Identité : Jessica Skyangel
Âge : 20 ans
Sexe : féminin
Race : Humaine
Sexualité : Bi, malgré une préférence non négligeable pour les pénis.
Expérience : Très expérimentée avec les hommes, moins avec les femmes.
Physique :
Comment décrire Jessica ? Rien de bien difficile en fait. Pour un être humain lambda, elle ressemble en tout point à une bimbo. Vous voyez le genre ? Gros lolos, lèvres pulpeuses, fesses généreuses sans graisse en trop, des cheveux bruns ondulés qui lui tombent juste au-dessus des seins. Bref, des courbes qu’on ne peut ignorer à moins de n’avoir aucune attirance pour le corps féminin. Par contre, contrairement à sa mère Hélène, elle n’a pas héritée de la même taille. Quand sa génitrice mesure plus de deux mètres, la gamine ne fait « seulement » qu’un mètre quatre-vingt-dix. Certes c’est déjà beaucoup pour une femme, elle a eu le temps de le constater durant ses années de collège et lycée, mais rapidement elle a pu en tirer un certain avantage. Voir les gens de haut, ça donne une certaine prestance, voyez-vous. Ça impose le respect, ou la crainte. Ça dépend du point de vue, héhé.
Des yeux bleus, une peau bronzée aux UV (oulala c’est pas bien !), un petit nez, un maquillage que beaucoup pourrait voir en trop grosse dose. Jessica est une femme de vingt ans qui prend vraiment soin d’elle. Avec une bonne couche d’estime de soi, elle utilise ses charmes à chaque fois qu’elle est en a l’occasion, sitôt qu’elle est en compagnie de quelqu’un ou qu’elle veut quelque chose.
Accro au shopping, son style vestimentaire est à la fois très bling-bling, et très provocateur. Avec un décolleté plongeant, ou des vêtements moulants. Parfois les deux ! Elle n’apprécie pas les tissus qui couvrent trop son corps. Un minishort vaut mieux qu’une longue robe. Ne cacher que le nécessaire pour laisser à l’imagination le reste du boulot.
Dernier point, les armes. Nous vivons dans un monde dangereux ! Les rares cours de self-défense qu’elle a pu suivre durant sa courte existence ne suffiront jamais en cas de véritable agression. C’est du moins ce qu’elle pense. Ainsi elle ne sort jamais sans son couteau papillon dans une poche et sa bombe au poivre dans l’autre.
Caractère :
Faisons maintenant une liste de ses qualités, les défauts viendront ensuite car ils sont bien plus long. Elle est courageuse, rebelle (si si, c’est une qualité), elle sait guider une équipe ou un groupe de personne par le bout du nez. Elle est active et franche, même quand il ne faut pas.
Les défauts maintenant. Elle est matérialiste, avare, superficielle dans le sens où il est très souvent plus simple de jugé quelqu’un par son physique que par ce qu’il y a à l’intérieur. Vicieuse, elle n’hésite pas à utiliser le poste de sa propre mère (commissaire de police) pour se faire entendre et respecter. Perverse à la limite de la nymphomanie. Tailler une pipe à une jeune garçon dans la cabine d’essayage d’un magasin pour qu’il lui paie ses nouveaux vêtements, ça ne lui pose aucun problème par exemple. Même s’ils ne se connaissent quasiment pas.
Pour ce qui est de la politique elle s’en cogne totalement. Le monde est bien trop grand pour qu’elle domine tout ce monde. Son petit univers est déjà bien assez complexe, pas besoin d’élargir les horizons. Un jour peut-être, mais pas aujourd’hui.
Cela dit, si elle a bien peur d’une chose, c’est justement de se retrouver seule. De perdre son fan-club, d’être discréditée, insultée sans plus n’avoir quoi que ce soit à répondre. Rappelez-vous, elle est du genre superficielle, sans public elle n’existe plus. C’est réellement sa plus grande phobie, son plus grand cauchemar. Les araignées, le noir, les gens louches, ça ne la met pas franchement à l’aise non plus oui, mais c’est d’un tout autre niveau.
Elle a tellement peur de perdre ses fidèles, que le dernier qui a eu le malheur de la traiter de pute, il est encore sur la liste des personnalités disparues, sur le mur du bureau de sa mère, héhé. Vous voilà prévu.
Histoire :
Cette histoire a commencée il y a déjà une vingtaine d’année ! Vous êtes en retard ! Je suis la fille de mademoiselle Hélène Skyangel commissaire de Police de la ville, et la soumise dévouée de maitresse Copperhead. Quoi ? Ça vous choque ? Ah mais attendez, on a pas commencer depuis le début !
