Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Aglagla ? Mon nouveau tube de l'été, bien sûr ! [pv Shad Hoshisora]

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Shad Hoshisora

Terranide

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    A un putain de réseau social.
La louve pencha sa tête légèrement en arrière comme pour encore plus se prélasser tandis qu’elle pouvait ouïr Rafiki se mouvoir. Viendra-t-il ou non ? Dans tous les cas, par un souci de pudicité envers Rafiki, la louve ne le fixait pas pendant qu’il se déshabillait et attendit de sentir l’eau remuer, signe de son intrusion dans l’eau pour remettre sa tête droite et fixait son attention sur le noir. Sauf, que le coup des bulles n’était pas  normale, pas du tout normale, surtout qu’elles avaient commencés pile quand  le bassin du noir avait été immergé. Dans un bond, la louve eut un mouvement de recul et se retrouva presque perché, se tenant aux parois au –dessus du « jacuzzi » improvisé :

« Bon sang Rafiki t’s mangé un cassoulet ou quoi ? Stop faire ton Pumba merde ! »

Hop petite explication rapide et la louve était de nouveau dans l’eau, profitant cette fois correctement des bulles faites par magie. Tournant un instant son attention vers l’extérieur et y apercevant le blizzard, elle ne pût réprimer un rire franc et cristallin. Bon sang, dehors il devait faire -8000 et eux, ils étaient là, à se prélasser dans un bon bain chaud à bulles en pleins milieux des Terres Gelées,  ce qui était parfaitement logique, oui Madame.  Dans tous les cas, ce serait une journée et une rencontre que l’Okami ne serait pas prête d’oublier.

Plissant un instant ses yeux, affichant un sourire au coin, la louve se mis à se mouvoir dans le jacuzzi tout en restant sur place, faisant en sorte de sortir un peu de l’eau, non pas pour que Rafiki se rince l’œil mais pour parvenir à frapper la surface de l’eau avec sa queue de louve. Cet appendice pouvait avoir une certaine force et celle qui fut employée par la Terranide à la surface de l’eau lui permis d’envoyer une légère vague d’eau sur le vieux sage.  Allez on fait comme les gosses ! On joue dans l’eau ! On s’envoie des petites éclaboussures ! Sauf que là, on n’a pas de maillot de bain, donc tout le corps suis le mouvement. Et sbong à gauche, et sbong à droite….

« Bon allez…ça suffit .. » souffla la Terranide tandis qu’elle se reculait pour se mettre à sa place initial, reprenant un instant son souflle – Et Rafiki ? Tu me suis ? »

La louve marqua un arrêt, faisant durer un moment le suspense avant  de se racler la gorge, de prendre un léger accent, de tendre ses mains en avant, comme pour bloquer la route de l’africain et de mimer.

« Rafiki, écoutes moi, chez les humains c’est la pa-gaille ! La vie sous la mer c’est bien mieux que la vie qu’ils ont là-haut sur terre ! » Elle leva par la suite son index et commença une des fameuses chansons disney : » Le roseau est toujours plus vert dans le marais d’à côté, toi t’aimerais bien vivre sur terre, bonjour la calamité ! » Elle fit un mouvement circulaire comme pour présenter, envelopper la pièce « Regardes bien le monde qui t’entoures dans l’océan parfumé, on fête Carnaval tous les jours, mieux tu ne pourras pas trouver ! »

Et hop ! C’était partie pour un petit « Sous l’Océan » avec agrémentation de la  parole grâce au geste !  Allez Rafiki lâche toi ! Tu la connais aussi celle-là ! Oui enfin, la terranide était des fois qu’à semi immergé et sa poitrine à l’air libre devait attirer  l’attention du noir hein.  Surtout qu’elle ne se gênait pas pour se déhancher tout en chantant,  profitant de ce petit instant de  joie et de souvenir d’enfance.

« Haa putain… »

La belle louve se laissa glisser à nouveau dans l’eau, cette fois non pas à la place où elle se trouvait avant mais pile à côté de Rafiki.  S’étirant un instant,  elle posa par la suite sa tête contre l’épaule du noir, fermant les yeux pour profiter de l’instant présent.  Les bulles magiques détendaient parfaitement tous ses muscles et puis elle était bien là.  La louve esquissa un sourire mutin :

« Hmm…un parfum sauvage,  l’odeur de la savane..Tiens même un petit zest de banane… »

Mais de quoi pouvait donc parler l’Okami ? Et bien, de l’odeur corporelle de Rafiki bien entendu ! Ce dernier portait en lui l’essence de la brousse et l’odorat développé de la Terranide avait l’impression de se retrouver en pleins milieux de la savane rien qu’en étant à proximité du génie africain.  Mais est-ce que le goût accompagnerait l’odeur ? Bougeant légèrement sa tête, la  louve donna un léger coup de langue sur le cou de l’homme,  souriant sous les saveurs qu’elle pouvait déceler. Ce n’était pas les mêmes que celels qu’elle avait pu sentir, mais le goût particulier de la peau de Rafiki, lui offrait également une certaine forme de voyage.  Posant une main contre le torse de Rafiki, elle entreprit par la suite de  continuer ses petits coups de langue, pile  dans le creux du cou, au niveau de la jugulaire.

Rafiki

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    Esprit malin et farceur, qui aime les femmes, bigre ! Pcht ! Je peux vous montrer le chemin ! Suivez le bon Rafiki !
Ah putain ! Ce bond que Shad vient de faire ! C’est tout bonnement hilarant ! Je n’en peux plus tellement elle m’a surprise, riant franchement à la situation. Moi qui pensais lui faire plaisir en incluant un peu de magie dans le bain chaud qu’elle nous avait préparé, des petites bulles quoi, histoire de se sentir comme dans un bon jacuzzi luxueux. Mais non ! Bordel de merde, elle croit que je lâche des caisses dans cette gigantesque baignoire ? Mais, mais…Je ne suis pas un putain de dégueulasse quand même ! Attends, Pumba ? Laissez-moi réflé…AH OUI ! Je vois. Ha ha ha !

- Hé ! Je ne suis pas en train de péter dans l’eau, sinon tu serais déjà morte sous l’odeur pestilentielle ! C’est toujours ma magie ! MA-GIE !

Rooo, cette classe quoi. Bon, pas grave ! Fu fu fu. Elle me fait bien rire. Franchement, je n’aurais jamais osé faire ça en présence d’une belle gazelle, à poil devant moi en plus ! Et il faut dire que je profite de la vue alors qu’elle s’agrippe aux parois de la grotte. Oh bordel de nom d’une pipe. J’vais peut-être paraître vulgaire mais pour résumer le tout, Shad est foutrement bonne ! J’ai déjà pu l’observer un peu tout à l’heure, bien qu’elle portait encore ses vêtements, pour moi, elle avait des formes parfaites. J’aime toutes les femmes, mais Shad devait être l’une des plus belles que j’avais pu rencontrer durant toute ma longue vie. Mais là, que son corps se révèle sous mes yeux d’émeraude, sans retenue, je dois bien avouer qu’elle est encore plus belle que je ne le pensais. Pfiou, de ces courbes d’enfer quoi ! Une véritable vision du paradis que j’ai juste sous mes yeux de profane. Là voilà qui, après mes explications, revient dans l’eau. Elle y glisse sensuellement. C’est hot, putain. Comme l’eau du bain. Comme moi. Ma trique ne s’est pas relâchée et je bande comme un âne.

Et la miss ne fait rien pour que je me détende sur ce point-là ! La coquine ! Enfin, elle ne doit pas trop s’en rendre compte. À moins qu’elle soit vicieuse et aime me taquiner. Grr. Ca m’excite encore plus d’imaginer tout ça. Quoique, je n’ai pas besoin d’avoir ce genre de pensées pour bander davantage. Joueuse, Shad se remue un peu, comme un chat se préparant à sauter sur sa proie, et la proie ici, c’est moi. Oh oui, ma louve, saute-moi dessus et mange-moi ! J’ai tous mes muscles tendus par l’excitation et prêts à la recevoir tout contre mon torse, entre mes bras. Mais la gazelle me réserve une surprise d’un tout autre genre…C’est mouillé. NAN ! Pas ce que vous pensez, bande de pervers. Elle s’amuse juste à me recouvrir de l’eau chaude du bain. ‘Tin ! J’ai failli boire la tasse, merde !

- Ah ouais ? Tu veux la guerre ?

Je n’attends aucune réponse de sa part. J’approche une main de la surface de l’eau, ou plutôt deux doigts. Je ne lui fais qu’une pichenette, mais avec mes pouvoirs, je l’exagère. Ce n’est pas quelques gouttelettes qui la mouille, mais une véritable vague, aussi grosse que la sienne, qui vient la tremper entièrement. Un rire franc de ma part résonne un peu dans la grotte, alors que la jeune femme, souriante, regarde vers l’extérieur, pendant que…Oh. My. God. Ses seins ne sont pas énormes énormes non plus, mais l’eau qui les fait se remuer me donne la furieuse envie d’y plonger mon visage et d’y goûter. Shad ! Vile tentatrice !

La belle jeune femme repose le regard sur moi. Grr. Cette Terranide sait-elle à quel point elle me fait de l’effet, rien qu’en posant ses yeux bleutés sur moi ? J’en doute fortement. Je le vois se mettre en place, me demandant de la suivre. Pardon ? Je ne comprends qu’après qu’elle chantonne un autre air de Disney que je connais également parfaitement. Elle me fait bien rire cette jolie fleur. Au beau milieu d’une terre glacée, elle se fait plaisir. Dans la grotte, on peut entendre un léger écho, celle de ma voix grave et travaillée pour imiter l’accent du célèbre Sébastien. Gloups. Parfois, je suis OBLIGÉ de m’arrêter, ou de pousser la chansonnette moins fort, car la façon dont elle se déhanche me fait gronder intérieurement. Brr. Elle est en train de me faire perdre mes moyens, là !

