Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Einrich Schätze

Pages: [1] 2 3
1
Einrich continuait à manger tranquillement à ses yeux, mais sûrement très rapide aux yeux des autres, habitué depuis longtemps à manger à coup de lance pierre sur les peu de repos qu'il pouvait avoir. Il écoutait attentivement les mots de la demoiselle, lui assurant qu'il était en sécurité ici, ce qui lui fit avoir une très discret moue incrédule, il aurait bien aimer la croire, mais son vécu l'en empêchait, c'était le genre de phrase qu'il ne se permettait plus depuis très longtemps.

Il venait de lui demander par la suite depuis combien de temps était-elle ici, depuis combien de temps vivait-elle ici et, il ne put que simplement hocher la tête sous ses mots, voyant que cela ne devait pas être si terrible de travailler ici si elle ne comptait plus les années qui passent. Il continuait donc de manger en silence par la suite, finissant bien vite son écuelle, nettoyé jusqu'à la dernière goutte à l'aide d'une tranche de pain, puis, son regard partit de nouveau sur elle lorsqu'elle lui dit qu'elle était bien plus âgé qu'elle n'en avait l'air, se qui le fit relever un sourcil de questionnement sous cette phrase. Mais la suite de la conversation le mit quelque peu mal à l'aise, venant a regarder d'un coup ailleurs lorsqu'elle lui dit qu'elle avait remarqué qu'il la regardait étrangement.

Il n'avait pas envie de paraître mauvais ou de mal la regardait alors il s'en voulait un peu, venant se frotter la nuque sous sa question avant de lui répondre simplement

" Je vous prie de m'excusez pour ça . Mais .... oui, il n'y a pas d'elfe par chez moi."

Rien de cela et il n'en avait jamais vu de toute sa vie, ni entendu parler, alors il n'avait pas vraiment put s’empêcher de la regarder en détail, surtout son visage, ses traits fin, suivant avec harmonie la courbe de ses oreilles, qui, bien sûr lié à son physique qui ne pouvait nier, était jolie, lui donnait un charme certains. Donc, sous sa nouvelle question, le soldat ne put qu’écarquiller des yeux en pensant qu'elle se disait qu'il pensait à mal d'elle, fixant son regard dans le sien en cet instant pour répondre rapidement

" Non bien-sur que non je .... Excusez moi je ...."

Il soupira un instant, quelle excuse chercher se demandait-il au début, avant de lâcher cette idée idiote et de parler sincèrement

" Non pas étrange, loin de là, je ... et bien je vous trouve ravissante et oui ... je dois bien avouer que le fait que vous ne soyez pas humaine joue avec ma curiosité et je m'en excuse si cela aurait put vous offusquer."

2
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 19 juillet 2024, 16:33:27 »
Recupere l'offre avec plaisir

Et 1 !

3
L'endroit restait étrange pour Einrich, même luxueux, trop luxueux, il ne s'y sentait pas à l'aise du tout et ne s'y sentait pas à sa place non plus, mais le dire ne servirait pas à grand chose. Suivant les pas de la dame, il l'écouta lui répondre sur le fait qu'il allait lui faire perdre du temps. Il n'avait pas d'argent sur lui, ses affaires ne valait sûrement pas grand chose par ici, donc, il ne leur rapporterait rien.

Et c'est bien ce point qui lui restait en tête, il ne leur rapportait rien et pourtant, il leur offrait l'hospitalité et de l'aide, ce qu'il trouvait étrange, trop étrange pour le mettre en confiance, choisissant de ne rien répondre de plus à la jeune femme aux oreilles pointu. Au bout de quelques centaines de mètres traversé dans les couloirs de cette grande bâtisse, Ils finirent par arriver devant une porte au sculpture très boisé. Lorsque la porte de la chambre s'ouvrit, le décalage entre les couloirs blanc et épuré et l’intérieur de la chambre sautait facilement aux yeux.

Un environnement des plus elfique, si l'on pouvait dire, mais pour Einrich, ce mots n'existait pas, étant donné que les elfes lui était inconnue autant de physique que de nom, en tout cas pour le moment. Son regard ce porta sur l'originalité des lieux un moments avant de quelques peu grimacer. L'endroit était propre, le sol possédait différent tapis qui lui paraissait cher et de bonne qualité, alors que lui était tout de même plutôt sale, alors, il ne put retenir une légère grimace à devoir passer par là, venant à entrer en évitant les zones les plus craintif, restant sur le plancher le plus possible, ce qui serait le plus facile à nettoyer.

