Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Randal Dragunov

Pages: [1] 2
1
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 14 juillet 2024, 21:02:27 »
Il est 21:02 et je viens enfin de finir d'écrire mes réponses pour être à jour. Reste plus qu'à tout revoire t les poster petit à petit dans le courant de la semaine.  8)

2
Il a pas l’air si romantique ce passé. Bienvenue et bonne chance pour trouver ton bonheur ici.  ;)

3
Bienvenue a toi dans le coin, jeune fille. Il y a rien de mal a savoir qui on est et ce qu’on veut dans la vie.  8)

4
Prélude / Re : Passeport de Karl Neumann [Vanéalidé !]
« le: mardi 25 juin 2024, 08:48:11 »
Mon dieu le retour en arrière quand je vois cet avatar. A moins de me tromper il s’agit du protagoniste d’un jeu d’enquête (dont j’ai oublié le nom) sur DS.

En tout cas bienvenue sur le forum.  ;)

5
Prélude / Re : Ko'rish l'Altan [Serenos]
« le: mardi 25 juin 2024, 08:46:34 »
Salut a toi, être sans genre spécifié.

6
Vous nous quittez déjà ? / Re : Un retour !!
« le: mardi 25 juin 2024, 07:47:49 »
Il y a pas urgence. Fais tes affaires en prenant le temps qu'il faut plutôt que de risquer le burnout en voulant tout faire en même temps. Surtout que la chaleur commence à s'installer de manière subite cette semaine après un temps bien pourri.  ::)

7
Vous nous quittez déjà ? / Re : Ohlala
« le: mardi 25 juin 2024, 07:46:32 »
Nous on ne bouge pas, alors prends le temps qu'il faut pour souffler. De notre côté on garde les mains chaudes pour (mettre des fessées le moment venu) les textes à venir.  ;D

8
De la douceur ? On parle de moi ?  8)

Bienvenue par ici. J’espère que tu y trouveras ton bonheur.

9
Les alentours de la ville / Re : C'est un Pokémon...{Dragunov}
« le: samedi 15 juin 2024, 18:36:57 »
L'ambiance jusque là assez calme dans l'ensemble prend un tout autre tournant lorsque Mona Duval fait son apparition. Les armoires à glace qui assurent la sécurité de l'évènement ont un peu de mal à calmer et dissiper la foule qui s'agglutine pour ne serait-ce qu'espérer voir la jeune femme dont ils sont fans. Quasiment tout le monde est bousculé par ce mouvement de foule. Oui, quasiment... Car personne n'oserait ne serait-ce qu'approcher de Randal Dragunov. Le bousculer, même de manière involontaire, est impensable pour toutes les personnes présentes. Déjà parce que beaucoup connaissent les rumeurs qui peuvent circuler à son propos. Mais aussi parce que l'aura qu'il dégage pousse inconsciemment à la prudence.


« C'est elle ? Elle est là ? »
« C'est ce que j'ai cru entendre en tout cas. »
« Il faut A-BSO-LU-MENT que je lui parle. »
« Pour l'assomer avec vos récits ? Je la plains déjà. »
« Mais... Je ne vous permets pas ! Je suis certaine qu'une femme aussi intelligente qu'elle verra que ma proposition ne manque pas de charme. »
« Elle sera surtout charmée par l'envie de se pendre. »
«  Huuu ! »



Non loin de Randal deux femmes semblent échanger sur la suite à offrir à cette soirée. L'une d'elle ressemble à ces vieilles bonnes femmes ornées de bijoux clingants de la tête aux pieds. Au point de ressembler davantage à un présentoir que l'on trouve dans une boutique qu'à une personne constituée de chair et de sang. Le genre à ne plus jamais vous lâcher si vous n'arrivez pas à être ferme d'entrée avec elles. Que Dieu ai pitié de la pauvre personne qui croisera son chemin lors de cette réception.