Sous l’Océan terminé, mes émeraudes l’observent fondre de nouveau dans l’eau chaude. Mais mais…Elle s’approche de moi ! Pire ! Mieux ! Shad vient s’installer à côté de moi, alors que j’hausse les sourcils de sourcils, surpris. OUAIS, SURPRIS ! La gazelle ne me connaît que très peu. C’est déjà beaucoup qu’elle se foute à poil devant moi. Alors là, qu’elle vienne se coller légèrement à moi…À poser sa tête sur mon épaule, même ! Et ben, je trouve ça un peu précipité. Bon, c’est bien loin de me gêner, c’est vrai. Mais, j’trouve que ça va trop vite. OH ! RAFIKI ! Tu ne vas pas jouer à celui qui a un balai dans le cul, nan ? Alors, gonfle le torse, vu que ton membre l’est déjà, et lance-toi ! Tripote-la ! Tiens ! Je me fous une baffe mentale pour me reprendre un minimum, alors que la jeune louve semble trémousser son petit nez pour sentir quelque chose. Nouveau sourcil haussé.

- Je sens la banane ?

Nan, mais j’en ai une, de banane, bien grosse et longue ! Nouvelle baffe mentale. Tss. Pendant un instant, je me demande si elle parle de moi, mais quand Shad fait référence à la brousse, à la savane, je ne pense pas me tromper. C’est bien de moi qu’elle parle. Je lève mon bras et viens renifler mon aisselle. Je ne sens rien en particulier. Mh, soit son imagination lui fait renifler de drôles de choses, soit elle possède un flair surpuissant. Je penche pour le second point. Après tout, c’est une okami. Mais c’est quoi ce que je sens là ? Shad, elle est…Sa main sur mon torse. Je ne bouge pas. Je reste muet, quoiqu’on puisse très bien entendre les battements de mon cœur qui s’accélèrent, ou bien la respiration profonde que j’ai. Puceau. Raf’, on dirait un puceau là, qui ne sait pas comment réagir à tout ça ! Haaaaa…Un soupir d’aise s’échappe d’entre mes lèvres ébène. La vilaine. J’ai un putain de frisson qui vient de me secouer tout le corps, là ! Elle me lèche le cou ! Comme un petit chien qui lape sa gamelle d’eau. Brrr. Mes mains aimeraient se poser sur elle, pour la renverser, la coincer contre la paroi et cela me permettrait de goûter à son cou à mon tour. À tout son corps même. Mais je ne fais rien, rien à part tendre mon visage sur le côté pour offrir davantage mon cou aux coups de langue de Shad, avant de m’adresser à elle, après un autre soupir.

- Shad…

Merde ! C’était peut-être dit un peu trop chaudement, là…Oh puis zut !

- Sais-tu ce que tu es en train de faire, mh ?

Je pense que oui. Shad, tu profites de ma faiblesse. Nan, tu es ma faiblesse. Si tu savais comme j’ai envie, là, maintenant, tout de suite…Je ne ferais rien tant que tu ne m’inviteras pas clairement. Je t’en prie. Invite-moi…
Je suis très balèze !

" Once you go black, you never go back ! "

Shad Hoshisora

Terranide

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La langue chaude et humide de l’Okami glissait dans le cou de Rafiki, la propriétaire du muscle buccale se délectait des senteurs qu’elle percevait et ne put s’empêcher d’émettre un léger ronronnement, ce dernier faisant légèrement vibrer sa gorge et sa  poitrine tandis que sa queue se balançait doucement de gauche à droite à la surface de l’eau. La main sur le torse du noir lui permettait un certains appuie, du moins surtout de ne pas glisser en arrière.

« - Sais-tu ce que tu es en train de faire, mh »

La louve se stoppa un instant, avant de reprendre sa dégustation, allant jusqu’à mordiller la peau de l’ébène. Si elle savait ce qu’elle faisait ? Oh oui, d’habitude elle n’était pas aussi directe mais là, allez savoir, la lupine souhaitait juste se laisser aller, tout oublier, ne plus penser à rien, profiter du moment présent, là maintenant dans cette grotte en pleins blizzard dans ce bain chaud improvisé.

Doucement, les lèvres de la Terranide quittèrent à regret le cou du vieux singe tandis que son regard azuré se porta dans celui d’émeraude de son compagnon. Le souffle court, elle le fixa un instant, sa queue battant nerveusement l’air, comme à la recherche d’une réponse. Pourquoi n’arrivait-elle donc pas à lui répondre ? Ce n’était pas bien compliqué après tout !  Les yeux de la louve se mirent à fuir ceux du sage et courir ici et là, tantôt à des endroits de la grotte, tantôt  sur le corps de Rafiki.

Cependant, lentement, elle se mt à reculer, baissant sa tête et ses oreilles, comme l’aurait fait un chien qui venait de faire une bêtise et attendait sa punition. Shad se mordit la lèvre inférieur, faisant légèrement perler le sang, jamais elle n’aurait dû agir ainsi ce n’était pas dans sa nature merde ! Relevant son visage, se tenant  l’un de ses bras, étant quasiment debout, nue face à Rafiki, elle marmonna :

« Scuse, je..je ne sais pas ce qui m’a pris Raf’, c’est juste que … »

Que j’ai envie. Point barre à la ligne. Oh oui la louve avait follement envie de Rafiki, de passer ce fameux moment ensemble, leurs corps enliassé, fusionné, dans une danse que seul un couple peut effectuer. La louve se laissa néanmoins glisser dans l’eau pour se mettre contre la paroi, cette fois à l’opposé de Rafiki qu’elle fixait doucement, d’un air de dire «  m’en veux pas hein ? »

Mais le regard qu’elle lui lançai, ses yeux de saphir semblaient lui demander pardon pour son acte mais semblaient  également l’appeler, lui demander qu’il vienne à elle, qu’il fasse le premier pas, ou du moins, le seconds pas. Le repousser ? En cet instant, cette idée ne traversait même pas l’esprit de la louve, non elle l’accueillerait même, à bras ouvert.

[hrp : Coouurt TT]

Rafiki

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Le cadre est idyllique. L’ambiance l’est tout autant. Sentir cette louve tout contre moi, sa main tendue sur mon torse, sa langue se régalant de ma peau d’ébène…Tout. Shad fait tout pour que je craque. Sincèrement, l’envie furieuse de me jeter sur elle et de me repaître de son corps ne s’est pas envolée. Bien au contraire. Et puis, la belle demoiselle ne fait rien pour la calmer, cette envie. J’ai beau la prévenir, sur ce qu’elle est en train de faire, la jeune femme ne s’arrête pas. Ah ? Ca ne me déplaît pas, vraiment pas du tout, mais…Se rend-elle compte de l’effet réel de ses caresses ? J’en doute. Quoique…Shad s’arrête un instant, à peine quelques secondes, comme si mes paroles avaient enfin atteint ses oreilles de louve. Mais non. C’est bien loin de suffire. Là voilà qui continue. Bordel. Je vais craquer. Et heureusement que j’suis à poil et que Popole est dans l’eau, parce qu’il aurait déchiré mon caleçon tel que Hulk qui déchire ses fringues en grossissant, et qu’au moins, dans le bassin d’eau chaude, avec toutes ces bubulles, et bien, la gazelle ne remarque pas trop la trique que je me paie.

Continue comme ça, Shad, et je te saute dessus. Je te préviens ! Bon, je ne l’ai pas dit clairement à haute voix mais…Je crois bien l’avoir tellement fort que la belle s’arrête vraiment de me lécher le cou. Ses ronronnements s’évanouissent aussi. Merde, sa poitrine vibrante quoi, tout contre mon bras, c’était si bon ! Raah, Raf’ ! Pourquoi tu l’as mise en garde, hein ? POURQUOI ? Tu ne pouvais pas profiter un instant, nan ? Naaaan ! Faut que tu foutes tout en l’air, mal baisé ! La belle me fixe de ses grands yeux bleus. Je sens que je vais défaillir. On dirait qu’elle va me sauter dessus, mais finalement, je me suis trompée. Ses yeux filent sur le décor de glace plusieurs fois, avant de revenir sur ma peau d’ébène et sur mon torse. La louve se ravise et…Mais merde ! J’ai fait quoi ? La voilà que Shad s’éloigne de moi, la tête baissée, entre les épaules, et les oreilles aplaties. Elle me fait penser à un chien battu…Mais je ne l’ai pas touchééééée ! Uh ? What ? Je plisse un instant mes yeux émeraudes pour vérifier ce que je viens de voir, et non, elle a tellement mordu sa lèvre qu’elle saigne. Mais putain ! J’aimerais comprendre !

Tu…Tu crois avoir fait une connerie, Shad, c’est ça ? Bon, même si je profite de la vue sur son corps sorti à moitié de l’eau et que j’ai l’envie furieuse de me la faire -poésiiiiie-, son visage semble se décomposer un peu. J’ai réussi à la mettre mal à l’aise. Suffit de voir comment elle se tient le bras, ce qu’elle dit, et comment sa queue de louve bat l’air nerveusement. J’suis qu’un crétin. J’aurais du me taire, sérieusement. On n’en serait pas là. Ma gazelle reprend place dans l’eau, faisant disparaître son corps de déesse, se collant alors à la paroi. Mais elle ne cesse de me fixer. Que…Ses prunelles azurées m’appellent. J’en suis certain. Elle a honte, ou elle est gênée. Mais elle a envie, tout comme moi, j’ai envie d’elle. Ca me flatte, putain. J’en ai le feu qui se pointe sur mes joues. Merci à ma peau foncée, on n’y voit pas grande différence. Allez, Rafiki, lance-toi !