Il finit par faire une petite révérence lorsque l'Aimante lui souhaita la bienvenue dans sa chambre avant de lui donner la phrase fatidique, faite comme chez vous. Il n'avait plus réellement de chez lui depuis bien longtemps et rien de ce qu'il connaissait ne ressemblait à cette endroit, certes agréable à l’œil, mais très dépaysant tout de même, il fit donc une petite révérence de la tête sous ses mots avant de lui répondre

" Merci Mademoiselle."

Puis, elle disparu de la chambre, le laissant seul dedans. Il tourna un instant sur lui même pour observer les lieux, son regard analysant l'endroit, tombant au passage sur l’alcôve ou se trouvait un lit et se dit qu'il devait être terriblement confortable au point qu'il se retrouverait sûrement bloqué dedans s'il se retrouvait à s'endormir dedans. Il avait bien envie de s'asseoir, mais, encore au vu de sa tenue et de la propreté des lieux, il avait du mal à choisir où. S'il choisissait le lit, il le salirait, ça il le savait, il pouvait aussi choisir la chaise derrière le bureau, mais c'était la seul et cela lui donnait l'impression de s'approprier les lieux que de s'asseoir sur la seul chaise des lieux, alors il abandonna l'idée et choisi de rester debout. La seul chose qu'il fit pour se détendre un peu, fut de défaire la boucle du baudrier de son fourreau, venant tenir le tout à la main en entourant se dernier de la ceinture du baudrier. Il resta ainsi à observer les lieux, à essayer de le comprendre pour en même temps comprendre la dame qui y vivait, puis, entendit la porte s'ouvrir de nouveau, le faisant jeter un regard dans sa direction pour découvrir le retour de la maîtresse des lieux.

Bien avant qu'elle n'est le temps de décrire le plat qu'elle transportait, une odeur alléchante était déjà arrivé à ses narines, puis, la descriptions finit par lui donner l'eau à la bouche. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas aussi bien mangé. Sur les mots de la dame, il s'approcha du bureau où elle avait posé le plateau, puis vint lui répondre sur un ton se voulant léger

" Il faut bien mourir un jour, alors si c'est avec un bon repas que cela arrive, je ne trouve pas cela bien dommage. Si jamais vous avez faim vous aussi, n’hésitez pas."

Finit-il par dire tout de même, venant lentement à prendre son repas en restant debout. Et rapidement après la première bouchée, il ne put se dire qu'une chose, le goût en valait l'odeur, le plat était délicieux, réellement, cela lui changeait des soupe de pain ou de l'avoine. Prenant un peu d'eau après quelques bonne bouchée du ragoût, son regard se tourna de nouveau vers son interlocutrice, prenant soin d'avoir la bouche clair pour parler

" Est ce que je peux vous poser une question ? " Dit-il dans un premier temps en attendant de savoir s'il en avait le droit ou non, puis ajouta " Cela fait longtemps que vous vivez ici ? "

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 29 juin 2024, 21:52:05 »
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Prélude / Re : Ko'rish l'Altan
« le: lundi 24 juin 2024, 20:25:12 »
Bienvenue à toi !

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 16 juin 2024, 12:29:17 »
6 en passant par la verrière

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Einrich regardait sans un mot les femmes discuter entre elle, se querellant à moitié. Il pensait cela car, leur façon de parler ressemblait pas mal à ses collègues, se tirant dessus a la moindre occasion, mais finissant toujours par finir avec un vers à la main à rire.

Il se contentait donc de regarder leur réaction, de suivre la conversation et d'obéir au demande qui lui était faite, mais il trouvait toujours assez amusante les réaction de la demoiselle aux oreilles si originale. Après avoir raconté tout ce qu'il pouvait se souvenir, installé dans une des fauteuil, le regard fixé sur un point inexistant pour fouiller dans sa mémoire autant qu'il le pouvait. Et non sans tout de même un peu de surprise, la dame des lieux avait l'air de savoir ce qui lui était arrivé. Les questions ne se firent donc pas attendre pour éclaircir certains points, alors Einrich se mit à réfléchir de nouveau, se grattant un peu la tête en réflexe.

