One Shot / Re : Daemon School -- Amon, Yuki
« le: samedi 21 septembre 2024, 03:19:31 »Elle avait un truc et il allait trouver quoi. S’il ne trouvait pas, au moins, il s’amuserait en essayant. Parce que, oui, Amon n’avait pas juste l’intention de la persécuter. Quand il voyait une jolie fille disponible, surtout si elle résistait, il ne pouvait pas s’empêcher de la travailler au corps jusqu’à la faire sienne.
Il avait de la chance, parce que le prochain cours était commun et la classe de Yuki était là. Son coup d’éclat avait fait son effet et elle était désormais isolée, reléguée au fond de la classe à une rangée libre, occupée à esquiver les boulettes vaines et narquoises des plus farceurs des démons présents.
Lorsqu’il entra, on l’observa évidemment pour savoir où il allait aller. Les succubes lui faisaient de l’œil, évidemment, leurs bandes se disputant comme toujours ses faveurs, et plus encore dans ce cours. Cheerleaders, geekettes, divas et rockeuses avaient réservé une place au centre de leurs tablées, et il se laissa tenter par chacune des propositions lascives et silencieuses qui lui étaient adressées avant de pointer son regard sur la brune. Ce truc en elle l’appelait plus encore, alors il dépassa toutes les rangées pour aller s’installer avec elle.
Enfin, plutôt que de s’installer avec elle, il décida de l’embêter et de continuer son petit numéro. Il se pointa devant elle et s’appuya sur la table d’une main avant d’écarter son livre de l’autre. Ses yeux rayonnants de magie rose captèrent les siens et il laissa son parfum tentateur se répandre jusqu’à elle. Il ne lui fit pas de cadeau cette fois, toute la puissance de son aura démoniaque l’envahissant pour la soumettre à une nouvelle montée de chaleurs et à un profond désir sexuel.
« Ben alors, Yuki, on se retrouve vite, » ricana-t-il. « C’est pas plus mal, j’en n’avais pas fini avec toi. »
Sans aucune gêne, il posa son sac sur la table près d’eux et grimpa dessus, s’asseyant juste devant elle, jambes écartées et retombant de chaque côté de sa chaise.
« C’est con que tu sois seule, » fit-il semblant de se soucier. « Je t’ai pourtant dit que qui tu es dépend de moi, ici. T’as pas envie d’être autre chose que la nouvelle que tout le monde méprise ? »