Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le crime attire la vermine (Nezumi Yamato)

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Naisho Yujima

Humain(e)

Le crime attire la vermine (Nezumi Yamato)

dimanche 19 avril 2015, 17:48:55

T'est sûr que tu veux travailler pour lui? Tu sais très bien qu'elle genre d'homme il est. Certainement pas le genre à qui tu peux faire confiance.

Bah voyons, Naisho sait ce qu'il fait. Lui et moi comprenons très bien ce que ça veux dire, travailler pour un homme de la sorte. On a survécu à pire. Thornton est un manipulateur et est clairement un homme qui vendrai sa mère pour de la drogue, mais il est loin d'être particulièrement dangereux.

Si notre leader pense pouvoir travailler pour lui, on doit lui faire confiance. Yuji nous a jamais déçus.

Alors que ces trois colocataires discutaient, Naisho était tout simplement étendu sur le lit qu'il partageait avec Shelly, torse nu en fumant une clope. Alors que la dame était assise près de lui et lui tenait la main droite, Mashario et Jiro étaient à table en train de déjeuner. Shelly embrassa la main de son ''leader'' avant de recommencer à parler.

Je comprends parfaitement que mon petit homme est habitué de travailler avec des gens très peu fiable, mais ça ne m'empêche pas de penser qu'il pourrait peut-être trouver un autre endroit pour travailler.

Bah voyons, c'est parfait pour lui. Thornton vas vouloir quelqu'un d'imposent, qui n'a pas peur de devoir se battre et sait écouter les ordres. Malgré toute la gentillesse que Naisho nous montre, n'oublie pas qu'il a travaillé avec moi pour le Joker. Quand tu as un géant de deux mètres, qui s'entraîne et qui sait se battre, tu ne rates pas l'opportunité de l'engager pour s'occuper de tes affaires la nuit. Thornton est bien trop lâche pour faire les sales besognes  lui-même.

Franchement Shelly, on ne parle pas de tuer des gens ou de retourner travailler dans un clan, mais de faire de la surveillance dans un magasin et de s'occuper des affaires nocturnes. Notre chef est capable de faire ça sans le moindre problème!

Soupire du principal intéressé, qui fait l'effort surhumain de s'asseoir. Passant sa main dans les cheveux de Shelly, il s'adresse à son groupe.

Il y a toujours du danger. On est dans un monde remplie de personnes qui peut nous tuer n'importe quand. Si ça se trouve, je vais continuer de vivre de la sorte pendant cinquante ans, sans mourir. Tandis que notre belle Shelly pourrait se faire buter en se rendant à l'école par quelqu'un voulant lui voler les quelques dollars qu'elle a sur elle pour se payer de la drogue de base qualité. Si je devrais m'inquiéter chaque fois qu'il pourrait vous arriver quelque chose, je ferais probablement une crise cardiaque avant mon trentième anniversaire dut au stress. Oui, si je me fais engager je risque de devoir me battre et oui y as des possibilités que ça tourne mal, mais je peux assurer que très peu de personnes prêtes à faire des crimes dans ce genre de petits magasins là oseraient m'attaquer. C'est majoritairement le même genre de personnes qui prendraient l'argent du cadavre de notre chérie, ils partiraient en courant pour trouver un autre endroit de la sorte. Alors, arrête de t'inquiéter miss, tu vas te faire trop de mauvais sangs pour rien. Bon, je vais devoir prendre ma douche et y aller. Si je veux le job, faut bien que j'aille passer l'interview.

Officiellement, l'homme qui se fait appeler Thornton cherchait seulement quelqu'un pour garder son magasin la nuit, se disant inquiet de la proximité de son commerce en rapport au quartier de la Toussaint. Mais Naisho savait très bien que ce n'était pas la vérité entière. Lorsqu'il avait travaillé pour le Joker, Thornton avait souvent demandé de l'aide pour se débarrasser de compétiteurs dans la vente de drogues et d'arme dans le marché noir. En échange, le clan recevait un pourcentage du produit du dealer. Naisho n'avait tué personne dans ce genre de contrat, mais il avait participé à des attaques et des séances de tortures faites afin d'avertir les gens de ce qui arrivaient à ceux nuisant aux alliés ou client du Joker. Il se doutait bien que le magasin n'était qu'une couverture afin de pouvoir se rapprocher des clients potentiels pour la vraie marchandise. L'endroit venant juste d'être ouvert, Thornton était probablement encore en train de contacter les fournisseurs et les clients, ce qui voudrait donc dire que les premières semaines consisteraient réellement de surveiller le magasin. Par la suite, le propriétaire expliquerait probablement qu'il n'a pas le choix à cause d'une histoire de famille ou quoi que ce soit de faire de la vente illégales pour nourrir ces enfants et bla bla bla, suivi de menace si l'employer déciderait de vouloir avertir la police, pour ainsi avoir quelqu'un afin de vendre sa marchandise la nuit. Mais aucune histoire n'allait ce raconter, puisque Naisho allait le confronter directement.