" Et bien ... Cela dépend, certaines ont sûrement des années, d'autre quelques semaines, selon les demandes des supérieurs et l'avancé du conflit. "

Rapidement, il put la voir se lever et marcher jusqu'à une armoire, sortants diverses choses toute plus énigmatique les unes que les autres à ses yeux. Elle venait de lui dire qu'il avait été chanceux de tomber sur l'aime, est ce que cela était vrai ? Il ne se saurait seulement que lorsqu’il rentrerait chez lui, mais elle n'avait pas tort, cela aurait été bien plus compliqué si il n'était pas tombé sur elle. Il tourna donc sa tête à ce moment là en direction de l'Aimante, hochant la tête de remerciement, un léger sourire au lèvres avant de continuer à écouter ce que Yema avait d'autre à dire.

Ensuite, il put les observer se mettre à préparer une décoction, commençant quelque peu à se demander s'il n'allait pas devoir boire une mixture au goût des plus discutable, grimaçant légèrement en regardant les ingrédients. Mais il fut rapidement tiré de ses pensées, interloqué en relevant son regard vers son interlocutrice. sa question sur sa présence à la frontière était étrange, c'était pourtant quelque chose de simple à répondre, mais en même temps, il n'y arrivait pas vraiment.

La bouche entre ouverte, comme si quelque chose voulait sortir ou était enfouis en lui

" Et bien c'est juste mon travail ... je ..."

Pourquoi cette question le travaillait autant ? C'était simple, il en venait lui même à se demander ce qu'il faisait encore dans l'armée royal, il n'y avait plus d'ami, plus de connaissance, il commençait à ne devenir qu'un écho du passé.

Heureusement, l'Aimante le tira de ses pensées lorsqu'elle s'exclama avoir fini sa préparation. Clignant quelque peu les yeux, il se mit à regarder dans sa direction avant d'écouter de nouveau la ténébreuse. Il hocha la tête en apprenant donc à quoi allait servir la potion, finissant par dire que cela devrait attendre le lendemain pour être utilisé. Lui qui aurait préféré rentré au plus tôt chez lui pour ne pas plus se retrouver dans le pétrin face à ses supérieur, c'était raté. Il se reteint donc de soupirer, puis, sous les mots de la dame les invitant à sortir, il se releva de son fauteuil. Il fit une légère révérence avant de reprendre la parole

" Je vous remercie grandement pour votre aide Mademoiselle. Bonne soirée à vous."

Puis, suivi le pas, sortant de la chambre en étant surprise de se faire saisir la main. De nouveau dans les couloirs de l'établissement, il l'écouta chercher à le rassuré, ce qui lui tira un petit sourire en coin, la regardant le questionné.

" Vous savez, vous n’êtes pas obligé, je m'en voudrais de vous faire encore plus perdre votre temps."

Il avait bien deviné le type de lieux où il se trouvait et savait que le temps était de l'argent, alors en passer avec lui qui ne payait rien, ce n'était qu'une perte de temps pour elle, même si, il se doutait qu'elle était sûrement obligé de le faire pour le surveillé au cas ou il chercherait à causer des problèmes au sein de cet établissement. Il ajouta tout de même, toujours un peu gêné, mais sans aucune agressivité

" Et je vous les dis, je ne suis pas noble pour un sous, vous pouvez juste m'appeler Einrich."

Il força un sourire, toujours un peu gêné d'entendre ce titre accroché à son prénom, mais il ne lui en voulait pas.

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Prélude / Re : Hayao Tachibana ~ Dream On !
« le: jeudi 06 juin 2024, 20:25:01 »
rebienvenue !

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Il s'était bien dit que ses mots ne serait pas si facilement crue, mais bon, il ne pouvait pas vraiment dire autre chose, il avait toujours été très nul pour mentir, alors mélanger les choses pour faire paraître les choses plus crédible, il avait du mal.

