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Du sang sur les plaines [PV Magikya]

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Magikya

Invité

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Re : Du sang sur les plaines [PV Magikya]

Réponse 15 dimanche 24 février 2013, 22:20:01

Toute l'ingéniosité de l'ombre féminine ne suffirait pas cette fois, derrière elle se trouvait une ombre bien plus menacante, furtive et implacable, une elfe noire. Probablement Jahnae, implacable commandante du Duc, on la disait adoratrice d'une divinité sanguinaire, une tueuse née à l'agilité et à la férocité légendaire. Ses cheveux blancs battaient au vent de sa course folle, son regard perçant concentré sur cette intruse. La réputation de Jahnae la précedait, et en tant qu'elfe noire, elle était une véritable chasseuse et l'intru sa proie.

Les portes et corridors défilaient devant eux. La femme qui menait cette course sentait que le piège se refermait sur elle, les soldats arrivaient de tous côtés, l'empêchant de rejoindre les murailles et racourcissant la distance entre les deux femmes.

Au bout d'un moment, surprise par l'arrivée d'une patrouille, la jeune femme en fut sérieusement ralentie, d'autant qu'elle sentait son ennemie derrière elle. Cela lui semblait définitivement perdu, jusqu'à ce qu'elle distingue un certain vitrail au bout d'un couloir.  Celui-ci, symbole d'un épisode historique de Havremorne. Mais, derrière ce vitrail, c'était également une chute avec un long fleuve en-dessous. Elle ne ralentit donc pas sa course, décocha des flèches contre ce vitrail, le fragilisant, puis se jetant à travers elle, la brisant.

La chute fut rapide, et subitement elle se retrouva dans la froideur de ce fleuve. Il lui fallait absolument en sortir, il faisait tellement glacial dans cette eau que ne pas en sortir serait mourrir de froid. Elle fit quelque pas, trop épuisée pour courir, et une patrouille à cheval la rattrapa.

Ils l'entourèrent, elle ne pouvait se défendre, lances pointées dans sa direction. Rapidement, du château elle put en voir sortir d'autres. Elle se trouvait en effet sur une petite colline, proche du village. Aucun mot ne fut dit, seuls des échanges de regard rapides et menacants.

Puis un nombre de soldat plus nombreux l'entoura, et parmi eux, cette Jahnae.

_____

Magikya et Daenya se regardèrent. Elles ne dirent aucun mot, mais se comprire. Elles ne devaient se montrer faible, elle n'était pas de vulgaires gouvernantes mais bien des personnages majeurs dans l'histoire d'une nouvelle nation. Ce fut Daenya qui allait s'adresser au Duc, mais au nom, également, de Magikya.

-Nous ne sommes pas l'un de vos sujets. Je suis Daenya, de la tribu des Argians, un peuple fier et indomptable. Vos beaux discours et paroles agaçantes sont loin d'être une preuve de compétence. Nous ne sommes pas à soumettre, nous sommes ici d'égaux à égaux, la perte d'une bataille ne vous donne pas le droit de vous croire au-dessus de ceux tombés au champ d'honneur ou de ceux que vous pensez avoir emprisonner.

Elle s'arrêta un instant, regardant cet être en face d'elle.

-Je ne crains pas vos menaces. Malgré celle-ci notre peuple n'a jamais courbé l'échine.

Ses cheveux d'argent tombaient sur son torse, elle ressemblait aux images que son peuple se faisait des étoiles.

Ce qu'elle dit ensuite, fut néanmoins un choc pour Magikya et, au moins Daenya l'espérait-elle, pour le Duc, elle ne voulait pas que celui-ci soit toujours le premier à déplacer les pions sur cet échéquier.

-J'ai une confiance absolue en mes hommes. Et puisque vous en parlez, veuillez, en seigneur de guerre, ou du moins en l'image que vous voulez donner autour de vous, me laisser voir dans quels états sont-ils entretenus avant de retourner dans ma chambre.

Elle essayait de montrer qu'elle était certaine de ses propos, elle voulait le déstabiliser, lui donner l'image de quelqu'un d'imprévisible. Cela était néanmoins risqué, mais elle espérait que le Duc en serait quitte pour cette fois et se détournerait d'elles.

C'est alors qu'un frisson se mit à la parcourir, lui parcourant le dos, faisant légèrement pointer ses tétons roses. Cela provenait de la bague, quelque chose devait se produire pour l'ambassadrice. Mais elle n'y prêta pas plus d'attention, déconcentrée par le regard opréssent du Duc.

_____

Le plus jeune fit rapidement tomber son pantalon, impatient de chevaucher cette beauté. Son pénis était incroyablement durcit, il se mit à le frotter contre l'intimité de la jeune femme, un premier liquide pré-séminale sortait déja, d'autant que de la voir ainsi s'acharner, semblait-il, à donner du plaisir au long membre du commandant et à celui de son frère d'armes. Le plaisir était d'ailleurs inscrit sur leurs visages.

Son pénis se mit alors à pénetrer dans l'intimité de Calstea. Après ce premier acte, plutôt lent, enivré par un violent désir, ses coups de hanches se multiplièrent, s'enfoncant le plus loin possible, son membre s'humidifiant. Il s'agrippait ainsi aux fesses de la jeune femme, toujours avec davantage de force.

Le bras droit de la jeune femme, celui aux nombreux bracelets, s'agitait avec tout autant de force pour satisfaire le soldat.
« Modifié: lundi 25 février 2013, 12:16:12 par Magikya »

Duc Dayereth Amra

Humain(e)

Re : Du sang sur les plaines [PV Magikya]

Réponse 16 mercredi 27 février 2013, 03:15:27

Daenya commençait réellement à agacer le Duc. Les deux jeunes femmes en face de lui semblaient oublier qu’elles venaient de perdre une bataille et que Dayereth aurait bien pu décider de les tuer sur le champ de bataille. S’il avait décidé de les épargner c’est parce qu’il croyait qu’elles avaient plus de valeur vivante que mortes et qu’il les trouvait jolies. Encore une fois, le Duc avait un faible pour les belles femmes. Si Daenya s’obstinait à ne pas vouloir l’écouter, il aurait à la punir. Il devrait enfin mettre ses menaces à exécution. D’une certaine façon, ça l’amusait.

-   Vous désirez voir vos hommes? Pas de problème, ça peut s’arranger. Comme vous semblez avoir un désir si fort d’être près d’eux, je vous enverrais dans leur cellule. De toute façon, je n’ai besoin que de Magikya avec moi. Vous  pourrez gardez vos vêtements, mais même eux ne pourront vous garantir votre sécurité. Vos hommes peuvent sembler loyaux lorsque vous gouvernez, mais là-bas, se seras différent. Ce sont des gens normaux, ils vous trahiraient si ça pouvait leur apporter le moindre confort. Ce ne sont que des rats. Vos hommes suivront toujours les plus forts, mais lorsque les plus forts tombent, ils se jettent sur leurs carcasses et dévorent tout ce qu’ils peuvent.

