Manoir MorimotoLeona Morimoto était probablement l’une des filles les plus riches du Japon. Ses parents disposaient d’une fortune colossale, qu’ils avaient acquis grâce à de multiples investissements mobiliers. Des magnats de l’immobilier, qui possédaient la nue-propriété de moult maisons, immeubles, gratte-ciel, et même d’îles... Une fortune colossale faisant d’eux une famille très riche, mais qui n’avait jamais sombré dans la décadence et dans l’opulence que la richesse pouvait entraîner. La famille Morimoto était au contraire très stricte, très autoritaire, a fortiori avec leur fille. C’était une famille ultracatholique, et, depuis son enfance, Leona avait été versée dans le catholicisme.
Loin d’être effacée, Leona était une superbe adolescente, très pulpeuse, qui étudiait dans une école privée extrêmement onéreuse, où elle avait son lot de courtisans. Après tout, la richesse des Morimoto était légendaire, et l’école, d’ailleurs, avait été construite sur un terrain qui leur appartenait. Ils avaient eux-mêmes fondé cette école, de sorte que Leona était une véritable star locale. La jeune fille était toutefois frustrée, sexuellement parlant, sans même forcément le réaliser. Le sexe était quelque chose de tabou dans sa famille, et Leona se devait de vivre avec ça, ce qui n’était clairement pas facile au quotidien. Il était impensable pour elle d’avoir un petit-ami, et, de fait, elle était une femme très sèche, très autoritaire, méprisante au possible, surtout avec le personnel de maison. Ses parents avaient toujours négligé son occupation, et Leona s’était enfermée dans une sorte de colère à l’égard des autres pour masquer sa détresse psychologique, ce qui faisait que ses serviteurs avaient du mal à la supporter. Sa coiffeur personnelle, son cuisinier, ses domestiques... Même le jardinier, que Leona considérait comme un vieil alcoolique, était un individu qu’elle ne supportait pas, et avait déjà envisagé de le virer.
Cependant, il y avait, depuis quelques semaines, quelque chose qui perçait la carapace de Leona. Un élève du lycée, un camarade de classe, qui venait discrètement chez elle... Ses parents auraient été furieux de l’apprendre, car les parents de ce jeune homme travaillaient pour ses parents, et leur maison était louée par eux. Ils avaient donc potentiellement les moyens de détruire sa famille, mais Leona appréciait ce jeune homme timide, assez efféminé, et qui avait une très belle queue. Elle le savait très bien, car elle disposait de caméras dissimulées dans les vestiaires des garçons et dans la cabine de douche, ce qui lui avait permis de voir leurs sexes. Elle avait décidé de s’initier au sexe, à son rythme, et, pour ça, elle avait imposé le jeune homme à venir la voir chez elle, le menaçant de l’expulser, lui et sa famille, s’il n’obéissait pas. Un pieux mensonge, en réalité, mais, au sein du lycée, personne n’osait défier Leona.
«
Hmmm... Hmmmm... -
Haaaa... !! »
Takeshi, le jeune homme, était tout nu dans la grande et vaste chambre de Leona. Agenouillée devant lui, la femme suçait son sexe longuement. Toujours vierge, elle refusait encore de passer à autre chose, et pratiquait sur lui plusieurs fellations par jour. En fait... Leona adorait le goût du sperme dans sa bouche.
«
Hooo... !! »
Leona continuait à pomper son dard, s’absorbant pleinement dans son œuvre. À sa manière, elle s’initiait au sexe, et Takeshi, même si elle détestait cordialement Leona, devait bien admettre que... Et bien, cette garce était tout de même terriblement jolie ! Et toute cette richesse affichée ne manquait pas de l’exciter. Entretenir une relation secrète avec cette femme avait de quoi exciter n’importe qui, surtout un jeune homme timide comme lui.
Ce faisant, il se mit encore à jouir dans sa bouche, se relâchant généreusement en gémissant le nom de Leona... Et même plus que ça.
«
Maî-Maîtresse... ! »
Leona le laissa juter dans sa bouche, et avala copieusement le contenu, déglutissant bruyamment, avant de se relever, et s’assit sur son fauteuil, croisant ses magnifiques jambes.
«
Toujours aussi bon, Takeshi-chan, hmm... Tu sais, je crois bien que je vais mettre mon plan à exécution te concernant. Avec ton physique de petite fiotte, il ne sera pas difficile de te faire passer pour une fille. Tu seras l’une de mes maids. »
Et, comme ça, elle pourrait le sucer encore plus fréquemment... Ce qui ne manquait pas de l’exciter fortement !