Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ergeïa

Pages: [1] 2
1
Prélude / Re : Sanna J. LEN
« le: lundi 15 juin 2009, 22:36:02 »
Ah ? Je pensais que ça ne changerais pas grand chose.

2
Prélude / Re : Sanna J. LEN
« le: lundi 15 juin 2009, 21:37:11 »
Oui je sais, mais Ergeïa changeais assez peu de Mikko donc ^^'
J'ai eu besoins de changement :p
Et si j'ai une idée je te fais signe ! (Je compte sur toi pour faire pareil !)

Merci Diane ! (:

3
Prélude / Sanna J. LEN
« le: lundi 15 juin 2009, 20:57:11 »
Sanna J. LEN

NOM, PRENOM, SURNOM : Pourquoi « J. » ? Mon nom complet est Sanna Jin LEN. Les gens de ma promo, mes rares amis, mes amants et mon père m’appellent San’ et j’ai horreur que l’on m’appelle par mon nom de famille.

AGE : J’ai tout juste vingt ans

SEXE : Femme

RACE : Humaine

ORIENTATION SEXUELLE: Je suis généralement plutôt attirée vers les hommes, mais j’ai déjà couché avec une femme ; Je ne considère pas cela comme une fin en soit, il faut seulement que je sois attiré par la personne, son sexe à peu d’importance. Mais mon attirance à tendance à se tourner vers la gent masculine.

DESCRIPTION PHYSIQUE : On émet rarement d’avis au sujet de mon physique.  Alors soyons objectifs et décrivons moi avec le plus de justesse et d’authenticité que possible. Je ne suis pas grande, enfaite je suis très ordinaire. Je mesure entre un mètre cinquante-cinq et un mètre soixante. J’ai une carrure étrange. Ma tête semble assez grosse comparée à mon corps, celui-ci et frêle, et je pense qu’il n’est pas exagéré de dire qu’en réalité je suis maigre. Mes épaules et mes genoux forment des angles disgracieux, mes hanches son saillantes, mes seins son très petit, je fais du 85A. Je marche les pieds légèrement en canard, mon père me dit que ça donne du caractère, cela me fait sourire. Mon père me remonte toujours le moral. J’ai la peau très blanche, presque translucide. Si bien qu’en été je mets toujours un chapeau de paille sur la tête pour éviter que mon visage ne vire au rouge. Lorsque ça arrive cela devient vraiment ridicule : mon nez - qui soit dit en passant à une forme exagérément retroussée - devient rose et mes pommettes sont cramoisies, si bien que je n’ose plus sortir. J’ai un cou trop long par rapport à ma tête, mes oreilles sont trop grandes, mes lèvres trop fines. Mes yeux sont bleus clairs et sensibles à la lumière. De plus, je vois très mal de près et je suis parfois obligée de porter des lunettes, qui, trop grosses pour la forme ovale de mon visage me donnent immédiatement l’air d’un clown. Enfin j’ai des cheveux de nouveau nés. Ils sont blonds délavés et extrêmement fins, si bien qu’ils sont excessivement durs à démêlés. J’ai donc entreprit, il y a deux ans de ça, de me les couper courts. Je me les coupes toujours moi-même et c’est toujours très rapide. Je m’habille dans les friperies. Je dépense beaucoup d’argent pour mes études et je suis très économe. Alors je dépense très peu de sous en vêtements. Mes jeans sont toujours informes et je porte très souvent des chemises à manches longues, qui me sont toujours très amples et qui me donnent un air étrange. J’ai toujours une besace en cuir clair sur l’épaule et souvent la sacoche de mon appareil photo. Parfois je transporte sous mon bras un carton à dessin, ce qui me donne toujours l’air ridicule car mes bras sont trop courts pour que je le porte correctement. Mon visage et souvent fatigué car je travaille beaucoup. Je n’ai pas le physique les filles rêvent d’avoir, cependant je n’ai aucun complexe. Je souhaiterais juste, éventuellement, prendre quelques kilos. C’est tout. Je n’ai jamais sût trouver ce qui plaisait aux hommes qui se retrouvaient dans mon lit. Mais à les écouter, à les sentir me toucher, il y avait visiblement quelque chose. Quelque chose d’infime, très certainement.

