Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Siegfried Rosenfeld

Pages: [1] 2 3 ... 6
1
Oui, il put bien voir les oreilles d'Onyx jouer d'agacement, et, à son regard, il sentait qu'elle allait lui répondre et surtout lui prendre la tête. Ça ne tarda pas du tout d'ailleurs, la demoiselle venant à retourner tout cela contre lui avant de joueur sur la coïncidence de l'avoir retrouver dans le meme bar, juste à temps pour lui éviter bien des ennuis

" Bah ouiiiii et je t'aurais sauvé les miches de l’autre idiots hein ? Alors que ça m'aurait donné une occasion de ne plus avoir à me prendre la tête avec tes jérémiades si ça avait été le cas ?"

Oui, s'il avait été du culte, pourquoi l'avoir prévenu ? Pourquoi l'avoir sauvé de ce risque, meme si, techniquement, ils allaient se retrouver quand meme à l'affronter, mais là, à deux. Mais sous la suite, il ne pouvait pas se mentir, Onyx avait réellement un certain charme, sous sa voix chantante, son regard de louve et sa démarche féline, elle lui faisait un petit effet, ça c'était sur, malgré le fait qu'elle se foutait de sa gueule. Alors qu'elle laissait ses mains jouer sur sa cape en lui répondant sur ce qu'elle allait devoir faire, ce fut à son tour de ce jouer d'elle et de se venger. Un de ses mains glissa de sous sa cape, venant à passer sur la nuque de la terranide, son pouce frôlant sa mâchoire avant de lui répondre dans un chaud murmure

" Qu'elle rêve que de ne pas avoir a constamment argumenter avec toi et que tu m'écoute ne serait-ce qu'un instant sans chercher la petite bête. hein ? "

Oui, elle pouvait prendre une voix mielleuse, mais lui aussi savait le faire alors que son regard soutenait le sien sans sourciller. Puis, sa main recula, glissant tel un voile de soie sur sa peau avant de soupirer sous ses derniers mots, répondant


" C'est partie pour les emmerdes."

Réajustant sa capuche sur sa tête, il se mit donc à reprendre leur route, marchant silencieusement dans les rues nocturne de la ville, les pas claquant sur les paver, résonnant contre les bâtisses. Une fois devant la porte, Siegfried jouait de sa mâchoire, l'aspect qu'elle avait ne lui donnant aucunement confiance en tout cela, mais, il n'en avait pas vraiment le choix, alors. Il frappa une première fois sur la porte, laissant ses phalanges rencontrer le bois et le métal de cette porte qui, sous son contact, lui laissa bien deviner que ce n'était pas du bois de cagette. la, sous un frottement de bois contre métal, la petite ouverture d la porte laissa apparaître de la lumière, mais, seul un silence en sorti

" Klaatu barada nikto. "

Oui, il s'était bien-sur attendu à devoir sortir un mot de passe, alors, dans tout les documents que Géorgie avait entreposé, Siegfried avait bien fureté pour le trouver. Ce ne fut pas difficile en vrai, car cette idiot avait du mal à le retenir, alors il l'avait noté plusieurs fois, sûrement pour essayer de le mémoriser ainsi. Après quelques secondes, un silence plus pesant prit place, aucun bruit, aucune réponse, aucun mouvement, ce qu'il n'aimait pas du tout, jusqu'à ce que la porte finisse par s'ouvrir, laissant apparaître un escalier a peine éclairé par des torches. Là, il se tourna, regardant Onyx en attrapant son bras, suffisamment ferme pour faire croire qu'il la contrôlait, mais pas suffisamment pour lui faire mal, à part si la demoiselle était douillette ou était une chieuse, ce qui n'était pas gagné de ce coté là, mais, elle ne pourrait pas s'en plaindre maintenant, sinon tout risquait de capoter et de les mettre en grand danger. C'était donc le moment, celui de rentrer dans la gueule du diable, sans savoir comment ils allaient en ressortir, si seulement ils allaient en ressortir.

2
La petite touche d'humour de la demoiselle était passé un peu à la trappe, bon, pas que ça n'est pas eut d'impact, mais que, au vu du merdier, pour Siegfried, ça n'avais pas assez de poids pour le faire rire. Soupirant donc un peu, ils avaient reprit leur marche, cette fois, en direction de la petite fête.

La marche fut calme, silencieuse alors qu'ils traversaient les quartier, les pâté d'habitation, revenant à des secteurs moins glorieux, plus coupe gorge dans un silence presque religieux. L'exorciste, lui était plongé dans ses pensées, se répétant différente litanie, rituel, imaginant différente situation afin d'augmenter leur chance de s'en sortir dans toute cette mission suicide. Puis, au bout d'une vingtaine de minute, la louve reprit la parole, se rapprochant de lui en le tirant de ses pensées qui lui jeta un regard noir.