Je ne me lève pas. Tout doucement, je plonge un peu plus, avançant comme à quatre pattes, en sa direction. Je ne me prends pas pour un prédateur. La preuve, j’y vais avec un sourire tendre et amusé sur le visage. Arrivé face à elle, je me relève lentement. Mon doigt lui remonte son menton pour qu’elle me fixe. Je fais claquer ma langue plusieurs fois contre mon palet, tout en secouant la tête.

- Tut-tut-tut.

Avec le même doigt, je passe délicatement sur sa lèvre blessée, essuyant au maximum le sang qui y coule encore en petite quantité.

- Ne te fais pas mal pour si peu, d’accord ?

PUTAIN RAFIKI ! Vas-y ! C’est le moment, gros ! Lance-toi !

- Je vais guérir ça…

Et doucement...EMBRASSE-LA, bro' ! Putain de voix Disney ! Je disais donc...Et doucement, je viens plaquer mes lèvres d’ébène sur les siennes en sang. Rooh, putain, le beau gosse qui se la joue romantique et tout ! J’assure, Arthur ! C’est doux, c’est chaud. Et SURTOUT, ça faisait super méga longtemps que je n’avais pas embrassé une femme, ne serait-ce que poser mes lèvres sur d’autres féminines comme maintenant. C’est bon, putain. Bon, est-ce que je lui roule un patin maintenant ou quoi ? Ca va peut-être un peu trop vite pour elle ? Mmh. Je vais attendre un peu. Je stoppe le baiser, la fixant, plongeant mes yeux verts dans les siens bleu océan. Un sourire sincère et doux étire mes lèvres. Je ne dis rien. Je reste mutin.

Moi, sans gêne, je prends mes aises et viens poser mes mains sur la hanche de la belle et dans son dos. D’un geste, je la colle contre moi, mes doigts caressant sa peau à ces endroits. Sans être brusque, je bascule ma tête sur le côté et pars à l’assaut de son cou. Je me mets à le picorer avec envie, y déposant moult baisers. Je remonte très lentement sa peau jusqu’à atteindre son oreille gauche. Allez, je la préviens tout de même, même si c’est avec un air taquin que je vais lui murmurer tout cela.

- Si tu ne veux pas, si tu n’aimes pas, arrête-moi, Shad…

Et je redescends pour lui frôler la peau du cou de la pulpe de mes lèvres épaisses. Qu’elle me repousse tiens ! Si la gazelle me fait ça, j’irai me branler un peu plus loin pour soulager Popole, parce que là, ça va péter ! Il crie AU SECOURS depuis tout à l’heure, et je commence à avoir mal. J’ai les noix de coco pleines, bordel. C’te supplice !
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Shad Hoshisora

Terranide

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Shad restait là, son dos colle contre la paroi du jacuzzi improvisé, ce dernier continuait à émettre des bulles, effleurant, caressant la peau de la lupine sous une douce caresse propre à ce genre d’appareil. La sensation était relaxante et permettait à la Louve de ne pas défaillir après ce qu’elle avait osé commettre. Merci ta magie Rafiki ! Et puis cette température d’eau chaude avait aussi le pouvoir de vous décrispez. L’Okami restait donc sans bouger, sans ciller, légèrement tremblante de honte, fixant le noir. Si elle aurait été complétement debout, son appendice caudal, elle l’aurait mis entre ses jambes, comme un lupin apeuré.

Mais tiens ? Voilà que le singe se rapproche et de quelle manière ! Môsieur plonge dans l’eau frémissante de bulles, avançant vers Shad comme s’il se mouvait à quatre pattes, un sourire amusé ornant son visage.  Sa proie ne bougeait pas, le fixant, le laissant arriver, abaissant légèrement son regard et sa tête quand il parvint à sa hauteur, déglutissant légèrement. Au contact du doigt sur son menton, elle émit un petit frissonnement, gardant au début son regard abaissé quand son visage fut relevé avant de finalement le pointait dans celui de jade de Rafiki.

Sa langue vint automatiquement titiller le doigt de l’ébène qui passait sur ses  lèvres légèrement rouge de sang. Elle put même sentir le petit côté ferreux de son propre sang. La pauvre gardait ses oreilles en arrière, observant Rafiki comme un chien battu, comme si elle s’attendait à se faire corriger. Mais d’un autre côté, son regard semblait l’appeler également, l’inviter à continuer ce qu’il faisait et…

Et putain ! Ca faisait du bien ! Leurs lèvres s’étaient jointes, s’étaient unis pour un premier baiser, doux, sans brusquerie. Autant commencer doucement non ? La Louve pris un peu d’assurance, répondant doucement à l’échange, ses yeux s’étaient à moitié clos pour profiter de l’instant et quand elle sentit les mains de Rafiki se posaient contre son corps et le rapprocher du sien, elle ne broncha pas.

Au contraire, elle vint à son tour passer une main dans son dos, faisant glisser ses dextres le long de ce dernier, traçant quelques lignes imaginaires pendant que sa main libre, pour le moment, ne faisait rien, restant simplement dans l’eau.  Sa tête bascula automatiquement sur le côté quand Rafiki rapprocha ses lèvres de cette zone. Sa posture semblait dire «  Va s’y Raf ! T’as carte blanche ! Fais ce que tu veux d’mon cou ! » Les yeux clos, la belle profita des attentions de Rafiki, n’apposant aucune résistance. Après tout, pourquoi le ferait-elle hein ?

« - Si tu ne veux pas, si tu n’aimes pas, arrête-moi, Shad… »

Hein ? Ses yeux s’ouvrirent un bref instant sur le coup de la surprise. Pourquoi elle l’arrêterait ? Ce n’était pas ce qu’elle avait le plus envie de faire en ce moment. Un petit gémissement s’extirpe d’entre ses lèvres pendant que celle du noir effleurent à nouveau la peau tendre de son cou. Allez Raf ! Lèche-le ! Mord-le ! Fais ce que bon te semble mais arrête d’être aussi taquin !  Et pour  faire passer ce message, la main dans le dos du génie vint remonter doucement ce dernier, le caressant. Ses doigts fins fila jusqu’à la nuque, y apposant un léger massage, avant de se perdre dans la chevelure d’ébène. La chevelure magique qui  semblait être animé de vie, magiiiieee ! Un petit  sourire amusé  étira les lèvres de l’Okami tandis qu’elle remarquait ce point, avant de doucement appuyer  sa main, de sorte d’appuyer un peu plus la bouche de Rafiki contre son cou.

« Je veux, j’aime, continue, Raf’ » se contenta d’elle de répondre en réponse aux précédentes paroles du singe.

Sa main dans la chevelure, redescendit, massant la nuque, passant sur les épaules, repartant dans le dos, jouant avec ses trois parties de l’anatomie du noir. Sa deuxième main, enfin, rentra aussi dans l’action. Cette dernière se plaça doucement contre le torse de l’homme, le caressant doucement, s’arrêtant un court instant à l’emplacement du cœur, sentant les battements rapides de ce dernier. Oh Raf, respire ou tu vas défaillir !


Rafiki

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Je ne pense pas que Shad me dira non pour la suite. Je l’ai senti, ce petit coup de langue quand j’ai passé mon doigt sur ses lèvres rougies par le sang. Je l’ai senti qu’elle y mettait du sien dans le baiser, ses lèvres venant se presser davantage contre les miennes. Je l’ai senti, ses doigts fins et graciles dans mon dos dessiner des tracés imaginaires, flirtant sur ma peau d’ébène. Je l’ai senti ce cou se basculer pour accueillir avec envie mes baisers contre sa chair tendre. Nom de…Ma gazelle, te voir céder petit à petit me fait défaillir. Mais je n’aurais pas l’air con si je balançais la sauce juste maintenant. Puis, ça fait très fair-play, et crado également, tiens. Pff, Shad, tu me rends dingue.

Et puis, je m’en fous ! Je continue ! Mes lèvres ébène grignotent sans cesse son cou qu’elle m’offre. Rawr ! Parfois, mes dents blanches viennent en gratter la peau. Je me sens prédateur, fou prédateur qui veut se régaler de la pauvre gazelle qu’il tient entre ses griffes et dans sa gueule. Mmrr…Si tu me laisses faire, jeune louve, je vais faire qu’une bouchée de toi ! Ma main sur sa hanche et l’autre dans son dos la pressent encore et toujours un peu plus contre moi. Purée, cette paire de nichons sur mon torse, toute écrasée…Voilà ! J’en bande encore plus, et ça m’fait mal, sérieux ! De trop ! Ma langue vient taquiner sa peau humide et chaude. Je me sens frustré. Je la prendrais bien là, directement, sans chichi, mais…Non. J’ai décidé que je prendrais mon temps et que je ne la brusquerais pas.

Mais purée ! C’est un gémissement que je viens d’entendre sortir de sa bouche ? Oui…OUAIS, PUTAIN OUAIS ! J’suis sur la bonne voie ! Popole, tu vas être servi, mon pote ! Mes lèvres attaquent encore plus son cou à nu, où elle m’y presse de sa main. Shad, tu en veux encore, n’est-ce pas ? Ton corps, tes doigts qui filent partout sur moi, tu réclames davantage, c’est ça ? Laisse-moi te servir, ma belle. Tendrement, je la décolle de moi, quittant à regret son cou, je dois bien l’avouer. Je parsème sa peau de baisers encore, ici et là, pour descendre sur ses clavicules, que je dessine finement. Puis, je descends encore et encore, jusqu’à rencontrer la hauteur de ses monts de chair. Bon dieu. Je n’y tiens plus. Je file tel un affamé vers ses pointes, d’abord la gauche, que je me mets à suçoter, téter même comme un bambin. Je le fais rouler entre mes dents, sans mal, et je tire légèrement dessus. C’est doux. C’est chaud. C’est foutrement bon. Je réserve le même sort à son proche voisin, avant de le relâcher pour croiser mon regard émeraude avec les saphirs de la louve.

