Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Blum

Pages: [1] 2
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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Un bizutage qui dérape (PV)
« le: vendredi 20 décembre 2024, 00:24:16 »
Elle observait l’élève avec une attention discrète, remarquant l’hésitation dans ses gestes, ce léger flottement qui trahissait une certaine gêne. Il semblait perdu, ne sachant pas vraiment comment se comporter face à une situation aussi inhabituelle pour lui. Elle savait qu'il avait besoin de temps pour s'adapter, pour comprendre que l’atmosphère qui l’entourait était faite de calme, de confiance et d'une touche de perversion. Blum veillait donc à ce que son attitude reflète cette confiance, son sourire bienveillant, sa posture qui lui laissait la possibilité de reluquer ses mamelles et ses paroles douces.

Sous ses conseils, l’élève s’était levé pour aller vers le radiateur et y déposer son pantalon afin qu’il sèche. Il s’était retrouvé en caleçon, une situation qui aurait pu être embarrassante, mais il semblait avoir trouvé le courage de suivre les instructions de Blum. Même s'il avait gardé son caleçon, c'était déjà un pas en avant. Revenant s’asseoir à sa place, Blum ne se cachait pas pour regarder l'imposante bosse sous le tissu. Et c'est à ce moment précis que ses tétons cachés jusqu'à présent se mirent à se dévoiler sous sa robe. Formant deux petits boutons qui tiraient de plus en plus le tissu mouillé au fur et à mesure que l'élève lui racontait son problème, tout en caressant le bout de son dard.

- Je suis contente que vous me parliez de tout ça pour trouver une solution à vos problèmes.

Blum se leva avec une certaine fluidité, prenant conscience que depuis son bureau, il était difficile de percevoir tous les éléments qui se passaient à hauteur de ceinture. D’un pas mesuré, elle s’éloigna de son bureau en bois, avançant avec grâce pour s’installer juste à côté de son élève. En s’asseyant, elle croisa délicatement les jambes, et posa ses mains sur ses cuisses, se redressant avec une posture droite et assurée pour mettre ses pis en avant, tout en maintenant un regard attentif et bienveillant.

- Peut-être devriez-vous d'abord me montrer la méthode que vous utilisez pour vous calmer, en la détaillant un peu plus. Je souhaite m'assurer de la véracité de vos propos. Ce n'est pas que je ne vous croie pas, mais j'apprécie avoir des faits plutôt que des paroles.

Si son élève se posait des questions, il avait clairement sa réponse. Mademoiselle Blum se pourléchant les lèvres de savoir s'il allait oser ou non.

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: jeudi 19 décembre 2024, 21:54:01 »
L'homme, d'un geste mesuré et précis, ajusta la fleur humide de Blum, écartant bien plus ses lèvres baveuses lui arrachant des tremblements. Il lui conseilla après de placer ses mains sur ses lombaires pour mieux stabiliser son équilibre. Suivant ses instructions, Blum sentit une légère amélioration dans sa tenue. Cela l’aidait à calmer les tremblements qui menaçaient de la faire chanceler. Une chute aurait été particulièrement embarrassante pour elle dans une telle situation, et elle était déterminée à ne pas faillir. L'homme, quant à lui, semblait satisfait, presque admiratif de sa persévérance et de la grâce qu'elle parvenait à dégager malgré la difficulté. Dans ses yeux, on pouvait lire une fierté sincère devant ce tableau harmonieux qu’elle lui offrait.

S'agenouillant, l'homme se rapprocha d'elle, il posa ses mains avec une douceur palpable de chaque côté de son visage, avant de déposer un baiser délicat sur son front. Les mots qu’il murmura ensuite, pleins de félicitations et d'éloges, résonnèrent profondément en elle. Peut-être ignorait-il l’impact de ses paroles, mais elles firent naître une chaleur inattendue dans le cœur de Blum. Elle, qui avait longtemps enchaîné les échecs et les déceptions, sentait enfin qu'on était fier d’elle, qu’elle avait réussi à répondre aux attentes qu’on plaçait en elle. Elle ne répondit pas, trop émue pour parler, mais un sourire, discret et sincère, vint illuminer ses lèvres, traduisant sa gratitude muette.

Il lui demanda ensuite de fermer les yeux. Cette requête inattendue fit naître une ombre d’appréhension sur le visage de Blum. Pourquoi devait-elle les fermer ? Elle se posa la question sans oser la formuler à voix haute. Ses doutes furent balayés par les doigts de l'homme qui effleurèrent ses paupières pour les abaisser en douceur. Elle obéit, bien que son souffle trahît un léger trouble. Dans l'obscurité de ses paupières closes, chaque bruit semblait amplifié. Des sons indistincts et des bruits parasites parvinrent à ses oreilles, la faisant légèrement tressaillir. Elle tourna doucement la tête, essayant de deviner ce qui se passait autour d'elle. Enfin, la voix de l'homme l'invita à rouvrir les yeux. Elle papillonna doucement des cils, ses iris verts captant la lumière lorsqu’ils émergèrent. Ses yeux, pleins d’interrogation et d’un soupçon d’émerveillement, se fixèrent sur ce qui se trouvait au-dessus d’elle.

Blum aperçut une lueur rouge vacillante, une danse hypnotique qui semblait presque vivante et des tâches blanches. Peu après, elle sentit des gouttes tomber sur sa peau nue, roulant sur ses pis et englobant ses tétines. Ce n’est qu’au contact brûlant qu’elle comprit : de la cire chaude. Elle serra les dents, son souffle devenant plus profond tandis qu’elle tentait de maîtriser la montée soudaine de la douleur. Ce n’était pas insoutenable, juste assez pour provoquer une réaction instinctive. Une piqûre vive, comme une morsure rapide, envahissant ses sens avant de s’atténuer en une chaleur diffuse et supportable. Chaque goutte créait ce même choc furtif, oscillant entre le désagréable et le surprenant. Sa poitrine se soulevait à chacunes de gouttes qui roulaient laissant sa peau rougir sous une fine plaque de cire.

Blum pensait que l'homme allait s'amuser ainsi pendant plusieurs minutes, mais non, c'était un avant-goût. Après quelques gouttes, il planta le cierge dans la fleur de la nonne qui eut une réaction instantanée, levant plus son buste du mur.

- Aaaaa.
Cette fois elle ne sut se retenir, gémissant en plissant les yeux.

Blum se remit comme il faut en place, la bouche encore entrouverte de son gémissement, la tête penchée dans le vide, incapable de voir ce qui se passait réellement au-dessus d’elle. Elle ne savait pas s’il avait pris la peine d’éteindre la bougie avant de la planter dans son minou baveux, mais elle en doutait. L’air était exempt de cette odeur caractéristique de fumée qu’on perçoit lorsqu’une flamme est soufflée. Ce qui venait de se passer semblait être une simple introduction, un avant-goût. Elle comprenait maintenant mieux ses paroles : il fallait rester parfaitement en place, immobile, pour éviter tout risque de brûlure. Même si elle savait que la cire allait couler jusqu'à sa fleur. Réalisant, elle eut un frisson qui lui fit trembler son bas-ventre, des gouttes se mettent à couler le long du bâton blanc mais n'arrivant pas jusqu'à son minou.

- Vous...

Sa phrase fut coupée net par le dard de l'homme dans sa bouche, pas de prévention, ni d'hésitation. Il lui écarta les lèvres pour se loger au fond de sa gorge, passant sa luette avec brutalité, et ce n'était pas fini. Les coups de bassin lui défonçaient la mâchoire, raclant l'intérieur de sa bouche et déformaient ses joues quand ça lui arrivait de dévier sous la violence des coups. Ses bourses s’écrasaient contre son nez et les yeux de Blum dans un claquement bruyant. Blum avait arrêté de tenir son dos, mettant ses bras sur le lit pour serrer de ses doigts fins les draps, essayant de trouver un moyen de garder sa position.

Blum laissait échapper des gargouillements bruyants avec ce dard qui lui labourait le gosier et son excès de salive qui coulait le long de ses joues. Les bourses de l'homme devaient être aussi humides, les yeux de la nonne larmoyant sous le manque d'air. Et sa situation allait encore monter en degré, tout son corps se faisait secouer comme un sac. Ses pis claquaient son visage et ses jambes bougeaient contre le mur pour garder un équilibre déjà précaire, jusqu'à ce que le cierge manque de tomber. Il bascula en avant d'un coup, laissant une gerbe de cire dégouliner entre ses lèvres et son bouton.

- Mmmmmh… Même avec la bouche pleine, son gémissement remplit la pièce.