Sa question ? Est ce qu'ils ne devraient pas s’arrêter cinq minutes dans une ruelle avant d'arriver à leur destination pour s'habiller en conséquence. La réponse était d'une logique déconcertante et, il en venait à se demander pourquoi elle avait posé une question aussi évidente, avant de se dire que, peut être elle était trop stressé et avait besoin de sortir quelque chose pour échapper à cela.

" Bien-sur qu'on va faire ça, t'imagine quand même pas que l'on va débarquer devant leur entrée en disant " oh mince, attendait je n'ai pas mis la tenue ? " Surtout que je ne pense pas avoir la tête d'un membre connu de leur culte."

Dit-il simplement, un ton à la limite du froid, essayant de ne pas trop prendre un ton de connard. La marche reprit ensuite, jusqu'à arriver non loin du lieu de rendez-vous. Là, comme prévu, il bifurqua pour aller dans une ruelle plus étroite, laissant moins de visibilité à qui que ce soit pour les voir tandis qu'il enfilait la longue cape sur ses épaules. A ce moment là, il entendait de nouveau la miss lui poser des question, lui demandant comment il pensait qu'ils devaient agir, leur comportement etc. C’était une question simple, mais celle-ci n'étais pas bête, s'accorder leur violon avant d'entrée en scène était important, alors, tandis qu'il attachait correctement la cape,, il lui répondit

" Oh bah, je vais prendre un ton de connard séducteur, tandis que toi, étant donné que tu es sensé avoir été drogué à mon avis, donc tu devra jouer les femmes obéissante à souhait."

Oh oui, ce détail l'amusait bien, savoir que, elle serait obligé de suivre le moindre de ses mots sans pouvoir lui casser les bonbon, pester ou le contredire sans les mettre dans le pétrin, cela lui plaisait bien et un fin sourire sur son visage le trahissait à cet instant. Puis, une fois ce point éclaircit, il attrapa le bord de la capuche pour venir se couvrir la tête et cacher la majorité de son visage

" Si tu n'a plus de question, il est tempes d'entrée en scène. Donc .... les dames d'abord."

3
Oui, sa remarque et question était plutot pertinente, il devait bien l'avouer. Oui, cacher cette seringue alors qu'elle risquait de finir carrément à poil se disait-il. il y reflechit un instant en se frottant la barbe au niveau du menton, son regard se portant sur les dites bottine de la demoiselle. Elle devra surement les enlever à un moment où à un autre, mais, avec un peu de chance, ils arriveront à trouver un instant de faiblesse, une faille dans ce rituel pour les arreter avant d'en arriver là.

" Ca ira jusqu'à unn certains moment, mais bon, si on en arrive à la, on sera déja bien dans la merde."

 dit-il franchement avant de jouer de sa mâchoire, sentant sa bouche trop pâteuse à son gout à cause de la sieste, lâchant la boite une fois qu'elle l'avait bien en main. Sous sa seconde question, la réflexion ne dura même pas une seconde,venant à lui répondre tout naturellement

" Non, on les laisse encore ici, ça va juste nous gener pour travailler."

Se déplacer avec un gros tas de document, voir se battre, ça n'allait que leur rajouter des problèmes et des chances de finir mort avant le levé du matin, voir pire, alors, il valait mieux les laisser la se disait-il, tant qu'ils le pouvaient. Il laissa donc à la louve le temps de recoudre de nouveau son canapé, la voyant ressortir de derrière en se mettant à lui demander s'il souhaitait boire quelques chose.

" Non, j'ai tout ce qu'il faut sure moi."

Puis, sans perdre de temps, il marcha jusqu'à la porte de l'appartement ,venant à coller son oreille contre, juste au cas où, mais rien, pas un bruit, alors, il ouvrit la porte en première avant d'attendre qu'elle ne le suive. Porte fermé à clef, pieds en dehors de l'immeuble, pas besoin de parler, ils savaient déjà où aller, alors, les pas s’emboîtèrent les uns après les autres pour retourner au quartier des joaillier. Mais contrairement à tout à l'heure, cette marche se fit plus tendu, que ce soit sous les danger de la nuit, que sur la possibilité d’être attrapé par ceux qu'ils devaient surprendre si l'autre idiot avait réussi à se sauver et à les prévenir. Donc le regard de Siegfried furetait de gauche à droite dans les rues et ruelles sombre, dans les alcôves et les recoins plongé dans les ténèbres, gardant son bras droit caché à l’intérieur de son manteau, la cape posé sur son avant bras, caché par son vêtement, mais surtout prêt à sortir son arme au cas où.