- Shad…

Quoi ? C’est dit trop chaudement ? MAIS J’AI CHAUD, PUTAIN DE BORDEL DE M**** ! Yé soui aussi caliente qu’oune mexicain qui a bouffé oune piment ! J’ai tellement envie que je reviens engouffrer mon visage de black dans sa poitrine toute blanche, mais parfaite pour accueillir ma tête. C’est le Paradis. Je suis aux anges. Et je m’emporte tellement que mes deux grandes paluches glissent lentement de la hanche de la louve, et de son dos, pour filer vers sa chute de reins. Je lui griffe légèrement la peau, juste un peu. Ou un peu trop…ATTAQUE, RAF’ ! Subitement, je viens agripper ses bonnes fesses fermement. Putain, ça aussi, c’est doux, chaud, moelleux ! PARFAIT, BORDEL ! Impatient, parce que je le suis, je les lui presse, les masse pour en capter la moindre courbe et l’ancrer dans mon esprit.

- Put…

Ouais, c’est bon. J’me lâche un peu, m’voyez ? Je n’ai pas le droit de gémir, peut-être ? Bah merde. De toute façon, je ne peux pas me retenir. Shad, c’est de la bombe, voilà. Sauf que là, c’est moi qui vais péter. NAN, pas dans l’eau, bande de gros dégueux ! J’parlais de mes noix de coco…J’aimerais bien que ma petite gazelle s’occupe de moi. Mais lui demander n’est pas vraiment mon genre. Elle viendra quand elle aura envie…Enfin, si elle a envie de mon manioc, bien évidemment.
Je suis très balèze !

" Once you go black, you never go back ! "

Shad Hoshisora

Terranide

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La tête balancée en arrière, le cou offert aux lèvres d’ébènes de Rafiki, Shad se laissait faire, appréciant l’instant, frissonnant sous les petits bécots qu’elle recevait, lâchant de temps à autre des petits soupirs d’aise. Dire qu’elle n’appréciait pas l’instant aurait été un mensonge fort éhonté.  Sa main posée contre le torse du noir continua son aventure, caressant les pectoraux de Rafiki, y appréciant leur fermeté,  les retraçant, les massant alors même que son corps se faisait encore plus presser contre celui de Rafiki.

Un petit couinement quitta ses lèvres en sentant les dents blanches du sage mordillait la peau de son cou, c’est qu’elle y est sensible la petite !   Et pour guise de réponse, elle fit appuyer légèrement plus le visage de Rafiki contre sa nuque, accentuant les caresses buccales qui lui prodiguait. Bon sang, c’était foutrement bon et ça la détendait, lui faisant oublier où elle se trouvait. Un bon moyen de détente et d’oublier les soucis et tracas de la journée. L’Okami  frissonna quand le singe s’écarta finalement, son regard croisa le sien, semblant lui demander » bon sang, pourquoi tu t’arrêtes ? »

Mais Rafiki s’était arrêté pour mieux repartir à l’assaut.  La louve tremblotait légèrement sous ses baisers, pressant le corps d’ébène contre le sien. Elle pouvait ressentir le souffle chaud et cout de Rafiki contre sa peau. Gardant les yeux clos, la lupine ressentait le chemin que les lèvres du génie entreprenaient et il n’était pas difficile de savoir quelle sera leur prochaine cible. Un nouveau frisson lui parcouru l’échine et quand les lèvres gourmandes de Rafiki vinrent se saisir de l’un de ses tétons, elle entre-ouvrit ses yeux, poussant un soupir plus long.

Ces lèvres, cette langue, ces dents, ces petits tiraillements, bon sang, elle aimait cela. D’autant plus que ça faisait un long moment qu’elle n’avait eu un tel échange consentant, autant dire qu’elle y était fortement réceptive ! Si Rafki aimait l’entendre gémir et soupirer, il était servi ! La Louve ne retenait aucunement ses petits soupirs de passions, passant une main derrière la tête du sage, le pressant un peu plus tout en le caressant. Sa main libre quant à elle, repartit à l’assaut du dos et sous l’eau, sa queue se mouvait en de amples mouvements, son extrémité blanche allant de temps à autre caresser la virilité du génie.

« Hé…c’est confortable ? » s’enquit-elle un petit sourire amusé aux lèvres tandis qu’il venait de mettre sa tête  dans le creux de sa poitrine.

Telle une mère aimante, une amante, la lupine couvrait de caresses Rafiki, ne le délogeant pas de là où il s’était placé.   Son corps trembla légèrement sous le léger coup de griffes, elle allait avoir des marques s’il continue comme cela tiens !   La belle ressentit sans mal ses mains sur son petit cul, s’arquant doucement afin de le presser contre, il devait bien apprécier non ?  En tout cas, pour sa part, elle avait chaud, surtout qu’en prime, la température du bain n’aidait pas et accentuait cette chaleur

« Raf ?  Je vais t’offrir un monde… »

Taquine,  Shad pris le visage de Rafiki entre ses mains, le décalant doucement de son support, ses doigts fins et graciles caressant ses joues, ses pouces effleurant les lèvres du vieux sage. Lentement, la lupine se laissa glisser, arrivant en premier temps à la hauteur du dit-visage, y déposant un baiser furtif avant d’en déposer un second, plus long, plus doux, plus passionné. Ses mains allant et venant sur le corps du génie, ses doigts allant de temps à autre tirailler l’un de ses petits monts de chairs. Après tout, les hommes devaient être aussi un peu sensible ici non ?

Sa main droite, entama une longue et sensuelle descente, traçant lascivement les contours des muscles qu’elle rencontrait.  Et pendant ce temps, la Louve avait plongé sa tête dans le creux du cou de Rafiki, lui offrant à nouveau maintes petites caresses, suçotant, mordillant. Finalement, après quelques minutes, sa main atteignit le bas ventre et sans gêne, continua sa progression, leurs pulpes touchant bientôt ce qui faisait de Rafiki un homme.

D’abord  des petits effleurements, puis des caresses plus longues, plus accentuées jusqu’à devenir une véritable poigne mais dénudé d’agressivité. Non, une poigne douce et agréable sur le chibre caché sous l’eau bouillonnante.  L’Okami souriait tout en continuant ses divers offices, elle pouvait ressentir le membre de Rafiki répondre à ses caresses, bon sang, lui aussi en avait foutrement envie ! Bon d’un côté c’est un homme, ceci expliquant cela.

Les lèvres de la Terranide quittèrent le cou du singe, allant mordiller quelques instants ses lèvres avant qu’elle ne commence une descente sur le long de son corps. Le torse de Rafiki fut couvert ici et là de caresses  buccales, de mordillement, de coups de langues soigneusement posés tandis que le corps de Shad reculait dans l’eau pour lui permettre de mieux manœuvré. Son visage arriva donc inexorablement devant l’entre-jambe de l’ébène où elle  y déposa un léger coup de langue sur le gland, levant  ses yeux de saphirs pour capter sa réaction.

Mais elle n’arrêta pas là, au contraire ! Un autre coup de langue suivit, puis un autre, sa langue passant le long de la hampe, l’enduisant d’une salive qui bien évidemment partait sous le contact des bulles qui frémissaient à la surface. Ses doigts vinrent caresser les  fameuses «  noix de coco » du génie, les massant, les palpant sans brusquerie.  La lupine déposa un baiser chaste sur l’extrémité virile de Rafiki, avant d’y déposer ses lèvres, le suçotant simplement pour l’instant.

Rafiki

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Comme j’ai hâte de pouvoir tout goûter de toi, Shad. Sincèrement, elle est chaude, brûlante même, même si le bain aide à tout ça. Sa peau est une douce crème que je savoure du bout des lèvres, que ma langue titille parfois, que mes dents blanches mordillent volontiers. Shad, ma douce sucrerie. Je ne la savoure pas encore complètement mais je pense que tout vient à point à qui sait attendre, non ? Alors je serais patient. Même si vous savez que non, je n’ai qu’une envie, c’est de lui sauter dessus. Mon visage entre ses monts de chair…Un véritable coussin du feu de dieu, sérieux ! BEST PLACE EVER ! Si j’étais un félin, j’en ronronnerai ! Hé, quoique, je peux le faire ! Mais gardons des cartes en mains, on les jouera après. La suite ne sera que meilleure.

Mince. La belle me fait sortir de mon paradis boobesque. Est-ce qu’elle va chantonner Ce Rêve Bleu ? J’aime bien Disney, ma gazelle, mais est-ce vraiment le moment pour ça ? Je veux dire que, voilà hein, on est partis pour s’envoyer en l’air, ouais, mais ce n’est pas pour autant que je vais te chanter du Peter Pan ! Je la laisse faire malgré tout. Shad m’extirpe de ses magnifiques et douillets seins. Ses doigts graciles dessinent le contour de mon visage de black, y traçant chaque recoin avec hésitation au départ, puis arrivent jusqu’à mes lèvres, d’ébène elles aussi. Brr…J’en frissonne. Charmeuse, la petite gazelle. J’adore ça ! Mais elle ne s’arrête pas là. Elle vient y goûter, à ma bouche. C’est fin et léger, c’est vrai. Mais ce n’est pas assez. Mais grand bien me fasse, elle revient à la charge ! Mmh…Plus chaud et passionné cette fois-ci. C’en est que meilleur. Et puis, j’y mets un peu du mien, mais pas trop. Je veux voir jusqu’où elle peut aller et…

- Haaa…

MERDE ! C’était quoi ce gémissement digne d’une pucelle ? La vile ! Elle me tire les tétons. Hé, mais c’est vachement sensible hein ! COQUINE ! J’en souris à pleines dents, du coup. Ca m’amuse autant que ça m’excite. Et c’est à mon tour de servir de proie. À mon tour de subir les caresses de la louve. Vas, Shad, je te laisse faire. Je m’offre tout entier à toi. Mon cou, tu le veux aussi ? Pas de souci ! Je penche alors légèrement ma tête sur le côté, pour qu’elle puisse se repaître de mes chairs, tendres et chaudes. Elle ne s’en prive nullement, cette prédatrice. Ma peau ? Elle la lèche. Elle l’aspire entre ses douces lèvres. Elle la mordille. Brr…Un nouveau frisson me parcoure l’échine, secouant brièvement mon corps, lui aussi harassé par Shad. Ses mains humides défilent le long de ma musculature, y dessinant chaque trait avec précision. Beh quoi ? Je suis un étalon noir taillé au laser, ouais ! I’m perfect !

