Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Takezo O. Mamoru

Pages: [1] 2 3 ... 7
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset IV
« le: samedi 21 décembre 2024, 01:27:17 »
En équilibre sur le bord d’une marche, Takezo bandait tous ses muscles pour ne pas tomber en arrière, bien vite délaissé par la propriétaire de tous ces paquets, qui n’avait pas perdu une seconde pour le devancer.

Ce n’est pas que les paquets étaient trop lourds, mais plutôt que, dans sa grande bonté, Madame Ieko n’avait pas jugé bon de lui laisser assez de place, interrompant sa course sans prévenir pour jeter aussitôt son dévolu sur une autre tête connue à harceler.

S’agitant dans un sens puis dans un autre pour garder l’équilibre comme sa constance, le garçon chercha à voir à qui s’adressait la vieille mégère, mais sans succès.

À entendre celle qui les accueillait, d’une voix particulièrement douce et chaleureuse, la sœur ne devait pas être bien âgée, s’était-il dit. Ce qui changeait de ces autres, avec lesquelles Takezo avait eu l’habitude de partir en « retraite », les années passées. Aussi était-il curieux de découvrir cette tête inconnue, des fois qu’elle soit plus agréable à regarder et plus sympathique que la vieille grenouille de quatre-vingt balais qui, quand il était plus jeune, ne s’était pas privée de lui donner la fessée à la sortie de l’église, pour une bêtise qu’avaient faites ses sœurs.

Madame Ieko refusant de se taire et gesticulant bien trop pour qu’il ait le loisir d’au moins se tourner, il ne le put pourtant…
Du moins, pas avant que l’on ne vienne dégager sa vue.

D’abord surpris, du fait qu’il ne pouvait rien voir, Takezo sentit un frisson lui parcourir l’échine quand deux petites mains chaudes vinrent frôler les siennes, désobstruant sa vue et soulageant ses bras en lui retirant deux des six cartons qu’il tenait tout contre lui, comme il le pouvait.

Son regard croisa alors celui de l’inconnue et… il se mit à rougir.
Heureusement, la nonne ne le vit pas. Enfin, il le croyait, puisqu’elle s’était de nouveau tournée vers Mme Ieko aussitôt après l’avoir délesté, trouvant la parade parfaite pour faire déguerpir la vieille chouette.

« A-ah… merci. »

Tel qu’il le supposait, la petite nonne, qu’il dépassait d’une bonne tête et demie, sinon deux, était bien jeune. Bien plus que ne l’étaient ses consœurs, en tout cas. Et… bien plus agréable à regarder, c’était évident.

Un beau brin de fille, au visage radieux et aux traits délicats… aux longs et sombres cheveux… rien à voir avec ce que l’on pouvait évidemment imaginer en pensant à une femme dédiant sa vie à la foi.

« Bonjour, madame. Euh… ma soeur. »

Alors qu’elle le toisait, de son petit air angélique, auquel était venu se greffer un joli petit sourire, Takezo déglutit, de nouveau surpris, alors que son attention venait d’être captée par autre chose.

Tout autre chose.

Les cartons pressés tout contre son buste, la jeune femme offrait sans le vouloir au garçon une vision qui, depuis toute sa hauteur, lui semblait aussi surprenante que délicieuse (et il n’avait encore rien vu).
Pressée sous le poids des paquets jaillissait la naissance d’une poitrine d’une taille qu’il imaginait peu commune, possiblement un peu au-dessus de la moyenne…

C’était un très maigre début de décolleté, en vérité, mais c’était bien assez pour attirer l’œil du jeune homme, qui était encore loin de savoir à quel point nous nous trouvions là bien, bien au-delà de toute moyenne.

Ses joues se fardant encore un peu de rouge, il regarda ailleurs, réhaussant les cartons sur ses bras avant de s’élancer vers l’intérieur de l’église, préférant prendre les devants, telle que la nonne le lui suggérait, plutôt que d’être pris à pêcher.

Acquiesçant d’un seul sourire et sans un mot, Takezo entra donc, regardant à droite à gauche où poser tous ces cartons et attendant la prochaine indication.

Toutefois, à retard, quelque chose le fit tiquer.

« Hum… le dortoir ? »

Personne ne lui avait dit que le groupe ne partait pas aujourd’hui… et que c’est à l’église qu’il passerait toute sa journée d’anniversaire. Et encore moins sa première nuit d’adulte.