CARACTERE : Mouais. J’imagine être obligée de passer par là alors c’est partie : Je suis ce qu’on appelle discrète. J’aime discuter, on dit que j’ai de l’humour même si celui-ci est souvent sombre ou sarcastique. J’ai l’habitude d’être seule, sans doute à cause de mon mode de vie. J’étudie les lettres et les arts en université et je suis logée dans l’internat du lycée de ma ville. En effet, l’université ne comporte pas d’internat et j’ai pas encore assez de sous pour me payer un appart’, c’est pas faute de volonté pourtant. Ouais, il parait qu’j’suis volontaire, et à côté de cette légende ‘faudrait songer à s’demander pourquoi j’suis pas fichue d’arrêter de fumer.  La plupart des gens me disent frivole, sans doute parce que j’attache très peu d’importance aux choses. Ouais, c’est vrai, pour moi le plus important c’est de pas s’biller, ça entraine des infarctus et y a déjà bien des choses dans mes mauvaise habitudes qui me vaudrons la mort, j’ai pas besoin d’être en plus stressée. Je suis anti-lyrique. J’ai horreur de toute les mièvreries, je déteste dire aux gens qu’il compte pour moi et que je les aime, ça a tendance à agacer mon paternel et c’est sans doute ce pourquoi je n’ai jamais été capable de m’attacher à quelqu’un. On me dit aussi passionnée. Je suis une mordue de cinoche et j’aime la littérature. Je parle volonté philo et j’adore la photographie. A mon entrée en Fac je me suis payé un appareil argentique d’occasion. Un reflex, à cause de qui à l’occasion, ma chambre d’internat se transforme en chambre noire afin de développer mes photos. Enfin je dessine un peu, vaguement, à l’occasion. Lorsque l’envie me prend, lorsque l’ambiance s’y prête, oui, ça m’arrive. Mes collègues de fac me disent souvent que j’ai un cerveau d’artiste. Je ne sais pas vraiment comment le prendre. On dit que j’suis rêveuse, ou plus objectivement tête en l’air. Je ne me sens chez moi qu’à la terrasse d’un café, une clope au bec, une bière à la main et un bouquin sous les yeux. Mes proches me disent que j’ai besoins de trouver quelqu’un qui m’aime. Quelqu’un qui me ferait l’amour et qui m’empêcherais de baiser à droite à gauche. Ils disent que ça m’équilibrerait. Est-ce que j’en ai envie moi d’être équilibrée ? Est-ce que ça m’importe seulement ? On me dit nonchalante, je ne suis pas quelqu’un de ponctuel et je ne fait aucun effort pour l’être. On me dit indiscipliné, ma vie est un vrai bordel mais j’estime que ce bordel me convient. On me dit spécial, j’aime le revendiquer, je n’ai pas peur de l’image qu’on peu avoir de moi. Certain me traitent de pouilleuse à cause de mon physique, sans doute ne se penchent-ils pas assez sur ma personne, c’est ce qu’on me répète et ce que j’ai finit par croire. Voilà en gros comment je me définirais, c’est moi, Sanna, j’ai vingt ans et je suis étudiante en lettres-arts.

HISTOIRE : J’sais pas si ça vaut vraiment l’coup, ma vie n’a rien de passionnant, et les péripéties sont pauvres. Je suis née y a vingt-ans de ça dans un village au plein nord du japon dont je tairais le nom et que mon père et moi aimions à appeler en riant « Lenny Wood ». Ma mère est morte en me mettant au monde, et je n’ai donc pas eu l’occasion de la connaitre. Mon père m’a un peu parlé d’elle malgré moi. C’était une femme équilibrée et douce. Ce qu’on aurait pu appelé un antonyme de mon père mais surtout de moi. Comme vous l’avez comprit j’ai donc grandit fille unique auprès de mon géniteur qui tenait une galerie d’art/café dans laquelle enfaite nous habitions. J’aimais bien mon père : il était drôle, il m’aimait et me remontait toujours le moral. Cependant souvent il m’énervait. Comme tout les parents énervent leurs enfants j’imagine : j’ai toujours était bien traitée cependant, et je n’ai jamais manqué de rien. Mon père a toujours été très inquiet pour moi. Parce que j’ai ce qu’on appelle couramment une santé fragile. Un père est toujours protecteur avec sa fille, avec moi, il l’était parfois trop. J’ai grandit comme n’importe quelle jeune fille japonaise, et lorsque j’eu dix-huit ans je décidais de m’orienter vers les arts-plastiques et la littérature. J’ai donc rejoins l’université lettres-arts de Seikusu. Vous imaginez quel déchirement ce fut pour mon père de me voir quitter Lenny Wood pour une ville qui se situait bien trop loin. Cependant il ne l’a pas trop mal vécu, et je m’efforçais de rentrer une ou deux fois par ans pour venir le voir. En ce qui concerne mes conquêtes j’ai toujours été ce qu’on appelle expéditive. Les garçon qui me plaisait et qui m’acceptait, je couchais avec une fois, parfois deux ou trois fois, puis je m’en éloignait bien vite : il était pour moi hors de question de nouer un semblant de lien, un semblant d’histoire avec qui que ce soit : ça n’était pas mon genre. Je suis quelqu’un qui déteste les engagements. Aujourd’hui j’étudie toujours à la fac, je travaille le soir dans un bar pour payer mon loyer et mes clopes. J’étudie la nuit dans une chambre ridicule d’internat. Et je vais en cours tout les matins. Occasionnellement, je bosse pour un hebdomadaire nommé « Japan Landscapes » pour lequel je fais quelques clichés. Voilà en gros ce qu’est ma vie.

SITUATION DE DEPART : Est-ce que j’ai déjà couché avec quelqu’un ? Oui. Avec plusieurs personnes même. Est-ce que je m’estime expérimentée ? Non, pas plus que ça, j’imagine qu’en matière de sexe, j’ai encore beaucoup de choses à apprendre.