Le Duc avait froncé les sourcils. Il parlait toujours aussi calmement, aussi suavement, mais il y avait quelque chose d’autre dans sa voix, quelque chose de sombre. Puis, comme si de rien n’était, il se remit à sourire comme avant. Il ouvrit la porte à deux de ses gardes et il leur désigna Daenya.

-   Emmenez-la dans l’une des cellules avec ses soldats.
 
Il détourna alors son regard vers Daenya.

-   Vous verrez par vous-même, ma chère, que votre confiance est peut-être un peu mal placé.

Les deux gardes trainèrent alors Daenya hors de la pièce et l’emmenèrent dans les cachots. Les cachots étaient des endroits froids et généralement humides et peu éclairés. Les soldats étaient entassés dans des cellules, ils pouvaient être dix ou plus à l’intérieur. En pensant à ce qui pourrait arriver à Daenya, le Duc eut un léger pincement au cœur, son premier depuis des années. Ce qui allait peut-être se passer pour Daenya, c’était exactement ce qui s’était passé pour Nimiel, la seule femme qu’il n’ait jamais aimé, des siècles auparavant. Pourtant, il devait agir ainsi, sinon, il perdrait de cette aura terrifiante qu’il transporte avec lui. Cette aura qui inspire la crainte et le respect et qui lui permet de se venger sur ce monde qui lui avait tout donné et tout pris à la fois.

-   Il ne reste plus que nous deux il semblerait, petite magicienne. J’irai chercher Daenya peut-être plus tard, mais ça dépendra de votre comportement. Quand l’autre, Calstea, reviendra, je crois qu’elle préférera rester dans sa chambre quelques instants. Alors, comme je le disais tout à l’heu…

Le Duc se fit interrompre par quelqu’un qui cognait à sa porte.

-   Entrez

C’était Jahnae, elle tenait une chaine dans ses mains. Alors qu’elle entra dans la pièce, elle donna un coup sur la chaine et une femme lui emboita le pas. Elle avait été menottée et Jahnae la tirait avec la chaine qu’elle avait dans ses mains.  La drow força la jeune femme à se mettre à genoux et lui posa son pied dans le dos, comme pour montrer à quel point elle était supérieure.

-   À genoux devant le Duc!

Dayereth regarda Jahnae sans trop comprendre ce qui se passait. La commandante comprit et elle s’empressa d’expliquer tout au Duc.

-   Mon Duc, cette salope s’est introduite dans le château, elle a même tuée certains de nos gardes. Je crois qu’elle avait pour but de vous assassiner mon Duc, ou de libérer les prisonnières, peut-être les deux qui sait?

Jahnae tira sur les cheveux de l’espionne pour lui forcer à relever la tête.

-   Alors sale garce, qu’est-ce que tu foutais ici?

Sans attendre une réponse, Jahnae se mit à rire. Le Duc s’approcha d’elle, il lui caressa la joue puis lui tint le menton en lui souriant. Le regard de l’elfe noire, auparavant sanguinaire, se changea. Face au Duc, elle avait l’air presque fragile.

-   Comme d’habitude, tu me sers admirablement bien Jahnae. Je te félicite

-   Merci mon Duc

Sur ce, Dayereth alla se rassoir.

-   Magikya, disons que je trouve cette coïncidence plutôt étrange,  vous avez des explications à me donner, car, au fond, je ne crois pas vraiment aux coïncidences. Entre temps, que diriez-vous de me donner votre nom, espionne.

Le Duc prit à nouveau une gorgée de son précieux alcool. Ensuite, il observa l'espionne, elle était belle. Ses vêtements souples et sombres longeaient sa silhouette fine. Son visage était également agréable à regarder, le Duc pensa tout d'abbord qu'elle était trop jolie pour être une espionne, mais pourtant. Elle portait aussi une longue cape noire, Jahnae lui avait baissé sa capuche pour que le Duc puiss mieux regarder son visage. Il contempla sa longue chevelure brune et bouclée, encore une fois elle n'avait vraiment pas l'air d'une espionne. Sa surprenante beauté était une arme aussi puissante que n'importe quelle épée, le Duc allait devoir se méfier d'elle. Heureusement pour lui, elle était déjà enchainée face à lui. 

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Le jeune homme était aux anges, dans la petite ville d’où il venait, on n’avait pas souvent l’occasion de croiser des beautés comparables à Calstea. Voilà à présent qu’il était en train de chevaucher cette magnifique jeune femme. Bien que Shadis soit le mieux équipé, les trois autres soldats n’avaient pas à avoir honte. Le jeune adorait plonger sa virilité dans l’intimité chaude et humide de la jeune femme, rarement il s’était senti aussi bien dans sa vie. Il s’agrippait aux fesses de la sauvageonne, parfois lui donnant encore quelques claques. Comme il était jeune et inexpérimenté, il ne pourrait pas tenir bien longtemps à ce rythme.

Shadis, de son côté, souriait en sentant la langue chaude de Calstea s’enrouler autour de son pénis. Lui n’avait pas encore de problème, il se sentait capable de se retenir encore bien longtemps, toute la nuit s’il le fallait, mais il ne voudrait pas attendre jusque là. Le dernier soldat, celui qui était à présent le laissé pour compte, indiqua au jeune qu’il devait se coucher. C’est ce qu’il fit, à présent, Calstea le chevauchait et c’était tout aussi agréable. Shadis et l’autre gardèrent à peu près la même position, sauf que le troisième pu lui aussi profiter de l’une des mains de la belle.

Shadis tenait la tête de Calstea de ses puissantes mains, lui imposant un peu son rythme.  Elle était bonne et semblait pouvoir avaler son sexe tout rond. Il lui laissa reprendre un peu sa respiration, un filet de bave reliait la bouche de Calstea à son sexe. Il versa du rhum sur la jeune femme, la forçant à en boire un peu. Il regarda le liquide couler sur son corps nue, sachant que tout à l’heure, il s’agirait de son sperme qui coulerait sur son corps. Le deuxième soldat pensait pouvoir tenir bon, mais vu le rythme à lequel Calstea jouait avec son membre, il allait exploser bientôt. Heureusement, il sentait qu’il avait encore de quoi en réserve…
« Modifié: mercredi 27 février 2013, 22:01:44 par Duc Dayereth Amra »

Magikya

Invité

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Re : Du sang sur les plaines [PV Magikya]

Réponse 17 mercredi 27 février 2013, 22:48:56

Magikya fut stupéfaite en voyant, d'une part, Daenya emmenée de force vers les sombres cachots, et, d'autre part, une espionne de son camp, capturée et traînée à ses pieds, menottées. Sa petite poitrine se soulevait lentement, calmement, son regard aux yeux marrons ne semblait pas trahir une quelconque panique ou peur. C'était une soldat d'élite, peu apte à craquer aussi facilement.