Malgré toute cette humidité, la morsure de la cire fut puissante et elle frappa ses fesses contre le mur à plusieurs reprises pour essayer d'y échapper. Mais chaque rebond en faisait couler encore, lui arrachant les mêmes gémissements. Ses mains serraient de plus en plus fort les draps et son visage était ravagé par sa salive ainsi que par ses yeux trempés.

3
Pourquoi hausser le ton dans une telle situation ou se moquer ? Blum n'en voyait pas l'intérêt. Contrairement à d'autres étudiants qui cherchaient souvent à la faire sortir de ses gonds par des plaisanteries douteuses ou des remarques provocantes, ce jeune homme semblait plus réservé, presque nerveux. Et même si ce n'était qu'une façade, elle n'avait aucune raison de se montrer agacée. Blum savait que s'énerver ou perdre son calme aurait été le pire des choix, car cela aurait donné à ses interlocuteurs exactement ce qu'ils attendaient : des émotions visibles à exploiter pour s'amuser. Au contraire, elle répondait toujours avec douceur et bienveillance. Ses traits reflétaient cette sérénité naturelle, son visage lumineux encadré par ses cheveux soigneusement arrangés. Sa robe blanche, symbole de pureté et d’élégance, ajoutait encore à cette aura paisible qui faisait d’elle une figure rassurante.

Lorsqu’il répondit timidement à sa question, elle se leva avec grâce, son pas léger et ses gestes mesurés trahissant une maîtrise parfaite de son attitude. Sa robe blanche semblait flotter doucement au gré de ses mouvements, ornée de détails subtils qui mettaient en valeur sa silhouette sans ostentation. Elle se dirigea vers une petite carafe d'eau posée sur une table à côté, remplit un verre avec soin, puis revint vers lui, un sourire chaleureux éclairant son visage. Tendant le verre à l'étudiant, elle s'efforça de le mettre à l’aise, mais suite à un concours de circonstance saupoudré d'une grosse dose de maladresse le verre tomba au sol. L’eau éclaboussa légèrement le haut de la robe de Blum, lui arrachant un léger sursaut. Le verre, heureusement intact, roula doucement au sol, sans bruit de casse. Le jeune homme, visiblement paniqué, bredouillait des excuses. Blum, pourtant, ne laissa rien paraître. Restant très calme pour ne pas accroître sa panique, s'approchant de lui pour le rassurer.

- Ce n’est pas grave, ce n’est qu’un verre et un peu d’eau. dit-elle d’une voix apaisante, ses mots accompagnés d’un sourire sincère.

Madame Blum s'était approchée avec l'intention d'aider le jeune homme à ramasser le verre, espérant ainsi apaiser son agitation. Mais, dans son empressement à se rattraper, lui aussi s'était baissé précipitamment pour nettoyer. C'est alors que, en se relevant, sa tête heurta mollement Madame Blum, qui se tenait juste au-dessus de lui. Et pas n'importe où il avait heurté sa poitrine humide. L'impact fut léger, mais suffisant pour provoquer un moment de flottement entre eux.Elle faisait tout pour garder son calme malgré la situation qui avait vite dégénéré et ce n'était pas fini. Le jeune homme n'arrivait pas à décrocher son regard des deux pis de Blum qui s'agitaient devant lui à travers le tissu transparent. Au point de lui faire travailler une bonne fois pour toutes ses hormones. Son pantalon devenant trop serré pour la situation.

- Ce n'est rien, Monsieur Boutahito. Cela peut arriver à tout le monde...

Malgré la situation, la voix de Blum restait posée et calme, empreinte de douceur. Elle s'approcha du jeune homme pour se mettre à sa hauteur, fléchissant les genoux avec une grâce naturelle. Sa main, délicate et protectrice, se posa doucement sur son visage, comme pour apaiser son trouble. Sans montrer la moindre gêne face à ce moment, Blum conserva son sourire chaleureux. D’un geste réconfortant, son pouce caressa légèrement la joue du jeune homme, une attention pleine de bienveillance, complètement détachée du reste des événements.

- Prenez le temps de respirer, je vais vous aider.

Blum se redressa doucement, ses gestes empreints de sérénité. Elle passa ses bras autour du visage de l’élève, l'attirant délicatement vers elle. Avec une infinie tendresse, elle guida sa tête jusqu'à reposer contre ses mamelles humides, comme un refuge apaisant.

- Laissez-vous guider par mes battements... Suivez le rythme... Respirez, inspirez…

Ses bras, légers mais protecteurs, enveloppaient le jeune homme, transmettant un sentiment de réconfort, de sécurité et de stimulation. Madame Blum restait une pécheresse qui aime les hommes et le vice, tirant sur la corde sensible de son élève sous couvert d'une bonne intention. Elle le serait toujours dans ses bras, bien collée contre ce qu'il semblait aimer regarder.

- Ça va mieux maintenant. Nous allons pouvoir reprendre. Je vais aller vous chercher un nouveau verre d’eau pour commencer.

Blum relâcha doucement sa tête de ses bras, s’écartant avec un sourire radieux, son regard captivant restant ancré dans celui du jeune homme. Son expression chaleureuse et bienveillante allait sûrement le troubler. Elle se redressa ensuite pour se diriger avec élégance vers la table, où elle saisit un nouveau verre d’eau. De retour près de l’élève, elle s’approcha avec une grâce calculée... Mais cette fois, la maladresse sembla changer de camp. Avant même que le jeune homme ait pu tendre réellement la main, le verre lui échappa des doigts pour se renverser sur son pantalon et plus précisément sur son bas-ventre.

- Excusez-moi, décidément… Je vous avais bien dit que ça pouvait arriver à n’importe qui.

Sa voix douce et son air faussement contrit enveloppaient la situation d’une légèreté complice, comme si tout n’était qu’un simple malentendu. Blum, toujours souriante, s’empressa de s’excuser à nouveau tout en s’apprêtant à réparer sa fausse maladresse.Elle s'empressa de ramasser le verre pour le déposer sur le bureau, puis entoura son élève de ses bras une fois de plus, cherchant à le rassurer face à la situation. Lui, qui semblait si stressé depuis le début, trouva refuge en posant sa tête sur ses mamelles dodues. Blum baissa doucement la tête, rapprochant ses lèvres de son oreille pour murmurer quelques mots. Sa voix douce effleurait sa peau tandis qu’elle parlait.

- Que je suis maladroite... Ce ne doit pas être agréable d’avoir le pantalon trempé, surtout dans une situation pareille. Il y a un radiateur derrière, si vous souhaitez y déposer votre pantalon et votre sous-vêtement pour être plus à l’aise.

Déposant le verre d'eau vide sur le bureau, Blum se redressa et fit un pas léger pour retourner derrière son bureau. Elle était calme, fière, ne détournant son regard du jeune homme, si ce n'est pour baisser brièvement les yeux vers sa ceinture en haussant les sourcils et en souriant. Elle s'installa ensuite confortablement dans son siège, se redressant dans le fond de celui-ci, exposant sa robe transparente à son élève attendant de voir ce qui allait se passer.

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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« le: mercredi 18 décembre 2024, 22:27:46 »
Blum était toujours allongée dans la rivière en tenue d'Eve, l'eau glacée enveloppant son corps. Chaque respiration était un effort, son souffle court et irrégulier, comme si l'air lui manquait. Entre le froid de l'eau et ce dard toujours sous son nez. Son visage, normalement calme, était maintenant d'un rouge écarlate, témoin de l'effort qu'elle fournissait pour garder son calme. L'eau froide, qui serpentait autour de son corps, était à la fois apaisante pour calmer ses chaleurs et douloureuse presque mordant. Les frissons parcouraient sa peau, mais elle n'arrivait toujours pas à bouger. Chaque muscle semblait réticent à répondre à ses ordres, comme si la nature même de la vue de ce dard qui prenait encore en puissance absorbait toute son énergie.

- Je... je... murmura-t-elle faiblement, tentant de se reprendre. Sa voix tremblait, le vertige et la confusion semblaient la submerger.

Elle prit un instant, se concentrant sur sa respiration pour retrouver son équilibre. Finalement, elle réussit à reconnecter son esprit à la situation, mais il lui fallut plusieurs secondes avant de réussir à parler.

- Non... ça va… réussit-elle à dire, bien que sa voix trahissait encore une profonde fragilité. Elle savait que ce n'était pas le cas, mais c'était tout ce qu'elle pouvait affirmer, cherchant à rassurer son interlocuteur autant que possible.