- Sh…

MAIS DOUBLE MERDE, PUTAIN ! Cette femme-louve me fait perdre tous mes moyens ! Je n’arrive déjà plus à prononcer son prénom correctement alors qu’elle vient à peine de descendre de mon bas-ventre pour effleurer…EFFLEURER mon manioc tendu à l’extrême. Rien que ça m’arrache un terrible tremblement. Mon corps se crispe, je serre les fesses un instant, avant de me relaxer un peu. Je gémis. Je n’ai pas honte. Je gémis déjà sous quelques caresses sur mon anaconda noir. Et puis je vous emmerde ! La petite gazelle me fait foutrement du bien, appuyant déjà ses mouvements sur mon membre, le prenant mieux en main. Tu le sens, Shad ? Chaud, extrêmement dur, palpitant même ? Et bien il est pour toi. Il est comme ça à cause de toi ! Mes yeux se ferment rapidement, me laissant guider par les sensations qu’elle me prodigue. Et…PUTAIN J’ADORE ! T’arrêtes suuuurtout pas !

- Mmh…

Ses lèvres descendent de mon cou pour s’occuper de mes tétons. Raaah…Shad ! Descends encore, please ! Et c’est à croire qu’elle m’a entendu le penser méga giga fort, vu qu’elle est en train de faire ce que je viens de dire ! Elle descend, descend, file sur mon ventre et quand je sens son souffle chaud passer sous mon nombril, je ne peux que rouvrir mes yeux. Mes orbes vertes se posent sur ma louve, la fixant d’un regard plein d’envie, brûlant de ce sentiment qui me ronge le ventre. Un sourire niais s’étire sur ma bouche. Ouais, je n’ai qu’une envie : qu’elle me prenne en bouche et me suce la banane comme s’il ne restait que ça à déguster sur cette fichue et putain de terre glacée !

Mais la prédatrice décide de me faire languir. La garce ! Ce n’est pas méchant mais là…Je suis frustré ! Son…Son coup de langue sur mon gland gonflé était parfait, mais il ne fallait pas s’arrêter en si bon chemin. Mon regard émeraude qui la fixe doit clairement le dire, non ? SHAD, CONTINUE, S’Il-TE-PLAÎT ! Je suis tout à toi. Fais ce que tu veux, mais ne t’arrêtes pas. Ouf…Purée. Elle reprend la chose en main, et en bouche. D’autres coups de langue se déposent sur mon manioc puissance 20 000, et je me crispe de nouveau. Son visage si proche de mon black mamba m’excite au plus haut point. En plus, elle est adroite de ses mains. Elle me caresse les noix de coco, qui souffrent tellement d’être si gonflées de désir. Puis, ses lèvres sur mon gland, qu’elle se met à suçoter. Je referme les yeux, mes doigts filent dans sa chevelure humide. Je me crispe. C’est…Foutrement…Bon !

- HAAAAaaaaaan…

…Black-out neuronal. Non. Non. Je…JE VIENS DE ME VIDER DANS SA BOUCHE ! Mais elle n’a quasi rien faiiiiit ! J’ai l’air de quoi, moi, maintenant ? D’un putain de puceau qui vient d’avoir son premier début de fellation et qui n’en peut déjà plus. Bravo, Raf’ ! J’admire, j’applaudis ! Maiiiiis…Elle m’a tellement fait bander depuis le début que je n’ai pas su tenir. J’ouvre les yeux et lâche sa chevelure, sur laquelle ma main s’était crispée sans le vouloir. Heureusement que je suis black. Si j’étais blanc, je serais déjà rouge de honte. Je le suis, mais ça se voit moins.

- Euuuuh…Je…Excuse-moi.

PARDOOOOOOOOON ! Je ne suis qu’un pauvre naze. Un éjaculateur précoce ! Et bordel, même si elle n’a pas fait grand-chose, je suis encore dur et vigoureux et…Fatigué un peu aussi. Mon corps en tremble encore. Mon cœur voudrait sortir de ma poitrine tellement il bat rapidement et fortement. Serrant les dents, dégoûté par ma propre réaction, je m’éloigne un peu d’elle. Légèrement. Et je viens m’asseoir dans l’eau, cachant encore ma trique sous les bulles du jacuzzi improvisé. On pourrait croire que je boude, mais non. Assis, d’un geste du bras, j’agrippe le poignet de la femme-louve, et en tirant un peu dessus, je l’attire vers moi. Mieux ! Je la fais asseoir sur moi, mon mandrin encore fièrement tendu tapant sur son bas-ventre. Ma tête dans tout ça ? Et bien, dans ses nichons, que je viens lécher à nouveau. C’est ma façon de me faire pardonner. Et si elle veut plus, il lui suffira d’un seul pas pour ça. Ou un mouvement des hanches...
Je suis très balèze !

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Shad Hoshisora

Terranide

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[Hrp : J’aurais peut-être dû préciser qu’elle ne chantait pas mais disait juste les quelques mots issus du « Rêve Bleu » D : ]

Au moins, la Louve pouvait savoir qu’elle savait encore s’y prendre pour faire plaisir à la gente masculine.  En réalité, elle avait douté d’elle-même, se demandant quelle réaction elle parviendrait à obtenir de la part de Rafiki et elle n’en fut plus qu’heureuse en entendant ses petits soupirs et gémissements. Au moins, elle savait encore s’y faire ! Ou alors, il était tellement en manque que même si elle  aurait fait n’importe quoi, elle aurait pu lui arracher un gémissement ? Bha ! Si tel était le cas, il se serait déjà jeté sur elle sans attendre, impatient de la prendre.

Sa langue, coquine et habile continuait de s’occuper du vit du sage, le léchant de sa base jusqu’au bout, savourant son odeur musqué. Ses lèvres vinrent par la suite emprisonner doucement le gland dans un écrin chaud et humide, le souffle de la Terranide se répercutant sur ce bout d’organe sensible.  Trouvant qu’elle l’avait fait assez languir, la Louve s’était mise à commencer à suçoter  le gland, appuyant des fois sa langue sur le méat.

Quelques gouttes déjà de pré-sperme perlèrent et la lupine les recueilli, d’un rapide coup de langue, souriant intérieurement. AU moins, elle faisait du bon travail, même si elle n’avait encore réellement rien fait, il ne s’agissait ici que d’une mise en bouche, une  entrée en matière. Ses mains s’attelaient toujours à s’occuper du membre de Rafiki, l’une sur la hampe dressée, l’autre sur les bourses, chacune, caressant et malaxant pour donner au génie le maximum de plaisir.

La Terranide s’arrêta subitement, cessant ses mouvements pour se retirer et déglutir, avant la crème chaude et épaisse que Rafiki venait de lui envoyer par valse sur la langue et dans la bouche. Le regard de la Louve se leva vers ce dernier, quelque peu incrédule. Il venait déjà de jouir ? Mais, bon sang ! Elle n’avait rien fait ! Pour être en manque, il était en manque ! Une bête affamée !  Affichant un sourire amusé, la lupine passa doucement  sa langue contre ses lèvres avant de pencher sa tête sur le côté et d’observer Rafiki.

Tiens il semblait gêner ? Allons ça arrive à tout le monde ce genre d’accident ! La lupine voulu le rassurer, lui dire que ce n’était rien, avant qu’elle ne sente son poignet se faire saisir par la poigne du génie. D’un geste il la ramena contre lui, et mieux encore ! Il l’installa assise contre son bassin.  Il n’était ainsi pas difficile pour Shad de sentir le vit noir de Rafiki contre sa petite intimité, ce qui ne manqua pas de lui arracher un petit gémissement.

L’Okami bougea légèrement, enlaçant le bassin du singe de ses jambes.  Ses mains allant presser doucement la tête de Rafiki contre sa poitrine, cette dernière réagissant au baiser langoureux qu’on lui donnait. Les petites pointes de chairs faisant office de tétons se durcissant, pointant pour capter encore plus de sensation. La louve émit un énième soupir et souleva doucement son bassin, le gland du membre tapant directement contre l’entrée de ses lèvres intimes. Il ne lui restait plus qu’à s’abaisser et le tour serait joué.

La Terranide se serra d’instinct plus contre le corps du mâle, tandis que son bassin s’abaissait, liant ainsi les deux corps. Par chance, l’eau aidait à ben faire coulisser le membre, une sorte de lubrifiant naturelle. Les joues rougies par le plaisir, la Terranide entama un lent mouvement, son bassin remontant et descendant. Autant commencer par de lents mouvements pour s’habituer avant d’aller plus vite non ? Et puis, elle espérait que Rafiki allait prendre les rênes en mains.

Shad leva  le visage de ce dernier et y déposa un baiser ses lèvres d’ébènes, étouffant l’un de ses soupirs par la même occasion. L’embrassade se fit plus passionnelle, plus charnelle, plus langoureuse. Les lèvres de la Terrranide allèrent saisirent la supérieure de Rafiki, la mordillant doucement, l’aspirant, passant sa langue contre avant de la relâcher. Son muscle buccal parti à la recherche de sa consœur entamant un ballet des plus exotiques. Et ces bulles qui frémissaient tout contre son clitoris avait aussi pour effet de faire vibrer la Louve.

