Mélinda assistait à un spectacle magique, et, tout en souriant et en salivant, elle n’en perdait pas une miette. Voir Bran défoncer cette petite traînée avait quelque chose de fabuleux, et elle s’en mordillait les lèvres. Bran remuait d’avant en arrière, s’enfonçant lourdement et profondément dans le corps de Tyra, la défonçant avec sa grosse verge. Son beau et magnifique frère était un véritable athlète du sexe, et le corps de leur esclave rebondissait contre le mur. Un sourire pernicieux sur les lèvres, la doucereuse et sadique vampire ressentait toute la frustration du bel être. Il avait souffert, et elle aussi, car ils s’étaient mutuellement abstenus d’une quelconque relation sexuelle pendant plusieurs jours, afin d’être bien en forme pour cette soirée. Mélinda voulait quelque chose de mémorable, quelque chose d’onirique et de féérique, et elle savait qu’un Bran frustré allait pouvoir le lui offrir… Un Bran frustré, c’était comme dix de ses esclaves réunis en un seul être. La manière dont il prenait et défonçait Tyra… Haaann, que c’était beau ! Mélinda sentait sa verge être toute dure, se redressant et se roidissant au fur et à mesure que Bran s’enfonçait en elle. Il lui avait broyé son hymen en quelques instants, et Tyra avait eu presque en même temps un premier orgasme, se répandant sur le phallus de l’homme.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! HAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN… !! »
Tyra hurlait. Littéralement. Elle hurlait à s’en casser la voix, rugissait son plaisir à s’en briser les tympans. Rien d’autre à faire que d’hurler et de hurler continuellement, encore et encore, sans relâche. Elle jouissait, multipliant les orgasmes, encore, encore, griffant ses épaules, se crispant contre lui. Des larmes s’écoulaient parfois de son visage, tant elle était… Comblée. Cette queue était grosse, énorme, monstrueuse. La sentir en elle lui perforer le corps avait quelque chose d’immense et de jouissif, d’extrêmement jouissif. Elle ne cherchait nullement à diminuer ce plaisir, à l’atténuer. Au contraire, elle le vivait pleinement, satisfaite comme jamais auparavant. On lui avait dit que le sexe était quelque chose de magnifique, que la première fois était comme une libération, et le faire avec Bran, sous les yeux de sa Maîtresse… Il était inhabituel que Maîtresse laisse à quelqu’un d’autre le soin de butiner une fleur, mais elle ne s’en sentait guère spoliée… C’était Bran. Bran ! On ne parlait pas d’un vulgaire moussaillon, mais d’un terrible amant, du premier homme de Maîtresse. Le propre sang de sa Maîtresse coulait dans les veines de Bran, et, bien qu’il soit officiellement encore un esclave, pour beaucoup, Bran était infiniment plus que ça. Pour Tyra, il était un Maître, et elle jouissait encore, rien qu’à l’idée de s’imaginer prise en sandwich entre Maîtresse Mélinda et Maître Bran…
Ah, et ces hurlements ! Jouissifs, onctueux, d’une voix fluette et doucereuse… Mélinda continuait à se mordre les lèvres, et ses ongles s’enfonçaient dans les accoudoirs de son fauteuil. Elle en déplaça finalement une, ne pouvant résister à l’envie de se masturber. Son sexe était trop dur, et tout simplement bien trop douloureux, pour qu’elle le laisse ainsi.
*Ah, Bran, tu me rendras folle…*
Quand elle le voyait ainsi, sauvage, vorace, qu’elle entendait le dos de Tyra rebondir contre le mur, elle comprenait ô combien cet homme était doué, doué et fort. C’était un amant terriblement efficace, une véritable brute. Il violait sauvagement le vagin de Tyra, et, au bout d’un moment, mais qui sembla bien trop court pour Mélinda, l’homme la relâcha. Tyra ne tomba pas, car Bran l’étrangla alors, et Tyra se mit à gémir, avant de couiner quand les doigts forts et beaux de l’homme s’enfoncèrent dans sa vulve défoncée. Son sexe était comme une fleur sévèrement butinée, ses lèvres intimes bien écartées, de la mouille dégoulinant le long de ses cuisses.
