[LUNAR ] Magasin de vêtements.

Comme Sibylle avait accepté son baiser, Lunar fit durer le moment le plus longtemps possible, il était comme dans un rève. Le temps n'avait plus de signification pour lui et il ne voyait plus qu'elle.

Il sentit un frisson de la femme lorsqu'il baisa le cou de celle-ci, il commençait à avoir chaud, sa peau était douce ce qui ne l'encourageait pas à arréter, bien au contraire. Il ne pensait plus, seul l'instinct restait et cet amour qui le transportait.

Passion, amour, désir ... Aucune analyse, aucune idée, juste le moment à vivre. Sibylle ne cherchait pas à suivre un chemin, elle ne cherchait pas à comprendre d'alleurs. Elle vivait juste le moment, sans se soucier de savoir ce qui irait par la suite.

Elle lâcha doucement la main de Lunar qu'elle avait serrée si fort, et déposa un baiser sur cette main, puis l'entoura se ses bras, ses douces mains caressant le creux de son dos avec une infinie douceur. Elle se serra encore contre lui, sentant ses doux baisers dans son cou, et elle ne voulait plus le lâcher.

Lunar sentit cette main douce dans son dos et se laissa caresser tandis que l'une de ses mains tenais avec douceur son cou, l'autre descendais doucement vers les hanches de celle-ci.

Ses baisés se firent plus espacés, il remonta doucement à son oreilles pour la mordiller doucement, puis il descendit de nouveau pour offrir ses baisés à son épaule. Ses désirs ne cessait de croître, son corps l'indiquait aussi.

Elle laissa sortir de sa bouche un soupir. Inexplicable ... un son qui jamais encore n'avait traversé ses lévres. Elle se rapprocha encore de lui et reagit par un nouveau soupir à ses baisers. Elle était si près de lui, et pourtant se sentait si éloignée ... Sa tunique mal accrochée glissa, devoilant son buste tremblant , couvert de frissons. Elle se rapprocha encore de lui, à nouveau, comme pour ne faire plus qu'un.

Lunar, qui remarqua le plaisir de Sibylle regarda la tunique de la prêtresse dévoiler un magnifique buste, il ne peut plus se retenir et descendit vers les monts de vénus de la femme, il se mit à mordiller doucement, mais avec une certaine avidité et palpa avec douceur son autre seins, il fit doucement basculer le corps de Sibylle contre le sol,qui était en parquet, continuant ses caresses et ses mordillement.

Sibylle n'avait jamais eu droit à autant de tendresse. Elle avait des frissons qui revenaient, repartaient, et secouaient son corps. Elle voulait faire cesser ses tremblements, mais ne pouvaient pas. Elle était trop ... secouée pour ça. mille et une pensées trottaient dans sa tête, pensées qu'elle voulait oublier. Elle ne prêtait pas attention à tout, ses yeux vagabondanr partout. Elle fit glisser sa main gelée dans les cheveux de Lunar, murmurant une rapide phrase dans une langue inconnue.

-HJ- Désolé pour le retard, fallait que je m'organise un peu ^^' -HJ-

Lunar sentie la main glaçée, mais ne sursauta pas, il ne voyait plus que la prêtresse, le gentlemant fit remonter ses baisers le long de son corps lentement,il ne comprit pas la phrase prononçé par Sibylle.

Il arriva à l'oreille où il murmura des mots doux, des mots que seul une personne amoureuse peut dire avec autant de tendresse et d'amour.

Le gentleman se laissa faire afin que sa compagne puisse un peu en profiter.