Lorsque le Duc Dayereth Amra lui demanda son nom, elle ne répondit pas, le fixant droit dans les yeux, comme un défi à son autorité. Elle ne cillait pas, malgré le regard froid et menaçant de cette Jahnae, une elfe noir, sensible au Duc, mais au Duc seul probablement.

Magikya croisa les, jambes, silencieuse dans cet atmosphère oppressant, où la tension est palpable. Elle avait pourtant crue voir sur le visage du Duc une certaine faiblesse à un moment, lorsqu'il prononçait son "chatiment" vis à vis de Daenya et de sa résistance. Mais le Duc n'était pas un faible, mais un homme de pouvoir, si il était toujours là, ce n'était pas par sa bonté ou sa générosité.

Le Duc regardait l'espionne, sans impatience sur son visage, qu'un sourire. Cela donnait à Magikya l'impression d'être entrée dans un jeu, mental entre les protagonistes. Elle prit une gorgée du verre placé devant elle. Ce liquide fort et réchauffant la rassura.

- Je ne la connais pas...

La jeune femme avait ainsi décidé de s'écarter de cette suspicion, d'aggraver le cas de son camp. Toutefois, il lui parut que sa voix était faible, tremblante. La magicienne détourna le regard de l'espionne qui continuait de fixer le Duc.

_____

Les deux soldats entouraient fermement Daenya, l'observant dans sa calme apparence. C'était ces deux mêmes hommes qui avaient eu le droit à la vision du décolleté largement ouvert de la belle lorsque celle-ci s'était maladroitement baissée. Ils scrutaient ainsi les formes de son corps, chaque mouvement qu'elle faisait, presque déçu de ne pas avoir été en cellule pour profiter de sa beauté.

Au bout d'un moment qui parut incroyablement long pour Daenya, elle franchit une première grille, les gardes furent surpris de la voir ainsi arriver. Cette première grille franchie, on pouvait entendre les cris et agitations des divers prisonniers.

-Attends, dit l'un des deux soldats à l'autre alors qu'ils continuaient de progresser dans ces bas-fonds, c'est une prisonnière, du moins pour cette nuit, il faut la tenue qui convienne.

-Mais, le Duc...

-Il s'en fout lui, et puis on va juste la ramener au niveau de nos prisonniers, pas de hiérarchies dûe au grade dans les prisons
, il se mit alors à sourire, un sourire partagé par le second soldat.

Ils entrèrent alors dans une pièce où se trouvaient les armures et armes des soldats. Ils lui tendirent une tunique et un pantalon, fais en un tissu usé et déchiré.

-Habille-toi.

Le ton brusque utilisé par le soldat ne permettait pas à Daenya de le remettre en question, d'autant qu'elle se sentait en sentiment d'infériorité. Elle se déshabilla ainsi avec une extrême agilité, cachant son intimité et ses seins du mieux qu'elle pouvait du regard plus qu'intéressé des soldats. Puis elle s'habilla de cette nouvelle tenue.

Plusieurs gardes entrèrent alors, avertis de cette nouvelle et si spéciale venue. Quelques uns se mirent à rire en voyant cette idée de leurs frères d'armes de la vêtir ainsi, tout en la regardant scrupuleusement. Parmi ses huit soldats observant la scène, l'un d'eux, un meneur, eu une autre idée.

Il s'approcha de Daenya qui n'osait bouger, la reniflant doucement, lui passant la main sur le ventre. Et lorsqu'il fut derrière elle, il déchira brutalement sa tunique, dévoilant le torse nue de Daenya qui porta rapidement ses bras au niveau de ses seins pour les cacher de leur vue.

-Allons ma belle, si tu n'enlèves pas tes mains de là, c'est ton pantalon que je serais obligé de déchirer avant de t'envoyer en cellule...

C'est ainsi torse nue, mais ses cheveux blancs disposés sur ses seins et particulièrement ses tétons, que Daenya fut enfermée sous les regards ébahis de ceux qui furent ses soldats et qui n'osaient croire ce qu'ils voyaient. Cette cellule était grande et ainsi constituée d'une quinzaine de prisonniers.

Rapidement, trois prirent la défense de la jeune femme qui se plaça dans l'un des coins. Les autres néanmoins, étaient forts, deux d'entre eux pouvaient facilement éclater la tête d'un individu, et ne tiendraient pas longtemps face à ce corps féminin qu'ils n'avaient pas eu à leur diposition depuis trop longtemps.

Les soldats du Duc étaient devant cette cellule, pariant entre eux, se demandant au bout de combien de temps les prisonniers finiraient par jouer avec elle.

_____

Calstea, à l'inverse, sans totalement aimer ne désapréciait pas pour autant cette attention qui lui était accordée. Elle remuait le bassin avec énergie, ses tétons se mettaient enfin à pointer et elle se mettait, lentement, à mouiller, répandant ce liquide sur le membre durci par l'excitation qui la parcourait de l'intérieur.

Son corps brillait avec l'alcool dégoulinant sur elle et ses fesses remuaient avec une telle hardeur que jamais elle n'avais été aussi belle. Le jeune soldat agrippa un de ses seins qui se balançait d'une main, et de l'autre le dos qui se cambrait. Le plus jeune ne mit donc pas longtemps avant de remplir l'intérieur de Calstea qui se mit à sourire, satisfaite d'en avoir déja fait jouir un, plus que deux.

Duc Dayereth Amra

Humain(e)

Re : Du sang sur les plaines [PV Magikya]

Réponse 18 jeudi 28 février 2013, 05:02:43

-   Vous ne la connaissez pas? J’en doute fortement…

Le Duc ne croyait pas aux coïncidences.  Cette affaire avait quelque chose de louche, il ne pouvait pas dire quoi, mais il savait que sa victoire sur l’armée de Magikya et l’entrée en scène d’une espionne devaient être liées. Après tout, il ne s’était pas fait d’ennemis depuis quelques temps, du moins, quelques mois. Personne ne pourrait avoir manigancé ça, si ce que Jahnae disait était vrai, cette espionne était bien trop entrainée pour faire partie d’une quelconque rébellion. De plus, les rebelles avaient tendance à attaquer de face, ils se faisaient massacrer à chaque fois, mais ils continuaient tout de même.