L'homme, toujours présent près d'elle, observa son état avec une inquiétude palpable et une envie de bien faire.  Il changea de position pour mieux la soutenir. Passant entre ses jambes pour les écartées, sa fleur ardente éclot sous ce passage. Ses lèvres s’ouvraient face à lui. Pendant ce temps, avec une précaution infinie, il posa une main sur son front, vérifiant sa température. Il avait l'air calme, maîtrisé, pour s'assurer que Blum allait bien.

- Non... tout va bien j'avais besoin... de… de me rafraîchir… murmura-t-elle, plus forte cette fois, mais avec une hésitation qui ne passa pas inaperçue.

Sentir le regard du jeune homme sur son corps n'arrangeait pas son état sulfureux en plus de son dard qui ne voulait pas faiblir. Il est dressé juste au-dessus d'elle, Blum n'avait jamais vu pareille longueur, grosseur et paire de bourse. Toujours entre ses cuisses elle ne pouvait pas les serrer pour se frotter, laissant sa fleur rougir de plus en plus, dégageant des effluves de son excitation. Avec l'eau froide, ses tétines avaient finit par se durcir au-dessus de ses mamelons gonflés se tendant vers l'homme.

- Agréable… oui…

L'homme devait la trouver étrange, avec ses réponses brèves et son absence totale de mouvement. Elle ne cherchait même pas à se redresser, restant là, figée dans la rivière les jambes ouvertes. Son souffle était toujours aussi court. Ses yeux, évitant de croiser son dard même si c'était presque impossible à cause de leurs positions et de cette grosseur qui l'appelait constamment au péché.

5
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: mercredi 18 décembre 2024, 22:23:16 »
Blum se tenait droite devant le grand miroir, ses bras balant le long de son corps offerte à la vue de l'homme qui était derrière elle. Dressé, imposant et silencieux, une présence qui emplissait toute la pièce. Elle n’osait pas lever les yeux pour croiser son regard, même à travers le reflet. La lumière tamisée de la pièce faisait luire légèrement la surface du miroir, reflétant chaque mouvement subtil, chaque respiration accélérée. Blum respirait si profondément que sa poitrine nue se soulevait et s’abaissait de manière presque hypnotique, trahissant son état d’esprit tumultueux.

Le silence était si dense qu’il semblait presque palpable, interrompu uniquement par le souffle irrégulier de Blum. Pour elle ce moment, semblait durer une éternité. Puis vint ce contact. La main de l’homme, large et ferme, se saisit de sa mamelle. Un frisson bouillant lui parcourut l’échine, et elle sentit ses genoux vaciller un instant. Elle ferma les yeux un bref moment, comme pour reprendre le contrôle, mais la chaleur de cette main si ferme, faisait naître une tempête intérieure qu’elle peinait à contenir. Dans le miroir, leurs reflets semblaient figés dans une étrange danse immobile. L’homme, grand et solide, se tenait à derrière elle mais légèrement de côté pour laisser son dard encore visible à côté d'elle, son regard fixé sur elle avec une intensité presque magnétique. Blum, elle, évitait toujours de croiser son regard, ses propres yeux fuyant, fixant un point invisible quelque part sur le sol ou sur le verre. Pourtant, ses lèvres, légèrement entrouvertes, trahissaient une émotion qu’elle ne pouvait pas dissimuler.

L'autre main de l'homme glissa sur son ventre pour arriver à sa fleur, pour y caresser ses pétales. Ses doigts habiles dansaient avec ses lèvres intimes, y découvrant sa chaleur. Elle joint ses lèvres entre elles pour ne rien laisser paraître, pour ne pas laisser échapper le moindre bruit, alors que son corps se mit à se raidir, à s'étendre vers le haut pour tenter de se contrôler. À la question posée, Blum ne parvint pas à répondre, ses lèvres toujours scellées par l'émotion qui montait en flèche. Incapable de formuler le moindre mot, elle hocha lentement la tête, un geste simple mais lourd de sens, qui traduisait son approbation mensongère dans un temps et dans l'autre l'incapacité à contrôler le brasier qui brûlait en elle comme il se devait.

Blum retrouva un semblant de calme lorsque la main de l’homme se retira de sa fleur ardente, rompant le contact qui avait tendu chaque fibre de son être. Son corps se relâcha légèrement, ses épaules s’affaissant tandis que ses lèvres s’entrouvraient instinctivement, cherchant à capter l’air qui lui avait manqué. Ses yeux, humides et brillants, reflétaient l’intensité de cette chaleur qui irradiait en elle. L'homme s'amusa à lui montrer ses doigts couverts de sa rosée brûlante, les écartant, un léger filet se forma entre eux avant de se rompre. Comme Blum qui perdait peu à peu pied dans son rêve.

Les deux se retournèrent pour regarder la collection de cierges de Blum. La main ferme de l'homme continuait à lui malaxer son pis, le pétrissant comme une bonne miche de pain, laissant sa peau rougir. Son mamelon gonflé encore un peu plus et son téton, des plus sensibles, presque douloureux, qu'on ne s'occupe pas de lui étaient parfois malmenés. Son autre main reprit aussi sa place sur la fleur de Blum, cette fois elle serra les poings et poussa un gloussement avant de sceller sa bouche comme devant le miroir. Elle semblait ne plus respirer, se contractant, tremblant encore sous ses doigts. Des claques venaient parfois lui remettre les idées en place quand elle se mettait à frotter ses cuisses. Ses yeux se fermaient et elle se redressait en balançant un peu sa tête en arrière, en soufflant par le nez.

Après un moment qui lui parut interminable, l'homme retira finalement ses mains, laissant Blum seule avec ses sensations tumultueuses. Vacillante, elle se dirigea vers le lit et s'accrocha à l'armature pour ne pas flancher complètement. La tête basse, ses cheveux dégringolaient en mèches désordonnées autour de son visage rougeoyant. Sa bouche grande ouverte, elle aspirait l'air comme si elle avait couru un marathon, et une de ses mains trouva instinctivement refuge sur sa poitrine, où son cœur battait à tout rompre.

Pendant ce temps, l'homme, imperturbable, fouillait dans la collection de cierges alignés sur la table de nuit. Avec une précision méticuleuse, il sélectionnait ceux qu'il considérait appropriés. Quand il se tourna enfin avec son choix définitif, il reprit la parole d’un ton calme, expliquant les prochaines étapes avec une clarté presque cérémonieuse. Blum, malgré sa difficulté à se recomposer, releva lentement la tête. Sa main libre glissa sur son visage, essuyant d’un geste tremblant ses lèvres entrouvertes et sa peau rougie, cherchant un semblant de fraîcheur. Elle écoutait ses instructions attentivement, mais ses pensées vacillaient, en particulier lorsque l'homme évoqua une posture particulière qu'elle allait devoir adopter pour la suite. La tension dans la pièce semblait à nouveau grimper, la laissant suspendue à chaque mot.

- Oui... oui monsieur... vous pouvez compter sur moi... murmura Blum d’une voix encore tremblante, mais empreinte d’une forte détermination.

Elle s'efforçait de prouver qu’elle ne renoncerait pas, même si son corps semblait à bout, ses mains toujours agrippées à l’armature du lit pour trouver un semblant de stabilité. Elle s’essuya une fois de plus le visage d’un geste rapide, tentant de reprendre un minimum de contenance. Proche du lit, quelques pas lui suffirent pour s'y installer, mais elle remarqua immédiatement qu’il avait changé. Rétréci, il semblait s'être modelé à la volonté de l’homme et à cette réalité onirique qui ne cessait de se transformer. Blum se laissa tomber sur le dos, un soupir involontaire échappant de ses lèvres. La fraîcheur des draps contre sa peau en feu lui procura un bref soulagement inattendu, presque apaisant, mais elle savait que ce n’était qu’un prélude à ce qui allait suivre. Rassemblant son courage, elle leva ses jambes pour les appuyer contre le mur, ses muscles tendus par l’effort. Ses pis bien trop lourds pour tenir en place tombèrent sur les côtés, se collant à ses bras frêles.

C’est là que commença l’épreuve véritable. Avec une lenteur maladroite, elle commença à bouger, ajustant son corps centimètre par centimètre. Blum devait coller son bassin au mur, puis le hisser petit à petit, faisant de son mieux malgré la gêne et la difficulté. Elle se tortillait sur le lit, gigotant pour trouver l’équilibre. Ses mains tremblantes vinrent soutenir son dos, d’abord le bas, puis le milieu, l’aidant à lever son corps jusqu’à ce qu’elle n’ait plus que les épaules et la tête posées sur le lit. Ses attributs généreux suivaient le rythme en balançant en même temps qu'elle se tortillait. Des gloussements accompagnaient le tout, prouvant qu'elle donnait tout pour prendre une bonne position. Sa longue chevelure glissa en cascade jusqu’à toucher le sol, s'étalant sur le parquet dans un contraste frappant avec la blancheur des draps. Chaque mouvement semblait une lutte, chaque respiration un défi, mais Blum tint bon, suspendue entre le confort du lit qui avait encore diminué de taille et l’exigence imposée par cette étrange épreuve.

