visite et (mauvaise ?) rencontre [pv : Belial]

Belial se sentait vraiment bien, à aller et venir ainsi dans son esclave, s'approprier son corps sans hésitation et la faire sienne, la marquer de sa passion et de ses actes. Elle était si douce, si soyeuse sous ses caresses et étreintes, et rendait tout cela d'autant plus plaisant par ses propres réactions. Hum, un tel abandon envers lui était vraiment exquis, et il en sentait son plaisir y faire écho. Décidément, il ne la lâcherait plus, c'était décidé. Qu'importe où elle aille par la suite, il serait toujours prés d'elle, comme une part indissociable d'elle, ne la laissant jamais véritablement seule. Elle était à lui à présent, et il la chérirait comme un bine précieux.

L'émotion du démon s'accentua quand il sentit Kohana relever une de ses gracieuses jambes, s'ouvrant ainsi encore plus à lui. Il poussa un gémissement de plaisir quand il se sentit aller plus aisément encore en elle et pu l'étreindre et l'embrasser d'autant plus. Mais, alors qu'il allait bondir au palier suivant, la jeune femme s'effondra, trahie par ses bras.

Le prince du vice ne se laissa néanmoins pas surprendre, accompagnant son esclave dans sa descente, bien qu'ayant du malgré lui retirer temporairement son membre de son antre. Mais qu'a cela ne tienne, puisque la jeune femme se reprit aussitôt et, couchée sur le coté, l'amena d'elle même en elle, avant de se mettre à caresser soigneusement leurs deux sexes à l'œuvre. Rentrer de nouveau en son antre, pour ensuite connaitre ce massage revigora largement le corps entier du démon, amenant une bouffée de plaisir en lui. Souriant alors largement à son esclave, Belial reprit sa manœuvre dans cette posture différente sans paraitre le moindre du monde troublé.

Saisissant de ses mains soigneuses à la fois les hanches et la jambe relevée de Kohana, il les étreignit d'abords tendrement alors que son membre reprenait bien sa place précédant en elle. S'emparant de la chair à pleine main, il commença alors à accentuer ses mouvements de bassin, et par là même pénétrer plus rapidement la jeune femme sur le flanc. Ses bras firent alors suivre le mouvement par le corps entier de la jeune femme, l'amenant en la tenant et l'étreignant passionnément par le coté, collant cette jambe relevée sur son épaule et plaquant ce bas -ventre contre le sien. L'amenant par ses hanches et sa cuisse, il la prit alors intensément, rentrant en elle plus profondément encore qu'auparavant et avec une vitesse accrue emplie de délicats déhanchés. Le désir s'accumulait chez Belial, et ainsi ses gémissements de plaisir se firent plus fréquents alors qu'il entrait intensément dans l'intimité de sa propriété par le travers.

Puis son rythme sembla s'emballer, en plus être retenu par aucune contrainte et se relâcher complètement. Subitement, Belial fit pivoter le corps entier de la jeune femme par la seule force de ses mains, l'allongeant à présent de dos dur le lit, sans pour autant cesser ses allers et venus déliés en elle. Mais dés qu'elle fut dans cette position, jambes bien écartées par les mains du démon, celui ci se pencha alors sur elle et vint lui délivrer un intense et profond baiser. Ses doigts s'insinuèrent de nouveau sur sa poitrine, et quand ses lèvres durent quitter leurs jumelles dans une dernière étreinte fougueuse, les seins largement offerts de son esclave furent immédiatement et tendrement pris à parti par un suave pelotage. Les coups de reins du prince infernal se firent alors plus intenses contre son intimité, toujours avec la même tendresse glissante mais associée à présent à une passion renversante. Kohana fut littéralement soulevé du lit par les enivrants coups de dagues en elle, lui entra au plus loin d'elle au point culminant avant de la laisser retomber sur le lit en reculant son membre, pour revenir l'instant d'après l'élever de par sa passion. Il était fermement cramponné à sa poitrine à présent, la serrant intensément de ses mains pleines et accompagnants ses allers et venus rapides en elle, qui la faisait presque comme onduler sous les mouvements intensément séduisants. Alors, souriant largement à présent à son esclave, juste après un long gémissement de plaisir où il avait sentit son désir emplir chacun de ses sens, Belial répondit aux paroles de sa propriété d'une voix charmante, attentionnée et intense.