-   Et vous l’espionne, ou l’assassine, je ne sais trop… Allez-vous rester silencieuse? J’adorerais avoir une discussion civilisée avec vous. Ce n’est pas parce que vous étiez chargée de contrecarrer mes plans et que vous avez échouée que vous êtes obligée de me bouder.

Le Duc avait beau se montrer amical avec les gens, son ton de voix hautain et sa voix suave avaient tout de même l’air sombres. Il y avait quelque chose d’étrange dans sa façon de s’exprimer. Il était élégant et charmeur, mais aussi ténébreux et même inquiétant. Le Duc avait beau croire fortement que Magikya engageait cette espionne, mais il se devait tout de même d’explorer d’autres pistes, simplement par souci de sécurité.

-   Voyez-vous ma chère, si vous servez Magikya, dites vous qu’elle et son armée sont à ma merci. Je comprends que vous êtes loyale, c’est même une grande qualité, mais votre loyauté est stupide et aveugle, elle risque également de vous faire tuer, alors pourquoi ne pas me dire tout de suite qui vous engage. Si ce n’est pas Magikya que vous servez, même si j’en doute, vos employeurs sont trop loin pour vous aider maintenant. Dites-moi exactement ce que vous faisiez ici, qui vous engageait et si vous étiez seule, ensuite, nous pourrons mettre cette affaire derrière nous, si vous m’aidez, vous pourrez même garder la vie sauve.

Avoir une espionne de son côté pourrait l’aider, elle pourrait lui donner le nom de ses complices ou de d’autres espions qui œuvrent contre lui.

-   Au fait Magikya, si elle travail vraiment pour vous, je vous conseil de me le dire tout de suite. Dans le fond, je suis un homme avec un grand cœur…

Dayereth posa sa main droite contre son cœur et regarda la magicienne d’un air faussement piteux.

-   Je n’ai pas envie d’avoir à châtier ou même à tuer cette femme simplement parce qu’elle ne réalise pas que le combat qu’elle tente de mener est vain et perdu d’avance. Pourtant, il faut faire régner l’ordre à Havremorne, je crois qu’il y a eu trop de victimes ce soir, mais je ferais le nécessaire pour m’assurer que rien ne menace mes terres. C’est à vous, mesdemoiselles, de décider de la suite…

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Dans les cachots, il y avait trois gardes assis autour d’une table, jouant aux cartes, qui regardaient de loin la cellule dans laquelle Daenya venait d’être jetée. Bien entendu, des paris avaient été lancés, même chez les autres gardes. La majorité croyait que les prisonniers tiendraient moins de quinze minutes avant de s’amuser avec la belle qui venait d’être jetée dans leur cachot. Selon certains, cette estimation était bien trop optimiste. Les prisonniers étaient en colère et se sentaient humiliés, rien ne pourrait les empêcher de prendre ce qu’ils veulent. L’un des trois gardes décida de parler un peu, histoire de faire passer le temps. Ils étaient trop loin pour que les prisonniers les entendent.

-   Pauvre fille…

-   Ouais, c’est dommage que des barbares comme eux aient la chance de s’occuper d’une beauté comme elle, tandis que moi, je n’ai qu’une vieille truie qui m’attend à la maison!

Les deux autres gardes se mirent à rire grassement.

-   De toute façon, je ne comprends pas pourquoi on l’a jetée avec ces porcs, je croyais que le Duc aimait bien garder les femmes près de lui, si vous voyez ce que je veux dire…

-   C’est que leur commandante, la magicienne, elle doit être vachement jolie! Mais reste que… ce n’est pas vraiment le genre du Duc tout ça.

Le troisième garde qui n’avait pas parlé jusque là regarda à gauche et à droite, comme pour s’assurer  que personne ne les écoutait, puis il prit la parole.

-   J’ai entendu dire que ce n’était pas la première fois qu’il faisait quelque chose comme ça, c’est un des officiers qui me parlait de ça l’autre jour, ne dites pas que c’est moi qui vous ait raconté ça, sinon je suis dans la merde, d’accord?

-   D’accord.

Le garde regarda ses camarades, ils ne le trahiraient pas, c’étaient de vieux amis.

-   À ce qu’il parait, il y à environ trente ans de ça, le Duc venait encore une fois de gagner une grande bataille. Les prisonniers étaient enfermés dans les cachots et l’une des commandantes avait essayée de s’enfuir de la chambre du Duc. Il l’avait alors enfermée avec une dizaine de prisonniers. Bien entendu, ce qui devait arriver arriva, seul un des prisonniers avait pris la défense de la femme. Les autres l’avaient battu violemment. Quand ils eurent fini de faire ce qu’ils avaient à faire, le Duc alla chercher le prisonnier qui avait défendu la fille, il était presque mort, et il était défiguré. Il l’a ensuite guéri et pour le féliciter de son courage, il l’a enrôlé comme officier dans l’armée. On dit qu’il sert encore dans l’armée du Duc, qu’il vit plus longtemps que les gens normaux à cause des modifications que les Technomages lui ont fait.

-   Qu’est-ce que le Duc a fait des autres prisonniers dans la cellule?

-   Ah, c’est là que ça deviens intéressant. D’après ce qu’on m’a dit, pour tester la puissance de son nouveau commandant, il lui a permis de torturer chacun de ses compagnons de cellule, un par un alors que les autres étaient obligés de regarder. Il les a exterminé, tous, ça a duré des jours, on les entendait crier partout dans le château. Depuis, à chaque fois que des hommes abusent d’une femme, il revient pour les tuer tous, dans d’atroces souffrances. Il n’a pas de nom, mais on le reconnait, car il porte un masque pour cacher ses cicatrices et quand il…

Les deux autres gardes avaient la chair de poule, le conteur racontait l’histoire incroyablement bien, tous étaient accrochés à ses lèvres, mais alors qu’il allait terminer son histoire, tous sursautèrent quand un quatrième garde qui entra en scène s’écria,

-   Foutaises!

Puis ensuite il se mit à rire

-   J’ai entendu cette légende des dizaines de fois, et à chaque fois c’était différent. Parfois le Duc torturait les prisonniers, d’autres fois il les envoyait à Rocnoir, tout ça c’est faux. Une histoire pour faire peur, elle semble plausible à cause de ce qui est arrivé à la femme du Duc il y a quoi? Trois siècles.

-   Ça aussi c’est une légende!

-   Tu sais aussi bien que moi que c’est vrai et en passant, cinq écus qu’elle ne tiendra pas plus de cinq minutes. Voyons voir ce qui se passe.

Les hommes se turent, regardant la cellule. L’un des plus costauds s’approcha du coin où était Daenya. Il la regarda en souriant. Il avait servi sous ses ordres avant, il l’avait toujours trouvé jolie, mais il ne pouvait pas l’avoir. Selon lui, c’était aussi en partie à cause elle qu’ils avaient perdus, si seulement elle avait su mieux commander ses troupes. Le costaud regarda l’un des trois protecteurs de Daenya.

