Impossible de décrire le bien fou que ressentait précisément Grëtta à ce moment, alors qu’elle se faisait enculer puissamment. Un mélange de douleur, de plaisir, de soumission, et bien d’autres. La sensation de se faire traiter comme une vulgaire esclave, comme une poupée de chiffon bonne à se faire fourrer couplée à la sensation de servir une puissance supérieure, une entité, une créature fabuleuse et vénérable était l’une des sensations les plus douces et agréables qu’il soit pour Grëtta. Chaque coup de trique, chaque claquement de testicules contre les siennes, chaque soupir était un pur délice qui rendait la lieutenante toujours plus folle et euphorique, la poussant à hurler sa douleur et son plaisir, à jouir, à colorer le sol de la forêt en blanc à force de cracher du foutre en même temps qu’elle se faisait sodomiser. Et pourtant avec tout ceci, Grëtta parvenait encore à ressentir du plaisir en crescendo ; preuve que miss Sparkle, sa Maitresse, était une créature exceptionnelle parvenant à lui faire atteindre des sommets en matière de plaisir sexuel.
Tel une poupée entre ses mains, la lieutenante se faisait tringler encore et encore, jusqu’à ce qu’elle sente son corps se faire envelopper d’une étrange énergie. Trop euphorique pour y prêter attention, elle sentit néanmoins sa tenue se mettre à changer. Le haut de son uniforme militaire se transforma, devenant beaucoup plus serré … Et s’ouvrant au niveau de sa poitrine pour créer un grand décolleté en forme de cœur. La partie arrière – dans son dos – s’ouvrit aussi, suivit de son pantalon qui se métamorphosa en minijupe moulante. Dû à ce qu’elle se prenait dans l’arrière-train, sa nouvelle minijupe était repliée sur ses généreuses fesses, qui remuaient tendrement à chaque coup de trique. Grëtta, tellement emportée par le plaisir et par cette délicieuse queue qui défonçait ses entrailles, parvint à jouir rien qu’en sentant ses vêtements changer. La simple idée de se voir métamorphoser par sa Maitresse, de se voir remodeler selon ses goûts lui mettait une trique monstrueuse, qui lui faisait cracher une belle cartouche de foutre au sol.
Ses vêtements finirent de changer quand ses bottes devinrent des hautes-bottes à talons, et qu’une élégante paire de porte-jarretelle vint soutenir ses jambes galbées. Le clou du spectacle fut bien évidemment son collier, signe évident et parfait de sa soumission envers Sparkle. Grëtta était en transe, les yeux révulsés et la salive coulant au sol. Ses fesses étaient rouge sang et son anneau était très élargi, et rouge aussi. La lieutenante couina de douleur en sentant Sparkle agripper ses cheveux, afin de mieux assouvir sa soif de domination sur sa personne. Puis le moment final survint ; sa Maitresse planta l’intégralité de sa queue équine en elle, arrachant un immense râle douloureux à Grëtta qui sentit une énorme giclée de foutre couler brutalement en elle, finissant de remplir son bide qui devint rond, très rond. La militaire fut également frappée d’un grand orgasme qui la fit jouir copieusement, sa trique se mettant, tout comme celle de Sparkle, à cracher de grandes giclées blanches au sol. Tout ceci se termina quand l’Alicorne libéra sa servante, qui en tomba au sol.
Extenuée, reprenant lourdement son souffle, Grëtta avait les yeux rêveurs, la bouche ouverte et de la salive qui coulait. Jamais on ne l’avait prise ainsi, jamais elle n’avait ressenti un pareil plaisir et bonheur … C’était tout simplement irréaliste. « Haaaaa … » Gémit-elle, se reprenant doucement. Elle sentit Sparkle se pencher et caresser son ventre gonflé par le sperme présent dans ses entrailles. Quelques petits allers retours, puis la créature se retira, laissant échapper un petit filet blanc de l’anus de Grëtta. Vint alors un petit silence, durant lequel la jeune femme savourait l’après coup ; la douleur de cette sodomie, le plaisir de se sentir pleine à craquer, le plaisir de sentir sa rondelle bien écartée … Mais elle devait répondre à une question qui lui fut posée. « Hmmm … Haaaaan scheiße, c’était foutrement bon … » Murmura Grëtta, finissant par se retourner. Elle finit par s’asseoir sur ses fesses, faisant face à sa Maitresse en lui souriant vicieusement. « J’ai envie de tout te faire, ma précieuse Princesse. Si je m’écoutais je repartirais te pomper la queue et les couilles, puis j’irai à nouveau te manger l’anneau … Ou bien, vu la taille de ta queue, j’irai bien planter la mienne dedans. Mais le temps est précieux ! » Déclara-t-elle.
Sparkle venait de parler d’objets, et immédiatement dans l’esprit de Grëtta, quelque chose se débloqua. À présent dévouée à cette femme, sa mission, son ordre, son but dans la vie était de la servir et de l’aider. Quoi de mieux que de tenter de lui faire gagner en puissance ? Plus de magie devrait certainement intéresser Sparkle, et Grëtta songea alors à vieille légende qu’elle connaissait. « Je ne suis qu’une guerrière, ma Princesse, mais je m’y connais un peu en magie. Tu cherches du pouvoir, de la puissance, je le sens en toi. Et j’ai peut-être ce qu’il te faut … Ce n’est qu’une légende mais, il existerait aux quatre coins du monde des objets, des reliques ayant appartenu à de grands Démons. Ceux-ci, en fin de vie, auraient transférer toute leur puissance dans ces objets, dans l’espoir que des malheureux les trouverai, et les ouvrirai … » Déclara-t-elle, en premier. Un petit silence, puis elle poursuivit.
« Et prendrai alors possession de leur corps et de leur âme, renaissant de leurs cendres. Toutefois, la légende dit qu’il existerait un moyen de s’emparer uniquement de leur puissance, sans se faire posséder ou voler son corps à jamais. Je pense que si tu parvenais à t’emparer de la magie contenue dans chacun de ces artefacts … Tu deviendras plus puissante, plus forte que tout ce que tu n’as jamais pu espérer, ma Princesse ! » Déclara-t-elle fièrement. Grëtta se releva, et en s'avançant, sentit sa tenue crisser à chacun de ses mouvements, l'excitant encore plus qu'elle ne l'était. Cette nouvelle tenue lui allait à ravir et était beaucoup plus en accord avec son nouveau rang ... Elle adorait sentir ses fesses se faire mouler ainsi, sentir son cou serré dans ce collier ou encore s'afficher fièrement comme une esclave soumise. Puis elle se lova contre sa Maitresse, ne résistant finalement pas à l’envie de langoureusement l’embrasser. Fermant ses paupières, la lieutenante plaqua ses lèvres contre les siennes et enfonça tendrement sa langue, désireuse de partager un baiser avec Sparkle. Et pendant qu’elle savourait le miellé et la saveur exquise de ses lèvres et salive, elle saisit sa propre trique et l’orienta, l’air de rien, vers le bout plat de celle de Sparkle, frottant sa chaude cerise contre. Elle décolla nerveusement ses lèvres des siennes, puis d’une voix vicieuse s’adressa à elle, insistant sur la caresse de sa cerise contre son bout plat. « Mais j’ai envie de te faire des choses que personne ne t’as faite, ma Princesse ! » Déclara-t-elle, laissant alors le choix à Sparkle.