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Un mâle pour un bien (PV)

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Souta et Janus

Humain(e)

Un mâle pour un bien (PV)

jeudi 11 avril 2024, 17:45:35

Tout se passe si bien dans ma vie en ce moment que j'en ai presque peur. Je n'ai eu aucun boulot qui m'a fait craindre de finir avec un membre en moins ou de me retrouver comme cobaye pour un scientifique fou. Exit également la traite d'êtres humains ou de devoir protéger une pétasse qui va suivre son boys band de k-popn à la mode.

- Pas la peine de faire semblant, je sais que je vais te manquer.
- C'est ça, casse-toi couillon.
- Tu vois ? Je suis pas encore parti que tu m'envoies déjà des mots doux.
- Mais qu'il est con.
- Allez ! On se refait ça vite ?


Devant moi se trouve ma dernière prime : un otaku rebelle qui a voulu séduire la fille du mauvais gars. Ils avaient beau donner l'impression de former un adorable petit couple, si le lieutenant d'une famille criminelle décide que sa fille ne fréquentera pas quelqu'un il faut en avoir une sacrée paire dans le froc ou être le type le plus con de cette ville. Et après avoir choppé l'amoureux transit je me pose encore la question quant à savoir dans quelle catégorie le ranger.

Ce genre de mission est une bénédiction car on n'a que très peu de reconnaissance à faire et la cible ne représente aucune menace à moins de prendre la chose à la légère. La preuve en est, quelques baffes auront suffi pour l'aider à se détendre et se laisser attacher pour finir dans le coffre de la bagnole de fonc-... Hum... Mouais, je dirais plutôt qu'elle a été volée et qu'elle finira carbonisée sur un terrain vague dans quelques jours.


========


Mon fric en poche, je décide de rentrer me pieuter pour être en forme quand il faudra faire la fête demain. Sauf que...

- C'est quoi ce bordel ? Il est passé où l'immeuble ?
- Ah, t'es vivant ?
- Désolé de te décevoir.
- Mais non... C'est juste qu'on sait pas qui y est resté.
- Il s'est passé quoi ?
- T'es pas au courant ?
- Non, je rentre à peine d'un petit boulot.
- On dit dans la rue que ce serait une embrouille entre Makashito et Kenji qui a dégénéré.
- Personne n'a encore euthanasié ces deux connards ?
- Chuuuuuut ! On pourrait t'entendre.
- Et après ? Ils vont faire quoi ? EXPLOSER MON APPART ?



La destruction d'un immeuble ferait la une de tous les journaux télévisés dans une ville normale. Sauf que ce qui se passe au quartier de la Toussaint ne semble déranger personne ici. Tout le monde se dira qu'un nid à rats vient de s'écrouler et... ils n'auraient pas tort.

Sans attendre je sors mon portable pour appeler un contact afin de me trouver une piaule au plus vite car je vais pas avoir de quoi me payer l'hôtel longtemps et je refuse de finir comme un clodo à squatter les mangas café. Il me donne alors rendez-vous deux jours plus tard dans un endroit qui me laisse supposer qu'il cherche à se payer ma tronche. Faute de mieux je me rends à l'adresse indiquée.


========


- Tu m'expliques ce qu'on fout ici ?
- Bonjour à toi aussi.
- Désolé mais j'ai pas le temps de jouer au con depuis que j'suis à la rue.
- Justement, mec. J'ai un plan de malade pour toi.
- Je t'écoute.


Celui que l'on surnomme Juice dans la rue m'explique alors qu'il m'a trouvé un boulot d'homme à tout faire dans un dortoir en échange d'un logement sur place. Déjà que son pseudo ne ressemble à rien et que sa réputation a toujours été douteuse, tout ça ne me tente franchement pas. Seule ombre au tableau... Je n'ai pas d'autre choix pour le moment.

Je finis donc par accepter. Reste à voir si il décide de faire la visite des lieux directement ou si ça peut attendre demain car la nuit commence à tomber et que je suis crevé.
« Modifié: jeudi 11 avril 2024, 18:11:16 par Souta et Janus »

Lilly

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 1 vendredi 12 avril 2024, 18:19:02

LA RÉSIDENCE:


INTRODUCING:


***************


Inconnu: "Fuyez monsieur!! Fuyez!! Elles sont toutes folles là-dedans!!"

L'homme qui s'est précipité vers Souta à son arrivée à l'air épuisé. La trentaine, le visage crayeux, des poches sous les yeux , les membres tremblants, il a tout du type immergé  dans un burn-out violent. A le regarder de plus près, il devait être bien foutu avant de maigrir. Il lui reste un semblant de bonne carrure ... Il fond en larmes ...

Inconnu: "Elles m'ont vidé ... complètement vidé ... Partez si vous voulez vivre!"

Juice le rembarre sévèrement et le type s'enfuit en jetant à Souta un regard de pitié. Il s'était présenté. C'était lui l'ancien "gardien" de la résidence. Il avait tenu trois mois avant de démissionner. Là, il était venu chercher sa prime qui solderait son compte auprès de son employeur. Il savait qu'il serait remplacé, la directrice lui ayant montré la photo que Juice lui avait envoyé avant de venir. Elle avait été méchante en lui annonçant qu'un homme, un vrai, allait prendre sa place ...

Juice: "Fais pas gaffe à cette tanche Souta ... Ah! Tiens, c'est la directrice là!"

La directrice ... En fait la résidence était une institution qui accueillait les futures professionnelles de la mode et des productions cosmétiques. Seikusu avait une école de renommée internationale dans ces domaines et bon nombre d'universitaires étrangères venaient y étudier. L'école en question était propriétaire de la résidence (réservée aux filles), c'était comme une sorte d'internat. Le règlement y était strict, notamment concernant la présence d'hommes. Le seul autorisé était le "gardien", qui s'occupait d'un peu tout, et qui devait être débrouillard pour régler tout un tas de choses. C'était ce poste que Juice avait dégoté pour Souta. Oh, bien sûr il avait embelli le portrait et le CV du garçon, apportant plusieurs faux documents remarquablement établis.

Ils étaient entrés dans la cour de la  résidence et virent deux femmes sortirent d'un bâtiment et les attendre .

Juice: "J'te laisse mon pote! A charge de revanche hein!"

***************

Cristina: "Bienvenue jeune homme. Je suis Mme Cristina et je dirige cette résidence. Voici Victoria qui est la représentante des locataires. Si je m'occupe de vous assigner les tâches et de verser votre salaire, c'est auprès d'elle que vous obtiendrez les informations dont vous avez besoin pour la vie courante. Vous ne viendrez dans mon bureau que si je vous y convoque et vous respecterez strictement mes consignes. En l'occurrence, il n'y en a qu'une: aucune relation avec les locataires féminins, c'est compris? Nous communiquerons essentiellement par mail, une tablette numérique est déjà disponible dans votre chambre. Votre salaire mensuel de 406000 yens (2500euros) vous sera versé sur votre compte. Pensez à m'envoyer un RIB. Maintenant, c'est à toi Victoria. Encore une fois, bienvenue ... jeune homme."

Ce fut bref, expéditif et autoritaire. La directrice ne tolérait pas le débat mais cela ne l'avait pas empêché de scruter Souta sous tous les angles alors qu'elle lui parlait. Ce genre de femme avait un nom bien précis mais il était encore trop tôt pour le certifier. Elle entra dans le bâtiment, s'arrêta un bref instant pour se retourner et fixer le garçon d'un regard pénétrant, offrant une silhouette aussi étonnante que sa personnalité. Salope!

Quant à Victoria, c'était tout l'inverse. ravissante était le terme qui la définissait le mieux. Alors que la soirée commençait, elle était apprêtée comme une princesse et sa robe noire était une insulte à la chasteté.

Victoria: "Bonjour. Alors voilà, à mon tour. Je vais me présenter en vous accompagnant à votre chambre."