Alors, reçoit  à présent mon essence, ma chère et unique esclave!

Alors, faisant suivre le geste à la parole, Belial étreignit profondément le corps de la jeune femme, imprimant à même l'intérieur de sa chair la chaleur de leur étreinte, puis entra une ultime fois de tout son long en elle. Débordant de plaisir, son membre s'allongea sur le coup encore plus qu'il ne l'était, occupant tout le sexe de Kohana par le sien en le transperçant de part en part. Alors, dans un râle sourd et puissant de plaisir intense, la semence de Belial se rependit à l'intérieur de la jeune femme, la remplissant d'un long jet  qui sembla se prolonger infiniment alors que l'esclave était soulevée bien au dessus de la couche par les mains et le membre du démon. Un moment d'éternité passa, durant lequel il fit don de vie à sa possession, faisant corps de tout son être avec elle dans un moment de pure extase, l'impression d'atteindre les nues.
Et alors que cette sensation commençait à reflouer, bien qu'encore présente, le prince démon des enfers laissa retomber délicatement la jeune humaine sur le lit, avant de venir couvrir ses lèvres d'un baiser délicieux. Une lueur de satisfaction intense, assortie à un plaisir se confondant presque avec un sentiment de bonheur, brilla alors dans le regard de Belial tandis qu'il couvait aussi son esclave du regard, langoureusement. Décidément, cette humaine rencontrée par hasard était vraiment adorable….

Le démon était en elle. Il crachait des lames de feu et perçait son mince mur de défense. Mais comment une arme aussi démoniaque pouvait-elle procurer tant de plaisir ? A chaque assaut, son corps semblait fondre dans la jouissance, son coeur s'emballait et elle se sentait parcourue d'infimes tremblements qui prenaient de plus en plus d'importance.
Son maître la maintenait si fermement que le seul fait de se sentir ainsi protégée lui suffisait pour filer tout droit vers le Nirvana. Sa bouche restait entrouverte pour permettre à l'air d'y entrer plus facilement. Kohana n'avait plus l'occasion de maîtriser sa respiration et si elle n'avait pas la bouche ouverte, elle se serrait étouffée dans cette atmosphère paradisiaque.

Elle ne semblait plus rien contrôler. L'homme était en elle et la pénétrait avec tellement d'ardeur qu'elle ne se sentait même plus la force d'esquisser le moindre mouvement. Les mains du maître agissaient d'elles même et amplifiaient les mouvements de son corps tout entier. Belial semblait vouloir investir son ventre. Son vagin, qui était maintenant la propriété du maître, semblait insuffisant à calmer les désirs du démon. Celui-ci voulait s'avancer toujours plus loin, toujours plus profond. Dans cet endroit qui est d'habitude si serré qu'un doigt peine à y entrer.
Aujourd'hui, tout à l'intérieur d'elle même était ouvert en grand pour recevoir ce plaisir qui naissait du bas de son ventre pour venir s'étaler et flatter toutes les surfaces de son corps.

A ce moment, Kohana eut un frisson qui lui éclata dans la tête. Elle poussa un soupir puis se rengayardit. Ce frisson semblait avoir réveillé ce qui était inactif chez elle. A présent, ses hanches décrivaient des petits mouvements. Mais ceux-ci n'étaient pas du tout dans le même sens que son maître, ils formaient plutôt des petits huits et permettaient à la torche qui la pénétrait d'éclairer tous les recoins de cette grotte naturelle.