AUTRES : Rien à ajouter. Ah si, j’ai un tatouage sur ce qu’on appelle scientifiquement « Eminence Thénar » et qui est en gros ce petit morceau de chair qui se trouve sous le pouce dans la paume. Il représente deux arabesques qui s’étirent sur mon pouce du côté du plat de ma main. J’ai aussi un gouvernail de navire tatoué entre les omoplates et qui fait plus ou moins la taille d’une pièce de un centime d’euros (vive la comparaison, mais je pouvais pas le faire en yen XD).



COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM:  Doublette de Mikko Rikyu

AVEZ VOUS DES MOYENS DE FAIRE CONNAITRE LE SITE AUTOUR DE VOUS ?
Non, désolée !

4
L'auberge du Coucher de Lune / Re : En service (Libre)
« le: lundi 15 juin 2009, 20:51:39 »
Avec sa réponse et l’air qui régnait sur son visage, Ergeïa avait visiblement convaincu Siegfried du type de boulot qu’elle cherchait réellement. Celui-ci  Sortit bientôt une feuille de papier et fit dessus le bref croquis d’une carte sur laquelle il avait indiqué d’une croix le lieu ou elle devait se rendre, en dessous il avait griffonné quelques informations. Puis il se leva et mit son épée à sa ceinture tout en laissant la carte à Ergeïa. Elle lut brièvement les informations inscrites. Une guilde ? A vrai dire, il était difficile pour Ergeïa d’imaginer mieux. Elle leva les yeux vers le jeune homme qui lui adressait de dernières paroles avant de s’éloigner. Ergeïa leva très légèrement la main, le coude replié, en lui faisant un petit signe pour le saluer.
« Merci pour le repas. »

Dit-elle avec un sourire reconnaissant. Elle n’avait pas pris la peine de lui préciser si elle viendrait ou pas. Il le verrait par lui-même, même si la jeune femme était presque sûre d’être intéressée par cette opportunité. Elle termina donc son assiette. Puis elle rassembla lentement ses affaires, fuma une dernière cigarette puis se retira dans sa chambre pour y déposer ce dont elle n’aurait pas besoins. Elle ne prit avec elle qu’un couteau et un automatique. Sa besace avec quelques objets indispensables. Puis elle prit bien soins de fermer la porte de sa chambre à double tour avant de  sortir, la carte à la main, tout en remettant sa capuche sur sa tête.

5
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 14 juin 2009, 21:30:03 »
21 : 30

....Ou de décerveler le porteur avec le ballon :p

6
L'Art / Re : Emdhy's box (Ergeïa & Mikko)
« le: dimanche 14 juin 2009, 20:49:51 »
Et par la même occasion, la fiche d’un futur perso, qui remplacera celui-ci qui ne me plait plus, dès que j’aurais terminé mon RP avec Siegfried.

Sanna J. LEN

NOM, PRENOM, SURNOM : Pourquoi « J. » ? Mon nom complet est Sanna Jin LEN. Les gens de ma promo, mes rares amis, mes amants et mon père m’appellent San’ et j’ai horreur que l’on m’appelle par mon nom de famille.

AGE : J’ai tout juste vingt ans

SEXE : Femme

RACE : Humaine

ORIENTATION SEXUELLE: Je suis généralement plutôt attirée vers les hommes, mais j’ai déjà couché avec une femme ; Je ne considère pas cela comme une fin en soit, il faut seulement que je sois attiré par la personne, son sexe à peu d’importance. Mais mon attirance à tendance à se tourner vers la gent masculine.

DESCRIPTION PHYSIQUE : On émet rarement d’avis au sujet de mon physique.  Alors soyons objectifs et décrivons moi avec le plus de justesse et d’authenticité que possible. Je ne suis pas grande, enfaite je suis très ordinaire. Je mesure entre un mètre cinquante-cinq et un mètre soixante. J’ai une carrure étrange. Ma tête semble assez grosse comparée à mon corps, celui-ci et frêle, et je pense qu’il n’est pas exagéré de dire qu’en réalité je suis maigre. Mes épaules et mes genoux forment des angles disgracieux, mes hanches son saillantes, mes seins son très petit, je fais du 85A. Je marche les pieds légèrement en canard, mon père me dit que ça donne du caractère, cela me fait sourire. Mon père me remonte toujours le moral. J’ai la peau très blanche, presque translucide. Si bien qu’en été je mets toujours un chapeau de paille sur la tête pour éviter que mon visage ne vire au rouge. Lorsque ça arrive cela devient vraiment ridicule : mon nez - qui soit dit en passant à une forme exagérément retroussée - devient rose et mes pommettes sont cramoisies, si bien que je n’ose plus sortir. J’ai un cou trop long par rapport à ma tête, mes oreilles sont trop grandes, mes lèvres trop fines. Mes yeux sont bleus clairs et sensibles à la lumière. De plus, je vois très mal de près et je suis parfois obligée de porter des lunettes, qui, trop grosses pour la forme ovale de mon visage me donnent immédiatement l’air d’un clown. Enfin j’ai des cheveux de nouveau nés. Ils sont blonds délavés et extrêmement fins, si bien qu’ils sont excessivement durs à démêlés. J’ai donc entreprit, il y a deux ans de ça, de me les couper courts. Je me les coupes toujours moi-même et c’est toujours très rapide. Je m’habille dans les friperies. Je dépense beaucoup d’argent pour mes études et je suis très économe. Alors je dépense très peu de sous en vêtements. Mes jeans sont toujours informes et je porte très souvent des chemises à manches longues, qui me sont toujours très amples et qui me donnent un air étrange. J’ai toujours une besace en cuir clair sur l’épaule et souvent la sacoche de mon appareil photo. Parfois je transporte sous mon bras un carton à dessin, ce qui me donne toujours l’air ridicule car mes bras sont trop courts pour que je le porte correctement. Mon visage et souvent fatigué car je travaille beaucoup. Je n’ai pas le physique les filles rêvent d’avoir, cependant je n’ai aucun complexe. Je souhaiterais juste, éventuellement, prendre quelques kilos. C’est tout. Je n’ai jamais sût trouver ce qui plaisait aux hommes qui se retrouvaient dans mon lit. Mais à les écouter, à les sentir me toucher, il y avait visiblement quelque chose. Quelque chose d’infime, très certainement.