Ils entrèrent à leur tour dans le bâtiment qui sentait le neuf. Ils passèrent devant plusieurs salles communes et prirent un escalier.

Victoria: "Donc je suis Victoria mais vous pouvez m'appeler Vicca. Je suis lituanienne et je me spécialise dans la mode. Je représente les locataires qui me font remonter leurs doléances ou problèmes. C'est bien que vous soyez là, notre dernier gardien était un peu ... fragile ..."

Elle lâcha un petit rire adorable et s'appuya à l'avant-bras de Souta.

Victoria: "Il fatiguait vite ... Enfin bon, vous serez logé au troisième étage chambre 305. C'est la seule qui a une kitchenette, c'est pour ça que c'est la vôtre. Je suis juste en face à la 306. Nous sommes 42 locataires pour l'instant mais la résidence peut accueillir plus de monde. L'ambiance est très familiale et sympathique, nous organisons beaucoup d'évènements."

Elle se serra un peu contre Souta, soudainement complice.

Victoria: "Le soir, la directrice n'est pas là, vous serez invité mais il ne faut pas qu'elle le sache."

Ils accédèrent dans le couloir des dortoirs du troisième étage et Victoria donna un porte-clé avec un badge et une clé.

Victoria: "Ce pass et cette clé ouvrent votre chambre mais aussi toutes les portes de la résidence, c'est normal, vous en aurez besoin. Surtout ne le perdez pas! Vous avez le weekend pour découvrir l'endroit. Nous avons une supérette toute proche, au bout de la rue et ... retrouvons nous lundi matin à 07h00 en bas, je vous montrerai votre bureau. Voilà, je crois que c'est tout. Au cas où, vos voisines sont Fabiola en 303 et Swan en 307. De toute manière, vous avez une planche photo avec la répartition des chambres et les numéros de téléphone dans votre chambre. Bon weekend!"




« Modifié: vendredi 17 mai 2024, 17:39:04 par Lilly »

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 2 samedi 13 avril 2024, 06:34:41

A peine un pied posé dans cette sorte de résidence qu'un zombie me tombe dessus en m’exhortant de prendre mes jambes à mon cou. Ce genre de type j'en ai déjà croisé des dizaines à ce jour, donc je sais les reconnaître. Généralement je les croise à la sortie de casions clandestins alors qu'ils viennent de se faire dépouiller.

Le gars me fait plus de peine qu'autre chose alors qu'il passe son chemin pour disparaître dans la nuit avec une démarche titubante qui témoigne visiblement du fait qu'il avait été siphonné de son énergie jusqu'à la dernière once. Mais je n'ai de toute manière pas le temps de m'attarder sur sa situation car deux femmes viennent rapidement nous rejoindre.

Une blonde rigide avec un balai dans le cul vient se présenter à moi comme étant la directrice pendant que Juice s'éclipse sans demander son reste. Tout ça fait tilter mon détecteur de piège à cons... Malheureusement c'est ça ou voir mes maigres économies disparaître un peu plus.
Du coup je me contente de regarder la bonne femme en face de moi sans l'interrompre car je connais si bien le genre de la personne. Un petit hochement de tête ici et là pour lui faire réaliser que je comprends ce qu'elle m'explique suffit.
Tout ce que j'ai besoin de savoir c'est que je suis logé et payé. Le boulot je sais le faire et ça devrait pas être bien compliqué vu l'endroit.

- D'accord.

Voilà le seul mot qui sort de ma bouche lorsque la dénommée Victoria se présente à son tour en m'annonçant me conduire jusqu'à ma chambre qui servira sans doute également de loge vu mon poste.
En tout cas cette jolie brune est bien plus amicale et tactile que la bonne femme d'avant.

Un détail refait sonner mon détecteur de couillonnerie quand elle m'annonce qu'elles sont 42 locataires à ce jour dans la résidence. Elles sont toutes là en même temps ou alors il y a du mouvement vu les études qu'elles font ? Parce qu'avec un nombre pareil je comprends que le mec qui était là avant a finit sur les rotules.
Le fait d'organiser des évènements régulièrement va d'ailleurs dans ce sens. J'imagine déjà les disputes à devoir gérer si certaines ne sont pas contentes du tapage en fonction de l'heure.
Déjà qu'un nid de gonzesses est égale à un nid à emmerdes journalières, tout ça ne me dit rien qui vaille. Dans quel plan foireux je suis venu m'embarquer ? Cette Victoria a beau être hyper bien foutue, pas sûr que ça compense...

Hum ? Invité ? Où ça ? Et pour faire quoi ? Tous ces questions me viennent en tête sans forcément sortir de ma bouche. Pourquoi je vois déjà d'ici les longues nuits à déboucher des chiottes pleines de vomi car des gonzesses ont trop forcé sur l'alcool ou certaines substances interdites ?
De toute façon j'aurais forcément droit à un brief plus détaillé le moment venu.

- Oui, je ferais gaffe.

Victoria me tend  un petit trousseau de clé alors que l'on arrive à mon nouveau domicile. Parce qu'à écouter son explication ma chambre ne servira pas de loge. Cette dernière se trouve ailleurs dans le bâtiment. Ce qui est déjà plus logique car je voyais mal les locataires monter au troisième pour me faire part d'un problème.
Au moins elles viendront pas m'emmerder à toute heure de la nuit.

- Pas de problème, je regarderai tout ça demain en m'installant.

Une installation qui sera forcément brève vu que je n'ai aucune affaire avec moi. Tout est parti en fumée dans l'explosion du bâtiment dans lequel je vivais jusque là parce que deux connards se sont bastonnés à coups d'explosifs pour une une histoire de place de parking. Je leur souhaite d'ailleurs de jamais croiser ma route car ils finiront avec un genou en moins et la gueule dans une benne à ordures.

- Merci, bon week-end à vous aussi et à lundi.

Mon regard s'attarde alors sur le cul parfaitement modelé de la dénommée Victoria pendant qu'elle s'éloigne tandis que j'enfonce la clé qu'elle m'a confiée dans la serrure de mon nouveau palace. Les relations je sais pas... Mais je lui mettrais bien un coup de bite ou deux à cette chaudasse. Ou alors peut-être que les gens en Lituanie sont plus tactiles que les autres.

La porte s'ouvre sous mon mouvement pour donner place à une chambre plus spacieuse et mieux équipée que mon ancien appartement.

- Ah ouais, ils se sont pas foutus de ma gueule.

Mes jambes me poussent à vérifier rapidement l'équipement disponible et j'ai bien droit à un petit espace pour me faire à bouffer dans ce studio. Pas de douche par contre. Comment ça va fonctionner du coup ? Il y a un horaire fixe pour les douches communes ? Parce qu'avec autant de nanas je vais pas pouvoir me permettre de jouer au con et me retrouver avec des plaintes pour harcèlement sexuel d'entrée de jeu.

Mon regard vagabonde quelques instants et termine sa course sur une commode qui pourra accueillir mes fringues lorsque j'irai m'en acheter. Dessus se trouvent la fameuse tablette et le plan du bâtiment et de ses locataires au format papier.
A première vue il n'y a pas un seul thon dans les environs. Toutes ces nanas ont été gâtées par la nature. A croire qu'il y a un système de sélection précis pour avoir le droit de poser ses bagages ici.

J'aurais tout le temps d'y jeter un oeil plus détaillé plus tard. Puis si ça se trouve toutes ces infos sont aussi disponibles sur la tablette.

- Avant ça, la bouffe. Je crève la dalle.

Je repose le plan sur la commode, prends ma clé pour verrouiller la chambre derrière moi et descends rapidement les trois étages pour voir à quoi ressemble le konbini censé se trouver au coin de la rue.
Les portes automatique de la supérette s'ouvrent sur mon passage pour m'aveugler avec les puissants luminaires. Un type d'une quarantaine d'années se trouve au comptoir et me salue pour me souhaiter la bienvenue. Je me contente d'un geste de la main pour en faire de même avant de me faufiler dans les allées pour récupérer deux packs de bières, quelques pizzas surgelées et du café.
Flemme de ressortir ce week-end.