Je suis née pendant que ma chère mère préparait son concours d’officier, et je crois pouvoir dire sans trop me tromper que dès le départ, je lui en ai fait bavée. D’après les médecins, je n’étais pas un tout petit bébé, et déjà dans le ventre on pouvait entrevoir toute l’énergie que j’allais être capable de déployer une fois dehors. Pauvre maman, elle ne méritait pas ça. Quoi que … si en fait ! Vous voyez, elle est flic, elle aime son boulot et elle est très douée là-dedans. Mais moi dans tout ça ? Je compte pour du beurre ! Je passe après sa carrière, après ses collègues ! Peut-être que ce n’est jamais ce qu’elle a voulue, qu’elle ne s’en rendait pas compte, mais c’est ce que j’ai toujours ressentie ! Du coup forcement sitôt que j’ai commencée à gagner en maturité, son autorité déjà très faible n’avait maintenant plus aucun pouvoir sur moi. Obligée ! Au moins comme ça elle voyait que j’existais ! Elle gère peut-être ses hommes et ses équipes d’une poigne de fer, mais à la maison c’est du vent qu’elle gère.
En conclusion, une enfance difficile, une adolescence turbulente et une période pré-adulte chaotique. Des amis ? Je n’en ai jamais eu. Bien sûr j’avais dès les premiers jours de classe un vrai fan-club. Des groupies qui me suivent partout, des flots de garçon qui vendraient leur mère pour une photo avec moi. Les écoliers étaient tous à ma botte, peut importe l’établissement où j’étais inscris. Le règlement intérieur changeait en fonction de mes choix, les pions rentraient chez eux en courant. J’étais la big boss. La reine. Et a chaque rentrée, je faisais mon tri dans les nouvelles têtes. En conséquence, beaucoup d’ennemi, beaucoup de jalousie, beaucoup d’admirateurs et admiratrices aussi, mais jamais aucun véritable ami.
Le coup de foudre est venu me voir bien entendu, comme à toute les jeunes filles lors d’un instant de faiblesse. Oh il était si beau, si fort. Nous n’étions pas dans la même classe mais à chaque récrée nous nous retrouvions pour baiser comme des sauvages dans les toilettes. Ah que de souvenirs. Magnifique … Jusqu’à ce qu’il me traite de pute. Oui oui, c’est lui le garçon qui est porté disparu depuis des années maintenant et dont l’avis de recherche est toujours accroché dans le bureau de maman. Héhé, l’acide, quelle formidable invention pour faire disparaitre un corps.
Vous vous demandez sans doute comment on en est arrivé à une telle extrémité ? Bah c’est tout simple. Vers mes quinze ans, ma mère est venue me présentée une très belle femme surnommée Copperhead. Vraiment très belle, si bien qu’au début je la détestais. Elle n’avait pas le droit d’être plus belle que moi ! Pas le droit d’avoir plus d’attention de la part de maman que moi ! Et pourtant, les mois ont passés et j’ai appris à la connaitre. Nous avions la même libido, le même penchant secret pour les relations sexuelles. Et en plus c’est une hermaphrodite ! C'est-à-dire qu’elle a entre les jambes à la fois un sexe masculin et un sexe féminin. Le premier reste mon favori et elle l’a très vite compris. Il ne fallut ainsi pas longtemps pour que je devienne sa soumise dévouée, son objet de jouissance, son trou à sperme. Brr, j’en tremble encore d’envie, j’en rêve la nuit, je n’attend que ça la journée. Un appel de sa part suffit pour que j’abandonne mon groupe de fan et file me calfeutrer chez elle, pour des heures et des heures de plaisir.
Autre :
Sa surdose d’énergie est telle, que cela pourrait passer pour un pouvoir. Une réserve insatiable d’endurance qui lui a jusqu’à maintenant permit de ne jamais être fatiguée ni véritablement essoufflée. Courir une heure avec une bande trou-du-cul aux fesses, et être capable de remettre ça aussitôt quand il s’agit de semer la police.
Son fan-club est si étendu qu’il englobe presque tous les corps de métier. De l’apprenti garde-du-corps au pirate informatique, en passant par l’étudiant en droit et la caissière de supermarché à l’écoute de tous les nouveaux ragots. Ainsi, elle sait énormément de chose, possède encore plus et peut fournir le moindre de ses caprices en quelques mots, sans que sa mère flic n’en sache rien.