Alors soudain, l'adolescente se sentit pivoter. Elle se retrouva sous la montagne de muscles et d'arabesques tatouées de son maître. Ses yeux se portèrent sur ce visage qui semblait aimer ce rapport de proximité avec son esclave. Kohana jubilait. Son regard n'avait rien d'un regard tendre, doux et amoureux ; c'était un regard d'adoration, de vénération, d'extase. Elle déposa délicatement ses mains sur la bas du dos de Belial, à la naissance de son postérieur. Tout d'abord, elle n'osa appuyer sur cette bande de chair si gracieuse et si puissante.
Mais alors, les mouvements s'accèlérent et Kohana dut s'accrocher à son maître afin de ne pas partir à la dérive. Elle s'accrochait à Belial comme on s'accroche à une bouée de sauvetage quand la mer tangue si dangeureusement qu'il vaut mieux éviter de plonger la tête sous l'eau. Kohana ne voulait pas se retrouver noyer par le plaisir, pas seule... alors elle s'accrochait du mieux qu'elle pouvait.

Mais son maître semblait d'un tout autre avis. Ses lèvres vinrent se déposer sur celles de son esclave dans un suave baiser. Un baiser où les salives, les langues et les désirs purent se mêler et accentuer la dose de plaisir. Kohana avait peur de faire une overdose. Sa tête lui tournait tout autant que les langues à l'intérieur de sa bouche. Elle semblait avoir du mal à respirer. Alors, le maître la laissa gentillement respirer en retournant s'occuper de sa poitrine, qu'il malaxa avec tellement d'ardeur qu'il coupa vite le souffle à la jeune fille.
Ayant du mal à inspirer et à expirer, la tête trop occupée à tourner pour pouvoir contrôlée la respiration ou le reste des membres de l'adolescente, Kohana se mit à gémir. Des petits sons sortaient de sa bouche à chaque fois que l'arme démoniaque s'insérait au plus profond d'elle même, la faisant reculer de plusieurs centimètres sur le lit. La violence de l'action était jouissive parce qu'elle n'avait rien de cruelle et était entièrement menée par la passion. Ses cris que Kohana poussait en étaient la démonstration.

Alors que la jeune femme se sentait prête à basculer dans un monde d'où elle ne reviendrait plus, alors qu'elle se sentait défaillir, hâpée par ses émotions, noyée sous le flot des ressentis, le  coup de grâce fut lancé sur une courte promesse de son maître. Alors, le corps tout entier de Kohana disparut et vint se placer à l'intérieur de celui de son maître qui la serrait si fortement contre lui. Elle n'avait plus l'impression d'exister que par leur liaison. Et quand le coup de feu partit, Kohana cria.
Contrairement à une arme classique, celle-ci ne lui avait pas donnée la mort, mais un orgasme. Pourtant, à entendre et à voir le visage de la jeune fille, les effets semblaient équivalents. Mais si Kohana avait le visage déformé, ce n'était pas par la douleur, mais par un plaisir indescriptible qui s'insinuait en elle. Elle le sentait remonter à travers chacun de ses nerfs et prendre possession de son corps. Belial était en elle plus qu'il ne l'avait jamais été. Il était partout, il était elle.

Alors Kohana bascula, dans tous les sens du terme. Sa tête se renversa en arrière et son corps tout entier, si alourdit, vint se déposer doucement sur le lit à l'aide du maître. Ses pensées s'étaient éloignées du monde présent autour d'elle. Elle n'était plus une femme, il n'était plus un homme, ils était une et même personne.

Petit à petit, sous l'assaut des baisers tendres du démon, la jeune fille recouvra la raison. Alors elle sentit en elle quelque chose couler. Mais, étrangement, le liquide se déversait dans les deux sens. Une partie semblait s'accrocher à l'intérieur d'elle même, essayant de poursuivre l'oeuvre de l'arme qui l'avait précédée ; tandis qu'une autre partie se déversait sur les flancs de la colline pour venir s'écoucher sur une vallée matelassée, après avoir parcourut un long chemin entre les fesses de l'adolescente.
Mais cette partie de l'essence de Belial ne semblait pas importante, en tout cas, elle ne l'était pas pour la jeune fille. Tout son attention était portée sur ce qui restait en elle. Le maître était là, et il ne la quitterait plus maintenant. Il l'avait promis, il l'avait fait. Il lui avait tout donné. Et ce tout s'insinuait en elle, attendant le jour propice pour germer.