Il l’insultait, ce qui faisait plaisir à Tyra… Tout comme le fait de voir sa Maîtresse se masturber à côté d’eux. Ça, c’était le signe que Tyra était bonne, qu’elle était douée dans sa tâche, et ceci faisait naturellement plaisir à la tendre et belle petite esclave. Bran lui dit alors qu’il allait falloir s’occuper de son autre intimité, et Tyra déglutit faiblement.
« O-Ouuuiii… Dé… Défoncez-moi… Pour votre petite… Votre petite chienne… »
Bran la relâcha alors, et Tyra tomba sur le sol, les marques des griffes de Bran sur son cou. Elle le vit ensuite s’allonger devant elle, avec sa verge bien tendue. Elle allait volontiers la sucer, mais, alors qu’elle s’approchait à quatre pattes, comme hypnotisée par ce mât de chair dressé, Bran lui indiqua de s’empaler dessus, pendant que Mélinda viendrait prendre son cul… Mélinda, qui s’était tendrement masturbée, et qui se redressa alors.
Conservant sa toge, Mélinda s’avança, et se pencha face à Tyra. Elle, de son côté, était venue s’empaler sur le gros chibre de Bran. Elle s’était ainsi relevée, et avait contemplé ce sexe, les joues rouges, le corps tremblant de plaisir, tout en s’approchant. Une main sur le torse de Bran, en appui, elle posa ses genoux sur le sol, puis glissa l’une de ses mains pour écarter ses lèvres intimes, tout en employant son autre main pour saisir le vit de l’homme. Elle se glissa ainsi lentement dessus, en s’arrêtant de respirer, et, même si Bran venait sauvagement de la baiser, sentir ce membre perforer son corps était douloureux.
« Hîîîîîîî… »
Elle couinait, et retira ensuite ses mains, puis s’enfonça un peu plus, jusqu’à pousser un long cri, ses yeux s’écarquillant. La verge de Bran disparaissait intégralement en elle, et elle se mit à verser quelques larmes, le visage cramoisi… Ensuite, elle commença à remuer, à reprendre son souffle, sa poitrine se soulevant et s’abaissant, des gouttes de sueur commençant à couler de son torse. Tyra avait terriblement chaud, et elle se tenait le dos bien droit, empêchant ainsi sa Maîtresse de pouvoir la baiser par l’arrière.
« Br… Braaaann, Braaaan, haaaa… Bran !! »
Elle gémissait, couinait, et Mélinda se décida à agir un peu plus efficacement. Plutôt que d’interrompre la danse de Tyra en la sodomisant violemment, elle avait une autre idée derrière la tête. Elle tira sur la ceinture de sa toge romaine, et cette dernière glissa sur le sol. Dessous, Mélinda ne portait rien, et se révéla dans toute sa superbe nudité. Récupérant un plug anal, elle l’enfonça dans les fesses de Tyra, qui soupira. Le sang de la vampire était délicieux, tambourinant à toute allure dans ses veines.
Mélinda se déplaça ensuite, et posa ses mains sur les cheveux de Tyra, se positionnant au-dessus de Bran, une jambe sur sa gauche, et l’autre sur sa droite… Elle enfonça ensuite son sexe dans sa bouche, donnant un grand coup de reins en soupirant d eplaisir, cambrant alors son dos vers l’arrière.
« Lèche-moi le cul, Bran… Ou défonce-le avec tes doigts, car je sais que tu adores mon fondement… Ensuite, je m’occuperais bien comme il faut de celui de notre petite chienne…
- HUMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM… !! »
Et le pire, c’est que Tyra n’était rien de plus qu’une simple mise en bouche.