« Ra… »

Impossible de finir l’appellation. Après tout, pourquoi donc parler ? Les lèvres de Shad quittèrent celle du noir, plongeant par la suite dans son cou, lui appliquant un petit suçon, une petite marque. Sortant sa langue, elle goûta à nouveau à la peau de l’ébène, remontant cette fois jusqu’au coin de la mâchoire, sur la joue pour finir au niveau de l’oreille, dont elle suçota légèrement le lobe avant de soupirer le prénom du Singe, ses mouvements s’étant accélérés et variés avec le temps.

Rafiki

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[ HRP : J’avais bien compris qu’elle ne chantait pas. xD Mais comme elle prononçait le début des paroles, Rafiki y a cru un court instant ! ]


Faut que j’me rattrape. Faut que j’me rattrape. Faut que j’me rattrape ! Putain ! Qui est le gogole qui a éjaculé dans cette merveilleuse petite bouche alors que Shad n’avait quasiment rien fait ? Ben c’est Bibi. J’aurais bien voulu profiter de sa bouche encore. Après tout, mon manioc est encore bien tendu. Le glisser entre ses lèvres, le sentir coulisser dans sa bouche, taper dans sa gorge et…Haaaa…J’en frissonne d’envie. Mais non ! Je me retiens ! C’est la méga honte quand même. Alors, il faut que je lui fasse oublier tout ça. La pauvre. Elle avait été surprise de recevoir toute ma crème. Il suffisait de voir son regard. Bah oui, et bien, excuse-moi Shad, mais d’un, tu t’y prends bien pour frustrer et faire languir un mec, de deux, tu es foutrement douée de ta bouche, et de trois, Popole n’a pas eu de visite buccale, ni autre chose d’ailleurs, depuis une éternité. Voilààà. C’est dit ! Ou plutôt, c’est penser fortement.

C’est pour lui faire oublier tout ça que je me suis assis dans l’eau, le dos contre la paroi. J’allais bouder ? Bien évidemment que non ! Je ne vais pas bouder parce que ma gazelle m’a fait venir, surtout pas ! Mais je compte bien me faire pardonner. C’est pour cela que je lui attrape le poignet, l’agrippe doucement mais fermement, et attire la jeune femme vers moi. Mieux ! Je la fais asseoir sur moi, alors que je sens Popole au garde-à-vous se frotter quelques secondes contre son intimité. Roooh, bordel. J’en frissonne déjà. Elle a l’air d’approuver la chose, venant encercler mon bassin de ses magnifiques jambes. Je ne dois pas m’arrêter ! Et la belle semble ne pas vouloir que je stoppe toutes mes attentions. La louve, la tigresse même, presse mon visage sur ses seins. Sa poitrine, chaude et battante, son cœur qui s’emballe. Ses petites pointes de chair ? Je les croque, roule entre mes dents blanches, les fais dresser encore plus, rougir aussi, alors que je sens Shad gémir tout près de mes oreilles, pour bien faire. Le bout humide de ma langue vient caresser le contour de ses mamelons, avant de gober un peu plus de chair. C’est tendre. J’en mangerai réellement, si je pouvais. Et si j’étais cannibale. Dieu que je ne m’en lasse pas…

Mon bassin ? Il ondulait que très lentement. Trop pris par l’envie, la coordination n’est pas mon fort. Mais j’arrive à sentir mon membre coulisser sur la fente humide de Shad, mon gland frottant avec insistance sur ce petit bout de chair tendu. Et elle gémit encore un peu plus fort. Punaise. Je n’en peux plus. Shad, délivres-moi de cette torture. Elle entend mon appel. En même temps, je n’ai pas été très discret. Ce petit couinement est sorti d’entre mes lèvres alors que mon gland tapait contre l’entrée de sa grotte intime. La vile prédatrice fond sur moi et me ronge le membre petit à petit de ses chairs intimes. Putain…

- Haaa…Tu es…Si serrée !

Ou c’est moi qui aie un manioc trop gros pour elle. Mais bordel ! Je sens la moindre aspérité de la cannelure de son antre. C’est foutrement bon. Et j’en tremble ! Shad ne reste pas longtemps enfoncée profondément sur mon chibre. La fougueuse entame une danse, des vas et vient lents, sûrement pour s’habituer à la grosseur de mon manioc. Et purée, c’est le Paradis. Je ne peux pas le décrire autrement. C’est bon, putain, c’est bon ! J’en jette ma tête en arrière un court instant, sous le plaisir grandissant. Je suis prêt ma belle ! Je peux tenir longtemps maintenant ! Je te le garantis. Je vais te faire crier, hurler de plaisir, te faire perdre la tête comme tu as réussi tout à l’heure.

Je relève alors les yeux et ma douce vient emprisonner mes lèvres des siennes dans un baiser chaud et passionné. Purée…Je vais défaillir. Ouais, on dirait une vierge. Je m’en tape ! Mes grandes paluches glissent dans son dos pour lui caresser doucement la peau, et aussi pour la serrer davantage contre moi. Je sens ses tétons durcis frotter avec insistance sur mon torse à chaque pénétration. Oh, bien évidemment, je l’aide aussi lors des vas et vient. Enfin, l’eau aide beaucoup aussi. Je lui offre mon cou quand elle décide d’y mordre la chair et de…What ? Elle aspire ! Elle me fait un suçon, la coquine ! Uh uh. Oui, Shad, je t’appartiens tout entier. Du moins, pour ce moment.

- Shad…

Je l’entends soupirer chaudement contre mon oreille, murmurant même mon prénom…Grr ! Je ne tiens plus ! D’une poigne virile, je lui agrippe les hanches fermement et j’accélère mes coups de bassin. Puissants. Forts. Raaah, putain de…J’halète rapidement. C’est divin, y’a pas à chier ! Sur mon front, il n’y a pas que des perles d’eau qui gouttent, mais de la sueur aussi, qui collent quelques mèches de cheveux sur ma peau d’ébène. C’est délirant le pied que je prends. Des coups rapides et vigoureux, de plus en plus vite. Dans le cahot de cette étreinte, j’essaie de lui gober tant bien que mal ses seins et d’en suçoter le bout.

- Mmh !

Pris dans mon élan, je me relève, toujours en elle. Brusquement mais sans mal, enfin, j’espère, je la colle dos contre une paroi du bain improvisé, et la prends à même ce petit mur. C’est moi qui mène la danse. À elle de bien s’agripper. Mes mains soutiennent ses fesses, que je m’empresse de peloter sans gêne. Je m’enfonce en elle dans un coup sec et fort, avant de me retirer très lentement. Et je rentre de nouveau en elle, fort, puissant. Tous mes muscles se tendent pour lui faire du bien, et m’en procurer également. Mes yeux se ferment à moitié, pris par tant de plaisir. Pfiou…Ce que c’est bon d’être en toi, Shad…
Je suis très balèze !

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Shad Hoshisora

Terranide

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La lupine pouvait sentir le membre du génie aller et venir en elle sans la moindre difficulté. Bien évidemment, elle avait entamé le ballet corporel par de lent mouvement pour s’habituer  à sa présence, accélérant doucement au fur et  à mesure tandis que ses lèvres goûtaient la peau d’ébène de Rafiki. Quand ce dernier entra dans la danse, effectuant de rapide mouvement, la lycane mordit plus franchement dans ce cou si tendre, y laissant une petite marque.

Le sang perla légèrement, fluide recueillit par la langue de la Terranide qui lapa les gouttes cramoisies, léchant l’intégralité du cou, remontant au niveau de la mâchoire, jusqu’aux lèvres qu’elles effleuraient doucement de la pointe de sa langue. La belle frissonnait de plaisir, son corps se cambrant sous les incessants coups de reins du noir, tentant d’en suivre le rythme.

L’Okami lâcha un petit cri de surprise quand il bougea, se levant sans se séparer d’elle, son chibre toujours enfoncé dans ses plus intimes fondements.  Le contact contre le mur lui arracha un long frisson, ce dernier étant glacial de par sa consistance. Le corps de la Louve étant bouillant, la différence de température était palpable,  et cela ne lui donnait que plus de sensations. L’eau chaude, réchauffant le corps, ce même-corps qui brûlait d’envie et de désir sous les coups de Rafiki et ce mur gelé. Un bien étrange mélange, mais fort agréable.

Shad glissa légèrement dans l’eau, relevant son bassin tandis que son « amant »  aller rapidement en elle, donnant de puissant coups, mais ressortait avec une lenteur calculée qui n’avait que pour effet de la faire gémir et languir. La belle se cambra, faisant frotter plus fortement le membre contre ses parois internes. Sa queue de louve ne resta pas inactive et la coquine vint se placer au niveau des bourses de Rafiki, les titillant doucement de sa pointe. De temps à autre, cette dernière se relevait de sorte à toucher le fessier du génie, sa partie d’ébène frottant, caressant les couilles du noir pendant que la partie blanche comme l’écume caressait ses fesses.

Pourtant, cela n’était pas assez. Non, la lycane tremblait, gémissait de plaisir, mais ce n’était pas suffisant. Son regard d’azur se perdit un instant dans celui de jade de Rafiki. La belle souleva son torse, ou plutôt sa poitrine, et vint quérir les lèvres du noir pour un énième baiser passionné et fougueux. Coquine, elle vint lui mordiller le lobe de l’oreille, soupirant son nom au creux de cette dernière.