-   Ikram, pousse-toi de là. J’ai envie de m’amuser un peu…

-   Un peu de respect Brepin, c’est notre commandante.

-   Commandante de quoi? Nous avons perdu, par sa faute en plus. De toute façon, tu à entendu les gardes, il n’y a pas de grade en prison…

La tension commençait à monter. Plusieurs se rangeaient du côté de Brepin, à part les deux autres qui suivaient Ikram, il y avait peut-être un ou deux soldats qui voulaient protéger Daenya, mais ils ne voulaient pas s’attirer d’ennuis et restaient hors de ça. Les gardes de leur côté, regardaient avec amusement la scène, il semblerait que finalement, Daenya ne tienne pas bien longtemps.

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Le jeune explosa carrément à l’intérieur de Calstea, lui versant à l’intérieur toute la semence qu’il retenait depuis trop longtemps. Il resta quelques instants ainsi, allongé, reprenant son souffle. Ensuite, il se recula, toujours un peu sous le coup de l’émotion. Jamais il ne s’était senti aussi bien. Même Shadis le regarda d’un regard complice et lui fit un clin d’œil de son unique œil. Le jeune se retira et alla prendre lui aussi une bouteille de rhum. Après une gorgée, il commençait déjà à se sentir étourdi, mais il était heureux.

L’un des deux autres gardes se sentait déjà prêt à jouir.  Il sentait lui aussi qu’il allait exploser, mais avant, il voulait chevaucher la sauvageonne un peu. Il se plaça derrière puis la pénétra, ne se souciant pas de la semence du jeune. Il donna des sauvages coups de reins, sa façon de faire était plus assurée que celle du jeune. Après quelques instants, il décida d’arrêter de tenter de se retenir et de se laisser aller. Il n’eut qu’à sortir son membre de la sauvageonne avant de décharger sa semence sur le dos de Calstea.

Ils n’étaient plus que deux, Shadis voulait être le dernier à jouir, il comptait également faire jouir Calstea au moins une fois. L’autre garde alla se placer derrière et commença lui aussi à pénétrer l’intimité chaude et humide de Calstea. La jeune femme était à présent prise en tenaille entre les deux hommes. Celui de derrière ne parviendrait pas à se retenir aussi longtemps que Shadis, mais ça lui était égal. Il s’amusait c’était l’essentiel. De son côté, Shadis avait hâte que l’autre dégage, pour qu’il puisse lui aussi s’amuser avec la beauté.

Magikya

Invité

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Re : Du sang sur les plaines [PV Magikya]

Réponse 19 jeudi 28 février 2013, 11:02:24

Magikya regardait la jeune femme à genoux devant elle. Elle ne se souvenait pas de son nom et ne connaissait pas son histoire, ce n'était donc pas une quelconque espionne. D'autant que sa beauté avait dû l'aider en de maintes affaires. Ses vêtements étaient fin, son pantalon d'un tissu marron redessinait parfaitement son corps. Son haut était fait de tissus marrons et verts, une tenue de rodeuse...qui dévoilait en une magnifique courbe le haut de son corps, mais à peine la naissance de ses deux petits seins.

C'est alors que Magikya se rappella avoir vu cette espionne, il y a quelques temps avant cette bataille contre le Duc. Daenya avait donné un bijoux à cette femme, afin qu'elle sache l'une et l'autre où elles seraient pendant et après la bataille, si cela tournait mal. Daenya avait également un bijoux, une bague, elle ne l'avait pas donné à Magikya car, en tant que chef, c'est sur elle que l'on regardait surtout si il n'y avait pas un moyen de communiquer avec l'extérieur.

Magikya eut ainsi un frisson qui la parcourut tout le long du corps. Sous les vêtements de la belle espionne, un bandeau entourait son ventre sur lequel était accroché un pendentif. Bien que celui'ci ne semblait avoir aucune marque distinctive, un magicien ou n'importe qui d'autre sachant la magie et les sorts, reconnaitrait quelle est l'utilité de ce pendentif et l'emblème caché, nécessaire à la création d'un tel pendentif et qui était l'emblème du camp de Magikya, le rapprochement serait ainsi évident à faire.

-J'ai agis seule, je faisais parti d'un groupe de réfugiés ayant fuis votre dictature. Je revenais pour vous tuer, dit l'espionne tout en fixant le Duc.

_____

La tension était palpable au sein de la cellule, d'autant que de celle-ci, lorsqu'un semblant de silence se faisait, on pouvait entendre quelques cris injurieux de la part d'autres soldats prisonniers qui étaient plutot heureux de voir arriver la commandante, mais déçus que ce ne soit pas dans leur cellule.

Daenya, d'abord assise, s'était subitement levée pour se tenir contre le mur de la cellule, ses seins se ballotèrent ainsi de haut en bas et quelques mèches de ses cheveux blancs dévoilèrent ses tétons qui pointaient, durcis par le froid. Elle n'avait réellement pas cru le Duc, elle s'était laissé entrainée par un courage incensé.

Son ventre et sa poitrine se soulevaient lentement, elle tentait d'analyser la situation. Le soi-disant Brepin, un des fantassins surement à voir sa carrure, ses avants-bras puissants, son cou de taureau, il avait dû faire de nombreux dégâts dans les troupes du Duc. Le plus impressionant était cependant son regard, il désirait Daenya, peu lui importait ce qu'il devait faire. Et il n'était pas le seul à penser cela. Voir ainsi dans une prison d'hommes sales et puants, cette beauté dont les mèches cachaient à peine ses tétons roses, bien que cela la rassure. Ses seins étaient d'une belle taille, sans être trop gros et ses cheveux ondulaient sur sa peau claire lui donnant l'air d'un être mystique. Par ailleurs, son pantalon ne tenait que par une vieille corde, il tombait, dévoilant le bas de ses fesses ainsi que de son ventre, et elle devait sans cesse le remonter

Beprin posa sa gigantesque main sur le corps frêle d'Ikram, un vieil homme. Malheureusement, les deux autres protecteurs étaient ses fils, ce qui lui permettait de jouer la carte de la sensibilité.

-Ikram, voyons, nous te respectons tous, tu as bien servis ton peuple, comme nous tous, ne meurs pas pour cette catin, tes fils y compris. De nombreux archers sont morts pour ses décisions qui ne prenaient aucunement compte de nous. Ne fais pas l'idiot.

Le dénommé Ikram soupira, et s'écarta pour aller, suivi de ses deux fils, à l'opposé de la pièce.

-Aller Daenya, je vais te les faire bouger tes seins.
 