La tenue d'une telle soirée chez un personnage public peut sembler surprenant au premier regard. Mona Duval n'est pas du genre à écrire des romans que l'on pourrait lire dans le bus sur le trajet du boulot. En tout cas peu de personnes seraient à même d'assumer ce genre de lecture dans un lieu public sans crainte d'être jugée. Et pourtant on pouvait croiser nombre de célébrités provenant de domaines différents. Des personnages connus de la télévision, des sportifs, des grands noms de la mode, des lobbyistes. La dernière catégorie sera plus intéressée par la présence des grands noms pour nouer des contacts ou mettre en relation des personnalités de leur portefeuille.
Peu nombreux sont ceux qui pensent que le propriétaire des lieux n'ait lu ne serait-ce qu'une ligne de ses romans. Dans leur esprit il ne peut s'agir que d'une opération marketing ou de relation publique. Alors que pas du tout. Les goûts littéraires éclectiques de l'homme d'affaire lui ont fait développer une affinité insoupçonnée avec ce genre littéraire à sa grande surprise. C'est donc tout naturellement qu'il a profité de cette occasion pour organiser l'évènement de ce soir dans l'une de ses nombreuses propriétés.


« Pardon, il faut que je prenne cet appel. » indique Randal à son interlocuteur en s'assurant que personne ne le voyait s'éloigner pour trouver un endroit plus discret avant de répondre.


« Alors ? »
« Tout s'est déroulé comme convenu. »
« Et le contrat ? »
« Je l'ai sous les yeux. Toutes vos demandes ont été acceptées. »
« Parfait. Nous le signerons demain à la première heure. »
« Entendu monsieur. Je vous souhaite une bonne soirée. »
« A demain. »



La personne à l'autre bout du fil était Saeko, la secrétaire de Randal, qui venait lui confirmer que les discussions qui avaient eu lieu quelques heures plus tôt avaient été plus que fructueuses. L'homme avec qui ils ont déjeunés et qui était sous le charme de la jeune femme n'a pas résisté longtemps avant de leur proposer un contrat clairement à son désavantage pour tenter de séduire celle qui lui avait tapé dans l'oeil. Ce n'est qu'en raccrochant qu'il entend une voix à quelques pas de lui. Contenant sa surprise il avance de quelques pas pour remarquer que la voix féminine qui vient l'interpeller est celle de Mona Duval.

« Bonsoir, mademoiselle Duval. Hum... Oui, on peut voir la chose de cette façon. » Comme pour illustrer son propos, Randal lève la main pour lui montrer son smartphone qu'il range aussitôt dans la poche intérieure de son costume. « Être la cible de toutes les attentions doit être éprouvant dans ce genre de soirée. Mes invités sont ici chez eux, alors n'ayez pas peur de repousser les personnes qui seraient un peu trop collantes ou insistantes. Abusez même de mon nom si nécessaire. »

Le balcon donne l'impression d'être coupé du reste de la propriété. Contrairement à l'intérieur -et même l'extérieur aux abords de la piscine- qui sont bondés on peut y respirer sans craindre de finir à court d'oxygène au bout de quelques minutes. Ou de voir nos narines tomber à cause de mélanges de parfums haut de gamme qui ne se marient pas du tout les uns avec les autres. Sauf si on décide de créer un gaz toxique improvisé.

« J'imagine que ce début de soirée n'a pas été simple pour vous. Autrement vous seriez à l'intérieur avec vos autres fans et non ici. » Le fait de préciser qu'il s'agit "d'autres fans" laisse clairement comprendre que Randal aussi est un fervant adepte des récits de la jeune femme qui a fait fantasmer des milliers de personnes à travers le monde à ce jour.

10
La zone industrielle / Re : Tester la marchandise - PV (Sareeth)
« le: samedi 15 juin 2024, 17:13:58 »
Randal reste perplexe un bref instant quand la succube présumée lui demande avec une certaine assurance de s'éloigner de son futur ancien homme de main. Son regard reste fixé dans celui de l'inconnue avant d'accéder à sa demande en tournant la tête sur le côté pour se focaliser ensuite sur James. « Très bien. » Quelques mètres les séparent désormais l'un de l'autre.