CARACTERE : Mouais. J’imagine être obligée de passer par là alors c’est partie : Je suis ce qu’on appelle discrète. J’aime discuter, on dit que j’ai de l’humour même si celui-ci est souvent sombre ou sarcastique. J’ai l’habitude d’être seule, sans doute à cause de mon mode de vie. J’étudie les lettres et les arts en université et je suis logée dans l’internat du lycée de ma ville. En effet, l’université ne comporte pas d’internat et j’ai pas encore assez de sous pour me payer un appart’, c’est pas faute de volonté pourtant. Ouais, il parait qu’j’suis volontaire, et à côté de cette légende ‘faudrait songer à s’demander pourquoi j’suis pas fichue d’arrêter de fumer.  La plupart des gens me disent frivole, sans doute parce que j’attache très peu d’importance aux choses. Ouais, c’est vrai, pour moi le plus important c’est de pas s’biller, ça entraine des infarctus et y a déjà bien des choses dans mes mauvaise habitudes qui me vaudrons la mort, j’ai pas besoin d’être en plus stressée. Je suis anti-lyrique. J’ai horreur de toute les mièvreries, je déteste dire aux gens qu’il compte pour moi et que je les aime, ça a tendance à agacer mon paternel et c’est sans doute ce pourquoi je n’ai jamais été capable de m’attacher à quelqu’un. On me dit aussi passionnée. Je suis une mordue de cinoche et j’aime la littérature. Je parle volonté philo et j’adore la photographie. A mon entrée en Fac je me suis payé un appareil argentique d’occasion. Un reflex, à cause de qui à l’occasion, ma chambre d’internat se transforme en chambre noire afin de développer mes photos. Enfin je dessine un peu, vaguement, à l’occasion. Lorsque l’envie me prend, lorsque l’ambiance s’y prête, oui, ça m’arrive. Mes collègues de fac me disent souvent que j’ai un cerveau d’artiste. Je ne sais pas vraiment comment le prendre. On dit que j’suis rêveuse, ou plus objectivement tête en l’air. Je ne me sens chez moi qu’à la terrasse d’un café, une clope au bec, une bière à la main et un bouquin sous les yeux. Mes proches me disent que j’ai besoins de trouver quelqu’un qui m’aime. Quelqu’un qui me ferait l’amour et qui m’empêcherais de baiser à droite à gauche. Ils disent que ça m’équilibrerait. Est-ce que j’en ai envie moi d’être équilibrée ? Est-ce que ça m’importe seulement ? On me dit nonchalante, je ne suis pas quelqu’un de ponctuel et je ne fait aucun effort pour l’être. On me dit indiscipliné, ma vie est un vrai bordel mais j’estime que ce bordel me convient. On me dit spécial, j’aime le revendiquer, je n’ai pas peur de l’image qu’on peu avoir de moi. Certain de traitent de pouilleuse à cause de mon physique, sans doute ne se penchent-ils pas assez sur ma personne, c’est ce qu’on me répète et ce que j’ai finit par croire. Voilà en gros comment je me définirais, c’est moi, Sanna, j’ai vingt ans et je suis étudiante en lettres-arts.