Sa poitrine se soulevait rapidement et avec force, excitant davantage les détenus, et même l'un des fils d'Ikram. Ces hommes étaient presque tous taillés comme Beprin, de véritables guerriers.

Les soldats du Duc souriaient, certains commençaient à tendre leurs mains, attendant leurs gains des paris.

_____

Les mouvements à l'intérieur de Calstea que faisait le soldat furent d'abord lents, découvrant l'intimité chaude et humide de la belle. Une fois fait, tant son excitement était fort qu'il l'agrippa et la pénétra avec presque violence. Son instinct lui dictait de jouir sur ce corps fin qui s'agitait, tout aussi excité.

Calstea, à quatre pattes, sentait les bourses du soldat claquer contre elle avec ces mouvements intenses. Puis, elle le sentit alors accélerer son mouvement, s'agripper plus fermement à la belle, et c'est alors qu'il enleva son pénis de cette cavité pour repandre toute sa semence sur le corps de la commandante.

Shadis sourit car désormais, il allait sérieusement s'occuper d'elle.
« Modifié: jeudi 28 février 2013, 11:10:01 par Magikya »

Duc Dayereth Amra

Humain(e)

Re : Du sang sur les plaines [PV Magikya]

Réponse 20 vendredi 01 mars 2013, 02:35:57

-   Une rebelle? Vous n’en avez pas l’air, non… les rebelles sont des barbares, des sauvages qui ne savent pas comment le monde fonctionne. Ils disent se battre pour la liberté, mais les chaines qu’ils imposeraient au peuple sont immenses comparées à la soit disant «rigidité» de mon règne. Les gens sensés le savent ça et vous semblez être quelqu’un de sensée. Pourtant…

Le Duc finit son verre, il s’en servit un autre, il ne ressentait pas vraiment les effets de l’alcool, à moins bien entendu qu’il en consomme vraiment beaucoup. Un autre des effets des nombreuses modifications qu’il avait reçues des Technomages.

-   Alors, dites moi donc où sont ce rebelles, s’ils existent vraiment…

Malgré ses nombreux essais, le Duc n’avait toujours pas réussi à se rendre sensible à la magie, à sa grande frustration. C’était en fait son plus grand projet du moment, mais il semblait que même les Technomages étaient dépassés en ce qui concernait sa requête. Ils trouveraient une solution, le Duc en était convaincu. Dans les derniers mois, ils avaient même faits de grands progrès. Pourtant ce n’était pas suffisant, il n’était toujours pas capable de sentir la magie, alors il ne put détecter le pendentif de l’espionne. De toute façon, il trouverait bien une façon de la faire parler. Le Duc Amra était plutôt calé en ce qui concernait la torture psychologique, parfois, seul son regard à glacer le sang était suffisant pour faire parler les gens.

-   Après tout, vous n’avez pas à m’inventer d’histoire, les seuls groupes de rebelles qu’il y a sur mes terres, je sais où ils sont. Croyez-moi, ils sont bien là-bas… Mais ce n’est pas pour ça que nous sommes là. Il va falloir que quelqu’un parle, sinon…

En ce qui concernait l’espionne,  le Duc eut une idée. Il allait utiliser une technique de ses techniques préférées. Il garda Magikya dans le salon, mais envoya l’espionne dans une salle non loin avec Jahnae. Pour les interroger, il devait les séparer. Il chargea deux de ses hommes de la surveiller, puis se retira. Il alla boire un verre dans la salle à manger, le génie de son plan faisait partie de l’attente que les prisonnières devaient subir. Une dizaine de minutes plus tard, il alla voir Magikya.

-   Chère Magikya, l’espionne s’entête à ne rien dire. Si elle travaille pour vous, je vous conseillerais de me le révéler sur le champ. La punition que j’ai affligée à Daenya était sévère, je sais et je n’ai pas envie que quelqu’un d’autre ait à souffrir ce soir. Mon commandant, Nastus, le nécromancien, n’attends que mon signal pour l’interroger. J’ai beau paraitre cruel et sanguinaire, mais…

Le Duc prit son regard le plus sincère

-   Quand je dis que je ne suis pas méchant, c’est vrai dans le fond. Croyez-moi, je n’ai pas envie de confier l’espionne à Nastus. Il la fera parler de toute façon, ce n’est qu’une question de temps. Je vous demande seulement de réfléchir, je repasserais dans quelques minutes et là, ce sera à vous de me dire tout ce que vous savez.

Le Duc alla voir ensuite l’espionne, il lui tint un discours à peu près semblable, sauf que dans la version qu’il lui raconta, c’était Magikya qui se ferait punir si elle ne parlait pas. La culpabilité allait avoir raison de l’une des deux, ensuite elle avouerait sans inventer d’histoire. Comme elles étaient séparées, elles ne pouvaient pas voir ce qui se passait pour l’autre. Ce n’était qu’une question de temps. Jahnae connaissait l’astuce du Duc, elle préférait quand il séparait les prisonniers pour les menacer de se faire torturer s’ils ne dénonçaient pas l’autre pour ensuite les regarder se trahir entre eux, mais ces deux femmes semblaient assez stupides pour se sacrifier pour l’autre. Le Duc retourna boire dans son coin, dans quelques minutes, l’une d’entre elle allait avouer, c’était certain. Sinon, c’était qu’elles disaient la vérité et c’était une vraiment étrange coïncidence, mais le Duc n’y croyait pas.

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Brepin fut soulagé de voir Ikram s’écarter, le vieux était quelqu’un de bien, mais il était idiot de vouloir défendre la femme. S’il ne s’était pas écarté,  le géant l’aurait surement tué. Il s’approcha alors de la jeune femme qui était dans son coin. Il essaya de la prendre, dans ses bras, naturellement, la jeune femme se débattait, mais ses efforts étaient vains, le géant réussit à se placer derrière elle pour jouer avec ses seins. Il les prit dans ses mains et le balança à gauche et à droite en souriant grandement, il allait enfin s’amuser.

D’autre curieux s’approchèrent de la scène en riant. Ils formaient une demi-lune en face de la femme. Certains commençaient à être excités. Il regardait Brepin s’amuser avec elle et ils voulaient avoir un peu de plaisir eux-aussi. Brepin lui était le plus excité de tous, son membre commençait même à durcir. Il se pencha et lécha la jeune femme dans le cou et remonta jusqu’à sa joue. Après, il alla se placer devant elle.

-   Tu n’as pas réussi à nous donner la victoire, alors maintenant c’est le temps de payer. Si tu sais ce qui est bon pour toi, tu nous donneras tous du plaisir ma jolie. Ce n’est que justice après tout.

Le dernier garde à être arrivé, un soldat qui s’appelait Cavis ramassait les mises en riant. Ils n’étaient pas les seuls à avoir parié et il venait de se faire en une soirée l’équivalent d’un mois de paye, peut-être plus.

