Hummmmm ! RrHHââaaah... HhÂaaWwiiiii... RrHHhÂaauwouiiii !! Ah ça en devenait bon à en laisser pendre sa langue, GRaÂAaaahhh, dans une de ces expressiosn des plus en plus lascives, si beau visage, somptueusement orné d'une extase presque perverse et relachée de plaisir sur les traits de l'Abyssian, tout comme cette langue sans honte qui pend par dessus sa lèvre et atteste du goût puissant et ennivrant des chairs qu'il explore, et goûte... Presque comme si l'ambre de son sexe huilé pouvait posséder des papilles gustatives, qui goûtait ici aux parois anales et fessières somptueusement entrainées par le labeur de la fermière, quel rafinement pour les sensations de son sexe qui n'avaient jamais connu telle... HauWw... Telle qualité de friction et de fermeté tissulaire autour d'une telle quantité de son sexe, autour d'une si grande et gourmande partie de son sexe qu'elle acceuillait finalement si bien en elle.
GRrrrÂâh oui enfin il... Il pouvait se laisser aller un peu à toutes ces sensations qu'il ressentait, à un petit peu d'égoisme en observant les frissons, les yeux clos, le passage de la langue de Clara sur ses lèvres, ses murmures, ses rougeurs, ses gémissements de plaisir, tout ça... tout ça lui laissait tirer sa belle petite langue hors de sa cavité buccale, comme un vil petit chaton en rute ! Se désolant presque lui même de... De se laisser aller à une telle exposition éhontée de plaisir sur son visage abandonné crument et vulgairement à son ressenti primaire profond, l'envie de laisser pendre sa ravissante petite langue en plissant ses paupières sur l'or liquide des iris de son abyssin regard, regard fondu et mis clos, louchant au ciel lorsqu'il sent les mains de Clara parvenir jusqu'a ses cuisses bien galbées, parcourues de cette jolie ligne délimitant le muscle intérieur, comme extérieur de ces cuisses bien tendues, sur lesquels ses doigts glissent drôlement bien, si bien là aussi sur les petites billes de sueur qui se faisaient perforer sous le passage de ses doigts et laissaient alors luire le cuir tendu et lisse de la peau de ses cuisses.
-aaah .. han ... plus ... oui ... oui, Ludya ...
Il aurait aimé la retourner, la prendre comme un vulgaire animal mais ça l'aurait empêché d'assister au magnifique spectacle de ses seins rebondissant très doucement d'avant en arrière tant ses pénétrations étaient fluides et d'une vitesse mesurée. De ses mains jouant sur sa propre verge si dure et dressée,
Toute... Il allait la lui donner toute... Essayant de... De se concentrer, de ralentir ses propres battements de coeur, où son métabolisme... Ce qu'il essayait de faire c'est... C'est de garder un rythme cardiaque très lent qui allait permettre à son sexe d'une taille tout de même impressionnante de rester dans un état assez spécial, et ça demandait une terrible concentration ce genre de chose c'était une maîtrise qui ne serait sans doute donnée qu'aux Abyssians, peut être... Mais tout, tout pourvu qu'il ne lui fasse pas mal, pour qu'elle n'ait aucun regret, tout était bon pour qu'elle n'ait pas à le gronder, tout était bon pour que tout lui fasse plaisir, il était comme ça, les coeurs portés sur ses mains et l'attention toute concentrée et rivée sur son plaisir, tant il admirait ce qu'elle était, ce qu'elle avait su être, c'était une belle grande femme puissante et batie par une vie d'un labeur difficille et éreintant, si seulement il pouvait la masser, la détendre, la relaxer de l'intérieur comme de l'extérieur. Alors la hampe de Ludya aussi grosse et imposante soit elle prit cette maléabilité souple.