Un dernier mouvement avant de se stabiliser, Blum avait bien la tête dans le vide, analysant sa position dans le miroir toujours là. Ses épaules et le haut de son dos étaient collés contre le matelas, pendant que sa poitrine lui retombait dessus juste sous son menton. Le reste de son corps était en équilibre contre le mur, le milieu de son dos, son bassin, et pour respecter les consignes, elle ouvrit enfin ses jambes qui balançaient dans le vide pour garder l'équilibre.

Sa fleur éclot, ses lèvres collées à cause de l'humidité se détachèrent dans un bruit moite et bruyant. Laissant apparaître une magnifique teinte rouge, preuve de la chaleur de son corps, également un bouton gonflé semblant palpiter au rythme de son cœur. La rosée extérieure n'était rien comparée à celle qui venait de se découvrir présentement. Un fin ruisseau avait fait son chemin dans son sanctuaire, jusqu'à présent fermé. Blum, maintenant en position, n'osait plus bouger. Elle savait que si sa posture ne convenait pas, l'homme allait la corriger avant de passer à la suite de son expiation.

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Un bizutage qui dérape (PV)
« le: mercredi 18 décembre 2024, 22:20:44 »
Madame Blum se trouvait au lycée de la ville pour une intervention spéciale. Les professeurs l’avaient sollicitée pour remplacer temporairement l’infirmière scolaire et répondre aux questions des élèves dans une session de discussion ouverte. Ce rôle différait de ses visites habituelles, où elle parlait de l’église, de la foi et des activités paroissiales. Cependant, pour dépanner, elle avait accepté de jouer le jeu. Fidèle à elle-même, elle portait sa robe blanche impeccable, faite à la main, qui soulignait ses formes généreuses avec élégance. Les rubans violets, signature de son ordre, ajoutaient une touche de raffinement qui ne passait jamais inaperçue.

Aux côtés des professeurs, Madame Blum animait la session avec patience et assurance. Les élèves, répartis entre curieux sincères et farceurs, avaient des approches très variées. Certains posaient des questions réfléchies, souvent touchant à des sujets importants comme la santé mentale ou l’éthique, tandis que d’autres tentaient de provoquer ou d’amuser la galerie. Mais ceux qui espéraient voir Blum déstabilisée se heurtaient à une désillusion : elle restait calme et posée, répondant avec une sincérité désarmante, même lorsque les questions s’aventuraient sur des terrains plus personnels ou délicats. Son aplomb impressionnait autant qu’il inspirait.

Lorsque la session collective s’acheva, Blum prit une courte pause pour boire un verre d’eau et se préparer à la deuxième partie. Cette fois, les élèves qui le souhaitaient pouvaient la rencontrer individuellement, dans un cadre plus intime et confidentiel. À la manière d’un confessionnal, chacun avait l’opportunité d’aborder avec elle des sujets plus personnels. Installée dans une salle à part, derrière un bureau sobre mais accueillant, Blum accueillit les premiers élèves, l’un après l’autre, avec la même chaleur et bienveillance.

- Vous appellerez le prochain, dit-elle au dernier

Assise bien droite, ses cheveux encadrant son visage et tombant légèrement sur les courbes de sa poitrine, Madame Blum attendait sereinement le prochain élève. La porte s’ouvrit doucement, et un jeune homme entra timidement.

- Bonjour, installez-vous où vous voulez, l’accueillit-elle avec un sourire.

Elle désigna une chaise devant le bureau, mais la pièce était suffisamment spacieuse pour permettre au jeune homme de choisir un autre endroit s’il le préférait. Pendant qu’il hésitait, elle feuilleta discrètement le registre des élèves pour identifier son interlocuteur, scrutant les photos associées aux noms. Quand il commença à parler, elle leva les yeux pour lui prêter toute son attention. Ses mots étaient hésitants, trahissant une gêne profonde : il voulait discuter d’un problème typique de l’adolescence, lié à l’éveil de ses hormones. Blum ne l’interrompit pas, le laissant aller au bout de son explication, tout en trouvant son nom dans le registre : Butahito.

- Détendez-vous, Monsieur Butahito, dit-elle d’un ton apaisant. Même si c’est un sujet difficile pour vous, nous avons tout notre temps. Prenez une grande inspiration, soufflez un peu. Voulez-vous un verre d’eau ?

Blum ne montra aucun signe d’embarras ou de jugement face à l’aveu du garçon. Elle savait que son âge et ses hormones rendaient ce genre de préoccupations tout à fait normales. Avec douceur, elle souhaitait d’abord qu’il se sente plus à l’aise, car elle savait que la clé pour aborder ce genre de discussion était avant tout de dissiper la tension initiale ne se doutant pas du plan machiavélique derrière cette situation.

7
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset IV
« le: mercredi 18 décembre 2024, 22:18:15 »
Blum attendait patiemment sur le bas du porche de l’église, scrutant l’horizon pour voir arriver les bénévoles qui s’étaient proposés pour l’aider à organiser le pèlerinage. Elle profitait de ce moment de calme pour entretenir les jardinières qui bordaient l’entrée de l’église. Ses mains délicates saisissaient les mauvaises herbes qui s’étaient immiscées parmi les fleurs soigneusement plantées. Alors qu’elle s’affairait, elle vit arriver les premiers paroissiens : un couple âgé, fidèles habitués de la paroisse. Ces deux-là ne manquaient jamais un événement organisé par l’église et étaient présents à chaque messe du dimanche. Blum échangea avec eux des salutations chaleureuses et quelques banalités, leur adressant son sourire habituel empreint de bienveillance. Habitués du fonctionnement de l’église, ils déposèrent leurs affaires à l’intérieur et se mirent immédiatement à explorer les préparatifs en cours.

Le calme qui baignait l’entrée de l’église fut soudainement troublé par une voix que Blum reconnaîtrait entre mille : celle de Madame Ieko. Sa voix perçante, un peu nasillarde, s’élevait comme une note trop haute dans l’air paisible. Blum soupira intérieurement, non par agacement, mais parce qu’elle savait que cette femme était un véritable moulin à paroles, capable de faire des remarques cinglantes sans filtre. Une présence qui, à forte dose, pouvait en irriter plus d’un, mais que Blum accueillait toujours avec un sourire indulgent. Avec son caractère bien trempé, Madame Ieko ne se gênait jamais pour dire tout haut ce que d’autres murmuraient tout bas. Pourtant, Blum, dans sa patience infinie, trouvait toujours le moyen de voir au-delà des petits désagréments, acceptant chacun tel qu’il était. Elle lui fit signe de loin, levant une main amicale alors qu’elle apercevait la silhouette familière de Madame Ieko approcher. Cependant, cette fois, elle n’était pas seule.

Derrière elle, ou plutôt sous une pile impressionnante d’affaires, se trouvait une personne qu’elle avait visiblement enrôlée pour l’accompagner. Blum plissa légèrement les yeux pour tenter de distinguer le porteur, mais il était pratiquement invisible sous le poids des cartons et des sacs qu’il transportait. Elle esquissa un sourire amusé en réalisant que Madame Ieko avait encore trouvé un moyen ingénieux de convaincre quelqu’un de porter sa charge, fidèle à sa personnalité sans gêne mais toujours attachante.

- Bonjour, Madame Ieko, répondit sœur Blum avec un sourire chaleureux lorsqu’elle arriva à sa portée.

Elle accueillit la vieille dame avec son habituel air avenant, prête à écouter le flot de paroles qui, comme toujours, ne tarda pas à jaillir. Madame Ieko était visiblement en grande forme, parlant avec une énergie débordante. Blum ne put s’empêcher de sourire en réalisant que le jeune homme qui servait de porteur n’était autre que Takezo Mamoru, le seul garçon d’une famille bien connue dans la paroisse. Madame Ieko n’avait décidément aucune gêne à réquisitionner son aide, mais Blum n’y voyait que de la malice inoffensive.

- Oui, j’étais au courant de leur absence, répondit Blum doucement, tout en hochant la tête. Comme je gère les inscriptions, j’ai pris note. Nous aurons l’occasion de les inviter ultérieurement pour les remercier comme il se doit. En attendant, soyons heureuses que Takezo ait pu se joindre à nous. C’est très gentil de sa part.