« Haa..Raf’ tu ne pourrais pas….accélérer ? »

Cette lenteur calculée commençait à la faire souffrir et pour marquer  et appuyer ses paroles, la Louve se mis à onduler plus franchement du bassin, le vit de l’africain allant plus rapidement dans son trou intime.  Shad posa ses mains à plat contre le sol de ce bain improvisé et releva  encore plus son bassin, le collant  à celui de Rafiki,  ne cessant ses mouvements d’ondulations.  Bon, sang, qu’est ce que ça pouvait faire du bien quand même ! Et ils en étaient qu’à leurs débuts.

[hrp : Nuull D :]

Rafiki

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C’est qu’elle mord, la belle louve ! Ce n’était plus un suçon, mais bien une marque de dents qu’elle va me laisser sur la peau de mon cou. Je sens même qu’elle en aspire le peu de sang qui en coule. Coquine, la petite Shad. Sa langue râpe un peu ma peau, ce qui me fait frissonner assez fortement. Raaah…Ses petits couinements, ses francs gémissements ne sont que douce mélodie à mes oreilles. Cela prouve que je m’y prends bien, et peut-être plus que bien. HEIN QUE JE SUIS DOUÉ ?!

Je la soulève alors pour changer de position et de prendre les ébats en main. À moi de prendre les rênes. Je la plaque contre la paroi du bain et c’est froid, à voir son corps secoué par un frisson, toujours entre mes mains. Toujours planté en elle. Je recommence les vas et vient dans son antre à plaisir trop serrée. Mais je joue avec elle. J’y entre fortement, profondément, à lui en arracher des râles chauds d’envie. J’y ressors très, mais alors, très lentement, pour ressentir cette cannelure que j’écarte de mon chibre imposant. Pfiou…C’est bon.

Shad se penche un peu plus, se cambre même, m’offrant alors son intimité sous un angle légèrement différent. Mon manioc, tendu à l’extrême, ressent davantage de plaisir à racler ses chairs intimes. Bon dieu, j’adore. Je surkiffe même. C’est géant. Cela m’arrache des gémissements, lourds et profonds. Ca me brûle lentement la gorge.

La belle louve tremble entre mes bras. Mmh…C’était l’effet escompté ! Mouhahaha ! J’assure ! Shad revient vers moi, alors que je continue mon petit jeu, y allant lentement en elle. Sa poitrine humide se colle alors à mon torse glabre. Rrr…Elle vient cueillir mes lèvres ébène, de la pulpe rosée des siennes, faufilant sa langue dans ma bouche pour valser contre la mienne dans un ballet sauvage et fiévreux.

Mais c’est que la demoiselle en demande davantage. Une gourmande, en plus de faire la sauvage ? Ca me plaît bien. Ca me plaît tellement en fait, que je m’en mordille la lèvre inférieure en relâchant sa bouche. Je soupire chaudement contre son visage. Si elle en veut plus, je vais lui en donner. Mais pas de suite. Je veux la frustrer encore un peu, histoire qu’elle réclame plus, toujours plus. Qu’elle réclame que je la défonce véritablement contre ce mur de glace, dans ce bain bouillant. Bouillant ? Ah non, ça c’est moi. Caliente, si ! Je continue mon petit jeu, m’enfonçant furieusement en elle, jouant sur la profondeur de ses chairs, avant de me retirer aussi lentement que possible. Je me frustre aussi dans l’histoire, faut pas croire ! Mais ça peut se lire clairement sur mon visage que je prends plaisir à lui faire tout ça. Je ne me défais pas de ce sourire pervers.

Suis-je sadique de la faire ainsi patienter ? La magnifique louve n’en peut déjà plus. Il suffit de voir comment elle s’agite sur mon mandrin, ondulant du bassin comme si elle faisait une danse du ventre telle une orientale. Raaah…Elle m’arrache des gémissements, la vilaine ! Je me rapproche de son cou, pour le lui mordiller avec envie, comme si elle était en train d’essayer de faire sortir la bête qui est en moi. C’est ça que tu cherches Shad ? C’est ça que tu veux ? Je remonte à son oreille pour lui suçoter le lobe quelques secondes, avant de lui susurrer doucement…

- Bien. Je vais te…Mmh ! Te donner ce que tu…Veux !

À ce mot, je m’enfonce profondément en elle, en remuant du bassin pour combler ses chairs de mon chibre. Puis je me recule, plus rapidement qu’avant. Et je recommence. Dedans, dehors. Dedans. Dehors. De plus en plus vite. De plus en plus fort. MY GOSH, C’EST PUTAIN DE DIVIN ! It’s Paradise, my friend ! J’halète de plus en plus contre sa bouche, qui est à quelques centimètres de la mienne. J’en soupire mon plaisir, les yeux mi-clos, mes orbes émeraudes plongées dans les siennes d’azur. On peut y lire de la fougue, de la sauvagerie. Oui, parce que là, c’est de la baise sauvage. Mon bassin claque tellement fort contre son intimité et son petit cul. J’en remue tellement l’eau qu’elle s’évanouit en vagues en dehors du bain. L’eau nous asperge et ralentit peut-être mes mouvements. Merde. J’accélère encore plus, sentant mon bas-ventre trembler, vibrer de plus en plus. Mes mains pressent ses hanches, puis ses fesses sur lesquelles elles atterrissent. Je les empoigne assez fortement, pris par ma fougue. J’en perds la raison. Shad me rend fou et ça doit bien lui plaire, non ?

- Mmh…Han putain ! Shad…Dis-moi que t’aimes…Dis-le…

Dis-le-moi, ma gazelle. Je veux que tu cries mon nom. Que tu en redemandes. Je veux te voir gémir, râler ton plaisir. Je veux te voir crispée sur mon pieu de chair. Je veux te voir jouir.
Je suis très balèze !

" Once you go black, you never go back ! "

Shad Hoshisora

Terranide

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 Bon sang, l’Okami aurait pu l’insulter pour la torturer ainsi. Ses mouvements bien qu’empli d’une certaine passion était atrocement lent pour la lycane.  Elle qui voulait qui aille plus vite n’était pas du tout servit sur ce point.  La Louve pouvait sentir le mandrin de son amant glisser le long de ses parois internes, les racler doucement, trop doucement à son goût. Seul le mouvement de pénétration était rapide et parvenait à lui arracher un petit cri à chaque impact, un petit gémissement mais le retour, ne lui arrachait qu’un long grognement de frustration.  Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas eu de telle relation et une telle lenteur était sur le point de la tuer…d’ennuie.

Et pourtant, elle ne pouvait faire que subir, étant totalement dépendantes du bon vouloir de Rafiki. Son bassin s’était légèrement arqué pour offrir un nouveau angle et pour approfondir les sensations ressentis, sa poitrine s’écrasait contre le torse d’ébène du sage et ses lèvres, joueuses, humides, venaient taquinaient celles de Rafiki dans un baiser torride et passionné.  Ses hanches se mouvaient d’elles-mêmes soulignant le fait qu’il devait y aller plus franchement, qu’il devait cesser cette douceur et  y mettre un peu plus de sauvagerie. Oui, Shad avait faim et le seul qui pouvait la nourrir actuellement était Rafiki.

Un petit couinement s’échappa de ses lèvres quand il s’attaqua à l’une de ses oreilles, endroit quelque peu sensible chez un Terranide.  Le souffle court, la dite oreille se mis à légèrement s’agiter sous le souffle de Rafiki, tandis qu’au même instant le rouge montait légèrement aux joues de l’Okami.  Pour faire languir et augmenter l’envie de luxure, il était bien doué le bougre !  Entendant ses paroles porteuses de promesses,  Shad se serra plus à son compagnon d’un soir, ses mains se posant dans son dos, appuyant légèrement ce dernier pour le coller plus contre elle.

« Ha…haa ! »

Enfin ! Enfin il y mettait plus du sien ! Les gémissements et les soupirs de la Louve se transformèrent bien vite en petit cri qu’elle ne savait retenir. Après tout, pourquoi se gêner ? Qui l’entendrait ? La grotte faisait une parfaite caisse de résonnance et amplifiait les sons de plaisir émit par la lycane quant au blizzard dehors, ce dernier n’était qu’un souvenir lointain qui continuait à hurler en vain, cachant les sons de la débâcle pour quiconque se trouvant au dehors de la grotte.

Les mains de la Louve s’agitèrent, caressant le dos, descendant le long de ce dernier, venant s’appuyer contre les fesses qu’elle malaxa un petit instant. Ses jambes refermèrent leurs prises contre le bassin de Rafiki ne lui laissant aucune possibilité de retraite, l’obligeant à s’enfoncer encore plus, à aller encore plus vite. Bon sang, cette sensation, ce feu ardent qui naissait dans son bas-ventre et commençait à se répandre dans tout son corps, la Louve l’avait presque oublié. Et comment aurait-elle pu ? Comment avait-elle pu ? Sans le vouloir, Rafiki lui redonnait goût au plaisir de la chaire, un plaisir qu’elle n’avait pas goûté depuis de longs mois.

Et le rythme ne diminuait pas. Shad pouvait sentir le souffle de Rafiki contre la peau de son cou, chaud, enivrant, endiablé. Un frisson lui traversa l’échine et pour peu, elle lui aurait demandé d’y déposer ses lèvres.  Mais elle ne pouvait parler en cet instant, assiégée comme elle était par le plaisir qui ne se faisait que s’accroître.  Son regard azuréen plongé dans celui de Jade, l’Okami se souleva, allant quérir les lèvres, restant par la suite à moitié relevée, sa tête contre l’épaule de Rafiki, son corps tremblant.

« Put…Ra…c’est… »

Bon ? Sublime ? Exquis ? Quoi qu’il en soit, la Terranide ne parvint pas à finir sa phrase, sentant la jouissance qui arrivait à grands pas.  La lycane se cambra plus  contre le chibre de son amant d’un soir,  ses muscles se  crispant à l’extrême et dans un ultime soupir, elle se laissa aller tout contre le génie africain, haletante, tremblante, frissonnante.  Reprenant peu à peu ses esprits,  Shad tourna son visage vers le cou offert de Rafiki, le léchant doucement comme pour faire baisser la tension, susurrant par la suite contre son oreille.

