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Pour toute réponse à ma proposition, elle se leva et pris la clochette. Que comptait-elle en faire ?
- Depuis le début, on obéit à tes règles et tu les dictes de telle manière à ce que je puisse pas gagner. Mais les règles, elles sont faites pour être brisées. Si je veux gagner…. Il faut donc que je vis les interdits ! Je vais appeler deux esclaves… ou plutôt une flopée d’esclaves… On en choisira deux et on testera tes pilules sur elle, on pourra utiliser les instruments de la pièce et la première qui arrive à faire jouir sa partenaire à gagner. Puis sans attendre, elle agita la clochette. De deux choses l'une. J'allais considérer la paye comme trop facile et je risque fort de la refuser. Mais ce n'était qu'un moindre mal, car de plus, je ne suffisait pas, ça restera indiqué dans mon premier test que la cliente a été peu satisfaite de moi seule. Même si ça ne se note pas et que ce n'était pas le but recherché, il ne fallait pas s'imaginer penser normalement quand on est une créature non humaine.
Entre Kitsune, c'est la tout simplement la honte de recevoir la proposition d'une humaine, d'accepter et ne pas réussir à la satisfaire seule.
Je tente de garder ma déception pour moi, derrière un visage impassible, mais un point ne trompais pas, mes pupilles. Malgré l'obscurité de la pièce, elle étaient extrêmement fine, presque comme si je n'en avait plus , signe que quelque chose m'irritais profondément.
Ce qu'il y a avec le plan de Fania, c'est qu'elle recevrait finalement l'inverse de ce qu'elle pensait obtenir. Si elle songeait qu'apporter plus de filles à mon égard était une bonne chose, c'était en fait le contraire qui se passerait. J'allais être moins efficace et j'allais moins réagir aux stimulations. Pour faire court... Une personne de trop ? deux fois plus de sexe, deux fois moins sensible. Six personnes de trop ? Six fois plus de sexe, six fois moins sensible. De plus, la lubricité dont je fait preuve peux pratiquement me laisser généralement insatisfaite, même après une orgie. Comme un homme qui aime prendre une chope et lever le coude, mais qui jamais n'est tombé ivre et qui chercherais la boisson parfaite pour le devenir.
Entre temps, du monde s'était attroupé, ce que je pouvais ressentir plutôt que de la joie était un sentiment de gêne et de honte, comme si six des sept filles devant moi se moquaient de mon incapacité à suffire à une simple humaine. J'avais même pratiquement envie de partir malgré l'orgie qui s'annonçait, c'est dire.
- Vous avez fait vite Clara… Vous devez vraiment être excitée par le petit jeu qui se prépare. Non, elle rêvait de pouvoir corriger une insolente kitsune qui ne savais contenter une seule femme et qui pourtant à son propre bordel.
Ma belle Ahri, je te présente Clara, Léa, Elsa, Farah, Elizae et Lia. On s'était déjà rencontré avant, ce n'était pas la peine ... J'étais de très mauvaise foi et ça n'allait pas aller en s'arrangeant. Je considérais le jeu actuel de Fania comme un véritable affront rappelons le.
Elles ont chacune pleins de bras et elles pourront caresser tes queux pendant que tu coucheras avec l’une des leurs.Plein de bras ? Elle n'en ont que deux chacune, avec elle ça faisait... euh... sept, plus sept... quatorze... Heureusement que j'avais appris à compter un minimum... Certes, ça faisait plus que mes neufs queues, mais je conservais toujours un avantage, à savoir la force pure, pour mes queues, et la magie. Certes, je ne pourrais en toucher qu'une à la fois, mais ça ne ferais plus sept contre une mais deux contre six. On partait sur de mauvaises bases.
Choisis en une et monte moi comment fonctionne ces petites pilules. Super... Confirmer le fait que j'ai emporté mes pilules face à celle qui ne m'autorisais pas à les prendre et ce avant même la rencontre... Ça partait de mal en pis... Dans la suite, il ne manquait plus qu'elle demande des dagues pour me crucifier sur place et un collier d'obsidienne pour n’empêcher de m'en sortir
Chacune de ses filles vont chercher à te satisfaire puisque je n’y arrive pas toute seule et que tu le mérites tant.Ce ne fut concrètement que cette phrase qui aurait pu être retenue comme étant positive. Toutefois, l'état dans lequel j'étais m'empêchais de ressentir la moindre gratitude. Ni la moindre sensation quand les filles passèrent derrière moi pour me caresser les queues. J'étais sur les nerfs, dans un état qui à la fois me donnais envie de tout briser et de me fondre dans le décor, ou encore de tout annihiler. Et dans cet état, je ne ressentais pas le moindre plaisir. Elle pourrait jouer avec moi aussi longtemps qu'elle le désirait, je n'aurais pas davantage de réactions.
