Deux Semaines Plus Tard

Karen, quant à elle, avait elle aussi pris son temps de flâner dans les rayons. Le problème étant que tout ce qui étais dans ce magasin ne lui semblait soit pas intéressant, soit elle l'avait déjà. C'est pour cela qu'elle avait mis Nava au défi de trouver mieux que tout ce qu'elle avait...

Et le pire, c'est qu'elle allait être bien surprise.

Elle le regardait souvent du coin de l'oeil en souriant, se demandant qu'est ce qu'il allait bien choisir. Et il jeta son dévolu sur...

" Oooh, Nava, c'est magnifique ! Je n'ai pas encore ça dans ma garde-robe ! "

Fit-elle en joignant les mains et repliant une jambe vers ses fesses, avant d'enlacer Nava avec enthousiasme et l'embrasser. C'est sûr, la joie de trouver des vêtement originaux que Karen ne possédait pas relevait du miracle, et Nava venait d'en faire un.

Elle regarda les vêtements de plus près, avec des yeux pétillants, avant de mettre ça dans un sac.

" J'ai bien envie de tout essayer maintenant !... Mais tu va m'aider à les mettre, hm ? "

Fit-elle après être passée à la caisse, en souriant d'un air provocatrice.

Nava était bien fier de lui! Il s'était décarcassé, bon, pas non plus pendant d'es heures, mais il l'avait fait intelligemment, et cela donna de jolis fruits. Karen était aux anges: ces vêtements lui plaisaient.

J'espère que tu es contente?

Nava demeurait hésitant, il est vrai qu'il ne s'y connaissait pas du tout et de plus, elle devrait se payer ces affaires elle-même car lui vivait à ses crochets, sans pour autant profiter d'elle, loin de là.

Elle se montra si enthousiaste; elle voulait déjà tout essayé! Maintenant!

Super! Mais montre moi où sont les cabines, s'il y en a, parce que moi je ne connais pas cet endroit n'y n'en vois. Et je veillerai personnellement à ce que ceux ci t'aillent!

hj-sorry un peu court-hj

C'est sûr qu'avec ça, rien ne lui irait mieux à l'instant présent. Quoi de plus provocant et de plus tape-à-l'oeil quand on avait une poitrine comme la sienne ? Elle allait se régaler en voyant filles et garçons baver à son passage. De quoi encore faire la une des magazines à scandale: "La nouvelle garde-robe de Karen, encore plus trash."

Ca la faisait déjà baver d'impatience.

" Des cabines ? Où ça, des cabines ? On s'en fous des cabines ! On peut faire ça n'importe où ! Allez, ramène-toi ! "

Fit-elle en tirant Nava par le col hors du magasin, et se retrouva à nouveau dans cette rue pleine de monde. Elle se mit à regarder à gauche à droite, en souriant, déballant déjà ses nouveaux vêtements.

" Super ! Trouve-moi immédiatement un petit coin tranquille pour me changer, tu va m'aider à enfiler tout ça ! Tiens, on aurait mieux fait d'embarquer une minijupe avec, non ?... Bon, trouves moi une minijupe dans le magasin, et reviens me trouver un endroit où me changer ! "

Elle colla son portefeuille violemment contre le ventre de Nava, en attendant impatiemment, bras croisés, alors que déjà le déballage de vêtements enthousiaste de Karen faisait détourner des regards.

Obéissant à ses ordres, il filait une nouvelle fois dans le magasin, le porte-feuille à la main. Pressé, il parcoura les rayons à grandes enjambées à la recherche d'une jupe, d'une mini-jupe pour être exalté. Essouflé, il fit encore quelques pas, et là, enfin, en trouva une une à son goût. Elle arborait des motifs horizontaux et verticaux, noirs et gris, et semblait plutôt courte. Parfait. Il se jeta à la caisse.

Parfait! Je vous la prend.

Pas le temps pour la vendeuse d'avoir l'air étonné qu'un homme lui achète ce genre de vêtements. Il lui tendit le premier billet venu.

Tenez, et gardez la monnaie.

Il sortit du magasin, rejoigna Karen, la frôla et la dépassa pour trouver un coin plus tranquille. Le destin était décidémment avec lui: à peine avait il prit la première à droite que, devant ses yeux, commencait une étroite ruelle, peuplée de poubelles et des chats de gouttières.

C'est bon, viens.

hj-pas eu le temps de corriger l'orthographe-hj

Bras croisé devant l'entrée du magasin, elle souriait aux vieillards et autres jeunes filles qui la reluquaient, en attendant son Nava chéri. Elle crut qu'il s'était perdu, et alors qu'elle était prête à retourner dans le magasin pour aller le rechercher, elle le vit sortir en trombe et elle tapa du pied au sol, en souriant.