Blum avait déjà commencé à descendre les marches du porche pour aller à la rencontre de Takezo. Chargé comme une mule, il avançait difficilement, et pour franchir les marches du parvis, cela relevait presque de l’exploit. Elle s’empressa d’intervenir, voyant bien qu’il risquait de se faire mal.

- Je vais vous aider, attendez, dit-elle avec douceur. Il serait triste de se blesser avant même le début du pèlerinage. Madame Ieko, nous déposerons vos affaires à l’entrée de l’église pour l’instant. Vous pouvez entrer, Monsieur et Madame Takima sont déjà là.

À ces mots, une étincelle passa dans les yeux de la vieille dame, ravie de cette opportunité. Elle s’éloigna presque aussitôt, pressée d’aller retrouver ses amis pour leur partager les dernières nouvelles. Pendant ce temps, Blum s’approcha de Takezo et saisit deux cartons pour le soulager. Cela permit au jeune homme de retrouver un champ de vision clair et de mieux respirer.

- Bonjour, Monsieur Mamoru, ajouta-t-elle avec un sourire délicat et réconfortant lorsqu’elle put enfin croiser son regard. Allons poser les affaires de Madame Ieko à l’entrée de l’église. Nous verrons ensuite si elles doivent être montées au dortoir ou non.

Avec ses bras désormais partiellement libérés, Takezo pouvait mieux voir où il posait les pieds, et en levant légèrement les yeux, il eut également un aperçu inattendu de Mademoiselle Blum. Sa robe blanche aux rubans violets dessinait avec grâce la silhouette de la jeune nonne, qui semblait toujours en mouvement, animée par une douce énergie. Même derrière les cartons qu'elle portait.

- Passez devant, dit-elle en lui faisant un signe de tête, le sourire toujours accroché à ses lèvres.

8
Prélude / Re : L'église est ouverte [Validée]
« le: mercredi 18 décembre 2024, 18:57:20 »
Merci

9
Les alentours de la ville / Re : Les Fondations du Péché
« le: mardi 17 décembre 2024, 02:13:42 »
Grayle était indéniablement un beau jeune homme. Ses yeux bleus, d’une clarté saisissante, semblaient captiver Blum malgré elle, et sa carrure imposante témoignait d’années de travail en tant que charpentier. Chaque muscle semblait sculpté par l’effort, ce qui n’était pas pour déplaire à la nonne, bien qu’elle le cachât derrière un air sage. Le patron de Grayle dut, d’un coup de pied sec, le ramener à la réalité après qu’il s’était perdu dans une rêverie. Le geste fit sourire Blum, qui réprima un léger rire presque silencieux, amusée par la scène.

Le patron, cherchant à recentrer l’attention, envoya Grayle examiner les dégâts sur la charpente de l’église. Sans hésiter, le jeune homme saisit une poutre d’une main ferme pour s’y hisser, son agilité et sa force démontrant une maîtrise impressionnante. Tel un funambule, il avança avec assurance. Blum, qui avait levé la tête pour suivre chacun de ses mouvements, sentit son souffle se suspendre. Une part d’elle admirait sa témérité, tandis qu’une autre, plus inquiète, ne pouvait s’empêcher d’envisager le pire. Le prêtre présent exprima à voix haute ses craintes, mais le patron de Grayle, sûr de son ouvrier, rassura tout le monde en affirmant qu’il n’y avait rien à craindre.

- Faites attention, on ne sait jamais…

Blum avait crié d’une voix claire et protectrice, empreinte de son habituelle douceur, mais teintée d’inquiétude sincère. Elle suivait des yeux chacun des mouvements de Grayle jusqu’à ce qu’il disparaisse sous les poutres du toit. Malgré son absence visuelle, elle resta la tête levée, attentive, tendant l’oreille au moindre bruit suspect, prête à réagir s’il venait à tomber. Pendant ce temps, le patron vantait les talents de son ouvrier, saluant son agilité, sa précision et son endurance. Blum, cependant, trouva certains de ses mots troublants. L’insistance sur : ses doigts agiles, l’exploration des profondeurs et sa capacité à enfoncer les poutres la fit tiquer. Était-ce une simple maladresse ou une insinuation plus subtile ? Une drôle de pensée traversa son esprit : Est-ce que Grayle et son patron étaient… ensemble ? Elle secoua mentalement la tête, chassant cette idée saugrenue.

Avant qu’elle ne puisse approfondir davantage ses réflexions, Grayle revint, son rapport prêt. Il descendit du toit, la chemise plaquée contre son torse par la sueur. Le tissu humide soulignait avec une précision presque indécente ses muscles fermes et bien dessinés. Blum sentit ses joues s’empourprer malgré elle et détourna brièvement les yeux vers le patron, cherchant à savoir si lui aussi regardait son ouvrier avec un intérêt particulier. Non, visiblement, il n’en était rien. La nonne avait fini par perdre le fil du rapport de Grayle, trop absorbée à détailler les lignes de son torse, la courbe de ses lèvres et l’intensité de son regard clair.

- Je peux vous donner une semaine et ma sœur vous donnera l’amour qu’il vous faut.

Cette phrase surprenante du prêtre ramena brutalement Blum à la réalité. Elle cligna des yeux, secouant légèrement la tête pour reprendre contenance.

- Mon père, ce n'est pas des propos à tenir.

Dit-elle en ricanant légèrement, mais ses yeux se tournèrent vers Grayle avec une certaine profondeur, laissant ses cils battre presque inconsciemment.

- Allez, redescendons. Il fera moins chaud plus bas et mon père pourra régler les derniers détails.

Elle se plaça derrière les trois hommes, fermant la marche alors qu’ils rejoignaient le centre de l'église.

- Venez avec moi, Monsieur Grayle, vous rafraîchir. Je vais vous donner une serviette pour vous essuyer.

Blum, d’un geste doux mais assuré, l’invita à la suivre dans une petite pièce à l’arrière de l’église. C’était une modeste cuisine réservée au personnel. Elle y remplit un verre d’eau fraîche et le posa délicatement sur la table avant de reprendre la conversation d’un ton léger.

- Vous étiez impressionnant à vous hisser ainsi, mais j’espère que vous prendrez soin de vous sécuriser à l’avenir. Je n’ai pas envie de faire une crise cardiaque à chaque fois que vous grimpez sur le toit.

Elle laissa échapper un petit rire cristallin pour alléger l’atmosphère. Cherchant une serviette pour Grayle, Blum se mit sur la pointe des pieds afin d’atteindre un meuble en hauteur. Malgré ses efforts, elle ne parvenait pas à saisir l’objet recherché. Déterminée, elle s’appuya sur un genou pour se hisser davantage, grimpant maladroitement sur le bas du meuble. Sa robe ajustée limitait ses mouvements, se tendant autour de sa silhouette élancée. Chaque courbe semblait se dessiner avec davantage de précision, en particulier son postérieur rond et délicatement mis en valeur par le tissu tiré. Blum, concentrée sur sa tâche, ne semblait pas se rendre compte de l’image qu’elle offrait, tandis que Grayle pouvait difficilement ignorer cette vision, si fugace soit-elle.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: mardi 17 décembre 2024, 01:23:57 »
Blum, se trouvait pour la première fois accablée par ses propres limites. Chaque effort sincère qu’elle fournissait semblait s’évanouir dans l’échec, comme une prière qui n’atteint pas les cieux. Son regard s’embrumait de larmes non versées, tandis que ses doigts tremblaient, trahissant une angoisse profonde. Son corps faiblissait sous le poids de la culpabilité et du doute. Elle se répétait mentalement qu’elle devait faire mieux, qu’elle devait prouver sa valeur, mais rien n’y faisait. Cette impuissance la consumait.

L’homme, quant à lui, restait d’un calme presque déroutant. Sa patience semblait infinie, bien qu’il fût impossible de deviner jusqu’à quand cela durerait. D’une voix posée mais autoritaire, il brisa le silence, lui demandant de cesser ses efforts et de se relever. Il ne l’accablait pas de reproches, mais le poids de ses mots n’en était pas moins lourd. Blum, ébranlée par cette demande, s’exécuta lentement, sa silhouette désarmée se redressant malgré sa honte. Ses joues étaient rouges, son souffle saccadé, et ses yeux rougis fixaient obstinément le sol.

Lorsqu’il évoqua une deuxième étape, Blum sentit son cœur se serrer. C’était pour elle une nouvelle chance de prouver sa dévotion, mais elle savait aussi qu’elle n’aurait pas droit à l’erreur cette fois-ci. Elle baissa légèrement la tête, ses mains jointes se serrant avec force, presque instinctivement. Chaque mot de l’homme résonnait en elle, amplifiant le poids de sa responsabilité. Son souffle court, elle avala difficilement sa salive, comme si un nœud invisible comprimait sa gorge. Elle n’osa pas parler, de peur que sa voix tremblante ne trahisse l’intensité de son appréhension.