*Quelque heures plus tard*

Mais... comment savez-vous tout ça?

L'homme avait l'air troubler que son plan avait été si facilement découvert. Naisho eux un sourire en coin, en restant sur sa chaise.

Monsieur Thornton, je suis quasiment triste de ne pas être reconnut par-vous! Je pensais que ma carrure aurait suffi à trahir le fait que j'ai déjà eu affaire à vous par le passer. Bien sûr, je portais un masque et je me promenais avec une masse, mais quand même, il n'y a pas beaucoup de personnes comme moi dans le coin.

Un court moment de réflexion suffit à l'homme pour réaliser ce qui se passait et qui était l'homme en face de lui.

Je vois que mon passer ne m'as pas abandonner. Je ne m'attendais pas à revoir un des freaks du Joker de mon vivant. Mais...c'est peut-être pas si mal au final. Pas besoin de te mentir, de préparer des plans ou quoi que ce soit, tu sais comment ça marche. Mais les choses ont changé depuis le temps, j'ai augmenté mes activités.

L'homme ouvre un tiroir de son bureaux et en sort une boite à cigare. Sauf que quand il l'ouvre, c'était plutôt des bijouteries à l'intérieur. De l'or, des perles, pleins de petites pierres précieuses qui brillaient.

Tu vois, la drogue et les armes, c'est bien. Mais pour avoir encore plus de clients, trouver de nouveaux produits est très importent. J'en vendrais bien le jour, mais disons tout simplement que je ne reçois pas ces pierres de gens recommandables et que ceux travaillant pour les trouver ne sont pas vraiment payé. Donc, je les vends avec mes autres produits que tu connais très bien.

Eh bien, c'est peut-être pas mon domaine habituelle, mais des ventes illégales restes des ventes, peu-importe le produit. Parlons du salaire maintenant, parce que soyons francs, tu trouveras personne meilleur que moi pour vendre et défendre le magasin dans le coin. Ça serait dommage que tu rates ta chance de perdre un si bon employé.

*Trois semaines plus tard*

Passer une excellente fin de soirée madame et faites attention sur le chemin du retour.

Naisho donnait les sacs à la dame et l'accompagna à la porte. C'était sa dernière cliente avant la fermeture du magasin. Il ferma et barra la porte derrière lui. Une fois s'être assuré qu'elle était rendue suffisamment loin, il alla dans la salle de repos, dont la porte d'entrer se trouvait à gauche, derrière le comptoir. Excepté si quelqu'un trouvait le moyen de passer par le toit et le système d'aération, personne ne pouvait y rentrer sans avoir la clé. Si officiellement c'était la salle que Thornton et Naisho utilisait pour prendre leurs pauses, elle avait bien d'autres utilités. De base, c'est là que les boites pour les produits vendus en magasin étaient entreposés. Dans les casiers non-utilisé, se cachait une partie de la marchandise qu'ils vendaient à leur client nocturne. Mais surtout, sous la table, il y avait une trappe menant à l'entrepôt à l'arrière du magasin. Naisho utilisa la trappe pour s'y rendre. Si l'endroit avait l'air abandonner et non-utiliser, c'était en réalité la place la plus importante du commerce. La majorité de ce que Thornton pouvait vendre illégalement se trouvait. Il s'installa à la petite table et regarda les écrans dans l'endroit. C'était ce que filmaient les caméras à l'intérieur du magasin, ce qui permet à Naisho de s'occuper d'organiser les produits à vendre dans les prochaines soirées tout en gardant un oeil sur le commerce. Il prit donc le carnet de note que son boss lui avait laissé et commença à organiser les différents sacs pour les clients des prochains jours. Aucune commande n'avait été faîte pour ce soir, il n'avait donc aucune raison d'être pressé. Il continua son travail en regardant les écrans de temps en temps .

Nezumi Yamato

E.S.P.er

Re : Le crime attire la vermine (Nezumi Yamato)

Réponse 1 mercredi 06 mai 2015, 23:54:46

Ma mère m'a toujours dit que je dépensais trop. Bien entendue, je l'ai toujours ignorée quand elle me disait ce genre de chose, car elle n’était vraiment pas bien placée pour ouvrir sa grande gueule. Mais c'est dans une situation comme celle-ci que je me dis qu'elle avait peut-être, je dis bien peut-être, raison. Un peu. Mais pas tant que ça quand même. Mais voilà que mes coffres étaient à l'image de mon estomac : vide avec le besoin pressant d'être remplis. Uh... Bon, ce n’était pas aussi louche que ça dans ma tête, j'avoue. Ça fait déjà une semaine que je bouffais des trucs que je trouvais dans les poubelles des environs et pour être bien franche, mon estomac commençait à réclamer quelque chose de plus agréable. Je n’en ai pas envie, mais j'imagine qu'il est temps de retourner à la chasse. Par la chasse, je veux dire retourner braquer un magasin et de casser deux ou trois vitrines dans le quartier. L'habituel en fin de compte. Je me levai, réajustant mon long hoodie en donnant un bon coup de pied au cul de Colonel Squik qui se réveilla en sursaut.