Sous ce silence assourdissant de la nuit et sous la tension de l'instant, il avait fini par enfin arriver jusqu'à la bijouterie. Comme prévu, tout était éteint, aucune trace de vie aux alentours, aucune lumière meme dans les bâtiments adjacent ou aux étages supérieur. Siegfried se rapprocha donc de la porte, mais, au moment de la pousser, il put voir qu'un mot traîné, coincé entre le bois et la vitre de la porte. Le prenant un main et l'ouvrant d'un mouvement de ses doigts de la dite main, ce qui s'y trouvait dedans ne le surpris guère, meme si, bien-sur, il ne put se retenir de râler, sinon ce n'était pas drôle.

Il froissa dans sa main la feuille de papier avant de la laisser tomber par terre, se retournant vers Onyx avec un ton des plus fatigué

" Bon .... comme prévu, ce n'est pas près avant demain. Donc on va devoir faire sans."

Et sans en dire plus, il se remit à marcher en direction des quartiers où était sensé se trouver la petite fête, la mâchoire serré, grommelant dans sa tête en pensant au chance de réussite supplémentaire qui s'envolait à l'instant.


4
La seule réponse qu'elle eut à sa bonne sieste fut un vieux grognement étouffé alors que ses yeux se fermait. Et oui, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour finir transporter au pays des rêves et du sommeil, s'endormant comme une souche dans le canapé. Chance pour la demoiselle il n'était pas du genre à ronfler, alors, elle put tranquillement s'occuper à lire sans gêne ni distraction de sa part.

La sieste fut agréable, reposante, mais, courte aussi, trop courte à son goût, se retrouvant à ouvrir les paupières, le corps tendu, la main partant directement le long de son manteau, prêt à en décrocher sa masse caché à l’intérieur. Mais non, pas besoin, c'était juste la louve qui l'emmerdait en le réveillant. Tournant sa tête, il pouvait très bien s'apercevoir de son plaisir que de le tirer loin, très loin du meilleure moment de sa journée tout en se foutant de sa gueule, mais malgré ça, dans sa démarche douce et féline, dans sa tenue et sa voix, dans son sourire de chieuse, il la trouvait tout de meme sexy.

" Ouai ouai, ça va, j'ai entendu "

Se mit il donc à râler en réponse, se redressant sur le canapé qui, lui, lui donnait l'impression de l'entourer de bras invisible, ne pouvant pas le lâcher, voulant rester ainsi encore quelques heures, mais non, c'était un amour impossible qu'ils avaient là. Assis dessus, il se frotta le visage pour sortir du brouillard de sommeil,  entendant toujours la chieuse au grandes oreilles se foutre de lui avec sa douce voix joueuse.

" Ça aurait été mieux avec quelques heures en plus."

Dit-il dans un premier temps, se relevant par la suite du canapé sans vraiment chercher à savoir si ses vêtements était bien en place ou peu froisser, ses cheveux décoiffé, mais, pareil, il s’en ficait, la marque de l'oreiller encore imprimé sur son visage lui offrait des cicatrice éphémère supplémentaire. Clignant un instant du regard en observant autour de lui, pouvant bien voir que, au moins elle avait respecté sa demande, la pièce se retrouvant complètement envahi par les ténèbres de la nuit, seulement repoussé par une simple bougie posé près de la bibliothèque, il dit alors en la regardant de nouveau

" Bon en il est temps de se préparer alors. "

Poussant alors le canapé, se baissant derrière pour venir y faire sauter les couture afin de récupérer la cape de culte, ainsi que la boite de seringue. La cape posé sur son avoir bras, plié sur sa moitié dessus, il tendis ensuite la boite de seringue vers elle en lui disant

" Vaux mieux que tu l'es sur toi au cas où, planque la bien."

Après ça, ils était autant près qu'il le pouvait pour retourner au joaillier et, pour enfin affronter leur mission suicide.


5
Le choix fait  de prendre un petit somme pour être en forme pour ce soir, ils sortirent donc du restaurant, marchant tranquillement jusqu'à son appartement, ce qui ne fut pas bien long au vue de la distance entre le dit restaurant et l'appartement. tout deux avaient vérifié la rue en marchant au cas où, mais, toujours rien à l'horizon, ce qu'il l'arrangeait bien, ayant vraiment la flemme d'avoir à se battre, en tout cas pour le moment.

Il se retenu de bailler derrière elle tandis qu'elle déverrouillait la porte de son appartement, venant à jeter un coups d’œil rapide de gauche à droite dans le couloir de l’immeuble au cas où, puis, à refaire de meme à l’intérieur à l'opposé de la où elle regardait, penchant la tête, analysant le placement des objets, des livres, du mobilier, mais, en faisant un tour rapide, rien ne lui semblait avoir changé. Et là, il ne put se retenir de bailler sans le cacher, tournant sa tête vers la fin en entendant la louve lui demander quand est ce qu'il souhaitait qu'elle le réveil. Il souffla un peu du nez d'amusement en venant s'asseoir sur le canapé lui répondant

" Ma première réponse aurait été jamais, mais je crois que je me ferais tirer par la peau du cul si je choisissais ça. Alors, on va partir pour quand il fera bien nuit noir dehors."

