Mon cerveau à l'instant fourmillait de milles inventions délicieuses à lui faire gouter, un homme? Oh j'en étais un et un qui n'avait rien à envier a ses congénères plus musclés ou plus "viril". Non.. je n'avais rien à envier, mais elle, elle allait faire des envieuses, je voulais la marqué au plus profond de son être par le désir et l'envie
> Tu m'écoutes? J'en suis fort aise.
Je pris l'une de ces mains et je la pressais contre mes lèvres avant de remonter le long de son bras, puis j'arrivais à son cou, j'y déposa quelques baisers doux avant de reprendre ma position initiale
> Le reste du programme t'intéresses, on peu en.. discuter?
[HRP] J'ai posé la question à Rosario en HRP pour être certains que son personnage aurait cette réaction[/HRP]
Elle se laissait faire, magnifique. Je me pencha sur elle collant doucement mes lèvres aux siennes.. ce gout.. c'est délicieux.. Pourquoi me suis-je privé si bêtement toute ces années des lèvres des femmes? A cause de Cassandra? Cette espionne? Certes.. Mais aujourd’hui, je constatais mon erreur, je la pressa contre moi, mon bras mécanique sur ses jolie fesses. Mes gestes étaient, certes un peu maladroit, mais ils étaient sûr de ce qu'il voulaient faire. Alors que ma main mécanique donc était posé sur sa fesses droite, je chercha a la pousser délicatement sur le dos, ma main droite, encore d'os et de chair, elle, dégageait pour l'instant quelques cheveux sur son visage tendis que mes lèvres dansaient avec les siennes. Je sentais une douce chaleur m'envahir petit à petit, et mon junior cognait contre les parois de sa prison de tissu. Quand je fus enfin couché sur elle, ma main droite abandonné ses cheveux pour caressé sa taille puise se poser sur le sein de la jeune femme.. quel sensation enivrante.. Je sentais chaque parcelle de son corps collé au miens, elle pouvait sentir chaque parcelle du miens. Sa chair, ses os, la fermeté de ses seins collés contre mon torse et ma main. Je quittais ses lèvres pour l'embrasser dans le cou, partant de la base de son menton, juste au dessous des lèvres, descendant par des baisers doux qui avaient pour but de la faire frissonner. J'arrivais a son cou, petit et chaud, doux. Je fit se déposer à nouveau quelques baisers avant de me redresser, pas sans l'avoir embrasser au passage, et je retire mon haut, laissant apparaître mon torse finement ciselé, mes quelques cicatrices, notamment deux impactes de balles sur mes abdominaux, souvenirs malheureux d'un pilleur de mine et voleur d'Esclave. Je la serra a nouveau contre moi.
> Pour l'autre endroit où me loger, tu penses qu'on peut s'arranger pour que je vive chez toi un temps?
Je l'embrassais à nouveau, ma main mécanique dont la température était plutôt tiède à cause du reste autour d'elle plutôt chaud, la collait contre moi tendis que mon autre main caressait sa joue du pouce.