Alors qu’elle rassemblait ses forces en tournant le dos à l'homme, le décor autour d’elle commença à changer. L’entrée de l’église, avec ses murs imposants et ses vitraux colorés, s’effaça peu à peu, comme balayée par une brise mystique. À la place se dessina une chambre sobre et apaisante. Les murs beiges crème respiraient la simplicité, tandis que le mobilier en bois massif conférait à la pièce une certaine chaleur. Au centre de la pièce, un lit aux draps immaculés était surplombé d’une croix en bois sombre, veillant sur l’espace comme un rappel constant de foi et de piété. Une armoire imposante, une commode discrète, et un miroir de deux mètres déposé juste en face de son lit complétaient cette pièce ordonnée, dépourvue d’extravagance.

Sur la table de nuit, une collection de cierges attirait immédiatement le regard. Ces objets d’une grande simplicité racontaient pourtant bien des histoires pour Blum. Certains, longs et effilés, semblaient à peine entamés, tandis que d’autres, plus courts et usés, portaient encore les marques de la cire fondue. Chaque cierge était unique : ici une fleur séchée en ornement, là une croix délicatement gravée dans la cire. Si les longueurs variaient il était de même pour les épaisseurs des cierges.

- Ceux-ci… Blum murmura, à peine audible

Elle laissa sa phrase en suspens, ne sachant pas si ses mots étaient nécessaires. Pendant ce moment suspendu, Blum se tourna lentement, un vent frais fit voler ses rubans dans les airs, disparaissant petit à petit jusqu'à se retrouver en habit d'Eve. Sa silhouette semblait irréprochablement dessinée, chaque courbe et chaque ligne s’harmonisant avec une grâce naturelle. Sa peau, d’une clarté presque lumineuse, reflétait les rayons doux qui traversaient la pièce. Elle se tenait droite, mais un léger tremblement trahissait encore sa vulnérabilité. Ses pis d'une rondeur parfaite la sublimait, ses mamelons gonflés trahissaient son excitation et ses pointes étaient dressées vers l'homme comme une provocation. Sa fleur était encore couverte d'une rosée abondante illuminant sa fente et ses cuisses du vice qui rongeait son bas-ventre. Blum se voyait dans le miroir derrière l'homme, comme quand elle utilisait ses cierges. Elle pouvait se contempler.

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Centre-ville de Seikusu / Verset IV
« le: lundi 16 décembre 2024, 01:37:45 »
Chaque année, l’église de la petite ville organisait un pèlerinage d’une semaine dans les montagnes voisines, une tradition ancrée dans la communauté. Ce voyage n’était pas seulement une escapade spirituelle, mais aussi un défi personnel, une chance de se retrouver face à soi-même, loin du tumulte quotidien. Pour beaucoup, c’était un moment de communion avec Dieu et avec les autres, un temps pour forger des liens profonds. Chacun vivait cette expérience à sa manière : certains y cherchaient le calme de la nature, d’autres y voyaient une opportunité de repousser leurs limites physiques et mentales. Cette année, la responsabilité de l’organisation revenait à Mademoiselle Blum.

Blum s’était lancée dans cette tâche titanesque avec un mélange d’enthousiasme et de rigueur. Pendant deux mois, elle avait scrupuleusement orchestré chaque détail. Les inscriptions des participants avaient été soigneusement enregistrées, et les listes de matériel compilées. Elle avait passé des heures à négocier avec les magasins pour s’assurer de la qualité des équipements, tout en respectant le budget alloué. Elle avait également contacté les auberges situées aux étapes du parcours, choisissant des lieux où les pèlerins pourraient se reposer après quelques nuits dans les tentes, afin de rendre le voyage plus accessible. Tout était pensé pour que ce pèlerinage soit une expérience mémorable et spirituellement enrichissante. Sur les quinze inscrits, Blum savait qu’il y aurait sans doute quelques défections, mais cela ne diminuait pas sa détermination.

À seulement deux jours du départ, elle avait appelé à l’aide les volontaires les plus motivés. La préparation était une tâche monumentale : réceptionner les livraisons de matériel, inspecter chaque pièce pour s’assurer qu’elle était en bon état, assembler les sacs avec soin, organiser les trousses de secours, répartir les rations alimentaires pour la semaine... Les responsabilités ne manquaient pas. Fidèle à son habitude de penser aux autres avant elle-même, Blum avait même proposé un hébergement dans les locaux de l’église pour ceux qui habitaient loin. Bien que certains se soient désistés à la dernière minute, elle savait qu’elle pouvait compter sur un noyau de fidèles pour l’aider à tout organiser.

Lorsque l’horloge sonna 13 heures, Blum était déjà devant l’église, surveillant les alentours avec une pointe d’excitation. Elle portait sa robe blanche, une pièce qu’elle avait cousue elle-même avec un soin extrême. Ce vêtement, aussi pratique qu’élégant, épousait parfaitement sa silhouette tout en respectant les principes de modestie qu’elle affectionnait. Par-dessus, elle avait noué des rubans violets, symbole de son appartenance à la paroisse, ajoutant une touche de couleur à son allure pure et gracieuse. Le vent léger caressait ses cheveux lâchés, les faisant onduler doucement autour de son visage radieux. Ses yeux brillaient d’enthousiasme et son sourire, sincère, illuminait ses traits. Blum respirait la sérénité et la joie, prête à accueillir les premiers arrivants, et à s’assurer que ce pèlerinage commencerait sous les meilleurs auspices.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: dimanche 15 décembre 2024, 23:30:05 »
Lorsqu’il évoqua l’idée de regarder sous le ruban, un frisson de panique traversa tout son corps. Instinctivement, elle posa ses mains sur le tissu, comme pour s’assurer qu’il restait fermement en place. Une vague de sueurs froides perla sur sa nuque, ses pensées tourbillonnant dans une peur silencieuse. Tant qu’il ne voyait rien, tout irait bien, se disait-elle, presque comme un mantra. Elle serra les lèvres, s’interdisant le moindre mot, de peur d’attiser une réaction qu’elle redoutait. Chaque fibre de son être semblait tendue, comme si le simple fait de parler pouvait briser une fragile trêve.

Après avoir tout avoué, elle se retrouva suspendue à un fil d’angoisse. Les scénarios tournaient en boucle dans son esprit : allait-il l’abandonner sur place ? La réprimander sévèrement ? La condamner pour ses erreurs, lui déclarant qu’elle n’était pas digne de sa vocation ? Une peur viscérale s’installait, comprimant sa poitrine, et son regard semblait fuir, oscillant nerveusement de gauche à droite. Le stress la saisissait, la tirant dans un tourbillon d’incertitudes où chaque instant paraissait une éternité.

La sentence, pourtant, ne fut pas celle qu’elle avait redoutée. À sa grande surprise, sa main se posa doucement sur sa tête, caressant ses cheveux d’un geste presque apaisant. La douceur inattendue dans cette action fit naître un mélange de soulagement et de confusion en elle. Ce contact, loin d’être brusque, portait une certaine chaleur qui semblait dissiper peu à peu la tension. Le geste, simple mais empli d’une sincérité palpable, réussit à calmer le tumulte de ses pensées, ne laissant qu’un instant de paix furtive. Il approchait aussi son dard de sa bouche, il lui offrait une rédemption, un moyen de se racheter en utilisant uniquement sa gueule ou ses pis.

- Merci Monsieur…


Elle le remercia d'un murmure pour ce geste empreint de rédemption. Ses épaules s’affaissèrent légèrement, comme si un poids venait de glisser de son âme. Baissant la tête avec humilité, elle joignit ses mains, les levant doucement dans une posture de prière. Ses doigts tremblaient encore sous l’émotion, mais son geste, empreint de sincérité, exprimait toute sa gratitude. Dans ce moment de recueillement, son visage, à demi-voilé par une lumière tamisée par l'ombre de l'homme.