Et, à peine eut-il donné sa réponse qu'il put la voir repartir en direction de sa bibliothèque, lui tournant le dos en attrapant un livre. Il souriait d'amusement à cet instant à la voir posé sur cet énorme coussin devant les meubles, lui donnant presque envie de venir lui caresser la tête sous cette vision, mais, il chassa bien vite ses pensées.  Se penchant du canapé, il se mit à retirer ses chaussures, les laissant posé devant,  puis s'allongea tranquillement, jambe détendu et croisé, posé l'une sur l'autre, croisant les bras sur son torse avant de fermer les yeux et  de s'éteindre presque immédiatement .

6
Son sourire se fit fin, se retenant de rire en la voyant s'emporter si facilement sur sa pic, que ce soit  envers son canapé, mais surtout son " retard " à la réunion du conclave. Oui, il se marrait beaucoup à cet instant, sa voix exaspéré l'amusant beaucoup trop d'ailleurs. Mais, bien-sur, cela ne dura qu'un instant, revenant à la conversation après un lourd soupire de la part de la louve, venant lui indiquer que, s'il le décidait il pouvait très bien remonter chez elle pour se reposer pendant le temps qu'il leur restait à attendre.

Il hésitait quelques peu, se demandant si cela ne risquait pas d’être contre-productif en fin de compte, jusqu'à ce que la mamie revienne pour s’enquérir de savoir si le repas s'était fini comme il se devait et si son marie avait de nouveau eut la main lourde, venant meme à offrir les boissons au passage, laissant voir à Siegfried que oui, elle avait vraiment plus au petit vieux qui tenaient ce restaurant.

Lorsqu'elle repartie, il la regardait à nouveau, un sourire taquin en coin de lèvres

" Tu leur a tapé dans l’œil dit donc "

Lui dit-il pour l’embêter un peu, avant que Madame Bondeni ne revienne jusqu'à eux avec l'addition. Là, sans dire un mot et sans consulter la louve, il sorti sa bourse en baillant, venant à l'ouvrir pour déposer assez d'argent pour payer les deux repas dans la coupelle ou était posé l'addition, finissant par se relever en refermant et rangeant sa bourse, disant en meme temps à la demoiselle qui le questionnait de nouveau à propos de la sieste

" Allez,, je me laisse tenter par la sieste."

Et, sur ses mots, il ne perdit pas plus de temps, marchant déjà en direction de la sortie du restaurant, passant le pas de la porte en venant prendre une bouffée d’air, jetant un nouveau coup d’œil autour d’eux.

7
Après ce fou rire inédit aux yeux de l’exorciste, un silence reprit place dans la pièce, dans le restaurant, meme les cuisines paraissaient calme, les autres personnes présent dans la salle étant presque toute parti et le reste presque sans dire un mots. Siegfried regardait de nouveau dehors où le monde se faisait plus calme au fur et à mesure que la journée se terminait, rentrant chez eux, faisant leur dernières courses.

Là, il se mit à soupirer lentement, comme cherchant à se détendre, puis, il entendit la louve reprendre la parole. Il leur restait encore un peu de temps faisait-elle remarquer, demandant ce qu'il faisait maintenant qu'ils avaient fini leur repas. Sur ses mots, il jeta un regard sur leur pichet de bière presque fini, se disant que s'il n'était pas en mission, il en aurait bien recommander un autre, mais à la place, il se dit que c'était une mauvaise idée. Alors, il se mit à bailler d'un coup, ne s'en cachant pas avant de venir s'étirer, puis, de lui répondre le fond de sa pensée

" Franchement, si ce n'était que moi je me ferais bien une petite sieste."

Un peu de fatigue de la matinée, de toute la réflexion et le stress de la journée ainsi que de ce qui les attendaient, tout cela mélangeait lui donnait envie de fermer les yeux un instant, surtout saupoudré d'alcool et d'un bon repas qui calait bien l’estomac.

" C'est la faute de ton foutu canapé ça, j'en suis sure, quelle idée d'acheter un truc pareil et après tu t’étonne de ne pas arriver à temps au conclave." 

Dit-il autant pour la taquiner que pour s'amuser. Mais sinon, non, il n'avait aucune idée de quoi faire en attendant que la nuit ce soit suffisamment installé pour eux, il était bien trop tôt pour aller chez le joaillier d'ailleurs.

8
On disais souvent qu'un silence valait plus que des mots et, dans son cas, lorsqu'elle demanda si c'était  bien pour cela qu'il n'avait pas le choix, ce fut donc sa seul réponse, venant à changer de sujet rapidement après cela, repassant sur la jeune femme comme point de conversation ou plutôt le manque de quelque chose apparemment.