-Tu parles d'un gros paresseux... Lève ton cul et amène toi, j'en ai marre de bouffer des ordures. Rassemble la familia, mon gros, on va faire un pique-nique!

Par pique-nique, j'entends braquage de banque. Aucun rapport, mais j'aime bien dire pycnique. Dès que Squik se leva, il poussa un genre de couinement qui ne ressemble pas du tout à ce qu'un rongeur aurait le droit de faire dans un monde idéal. Un drôle de mixte entre un couinement et un rot guttural et rauque. Pour être bien franche, je meurs un peu intérieurement à chaque fois que j'entends ça. Enfin, ce... Bah... Bruit, avait attiré ma petite armée personnelle qui se plaça devant moi en beaux petits rangs bien ordonnés. Si beau à voir, oh! J'en ai les larmes aux yeux! Bon, je dois leur expliquer la situation avant de vraiment chialer. Émotion quand tu nous tiens... Grande respiration... Ils m'aiment, ils ne jugeront pas, go!

Squee squee à vous mes frères et sœurs!

Squee! répondirent mes rongeurs en unissons.

La situation est critique... Enfin, pas critique. Elle est merdique, mais de là à dire qu'elle est critique, c'est un peu une hyperbole, on est loin d'en être là quand même ce n’est pas comme si on était tous en feu... Uh... Je m'arrêtai. Merde. De quoi je parlais déjà? Ah, ouais. C'est vrai. Le début de mon discours. Je disais donc, mes compatriotes, que notre situation est emmerdante. En effet, nos coffres sont vides, mon estomac réclame quelque chose de mangeable et je me fais horriblement chier. Je vous ai donc réunis ce soir afin de régler ces chiantises! Ça se dit chiantise? Enfin, ça. Notre cible? À déterminer! Qui est avec moi?!

Je levai les mains vers le plafond de ma petite base, m'aveuglant à la lumière du néon qui me fit presque tomber sur le dos. ''Squee squee squee!'' peut-on entendre. Ah... Les acclamations d'adorateurs... Dommage qu'en fait, ils n’ont rien compris de ce que je disais et qu'ils font simplement tout ce boucan parce que je leur ai appris à faire ça quand je lève les mains vers le ciel d'une manière dramatique. Quand même cool. Enfin bref! Il est bien temps de se mettre en marche vers l'extérieur! Mais pas trop vite. C'est glissant dans les escaliers. On a eu de la pluie il y a quelques heures.

Bon... La grande question à présent... Où aller? Franchement, j'ai presque fait le tour du quartier industriel, du centre-ville... Où aller? Le quartier résidentiel ne me fait pas très envie. Le braquage à domicile n’a jamais été mon truc. En fait, j'oserais même dire que ça me répugne. Va savoir pourquoi. Mmm... Oh, pourquoi ne pas prendre une petite marche! Je ne vais jamais trouver quoi faire si je me branle sur place pendant deux heures. Il est déjà pas mal tard, alors comme je m'y attendais, les rues étaient vides dans le quartier. Enfin, Squik et les autres me suivent à partir des égouts, alors même s'il y avait quelques personnes, ils ne verraient rien d'autre qu'une charmante jeune demoiselle en hoodie qui fait une innocente marche de soirée. Avec une crowbar. Après un petit cinq minutes de marche, que vois-je? N'est-ce pas là un charmant spécimen! Une charmante petite bijouterie que je n'avais jamais vue avant! C'est le temps de donner le signal à mon équipe. D'un coup de pied de biche sur une bouche d’égout. Presque immédiatement, tous mes rats en sortis et se mit en rangs devant moi.

Squik, tu restes avec moi pour l'instant. Sergent Camembert? Une petite souris portant un casque miniature d'un Pickelhaube allemand s'avance et pousse un petit couinement. Je veux que vous preniez votre unité pour pénétrer le bâtiment. J'ai besoin de savoir à quoi on a affaire. Un scan complet du bâtiment. Où est la marchandise, par où on rentre... Je veux tout savoir. Les autres en standby jusqu'à mon commandement.

