Asako la pénétrait, et l’énergie dont la femme faisait preuve était... Particulièrement grisante. Le corps d’Asako, doux, chaud, et dur, remuait contre le sien, et leurs peaux se frottaient, claquaient ensemble, les fesses d’Alice rebondissant contre la paroi. Elle se serrait contre elle, gémissant et couinant, retournant régulièrement l’embrasser, goûtant ainsi à ses magnifiques lèvres, pressant son corps tout contre le sien.
« Hmmmm... !! »
La Princesse couinait et soupirait, sa salive coulant parfois le long de ses seins. Massive et belle, Asako était une amante terrible, et sentir sa queue remuer en elle, ses seins taper contre son corps, ses soupirs et ses gémissements... C’était là autant de sensations onctueuses que divinement plaisantes. Leurs deux corps remuaient et se frottaient, et Alice n’entendit même pas Shii arriver. La jeune lycéenne avait trouvé une tenue qui, elle en était sûre, plairait à Asako, mais, en voyant ce qui se passait, elle devint toute rouge. Asako la repéra alors, et lui sourit, en lui expliquant qu’Alice avait demandé à jouer encore.
Il était amusant de voir que, alors que Shii avait léché l’intimité d’Asako il y a à peine une demi-heure, la voir ainsi, s’ébattre avec une autre femme, la troublait sensiblement. Elle détourna donc lentement la tête, les joues cramoisies.
« Oui... Euh... Bien sûr ! »
Shii était surprise, et s’écarta un peu, tout en déposant la tenue sur un banc... Avant de remarquer qu’Asako n’utilisait pas de gode, ce qui était le signe qu’elle était... Une Futanari !
*Non, ENCORE ?!*
Shii rougit encore plus en serrant les jambes, sentant une chaleur remonter en elle. Au sein du manoir, les Futanaris étaient fréquentes, car Mélinda aimait offrir, à ses esclaves, un chibre comme cadeau. Mais Asako... Visiblement, les expériences faites sur elle avait permis de la doter d’un sexe, et, même malgré son intervention, les deux femmes continuaient à s’embrasser et à se peloter. Dans leur dos, Shii ne pouvait s’empêcher d’observer les fesses d’Asako, ce délicieux cul qui était en train de remuer, tandis que la femme continuait à prendre Alice, qui tambourinait contre les casiers.
Le visage de Shii était cramoisi, et, quand Alice rompit son baiser avec Asako, elle regarda Shii, et, de la main, lui fit discrètement signe de venir. Évidemment, la jeune Shii sursauta sur place, se mordillant les lèvres, avant de lentement s’avancer, rejoignant timidement les deux femmes. Elle se glissa dans le dos d’Asako, et Alice lui fit signe de venir. Les Futanaris... Elles étaient le point faible de Shii, qui, en se rapprochant, posa son pied sur le gode rose qu’Alice avait sorti. Shii rougit de nouveau, se mordillant les lèvres, et récupéra ce vibromasseur, puis l’attacha à son bassin, et se déplaça lentement, venant rejoindre Asako.
Elle se frotta contre son dos, et embrassa ses épaules, puis Alice lui parla, en soupirant encore :
« Joue... Joue avec le petit trou d’Asako, Shii, elle... Haaannn... Elle aime ça... »
Shii rougit encore, et caressa les fesses d’Asako, son gode se pressant contre son bassin, et elle glissa une main contre ses fesses, approchant un doigt de sa croupe... Et, voyant qu’Asako n’y était pas opposée, Shii le glissa en elle, en rougissant, puis continua à l’embrasser dans le cou. Alice, elle, soupirait, et, reprenant ensuite, après quelques instants, enchaîna :
« Si... Haaa... Si tu veux sentir un bâton en... Dans ton petit trou, A-Asako, haaaa... Dis... Dis-le...
- A-Asako... » soupirait également Shii, de con côté.