Fania se glissa sous ma courte robe avant de dire :
- En fait, avant que l’on fasse le jeu, je vais te satisfaire comme je te l’ai dit avant. Crie mon nom quand tu jouiras….Crier son nom ? Quand je jouirais ? Il m'en faudrait bien plus actuellement. Dans l'immédiat, je rejetterais les avances de cette pièce, rentrerait chez moi avec deux mâles terranides fraîchement capturé, encore sauvage, pour qu'ils me prennent violemment. Une verge ou deux bien dure et des muscles saillants à tâter... Rien que cette idée me fit glisser un peu dans le plaisir personnel...
J'étais tellement peu réceptive aux plaisir corporel en ce moment que je n'avais ici qu'une simple forme de supplice. On pouvait dire effectivement que c'était pratiquement la première fois que je ressentais ça... Du moins en tant que presque humaine, en tant que renarde les périodes de reproduction me donnait un arrière-goût similaire.
Fania y mis de l'entrain, sans douter une seconde que son plan avait totalement changé mon point de vue sur la partie actuelle. Quand bien même six alliées jouaient avec elle, je n'en tirais aucun profit. Je m'ennuyais. C'était aussi simple que cela. L'ennui. Autant je ressentais de l'ennui, car j'avais désormais en tête qu'une humaine n'avait pu se satisfaire de moi seule, et cette simple pensée pouvais tant me déprimer que je pourrais me changer en renarde et m'exiler de Nexus à tout jamais sur-le-champ, autant le plaisir que l'on tentais de m'offrir était fade. Oh, bien sûr, je pourrais faire semblant, en gardant les traits attentifs je pourrais prononcer les bons soupirs au bon moment et je pourrais même simuler un peu de mouille histoire de faire joli. Mais le cœur n'y est pas, et n'y sera pas...
Puis, un petit truc se ravivait. Pas grâce aux efforts des sept femmes sur moi, mais une pensée qui viens chasser mon sentiment de déprime actuelle pour le troquer avec la compétition à laquelle j'étais habituée. Cet esprit de compétition remplaçait à la perfection cette minable déprime. Elle ne semblait pas pouvoir gagner seule, alors elle appelle des amies, soit. Je riposterais de la meilleure manière que je puisse faire, en les faisant jouir l'une après l'autre. Après tout, c'est comme si à table vous aviez faim et que vous étiez écœuré, mais qu'il fallait finir encore six assiettes ... et demie.
Elles purent remarquer une différence entre les débuts, ou je n'avais aucune forme de réaction « réelle » et une passivité maladive, et maintenant, car je relançais l'attaque. Il me sera difficile de toute les charmer, autant ne pas s'y risquer, mais user de mes queues actuellement n'est pas impossible. Plusieurs d'entre elles attaquèrent directement les parties exposées à l'air libre de chacune, les deux seins de l'une, les fesses de l'autre... L'une des filles avait déjà mouillé, et le trou à son entrecuisse était bien ouvert, comme l'a constaté une des queues qui s'est enfoncé dedans alors que cette dernière ne voulait que la caresser, mais il n'y avait pas que les queues, l'une des fille s'accrochait à mon bras, parvenant à le libérer, je lui offre dans la foulée des caresses bien sentie sur son entrecuisse, et sans plus tarder, j'enfonce mes doigts dedans, rapidement, chacune des femmes allait être satisfaite.
Quand à Fania, eh bien je simulais, pour lui faire plaisir. Des répliques de 'la jambe qui se relève ''involontairement'' ', des 'petits soupirs' bien casés, des ''Han'' quand je le pouvais, ce qui était un peu difficile avec celle à la couleur de peau différente qui enfonçait son aine dans ma bouche. Rien ne laissait indiquer que je simulais, même si au fond, je m'ennuyais ferme, il fallait cependant conserver un minimum de dignité - si tant est que j'en aie - et parvenir à faire jouir les femmes qui tentaient elles aussi de me faire jouir.