Aussitôt dit, aussitôt mon équipe de scout disparut dans l'obscurité. Je sais qu'ils vont trouver un moyen de rentrer. Aucun bâtiment n'est à l’abri d'une petite infestation. Ces créatures sont tenaces, comme moi! Comme de fait, je n'ai pas eu à attendre très longtemps avant de recevoir des nouvelles. Bon, c'est un truc plutôt petit, avec une bonne protection, mais l'accès au toit est ouverte et... Hoho! Un emplacement secret avec des trucs intéressants? C'est bien. Je connais ma cible. Je grimpai sur le toit, utilisant l'échelle d'incendie pour m'y rendre facilement. Système d'aération... Je ne me lasse jamais de faire ma Solid Snake. Bien évidement, ce fut du gâteau de me rendre de l'autre côté. Avec le temps, j'ai appris à ne pas faire un seul bruit dans ces trucs et avec mes rats pour me servir de guide, rien ne pouvait m'arrêter! Sauf une trappe un peu mal vissée qui n'était clairement pas faite pour soutenir mon poids! Comme celle sur laquelle je me trouvais!

*ZBLAM*

Ouch... Fils de ta mère de conduit de merde! Qui est le connard qui a pas fait son job?! C'est sérieusement dangereux, ça aurait pu tomber sur la gueule d'un crétin qui passait par là! Sécurité au travail bande de cons! Et c'est qui l'enfoiré qui a mis son bureau là?! Ça aurait été difficile de mettre un lit ou une connerie du genre? Fuck fucking shit fuck FUCK!

Oui je parle en anglais quand je me fâche, ça pose un putain de problème peut-être?! Je vais leur en foutre moi! Tiens, un globe terrestre sur ton beau bureau cassé en deux? Bah tiens! Par la fenêtre! Je l'emmerde la subtilité, je L'EMMERDE! Non, non, non... Calme toi, Nezumi. Ce n’est pas le moment d'alerter la police. Même si c'est déjà probablement fait. Grande inspiration, et on relâche... Et encore... Fouuu... Finalement, les cours de relaxation africaine, ce n’était peut-être pas une mauvaise idée. Bon, pièce secrète, pièce secrète... Où. Où es-tu. Où est donc carnior. Où est Carmen Sandiego. Le front n'a pas grand-chose, mais pourquoi ne pas remplir un sac ou deux tant qu'à être dans le coin? Bon. Comptoir, les chiottes, le bureau que je viens de massacrer... Par où je commence. Le contenu de la caisse. Pourquoi pas. J'ai le temps.  Pas comme si un employé était encore là. Ou que je me trouve dans une planque de mafiosi.

Naisho Yujima

Humain(e)

Re : Le crime attire la vermine (Nezumi Yamato)

Réponse 2 vendredi 05 juin 2015, 20:35:28

Compter les pierres précieuses, faire des sacs, marquer le nom des clients et encore plus d'activité aussi passionnante! Voilà ce que Naisho faisait dans la remise supposément vide. Un travail peu intéressant pour un homme comme lui. Où était l'action, l'adrénaline, l'impression d'être vivant? Au moins, il gagnait de l'argent et avait une bonne sécurité d'emploi. Pas comme si son boss pouvait le renvoyer avec tous les informations que notre Yujima avait sur lui. En effet, Naisho était très bien renseigné sur les activités criminelles de son employeur et il ne se gênerait pas pour exploiter ces connaissances pour s'assurer de garder un travail. Surtout quand il n'apprécie pas particulièrement l'homme en question.

Il faut comprendre que les deux hommes, même si similaire en certain points, sont très différent au final. Oui les deux sont considéré comme des criminelles, Thornton par ces ventes illégales et Naisho pour les différentes attaques qu'il a fait en remplissant des contrats. Ils sont aussi deux hommes aimant l'alcool et la drogue, sauf que les points communs arrêtent là. Un est un homme riche, ayant détruit la vie et les espoirs de personnes bien plus faibles que lui et qui au final ne faisait rien de mal. Un esclavagiste, égoïste et sans la moindre pitié. Tandis que le deuxième était un jeune homme étant tombé dans le monde du crime dans une tentative de survie, après avoir été mêlé à des personnages qu'il n'aurait jamais dû rencontrer. Le premier est né avec une cuillère en or dans sa bouche, le deuxième est née avec une claque au visage et un père qui allait lui causer les plus grandes des douleurs. Même dans ce business, les deux se servaient de l'autre. Le riche profitait de l’autre en utilisant sa force et les évènements qui lui sont arrivés, tandis que le plus pauvre des deux profitaient de ces informations sur l’autre.

Bon sang, Naisho, le seul moyen que t'aurais pu trouver un travail moins fait pour toi aurait été de devenir comptable. Avec les autres qui sont parti cette semaine, tu vas avoir rien d'autre à faire que de passer ta nuit seul avec une bouteille d'alcool et un lit. La Vita Est Bella mon cul ouai.

En effet, Jiro, Mashairo et Shelly étaient tous en dehors de la ville pour différente raison, ce qui laissait le grand, puissant et incroyable leader du groupe...seul. Bon, il avait été seul avant eux pendant longtemps, ce n'était pas sa première fois. Même qu'habituellement la solitude était sa meilleure amie, celle qui avait accompagné ces pas pendant si longtemps. Mais depuis qu'il avait pris Mashairo sous son aile, il commençait à s'habituer à la présence de ces choses étranges que l'on appelle ... des êtres vivants. C'est donc dans cette ambiance de travail des plus énergétiques que le jeune homme continuait de faire son boulot.