Sur mon chemin je croise une nana sans y prêter attention même si elle a l'air plutôt pas mal. Tirer un coup est le dernier de mes objectifs de la soirée même si ça me ferait pas de mal.

A la place je me contente de passer à la caisse et de retourner en direction de ma chambre sans me faire remarquer.

Lilly

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 3 samedi 13 avril 2024, 14:48:23

INTRODUCING: KIMBERLY

***************

Citer
**Victoria vous a admis comme membre invisible dans le salon "Les chaudasses de la résidence "**
**Victoria vous a admis comme membre dans le salon "Usagers de la résidence des Lilas"**

Citer
*Usagers de la résidence des Lilas*
Vicca/Bonsoir les filles! Souhaitons la bienvenue à Mr.Souta qui est notre nouveau gardien!
Fabiola/Oh? J'ai un nouveau voisin alors :) Bienvenue Mr!
Pamela/Bienvenue! Top! J'ai un problème, ma clim fait beaucoup de bruit depuis deux jours.
Emi/ Bienvenue !
Jessamy/ Bienvenue! Ca serait possible de venir regarder ma fenêtre. Il y a de l'air qui passe?
Kirsten/ Pikaboo! Bienvenue
Mei/ Bienvenue! Mon lit grince beaucoup, vous pourrez voir?
Vicca/ Doucement les filles. Laissez le weekend tranquille à Mr. Souta! On verra lundi pour les problèmes.

Vous avez 26 messages supplémentaires ...

Citer
* Les chaudasses de la résidence*
Hana/ Les filles, j'ai un scoop! Matez le nouveau gardien. Il a failli me gauler. Je l'ai prise à l'arrache, c'est un peu flou.

Mei/ Mais ... c'est un beau gosse!
Aiko/ C'est mon style ça
Chiara/ Il est bien foutu. Prems!
Romy/ Nah. Cristina va le bouffer tout cru. Tu passes après, Chichi.
Chiara/ Sniff ...
Kalina/ Il a une tête de pervers ...
Luana/ C'est pas pour te déplaire hein Kal?
Mei/ Vous croyez qu'il en a une grosse?
Annika/ Sûr! J'te dis demain matin...

Vous avez 45 messages supplémentaires ...

***************

Sur les "chats", les commentaires s'accumulaient, corrects ou graveleux en fonction des salons. La nouvelle était bonne, un gardien, c'était quand même bien utile...

La soirée s'annonçait animée à la résidence. Enfin, animée sur les portables en tout cas. Le soleil allait se coucher et certains visages guettaient derrière les fenêtres. Une observatrice put donc voir le nouveau gardien sortir de la résidence. Il n'avait pas de sacs sur la photo envoyée par Hana donc il allait surement faire des courses. Kimberly enfila ses sneakers à la hâte et se précipita hors de sa chambre, dévala les escaliers et sortit de la résidence en longeant les murs pour éviter d'être vue. Pourvu que personne d'autre n'est la même idée qu'elle ...

Au bout de la rue, elle vit la silhouette de Souta entrer à la supérette. Impeccable! Kimberly aussi joua la cliente et s'arrangea pour croiser et recroiser le garçon dans les rayons. Court vêtue, à la limite de l'indécence avec son top underboob et son short révélant ses jolies jambes, elle était LA bimbo par excellence. Mais le garçon semblait plus intéressé par la bière que par son corps ... Mufle!! Mais dans le genre obstinée, Kimberly était coriace. Elle acheta juste derrière lui un pack de bière et le rattrapa dans la rue.

Kimberly: "Hey salut! Bonsoir! Vous êtes Mr. Souta? Je ... vous ai vu sortir de la résidence! Bienvenue, je suis Kimberly, je vis là-bas aussi. Oh ? Vous avez des bières? Moi aussi! On fête votre arrivée ce soir, ça vous dit? Hum ... je n'est pas de kitchenette dans ma chambre mais ... "

Elle babillait sans s'arrêter. Difficile d'en placer une avec elle. Elle l'avait forcé à ralentir le pas et ils mirent trois plombes à revenir à la résidence. Maintenant il connaissait presque tout d'elle et rien en même temps. Elle était cool Kim et elle était encore plus sympa nue qu'habillée ...


« Modifié: dimanche 28 avril 2024, 20:15:19 par Lilly »

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 4 samedi 13 avril 2024, 16:21:34

La nuit s'annonce douce malgré les températures estivales auxquelles ont a pu avoir droit cette dernière semaine. En tout cas il est clair que certaines personnes ont plus chaud que d'autres vu la tenue que porte cette blonde qui vient m'aborder sur le chemin du retour à la résidence.

Attends... Reviens en arrière. Tu m'as vu sortir et tu es déjà derrière moi avec un sac de course à la main ? Ca veut dire que t'es descendue en quatrième vitesse pour me rattraper ? Fringuée comme ça ? Puis c'est quoi cette histoire de fête ? Ou de cuisine dans ma chambre ? Trop d'informations se bousculent dans ma tête alors que mon regard s'arrête forcément sur cette grosse paire de nichons dont une bonne partie reste visible.

- Euh... Ouais, je suis bien le nouveau gardien.

Comment je suis censé rebondir à tout ce qu'elle m'envoie dans la tronche en un temps record ? Surtout qu'elle semble ralentir l'allure pour m'empêcher de retourner trop vite au sein de la résidence qui se trouve à moins de 5 minutes à pieds du konbini.

- Par contre... On m'a dit que le quartier est plutôt sûr, mais je pense pas que se balader avec les seins à moitié à l'air soit recommandé.

Entre la fatigue et la dalle, mon tact est forcément aux abonnés absents. Pour le peu qu'il existe le reste du temps d'ailleurs. J'irai pas faire de remarque aussi cash à la directrice si elle venait à porter une tenue identique. Mais là c'est juste une des locataires de la résidence qui veut sûrement s'amuser à jouer la provocatrice et bizuter le nouveau venu avant les autres.

Faut lui reconnaître qu'elle n'a pas froid aux yeux la blondinette. Car elle s'est même présentée dans cet accoutrement dans le konbini qu'elle doit forcément visiter régulièrement. Heureusement pour elle qu'on ne se trouve pas dans mon ancien quartier car elle n'aurait pas fait 10 pas avant de se faire entraîner dans une ruelle sombre ou embarquer dans une camionnette.

Et dans d'autres circonstances j'aurais été le principal suspect dans les deux cas de figure. Sauf que je dois faire gaffe et me tenir à carreaux. Au moins le temps de prendre mes fonctions quoi. C'est pourquoi je me contente de la bouffer du regard pour le moment.

- Pour la fête je sais pas si y participer est une bonne idée. Mais je peux au moins venir me présenter, ça me fera gagner du temps pour plus tard.

L'autre raison que je n'ose pas avancer ouvertement est que ce sera une occasion de picoler et bouffer à l'oeil vu que je ne roule pas sur l'or pour le moment.

- On s'arrête à ma chambre le temps que je dépose ça et on y va ?

Je peux officiellement dire au revoir à ma soirée glandouille.

Lilly

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 5 dimanche 28 avril 2024, 20:15:43

Kimberly: "Le quartier? Oh ... il y a beaucoup de vieux fortunés dans le coin. C'est sûr. Et puis bah ... je suis comme ça c'est tout. C'est le début du weekend alors je sors un peu de ma rigueur professionnelle. En tout cas, je suis contente que ça ne vous choque pas."