Un frisson parcourut tout le corps de Kohana qui vint se blottir contre son maître. Puis elle déposa des baisers sur tout son torse. Ses gestes étaient frénétiques, elle semblait ne plus pouvoir s'arrêter. Son plaisir était encore si grand... elle remerciait son maître pour toute cette attention qu'il lui avait porté et lui montrait qu'à présent elle était sienne, qu'elle le resterait et qu'elle le remerciait de cette bénédiction. Heureusement, sa bouche acharnée rencontra finalement celle de son maître, et les douces lèvres eurent raison de sa folie. La jeune fille se calma et déposa des baisers parsimonieux sur cette bouche qui lui était offerte avant de soupirer d'aise.

Les yeux fermés, elle posa sa tête contre le torse de l'être le plus cher qu'elle possèdait dans ce monde. Et dans un souffle elle laissa simplement échapper un son presque inaudible pour un être humain.

"Je vous aime..."

A présent lui même allongé sur le lit, Belial se laissa couvrir par les attentions de la jeune femme sur lui, qui ne se lassait pas de l'embrasser visiblement. Ce que lui même ne trouvait pas contraignant, bien au contraire. L'ardeur avec laquelle elle entamait son corps faisait plaisir à voir. Mais il finit par calmer ses attentions en l'embrassant à son tour, sur ses douces lèvres, et clore ainsi sa bouche de la sienne. Elle consentit ainsi à reprendre son calme, et à se laisser aller contre le démon qui avait prit possession d'elle. Elle était en totale confiance envers lui, s'abandonnait à lui sans retenue, au contraire avec désir et passion, elle n'avait plus pour centre d'intérêt que le prince infernal qui avait fait d'elle son unique esclave. Elle était en fait tout simplement amoureuse, jusqu'au plus intense, pour celui qui venait de lui faire don de sa descendance. Tout dans ses gestes et ses paroles le démontrait, et cela était largement apprécié par ledit démon.
Qui en souriant tendrement à la jeune femme, lui déclara ses mots avec force et vigueur, ourlé de séduisante douceur, alors que son regard embrasé, intense et doux tel une caresse était plongé sur elle.

Moi aussi, Kohana....

Paroles étonnantes, voire stupéfiantes de la part d'une telle personne, mais qui étrangement étaient tout à fait vraies. Bien sûr, Belial n'aimait pas Kohana comme Kohana aimait Belial, c'était impossible, le démon était trop différent d'elle, et avait trop vécu pour vivre le même sentiment que la jeune femme, par sa nature elle-même, en fait. Mais à sa manière, il devait bien avouer qu'il avait fini par aimer cette humaine, rencontrée par hasard, et qui avait su se montrer si plaisante. Ce n'était pas pour rien qu'il en avait fait son enclave, chose que le prince du plaisir n'avait jamais fait auparavant, parmi toutes ses conquêtes. Il aimait ainsi Kohana, comme on prise une possession chère à ses yeux...;ce qui était déjà beaucoup de la part du prince du feu et du vice. Elle avait eu le mérite de lui plaire, et elle aurait encore longtemps pour profiter de tout ce qui en résulterait pour elle.

Ainsi, Belial se laissa lentement bercé dans la douce rêverie suivant chaque acte, étant gagné par cet assoupissement par pur plaisir et envie, son esclave allongée sur lui, comme une seconde peau, alors qu'il la tenait toujours dans son étreinte, par delà même son sommeil. Paisiblement allongé, sa respiration lente et composée, on aurait pu dire un humain endormis, si ce n’était son apparence. Il aimait bien par moments se comporter pareil à eux, a vrai dire, cela l’amusait beaucoup au final. Il ne s’endormit malgré tout pas avant que son esclave eu fait de même au sein de son étreinte, s’assurant qu’elle gagnait un repos bien mérité à ses intenses efforts précédents.  Il ferait de grandes choses plaisantes avec elle, il en était persuadé.....