Tu deviens trop émotif, t'est un vendeur de diamants, dont la majorité sont obtenus de façon illégale, pas un gardien d'enfant bordel. Pas comme si t'étais dans une mauvaise situation, de la nourriture, un lit et un endroit où vivre, tout ce que tu voulais en arrivant dans cette foutue ville. En fait, si t'enlève les polymorphes, les vampires, Le Joker et les meurtres, t'as eu pas mal tout ce que tu voulais. Alors compte tes diamants, écrit les noms et regarde la caméra pour... Oh merde!

Naisho put voir sur les caméras le bureau de Thornton brisé et surtout, une personne se relevant des débris pour partir vers la caisse enregistreuse.

T'as pas choisi la bonne soirée... peu importe qui viens de rentrer ici.

Naisho se leva de sa chaise et se dirigea vers le seul casier dans cette pièce qui n'avait aucun diamants ni sac, mais bel et bien sa marque de commerce personnelle : sa masse. La même qui lui servait dans le temps du Joker pour briser des genoux, à ouvrir les portes barrer et à faire parler le monde. Depuis, il avait eu beaucoup de moins d'occasion de l'utiliser, excepter dans certains contrat qu'il avait fait avec Jiro pour différente personne. Après si longtemps, c'était quasiment un plaisir de pouvoir la reprendre. En espèrent pour la pauvre personne qui était rentré dans le magasin qu'il n'aurait pas besoin de s'en servir. Il prit donc la masse et rentra dans le passage secret qui allait le mener dans le magasin.

Il fallait bien une première fois hein. Mon travail pouvait pas juste bien se dérouler, fallait une interférence.

Naisho arriva donc dans la salle d'employer, arme en main et prêt à surprendre sa proie. Il ouvre la porte menant au comptoir et remarque directement la personne en train de fouiller dans la caisse.

Tu devrais faire plus attention aux genres de magasins que tu voles... jeune...fille

Comme vous pouvez le remarquer, la détermination dans la voix du géant c'est un peu effrité en voyant la personne devant lui. Comment vouloir s'attaquer à quelqu'un ayant l'air si...inoffensif? Surtout que, maintenant qu'ils étaient dans la même pièce, il pouvait sentir une certaine odeur quand même désagréable. La demoiselle ne devait pas venir des endroits les plus riches de la ville.

Sans insulte jeune fille, mais tu aurais plus besoin de voler du parfum que des pierres précieuses. Particulièrement maintenant que je suis là. J'ai pas envie de t'écraser la tête avec une masse, je comprends que tu ne dois pas être la personne la plus fortuné de la ville, mais je peux pas tout simplement te laisser cambrioler le magasin. Alors, pourquoi tu ferais pas juste déposer les sacs au sol et partir comme une gentille petite fille?


Naisho pointa la porte de sortie avec sa masse, d'un air désintéresser et sans grande conviction. Étais-ce réellement correcte de traiter de la sorte une personne semblant en mauvaise situation, pour protéger le magasin d'un truand qui a fait fortune sur le dos des autres? Naisho savait très bien la réponse au final, mais il devait faire son boulot.

Nezumi Yamato

E.S.P.er

Re : Le crime attire la vermine (Nezumi Yamato)

Réponse 3 mardi 16 juin 2015, 17:38:46

Okay, parfait. Voilà la caisse. Elle est fermer, c'est certain, bien sûr qu'elle est fermée, quel genre de crétin laisse sa caisse ouverte. Euhm... D'accord, j'enfonce le pied-de-biche et ça ne fait rien. Elle est faite en quoi cette putain de caisse?! Plan B. Levant mon pied-de-biche au-dessus de ma tête, je fermais les yeux. Une grande inspiration. Nezumi, pense à tes ancêtres samouraïs. Pense à ces fiers guerriers. Pense à ce qu'ils ont fait, leur sacrifice. Pense à Guan Yu qui est mort pour sauver ses alliés durant la bataille du château de Fan. Non, attends. Guan Yu n’était pas un samurai. En fait, Guan Yu est un Chinois, j'ai pas rapport. Non, attends, je dois réfléchir à autre chose. Hattori Hanzo? Non, c'est un ninja. Oh et puis j'emmerde les ancêtres! D'un geste vif, BAM! Un bon coup directement sur la caisse!

Tu n'avais aucune chance...