De par son coté franc et brut de décoffrage, un peu boosté à l'alcool, il lui avait donc donné son point de vue sur ce qu'elle pensait d'avoir une queue. Pour lui,  ça ne servait a rien, peut être à être caresser si  le pelage était doux, mais rien de plus qu'une contrainte supplémentaire, surtout si elle n'arrivait pas déjà à  contrôler ses oreilles, alors  une queue, pour en avoir vu  un certain nombre, il savait que cela serait mission impossible pour elle.

Et sous sa réponse,  il put bien voir la surprise dans le regard de la louve, mais aussi un scintillement,  léger, presque invisible, mais grandissant doucement, le scintillement d'un larme naissant sur ses yeux. Il  ne savait pas pourquoi, mais il  eut un point douloureux au torse en la  voyant ainsi, avant d’être surprise lorsqu'elle se mit, d'un coup sans prévenir, éclater de rire. Son rire sonnait vrai, sincère,  libre, résonnant dans le restaurant sans obstacle, laissant à Siegfried le temps d'apercevoir ses lèvres étiré sous son rire, ses dents blanc et belles, ses canines acéré, se disant,  une fraction de seconde " Elle a vraiment un sourire envoûtant "

Quand elle lui dit qu'elle n'avait jamais pensé à tout cela, il s'en était un peu douté, venant ajouter

" Non puis, tu es déjà facile à lire avec tes oreilles, alors avec une queue en prime, tu serais vraiment une très mauvaise menteuse, en plus, c'est un coup à te faire attraper plus facilement aussi."

Mais, quand elle eut fini de reprendre son souffle, il grimaça du coin de la bouche en entendant la fin, ce sanglot masqué, ce sont qu'il avait entendu bien des fois et qu'il détestait. Mais, ce fut ensuite lui qui fut gêné, car elle se mit à lui dire que  personne ne lui avait jamais dit qu'elle était bien comme elle était, suivi d'un remerciement. Les deux phrases le gênait, le fait d’être remercié, ne sachant pas quoi dire ou faire sous ses mots, regardant ailleurs à cet instant, haussant les épaules dans une légère grimace de sa bouche montrant son inconfort

" Tu devrais finir de manger, ça va être froid et en plus ça t’évitera de redire des bêtise. "

Trouva t-il a dire comme excuse pour chasser cela.


9
L'absolution, voila un mot exact qui lui fit perdre son sourire d'un coup, comme fauché. Son regard restait sur elle, posé, le dos bien contre le dossier de sa chaise, les mains sur la table avant de répondre simplement

" Bingo "

D'un ton sans amusement ou joie. Mais, bien vite, il eut autre choses sur quoi parler, venant craquer et prendre une nouvelle rasade d'alcool sous cet instant, laissant un soupire de plaisir se faire entendre après trois ou quatre gorgée d'affilé avant de reposer sa choppe sur la table tandis qu'il parlait de ce qui manquait à la louve. Et donc, c'était viens sa queue ou plutôt le manque de queue le problème qu'elle avait. Siegfried ne dit rien pendant un instant, la regardant de haut en bas, voyant qu'elle n'était pas bien, ça, ça crevait les yeux, mais il lui répondit encore une fois ce qui lui passait par la tete, sans aucun filtre

" Et alors ? Tu es canon comme ça, une queue en plus ça ne changerait rien. Je pense que c'est même plus un nid à emmerdes "

Puis, il se tourna de trois quart lui aussi, mettant sa main dans son dos comme pour imiter une queue bougeant, venant ajouter

" Non vraiment, c'est truc là sur des animaux ça fout déjà le bordel, ça tape dans tout ce qui bouge ou ne bouge pas, ça ramasse la poussière et déjà que nous avec nos vêtement on choppe des puces quand on dort dans des auberge miteuse, alors avec ça, tu galèrerait encore plus. "

Il arreta ensuite son petit jeu pour se rasseoir correctement, croisant les bras avachi dans sa chaise pour venir conclure

" T'es très bien comme tu es, que les autres aillent se faire foutre."

10
Oh la voir s'emportait comme elle le faisait à cet instant le faisait beaucoup rire intérieurement, souriant presque aux éclats sous ses mots, un peu surprise tout de même de sa première réponses, les curé n'était pas réputé pour leur silence entre membre de l'église. Puis, il se mit à dire ce qu'elle avait put entendre, voyant qu'elle restait agrippé à le surnommer chéri, ce qui l'amusait aussi d'ailleurs, se demandant bien pourquoi.