« Je veux l'entendre avouer pour commencer. »
« B-Boss, je n'ai jamais... Aaaaaargh ! »

Son cri ne semble pas être lié à une quelconque douleur mais plutôt à un problème plus profond. Comme s'il luttait avec lui-même sans parvenir à conserver le contrôle de ses gestes ou pensées. « Cette connasse m'a forcée la main ! ». Effectivement, James a de plus en plus de mal à agir de manière contrôlée. Ses propos restent décousues et désordonnées. « Je lui ai proposé du fric. Mais elle a refusé. Sa conscience ! Rien à foutre de sa conscience moi ! Le fric ! Ouais ! LE FRIC ! JE VOULAIS JUSTE DU FRIC ! »

Un long soupir de déception est lâché par Randal. Est-ce par rapport à James qui commence vraisemblablement à avouer même si cela est effectué de façon désordonnée ? Ou alors parce que, justement, la façon dont il avoue pourrait montrer un manque d'efficacité de la part de la succube ? Il est fort possible qu'elle en garde sous le coude pour plus tard car c'est ce que lui ferait si les rôles étaient inversés. Lors de négociations il faut toujours cacher ses meilleures cartes en cas de besoin. C'est une règle primordiale car on ne sait jamais quelle genre de lapin la personne en face pourrait tirer de son chapeau.

Ce début de démonstration semble avoir convaincu Randal qui pourra de toute manière exploiter davantage la créature dans un avenir proche. Son propre vécu lui a d'ailleurs permis de vérifier que les techniques de charmes ou de manipulation mentale ont une efficacité des plus variables en fonction de la cible. Seul le temps permettra de vérifier si sa décision prise ce soir est la bonne.

« J'en ai assez entendu. Emmenez-le à la patinoire. » Sa voix reste froide alors que son regard se détourne de son désormais ancien homme de main pour se tourner dans un premier temps à un de ses sbires à proximité qui se penche en avant pour lui faire comprendre qu'il a bien compris sa tâche. Il va de soit que la patinoire n'en est pas vraiment une. Dans le milieu on a l'habitude d'utiliser des mots et noms du quotidien pour brouiller les pistes en cas de besoin. La police n'est pas la seule à vouloir suivre ou surveiller des personnes aux activités douteuses. Journalistes, escrocs en quête d'un bon coup sont tout aussi nombreux à Seikusu.

Pas totalement serein, il lève son pied droit pour tourner son corps afin de pouvoir se retrouver face à face avec la succube qu'il regarde droit dans les yeux comme pour chercher à la sonder une dernière fois. « Comme promis nous signerons le contrat en conservant les termes précédemment cités. Je vais juste devoir... m'occuper de quelque chose avant. Nous nous retrouverons chez moi dans deux heures. Cela te laissera le temps de t'installer. »

Sans perdre de temps Randal salue la succube de la tête avant de prendre congé avec une partie de son groupe. L'autre étant mis à disposition de la succube pour l'accompagner à la vaste résidence où réside actuellement l'homme d'affaire.

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Les alentours de la ville / Re : C'est un Pokémon...{Dragunov}
« le: dimanche 26 mai 2024, 07:29:04 »
Savoir s'entourer des bonnes personnes est primordial. Et ce peu importe dans quel secteur d'activité vous officiez. Il en va donc de même pour la personne qui suit au quotidien un homme d'affaires comme Randal Dragunov qui démarre tranquillement sa journée en entrant dans son bureau dont les locaux sont situés au plein centre-ville de Seikusu pour un tas de raison pratiques. Les deux grandes portes du bureau en question s'ouvrent en grand avec derrière-lui une femme au physique élancé. Il s'agit de Saeko, sa secrétaire personelle. Deux critères particuliers ont été privilégiés lors de son recrutement. A savoir ses compétences et son physique. Là encore, tout n'est que calcul car lorsqu'on a baigné dans les affaires assez longtemps comme c'est le cas pour Randal on sait que ce genre de compagnie aura toujours ses avantages. A maintes reprises les charmes de la jeune femme se sont avérés utiles dans ses négociations car certains hommes concentraitent davantage leur énergie à chercher à voir sous sa jupe qu'à écouter leur interlocuteur. D'autres cherchaient à se faire bien voir par cette créature de rêve en allongeant inutilement l'argent. Saeko n'avait aucun problème à en jouer à la perfection au fil des années car elle savait que son patron lui accorderait un bonus amplement mérité en fonction de son rendement.