Ils étaient bien là, comme ça, le joli petit couple ... Un observateur aurait pu croire à une délicieuse amourette alors qu'en réalité ce qui se profilait pour les temps à venir relevait plus du marathon pornographique. L'ancien gardien s'était fait vider de toute sa sève vitale, et il était loin d'être un canon de beauté masculine. Alors Souta ... avec son corps taillé et son attitude de vrai mec, il allait falloir qu'il tape dans ses réserves pour survivre à la horde de femelles affamées qui l'attendait de pied ferme.

Kimberly s'était un peu rapprochée de Souta et leurs épaules se touchaient à chaque pas. Que c'était mignon! Il croyait qu'elle allait le partager avec les autres pour une fête de bienvenue? Non, non ... Ce n'était pas vraiment à ça qu'elle pensait mais plutôt à quelque chose de plus intime. Elle n'en dit rien, préférant garder la surprise pour le bon moment et ils arrivèrent devant le portail de la résidence. Aussitôt, la messagerie des filles s'anima.

Citer
*Les chaudasses de la résidence*
Mei/ Kim!!! Salope!!!
Kirsten/ Fallait s'y attendre ...
Jessamy/ Ces américaines ... toutes les mêmes!
Alicia/ Hey! C'est pas vrai!

Kimberly: "Excuse moi, je dois répondre à un message."

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*Les chaudasses de la résidence*
Kimberly/ Jalouses? je vous raconterai demain ...
Kimberly: "C'est des copines de la résidence..."

Kimberly ne logeait pas au même étage que Souta mais elle le suivit jusqu'au troisième, faisant mine de rien. Devant la chambre 305, celle de Souta, elle le regarda en souriant, arborant l'expression de la meilleure copine qui vient juste dire bonjour, s'incruster un peu et éventuellement vider quelques bières.

Kimberly: "En fait ..."

Dès que le clic d'ouverture de la porte se fit entendre, elle poussa le garçon à l'intérieur. C'était fluide et sexy, rien d' envahissant (enfin ... façon de parler) et c'est elle qui referma la porte pour s' y adosser, son pack de bières à la main.

Kimberly: "Je pensais à une fête juste nous, tous les deux. On pourrait boire des bières et après ... baiser comme des bêtes? T'en penses quoi?"

La californienne dégageait autant de chaleur que le désert des Mojaves. Son corps distillait une sensualité proche de la vulgarité et il était clair que si l'épisode des bières sautait, ça ne la dérangerait pas.




« Modifié: dimanche 05 mai 2024, 17:01:29 par Lilly »

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 6 lundi 29 avril 2024, 07:40:43

Me voilà revenu aussi rapidement à mon studio que je l'avais quitté il y a seulement quelques minutes. Sauf que j'ai rapporté avec moi des courses... et une inconnue. Vu l'état impeccable de la résidence et le fait que je venais d'arriver sur place je n'avais pas fermé à clé avant de sortir.

J'ouvre donc la porte une fois arrivé mon regard cherche un endroit où poser mon sac. L'endroit va me demander un temps d'adaptation pour m'y habituer car il est foutrement mieux rangé que mon ancien appartement. Le sujet devra pourtant être remis à plus tard car j'entends clairement le verrou de la porte s'enclencher même en tournant le dos à celle-ci. Le résultat d'années d'expérience à devoir me concentrer sur le moindre bruit pour me sortir de sales situations. Et pour couronner le tout je peux sentir une petite main dans mon dos pour me pousser à entrer.

Les rebondissements s'enchainent les uns après les autres visiblement. Jusque là toutes les nanas que j'ai croisé dans le coin sont aussi bien foutues les unes que les autres. Sauf que celle-ci me chauffe clairement alors que la responsable des lieux m'a clairement fait comprendre que je serais gardé à l’œil durant mon séjour dans le coin.

Voir cette blonde au corps parfait adossé contre la porte me pousse à revoir mes plans de manière inattendue. Faut dire que je me suis pas envoyé en l'air une seule fois depuis l'explosion de mon appartement. Et déjà avant ça je n'ai pas eu une seconde à moi avec le boulot.
Puis en y réfléchissant bien... Ils ne vont pas forcément me surveiller alors que je commence le boulot demain. Elles penseront logiquement que personne ne sait que je suis là vu que cette rencontre est juste un coup du hasard. Arrggh et puis merde !

- Tes parents t'ont jamais dit qu'il faut pas suivre des inconnus chez eux ?

Le sac que je tenais jusque là est jeté à quelques centimètres de moi car je ne cherche plus du tout à le poser où il faut. Mes mains auront besoin d'être libres pour la suite car je commence à m'avancer dans sa direction d'un pas sûr en ne la quittant pas un instant des yeux.

- Quelqu'un pourrait chercher à voir ce qui se cache sous ton mini-short.

Et ce quelqu'un c'est moi vu que je joins un geste à la parole en même temps qu je lui balance la chose. Ma main droite parviens à se glisser sous sa culotte avec une telle rapidité que je peux sentir ses petites lèvres avant d'avoir eu le temps de finir ma phrase.

Puis c'est au tour de mes lèvres de venir se coller aux siennes de manière fiévreuse. Ce contact m'avait clairement manqué vu l'énergie qui m'anime. A croire que quelque chose s'est réveillé en moi sur l'instant et que calmer mes ardeurs va demander un petit moment.
Les baisers s'enchaînent rapidement au fil des secondes alors que ma bouche semble incapable de s'éloigner de la sienne. Et ma main n'est pas en reste car je profite du fait de la coincer contre la porte pour visiter sa fente qui commence à mouiller à l'aide de plusieurs doigts.

Ma température grimpe à chaque échange de salive, à chaque coup de sa langue sur la mienne. Mon bras finit même par se crisper et mes doigts viennent former un petit crochet pour soulever le bassin de la belle blonde dans un mouvement de doigtage plus prononcé.

Lorsque ma bouche s'arrête pour m'aider à reprendre ma respiration, ce ne sont que de longs soupirs d'halètement qui se font entendre. Comme si je venais de courir un sprint sur une centaine de mètres.

- Alors comme ça t'aimes qu'on te fasse ta fête ?

Alors, non, c'est pas du tout ce qu'elle a dit plus tôt. Mais ça passe mieux vu l'ambiance qui vient de s'installer.

Lilly

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 7 dimanche 05 mai 2024, 17:55:19

Kimberly: "Ils ont dû me le dire mais j'ai oublié ce conseil à quatorze ans. Et depuis, je suis des inconnus chez eux ..."

La californienne se mord la lèvre inférieure en voyant ce beau mâle s'avancer vers elle. Elle est à peine plus petite que lui mais il en impose avec son corps musclé et sa gueule de bad boy. Sans bouger plus que nécessaire, elle se cambre, pointant entre eux sa poitrine arrogante tandis qu'elle se prépare à la suite. Il n'est pas timide, tant mieux! Il est même audacieux, encore mieux!

Kimberly: "Je ne demande que ça."

Elle creuse son ventre quand il glisse ses doigts entre sa peau bronzée et son short et exhale un soupir de satisfaction quand il trouve ce qu'il cherche. Il se plaque à elle et le choc contre la porte résonne dans le couloir désert de l'étage. Instinctivement, Kimberly relève une jambe haut contre le flanc du garçon, verrouillant par là sa main dans sa culotte. Elle répond à ses baisers comme une vamp, s'imprégnant de cette présence virile et enivrante. Il n'a rien à voir avec l'ancien gardien qui était d'une passivité irritante. Là, c'est comme si un lion en rut se frottait à elle. Son bassin ondule sous les caresses précises de son partenaire et elle se crispe intensément quand un doigt la pénètre. Elle est trempée, évidemment. Il est tellement difficile de trouver un coup d'un soir dans ce pays crispé sur un respect maladif qu'elle est quasiment redevenue vierge!

Sa langue se lie à celle de Souta comme une sangsue à une poche de sang et les succions qui s'ensuivent deviennent obscènes. Ils se dévorent l'un l'autre plusieurs minutes avant qu'il ne la libère. Elle à le menton humide mais ce n'est rien à côté de ce qui coule entre ses cuisses fuselées.