Ooooh classe, on pouvait presque entendre les ''Oyooooo!'', le tambour et voir les pétales de cerisier! Bon, la caisse. Je suis tout excitée de voir ce qu'il y a là-dedans! Alors alors... Elle n’est pas ouverte. Je n’ai même pas frappé dessus en fait. J'ai défoncé le comptoir par contre. Peut-être que fermer les yeux n’était pas une bonne idée. Ah bah merde, c'est un de ces vieux modèles de caisse qu'on ouvre en appuyant sur un bouton. Et il n’est même pas verrouillé. Oups. Et elle est vide... Les enfoirés de fils de pute je vais tous les baiser non, mais c'est quoi cette MERDE! Quel genre de con laisse sa caisse vide?! Ooooh peut-être que je devrais mettre mon argent en sûreté avant partir hur dhur! Non, non, ça va Nezumi, calme-toi. Il y a rien là-dedans, mais peut-être que tu auras plus de chance dans les autres. Je ne peux m'empêcher de soupirer. Ça commence à devenir routinier. Les petits magasins commencent à être trop faciles... Ennuyant en fait. J'ai plus la même lancée d'adrénaline que quand j'ai commencé ce genre de vie. Enfin, ce n’est pas comme si tout ça allait changer du jour au lendemain. Ah voilà, un peu d'argent dans la deuxième caisse. Pas grand-chose, mais j'imagine que c'est mieux que rien. Tout allait bien, tout était tranquille jusqu'à ce que... Uh... Quelqu'un. Woops. Il n’était pas très bien habillé et il brandissait une masse comme un barbare. C'est quoi ça? Un autre cambrioleur?

Jeune fille...? Eh oh grand con! Va voler ton propre magasin, tu vois pas que je suis déjà là?! Aller, va. Je vais faire comme si j'avais rien vu.

Je suis trop bonne, je sais. Alors, troisième caisse! Et c'est qu'il ne quitte pas le connard! Il ne sait pas que c'est mon territoire, visiblement! Bon, c'est mon territoire depuis environ une heure, mais c'est pas une excuse!

Non, mais va te faire foutre? Pourquoi j'irais cambrioler du parfum? Tu penses qu'ils se font beaucoup d'argent en une journée? T'es vraiment nouveau dans ce domaine hein? Bon, je me sens hautement généreuse, alors je vais t'offrir un peu de mon immense sagesse. Gratuitement en plus. Premièrement, ça. Dis-je en pointant sa masse. C'est laid, c'est pas élégant. Ça te donne l'air d'un barbare. On va rire de toi, ça fait pas professionnel. Ensuite, ton attitude. On dirait que tu prend pas plaisir à ça! On va pas te prendre au sérieux si tu restes gentil! Tu dois être dur! Faire peur! T'a rien de spécial! Franchement, j'ai envie de bâiller rien qu'en te regardant, c'est ridicule.

Je poussai un petit soupire, retournant à ma caisse. Je le chassais avec de petits mouvements de mains. Il allait probablement comprendre que je suis une pro. Franchement, ces jeunes ne connaissent rien au crime. Il va nous donner une mauvaise réputation. Mmm... Nope, il a pas l'air de bouger.

...Qu'est-ce que tu fous encore là? Fout le camp, tu ruines mon mojo. T'a besoin que je te montre la porte? Que je te tienne la main?

Naisho Yujima

Humain(e)

Re : Le crime attire la vermine (Nezumi Yamato)

Réponse 4 mercredi 30 décembre 2015, 22:08:57

Ah bah la vache, c’est qu’elle avait du caractère la petite dame.  Il s’attendait à voir quelqu’un partir en courant, s’excuser, quelque chose du genre, là il se faisait parlé comme un enfant qui commence l’école.  Disons qu’a son âge et sa grandeur, il était plus habitué à se faire traiter avec un minimum de respect, que ça soit par honnêteté ou crainte.  Sauf que la personne se tenant devant lui ne semblait en avoir absolument rien à faire de la différence de taille (pourtant très grande) et semblait juste en très mauvaise humeur.

Eh Oh, si tu ne voulais pas te faire déranger t’avais juste à cambrioler un truc moins importent. Tu t’attendais vraiment à ce qu’une bijouterie appartenant à Thornton n’allait pas être surveillé? Je crois que c’est moi qui ai des trucs à t’apprendre.    Mais bon, je vais répondre à ton cours en premier.  Donc, de un, ma masse me sert à faire peur aux gens. La majorité des personnes n’aiment pas voir quelqu’un de ma taille arrive avec un objet qui est fait pour briser des matières solides comme des briques et du béton.  Tu comprends, l’effet d’intimidation? C’est psychologique, rentrer dans la tête de l’adversaire, lui faire comprendre d’avance qu’il est désavantagé face à moi. Puisque, soyons franc, si toi et moi on en vient au coup, sa risque pas de durer longtemps.  Je dois admettre t’as fait un bon travail pour t’infiltré, donc je peux te donner un minimum de crédit, mais t’as pas l’air d’une combattante je dois dire.