" Eh ben. T'as pris ton temps ! "

Elle récupéra ses affaires vite fait, et alla vers la petite ruelle eut elle n'eut aucune hésitation à y entrer, et déballer les affaires aussitôt

" Parfait... "

Elle n'eut aucune gêne à se mettre totalement nue, et enfiler aussitôt les vêtements offert par Nava. Des talons hauts rouge et noirs, une minijupe et la bande de tissu élastique autour de ses seins, laissant voir ses tétons et les auréoles à travers. Parfait pour elle, elle mis la minijupe nouvellement achetée, mais ne porta pas de culotte: elle était mieux comme ça. En se donnant elle même une petite claque sur les fesses avant de partir, elle fourra ses autres vêtement dans le sac et revint vers Nava:

" Alors, je suis comment ? "

Il l'avait vue se changer, pas assez près à son goût, mais il avait su entr'apercevoir quelques parties de l'anatomie de Karen qu'il connaissait un peu et appréciait tout particulièrement. Or, était-ce la foule? Le fait d'être à l'extérieur, ou à l'abri d'aucun regard? Quoiqu'il en soit, Nava en aurait bien profité pour aller plus loin, plus près. Cependant, Karen revenait déjà, resplendissante, aguicheuse, bref, encore mieux que ce à quoi ele aurait pu l'habituer même dans ses plus beaux rêves.

Elle lui demanda:

" Alors, je suis comment ? "

Après avoir balbutier, être resté muet, ces mots sortirent avec peine de sa bouche.

Sublime, je peux rien dire de plus, parfait!

Les pensées des plus perverses traversèrent son esprit.

Tu sais que tu me donnes beaucoup d'idées?Beaucoup d'envies? Beaucoup trop dirais-je même...

Il l'inspecta une nouvelle fois de haut en bas, en se mordillant inconsciemment la lèvre inférieure.

Voilà un de ses plus grand plaisirs avec Nava: ce pauvre garçon n'en revenait toujours pas de ce que Karen était capable de faire, et chaque fois ça lui coupait le sifflet. C'était comique... Et excitant à la fois. Aucune idée de pourquoi, mais elle appréciait particulièrement bien Nava pour son attitude naïve mais aussi sûr de lui. Un petit mélange bien charmant qui lui convenait parfaitement, ça la laissait prendre des initiatives sans pour autant devoir tout faire elle-même.

" Parfait ? Tu trouves ? Pourtant y'as des chances que je te demande de trouver plus excitant que ça... "

Elle eut un sourire sadique, avant de prendre le menton de Nava d'une main.

" Ah oui ? Quel genre d'envie ? Du genre... Me prendre ici et maintenant ? "

Elle l'embrassa soudainement, en passant sa langue sur les lèvres de Nava. Les nanomachines commençaient déjà leur résonance, et Karen était prise d'une pulsion incontrôlable qui lui disait de s'accoupler ici et maintenant avec Nava son mâle adoré. L'entraînant contre le mur, elle s'y colla en se cambrant, lui offrant ses fesses découvertes sous sa jupe.

" Allez, viens... "

Lascive, cambrée, les fesses vers le ciel, elle languissait; l'attendait impatiemment contre le mur. Il n'en fallut pas plus à Nava pour être excité, c'était en effet un des atouts majeurs de Karen: son pouvoir de séduction, et d'excitation qui se manifestait et prouvait toujours son efficacité tel un éclair perçant le ciel paisible.

Mmmmh! Tu me donnes tellement envie.

Il s'approcha d'elle, s'y colla, histoire qu'elle sente à quel point il la voulait. Il sentit son cou, lui fit de petits baisers, il aimait son odeur. Avec un poil de fermeté en plus, il baissa ce qu'elle avait en guise de soutien-gorge, afin de palper ses seins, si opulents, tortiller ses têtons.

Sa présence contre elle se faisait de plus en plus pressante. Il avait soulevé sa jupe et admirait à loisirs ses fesses, collées contre son pantalon.

Sors la moi du pantalon, elle aimerait te revoir un petit peu.

Elle commença alors à faire balancer ses fesses de gauche à droite, doucement, se frottant avec insistance contre l'entrejambe de Nava qui avait commencé à prendre des tailles surdimensionnées - ce qu'elle adorait par dessus tout chez Nava -, elle se mettait déjà à s'impatienter, ne pensant plus qu'à une chose bien précise...

" Ah oui ? C'est vrai qu'elle as déjà fait quelques heures sans me voir... La pauvre, elle doit bien souffrir. "

En riant, elle se retourna et se mit à genoux, débouclant la ceinture de Nava, et baissa son pantalon doucement.

Aussitôt, une immense bosse lui sauta presque à la figure, un énorme sexe tendu qui l'attendait tel une bête sauvage, retenu par un simple vêtement de tissu fin, prêt à exploser. Elle ne laissa pas le sous-vêtement endurer cela plus longtemps, et libéra l'animal avec le sourire, quel plaisir de la revoir. Elle passa sa langue dessus, pour lui souhaiter bienvenue, et retourna à sa position originelle: cambrée contre le mur.

" Moi aussi, elle me manquait... "

A nouveau soumise et en attente, Karen avait amené la situation et le désir à leur paroxysme. Cela aurait été très diffcille et surtout inutile d'attendre d'avantage. Pour quelles raisons d'ailleurs?

Il prit avec sa main droite son sexe, et, de la gauche essaya d'écarter tant bien que mal les fesses de Karen, cependant, celle-ci, intelligente, compris vite le concept, et écarta l'autre fesse de telle manière à s'offrir encore plus facilement à Nava.

Sa queue, chaude, parcourut son entrejambe, impatiente, titilla son sexe, fut sensible à la pilosité de la jeune fille et remonta doucement. En effet, Nava aimait surprendre, de plus, la voir là, l'avoir là était excitant au plus haut point. Il inséra son gland dans son joli petit cul.

Aaaah, la partie commence.

hj-trop vulgaire?-hj