Kimberly: "J'ai toujours aimé les fêtes sauvages, le genre de truc dont on ne ressort pas clair."

Ça pouvait dire plusieurs choses mais dans le contexte présent, c'était assez expressif.

Elle avait pensé au début lui tailler une pipe pour être sûre de se le mettre dans la poche mais vu son état, il était à elle. Elle sentait dans son pantalon un sexe dur et prometteur mis à mal par le tissu qui le contraignait. Kimberly était une experte et le bouton et la fermeture éclair sautèrent en un instant. Elle se tortilla pour rabaisser d'un coup le pantalon sur les cuisses du garçon avant de s'attaquer au boxer qui n'en menait pas plus large que sa culotte. Le sexe de Souta jaillit comme un cobra et vint s'écraser contre son ventre avec un bruit flasque. C'est là que normalement elle aurait dû tomber à genoux pour le gober jusqu'aux boules mais elle n'en pouvait plus. Elle se débarrassa difficilement de son short et de sa culotte trempée et tira le garçon entre ses cuisses.

Kimberly: "Tu excuseras l'absence de préliminaires mais là, il faut vraiment que j'en prenne une!"

Elle avait attrapé le membre raide d'une main sûre et le guidait au point de non retour. Quand le gland écarta ses lèvres, elle faillit défaillir et ses yeux se révulsèrent brièvement. Elle eut juste à s'abaisser de quelques centimètres pour qu'il entre en elle, glissant dans un conduit aussi brûlant qu'accueillant. Elle s'accrocha aux épaules du garçon et donna le coup final en s'abandonnant totalement. Elle cria, bien trop fort, mais elle n'y put rien. Il était gros, plus précisément long et épais et elle fut surprise quand il tapa loin au fond d'elle. Les rares japonais qu'elle avait connu faisaient plutôt dans les miniatures alors que Souta se situait hors catégories.

Kimberly: "C'que t'es gros ..."

Bah, ça faisait office de compliment d'une certaine manière ... Loin d'être passive, elle nécessitait d'être maintenue sous peine d'être emporté par ses à-coups brusques.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 8 vendredi 10 mai 2024, 09:11:18

Mes doigts sont rapidement remplacés par ma bite dans la chatte de la blondinette qui est clairement avec moi dans un but spécifique. La première insertion ne se fait pas sans difficulté et elle est à deux doigts de me briser un tympan sur le moment.

- Juste le temps de t'y habituer.

Et la chose ne devrait pas nous demander une éternité vu la vitesse à laquelle cette nympho est venue s'empaler sur ma queue malgré sa taille. Des nanas toutes fines comme elle j'en ai ai déjà tronché un certain nombre et généralement elles changent vite d'avis.
Les rares à vouloir poursuivre l'expérience par contre, nous en font profiter tous les deux pendant un bon moment. Reste à espérer que ce sera son cas à elle aussi.

D'habitude je conserve cette position pour des situations spéciales ou après avoir sauté la même nana plusieurs fois. Mais force est de constater que celle que j'ai au bout de ma bite n'est pas comme les autres. Je pousse bien fort une fois, deux fois... puis je marque une pose en me retirant presque entièrement pour venir saisir ses jambes et la soulever comme une plume.
Mes mains se trouvent dans le creux de ses genoux pour la maintenir en l'air avec le dos contre la porte. Avoir une queue aussi imposante ne m'aide pas vraiment car il me faut bien quelques secondes pour le replacer où il faut en la tenant dans les airs.

- Oooh putain !

Un coup sec vient lui écarter ses parois humides et brûlantes. Mon gland cogne bien fort tout au fond alors que je suis encore loin de la lui avoir mise toute entière.
La fatigue et la lassitude que j'avais senti en arrivant se sont évaporées comme par magie alors que je commence à augmenter la vitesse de mes coups de rein crescendo. L'excitation à pris le dessus et je baisse la tête pour lui baver dans le coup avant de lui embrasser sa peau bouillante dans la foulée.

Au fil des secondes la porte se met à faire de plus en plus de bruit. Comme si quelqu'un venait taper dedans pour se plaindre de nuisances sonores. Il faut dire que j'y vais franco vu comment elle m'a chauffé. Son petit corps remue dans tous les sens à chaque coup de bite qui vient la planter littéralement. Me sentir aussi puissant m'enivre et me donne envie d'y aller encore plus fort en la baisant comme une vulgaire pute.

- Ta petite chatte va me rendre fou.

Son petit trou est si étroit que je vais avoir du mal à me retenir trop longtemps avant de cracher. Ca n'arrivera pas dans la seconde à venir, mais bon. Et puis merde, j'ai aucune raison de me retenir vu que je peux continuer de bander et éjaculer encore quelques fois avant de m'écrouler.

- J'espère que t'es pas attendue ailleurs.

Parce que là t'as un peu réveillé la bête et il va te falloir un moment avant de la calmer.

Lilly

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 9 vendredi 17 mai 2024, 17:43:34

INTRODUCING:


***************

Si quelqu'un ou quelque chose pouvait se plaindre à cet instant, c'était bien la porte de la chambre de Souta. La malheureuse se faisait raboter par Kimberly qui en prenait tout autant. Sauf que pour la californienne, c'était calculé, voulu, désiré et intensément vécu. Tordue dans une position à peine tenable, elle prenait de plein fouet le résultat de l'abstinence récente du garçon. Il l'avait pliée et martelait frénétiquement entre ses cuisses. A coup sûr, elle en ressortirait avec des bleus et des crampes. Néanmoins, elle gémissait tant et plus, se moquant du boucan qui résonnait dans le couloir.

Souta y allait dur et Kimberly avait l'impression d'accoucher à chaque fois qu'il se retirait d'elle. Bien qu'il la tienne, elle avait réussi à caler le creux de ses genoux sur les épaules du garçon et ses jambes battaient l'air au rythme du bourrinage. C'est exactement ce qu'il lui fallait: pas de demi-mesure ni de trucs trop mignons. Elle répondit à la langue de Souta en lui mordant le menton avant de lécher la marque que ses dents avaient laissé. Ensuite elle aussi s'appliqua à humidifier le cou du garçon avant de revenir se perdre au contact de ses lèvres. C'était chaud mais incomparable avec le surmenage de son cratère personnel. Entre ses cuisses, dans son ventre, tous ses muscles étaient contractés autour de la queue de Souta comme s'ils voulaient l'arracher à son propriétaire. Il devait forcer sans merci pour passer puis se concentrer comme un dingue pour en sortir. Le message était clair puisque quand elle le voulait, l'accès était aussi accessible qu'il le voulait. Cela n'avait rien à voir avec du masochisme, Kimberly aimait juste se faire secouer méchamment.

Mais le bougre savait y faire et elle qui comptait bien résister le plus possible hurla aussi fort que son orgasme la ravagea. Elle se cambra au point de réussir l'exploit de le repousser un peu, avant de s'affaler contre son corps musclé alors qu'il ne cessait de lui faire un sort. Béate, elle décida qu'il fallait absolument qu'elle préserve cette pépite de l'agression prochaine des autres filles.

Et c'est précisément à cet instant, alors qu'elle dégoulinait de cyprine, qu'une voix énervée résonna de l'autre côté de la paroi qui séparait sa chambre de la 307. Swan braillait.

Swan: "C'est pas fini ce bordel???"

Et pour lui faire écho, on tambourina à la porte.

Kimberly: "On s'en fout ... Finis! Lâche tout!!"

Et experte et souple comme elle l'était, elle parvint à glisser une main entre leur deux corps pour lui saisir la base de la queue et le branler en elle. Hors de question qu'elle reparte sans sa dose!! Pour inciter Souta à suivre son exigence, elle lui murmura à l'oreille des insanités qui auraient fait rougir de honte n'importe quelle mère maquerelle.

