Prénom : Akane
Nom : Nakamura
Date de naissance : 17 Octobre 1999
Sexe : Régulièrement
Situation : Libre, toujours!
Métier/Études: Première année de
shūshi d'économie
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Hobbies : L'
iaidō, l'
aikidō, la danse, le
shamisen et ... le
shibari
- Shibari, Akane!Machiko est mi-offusquée mi-amusée. La jeune femme lance un regard réprobateur à son amie puis reprend son air docte et achève la lecture du profil.
Taille : 175
Poids : 58 kg
Cheveux : Longs et noirs
Signe distinctif : Tatouages
Vous recherchez : Le grand frisson!
Décrivez vous en quelques mots : J'ai perdu un pari alors me voici …
Machiko valide le profil d'Akane avant que celle-ci ne puisse l'en empêcher et la nargue du regard.
- Te voilà officiellement célibataire en recherche de l' « amour » ma chérie.- Machiko, je te déteste !- Je sais ma grande, au moins autant qu'tu m'aimes. Et puis fallait pas perdre ton pari avec ton frangin, imagine s'il l'avait fait lui même...Les deux jeunes femmes se mettent à rire alors que le smartphone d'Akane commence à vibrer à un rythme frénétique. Elles referment leurs ordinateurs dernière génération pour les fourrer dans leurs sacs de luxe et elles se dirigent nonchalamment vers l’université pour assister à leur premier cours de management.
Physique :Akane est une jeune femme élancée, plutôt grande pour une japonaise, à la musculature finement ciselée par plusieurs années de pratique d'arts martiaux et de danse. Sa chevelure de jais cascade dans son dos, elle a un teint de porcelaine, les traits angéliques, une bouche vermeille, bref elle est divinement belle et elle le sait, ce qui la rend d'autant plus agaçante. Des tatouages du style
Irezumi couvrent presque entièrement son corps, une des nombreuses façon qu'elle a trouvé pour exaspérer son père. Elle a le don d'instiller une touche de sensualité à toutes ses tenues sans pour autant verser dans le vulgaire qu'elle laisse volontiers à sa meilleure amie Machiko. Quand elle quitte son uniforme de lycéenne, nul ne peut deviner qu’elle est mineure.
Caractère :D'aucuns diraient mauvais!
Impétueuse, impatiente, impulsive, irrévérencieuse, on pourrait dire qu'Akane est le stéréotype de la gosse de riche superficielle, blasée de la vie, qui cherche à se sentir vivante en multipliant les expériences extrêmes. Finalement, peu de gens peuvent se targuer de véritablement la connaître car elle cultive sa carapace de fille froide et détestable que rien n'atteint. Il n'y a peut être que Machiko qui a pu entrevoir furtivement derrière son masque d'assurance et de maîtrise lors de fugaces moments d'égarement ou de perdition.
Histoire :Akane naquit une nuit de lune sanglante, d'où son prénom. Dès sa naissance, elle fut source de contrariété pour son père Akio-san, le
obayun(patriarche) du clan du dragon. Sa mère, une femme discrète qui était toujours restée dans l'ombre de son époux, s'était pour la seule et unique fois de sa vie, élevée contre la volonté de son mari afin que le prénom de sa fille signifie rayon de lumière de l'amour (愛光 ) et non simplement l'évocation de la naissance d'un enfant après l'excellent (亜佳子), son grand frère Tarō, de peu son aîné.
Dès sa plus tendre enfance, Akane ne cessa de défier son père et sa conception de la vie éculée en totale inadéquation avec la vie moderne. D'abord involontairement, quand elle choisit de suivre les cours d'aïkido plutôt que les cours de musique ou de danse qu'il lui avait suggéré. Et plus elle avançait en âge et plus ses choix étaient source de conflits qui les laissaient irréconciliables, tous deux butés sur leurs positions. Ironiquement, elle affirmait que son père était né un siècle trop tard, et si personne n'osait la soutenir ouvertement, tout le clan ne pouvait que se dire qu'elle n'avait pas vraiment tort.
La veille de son quatorzième anniversaire, sa mère mourut après un long combat contre la maladie. Cela marqua le début de la fin de l’innocence de la jeune fille à l'avenir pourtant si prometteur. Sa mère avait réussi à canaliser sa pugnacité et sa soif de reconnaissance paternelle pour la faire exceller dans tous les domaines qu'Akane embrassaient. La disparition de son épouse rapprocha Akio-san de son fils qu'il commença à former pour prendre sa suite et il délaissa totalement sa fille.