Il était temps d'appliquer comme il le fallait le verset 34 à présent. Reposant ses mains sur ses cuisses blanches, Blum ouvrit la bouche pour y faire entrer une nouvelle fois le gland brûlant. Innocente et loin de se douter des pensées qui l’animaient, elle s’était abandonnée à une confiance aveugle, sans soupçonner le piège qui se refermait sur elle. Lorsque la réalité s’imposa, une vague de panique la submergea. Ce sexe qui avait transpercé sa bouche pour se loger dans la base de sa gorge l’a fit paniquer. Ses mains s’agitaient nerveusement de chaque côté, cherchant à maintenir une distance sans paraître brusque. Son regard, voilé par des larmes naissantes, trahissait son désarroi. Ses yeux, rougis par l’émotion, vacillaient entre supplication et incompréhension, ajoutant à son visage une fragilité désarmante. Du peu qu'on pouvait voir, car elle était écrasée contre le pubis et les bourses pleines de l'homme. Dans l’agitation, le précieux ruban, emporté par le tumulte des mouvements, se déroba de sa place. Il glissa doucement le long de sa cuisse, révélant une vision fragile et également provocante, semblable à une fleur perlée de rosée au petit matin. Sa fente était couverte de perles humides, comme ses cuisses écartées quand il décida de la relâcher pour reprendre son souffle.

Elle n’avait pas eu le temps de reprendre son souffle lorsque le piège s’était refermé, étouffant sa sérénité et nourrissant un sentiment d’oppression grandissant. Chaque instant passé dans cette tension la privait un peu plus d’oxygène, amplifiant sa peur. Lorsqu’elle fut enfin libérée, elle inspira à grandes goulées, ses épaules se soulevant au rythme de ses hoquets, comme si elle redécouvrait l’air. Elle recula légèrement, la tête basculée en arrière, laissant l’air frais caresser son visage, apaisant son cœur affolé.

- Nous… nous sommes d'accord… je ne voulais rien vous cacher… je m'excuse…

Elle saisit cet instant d'accalmie pour tenter de reprendre son souffle, laissant l’air apaiser la brûlure de sa gorge. Elle comprenait désormais la portée de cette épreuve : elle devait prouver sa dévotion, pleinement et sans détour sous peine de recevoir une nouvelle punition. Les battements précipités de son cœur accompagnaient sa détermination croissante, elle devait y aller…

Sans les mains et sans attendre plus longtemps, elle ouvrit la bouche pour enfourner le dard de l'homme dedans. Elle tremblait, elle avait peur de ne pas réussir et elle avait raison de s'en faire… Sans la pression de l'homme à l'arrière de sa tête, il était plus dur pour Blum de l'avaler entièrement. La luette ne voulait pas passer, poussant des gargouillis à chaque fois que le gland arrivait à ce stade, et elle reculait en tremblant. Elle leva les mains pour essayer de s'aider, en se rappelant qu'elle devait les laisser sur ses cuisses. Après plusieurs essais, les yeux larmoyants après ces nombreuses tentatives, elle reprit son souffle

- Pardon… je vais y arriver… j'accepte mon expiation… laissez-moi plus de temps…


C'était des échecs sur échecs, les tentatives s'enchaînaient, Blum paniquait de plus en plus, ce qui ne l'aidait pas dans sa tâche. Elle bavait sur son dard pour espérer mieux le faire coulisser. Elle utilisait sa langue pour le pousser en arrière. Elle aspirait pour gagner des centimètres. Elle essayait d'y aller d'un coup, mais se retrouvant quand même bloquée à la glotte. Reculant bruyamment à chaque fois. Sur les genoux, elle se dandinait, pointait son postérieur vers l'arrière, le ruban revint à sa place, se collant dans sa rosée, laissant une trace foncée sur le tissu et moulant sa fleur. Elle espérait une chose : que l'homme lui laisse encore du temps.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: dimanche 15 décembre 2024, 20:34:44 »
Qu'elle était bien appliquée à faire coulisser ce sexe chaud dans la moiteur agréable de sa bouche. De le serrer entre ses lèvres fines et pourtant si douces. Elle lustrait avec minutie ce sexe qui était trop long pour le faire entrer entièrement dans sa bouche, allant chercher à peine plus loin que les trois quarts de sa langue. L'homme se mit à donner le rythme en y mettant plus de vigueur s'enfonçant dans la bouche de l'angélique.

À genoux toujours ce pieux enfoncé dans sa bouche à lui en faire gonfler une nouvelle fois les joues, Blum levait timidement les yeux vers l’homme, un flot de pensées et d’émotions contradictoires l’assaillant. Est-ce qu’elle le désirait ? Ce sentiment naissant et troublant la terrifiait autant qu’il l’attirait. Est-ce qu’elle avait honte ? Une chaleur cuisante au creux de son bas-ventre semblait répondre à sa place, trahissant une part d’elle qu’elle n’osait affronter. Ses yeux, brillants d’une confusion palpable, cherchaient désespérément des réponses dans le regard de l’homme. Y trouverait-elle une condamnation, une compréhension, ou quelque chose d’encore plus effrayant ? La nonne, symbole de pureté et de dévouement, vacillait sous le poids d’une dualité trop présente même dans ses rêves. Elle ne savait plus si elle cherchait à fuir ou à se laisser happer totalement dans le vices.

Elle allait avoir une idée, quand l'homme tira sa tête en arrière pour lui faire lâcher son sexe. Blum eu un pincement au cœur affiché par un regard interrogateur avec une pointe de tristesse qui ne dura que quelques secondes car elle ferma les yeux quand le sexe de l'homme rebondit sur son visage et glissa contre son nez, ses bourses remplies se posant contre son menton. Elle pouvait mieux imaginer la longueur de ce dard qu'elle avait eu dans la bouche avec en preuve sa salive qui coulait dessus et sur son visage maintenant.

- Je n'ai pas honte… de respecter les saintes… écritures…

Elle répétait, presque en un murmure, les mots qu’elle avait déjà prononcés : qu’elle n’avait pas honte. Mais son visage, incandescent de rougeur, semblait la contredire. Chaque syllabe tremblait dans sa voix, fragile, exposant une émotion qu’elle peinait à contenir. Malgré ses paroles, son corps la trahissait encore. Ses gestes étaient mesurés, presque figés, comme si chaque mouvement risquait de la briser davantage. Elle avait reposé ses mains sur ses cuisses dénudées avec l'attention de ne pas enlever ce morceau de ruban qui cachait sa fleur intime. Celle qui pourrait totalement la trahir, si sa bouche et ses mains étaient moites, cette fleur l'était encore plus. Vibrant entre ses cuisses, son humidité maculait sa peau douce sous ce ruban. 

- Je ne fais que… respecter le verset…

Blum avait en tête bien des réponses à cette question, ou plutôt des images qu'elle n'osait pas avouer. Et elle n'était pas certaine de pouvoir articuler une réponse sans trahir ses pensées. C’est pourquoi elle choisit de se contenter d’une simple phrase, espérant éviter une réflexion trop profonde. Derrière elle, les vitraux de l’église se mirent à s'emballer encore, la dévoilant en servante du verset 34 est-ce qu'elle était assidue là était la question.

- Je dois finir…


L'homme n'allait pas la laisser faire voyant dans son jeu et dans les vitraux. Il voulait une réponse plus détaillée du petit ange, elle allait devoir se lancer.

- Je pratique… il m'arrive de pratiquer le verset 34… avec des hommes… quelques fois…

Elle avait honte de l'annoncer et pourtant c'était avouer qu'elle ne respectait pas les saintes écritures avec une bien grande attention. La balance ne penchait pas de son côté dans les deux cas.

- Je n'ai jamais… la sainte… semence… sur mon visage…


Elle continuait dans les aveux regardant à droite à gauche sans jamais rencontrer les yeux de l'homme, cette fois de peur de sentir le jugement. Où la colère de ne pas respecter comme il faut le verset 34.

- Ni… dans ma bouche… gueule… je n'ai pas accompli comme il se doit… mon devoir…

Dans ses ébats, les hommes ne s'étaient jamais finis dans sa bouche ni sur son visage, préférant aller ailleurs car le temps était compté. Les coups de Blum étaient souvent rapides, les préliminaires n'étaient pas très longs et soulever sa robe pour y découvrir sa fleur était rapide.

- Pardonnez-moi…


Elle avait peur du jugement de ce seul homme, qui la voit comme une bonne à rien. Qu'il décide de partir, qu'elle ne méritait pas d'être une bonne assistante du tout puissant.

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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« le: dimanche 15 décembre 2024, 19:09:24 »
Pourquoi pourrait-elle être jugée louche ? Après tout, elle ne faisait que suivre son devoir. Blum était une femme d’église, et elle considérait comme essentiel d’aider son prochain, surtout lorsqu’il se trouvait dans le besoin. Et cet homme semblait en avoir bien besoin : il devait s’immerger dans une rivière glacée pour sa toilette et parcourir de longues distances pour aller chercher de l’eau pour son village. C’était une vie de privations qu’elle ne pouvait ignorer. Cependant, avant qu’elle ait eu le temps de lui tendre réellement la main ou d’engager une discussion sincère, le destin en avait décidé autrement. Un instant d’inattention, et elle avait glissé sur les pierres humides, se retrouvant maladroitement projetée dans l’eau froide.