« Monsieur, aujourd'hui vous avez une réunion à 10h avec Lupiol Inc, puis un déjeuner à 13h avec Monsieur Toki pour finaliser le rachat de sa start up. Puis, cet après-midi, une AP* qui est planifiée jusqu'à 17h avant la réception de ce soir pour l'écrivaine Mona Duval qui aura lieu dans votre villa secondaire. » (*Affaire Personnelle)
« Encore une longue journée. Merci, Saeko. Je compte sur ta présence durant ce déjeuner. »
« Vous êtes sûre, Monsieur ? Je ne voudrais pas déranger vos négociations. »
« Au contraire. Tu as vu comme moi sa façon de te regarder l'autre jour. Avec un peu de chance il baissera son prix et une partie de ces économies iront dans ta prime trimestrielle. »
« Très bien, je ferais de mon mieux. »



Son air impassible derrière ses lunettes font partie intégrante de son charme. Rares sont les personnes à pouvoir faire perdre ses moyens à la jeune femme qui semble promise à un avenir prometteur... ou à une retraite largement anticipée dans quelques années si elle arrive à bien gérer l'argent qu'elle gagne depuis quelques années auprès de son employeur actuel.


*****   *****

Le déjeuner se passe comme prévu. Le dénommé Toki dont Dragunov doit racheter la start up qui développe un tout nouvel outil technologique est un otaku en manque de confiance en lui qu'il cherche à masquer en portant des habits de luxe et une coupe à la mode. Un seul battement de cil de la part de Saeko ou un croisement de ses longues jambes suffit à lui faire perdre tous ses moyens et provoquer chez lui un retour de plusieurs années en arrière. Le voilà redevenu ce lycéen quasiment bégayeur dès qu'une fille s'approche de lui ou vient lui poser une question innocente. Sauf que pour ce pauvre bougre, la séduisante Saeko n'a plus rien d'innocent.

Le duo se met alors dans l'idée d'obtenir autant d'avantages que possible de ce dernier dans le contrat qu'ils finiront par signer une heure plus tard autour d'un dernier café. L'homme d'affaire s'en ira avec une promesse de bénéfices conséquents dans les prochaines années. Sa secrétaire avec un bonus amplement mérité. Et l'otaku un doux rêve de revoir celle avec qui il est persuadé d'avoir partagé des moments intimes et des regards pleins de sous-entendus alors que tout se jouait dans sa tête.

On peut trouver cela cruel mais c'est ainsi que le monde des affaires tourne. Peut-être qu'il se servira de cette expérience à l'avenir.


*****   *****


« B-Boss ! C'est un mal-ARGH !» Dans les films et séries ont voit souvent les victimes de passages à tabac attachées à une chaise ou à des chaînes avec les bras levés. Ici il n'en est rien car la personne qui est en train d'asséner des coups à sa victime sait qu'elle n'a rien à craindre de sa part. En face de lui se trouve un homme au visage tellement tuméfié que même sa mère aurait du mal à reconnaître son fils. C'est d'ailleurs avec difficulté qu'il arrive à articuler quelques mots.

« J'ai un sérieux problème avec toi, Takeshi. Car je vois la chose de deux façons différentes. Et, malheureusement pour toi, aucune des deux n'est bonne pour toi. » lui annonce Randal en se tenant fièrement devant lui tout en faisant craquer les os de ses deux mains. Telle une promesse de ce qui va lui arriver dans quelques instants.


« Tout a été vérifié ? »
« Oui, Boss ! Regardez ! »



Un homme tend un dossier à Randal qui commence à l'ouvrir et le parcourir dans les grandes lignes. Sa main fait tourner les pages et son regard devient plus sévère à chaque seconde qui passe sous l'expression terrorisée de l'homme à genoux face à lui. La peur qu'il ressent est si forte qu'il n'arrive pas à bouger. Pire encore, il craint que le moindre mouvement lui provoquer un accident de vessie.


