Elle me rend dingue, cette petite chérie. Mes lèvres pulpeuses d’ébène ne peuvent s’empêcher de parcourir sa peau de nacre au niveau du cou. Parfois, comme si elle était une gourmandise, je laisse passer le bout de ma langue entre mes lèvres pour goûter à sa peau. Mmh, si douce…Raaah, si ça ne tenait qu’à moi, je lui croquerais tendrement. Mais je la relâche doucement, à contrecœur cependant. Oui, c’est une torture d’être si près d’une princesse et de ne pas pouvoir profiter d’elle alors que tout son corps n’est qu’un appel à la luxure.
Mais je ne veux pas me montrer lourdingue. J’ai fait un truc très con tout à l’heure, un instant de faiblesse, je lui ai dit ce que j’avais à dire au creux de son oreille, et basta. Tout repose sur ta décision, petite poupée de porcelaine. Mais putain, dis-moi oui. Tout mon corps l’appelle. J’ai mon manioc tendu à un point qu’il me fait furieusement mal et que j’aurais bien la main baladeuse, juste là maintenant, pour me soulager. Seulement, je ne veux pas de ma main. C’est elle que je veux. C’est elle que je désire. Comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinéma…PUTAIN ! Les conneries qui me viennent à l’esprit, nom d’un babouin ! J’suis excité comme JAMAIS ! Tellement que j’en perds la raison. Lili, s’il-te-plaît, viens me libérer de cette folie et de cette frustration que tu m’infliges.
Je me suis trompé sur toute la ligne. Lili est loin d’être une gazelle. C’est Lili La Tigresse ! Non, non, pas celle du vulgaire Disney, la p’tite indienne là. Non, ce que j’ai devant moi, c’est une véritable féline et…Bordel de nom d’une pipe, son regard n’est plus de biche, mais de braise. C’est ça, elle m’embrase. Je prends feu. Départ de feu dans mon caleçon, propagation dans tout mon corps. Elle l’attise, comme le vent allume et laisse grandir les flammes. C’est mon membre qui se tend encore sous le passage de sa main aventureuse et qui me l’astique sous ce fichu short. Pourquoi t’existes toi, tissu de mes deux ?! J’aurais du rester en pagne, bordel. J’me mords la lèvre inférieure pour taire les gémissements qui veulent passer la prison de ma bouche. Mais non, Raf’, retiens-toi mon gars !
Mais elle me fait l’effet d’une bombe, cette petite ! C’est horrible ! J’me sens si faible. Je SUIS faible. Je me suis fait tellement petit devant cette poupée. Est-ce que toi aussi, Lili, tu fermes les yeux quand on te touche ? Je ne peux pas le savoir. Elle se remet en position, son dos contre mon torse, mes bras autour de sa taille, callés sur son ventre, et mon…Mon manioc entre ses tendres fesses. Ca me fout des frissons, mais grave ! Tu veux me faire flancher, belle tigresse ? Parce que tu y arriverais presq...Putain, putain, PUTAIN ! Godness ! Cette pure merveille est en train de me rendre complètement dingue. Elle gémit, encore et encore, alors qu’elle fait coulisser Popole au garde-à-vous entre ses magnifiques fesses. J’adore ce genre de mélodie, pleine de promesses. J’arrive même à ressentir son string, encore un peu trempé de tout à l’heure. Mes yeux ne quittent pas ce spectacle qu’elle m’offre. Lili m’hypnotise. Enchanteresse…
Cependant, elle me délaisse. Ma p’tite princesse se détache de moi. Argh, ça m’brise les noi…le cœur ! Lili me laisse tout penaud, assis par terre, s’éloignant de moi pour plonger son délicieux corps dans le point d’eau, pour se rafraîchir. Moui. Dis plutôt que c’est pour t’exhiber presque à poil devant moi et de m’exciter encore davantage. À la voir ainsi, j’ai cette musique de Tom Jones en tête.
Sex bomb, sex bomb, you’re my sex bomb… Brr. Un frisson me prend. Je n’en peux plus. Je la veux comme jamais. Je me relève alors qu’elle sort de l’eau, et avance vers cette beauté ruisselante. Approche, approche encore un peu…Et je me colle contre elle, pressant sa poitrine humide tout contre mon torse puissant. Un p’tit sourire ravageur, un regard empli de cette flamme de désir que j’ai pour elle et…
- Tu es cruelle, ma gazelle, de m’appâter ainsi…Me penchant doucement sur elle, mon visage vient plonger dans son cou et cette fois-ci, je ne me gêne nullement. Ouvrant légèrement la bouche, je viens lui croquer la chair, sans mal. Mes grandes paluches viennent glisser dans son dos, dégringolant dans sa chute de reins. L’une reste là, et presse davantage son corps frais et désirable contre moi. Encore plus de contact…Mais j’suis un aventurier, et mon autre main se la joue Indiana Jones. Elle file sur son popotin, la coquine, l’effleurant du bout des doigts pour en dessiner la courbe parfaite, avant de finalement lui empoigner une fesse et de la lui masser tendrement. Rooh, bordel, comme j’ai envie d’elle. Lili doit bien le sentir, avec Popole qui lui caresse le ventre…