Il ne put s'empêcher de laisser un léger soupire se faire entendre quand il eut l'impression qu'elle avait l'air de le croire. Son dialogue tenait et comme elle le disait, il ne connaissait rien en magie, juste qu'il n'aimait pas vraiment s'en approcher car cela lui apportait toujours des ennuies, la preuve actuel étant suffisant pour le prouver. Par contre il fut totalement surpris lorsqu’elle lui annonça lui offrir une chambre le temps de résoudre son problème de voyage.

" Je .... je vous en remercie grandement."

Dit-il en faisant une légère révérence sur sa chaise. Il ne se voyait jamais offrir quoi que ce soit, il avait toujours sué ou saigné pour obtenir ce qu'il avait aujourd'hui.

Sur la suite de leur discussion, il put se rassurer un instant en l'écoutant, venant lui répondre sans hésiter

" S'il y a quelque chose qui se trouve dans mes cordes, je serais de vous rendre service pour payer ma présence ici."

Nettoyage, protection, cuisine, il pouvait bien faire toute ses choses si cela lui était demandé pour payer son séjour en ses lieux et il préférait cela au fait de se voir offert quelque chose, car, de toute façon, une partie de lui, disait que cela pouvait toujours cacher des choses qui se retournerait contre lui. Il put ensuite la voir regarder la jeune femme qui se trouvait à ses cotés, un geste du visage, un regard échangé, lui laissant deviner qu'elle se parlait sans dire un mot.

Avant de partir pour la suite de ce périple, la maîtresse des lieux lui indiqua à l'avance qu'il devrait rencontrer quelqu'un d'autre, le faisant hocher la tête avant de se relever.

" Je vous remercie grandement pour votre aide Madame."

Une legere révérence suivit ses mots, puis, il emboîta le pas derrière l'Aimante, sortant du bureau pour retourner pendant un temps parmi les long couloir de l'établissement. Pendant leur marche, il ne pouvait pas s’empêcher de regarder la jeune femme, curieux, non pas pour son physique des plus gracieux et plaisant à ses yeux, mais surtout pour ses oreilles si inconnue à ses yeux, sa curiosité lui brûlant les lèvres, mais se retenant en se disant que cela serait sûrement mal poli. Il arrêta juste à temps ses pensées pour ne pas être surpris quand elle s'arrêta près d'une nouvelle porte. Il fut d'abord surpris par le geste et la mimique plutôt attendrissante qu'elle eut d'un coup, venant à se rappeler d'un détail qu'elle tenta de lui donner avant de rencontrer leur nouvelle interlocutrice, mais elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle apparut en ouvrant en grand la porte.

Une jeune femme, vêtu de son habit de naissance, se tenait fièrement et joyeusement devant eux. Bien que cela le surpris un peu, il n'en fut pas choqué, les mœurs de son royaume l'ayant quelque peu habitué à ne pas être surpris par ce genre de chose. Le plus amusant fut le fait que tout deux se regardèrent, mais que ce fut elle qui le dévorait plus de regard que lui. Malheureusement la joie de la jeune femme fut vite gâché par les parole de l'Aimante et, il purent reprendre le cours de leur venue chez elle.

" Enchanté de vous rencontrer. Je me nomme Einrich."

Dit-il tout de même pour ne pas paraître grossier. La suivant dans sa chambre pour ne pas discuter en plein milieu d'un couloir, il écouta l'Aimante attentivement, pouvant voir ses joues legerement rosé par la gene, chose qu'il trouva plutot mignon à voir. Il finit pas hocher la tête pour acquiescer de ses dires.

" Et bien, pour commencer ..... j'étais en poste a la frontière entre mon pays et un royaume ennemie, un endroit ou très peu de gens ce promène sous les dangers environnant et les mines arcanique enfouis dans le sol, j'étais avec un autre soldat qui me surveillait depuis une tour, parce que l'on avait entendu des crie au loin. Le problème, c'est qu'il y avait beaucoup de brume au vue de l'heure et donc que l'on ne voyait pas grand chose. Mais rapidement, on s'est rendu compte qu'il y avait quelque chose dans la brume, on ne savait pas trop quoi, mais cela s'est mis à me chasser. Je me suis mis à courir à tout jambes pour retourner à la tour parce que je voyais bien que c'était quelque chose de très gros et que seul, j'allais juste y laisser ma peau. Puis, d'un coups, plus rien, noir total, et ensuite je me suis retrouvé à me cogner contre des objet et à me rendre compte que j'étais dans une petite pièce dans votre établissement."