OoOoOoOoO

De l'autre côté de la porte, Daniela et Ayame écoutaient le couple s'envoyer en l'air. La chambre de Daniela était toute proche et les deux filles y travaillaient quand, comme tout l'étage, elles avaient été dérangées par le bordel de Kim et du nouveau gardien. Alors quittes à être dérangées, autant que ce soit pour quelque chose. Bien entendu, elles suivaient de près les commentaires du chat perso qui se garnissait de commentaires bien gras. Elles avaient aussi entendu Swan gueuler et connaissant bien le caractère de cette dernière, elles avaient pris les devants avant que cette dernière ne vienne enfoncer la porte. Daniela frappa encore à la porte.

Daniela: "Kim! Tu fais chier! Ouvre!!"



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 10 samedi 25 mai 2024, 07:10:07

Ce qui était d'abord une impression finie par se produire dans la réalité. Quelqu'un se met bel et bien à tambouriner dans la porte contre laquelle j'écrase le corps parfait de cette blonde dont je connais tout juste le prénom. En tout cas ce n'est pas ce genre d'intervention qui risque de m'arrêter une fois que j'ai démarré. Il faudrait une réelle menace pour me couper clairement l'envie. Seule la directrice pourrait me forcer à arrêter ce que je suis en train de faire. Et encore... Quitte à perdre mon boulot je serais aller au bout pour lui donner une raison de me virer.

Mais c'est là que je sens une main me saisir la queue pour branler ce qui n'arrive pas à rentrer dans son petit trou trempé et étroit. Faut dire qu'elle a avoué d'elle-même que ce que j'avais à lui offrir était un peu trop volumineux pour sa petite personne.

- Je comptais pas m'arrêter en route, ma belle.

Sa masturbation ajoute un second rythme. Un faux rythme plutôt à ma pénétration brutale. C'est à la fois dérangeant et excitant, comme le fait d'entendre quelqu'un parler de l'autre côté de la porte pour nous demander d'ouvrir.
Pourquoi est-ce qu'elle veut qu'on ouvre d'ailleurs ? Avec les cris de plus en plus audibles de la jolie blonde qui remue sur moi ce qu'on fait de notre côté est évident. Est-ce que sa copine veut se rincer l'oeil ? Dommage que je baise celle-ci contre la porte sinon je lui aurais fait profiter du spectacle.

Avec une de ses jambes sur mon épaule, j'ai une main libre pour venir lui agripper un sein et le pétrir en pressant dessus afin d'accélérer le mouvement. Je sens qu'elle a encore plus envie que moi que je vienne la remplir et mon corps le démontre un peu plus à chaque seconde qui passe. J'ai tellement chaud à me frotter contre elle. Mon souffle doit s'écraser sur la peau douce de son visage et de ses épaules en fonction de la direction dans laquelle je regarde quand ma tête remue en même temps que mes coups de hanches brutaux. La transpiration se fait elle aussi de plus en plus présente sur mon front et mes joues quand une goutte ne vient pas me rentrer dans l'oeil.

- Haaa, merde, ouais ! Urrrrrrgh !

Je ne prends même pas la peine de la prévenir quand l'explosion arrive. La surprise sera sans doute plus excitante pour elle alors que mon corps se raidit dans une dernière tentative pour faire entrer ma queue tendue et pulsante en elle le plus possible. Mon pubis s'écrase sur ses doigts fins qui me branlaient jusque là.
Un énorme et long soupir d'extase s'échappe de ma bouche alors que ma tête se plie en avant pour se coincer dans son cou délicat qui sent si bon. Je peux sentir ses cheveux se frotter contre les miens. Ce contact me fait frisonner légèrement au point de remuer un peu plus les hanches de manière circulaire tandis que je me vide totalement en elle.

On ne peut pas parler de jets de sperme mais de déversement. Le fait de ne pas avoir eu de contact durant tout ce temps est évident. Une énorme quantité de pâte visqueuse et brûlante s'échappe de mon gland pour la remplir à grande vitesse pour déborder et couler sur ses mains et ma tige toujours plantée en elle.

- Bouge pas ! Il m'en reste encore.

Sur le moment je me demande si je parle  Kimberly ou à moi-même car nos deux corps restent figés dans cette position pendant une bonne dizaine de secondes. Le temps de complètement me vider après cette première éjaculation qui me fait trembler de la tête aux pieds.
Une fois terminé je sens comme un poids énorme qui a quitté mes épaules. Le sperme qui ne pouvait tenir en elle a dégouliné jusqu'à tomber à même le sol pour former une petite flaque blanche que je vais avoir du mal à nettoyer plus tard.
Mais ce n'est rien comparé au son dégueulasse qui est produit par nos deux corps lorsque je décide de de me retirer d'elle lentement. Une main vient se saisir de sa cheville pour la retirer de sur mon épaule histoire de l'aider à retrouver l'équilibre même si la chose risque de s'avérer compliqué après le traitement que je lui ai fais subir.

Je l'aide à se poser un peu plus loin puis je me retourne pour me saisir de la poignée de la porte et l'ouvrir. Ce n'est pas une mais deux filles que je découvre sur le pas de ma porte contre laquelle l'une d'elle se lâchait depuis un petit moment déjà.

- Doucement avec la porte, déjà qu'elle a pas l'air super solide.

Le torse et le visage couverts de transpiration, on peut sentir la fatigue dans ma voix après ce sprint des plus intense. J'en avais presque oublié que je suis à poil et avec la queue toujours aussi dure et tendue. Recouverte d'un sperme blanchâtre et presque solide qui y est bien accroché en plus de restes de cyprine. Le parfum doit probablement leur avoir sauté au visage à l'instant où j'ai ouvert car la chambre dans laquelle je viens d'arriver pue déjà le sexe et cette délicate odeur aura vite fait de prendre possession du couloir tout entier.

Lilly

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 11 lundi 27 mai 2024, 11:05:27

Kimberly a des miroitements pleins les yeux. La dernière minute avec Souta a été aussi intense qu'explosive. Les éjaculations successives du garçon accompagnées des pulsations de son sexe dans le ventre de la californienne ont comblées les attentes de cette dernière. Béate et accrochée au cou  de sa cible, elle le laisse se retirer d'elle tandis que dans son dos, les coups sur la porte indiquent que le nouveau gardien n'est pas au bout de ses peines. Cependant, il a fait ses preuves et a montré qu'il dispose d'un potentiel élevé; il en aura bien besoin. Souta la ramène dan son domaine, puisque jusqu'à présent, elle n'est pas allée plus loin que le palier de la chambre. Kim récupère sa culotte et son short et les passe sur ses cuisses ruisselantes. Elle tire son top qui s'est relevé sur sa poitrine juste avant que Souta n'ouvre la porte de sa chambre. Kimberly affiche un sourire de triomphe devant les nouvelles venues. Elle a gagné, c'est elle qui a ouvert le score avec le garçon et elle sait déjà qu'il reviendra vers elle. Et juste avant de sortir en ricanant, elle vient se coller à son dos musclé pour lui murmurer à l'oreille.

Kimberly: "Dès que tu en as envie, viens me voir. Je suis à la 202. Tu pourras me faire ce que tu veux ..."

C'est comme une reine qu'elle ignore les deux filles et elle disparait dans le couloir.

Il est vrai que Kimberly a fait fort en mettant la main aussi vite sur le nouveau gardien. Mais que ce soit elle ou une autre, il était couru d'avance que Souta ne passerait pas l'heure sans que quelqu'un ne lui mette le grappin dessus. Comme le hasard avait bien fait les choses. La résidence regroupait un nid de salopes invétérées portées sur le cul avant tout autre chose. Non non, ce n'était pas un rêve mais bien une réalité. Les féministes pouvaient bien braillées, il n'en restait pas moins que la déviance ambiante était animée par un groupe de nénettes délurées prête à croquer tout ce qui leur tombait sous la main. Quels que soient les goûts et les couleurs, les occupantes de la résidence brillaient par leur diversité. Maison internationale, l'endroit offrait un panel de beautés qui comblait toutes les genres et attentes. Et en retour, ces demoiselles attendaient une attention particulière et un minimum de ... non, de rien. Juste un mâle.