Elle était bien agacé, ça il pouvait le voir et, il la trouvait ravissante sous cette émotion, cette électricité dans son regard, venant se secouer mentalement la tête en se disant qu'il avait vraiment du trop boire pour penser à ça. Mais, son sourire s’agrandit quand elle proposa ce qu'elle pensait être juste sous ce que le conclave avait dit, puis, il lui répondit

" Oh non, ça ce n'est qu'un petit bout de ce qu'ils ont dit. "


Venant donc lui dire que non, elle n'avait pas bien entendu, titillant un peu l'égo de la demoiselle aux grandes oreilles avant de venir lui demander la raison de pourquoi elle disait être incomplète. Là il pouvait la voir tendu, silencieuse, son regard écarlate planté dans le sien, avant de l'écouter lui demander s'il ne trouvait pas qu'il lui manquait quelque chose. Il la regardait donc, enfin, son visage à cet instant. Des lèvres belle à voler, un regard attirant, une peau blanche qui lui laissait penser être douce comme la soie, des cheveux qui avait l'air lisse, qui devait sentir bon. Non, il secoua de nouveau sa tête en se disant qu'il fallait qu'il arrête de boire pour aujourd’hui sinon il allait avoir des emmerdes.

Alors, la, se concentrant un peu mieux, il la voyait jouer de son regard, puis de sa tête, ne comprenant toujours pas avant qu'elle ne se tourne de trois quart tout en regardant le bas de son dos. Sans aucun scrupule, il se pencha sur le coté, la regard et regardant donc le bas de son dos en l'écoutant. Son visage resta un peu bête sous ce qu'elle lui disait, ne trouvant pas qu'il lui manquait quelque chose, venant alors lui dire sans détour

" Bah, tu a un joli fessier, donc je ne vois pas ce qui te manque. T'es sensé avoir une queue c'est ça ? "

Dit-il au hasard, se disant peut être que c'était ça en regardant de nouveau son visage alors qu'il avait laissé s’échapper sa première phrase sans pouvoir la retenir.

11
Et voila, il l'avait eut encore une fois. Peut être que oui, peut être que  les grand parents voulait la caser avec l'un de leur petits fils, mais il ne le pensait pas  vraiment, mais en tout cas, sa réponse l'avait bien amusé. Mais, tout cela fut assez balayé par les phrases qu'elle  sortit après, ne lui plaisant pas  du tout et attirant beaucoup trop  son  attention sur elle. Alors, quand elle lui répondit  sur sa question au fait d’être une aberration, il se mit d'autant plus à froncer le regard.

Ohhhh, est ce que ce qu'il pensait être une blague de son propre cerveau était vrai ? Est ce que la belle louve était de sang bleu ? Et de quoi parlait-elle d’être incomplète ? Beaucoup trop de question et pas assez de réponse, mais, avant qu'il ne put reprendre, la demoiselle avait à peine engloutis avec hargne un morceau de viande qu'elle lui retourna une question, venant lui demander pourquoi il n'avait pas le choix d’être exorciste.

Il releva un sourcil à ses mots, un peu surpris, affalé dans sa chaise en venant prendre une gorgée de bière, lui répondant d'abord

" Tu ne sais vraiment rien de moi ? Pourtant il  suffit de demander au premier cureton venue pour savoir ce qu'ils pense de moi, savoir ce que je suis et pourtant tu ne le sais pas."

Là, un léger sourire revint sur son visage avant de reprendre en se penchant vers elle

" La belle louve, l'exorciste Svart, la fierté de l'église au grandes oreilles n'a meme pas été foutu d'entendre ce que le conclave à put lui rétorquer pendant leur échange."

Oh ça, il savait qu'il avait marqué un point à cet instant et cela lui plaisait beaucoup, mais, il reprit un sérieux froid, désagréable.

" Parce que je n'ai pas le choix, enfin si, mais entre choisir la peste et le choléra."

Non, ses choix restaient tous des plus merdique dans sa vie. Mais, encore une fois, il ne lui laissa pas le temps de reprendre, de ne pas se contenter de sa réponse, venant lui, reprendre la main, tel un duel entre les deux exorciste

" Quel lignée. En quoi tu es incomplète ? "

12
Les petits vieux étaient donc assez curieux de la belle louve, mais pas sur le plan professionnel, cela l'amusa pas mal, venant réagir entre ses deux réponses

" Peut être pour te caser avec l'un de leur petit fils."

La cherchant clairement derrière ses mots tout en reprenant son repas, venant enfin à goûter les pattes et les champignon grillé qu'il trouva délicieux tout en gardant ses oreilles bien tendu pour l'écouter. Et là, ses mots vinrent le piquer, l’énerver meme, faisant bien disparaître à nouveau son sourire. Une porte poise, OK, ça il était d'accord vu l'emmerdeuse qu'elle était, mais, pourquoi une aberration ? Son regard s'était relevé, plus froid, sévère. Bien-sur, elle reprit rapidement en venant lui demander sa raison à lui de faire le pire boulot au monde, à quoi il répondit purement et simplement

" Parce que je n'en ais pas le choix."