Il prend le temps de l’observer un peu. Apparence jeune mais une attitude qui trahis le fait qu’elle doit être plus vieille en réalité, un style vestimentaire bien à elle et une couleur de cheveux inhabituelle. Ce n’était pas une petite fille ordinaire.

Ensuite, ne me fait pas à croire que t’as pas vut certaine des étudiantes et les personnes qui habitent cette ville. Superficielle comme ils sont, tu croit vraiment que les magasins vendant de produits de beauté se font pas beaucoup d’argent? Toute ces connasses qui veulent compenser un manque de personnalité par leurs apparence et ce qu’elles ont de  l’air, je suis sûr que tu pourrais te faire un max d’argent avec ça!  Je comprends que t’as pas de l’air du genre de personne qui s’intéresse à ça, pour être franc j’y prête pas attention moi non plus, mais quand y viens le temps de cambrioler un truc, c’est cool quoi. 

Naisho dépose sa masse sur le comptoir et s’appuie dessus avec les mains en regardant la demoiselle.

Pour finir tes accusations, je tiens à dire que mon attitude en générale est des plus correctes. Le message est claire, je donnes une chance de partir, si la personne veux rester et se battre, qu’elle le fasse. Je en garantis pas qu’elle vas se relever un jour, mais c’était sa décision au final.  Habituellement je suis un peu plus brusque, mais il faut comprendre que mes adversaires habituelles sont, comment dire…plus imposent? J’affronte des personnages avec des couteaux, des armes ou de l’expérience en combat.  J’ai déjà travaillé pour des personnes me demandant de causer des blessures graves à des gens, je sais comment faire.  Disons juste que j’ai été un peu plus gentil avec toi parce que, contrairement à ceux que j’ai dut battre avant, tu m’as de l’air d’une bonne personne qui est dans une mauvaise situation.

Il s’éloigna un peu du comptoir pour marcher dans le magasin. 

C’est bien beaux répondre à tes accusations, mais j’ai moi-même remarqué quelque détails sur ton travail qui laisse à désirer. Premièrement, le comptoir à une marque dessus alors que la caisse est intact. As-tu réellement raté ton coup et frapper le comptoir? Ouvrir tes yeux en frappant, tu y a pas pensée? Tu devrais essayée, c’est pratique.  Quand tu fermes les yeux, tu peux perdre un peu le sens de l’orientation et frappée au mauvais endroit.  De plus, ta technique pour s’infiltré n’as pas tout à fait réussit. Tu sembles avoir fait une vilaine chute.  D’ailleurs, il y a de la glace dans la salle d’employer si t’en as besoin.  Tu aurais dut tester la grille, mettre un peu de poids avec ta main voir si elle semblait solide.  On a fait exprès de faire ça,  afin que si quelqu’un passe dessus, il arrive exactement ce que tu as fait : Tombée. Bon, c’étais pas très gentil de laisser la table directement en-dessous, mais bon, ça aide à faire passer le message.

Grand sourire du géant qui retourne au comptoir en regardant Nezumi.

Ah, un dernier détail : À cette heure-ci, il aurait été très surprennent de trouver quoi que ce soit dans la caisse. L’argent est déjà en sécurité là où j’étais avant que tu t’introduises dans le magasin.   Donc, non seulement t’as pas tout à fait réussie à t’infiltrer à la Splinter Cell, mais en plus…t’est pas allée au bon endroit. Au finale….t’as une seule bonne nouvelle.

Petit moment de silence de sa part, qui prends le temps de penser à si il prend réellement la bonne décision.  Sauf qu’il savait très bien ce qui était la chose à faire.

Vois-tu…je déteste mon patron.  C’est un connard. Imagine-toi le pire trou du cul de l’histoire…eh bah il est pire.  En plus, j’aime bien ta façon de penser. Ton comportement, ton attitude…j’ai l’impression que toi et moi, on a des points en commun.  Alors, je vais être gentil…je vais te dire où trouvé l’argent.  Mais pense pas que je vais faire sa chaque soir, considère sa comme un cadeau de bienvenu pour ton arrivée dans le magasin. 

Nezumi Yamato

E.S.P.er

Re : Le crime attire la vermine (Nezumi Yamato)

Réponse 5 jeudi 19 mai 2016, 22:31:13

Nan, il veut vraiiiiment pas partir. Je dois admettre, ce mec a des couilles. C’est aussi plutôt surprenant qu’il ne me connaisse pas. Je veux dire, je ne veux pas me vanter, mais je suis un peu une rock star dans le milieu criminel. Mon visage passe plus souvent à la télévision que Donald Trump qui vient de dire un truc raciste. J’imagine que même les pires troglodytes de cette planète ont au moins une petite idée de qui je suis. C’est… Vexant. Que quelqu’un m’adresse la parole comme si j’étais qu’une pauvre conne qui vient de mettre le pied dans l’industrie. Au moins, il reconnait mon énorme talent! Oh, que de compliments! Il ne connait peut-être absolument rien, mais au moins il a l’œil pour reconnaître la grâce et le talent qui émane de ma persOUCH! Merde! Fils de pute! Il m’a pas vu échapper mon pied-de-biche sur mon pied hein?