-   Hahaha! J’ai gagné! Je vous l’avais dit.

Les autres lui balancèrent l’argent en grognant. L’un des autres gardes, le conteur, qui s’appelait Nacard prit la parole.

-   Si j’étais eux, je ne toucherais pas à cette femme.

-   Tu ne crois pas vraiment que ton fantôme va venir se charger d’eux une fois qu’ils auront fini, c’est une légende bordel. Une histoire pour faire peur!

-   Je te jure qu’ils finiront par disparaitre, je te parie l'argent que tu a gagné que c'est vrai

-   Haha! L’argent le plus facile que j’aurais eu dans ma vie!

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Le troisième soldat finit par jouir lui aussi partout sur Calstea.  Shadis sourit, il l’avait maintenant à lui tout seul. Il retira son membre de sa bouche, il dégoulinait de bave. La poitrine de la sauvageonne montait et descendait alors qu’elle reprenait son souffle .Le colosse se mit à lui malaxer à nouveau ses seins fermes. Il posa même sa bouche sur l’un d’eux et le lécha. Il s’arrêta ensuite pour empoigner son sexe. Il prit une grande gorgée de Rhum. Les autres gardes qui avaient fini ce qu’ils avaient à faire sortir de la pièce. Shadis regarda alors la sauvageonne.

-   Tu te débrouille pas mal. Tu as fait plaisir à mes hommes, à moi aussi d’ailleurs. Maintenant, il n’y a plus que toi et moi. Comment aimerais-tu qu’on le fasse? Vu que je t’aime bien, je te laisse le choix.

Shadis avait beau être sauvage au lit, il voulait également que la femme ait du plaisir elle aussi. C’était surtout par orgueil, il ne voulait pas qu’elle sorte de là en pensant qu’il était nul au lit. Il était plutôt doué en fait et il voulait que la sauvageonne jouisse elle aussi au moins une fois.

Magikya

Invité

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Re : Du sang sur les plaines [PV Magikya]

Réponse 21 samedi 23 mars 2013, 20:47:57

Magikya ne dit pas un mot, elle n'en dirait aucun. La raison en était simple, si elle ne disait rien, il y avait une légère chance pour que le Duc arrête ces pressions, et qu'il n'y ait aucune torture de faite si il finissait par la croire. Par ailleurs, si il souhaitait réellement torturer son espionne, son nécromancien, Nastus, détecterait rapidement le médaillon de celle-ci et alors, nul besoin d'aveux ; ses croyances seraient fondées.

- Cela ne change rien, je ne la connais pas.

La jeune femme croisa les jambes, ce qui fit légèrement remonter sa robe le long de ses cuisses.

Dans l'autre salle, l'espionne ne disait aucun mot non plus, elle respirait calmement. Elle avait vécu des pressions bien pire que celle-ci. Et elle savait comment réagir à chacune d'elle, d'autant que Daenya lui avait parlé de la psychologie de ce Duc, ce qu'il voulait c'était dominer, se sentir tout-puissant face à ses adversaires, donner l'impression d'avoir toutes les cartes en jeu.

_____

Voyant la réticence de Daenya et son regard qui le fusillait, il se remit derrière elle, l'enlaçant de ses bras de g'ants sans qu'elle puisse se débattre. Sous les regards amusés et surtout excités des autres prisonniers, il massait ses seins, les pétrissait.
Daenya se retrouva les seins plaqués contre le mur, les mains de l'homme descendirent le long de ses hanches jusqu'à agripper son pantalon et à le baisser en dessous de ses fesses qu'il toucha à son tour, haletant.
Daenya sentit le membre de l'homme la parcourir jusqu'à ce qu'il se mette à la pénétrer avec force.

_____

De nombreux étages plus haut, Calstea souriait. Ainsi Shadis la laissait choisir. Allongée sur le lit et les cuisses écartées, la sauvageonne se caressait. Elle voulait profiter autant qu'elle le pouvait de ce commandant.
Elle lui fit signe de s'approcher, menant son visage vers le bas de son ventre, à son tour désormais.
Le soleil passa à travers les rideaux, c'était l'aube depuis plusieurs minutes. Sa lumière vint éclairer le corps nu de Calstea, quelques gouttes de sueur la recouvrait.

Law

E.S.P.er

Re : Du sang sur les plaines [PV Magikya]

Réponse 22 samedi 23 mars 2013, 21:03:49

Il aimait les pommes. Plus que de raison.

Il avait aussi un fort penchant pour les cerises, cela dit, mais les pommes se trouvaient plus facilement. Il suffisait de monter dans quelques contrées chaudes pour, même en hiver, sustenter son besoin de ce globe céleste. D'accord, les belles rouges étaient meilleures en été, mais les petites jaunes suffisaient à son bonheur lorsqu'il faisait un peu froid. Souvent, il demandait à ce qu'on lui accommode ce fruit de diverses manières. Il ne manquait pas d'imagination pour la chose culinaire, et même si il avait peu de talent dans le domaine, il connaissait des gens qui exécutaient ses fantaisies gustatives avec brio.

Enfin bref. Assit sur sa chaise, Law mange une pomme. Il a dressé un feu dans sa grande tente, ce qui est totalement inconscient, on n'a pas manqué de lui dire. Mais c'est ainsi : Le grande mafieux n'est pas du genre à tolérer qu'on lui refuse quelque chose. Un homme frappe contre le poteau planté devant la tente, dressé là pour annoncer l'arrivée de quelqu'un. « Entrez ! » prononce-t-il avec conviction, mordant dans son fruit. L'homme porte une missive. Ca arrive tout droit de l'un des oiseaux de communication. Le plan a marché. Law n'y croit pas. Il sert son homme frigorifié contre lui, puis lui ordonne d'aller faire exécuter la suite des opérations, et d'harnacher son cheval. Il ne croyait pas aux coïncidences. Les Dieux étaient tout simplement avec lui. L'aube qui se levait annonçait ce jour, qui allait être sien.



Plus tôt, cette nuit.

Trois hommes emmitouflés dans de lourds vêtements chauds marchent dans la rue. Ils discutent avec animosité. Leur débat porte apparemment sur la pérennité de la monarchie nexussienne : Après les troubles qui ont secoués la Cité-Etat, ne risque-t-elle pas de flancher bientôt ?

Ils passent à côté d'une ambassadrice et de son escorte. Quelques hommes d'arme, visiblement entraînés, qui l'entourent. Une femme discute avec elle. Elle n'était pas prévue, celle-ci. Dans le doute... On ne la touche pas. Ils cherchent apparemment à faire halte, pour la nuit, seulement une heure ou deux, le temps de se reposer. Aussi, l'un des trois hommes, entendant la conversation, s'arrête.