Oui, aucun choix ne lui était donné depuis toujours et, ce n'était toujours pas aujourd’hui qu'il en avait, il ne pouvait pas s'enfuir, il pouvait certes changer de métier au seins de l’église, mais, son travail serait sûrement encore pire, et son temps de pénitence augmenté, car les haut placé de l'église le verrait allé dans un travail moins dangereux et donc moins  purificateur. Alors, avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, il lui demanda ce qui lui était resté en travers de la gorge

" En quoi est tu une aberration ? "


Direct, franc, il s'en fichait si cela la mettait mal à l'aise, elle pouvait très bien lui dire d'aller se faire foutre et ne pas y répondre, il s'en contenterait, mais au moins il l'aurait demandé.

13
Son sourire s'étira d'amusement de savoir qu'elle connaissait au moins le vieil adage sur la confiture, au moins, elle était un peu moins sainte ni touche de ce coté là. Mais, il ne pouvait s’empêcher de la regarder réagir, d'observer ses mimiques et surtout de la voir gêner à ne plus savoir quoi dire, ce qui était une première à ses yeux, se disant qu'il ne fallait vraiment pas qu'il oublie ce point là d'ailleurs.

Alors, en guise de victoire, il finit une nouvelle choppe de bière avant de recevoir de nouveau la visite de la vieille dame pour leur repas, pouvant attaquer le plat de résistance avec faim. Les brochettes se retrouvait rapidement assaillit par les coups de dents rapide dans cette viande cuite comme il l'aime et délicieusement assaisonné, ne se préoccupant pas du reste du plat pour le moment. Puis, sa curiosité réussi à dépasser sa faim, venant alors poser une question qui trottait dans sa tête, d’où venait la louve ?

Bien-sur il n'allait pas le demander directement, sinon ce serait trop facile, alors le reste des informations que sa question lui apporterait ne ferait que nourrir sa réflexion et sûrement ajouter d'autre question. Ce qu'elle lui dit restait dans ce qu'il avait lu de son dossier, en tout cas les lignes pour les petits boulot. Le reste, il n'aimait pas vraiment l'entendre et cela se vit sur son visage, son sourire disparaissant pour quelque chose de plus sombre, plus dégoûté. Non, l'esclavage n'était pas sa tasse de thé, il avait déjà vu des amis à lui enfant se retrouver embarquer dans ce genre de choses et, il ne les avait jamais revu après ça, mais il savait que ce n'était pas pour de plus beaux horizon. Pour ce qui est des Terranides, il s'en tamponnait royalement, écaille, ailes de chauve souris, ou meme oreilles de loups, c'était du pareil au meme avec les humains ou les autres espèces, tous peuvent être une belle bande de con, comme pouvait ne pas le faire chier.

Mais il trouvait ironique sa phrase, le fait qu'elle soit venue dans cette ville pour ne plus être enquiquiner, trouvant que c'était plutôt raté de ce coté là. Bien-sur, la demoiselle au grandes oreilles lui retourna la question à sa façon. Il hocha alors la tête un instant, puis lui répondit après une gorgée d'alcool.

" Pure déjection des ruelles de cette ville."


Dit-il simplement, car, c'était ce qu'il pensait être. Abandonné à la naissance, jamais désiré par qui que ce soit à par pour le profit, aucun mot doux à son encontre, comme ce que l'on jetais dans le caniveau en fin de journée ou ce que jetteraient sûrement le vieux couple quand ils auront fini leur travail.

" Pourquoi exorciste ? "

Il releva son regard de son assiette vers elle à cet instant, un air sérieux, mais toujours curieux, ne lui laissant pas répondre avant d'avoir ajouté

" De tout les jobs de merde possible dans cet ville et meme dans ce royaume voir plus loin, pourquoi celui qui peut t'apporter des emmerdes alors que tu veux les fuir ? Pourquoi celui où tu sera autant stigmatisé par ce que tu fais que par ce que tu es ? "

Puis, il tourna sa tête un instant derrière lui, regardant en direction des cuisines, voyant que tout le petit monde était bien la bas avant de dire

" Il sont au courant de ton boulot ? "

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Oh qu'il savourait complètement de la voir si désemparé en cet instant, ce regard qu'elle avait, ses mignonnes longues oreilles qui avait l'air de chercher quelques choses, trahissant ses réflexions à cet instant, un vrai délice se disait-il. Son sourire ne le quittait pas alors qu'il la regardait, l'admirait meme, bien qu'il se défendrait totalement de cela si l'on le lui disait. Donc oui, intérieurement il riait de la voir avec sa bouche en cul de poule habituel de quand elle était agacé, de  ses oreilles qui remuait par intermittence sur le sommet de sa tête, bien dressé, se demandant si elle était douce à  caresser et ce que cela lui ferait.