« J’aime ce que tu me fais Raf’ »

Et j’en veux encore. Oui, l’animale n’était pas encore rassasié et ses coups de langues sur le cou migrèrent contre les lèvres du noir qu’elle embrassa par la suite. Sa poitrine se colla plus contre le torse, s’aplatissant même et dans de petits mouvements, la Terranide reprenait doucement une danse contre le chibre encore ancrée en elle.

Rafiki

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    Esprit malin et farceur, qui aime les femmes, bigre ! Pcht ! Je peux vous montrer le chemin ! Suivez le bon Rafiki !
C’est géant. Être en elle, lui écarter les chairs intimes de mon manioc tendu, m’enfoncer encore et encore dans cet antre humide dont les bruits obscènes semblent être une douce mélodie, tout ceci me fait partir en vrille. J’ai beau la prendre puissamment, sans faillir, j’en tremble de partout. Mon aine est parcourue de frissons et rougit de claquer contre l’intimité de Shad. Cela faisait un moment que je n’avais pas touché une femme ainsi. Je pourrais me payer une pute dans un des quartiers de Nexus par exemple, mais ce n’est pas du tout mon genre. Je préfère quand une belle dame succombe à mon charme de black en rut. C’est divin avec Shad. Son côté terranide louve est envoûtant, et rend nos ébats si, mmh…Sauvages. J’adore.

On a beau être à moitié dans le bain chaud et que l’eau aide pas mal dans notre partie de jambes en l’air, j’arrive à sentir, grâce à mon membre dur comme un roc, qu’elle mouille, et ce, pas qu’un peu. La coquine…Putain, ça me plaît grave ! L’entendre gémir et même couiner, ça me rend fou. Qu’elle agite son bassin, ondulant telle une danseuse sur mon vit, ne me fait qu’augmenter la cadence de mes coups de reins. Et ça claque. Ca claque terriblement fort. Je sens mes chairs, ma peau, rougir et chauffer, et je suis certain qu’il en est de même pour ma princesse.

J’accélère mes coups de bassin, mes hanches venant claquer avec force contre son entrejambe. Je ne fais que répondre à ses attentes, à ses envies. Bon, d’accord. Aux miennes aussi. Mais de savoir que c’est ce qu’elle souhaite, que je la prenne de toutes mes forces d’homme, ça me fait sourire et…Ca gonfle mon ego aussi ! Hu hu hu. Un frisson me parcoure l’échine, secouant mon corps doucement. La coquine descend le long de mon dos du bout de ses doigts. Grr…Et arrive à mes fesses, qu’elle presse, caresse, malaxe tendrement. Mmh…Tu les kiffes, hein ? J’ai un bon boule, hein ? Oh oui, continue de le prendre en mains, il est tout moelleux, n’est-ce pas ?

Rawr. Ses cuisses se resserrent contre mon bassin. Je le sens. Elle ne veut pas que je la quitte. Ce que t’es bonne, ma gazelle…Shad revient se saisir de mes lèvres, et avec fougue, je réponds à son baiser, venant fouiller sa bouche, chaude et humide, de ma langue. Un baiser fiévreux qui ne dure que quelques malheureuses secondes, avant qu’elle ne s’arrache de mes lèvres d’ébène. La belle se cambre et put…PUTAIN ! J’en gémis plus fortement. Et elle s’agite, s’agite sur mon pieu de chair. La louve cale son visage dans mon cou, ma peau noire parcourue de frissons à cause de sa respiration brûlante. Je sens qu’elle flanche, alors j’accélère encore mes coups de reins pour la limer, encore et encore jusqu’à...

- Mmh !

Son soupir en dit long sur le plaisir qu’elle prend juste à l’instant. Elle se tend, se crispe sur moi, fond littéralement entre mes bras. J’en tremble. Ses chairs intimes se resserrent sur mon manioc tendu, comme coincé dans un étau voluptueux. Je sens mon jus au bout de ma queue. J’en halète. C’est divin. Je continue un peu mes coups de butoir, coinçant ma tête dans son cou, tout en fermant les yeux. Boum ! Boum ! Boum !

- Haaaaaaaan…

Je te lâche un râle puissant, fort, tout contre la peau nacrée de la louve. Oui, je l’étouffe un peu, mais tant pis. Shad peut totalement en profiter, ma bouche proche de son oreille. Allez, soyons crus ! Je la remplis comme un dingue de mon foutre, de ma crème blanche, profondément ancrée en elle. Round one terminé ! Tout tremblant, je viens me défaire de son étreinte, mes mains se posant sur ses cuisses pour qu’elle lâche mes hanches. Je la dépose dans l’eau, avec tendresse, pour finalement m’installer à côté d’elle. Je me glisse dans l’eau. J’en pousse un soupir d’aise. Putain, ça fait du bien. J’en ferme mes orbes émeraudes pour me prélasser, près de Shad. Un sourire fin et satisfait orne mon visage de beau gosse. Si la belle en veut davantage et immédiatement, qu’elle vienne se servir un peu. J’en serais ravie. L’eau est toujours chaude et les bulles du bain viennent relaxer mes muscles, mis à l’épreuve pendant l’acte. Idéal pour me détendre un peu. Bien que…Mon manioc noir est encore bien droit comme un pic, pointant le bout du mât hors de l’eau.
Je suis très balèze !

" Once you go black, you never go back ! "

Shad Hoshisora

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Elle pouvait le sentir, y aller encore plus franchement alors qu’elle avait déjà succombé à u n premier orgasme. Son corps ne mis pas très longtemps à réagir, encore sensible à toutes les sensations qu’il recevait et la Louve se remit à trembler sur le vit du Black, gémissante, haletante, son souffle chaud caressant la nuque de Rafiki. Elle-même pouvait sentir son souffle ardent contre sa peau nacrée. Etant à peine sortie d’un premier plaisir, elle ne mit pas longtemps à attendre un second, entraîné par les coups de reins puissant et incessant de Rafiki.

Mais cette fois, ce fut lui qui lâcha en premier, ou plutôt en second si on considère le fait que Shad avait déjà joui une fois auparavant.  La Terranide sentit sans mal le membre tressautait entre ses chairs et l’épaisse crème blanche  sortir de ce dernier, tapissant son antre au plaisir, répandant avec lui une douce chaleur en son sein. Les muscles de la Louve se contractèrent à nouveau et pour une seconde fois, elle fut entraînée dans un  tourbillon de plaisir.

Pantelante, elle décroisa sans peine ses cuisses et se laissa poser dans l’eau. La pauvre, ou l’heureuse Louve avait besoin de reprendre son souffle et c’est ce qu’elle faisait en cet instant. Fermant ses yeux tout comme Rafiki, elle laissa les bulles magiques lui massaient les muscles, la détendant tandis que son visage resté hors de l’eau profitait de l’air froid régnant dans la grotte. Un curieux contraste entre le froid et le chaud mais ô combien apaisant.  La Terranide resta ainsi deux à trois minutes, sans dire un seul mot, se relaxant simplement avant d’ouvrir les yeux et de poser son regard sur le mât de chaire qui pointait hors de l’eau.

Pour sa part, elle avait été servie mais la lycane supposa que son amant d’un soir n’était guère rassasié. Qu’à cela ne tienne ! Doucement, elle tourna son visage vers Rafiki, déposant un baiser doux et innocent sur sa joue droite, sa main se posant sur son torse. Elle le caressa doucement, tout en descendant progressivement, ses lèvres allant se perdre dans le creux de son cou, qu’elle attaqua pour une énième fois, soufflant de temps à autre de son souffle chaud dessus. Sa langue taquine léchait la peau d’ébène tandis que la main exploratrice et indolente se posa sur le vit de l’homme-singe, le caressant sur sa toute sa longueur.

En même temps que sa main glisser sur le chibre noir, la langue glissait le long du cou, remontant vers les lèvres charnues, les frôlant, les léchant tandis que les doigts fin et agile allaient caresser les bourses encore pleine de l’africain.  Ronronnant doucement, la Terranide  descendit ses attentions jusqu’aux épaules, mordillant ces dernières avant de continuer sa progression. Sa course se termina lorsque son visage était face à la virilité tendue. Elle souffla un instant dessus, levant son regard vers Rafiki, susurrant :

« Je pense que je dois te finir, non ? »

L’Okami ne lui laissa pas le temps de répliquer que déjà ses lèvres se refermèrent autours du gland, le faisant doucement coulisser dans sa cavité buccale.  Se tenant aux hanches du génie, la Terranide commença  à imprégner un mouvement de va et vient, sa main allant saisir le vit à sa base afin de le masser, le caresser. Mais les mouvements cessèrent bien vite et la lycane  libéra sa bouche avant d’offrir au mat de chair un écrin des plus confortables : sa poitrine.  Elle emprisonna le membre entre ses deux monts de chairs, les faisant monter et descendre tout contre tout en passant sa langue sur son extrémité à chaque fois que cette dernière pointait en dehors de son carcan.

La lupine espérait que ce traitement plaise à son compagnon du soir. Selon ses gémissements elle accélérerait ou ralentissait, donnait des coups de langues plus appuyés ou plus lents.  Tout ce qu’elle voulait c’était que Rafiki se sente aussi comblée qu’elle l’a été et qu’il ne finisse pas à dormir sur la béquille. Son regard azuré se  leva un instant, croisant celui de jade, cherchant à voir ce qu’il pouvait bien penser, ressentir à ce moment et surtout quand il allait lâcher prise.
« Modifié: mardi 01 avril 2014, 13:41:23 par Shad Hoshisora »


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