« Takeshi, Takeshi, Takeshi... En lisant ça je me demande si tu es un idiot fini ou un déviant de la pire espèce. J'ai pourtant averti tous ceux qui veulent gérer des filles : PAS DE MINEURS !
Mais toi tu as cru bon de n'en faire qu'à ta tête. »

« J-J-J-J-Je... Je.... Pardon !»
« En plus de ça tu sais qu'il est interdit de tester la marchandise soi-même, non ? »
« E-E-E-E-Euh... Ou-Ou-Ou-Oui !»
« Alors pourquoi t'as fait ça ? J'ai une réputation à tenir. Vous avez d'excellentes conditions de travail. T'as un bureau, les filles bossent à l'abri et dans des lieux sûrs contrairement à d'autres pays où elles font le trottoir comme des animaux. Alors pourquoi ? Je comprends vraiment pas. »
« J-J-Je... Je sais pas ! »
« Heureusement c'est ton jour de chance. Je vais te garder en vie pour que le message passe auprès de tout le monde. »
« V-Vraiment ? »

« Oui, car contrairement à toi, je tiens toujours ma parole. Par contre... »

Randal termine sa phrase en même temps que deux de ses hommes viennent se saisir de Takeshi pour l'emmener plus loin. Ce dernier commence alors à paniquer et remue les jambes dans tous les sens pour tenter de se libérer de la prise des deux malabars qui font deux têtes de plus que lui.

« ... tu peux dire adieu à ce qui faisait de toi un homme. Si tu en as déjà été un un jour. »

Sans perdre de temps, l'homme d'affaire se tourne vers l'autre homme de main qui lui a tendu le dossier compromettant sur Takeshi quelques instants auparavant en lui demandant « Et pour la fille ? Vous l'avez localisé ? Parfait ! Allez la voir pour lui transmettre nos excuses à elle et sa famille. »


Bien entendu son nom ne sera jamais mentionné car Dragunov reste un homme d'affaire connu dans le milieu du business. Les rumeurs à son sujet vont bon train mais personne n'irait s'oser lui demander ouvertement dans quoi il trempe réellement. En tout cas les "excuses" offertes par ses hommes prendront la forme d'une somme d'argent rondelette.
D'ailleurs si Takeshi s'en sort en vie après cette histoire c'est parce qu'il n'y a pas eu viol et que la fille avait 17 ans. Si ça avait le cas on ne l'aurait probablement jamais retrouvé. Pas en un seul morceau en tout cas.



*****   *****


Toute cette excitation n'est pas encore retombée alors que Randal vient de finir de se changer au sein de sa villa qui a été légèrement redécorée pour l'évènement du soir. Le terme sobre n'est sans doute pas le plus approprié pour décrire les lieux et pourtant c'est la propriété la moins clinquante qu'il possède. L'endroit peut aussi bien accueillir des personnes pour une soirée qui rimerait entre chic et détente qu'une fête décontractée en plein été grâce à la grande piscine qui se trouve à l'arrière.
Deux grands salons, une cuisine qui fait la taille d'un appartement moyen, une piscine à l'eau transparente qui est mise en valeur par des lumières à son fond et des braseros positionnés de chaque côté en plus d'une terrasse qui peut accueillir plusieurs dizaines de personnes en font un endroit idéal et paradisiaque.

Très rapidement les invités défilent les uns après les autres qui doivent passer par une armoire à glace à l'entrée qui vérifie que chaque personne dispose de son invitation. Randal ne s'est occupé de rien concernant cet évènement si ce n'est de fournir les lieux pour accueillir cette artiste dont il est particulièrement friand. Une situation assez particulière quand on sait quel type de roman elle écrit et qu'on connait sa personnalité à lui. Comme quoi, les goûts et les couleurs...

Afin de se calmer un peu et faire redescendre sa tension, l'homme d'affaire qui porte son plus beau costume rouge ce soir commence par engloutir deux coupes de champagne d'une traite pour ensuite se rendre dans le premier salon afin de saluer ses invités avec son plus grand et charmeur sourire. Et cela semble bien se passer pour le moment car il échange des banalités et propositions d'affaires sans envergure avec de parfaits inconnus ou des contacts de contacts commerciaux. Rien de bien galvanisant en soi. La recette parfaite pour se changer les idées.

