstres et un gros chien qui l’avait engrossé, la faisant accoucher d’une de ces créatures… On pouvait donc comprendre son envie de se débattre, mais l’homme était tout simplement plus costaud qu’elle, la maîtrisant, tout en dégageant une odeur assez repoussante, celle d’hommes qui ne se douchaient pas tous les jours.

S’aplatissant contre elle, il tentait en vain de la calmer, et Shani se débattait aussi avec ses jambes, espérant que quelqu’un viendrait, comme l’un des vigiles qui feraient le tour… Elle gémit soudain en sentant quelque chose de froid et de dur contre son cou, et se mit à couiner en sentant le mordant d’une lame. Ses yeux s’écarquillèrent sous l’effet de la stupeur, et elle secoua lentement la tête.

« N-Non, glapit-elle, ne faites pas ça… Ne faites pas ça, non, pitié, pitié… »

Sa respiration venait de se ralentir tandis qu’elle sentait le contact froid de l’arme fatale, et soupira à nouveau, en se mordillant les lèvres.

« Je… Je me rends… !! »

Comme pour le prouver, Shani écarta les doigts, et la bombe roula de ses doigts, glissant le long du capot pour tomber sur le sol, roulant par terre.

Un viol par un clodo’ probablement ivre ne méritait pas qu’elle se fasse tuer.
DC d’Alice Korvander.

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