Il se mit ensuite à réfléchir un instant, cherchant s'il n'avait pas oublié quelque chose, mais, rien ne lui revenait, alors il regarda de nouveau la ténébreuse en venant ajouter

" Voila, je ne vois pas quoi d'autre je pourrais vous dire."


Ajoutant un sourire un peu gêné à tout cela.

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Einrich put facilement voir que son récit n'avait pas vraiment fait mouche au vu de l'expression qui se collait au visage de son interlocutrice, mais il ne pouvait pas vraiment la blâmer, il en aurait fait de même si les rôles avait été inversé.

Par chance, sous sa réponse, il fut soulagé, car elle lui annonça lui offrir le bénéfice du doute, venant alors sous ses mot, relâché un très léger soupire de ne pas avoir tout de suite des problèmes. Mais il n'était pas au bout de ses peines, l'entendant de nouveau attiré son attention en prononçant son prénom, ses paroles furent une douche froide. Elle venait de lui révéler l'endroit où il se trouvait et, il n'avait pas envie d'y croire, mais comme elle, il lui laissait le bénéfice du doute.

Il vint alors placer ses mains sur ses tempes, ses les frottant en fermant les yeux, le visage légèrement en direction du sol en réfléchissant à tout cela. Il était à des milliers de kilomètres de chez lui, très loin et dans un endroit totalement inconnue. Il finit par se frotter les paupières fermé avant de les ré ouvrir en l'entendant lui demander de la suivre. Il hocha simplement la tête en marchant sur ses pas, venant ajouter au passage.

" Pour éviter toute confusion supplémentaire, je n'ai pas de titre de noblesse."


Elle l'avait appelé Sir, mais il n'était rien de cela, pas de titre de noblesse, pas d'adoubement, juste un homme quelconque, alors il n'avait pas vraiment envie d'usurper un titre et de s'attirer de gros ennuies. Le chemin qu'il prirent était assez long, lui laissant voir la grandeur de cette endroit, avant d'arriver devant une double porte qui lui laissait deviner que ce n'était pas le bureau du concierge. Il prit donc une discrète mais profonde inspiration lorsqu'elle frappa à la porte, puis, la suivit dans cette pièce.

Un bureau, très spacieux, très luxueux aussi, rien de ce qu'il avait put côtoyer de toute sa vie, et cela ne pouvait dire qu'une seul chose, il était dans le bureau d'une personne très importante et qu'il restait d’être dans de beau draps s'il faisait un pas de travers. les nobles et les gradé lui faisait plus peur que la guerre, car eux, avait le pouvoir de transformer sa vie en enfer, alors que le premier pouvait tout simplement y mettre fin.

Derrière le bureau qui trônait dans cette pièce, se trouvait une grande femme, belle, élégante, au regard acéré, le teint assez proche de celui de la majorité des gens de son royaume, comme sa mère. Lorsque l'Aimante le présenta, il fit une révérence sans attendre, histoire de bien montrer l'exemple et de faire comprendre qu'il n'était vraiment pas la pour causer des problèmes. Sous un geste de sa part qui l'invitait à s'asseoir, il ne se fit pas prier, la paume de sa main venant se poser sur le pommeau de son épée pour la guider et éviter que le fourreau ne le gêne ou ne tape sur la chaise en s'asseyant. Il fit de nouveau un geste de respecter de la tête sous ses mots, puis, répondit donc à sa question

" Et bien, je vous remercie d'abord de me recevoir et d'écouter ma requête. Cela vous semblera sûrement stupide ou étrange, mais j'ai besoin de votre aide pour rentrer dans mon royaume. Voyez vous, j'étais en patrouille quand je me suis retrouvé dans le noir, puis, dans une petite pièce remplis de balais, dans votre demeure."

Il fit une petite pause dans ses paroles, puis repris

" Je sais que mon royaume n'est pas du tout à coté du votre et même qu'un océan les sépare."

Tout ce qu'il espérait, c'était juste que son royaume ne soit pas en froid avec le sien, sinon il sentait que cela risquait de mal tourner pour lui.