C'est alors que plusieurs voix se lèvent d'un coup et que l'attention de toutes les personnes se portent vers l'entrée de la villa. Apparemment l'invitée d'honneur vient de faire son apparition. Un petit attroupement vient alors se former au point de quasiment bloquer le passage. Un des agents de sécurité se voit alors forcé d'intervenir pour demander à tout ce petit monde de reculer de quelques pas en leur rappelant qu'ils auront tous l'occasion de discuter avec la personne qu'ils sont venus voir.

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Les alentours de la ville / On s'ouvre plus aux étrangers - PV (Luxury)
« le: dimanche 19 mai 2024, 13:55:04 »
La petite ville de Corry en Pennsylvanie ne compte même pas 7000 habitants. Un mélancolique couché de soleil se reflète dans le regard d'un homme qui vient de quitter une bâtisse constituée de pierres rouges à l'instant. Une porte en bois claque derrière lui en se refermant alors que son regard reste fixe vers l'horizon. Le temps se veut légèrement frais mais agréable. Ses cheveux se soulèvent légèrement à l'arrière de son crâne sous l'effet d'une brise qui traverse la rue principale qui serait qualifiée de déserte dans une grande métropole.
Les gens du coin ne trainent pas dehors passé 19h. Ils sont généralement chez eux, en famille. A profiter d'un repos bien mérité après une longue journée de travail. L'anomalie qu'il représente a se promener dans la rue à une heure pareille, glisse ses mains légèrement humides dans les poches d'un manteau bien chaud porté par-dessus un costume bleu marine. Errant d'un pas lent, l'homme finit par s'arrêter devant un panneau suspendu à un mur qui indique "Traveler's pub" (le pub du voyageur). Cette drôle de coïncidence le fait sourire timidement et l'incite même à pousser la porte pour investir les lieux.

Une forte odeur de bois et d'alcool lui emplit les narines au premier pas effectué à l'intérieur. Ce parfum nostalgique pourrait presque lui faire baisser sa garde le temps d'une seconde. Sa tête se redresse le temps de vérifier où se trouve le bar avant de décider quoi faire.
L'endroit est bien entretenu et sans fioriture au niveau de la décoration. Bien que légèrement vide. Seule une poignée de personnes, qui doivent probablement être des habitués, est là. Aucune d'entre elle ne semble cependant intéressée par son entrée. Aucun regard n'est dirigé vers cet homme qui décide de s'approcher du bar.

Une fois assis à l'un des tabourets du comptoir, un homme dont l'apparence ressemble plus à celle d'un employé de bureau que d'un barman s'approche de lui « On voit rarement de nouvelles têtes par ici. Qu'est-ce que je vous sers ? ». « Whisky, sec. » lui répond l'inconnu en posant un billet sur le comptoir.
La somme inscrite sur le billet a de quoi surprendre le propriétaire « Je pense que vous vous êtes trompé... ». « Laissez la bouteille. » l'interrompt-il sans pour autant hausser la voix.

La surprise passée, le propriétaire hausse les épaules et fait ce que son client lui demande après lui avoir versé son premier verre.

« Longue journée ? »
« On peut dire ça. »


Il peut arriver que de riches investisseurs viennent à Corry pour visiter des terrains ou juste faire escales durant un voyage plus long. Mais jamais ils ne viendraient passer de leur temps dans un pub avec de parfaits inconnus. Ce qui rend la présence de cet homme aussi déroutante qu'insolite.

« Qu'est-ce qui amène un homme comme vous dans notre ville ? » cherche à savoir le propriétaire des lieux pour engager la conversation. L'homme vient se saisir de son verre de la main droite pour siroter une gorgée de son breuvage bien corsé avant de répondre « Je me posais justement la question en entrant ici. Peut-être que cette soirée m'en donnera la réponse. »

Le propriétaire n'a pas le temps de le relancer qu'un client à une table l'appelle pour commander quelque chose. Celui-ci s'éloigne alors en s'excusant. Laissant son interlocuteur seul à fixer le contenu de son verre qui reflète la lumière.
C'est vrai, qu'est-ce qui l'avait amené à venir ici ? Aux USA. Ou plus précisément dans un patelin paumé au milieu de nulle part. Ce n'était clairement pas pour le changement de décor ou d'air. Lui qui vit aujourd'hui principalement au Japon n'est venu qu'une dizaine de fois aux États-Unis avant aujourd'hui.

