Entre Eleïna et Emilia, il y avait quelque chose de profondément sentimentale. Avant le sexe, avant les câlins et les caresses, les deux femmes s’attiraient mutuellement, et surtout, puissamment. Une attraction incompréhensible, mais viscéral. C’était toujours une tâche ardue à réaliser, quand on voulait décrire la relation qu’elles entretenaient. Mais ce qui était sûr, c’était qu’Emilia était tout simplement et purement folle amoureuse de la métamorphe. Un amour puissant et sincère, aussi cristallin que transparent. Un amour rare et précieux, qui était tombé sur les deux femmes dès la première fois qu’elles s’étaient rencontrées. On pouvait en déduire qu’elles étaient des âmes-sœurs, puisque l’attraction avait joué dès le premier moment. Ce n’était ni le physique ni le sexe, c’était uniquement les sentiments et l’amour qu’elle se portaient l’une à l’autre, qui faisait qu’elles s’aimaient autant.
Mais le fait d’accompagner tout ceci par des gestes n’était que bien. Cela permettait de concrétiser physiquement leur amour, et de la plus belle des manières. Pas de bousculements, pas de brutalité ; tout se faisait dans la douceur et la tendresse de ces deux femmes, qui étaient par nature douces et aimantes. C’était aussi pour cela qu’elles s’entendaient si bien ; elles étaient sur la même longueur d’onde. Emilia était en train de vivre le plus beau moment de sa vie, celle où elle partageait un instant de pur plaisir avec la femme habitant dans son cœur et dans sa tête. Eleïna avait été sa première fois, bien que techniquement, Emilia n’était pas encore dépucelée. Et ce jour-là, elles refaisaient l’amour, au sens propre du terme, dans une douceur encore jamais atteinte. La petite adolescente s’était couchée dans l’herbe et avait pris en tenaille les hanches de son amante, qui était en train d’honorer sa petite poitrine dans la règle de l’art.
Emilia sentait ses tétons pointer durement, et était en train de suffoquer de sensations alors que Eleïna jouait avec eux. Jamais n’avait-elle encore ressentie une pareille sensation, et celle-ci en était presque à lui couper le souffle. Ceci résultait alors de ses nombreux petits gémissements, qui sortaient comme une douce mélodie de ses lèvres à chaque fois que sa belle amante donnait des coups de langues. Elle avait envie de lui dire encore et encore qu’elle l’aimait, elle avait envie de s’offrir encore plus à elle, mais elle ne pouvait pas le faire. Ses seins étaient en train de brûler sous le plaisir indescriptible qu’elle recevait, à un tel point que ses mains se crispèrent tendrement dans la chevelure argentée de son amie. Sa poitrine était une partie particulièrement sensible de son anatomie, peut-être plus que n’importe quelle autre partie. Elle pouvait deviner à présent qu’à chaque fois qu’elle ferait l’amour avec Eleïna, celle-ci allait tout faire pour flatte au maximum sa juvénile poitrine.
« Haaa … » Soupirait-elle doucement, mais intensément alors que sa chérie continuait son merveilleux œuvre. Cependant, elle finit par délaisser ses seins pour commencer à descendre. Le cœur d’Emilia se mit à battre très fortement, redoutant de là où venait venir Eleïna. Mais elle savait que c’était nécessaire, et qu’elle ne le regretterait pas. Mais attaquer sa plus forte intimité était toujours … Fort en émotion. Son souffle s’accéléra quand elle sentit ses douces lèvres embrasser tendrement son ventre, tout en l’effleurant du bout de son petit nez. « Hmm Eleïna tu … » Gémit-elle, les joues complètement cramoisies et le bas-ventre qui papillonnait comme jamais auparavant. Ses mains continuèrent à caresser sa douce chevelure au fur et à mesure qu’elle descendait. Bientôt, le visage de son amante disparu entre ses cuisses, et ce fut à ce moment qu’un courant électrique, terriblement agréable, lui parcourut l’échine entière.
La métamorphe venait de poser ses tendres lèvres sur son bouton d’amour, déclenchant alors une énorme vague de plaisir qui submergea subitement la jeune femme. « Hoooooooo … » Couina-t-elle, tellement le plaisir et les sensations étaient importantes. Son dos se courba légèrement, comme prit d’une convulsion. En réalité, elle tentait, malgré elle, d’offrir encore plus sa féminité aux lèvres de son amie, mais cela résultait en une succession de courbature dorsale, au fur et à mesure qu’Eleïna savourait son bouton intime. De ses petites mains, elle pressait doucement sa tête pour l’inciter à venir d’avantage gouter à son corps, lui faisant comprendre qu’il lui appartenait pleinement dès cet instant. Le visage de l’humaine était déformé, au sens bon du terme, sous les vagues incessantes de plaisir qui l’inondait. Son bas-ventre était en feu, elle sentait des milliers de papillons virevolter en elle alors que Eleïna continua de la lécher doucement.
« Haaa Eleïna … C-C-C’est … Hmmmmmmmm oui, c-continues je t’en prie ! » Ne pouvait-elle s’empêcher de susurrer, complètement ivre et en transe sous les merveilleuses sensations que lui procurait l’amour de sa vie. Ses petites mains continuaient de pousser légèrement sa tête contre son intimité, en même temps qu’elle lui caressait les cheveux. Emilia était littéralement en train de connaitre son plus beau et sensationnel des moments. Elle fut prise d’un soudain d’un spasme, un énième, qui la courba encore plus et qui la força à plaquer tendrement le visage de son amante contre elle « Hawwwwwwwwww !!! » Couinait-elle de sa petite voix, se tordant de bonheur et de plaisir.