Daniela et Ayame n'étaient pas vierges, loin de là. L'une et l'autre avaient goûté à l'ancien gardien et en gardait d'une certaine manière une grande frustration. Le pauvre homme n'avait pas été capable de leur apporter ce qu'elles aimaient aussi le prétexte de venir voir Souta à cause du bruit était un bon élément déclencheur. Elles étaient curieuses, tout comme les autres résidentes.

Kimberly avait fait son show, c'était typiquement dans les habitudes de l'américaine qui trainait sa réputation de salope où qu'elle aille; aussi, le garçon serait une seconde main d'un soir. Pas grave! Et d'ailleurs quand il ouvrit la porte, nu, transpirant, magnifique avec son sexe raide, ces considérations là furent instantanément oubliées.

Daniela: "C'était bruyant ..."

Elle avait le regard rivé entre les cuisses de Souta. Pas sauvage, son sang sud-américain le lui interdisait, elle saisit par dessous la hampe qui pointait vers elle et posa le gros gland sur son poignet. Bon sang ... presque aussi épais. Daniela était un petit gabarit mais quand même ...

A côté d'elle, Ayame manquait défaillir. Son kink à elle, elle le prenait de plein fouet. La japonaise salivait devant se corps trempé et odorant.

Daniela repoussa Souta dans la chambre, entrainant son amie avec elle. Le scénario se répétait quand la porte claqua sur le trio. Dans le même mouvement, la petite brune s'était agenouillée devant le garçon et le pompait maintenant comme une furie. Si sa bouche était petite, elle n'en était pas moins experte et Souta put tester de son exiguïté. Des deux mains, elle le branlait tandis que sa langue raflait au passage tout les restes de la sauterie précédente. La particularité, c'est que quand Daniela taillait une pipe, elle ne lâchait pas le regard de son partenaire, du début à la fin.

Ayame, elle, s'était collée au flanc du garçon. Elle n'avait pas le physique d'une bimbo et avait toutes les caractéristiques de la japonaise timide. Sauf que ... Quand les effluves de sueur de Souta frappèrent ses narines, elle fondit et leva le bras du garçon pour lui lécher l'aisselle. Elle en roula presque des yeux et sa petite langue s'activa ensuite partout où elle dénichait cet apport de musc viril. Elle serait surement la première à jouir.


Souta et Janus

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 12 dimanche 16 juin 2024, 13:38:06

Ce n'est pas mon corps mais juste ma queue tendue qui tressaute lorsque le petit message de Kimberly vient se glisser dans mon oreille avant qu'elle ne quitte les lieux de manière aussi provocante qu'elle y est entrée tout à l'heure. Puis je suis certain qu'elle l'a dit assez fort pour que les autres l'entendent.

Mon attention reste porté durant quelques secondes sur ce petit cul absolument parfait que je ne me priverai pas d'essayer dès que possible vu qu'elle m'y a elle-même engagée à l'instant. Si des nanas comme elle sont si peu farouches et ouvertes à tout genre de proposition alors ce boulot pourrait très bien être dans mes cordes et me permettre de satisfaire plus que mon compte en banque qui, comme cette chaudasse de blonde, a besoin d'être rempli.

La réalité me rappelle tout aussi rapidement alors que je sens une main qui n'est pas la mienne me saisir la trique gonflée. Une petite paume à en juger par ce contact sur ma peau brûlante avant même que mon regard n'ait le temps de vérifier ce qu'il se passe. Je n'ai d'ailleurs pas le temps de voir ce qu'il se passe que je me fais entraîner une seconde fois dans ma chambre. A la seule différence que cette fois elles sont deux. Et que leur copine m'a déjà bien chauffé et fatigué même si notre échange aura été court.

Debout au milieu de ce qu'on peut considérer comme mon salon, je me fais littéralement bouffer le gland par une possédée. En général les filles n'aiment pas quand on leur propose une bite sale et pourtant celle-ci s'est jetée dessus pour la nettoyer sans piper un mot ou montrer le moindre geste d'hésitation. Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? On est à porno-land ? Ce qu'elle semble branler vigoureusement à deux mains en aspirant la pointe reste un peu endolorie après ce premier gros orgasme et il va me falloir quelques minutes pour revenir dans la course malgré la taille et la duretée du morceau.

Soucieux de voir comment ça se passe et de voir quelle expression elle arbore je baisse mon regard dans sa direction pour constater que c'était ce qu'elle attendait. Tout va à cent à l'heure. Je n'ai pas la moindre seconde pour m'installer ou réagir comme je le souhaite. Car même sa copine attire mon attention l'instant d'après en se collant contre moi telle une sangsue.

- La vache ! Vous êtes à fond !

Ce n'est pas la première fois que je me retrouve avec une nana possédant un fétichisme porté sur les ordeurs corporelles. Les deux autres s'étaient cependant contentées de me renifler tandis qu'elle va carrément y mettre la langue et la chose me chatouille légèrement. Au point de me faire perdre légèrement l'équilibre.
Comme pour chercher un point d'ancrage ma main vient se poser sur le crâne de son amie et je presse dessus sans le vouloir. Sa petite bouche se retrouve rapidement pleine alors que je cherche tant bien que mal à me diriger vers le sofa pour me poser et souffler un peu.

Un simple trajet de quelques pas me demande le triple du temps nécessaire pour le faire en temps normal. Entre l'autre qui est agglutinée contre moi et la seconde que je tiens volontairement pour pas me casser la tronche, ce n'est pas si simple que ça. J'ai chaud... Tellement chaud ! La température déjà élevée est augmentée par celle qu'elles dégagent toutes les deux. On pourrait voir les pompiers débarquer car quelqu'un les aurait appelé après avoir du de la fumée s'échapper par les fenêtres de la chambre que ça ne m'étonnerait pas une seconde.

- Ca vous arrive souvent de vous jeter sur des inconnus ?

Je pose ma question après avoir enfin lâché le crâne de celle qui commençait enfin à me procurer de nouvelles sensations maintenant que j'ai eu le temps de récupérer. Le tout avec des mèches qui me collent au front ou dans la nuque à force de transpirer comme un phoque.

Ce n'est pas étonnant que toutes les résidentes aient besoin de travaux si elles empêchent l'homme à tout faire de bosser. Mon prédecesseur a sûrement passer plus de temps en elles que dans leurs chambres.

Lilly

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 13 mardi 18 juin 2024, 13:50:21

Le bruit que produit Daniela n'est pas bien identifiable. Ça pourrait ressembler à un "bleuurrppp" comme à un "flaarrwwppp"; ce n'est pas très clair. Ce qui clair en revanche, c'est que c'est dans sa gorge qu'a plongé le sexe du nouveau gardien. Et pas élégamment, loin de là. Elle pensait se faire plaisir, et à lui aussi, en offrant un pipe made in south america mais quelque chose avait perturbé ce plan. L'homme avait posé ses mains sur sa tête et exercé une pression forte à laquelle elle  n'avait pas pu résister. Et d'ailleurs, même si elle l'avait pu, elle ne l'aurait pas fait.Pour une première, c'était sympa aussi que le garçon prenne des initiatives, preuve qu'il était déjà bien différent du dernier pleurnichard insupportable qui s'était finalement débiné. A la résidence, Daniela avait un petit surnom. On l'appelait Chupa, pour chupa pene. La traduction en espagnol confirmait ses talents de petite suceuse et elle ne s'offusquait pas qu'on l'appelle ainsi, même en public. De toute manière, les japonais étaient nuls en langues étrangères et le plupart croyaient sincèrement que c'était son prénom.