Elle commença par s'enfermer dans sa chambre, refusant de se nourrir, d'ouvrir ses volets, elle ne s’habillait plus, restait des heures recroquevillée dans ses draps de soie, plus rien ne l'intéressait. Les femmes de chambres devaient user de la force pour pouvoir ne serait-ce que changer ses draps ou aérer sa chambre. Insensible, son père finit par la hospitaliser de force dans une unité médicale méconnue du commun des mortels, spécialisée dans les traitements dits alternatifs afin de remédier au caprice de sa fille. Nul ne sut vraiment ce qu'il s'y été passé mais Akane en revint avec une soif de vivre exacerbée et incontrôlable.
Sa sortie marqua le début de sa nouvelle vie et elle commença par se faire tatouer le corps par l'
horishi(tatoueur dédié au clan) de la famille. Elle dut négocier de longues semaines et se séparer de presque toutes ses économies d’argent de poche, ce qui représentait une belle somme. Elle commença par un cerisier en fleur sur le cœur en hommage à sa mère, puis le dragon symbole du clan pour prouver sa fidélité prit place sur son dos, deux carpes koï sur son épaule droite pour lui rappeler que le courage ne devait jamais lui manquer, ensuite ce fut un serpent qui lui enserra le bras droit, un phœnix sur son flanc droit paracheva son « armure » d’encre.
A l'aube de ses quinze ans, une dispute encore plus violente que les autres à propos de son avenir, la jeune fille cracha impulsivement au visage de son père son ambition de devenir un jour
saikō-komon (chef de l'Administration) du clan. Après quelques secondes de surprise, l'
obayun fut pris d'un fou rire, peut être le seul et l'unique de toute sa vie, avant de balayer les espoirs de sa fille avec dédain. Ce jour, ils ont conclu un pacte, il subviendrait à ses besoins financiers et accepta à contre cœur qu'elle puisse vivre en dehors de la demeure familiale, en échange, la jeune promit de ne rien faire qui puisse ternir le prestige du clan et devait être présente lorsque le protocole l'exigeait.
Akane emménagea chez son amie d’enfance Machiko Yamada, fille d'un magna de l'immobilier, pour la fin de l’année scolaire. Très rapidement les deux amies s'entraînèrent dans des plans de plus en plus épiques, Machiko cherchant à éprouver les limites de sa sexualité et Akane flirtant avec les opiacés et les arnaques en tous genres.
Les derniers jours de vacances s'étiraient paresseusement avant leur rentrée à l’université, les deux amies allaient entamer leur première année d'étude et attendaient le renouvellement de leurs professeurs avec impatience afin de pouvoir entamer leur concours de coucherie qui déterminera laquelle des deux diablesses aura un droit de veto absolu à valoir une fois dans l'année.
Autres :•Akane porte presque toujours sur elle un
kaiken qu'elle dissimule dans ses vêtements.
• Elle ne dispose d'aucun pouvoir, elle reste une simple humaine sportive qui a l'habitude de pratiquer les arts martiaux et de manipuler aussi bien les lames que les personnes.
• Si elle a totalement coupé les ponts avec son
père, elle a gardé des liens avec le
shatei-gashira (bras gauche) de la famille,
Akanu Yoshida, son sensei d'iaïdō mais surtout celui qui l'a initié au shibari depuis qu'elle ne vit plus sous le toit de son père. Ils se rencontrent ponctuellement dans un dojo qu'elle privatise à l'occasion. Pour l’instant elle se fait attacher mais elle espère rapidement pouvoir devenir à son tour celle qui attache. Ils voient l'art du shibari par son côté esthétique et désinhibiteur, il n'est pas question de domination ou de sexe mais de mise à nue et de partage.
• Avec
Tarō(le premier né) son frère, ils entretiennent une relation de meilleurs ennemis emplie de défis, plus idiots les uns que les autres, mettant en péril leur propre réputation ainsi que l'honneur de la famille. C'est un jeune chient fou hyper violent, une grenade à demi dégoupillée qui menace furieusement de vous péter dans les mains. Psychologiquement instable, s'il était né dans une autre famille, il aurait certainement fini comme homme de main d'un gang.
•
Sakura Kobayshi: Sa "babysitter" dixit Akane, plus exactement son assistante personnelle qui passe la majorité de son temps à essayer d'étouffer les scandales provoqués par sa patronne. Grâce à son réseau étendu, le budget quasi illimité dont elle dispose et son ineffable fidélité elle finit toujours par remplir sa mission.