De quel bâtiment venait-il de sortir avant d'arriver ici d'ailleurs ? Il n'y avait aucune inscription ou plaque sur ce dernier. A peine un numéro de rue effacé par le temps. Y était-il seul ? En tout cas lui se posait une question bien différente sur l'instant : Est-ce que ce voyage était une bonne idée ?
D'un côté cela lui a permis de régler un problème en plus de développer une opportunité commerciale rare. Mais loin d'être indispensable à sa réussite. Son objectif était davantage personnel que professionnel et c'est cela qui semblait le perturber plus que le reste.

Perdu dans ses pensées, seul, il termine son verre d'une traite pour se resservir tout aussi rapidement.

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La zone industrielle / Re : Tester la marchandise - PV (Sareeth)
« le: dimanche 19 mai 2024, 08:45:28 »
Apparaître dans un nuage de fumée ou parvenir à lui faire croire la même chose avec un papier sur lequel s'affiche un texte petit à petit sous ses yeux ne suffira pas à dissiper le scepticisme de Randal si facilement. Tout cela pourrait très bien être un tour de passe-passe destiné à le tromper. Par le passé il lui est arrivé de croiser la route de plusieurs E.S.P.er. Ces gens dotés de pouvoirs surnaturels peuvent réaliser des miracles aux yeux de personnes lambdas.
Alors non, ce dont il a besoin pour se faire un avis définitif c'est de concret. Seule une preuve de l'utilisation de ses pouvoirs face à lui suffira à satisfaire sa curiosité et sa prudence perpétuelle.

Randal répond « L'avenir nous le dire. » sur un ton calme à sa question sur sa capacité à pouvoir satisfaire ses demandes aujourd'hui et à l'avenir. Étrangement cette question le conforte dans son choix car elle sous-entend être intéressée par sa proposition.
Le regard du mafieux reste concentré sur le contrat pendant qu'il réfléchit à la condition qu'il pourrait imposé en cas de rupture de celui-ci au cas où la succube ne remplirait pas son rôle. Les pouvoirs possédés par cette dernière ne lui seraient pas d'une grande utilité s'il venait à les posséder. C'est alors qu'un sourire malsain vient s'afficher sur son visage alors qu'il relève la tête dans sa direction. « Vu à quel point tu tiens tant à ta liberté... Si jamais tu ne respectes pas ta part du contrat tu ne pourras plus utiliser tes pouvoirs pendant un mois. »
Autrement dit, elle sera totalement à sa merci si jamais cela venait à se produire.

L'homme s'avance alors en direction de la succube jusqu'à se retrouver presque collé contre elle. Son regard perçant plongé dans le sien pour la jauger le temps de quelques secondes. De la main droite il saisit par le col l'invocateur en lui ordonnant « Libère-la de ses entraves. » avant de le relâcher en continuant de fixer la succube en souriant pour ajouter dans la foulée « Je veux vérifier qu'elle est bien ce qu'elle prétend être avant d'aller plus loin. »

Un nouvel halo de lumière vient illuminer le tracé du cercle aux pieds de la succube pour le faire disparaître aussi rapidement qu'il a été dessiné à la craie par l'homme confus qui recule de plusieurs mètres par sécurité.
Randal effectue, lui, deux pas en arrière en levant le bras gauche « James, approche. » demande t-il sans quitter la femme du regard un instant. Un ordre auquel l'homme répond « Oui ! » pour ensuite se positionner à côté de son boss.