Elle dut déglutir trois fois pour avaler complètement la queue de Souta. C'était un sacré morceau mais elle y parvint. Dans sa chambre, elle avait une collection complète de toys de toutes les tailles pour s'entrainer et s'amuser, ou s'amuser en s'entrainant. Elle avait toussé car la poussée avait été franche et inexorable. Ses yeux avaient roulé dans leur orbite et elle avait papillonnée des paupières. Ça commençait bien pour elle mais elle essaya de reprendre un peu le lead, notamment pour respirer ... A moins que le garçon ne veuille l'étouffer ainsi ...

Elle n'avait réussi et son échec lamentable s'était traduit par un "bleuuurrppp" plus sonore cette fois. Souta avait reculé et elle avait suivi, à genoux et le gosier plein. Cette timorée, cette fausse timide d'Ayame faisait des siennes plus haut et influençait le bon déroulement de la fellation initiale.

La japonaise, en parlant d'elle, ne lâchait pas SON magnifique Souta. Elle pouvait être collante mais il ne s'en débarrasserait que s'il lui donnait ce qu'elle voulait. Le petit groupe bascule sur le sofa et enfin, Daniela peut se libérer et prendre une grande goulée d'air.

Daniela: "Je ..."

Sa réponse se limite à ça car sa copine lui appuie sur la tête, l'emmanchant à nouveau sur le sexe ruisselant qu'elle vient de cracher. A genoux entre les cuisses du garçon, la sud américaine faisait toute petite. Ayame se posa sur les cuisses de Souta, verrouillant la tête de Daniela avec son poids. Elle sourit au gardien, les yeux brillants d'un fanatisme déliquescent le concernant.

Ayame: "Elle, salope. Pas moi!"

Toute excitée, elle arrivait difficilement à s'exprimer. Elle vit une grosse goutte de sueur couler sur le torse masculin et plongea pour la lécher, provoquant encore l'immersion en gorge profonde un niveau plus bas. Ayame portait un ample t-shirt qui ne cachait que sa petite culotte. Il l'entravait un peu ses mouvements aussi elle se déhancha pour l'enlever et dévoiler son corps filiforme.

Ayame: "Tu sens bon."

Comme une chatte en chaleur, elle se frotte à lui, ses petits tétons durs comme de la pierre. Tout ce qu'elle peut lécher ou embrasser, elle le lèche et l'embrasse. Ses lèvres sont de vraies pompes à sueur et à sel, et quand elle trouve de quoi s'abreuver dans le creux d'une clavicule de Souta, elle est prise de convulsions et se tord dans un orgasme impressionnant. Elle en glisse des cuisses du garçon, libérant sa copine qui s'arrache à se pieu qui lui remplit la gorge. Daniela tousse et engueule sa copine en espagnol. Son maquillage à coulé et elle pourrait avoir un rôle dans un film pour zombie, avec ses yeux striés de sang et sa frimousse ravagée. Mais elle se détend très vite et se marre en voyant Ayame au bord de la syncope. Daniela s'appuie sur les cuisses de Souta et pose son menton sur ses avant-bras croisés devant elle.

Daniela: "Tu sais que tu peux faire ce que tu veux avec cette bouche?"

Encore deux belles nymphos ...

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Un mâle pour un bien (PV)

Réponse 14 mercredi 07 août 2024, 07:11:29

Je reste presque scotché quand je vois l'une d'elle tourner de l'oeil rien qu'en respirant mon odeur et léchant ma sueur. Des nanas avec des penchants tordus il m'est arrivé d'en croiser un certain nombre jusque là. Par contre, elle, elle en tient une sacrée couche pour finir dans cet état. Au moins ça permet de libérer sa copine qui était aussi sur le point de suffoquer avec ce qu'elle prenait dans la gorge depuis un moment. Ce qui ne semble pas l'arrêter vu qu'elle en redemande de manière suggestive.

Qui suis-je pour la priver de ce qui a l'air de lui faire tant envie ?

- On risque pas de déranger les voisines avec le bruit maintenant que vous êtes là. Alors tu peux t'étouffer sur ma bite aussi fort que tu veux.

Sans la prévenir ma main vient se posser au-dessus de son crâne pour appuyer dessus lentement. Mon regard peut contempler sa bouche faire disparaître ma queue centimètre par centimètre avec fermeté. Pourquoi se presser alors que de toute façon elles ne bougeront clairement pas de là où elles sont toutes les deux avant d'avoir obtenu ce qu'elles sont venues chercher ?

Malheureusement je sens que ça coince en arrivant aux trois quart de mon membre bien enduit de la salive de la latina. Je la laisse remonter un peu sur ma queue pour revenir au niveau de mon gland avant de la faire redescendre dans l'autre sens. La position ne doit clairement pas l'aider à tout prendre et je m'en amuse à chaque coup de gland dans sa gorge quand cela lui fait déverser un peu plus de salive sur ma queue toujours aussi tendue et demandeuse d'attention.

- Regarde-toi, tu baves partout.

Ma tige n'était pas la seule à avoir eu droit à un bain de salive. Mes couilles sont quasiment recouvertes d'une épaisse bave légèrement blanchâtre et composée de petites bulles. Cela arrive parfois quand on force une salope dans son genre à pomper une bite dans cette position.

Heureusement qu'elles sont deux et que j'ai une autre main de libre. Voir la japonaise se redresser est un signe du destin. Car je ne la laisse pas tenter quoi que ce soit et me saisis de son menton avec ma main libre.

- Viens là, toi !

Elle aime respirer des trucs bien forts ? Eh bien j'ai exactement ce qu'il lui faut. Son nez fini par se retrouver très rapidement entre mes jambes au niveau de mon scrotum qui doit sentir la transpiration, le sperme et la salive de sa camarade de jeu.

Dans cette nouvelle position chaque goutte de salive qui dégoulinera de la bouche de la latina finira sur le visage de sa copine qui se trouve à l'étage en-dessous. Et histoire de m'en assurer j'enpoigne la chevelure de la première et fais sortir ma queue toute entière de sa petite gueule dans un son bien crade. Plusieurs épais filets de salive rattachent ma bite à ses lèvres le temps d'un instant. Mais ceux-ci se rompent et tombent dans un spectacle tout aussi sale sur le visage si fragile de la renifleuse.

- Bougez pas ! Restez comme ça et regardez-moi !

Une première main continue de tenir la tignasse de la latina pendant que la seconde vient saisir la base de ma queue enduite de salive chaude. C'est avec un grand sourire pervers sur le visage que je commence à les bifler à tour de rôle. La salive vole autant sur leurs visages que les bruits de chair qui claque. Puis après 2-3 coups sur chaque visage, j'enfourne de nouveau ma queue tremblante dans la bouche de l'affamée qui s'en occupe depuis tout à l'heure. Puis je me retire pour recommencer à plusieurs reprises.

- Ah, merde, je sens que ça vient.

Entre la blonde de tout à l'heure et ce duo de nymphos je suis servi pour mon arrivée dans le coin. Me retenir ne servirait à rien si ce n'est m'épuiser davantage et j'y tiens absolument pas si jamais une autre folle venait à débarquer. En espérant que ça n'arrive pas car j'ai envie de souffler un peu. Et bouffer accesoirement.

Ma main continue de guider le rythme de la latina qui en fout partout par moment quand je la fais s'écraser trop fort sur mon pubis. Sa salive vole dans tous les sens pour éclabousser mon torse et le visage de sa copine qui semble avoir trouvé sa place en-dessous de nous deux.

La libération est proche et je vais attendre tranquillement qu'elle arrive pour leur en foutre partout dessus. De toute manière il va falloir faire des changements dans cet appart' maintenant que j'ai une bonne idée de ce qui a dû s'y passer avant mon arrivée.


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