Luttant pour se redresser, Blum faisait de son mieux pour retrouver son équilibre, mais chaque geste la ramenait presque aussitôt au bord de la chute. Et alors que son regard cherchait instinctivement un point d’appui, elle ne pouvait pas échapper à ce sexe dressé, il lui était impossible à ignorer. Son visage s’empourpra d’embarras de plus en plus, et elle sentit son cœur battre plus fort. Ce qu’elle voulait éviter à tout prix, elle en était maintenant témoin. Ce balancement presque hypnotique devant elle la plongeait dans un profond malaise.

- Je vais m’en sortir seule…

Sa voix, à peine plus qu’un murmure, trahissait sa confusion. Pourtant, l’homme, visiblement plus à l’aise dans cette situation, semblait décidé à intervenir. Il observait sa robe trempée, qui collait à sa silhouette, gênant ses mouvements. À ses yeux, cela semblait évident : ces vêtements détrempés la ralentissaient et risquaient de l’exposer davantage au froid mordant et aux chutes. S’il retirait cette entrave, elle pourrait bouger plus librement, du moins c’est ce qu’il semblait penser. Blum tenta à nouveau de protester, assurant que tout irait bien, mais ses mots paraissaient bien faibles face à sa détermination.

L'homme tira sur sa robe, les plis caressaient sa peau et filaient entre les pétales de sa fleur fragile, lui arrachant des hoquets de surprise. Pour avoir une meilleure position, son sexe et ses bourses se collaient contre le visage de la nonne. Blum ne savait plus où se mettre, elle avait si bien cherché à l'éviter que c'était maintenant sous son nez, collé à ses lèvres que ce sexe se trouvait, que le moindre hoquet de sa par lui faisait goûter les effluves de l'homme. Les mains de celui-ci passaient sur le corps de la nonne, lui attrapant parfois ses pis rebondis et avec de la détermination, la robe finit enfin dans la rivière.

Et Blum apparut dans toute sa simplicité, semblable à une œuvre d’art échappée d’un atelier divin. Sa peau, d’une blancheur nacrée, semblait capturer la lumière diffuse des lieux, la renvoyant avec une douceur presque irréelle. Chaque courbe de son corps était une ode à l’harmonie, un équilibre parfait entre délicatesse, vigueur et lubricité.

Ses épaules frêles mais droites témoignaient d’une force intérieure insoupçonnée, tandis que son dos, légèrement cambré, dessinait une ligne gracieuse qui plongeait vers une taille fine. Ses seins, à la fois fermes et pleins, semblaient avoir été sculptés pour incarner l’idéal féminin, leur galbe parfait rehaussé par la fraîcheur ambiante. Ses hanches, douces et subtilement marquées, promettaient une féminité épanouie, et ses longues jambes, fuselées comme celles d’une statue antique, complétaient ce tableau de pureté et de sensualité.

Mais au-delà de son apparence physique, ce qui frappait était l’expression de son visage : un mélange troublant d’innocence et de pudeur. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, trahissaient une respiration hachée par la confusion, et ses joues rosées ajoutaient une touche de vie à cette vision presque céleste.

Vulnérable, elle demeurait immobile dans la rivière, tremblante sous le poids de sa pudeur. Le rouge de la honte marquait ses joues jusqu'à ses oreilles, une chaleur envahissante contrastant avec la fraîcheur de l'eau qui caressait sa peau nue. Elle ne cherchait pas à se couvrir tant sa surprise la paralysait. Elle restait presque offerte à l'homme au-dessus d'elle, elle était tellement sous le choc émotionnellement qu'elle n'avait pas remarqué les oreilles animales.

Ses yeux, écarquillés, ne suivirent même pas la robe qui dérivait doucement plus loin dans le courant, elle fixait encore ce dard épais et long qui dansait au-dessus de son visage. Elle ouvrit la bouche pour parler, pour protester, mais aucun mot ne lui vint, comme si elle avait envie de regarder encore ce sexe qu'elle se mit à désirer laissant ses hormones s'affoler.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« le: dimanche 15 décembre 2024, 17:31:38 »
Madame Blum restait en position de prière, ses mains jointes, son regard fixé sur ce dard qui déformait le pantalon de l'homme. À travers le tissu, elle le voyait clairement, gonflé, prêt à jaillir, menaçant, presque vibrant de désir. Son visage, toujours rouge de honte, trahissait néanmoins un malaise profond, malgré ce que son corps semblait crier. Des tétines gonflées, dures, comme figées dans une attente silencieuse. Ses cuisses se frottaient contre le sol avec une insistance nouvelle, comme animées d'une urgence que même le silence ne pouvait contenir.

Je... je n'ai pas honte... je n'ai pas honte des saintes écritures… murmura-t-elle, la voix tremblante, mais affirmée, une lutte invisible dans ses mots, entre conviction et désir.

Mais elle avait honte, une honte qui la paralysait. Comme lorsque, plus tôt, elle avait fermé précipitamment le livre, incapable de lire les prochains versets. Son corps tout entier tremblait sous le poids de cette honte, elle ne sentait presque plus certaines parties d'elle-même, comme si elles s'étaient évaporées. Elle se surprit pourtant à lever les yeux, juste à temps pour voir l'homme penché au-dessus d'elle, ses mains s'attardant sur l'un de ses seins. Il le malaxait, amusé, jouant avec comme s'il n'y avait aucune frontière à franchir. À chaque pression, un petit gémissement résonnait dans le silence, et elle sursautait, haletant, un souffle entrecoupé, difficile à maîtriser.

Avec détermination, l'homme ouvrit le bouton de son pantalon d'une main agile pour dévoiler son sexe, dans le but de lui faire respecter les versets qu'elle avait prononcés. Libre, tel un ressort bien trop compresé surgit au visage de la nonne, la lubricité marquait son visage angélique d'une claque sur le nez et les lèvres. Une danse envoûtante était exécutée par le serpent à un œil devant le nez de la honteuse. Elle louchait en le fixant, hypnotisée par ce dard qui se mouvait sous la pression que le sang exerçait. Elle se raclait la gorge, elle était incapable d'avaler sa salive.

Je… je suis... sœur Blum...
 
Elle parla d'une voix à peine audible, tant sa gorge était compressée par le stress. La situation la dépassait : ses mains étaient moites, et chaque battement de son cœur résonnait dans sa poitrine comme un tambour affolé. Elle sentait une boule d'angoisse se former dans son ventre, une appréhension croissante face à ce qui allait suivre. Les pensées se bousculaient dans sa tête, mais aucune n'arrivait à se poser avec clarté. Elle avait l'impression que chaque mot prononcé pourrait la condamner davantage, mais pourtant, elle ne pouvait reculer.

Son visage de poupée était à quelques centimètres du sexe tendu, c'était sa bouche accueillante qui allait s'en occuper en premier car ses pis étaient déjà pris par les mains de l'homme. Ses tétines étaient raides et ses mamelons bien gonflés entre les doigts provocateurs de l'homme.  Elle ferma les yeux un moment, espérant échapper à cette pression. Mais chaque souffle semblait lui coûter plus cher que le précédent, chaque inspiration plus difficile. Elle se sentait à la fois fragile et perdue, avec ce poids étrange sur ses épaules, comme si le monde entier pesait sur elle. Et malgré tous ses efforts, rien n’apaisait ce tumulte.

Au pied du mur, ou plutôt de l'homme, elle se décida à ouvrir sa petite bouche, ses lèvres se décollaient pour faire entrer le gland brûlant de l'homme. Elle le déposa sur sa langue avant de refermer sa bouche autour, ses lèvres pinçant ce gros dard qu'elle faisait glisser plus profondément à l'aide de ses mains. Des petits doigts fins seraient la base de ce pilier s'appuyant sur ses bourses gonflées. Le gland vient buter contre sa joue plusieurs fois, la déformant pour créer une bosse sur le côté de son visage, avant de trouver le passage pour aller plus loin afin de pouvoir commencer des mouvements de pompe.

Elle leva les yeux, regardant l'homme pendant qu'elle avait son sexe dans la bouche, se sentant soudainement si petite, si fragile. Une vague de vulnérabilité la submergea, comme si elle était démunie face à la force tranquille qu'il dégageait. Chaque fibre de son être semblait vibrer, incapable de lutter contre la tension croissante qui pesait entre ses cuisses.

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