Elle avait ramoli ? Elle restait rigide, et ferme quelque part mais, elle était plus flexible... Pas tout à fait excitée à fond tout en restant aussi longue ? Comment faisait il ça ? Elle dut le sentir car son anneau était capable de se resserrer d'avantage dans la chair de son organe pressé et imprimé autour d'un ou deux centimètres de diamètre ramolis, mais vite une fermeté serpentine au centre du corps de la verge remémorait là, hm, comment dire, un afflux sanguin central qui la maintenait aussi un peu ferme, mais sans être toute droite, elle sinuait plutôt comme un long et gros boa ou anaconda. C'est une comparaison un peu idiote mais j'en trouvai difficillement d'autre pour expliquer...
Ben il ressortit complétement d'elle dans cet état pas tout a fait excité dur, je vous l'assure, dur à maintenir comme état particulier autant dans la régulation de la respiration que dans celle de ses battements de coeur qui l'approcheraient dangereusement d'une arythmie cardiaque de ses deux coeurs, il en avait quelques sueurs froides d'ailleurs, et clignait de ses jolis yeux pour s'assurer de rester éveillé et alerte. Elle ne put pas deviner ce qu'il essayait de faire jusqu'au moment où elle sentit la douceur charnelle lui pénétrer à nouveau son petit anneau, elle dut sentir la chose glisser de sa chair moelleuse et pourtant, volontaire d'une fermeté difficille à décrire en elle, Elle dut sentir ses vingt cinq centimètres la bourrer avec merveille mais ça ne s'arrêta pas là cette fois... Le sexe épousait ses conduits amoureusement et remontait le long de ses boyaux pour la prochaine dizaine de centimètres supplémentaires... Il n'y eut même pas le moindre à coup. Bien qu'elle dut se sentir remplie, où gargouiller de l'intérieur, ses beaux abdominaux d'acier légèrement se relever et prendre du relief plus bombé, joliment arrondis et encore plus désirables au toucher.
Et ça rentre... ça rentre, pousse, glisse et serpente dans son magnifique cul et procures un massage charnel interne des plus intense, des plus glissant, tout en dispensant sa bourre et son emplissage et cette sensation d'encombrement poussive mais très progressive, de somptueux gargouillis se faisant entendre et laissant rougir Ludya de honte de ce qu'il était en train de lui faire subir, mais elle... Elle l'avait autorisé à lui en donner plus... Plus... De toute façon son expression limite, je sais pas, débile et complétement révulsée de plaisir sur ses mignons traits du visage barrés de rougeur n'avait pas de prix. Il pousse encore, s'étendant plus vers l'avant, ramenant ses fesses, écartant plus les cuisses qui se caressent aux tiennes.
En fait son corps finit par s'étendre sur la hampe équine, ses mains ayant attrapé les hanches rondes et puissantes de Clara pour se ficher plus profond encore en elle, le bon cuir lisse de ses pectoraux glissa et emprisonna légèrement une bonne partie du haut du sexe de Clara, ses pectoraux massant sa hampe à elle en formant une sorte de creux au centre de ses muscles raffermis de telle manière à ce qu'il pincent un peu son sexe bien dur entre ses deux collines de peau lisse, si lisse et rondes de muscles finements sculptés mais ronds à souhait lorsqu'il laisse ses épaules revenir un peu vers l'avant pour englober son sexe, certes... C'était loin d'être aussi volumique et rond qu'une paire de seins, mais diable que la douceur de la peau lisse d'un torse bien entrainé du faux-félin, pseudo neko, de cet Abyssian, la haut et tendu de cette manière pouvait procurer aussi de très sympathiques sensations. Il entre... Et fait entrer millimètre après millimètres devenant des centimètres le reste de son sexe ! Il prenait là un temps fou pour s'engoufrer en elle, la rendant peut être même folle de penser de par sa progression lente, qu'elle se faisait caresser et emplir de plusieurs dizaines de mètres de chair serpentine dans le derrière. ET Ludya doit avouer que, c'est exactement ce qu'il cherche.