« -'Scuzez-moi... Vous cherchez une auberge ? J'vous suggère d'aller chez Appius. V'pouvez vous tromper, c'est juste au coin de la rue, là. Y a toujours de la place, et pis c'est pas trop cher. Tentez l'coup. »

Il sourit, commence à s'éloigner, sans attendre de remerciement. Mais il n'aura pas fait deux pas que toutes les lames sont sorties. Deux gardes se retrouvent la gorge tranchée, un autre a le visage transpercé par une dague. Un cadavre pas beau à voir. Alors que le reste de l'escorte réagit en dégainant ses armes, des flèches tombent et les transpercent. Les archers perchés ont intérêt à viser droit, pour ne pas toucher les deux demoiselles. Il reste deux militaires survivants, qui se dressent près de l'ambassadrice et de son aide de camp, prêts à mourir pour elle. Ils savent qu'ils sont dans une impasse. Un mercenaire remarque quelque chose d'étrange. Une femme. L'un des deux encasqués restant est une femme.

« -Tuez l'autre. Celle de gauche reste en vie, avec les deux poufs. »

Ils s'apprêtent à réagir, mais trois flèches criblent le dernier homme restant. Quant à la nana, elle se trouve agressée, désarmée, frappée. Les archers descendent des toits et entourent la diplomate et son acolyte pour les empêcher de fuir.

« -Putain, Asal, on rentre là ? Il caille, ça picote les gencives sévère ! 
-Ouaip. On rentre. Vous m'embarquez les deux poules. Si elles opposent trop de résistances, cassez-leur une cheville, elles ne pourront plus beaucoup marcher. Nouri ! Envoie un piaf au boss. Dis-leur qu'on a ses cadeaux.»




Retour à Lawb l'aube.

Law avait demandé audience au Duc. Il avait, pour ce faire, fait appel à ses relations. Il connaît bon nombre de nobles des environs. Sa notoriété en tant que pourvoyeur haut-de-gamme pour toute sorte de marchandise, sa sympathie, son sens de la diplomatie et ses réseaux faisaient de lui quelqu'un d'incontournable mais de très secret. Il avait fait signer des lettres de recommandation auprès des couronnés les plus influents, pour être sûr de parler au Duc en personne, c'était important.

Il était sûr de lui. L'enchaînement des circonstances qui se déroulent comme l'haruspice l'avait prédit devant lui confortait son sentiment de sécurité. Tout se passerait selon son envie, à condition qu'il ne force pas trop le destin. C'est une chose fragile. Il faut le traiter avec respect comme il s'ouvre à vous, comme une putain de luxe qui ferait sa mijaurée dès qu'on se montrerait un peu trop vif à son goût.

Il chevauchait au petit pas, sans se presser. Le Duc devait déjà tenir sa lettre, signée d'un pseudonyme que Law utilise dans cette région. Dans quelques minutes, il serait devant les portes du château, avec sa propre escorte, et il espérait pouvoir rentrer sans traîner. Il est un homme puissant... Mais il a terriblement froid.




A l'auberge.

Point de respect de l'autre côté. L'ambassadrice est pourtant une chose fragile. Mais bâillonnée, entravée, aveuglée, elle a cessé de se débattre sur son lit. Elle est fatiguée.
Attachée au pied du lit, tout aussi prostrée et privée de ses sens, son aide de camp, qui a abandonné aussi toute lutte.

Asal rentre dans sa chambre, accompagné de quelques hommes. Il enlève le bandeau de la haute dignitaire, et lui sourit.

« -Salut ma belle. Ecoute-moi bien et tout se passera bien. »

Elle bouge. Il lui colle une tarte qui la calme immédiatement.

« -Tu arrêtes de bouger, d'accord ? Et tu m'écoutes, ou je te tabasse. Ta boss est actuellement avec mon boss. Ils négocient ensemble. J'vais pas te le cacher : Toi et elle, vous êtes des dommages collatéraux. Mais en même temps, vous allez servir notre cause. Vous êtes sur notre chemin et vous n'étiez pas prévus mais on va profiter de cette occasion. Je t'explique le truc : Si tu meurs, tout est foutu pour ta reine ou je sais pas quoi, et elle risque de crever aussi. Si elle meurt, de son côté, tu nous sers plus à rien, et on te bute sans sommation. Donc maintenant, t'as plus qu'à faire confiance à la seule personne qui peut te faire survivre : Mon chef. Avec un peu de chance, il va même vous être profitables, comme quoi ! Bref, je te demande pas de tout comprendre, puisque moi non plus je comprends pas grand-chose. Mais en attendant... »

Il défait son pantalon, et le bâillon de la demoiselle. L'un de ses hommes sort sa dague, avec un fin sourire aux lèvres, et se met à côté d'elle.

« -Si tu hurles autrement que de plaisir, on te découpe en morceaux avant de te trancher la gorge pour t'achever. Et tu sais ce que ça signifie pour la nana qui compte sur toi, emprisonnée dans son château ? Maintenant, suce ma queue. Ca t'évitera de trop l'ouvrir... »

Les deux autres s'approchent de l'assistante, allongée à terre, mais lui laissent son bâillon, et commencent à enlever voire déchirer ses vêtements pour rendre accessible son bassin, crachant sur son entrejambe en la mettant à quatre pattes alors qu'elle est liée au pied du lit pour la pénétrer avec violence et la malmener. Asal, lui, chope la tête de l'ambassadrice par les cheveux pour lui fourrer son sexe entre les lèvres. Cette matinée s'annonce forte en sexe. Ils ont l'autorisation de les maltraiter comme ils le veulent, tant qu'ils ne les tuent pas. Un ravissement pour des hommes harassés, qui ont besoin d'un prompt réconfort.



[Ah, Magikya, ce bonheur que de ne pas pouvoir t'envoyer de MP... Tu veux pas changer de compte ou te connecter sur la CB par exemple xD ?]
« Modifié: samedi 23 mars 2013, 22:28:43 par Law »

Ancien Despote, admirateur de Moumou la Reine des Mouettes, président/trésorier/unique membre de l'association des cultistes de Frig, directeur du club des Persos Vitrines, Roi des Bas-Fonds de Nexus, grand-maître de l'ordre du caca masqué, membre des Jmeféchié, médaille triple platine de l'utilisation du Manuel des Castors Juniors, premier gérant de l'association "Cthulhu est votre ami", vénérateur de la cafetière, seigneur de la barbe et des cheveux, chevalier servant de ces dames, Anarchiste révolutionnaire, extrémiste de la Loi.



Je suis pour la réhabilitation des Userbars.
Les userbars sont VOS amies. Elles sont gentilles.
Utilisez des userbars. <3


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