HISTOIRE : J’sais pas si ça vaut vraiment l’coup, ma vie n’a rien de passionnant, et les péripéties sont pauvres. Je suis née y a vingt-ans de ça dans un village au plein nord du japon dont je tairais le nom et que mon père et moi aimions à appeler en riant « Lenny Wood ». Ma mère est morte en me mettant au monde, et je n’ai donc pas eu l’occasion de la connaitre. Mon père m’a un peu parlé d’elle malgré moi. C’était une femme équilibrée et douce. Ce qu’on aurait pu appelé un antonyme de mon père mais surtout de moi. Comme vous l’avez comprit j’ai donc grandit fille unique auprès de mon géniteur qui tenait une galerie d’art/café dans laquelle enfaite nous habitions. J’aimais bien mon père : il était drôle, il m’aimait et me remontait toujours le moral. Cependant souvent il m’énervait. Comme tout les parents énervent leurs enfants j’imagine : j’ai toujours était bien traitée cependant, et je n’ai jamais manqué de rien. Mon père a toujours été très inquiet pour moi. Parce que j’ai ce qu’on appelle couramment une santé fragile. Un père est toujours protecteur avec sa fille, avec moi, il l’était parfois trop. J’ai grandit comme n’importe quelle jeune fille japonaise, et lorsque j’eu dix-huit ans je décidais de m’orienter vers les arts-plastiques et la littérature. J’ai donc rejoins l’université lettres-arts de Seikusu. Vous imaginez quel déchirement ce fut pour mon père de me voir quitter Lenny Wood pour une ville qui se situait bien trop loin. Cependant il ne l’a pas trop mal vécu, et je m’efforçais de rentrer une ou deux fois par ans pour venir le voir. En ce qui concerne mes conquêtes j’ai toujours été ce qu’on appelle expéditive. Les garçon qui me plaisait et qui m’acceptait, je couchais avec une fois, parfois deux ou trois fois, puis je m’en éloignait bien vite : il était pour moi hors de question de nouer un semblant de lien, un semblant d’histoire avec qui que ce soit : ça n’était pas mon genre. Je suis quelqu’un qui déteste les engagements. Aujourd’hui j’érudit toujours à la fac, je travaille le soir dans un bar pour payer mon loyer et mes clopes. J’étudie la nuit dans une chambre ridicule d’internat. Et je vais en cours tout les matins. Occasionnellement, je bosse pour un hebdomadaire nommé « Japan Landscapes » pour lequel je fais quelques clichés. Voilà en gros ce qu’est ma vie.

SITUATION DE DEPART : Est-ce que j’ai déjà couché avec quelqu’un ? Oui. Avec plusieurs personnes même. Est-ce que je m’estime expérimentée ? Non, pas plus que ça, j’imagine qu’en matière de sexe, j’ai encore beaucoup de choses à apprendre.

AUTRES : Rien à ajouter. Ah si, j’ai un tatouage sur ce qu’on appelle scientifiquement « Eminence Thénar » et qui est en gros ce petit morceau de chair qui se trouve sous le pouce dans la paume. Il représente deux arabesques qui s’étirent sur mon pouce du côté du plat de ma main. J’ai aussi un gouvernail de navire tatoué entre les omoplates et qui fait plus ou moins la taille d’une pièce de un centime d’euros (vive la comparaison, mais je pouvais pas le faire en yen XD).



7
L'Art / Emdhy's box (Ergeïa & Mikko)
« le: dimanche 14 juin 2009, 20:46:11 »
Peut être inspirée par le post de Draclusia ? En tout cas j’ai eu une envie d’écrire ( :

Les temps changent et on entend ça partout. Il y a ceux qui vivent malgré tout dans le passé, ceux qui on peur de vieillir, puis il y a ceux qui disent vivre avec leur temps et qui vieillissent bien. Et puis parmi tout ces gens il y a moi qui ne sais pas trop ou me placer. Je me dis que vieillir ne peu qu’être bénéfique pour moi étrangement. J’arrive pas à décider pourquoi mais je sais que j’aime l’idée d’être prise pour quelqu’un de responsable. Ouais, j’vous entends à des kilomètres : l’ado rebelle qui veux être pénarde pour fucker the world….Ou pas. Enfaite je crois que j’ai juste besoins de changement, de dépaysement et je peux pas vivre ça du haut de mes dix-sept ans. Même pas d’ailleurs, même pas dix-sept ans. Ouais : ils approchent tout doucement, ils sont à porté de ma main mais ils sont pas encore là, pas tout à fait. Enfin comme beaucoup j’en rêve. J’en rêve de cette autre ville, de cet autre pays éventuellement. Je rêve de mon autonomie, de mes rides qui sont encore bien trop lointaines, hélas. Car qu’est ce que c’est beau les rides. Qu’est ce que ça raconte comme histoires. Dans ma famille on a des tas de tocs. Des petites légendes, des vieilles expressions que nous seules disons. Dans ma famille on dit que les rides les plus belles sont celle qui naisse de nos sourire, à force de rire et de plisser les yeux. Et les mauvaise rides, sont celle qui naissent de nos larmes et de nos colères, à force de tordre la bouche et de froncer les sourcils. Aussi dans ma famille, lorsque quelqu’un râle, que quelqu’un est triste (bien souvent les plus jeunes) les autres disent : « attention aux mauvaises rides ». J’aime les rides qui viennent des sourires, les autres sont tristes, les autres font peur et annonce une mélancolie douloureuse. D’un autre côté comme tout le monde j’ai peur, et je refuse de me projeter dans l’avenir. Après tout grandir, cela doit être fait lentement, avec tout le recul nécessaire. Je prends le temps d’adopter ce recul, de le faire mien, de m’observer. Et puis aussi comme tout le monde et malgré tout ce que j’en pense de mal, j’éprouve un peu de nostalgie. La nostalgie des sucettes blanches avec les fleures et les fruits dessinés dessus. La nostalgie du gel douche à la vanille, celle du lait de poule. Des évènements et des souvenirs ridicules qui pourtant donnent des frissons. Du temps où on avait encore le droit de se saper comme on voulait. Du temps ou au lieu de jouer à Wow, mon frère me lisait des BDs. Nostalgique de Nuttea, de Zebda et de Shaggy. De ce temps ou tout semblait plus simple, ou tout le monde semblait moins hostile. Mais la nostalgie, qu’est-ce que c’est mièvre ! Alors ouais, des fois je me pose la question « Grandir ou rapetisser ? Rester moi-même peut être ? » Et puis j’en conclus que finalement ces questions et ces problèmes se résoudrons seuls. Que de toute manière un jour, comme tout le monde, je les aurais mes rides ; Et jusque là je ferais tout pour qu’elles ne soient pas mauvaise, en conservant un maximum de joie de vivre.