Tch… J’ai mieux à faire que de me laisser sous-estimer par un barbare comme toi. T’es sois trop confiant, soit vraiment con. Mais peu importe ce que t’es, viens pas me faire chier ou tu verras que c’est pas parce que je suis pas grande que je peux pas t’en mettre une en pleine gueule!

Encore une fois, il critique mes choix. Mais…. URGH! Non, non Nezumi, pas la peine de te frustrer. Graaaande inspiration… Souviens-toi. Relaxation africaine. Souviens-toi de ce que disait Rafiki. Rafiki c’est vraiment un drôle de nom pour un Africain. Je suis même pas africaine et je trouve ça raciste. Remarque ça serait vraiment pas aussi raciste si le mec n’était pas un blanc avec un accès beaucoup trop facile à beaucoup de marijuana. En tous cas, il savait bien relaxer, ça on ne peut pas lui enlever.

Autant je peux être d’accord avec toi quand tu dis que cette ville manque cruellement d’originalité dans sa population de pétasses, je dois être en désaccord sur tout le reste. Les magasins du genre, c’est dans des centres commerciaux. Ce qui veut dire gardiens, caméras, plancher fraîchement lavé à odeur de citron. J’ai sérieusement pas envie de me faire chier avec ça.

Oh mais ce que j’en ai rien à branler de son attitude! N’iiiimporte quel crétin serait capable de faire des blessures graves avec une masse. C’est une masse! La gravité fait 90% du boulot! …Pourquoi je lui dis pas? Euh… Bah c’est pas comme s’il me faisait peur hein. C’est pour… Pas blesser son orgueil. Les hommes tiennent à ça normalement, non? C’est de bonne foi! Je le jure! Enfin j’allais le laisser s’en sortir jusqu’à ce qu’il critique mon boulot. Oooh…. Ho-hooooo nooooon non non non il vient pas de dire ça. Tu sais quoi? La respiration peut aller se faire foutre. La relaxation aussi.

Premièrement, tu iras savoir que ÇA, cette marque, c’était entièrement volontaire! C’était un échauffement, pour ne pas étirer de muscles! Une grosse brute comme toi devrait comprendre, le principe, non? Et tu iras savoir que la chute que j’ai faite, c’est de VOTRE faute! Ce truc-là était mal installé, qu’est-ce que tu voulais que j’y fasse?! De toute façon, le bureau de ton patron est laid, c’est un putain de service que je viens de lui rendre et c’est un putain de service que je te ferais si je faisais la même chose avec ta figure! Je suis TRÈS au courant pour votre petite planque, on m’a déjà tout dit ça, je passais simplement pour voir si y’a pas un crétin qui avait laissé quelque chose dans le coin.

Franchement, je suis à deux doigts de lui lancer une bombe en pleine gueule. Si c’était pas qu’il me proposait à l’instant de me refiler tout son… Argent… Uh… Je dois admettre que j’ai pas…. Je sais pas comment réagir. On m’a jamais dit ça. On m’a jamais donné de l’argent. Est-ce que j’ai le droit de lui demander de faire comme si ça lui dérangeait? Parce que sérieusement, je sais pas quoi dire.

Alors tu me donnes tout ça… Comme ça. On vient de passer les 5 dernières minutes à s’envoyer chier et tu me permets de seulement… Tout prendre. Sans piège.

Je devrais lui dire merci, j’imagine. Mais fuck that, comme on le dit si bien. Je serais conne de refuser ça! Bon, je vais donner le signal à Colonel Squik. C’était… Ah oui. Les deux petits doigts aux coins des lèvres. Grande inspiration eeeeet…

*FWEEEEEEEEE*

Oh, je peux déjà l’entendre courir. La terre tremble alors le voisinage au grand complet doit le sentir en fait. J’ai… J’ai pas ouvert la porte hein?

*CRASH!*

Oh. Oh ouais. Ce mur-là n’existe vraiment plus. Et ouais, c’est l’alarme qui vient de s’enclencher. Et c’est aussi les gicleurs d’eau qui viennent de partir. Ooooh boy. Bon sang que l’arrière de la nuque pique quand on a l’air con. Vous avez jamais remarqué ça? Je dois admettre que je m’attendais pas à être aussi mouillée ce soir. Sous-entendu volontaire.

Euhm… *Pat pat pat* Merci mon grand. Si tu veux bien, je vais me dépêcher. Avant que les flics arrivent. Je connais le chemin. Mais si tu veux ouvrir la porte pour moi, je ne dirais pas non. J’imagine que c’est lourd et j’ai pas beaucoup de temps à perdre…


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