Mais là, son sourire se mit à se rétrécir un peu, secouant discrètement sa tête sous cette pensée tout en regardant sa choppe, se disant qu'elle devait vraiment bien attaqué  cette bière pour qu'il pense à cela avec une emmerdeuse pareil et puis, de toute façon, s'il le lui demandait il savait qu'il se prendrait une grande claque dans la gueule. Mais bref, heureusement, cette dernière n’avait pas l'air d'avoir relevé le compliment qu'il avait fait, sinon il aurait du trouver un subterfuge pour qu'elle lui lâche la grappe et éviter que les chevilles de la louve ne la fasse s'envoler.

Elle se mit à rebondir sur sa phrase sur les hormones, disant que les jeunes filles de son age serait plus enclin à le dé-chambouler de ses hormones, ce qui lui fit retrouver un franc sourire en la regardant en coin, venant lui dire

" Toi tu ne connais pas le vieille adage."

Venant ensuite à regarder dehors de nouveau pour surveiller, mais, toujours rien ne se passait à part la vie habituel des rues, tandis qu'il s'attendait à ce que la louve ne comprenne pas ce qu'il venait de dire. Mais, juste après, la vieille dame fit son retour, amenant le plat de résistance de leur repas qui sentait déjà très bon, meme avant qu'il ne soit posé sur la table. Encore une fois il ne fit que hocher la tête, tandis qu'en cuisine, cela se chamaillait toujours, entendant bien le caractère trempé du grand père, s'amusant beaucoup de cela. Il se demanda un instant comment il serait si, un jour, il se retrouvait à leur age, sûrement comme le vieux cuistot, ou alors le tavernier de là où il passe ses nuits, mais, il chassa bien vite ses pensées en se moquant de lui meme, car il savait très bien qu'il n'arriverait jamais à cet age là.

Il purent donc commencer leur repas et, encore une fois, le contraste entre eux deux put se dénoter, pouvant faire se demander quiconque les regardait qui était le loup entre les deux à la façon dont Siegfried mangeait sans presque aucune retenue. Puis, au cours du repas, il vint de nouveau briser le silence, venant à la regarder en disant

" Pourquoi tu a choisi d'habiter à Nexus ? "

Oui, en plus de sa façon de parler, il avait bien remarqué son accent qui n'était pas du coin, alors, sa curiosité le titiller pas mal la dessus.

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Pour quelqu'un ayant des attributs plus développé qu'une humain lambda, elle était pourtant aveugle sur certaine chose et, le regarde que le gamin lui avait porté en faisait partie, ce qui amusa beaucoup Siegfried. Oh il aurait très bien put se foutre d'elle sur ce coups et cela aurait été suffisamment amusant, mais, il disait la vérité et cela l'amusait encore plus. La demoiselle n'y croyait pas vraiment, mais, elle se le demandait tout de meme, ça, il pouvait le voir quand elle porta son regard en direction de l’accueil, là où se trouvait le jeune homme, ce qui ne manqua pas de lui tirer un long sourire au visage.

Mais voilà, la louve n'y croyait pas ou plutôt ne voulait sûrement pas le croire, ce qui le fit rire intérieurement, venant donc à titiller son envie de l’embarrasser encore un peu plus. Alors, il se mit à se pencher sur la table, posant ses deux coude pour se rapprocher d'elle en prenant une voix taquine

" Voyons .... C'est toi qui peut entendre des murmure comme si on te parlait dans l'oreille et qui peux sentir un paquet de chose qui pour nous ne nous viendrait meme pas au nez foutu juste en dessous de nous et tu ne vois pas ça ? "

Oui, là, il cherchait à titiller l'égo de la louve et bien comme il faut, surtout avec son ton. Puis, il se mit à sourire un peu plus avant d'ajouter en se redressant

" Oui il sort à peine du berceau et il a encore du ptit lait au bord des lèvres, mais vu sa tête, il tape dans la puberté et vu ce qu'il a en fasse, c'est normal que le pauvre doit avoir toute ses hormones chamboulé. Son regard passait sur tout ce qu'il pouvait voir de toi."

Oui, sans le vouloir il admettait à la louve qu'elle était très belle et que donc, c'était normal que le jeune homme se retrouve à avoir le coup de foudre en la regardant, mais ça, il n'en dirait rien, venant reprendre une ou deux gorgée de bière tout en gardant un œil dehors. Tout était calme, la population voguait à ses affaires, rien d'étrange ne se passait et, petit à petit, la lumière ambiante changeait, montre que la fin d’après midi commençait à pointer son nez par ici. Puis, quelques minutes plus tard, leur plat de résistance arriva enfin pour eux.

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