8
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 14 juin 2009, 20:24:49 »
20 : 25

Rah j'suis méga pour :D

9
L'auberge du Coucher de Lune / Re : En service (Libre)
« le: dimanche 14 juin 2009, 19:48:33 »
N’entendant pas un mot, Ergeïa finit par lever les yeux vers son interlocuteur, à ce moment la celui-ci prit la parole. Visiblement, et cela la surprenait peu. Siegfried était ici pour des raisons similaires à celles qui la pousser à intégrer l’auberge. Puis Sieg posa la question à cinq-cents pièces d’or. Ergeïa sourit. En réalité les temps se faisaient durs et elle n’avait pas encore une réputation suffisante pour être prioritaire sur les nouvelles quêtes.

En réalité les missions de prédilections d’Ergeïa étaient les missions d’espionnages, rendues extrêmement facile sur Terre et à Tekhos  étant donné qu’elle pouvait manipuler toute sorte d’outils de communications. Mais elle s’en sortait bien même en l’absence de son pouvoir. Cependant Ergeïa avait déjà été embauchée comme tueuse à gage après avoir fait ses preuves. De même elle était aussi beaucoup sollicitée pour les vols. En bref, comme beaucoup de gens sur Terra, Ergeïa vivait d’activités illégales. Un mince sourire s’étira sur les lèvres de la jeune femme.

« Toute celles qui rapportent de l’argent »

Répondit-elle. Il semblait évident que Sieg comprendrait ou elle voulait en venir. Non, Ergeïa n’était pas comme tout ces héros bourrés de valeurs et de principes qui suivaient leur quête qu’il s’étaient jurés d’accomplir depuis des années, par compassion ou par vengeance. Ergeïa se fichait de la noblesse de l’information, tant qu’elle était capable d’en tirer quelques pièces. Ergeïa grattait distraitement le fond de son assiette avec sa fourchette, portant de temps à autre une bouchée à ses lèvres.

10
L'auberge du Coucher de Lune / Re : En service (Libre)
« le: dimanche 14 juin 2009, 13:00:43 »
Un silence s’installa de nouveau. Visiblement Siegfried n’avait pas non plus pour première intention de parler en premier, cependant au bout de quelques secondes il prit la parole. Ergeïa se pencha sur la carte qu’il avait approchée d’elle et tenta immédiatement de situer des endroits connus de Nexus permis les artères de la ville. Ses yeux noirs parcourraient la carte aux rythmes des indications du serveur. Elle écoutait attentivement chaque explication qu’il lui donnait pour chacun de ses éventuels prochains lieux de travail. Il paraissait vouloir à tout prix trouver pour elle un lieu pleinement sécurisé et cela fit sourire la jeune femme.

Au premier abord il était difficile d’imaginer Ergeïa lever l’une de ses petites mains sur un homme, et encore moins tuer un être vivant. Cependant il fallait s’y faire, malgré sa petite carrure, Ergeïa savait se défendre et elle avait déjà fait ses preuves. La jeune femme regarda Sieg se rassoir à sa place et elle regarda son assiette, réfléchissant aux mots qu’elle devait faire sortir de sa bouche pour lui expliquer la situation. Elle prit une bouchée de nourriture tout en réfléchissant activement, puis elle leva les yeux vers lui.


« Merci pour les tuyaux, je met tout ça dans un coin de ma tête, mais j’avais plus vu l’auberge du Coucher de Lune comme un lieu intérimaire que comme un réel moyen de gagner des sous. Ici il suffit de tendre l’oreille pour trouver toute sorte de travail, très biens payés. Je ne cherche pas de boulot tranquille, cela ne me ressemble pas. Mais en travaillant ici je pourrais gagner un peu de sous tout en étant aux premières loges pour ce qui est des actualités. Je sais que ça semble difficile à croire. »

Conclut-elle. Elle avait essayé d’être la plus claire possible. Elle but une gorgée de sa boisson et n’osa pas réellement regarder Siegfried, n’étant pas sûre de l’impact de ses paroles, ni de leur clarté. Elle posa ses deux mains sur la table et les regarda distraitement en silence.