Qu'elle ait l'impression sous la douceur lente et languissante de sa pénétration sans fin, de se faire prendre par une longueur plus conséquente que ce qu'il possède en donnant très bien l'illusion et le change en étant d'une précaution de lenteur particulièrement précise et efficace dans ce domaine ! Ses parois anales avaient bel et bien l'impression que la peau lisse et velourée de son sexe si glissant n'en finissait pas, et pas, et jamais, jamais... de fondre et s'accumuler en elle, jusqu'a ce qu'il parvienne à s'étaler, à épouser son corps sur son sexe tendu, à rejoindre le centre de sa poitrine avec son magnifique petit visage glissé vers elle, vers le haut, son gland l'obligeant à dresser son menton vers son visage, sa poitrine se crispant volontairement de ses muscles autour de son sexe, souriant de toute la taquinerie espiègle cristaline que ses lèvres pouvaient encore produire avec, ce doux visage pas encore tout à fait passé à l'âge complétement adulte. De ses grands yeux expressifs tellement séduisants quand ils sont mis clos et dardant leur pupilles ovalisées, pratiquement en amendes dans ceux de la fermière.
HAAaaaWWwwiiii... WWwwwiiii... Encore... Encorrre... Encore Clara... Encore un petit peu... Hmm ?
Demande t'il, plus qu'une question pour une fois, un avertissement, il devait lui être reconnaissante. Elle lui avait appris tout du long à devenir un peu plus sûr de lui, à chaque étape. Maintenant il pousse, creusant si bien le bas de son dos, relevant les fesses et puis rabattant ses hanches, enfonçant les derniers, tous derniers cinq centimètres d'un mouvement plus fluide et rapide que les autres, laissant entendre un -shlop- final quand la racine de l'imposant sexe alien termine de s'engouffrer en elle, là aussi permettant à la série médiane d'abdominaux au niveau du nombril de s'arrondir et paraître là aussi plus volumineux, plus entrainés et étirés, durcits de force, de quoi avoir envie d'y passer les doigts et la langue, même si dans cette position ça serait trrrès difficile.
Enfoncé jusqu'a la garde... Il n'y croyait pas... Salivant un peu mais ravalant sa salive pour ne pas que son indiscrète petite langue pendue ne laisse tomber de gouttes sur elle, il ronronne si fort, vibre de tout son être, se sentant si bien, si bien en elle, ça l'excite évidemment son membre se durcifie par instants lorsque ses battements de coeur s'amplifient sous le bonheur d'une telle étreinte, il la regarde, regarde bien rougie, extasiée, et viens l'embrasser langoureusement puisque les cinq derniers centimètres de pénétration lui ont permis quand même d'atteindre enfin sa bouche, il l'embrasse à en perdre sa respiration, avec une fièvre ronronnée des plus intense, tout... tout en elle... C'était à peine... à peine croyable... Si bien, il n'avait jamais été si bien... Pour le moment il n'avait même plus envie de bouger, ayant l'impression que le moindre mouvement le ferait éclater de plaisir, sa salive d'un goût de chique au coca léger se mêla à la sienne et il l'embrassait éperduement, amoureusement, frottant sa verge à elle entre ses pectoraux aplatis sur elle, entre sa poitrine à lui et les seins de Clara, dévorant ses lèvres, baisers après baisers après baisers, attirant sa langue hors de ses lèvres pour la sucer et la caresser de sa langue puis retourner à ses lèvres, recommençant à sucer sa langue comme s'il aurait s'agit d'un sexe à son tour quand il la sort expressément de sa bouche à elle pour aller s'empaler sur sa langue avec ses lèvres et l'embrasser plus à fond, bougeant ses jolies petites fesses pour s'assurer toujours de rester coller à fond en elle, s'assurer que cette délicieuse gêne d'emplissage lui surélevant gentiment les abdominaux persiste et signe l'outrage que se prend son magnifique cul de fermière, de femme terranide-équine.