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Einrich avançait doucement dans les couloirs de ce bâtiment toujours inconnu à ses yeux. Il évitait de faire du bruit autant que possible, car s'il arrivait à en sortir sans se faire voir, il pensait que ce serait le mieux à faire.

Mais la chance ne dura pas vraiment longtemps pour lui, car dans ce couloir, une porte s'ouvrit. Il se mit à regarder  autour de lui, cherchant un endroit où se cacher, mais, la porte la plus proche était bien trop loin pour qu'il ne soit pas vu, le couloir en lui-même, bien trop long avant qu'il n'y ait un angle et le placard d'où il venait, revenait au même. Il se retrouvait donc à soupirer, acceptant le fait d'être découvert et tout ce qui pouvait en découler, voyant lentement la personne sortir de derrière la porte.

Son regard s'aiguisa et un sourcil se releva en voyant cette personne de la tête au pied. Ce n'était pas la plastique de cette personne ou encore sa tenue, même si, de ce qu'il eut le temps de remarquer, elle devait faire bien des envieuses, mais plutôt son visage et surtout ses oreilles. Ça, il était sûr, elle n'était pas humaine, et il ne savait pas vraiment ce qu'elle était, car il n'en avait jamais vu dans son royaume, mais en tout cas, elle était assez belle. Mais là n'était pas le sujet, ça, il le savait très bien, venant à reprendre ses esprit rapidement et contre toute attente, sa présence ne lui fit pas plus peur que cela, venant lui poser quelques questions sur sa présence ici.

Des mots qu'il en entendait, il pouvait donc deviner que cet endroit était une sorte d'auberge, mais le reste de ses questions lui firent penser à autre chose, plutôt une maison close. Son regard se porta un instant autour de lui avant de revenir sur son interlocutrice, commençant à ouvrir la bouche avant de la refermer, l'entendant reprendre la parole. Elle se mit à se présenter, lui donnant son nom, ou plutôt son surnom, ce qui ajoutait de la confidence sur l'endroit où il se trouvait, bien que cela ne lui servait à peu de chose.

Mais voilà, il fallait bien qu'il réponde et, autant être sincère, car comme on le disait, si l'on n'avait rien à cacher, les dieux n'avaient aucune raison de nous punir, non ?

" Bonjour Mademoiselle, je m'appelle Einrich et ....."

Il avait commencé sa phrase en inclinant la tête, puis s'interrompit, venant se gratter la nuque de gène en regardant un instant à côté de lui avant de la regarder de nouveau et de reprendre sa phrase.

" Les chances pour que vous me croyiez son mince, mais… Je suis apparu dans l'un de vos… débarras et… Je ne sais pas vraiment où je me trouve actuellement."

Oui, il savait qu'il y avait peu de chance pour qu'il l'ait convaincue que ce qu'il disait était vrai, mais au moins, il avait tenté et… si cela dégênerait, il pourrait toujours se mettre à courir en cherchant la sortie la plus proche si on tentait de le poursuivre.

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 10 mai 2024, 21:13:17 »
7 pour recoudre des chaussettes

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 10 mai 2024, 21:10:48 »
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14
Bon, encore un truc qui confirmait que je n'étais pas chez moi, parce que, dans " mon " royaume, on va dire qu'entre homme et femme, niveau obligation, on était un peu à la même enseigne. Je lui souriais simplement, parce qu'au ton qu'elle avait employé, je comprenais bien que pour elle, c'était normal et qu'elle n'imaginait pas vraiment les choses autrement.

C'est donc après tout ça que j'avais décidé à lui demander le nom de la capitale de son royaume. Bon, déjà, vu la tête qu'elle avait faite, je pense qu'elle était vraiment une fille du coin. Quand la réponse tomba, je me mis à me pencher en arrière, fronçant les lèvres, parce que franchement... Je n'étais pas chez moi.

Je n'avais aucun souvenir de comment j'ai pu atterrir si loin de chez moi, pourtant, j'étais sûr d'avoir pris un chemin connu. Peut-être que l'on me faisait une farce encore une fois, voir que quelqu'un m'a maudit à me retrouver dans d'autre contrée encore et encore contre mon gré. Comment j'allais rentrer chez moi ? Ça, c'était la question qui commençait trop souvent à me venir en tête. Je pianotais un peu sur la table avant d'être tiré de mes pensées sous sa question. Relevant un sourcil, je me demandais si c'était vraiment une bonne idée de dire quoi que ce soit, donc la réponse la plus simple fut

" Personne d'important."