11
L'auberge du Coucher de Lune / Re : En service (Libre)
« le: samedi 13 juin 2009, 23:03:05 »
Le jeune homme posa une épée, visiblement de valeur, glissée dans un fourreau sur la table, près de lui. Ergeïa l’admira silencieusement, c’était une belle arme, sans aucun doute. La jeune femme se rendit bientôt compte que son mutisme pouvait être considéré comme impoli. D’ailleurs il intrigua visiblement Siegfried qui après un silence qui avait pris tout le temps nécessaire pour s’installer sur la table, lui assura avec une amabilité déconcertante qu’en gros il faisait ça avec plaisir.

Ergeïa but une gorgée pour hydrater sa gorge, qui était devenu rêche et piquante, comme à chaque fois qu’elle se sentait gênée. Puis elle inspira et décida d’agir avec politesse, et d’accepté cette délicate intension comme n’importe qui de normal. Elle gratifia le serveur d’un mince sourire.

« Je suis désolée. C’est que j’ai du mal à laisser autrui m’offrir quoique ce soit. Cependant je vous suis très reconnaissante évidement. »

Ergeïa se mordit la langue, elle s’embrouillait elle-même et il lui était impossible de mettre ses idées en places. Lorsqu’Ergeïa était gênée, contrairement à la plupart des gens, elle palissait au lieu de rougir. Comme si semblait faible lui semblait effrayant. Heureusement, son visage avait reprit des teintes plus ou moins normales et elle se saisit du morceau de pain posé dans son assiette et en coupa un morceau qu’elle mangea après avoir souhaité bon appétit au jeune homme.

Ergeïa mangeait toujours très lentement, prenant soin de mâcher plusieurs fois chaque morceau. Alors qu’elle mâchait, Siegfried lui avait déjà sortit une carte de ses affaires, et la dépliait sous ses yeux. La jeune femme avala son morceau de pain et mit une main sous son menton, regardant Sieg et attendant qu’il parle.

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L'auberge du Coucher de Lune / Re : En service (Libre)
« le: samedi 13 juin 2009, 20:34:17 »
L’écriture était un merveilleux moyen d’évasion. Le ciel était noir à présent et seule une petite applique verte dans laquelle brûlait une flamme, éclairait la table d’Ergeïa. Elle leva la tête en entendant une chaise glisser sur le sol, puis elle ferma son carnet et fit glisser ses affaires sur le côté. Ses yeux noirs s’agrandirent en apercevant deux assiettes et deux boissons se poser sur la table. Elle regarda Siegfried, avec un regard perplexe. Elle allait refuser évidement, mais il régnait sur le visage de ce garçon un sourire tellement sincère, qu’elle en fut incapable.

Et la nourriture sentait si bon que même son ventre était contre elle. « Si nous devons discuter, autant que ce soit avec l'estomac remplit. » commença le jeune homme avant de poursuivre : « Laissez moi également me présenter, par pur politesse, je me nomme Siegfried ». Un bref silence s’installa, durant lequel Ergeïa observa le serveur sans savoir comment lui exprimer sa reconnaissance. Elle finit par répondre :

« Merci beaucoup…Siegfried. »
Elle osa tendre sa main par-dessus la table en un geste poli : « Mon nom est Ergeïa. »

Maintenant qu’il était en face d’elle et à sa hauteur, Ergeïa avait tout loisir d’observer l’inconnu. Elle remarqua alors la couleur inhabituel de ses yeux, qui oscillait entre le bordeaux et le rouge incandescent, lorsque la lueur de l’applique zébrait sa pupille. Ce regard était particulièrement original, et assez fascinant même. La jeune femme finit par reposer sa main sur la table et elle resta muette, observant Siegfried dans un mutisme gêné. Ergeïa n’était pas du genre timide, mais lorsqu’on lui offrait quelque chose elle se sentait très vite mal à l’aise, sans de réelles raisons.

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L'auberge du Coucher de Lune / Re : En service (Libre)
« le: samedi 13 juin 2009, 19:58:53 »
Ergeïa resta muette devant la surprise de Siegfried. D’un côté c’était compréhensible, Après tout cette auberge avait une réputation spéciale, et les hommes avides de sexe y venaient volontiers. Cependant Ergeïa estimait qu’aujourd’hui elle était capable de se défendre. De plus c’était une jeune femme qui avait besoins d’action, et c’était précisément un lieu qui lui convenait. Elle sourit à la réplique du serveur. Si « bien mieux qu’ici » s’apparentait à un bordel, ça n’était pas la peine. Elle avait trop souffert de devoir coucher avec un homme qui ne lui faisait pas envie. Réitérer serait pire que tout.

Et s’il fallait renoncer à son indépendance, cela était inenvisageable. Il sembla réfléchir un instant mais bientôt Ergeïa entendit la voix tonitruante du patron traverser la salle, comme si elle voulait directement frapper Siegfried. Visiblement il n’aimait pas voir son personnel ne rien faire.  Ergeïa lui adressa un sourire désolé. « Je fini mon service dans une heure, si vous avez le temps d'attendre jusque là; je suis certain de pouvoir vous trouver bien mieux qu'ici. » La jeune femme acquiesça puis ajouta rapidement, avant qu’il ne tourne les talons :

« Pardonnez-moi… »

Elle s’en voulait un peu, c’était sa faute s’il s’était fait réprimandé.  Du coup elle avait accepté sa proposition par politesse. Après tout, peut être avait-il quelque chose de plus intéressant à lui proposer, et elle n’avait rien à perdre. Elle but une nouvelle gorgée de bière et reposa son verre, observant toujours le jeu des clients et des serveurs. Au bout de quelques minutes elle défit le cordon de sa cape et la retira de ses épaules. Laissant apparaître une simple tunique noire, dont les manches s’arrêtaient au niveau des coudes, avec laquelle elle avait associé un pantalon noir, assez près du corps et tout ce qu’il y avait de plus simple.