Le groupe est alors surpris quand James se mets à cracher ses tripes la secondes suivantes. Randal venait de le saisir par le crâne avec sa main gauche pour lui coller un puissant coup de poing du droit en plein dans l'estomac. La douleur est tel que l'homme de main de Randal tombe à genoux. Une poigne brutale lui attrape les cheveux pour le forcer à relever la tête en direction de la succube à qui Randal vient expliquer son geste. « Vois-tu, ce cher James ici présent a cru bon de... glisser sa main et se servir dans une boite à biscuits qui ne lui appartient pas. Et pour ne rien arranger à son cas il est même allé jusqu'à buter une civile qui l'a surprise. »

Coincé sous une poigne qui ressemble plus à un étau qu'à une main, James tente de sortir un couteau et de planter son Boss qui anticipe la chose et qui le plaque au sol en lui cassant le bras au passage dans un son qui fait grincer des dents l'invocateur qui regarde la scène de loin.
« Je ne te demande pas de t'en débarrasser à ma place car c'est mon homme, donc mon problème. Mais c'est l'occasion idéale de voir tes pouvoirs à l’œuvre. »

Une fois cette démonstration effectuée il signera le contrat sans hésiter un seul instant.

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La zone industrielle / Re : Tester la marchandise - PV (Sareeth)
« le: jeudi 16 mai 2024, 06:40:20 »
Au milieu du cercle d'invocation a fini par apparaître ce qui ressemble à une femme. Des cornes sur le front la démarque de tout être humain lambda cependant.
Les hommes autour de Randal ne savent pas comment réagir à la situation. Certains semblent excités par l'arrivée de cette créature alors que d'autres sont sur leur garde en gardant une main près de leur arme pour intervenir à tout moment. « C-C'est tout bonnement fascinant ! » s'exclame l'homme qui tient son livre fermement entre ses mains en ajoutant « Une succube ! Je n'en crois pas mes yeux ! Regardez, c'est une succube ! »

Cette information ne semble pas perturber Randal qui reste inflexible. Son bras droit se plie pour laisser sa main atteindre et gratter légèrement son menton tandis qu'il observe attentivement la créature. Il effectue même deux pas en avant tout en conservant un calme olympien. Sa tête se penche sur la gauche. Puis sur la droite. Avant que son regard ne vienne examiner de la tête aux pieds cette succube comme l'a appelé l'homme qui s'est chargé de l'invoquer avant de lâche un : « Intéressant. »

Sans répondre à la question précédente, Randal revient sur son autre propos avec un ton légèrement moqueur « Pourquoi ? Tu es attendue quelque part ? ». Tous deux savent qu'elle est privée de liberté pour le moment.
« J'aurais préféré faire cela ailleurs. Mais je préfère faire certaines choses loin des regards indiscrets. » lui explique calmement l'homme au costume sous les regards toujours soucieux de ses hommes.
C'est alors que celui que l'on pourrait qualifier d'invocateur lui explique en détails ce qu'il sait sur les succubes et leur nature. Déclenchant par la même occasion un sourire sur le visage de son employeur.

Randal se tourne une nouvelle fois en direction de la créature pour vérifier ses dires directement « Tout ce qu'il vient de dire est vrai ? Tu te nourris de l'énergie vitale des autres ? Tu peux également les séduire à ta convenance ? ». Voilà des pouvoirs qui pourraient s'avérer des plus utiles pour ses activités si la chose est avérée. Il ajoute, comme pour la convaincre de tout lui avouer avant qu'elle n e réponde « Car si tel est le cas j'aimerai passer un accord avec toi, femme. »

Le temps est laissé à la succube de répondre sous la surprise et la crainte toujours présente... grandissante même chez plusieurs des hommes de main de Randal. « Que voudrais-tu en échange de tes services ? Des richesses ? Des hommes ? Je peux te fournir les deux si c'est ce que tu tu souhaites. »
Ce qu'elle ignore c'est que l'homme qui se tient face à elle n'est un humain classique qu'en apparence. Des monstres plus terrifiant et plus mortels qu'elle il en a affronté et éliminé un bon nombre au fil des dernières années dans sa quête de pouvoir. Au point de développer une résistance plus que décente aux attaques mentales.

Si la succube décide d'accepter son offre et de passer un accord avec lui il la libèrera de ce cercle d’invocation pour s'assurer immédiatement de quoi elle est capable. Mais tout dépendra de sa réponse.

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Blabla / Re : Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mercredi 15 mai 2024, 18:40:07 »
Sept !

Tu arroses qui Randal ?  ::)

Les 9 plantes de la maison.  8)

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