Oui, si mes supérieurs ou mon roi m'entendaient, je pense que je me prendrais sûrement quelques coups de fouet ou travaux forcé, mais bon, la survie m'importais plus que l'ego sur ce coup-là. C'est après mes mots qu'une voix peu agréable s'éleva en notre direction. Un groupe de soldats, déjà bien arrosé, avait apparemment l'œil accroché sur la jeune femme et avait envie de jouer les mâles dominants. Grand bien lui fasse, si cela lui faisait du bien.

Elle se mit à s'excuser, devant partir pour aller faire son travail, venant me demander, un peu comme si cela sonnait comme une requête, si je voulais qu'elle repasse après. Franchement, vu les énergumènes qu'il y avait en face, je n'allais pas vraiment lui dire non. Donc j'avais opté pour un simple hochement de tête en réponse, avant que l'autre idiot qui me semblait facilement être le chef du groupe, avait l'air de vouloir aussi me chercher des problemes.

Ce qu'il me dit devait être du dialecte local, parce que je n'avais pas du tout compris un traître mot de tout ça, mais vu le ton, l'alcool transpirant de son visage et le rire de ses camarades, c'était facile à deviner qu'il se foutait de moi. Je n'étais pas chez moi, il valait vraiment mieux que je fasse profil bas, parce que, moi, je n'aurais pas de renfort si ça dégénérait. Sauf que, maudit soi ma stupidité et le fait que mes camarades décédé est beaucoup trop déteint sur moi, oui Timus, je parle de toi andouille, où que tu soi. Le reste de sa phrase ainsi que sa claque aux fesses ...... Ma réponse était sortie toute seule, sans avoir à réfléchir et sur un ton beaucoup trop détendu.

" Vous avez raison, celui de votre mère était plus à mon goût tout à l'heure. "

Je venais salement de me mordre l'intérieur de la joue à ce moment-là pour me punir de ma connerie et de ce qui allait arriver, venant prendre une gorgée en gardant mon regard attentif et des bons appuis sur ma chaise.

15
J'avais bien failli m'étouffer sous la phrase qu'elle venait de me sortir. Non, franchement, j'avais passé l'âge d'être beau pour les jeunes femmes, ça j'étais bien au courant, donc elle n'arriverait pas à me faire avaler ça. Mais en tout cas, ça m'avait bien fait rire. Elle devait bien voir sur mon visage que je n'avais pas gobé ça du tout, mais au moins, ça m'avait fait sourire, venant me rincer un peu la gorge avec une lampée de bière. Ce fut ensuite sa remarque sur le fait qu'elle allait mourir de soif avant la fin de son service si elle mangeait sa part du bretzel d'un coup.

Je n'étais pas né de la dernière pluie, je connaissais bien cette technique pour faire consommer hein, donc de cette façon, je ne me faisais pas trop avoir et en même temps je restais poli.

" Ce serais dommage en effet."

Dis-je un peu amusé avant de vouloir en connaître un minimum sur elle. Je l'écoutais tranquillement à travers le brouhaha de la taverne et là, un truc venait à me chagriner un peu. Je pense que ça se lisait bien comme il faut sur ma tête d'ailleurs, parce que, en entendant le nom des villes qu'elle venait de me donner, aucun n'avait sonné dans ma caboche à part un et ça c'était un gros problème. J'avais clignoté des yeux pires qu'un champ remplis de luciole une nuit d'été et je sentais bien qu'il y avait encore un problème dans l'air, donc quand elle eut fini, j'esquissais un simple sourire venant lui répondre.

" Il n'y a rien de mal à l'être, j'étais pareil dans ma jeunesse, même si ça a fini assez tôt."

Puis, je me penchais un peu vers elle, m'appuyant sur la table pour venir lui demander à voix basse ce qui me brûlait de lui demander.

" Mais dite moi, quelle est la capitale de ce royaume ? "

Qu'est-ce que j'anticipais sa réponse et oui, j'avais parlé à voix basse parce que ce n'était pas forcément le genre de question à crier sur tous les toits.

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