Bientôt elle sortit un carnet dans lequel se trouvaient des pages entières écrites et raturées. Elle commença à écrire à la suite, de la même écriture particulièrement petite et espacée. Elle écrivait en sirotant sa bière, et l’heure passa très vite.

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L'auberge du Coucher de Lune / Re : En service (Libre)
« le: samedi 13 juin 2009, 17:24:00 »
« Tous, je ne sais pas.
Pour ma part, je me contente de minimiser des dégâts qui pourraient être retenus sur ma paye... »
Répondit Siegfried à la question de la jeune femme.  Elle hocha la tête et lui adressa un mince sourire, à mi chemin entre la compassion et la simple sincérité. Visiblement le gérant avait un œil partout, et chaque raison était bonne pour récupéré des sous sur le dos des employés. Pli, le serveur lui demanda si elle avait commandé autre chose, ou si elle souhaitait le faire, Ergeïa fit non de la tête. Elle avait dans son sac de quoi se constituer un repas frugale, mais pas de quoi se payer un plat, malheureusement.

Et cela lui fit songer qu’elle avait réellement besoins de sous. La jeune femme parut hésiter. Elle regarda de nouveau le fond de son verre, puis Siegfried, puis, de peur qu’il ne s’en aille, (car il n’avait très certainement, pas que ça à faire, étant donné qu’il était en plein service), Ergeïa se lança :

«  Enfaite si. Enfin, c’est plus d’un renseignement qu’il s’agit.
Est-ce que vous savez s’il manque du personnel ici ? Je commence à avoir besoins d’argent »

Dit-elle un peu gênée. En réalité, elle n’avait jamais réellement retravaillé depuis son esclavage. Elle avait accomplis des missions, servie de tueurs à gage, mais elle n’avait pas repris de réels emplois, d’emplois stable. Elle avait vécu en tuant, en espionnant ou en pillant parfois. Aujourd’hui elle se disait que travailler à Nexus était stratégique. Ici, à l’Auberge du Coucher de Lune, les rumeurs allaient et venaient, les quêtes fusaient. Si elle avait la chance d’y travailler, elle n’aurait qu’à tendre le bras pour obtenir une mission.

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L'auberge du Coucher de Lune / Re : En service (Libre)
« le: samedi 13 juin 2009, 15:00:51 »
Ergeïa fumait sa cigarette en silence, regardant toujours distraitement par la fenêtre, mais bientôt elle entendit un bruit de chaise que l’on pousse violement. C’était un homme qui s’était levé brutalement de la sienne, faisant face à un autre. Les deux semblaient être en conflits, et le plus imposant des deux semblait vraiment remonté. Un jeune homme, visiblement un serveur s’interposa entre les deux brutes, expliquant au plus nerveux de se calmer. Ergeïa observait la scène en fumant sa cigarette. Ergeïa se crispa lorsque le colosse se jeta sur le serveur. Evidement ils n’avaient pas la même carrure. Elle chercha autour d’elle quelque chose pour arrêter le conflit, mais lorsqu’elle regarda de nouveau la scène, le colosse était à terre.


Ergeïa regardait taciturne le Serveur s’éloigner. Comment avait-il fait ? Il n’était peut être tout simplement pas humain. Il s’approcha bientôt de sa table et Ergeïa le remercia lorsqu’il posa devant elle une chope, remplie d’un liquide mordoré. Elle leva les yeux vers le serveur. Il paraissait fatigué. Réellement. A croire qu’il avait travaillé sans interruption toute la journée et à un rythme inhumain. Ergeïa fouilla dans les grandes poches de sa cape et réussit à rassembler un maigre pourboire. Regrettant de ne pouvoir lui donner plus, elle laissa tout de même tomber en cliquetant, les quelques pièces sur son plateau, avant de s’adresser à lui, emportée par sa curiosité :
« Est-ce que tout les serveurs s’emploient à maîtriser ce genre de brute ? »

Elle baissa les yeux dans son verre, puis les risqua de nouveau vers le jeune homme. Cela l’intriguait. Si tous les serveurs étaient contraints de le faire cela était évidement dangereux pour eux. Si ça n’était pas le cas, ceux qui le faisaient devaient être primés, ou alors ça n’était pas juste. Cependant il ne sembla pas à Ergeïa que le patron ait été intéressé par ce qui venait de se passer. De toute manière elle n’avait pas réellement son mot à dire. Elle but une gorgée de bière, puis écrasa sa cigarette dans un cendrier, quelques secondes plus tard.

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