Jetant un coup d’œil en arrière et n’apercevant pas le bus habituel garé sur le parking, il eût peur de comprendre.

« On… on ne part pas, finalement ? »

Se trouvant un coin près de la porte, Takezo posa au sol ses cartons, avant de poser les mains sur le premier des deux que tenait la petite nonne entre ses doigts, prêt à le lui reprendre.

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Verset IV
« le: lundi 16 décembre 2024, 18:47:43 »
Il est des sujets que, bien souvent durant l’adolescence, l’on met volontiers de côté, notre esprit -et nos hormones, parfois- ayant bien mieux à faire ailleurs.

Cela ne vaut évidemment pas pour tout le monde, toutefois trouvons-nous généralement, sur cette hypothétique liste, des sujets tels que les études, l’avenir, avec un grand A, la politique… ou encore -et cela dépend surtout du cercle familial-… la religion.

Oui, la religion.
Voilà un sujet, en tout cas, qui n’intéressait nullement Takezo. En japonaise pure jus, sa mère était dévouée au shintoïsme quand, assez étonnamment, son père, lui, préférait à ce dernier et au bouddhisme le catholicisme, qu’avaient amenés avec eux des prêtres portugais, bien des siècles plus tôt.

Ni Takezo ni ses sœurs n’avaient été contraints par l’un de leurs parents à « choisir un camp », ni même à se convertir ou quoique ce soit pourtant, pour une raison qu’aucun d’entre eux ne connaissait, c’est souvent à l’église que tous avaient pris l’habitude de se réunir, et ce en de nombreuses occasions, pour quelques célébrations quelconques, tout au long de l’année.

Si le patriarche n’avait jamais imposé sa foi à proprement parler, son investissement personnel dans la vie de sa paroisse était tel qu’il n’était pas rare que toute la famille ait à participer elle aussi à celle-ci. Pour de petites tâches, pour des travaux, du bénévolat, ou encore à l’occasion d’excursions annuelles, organisées avec d’autres membres actifs de la paroisse…

Et ça… ça… chaque année, pour le jeune homme, c’était bien trop.
Année après année devait-il se couper du monde et d’internet, au moins une semaine durant, mais aussi supporter de se faire tirer les joues par toutes les grenouilles de bénitier sur son chemin et, pire… devait-il supporter ses deux affreuses grandes sœurs, qu’il voyait bien assez comme ça toute l’année.

Les vacances étant arrivées, cette bien étrange période de l’année approchait également. Cette année cependant, c’était différent, lui avait dit sa mère. Son père devant effectuer un voyage d’affaires, elle et lui partiraient ensemble pour l’Amérique d’ici quelques jours, accompagnées de ses sœurs… et c’est donc seul qu’il irait rejoindre les paroissiens de cette petite ville, en bordure de Seikusu. Ces derniers ayant fort besoin d’aide, ses gros bras ne seraient pas de trop, lui avait fait remarquer son père, avant d’ajouter, avant que le garçon ne réplique, qu’il se débrouillerait très bien sans chaperon, lui qui fêtait ses dix-huit ans aujourd’hui même.

Vous parlez d’un cadeau…
Lui aussi, serait bien allé voir les plages de Floride.

Le regard dans le vague, l’adolescent resta bien silencieux durant l’heure de voiture qui les séparaient de l’église du petit village où il devait avoir rendez-vous, en début d’après-midi.
Son père lui avait retiré son portable des mains, lui rappelant qu’une semaine comme celle-ci lui ferait du bien… tout en communion avec la nature, et avec le seigneur lui-même…

Tu parles. Ses sœurs s’étaient bien moqué de lui à cet instant, tandis que, juste à côté de lui, toutes deux faisaient ensemble un selfie pour annoncer au monde entier leur départ en vacances.

C’est peu après treize heures qu’il débarqua sur le parking de l’église.
Il eut le temps de sortir son sac, mais oublia sa valise, pressé par ses soeurs, qui firent rapidement remarquer à leurs parents que, peu à près cette heure-ci, le périphérique de la métropole se trouvait souvent embouteillé.

Pas de larmoyants au revoir, juste quelques signes de main de son père, et de sa mère et, déjà… la voiture repartait, disparaissant bien vite dans un nuage de poussière, laissant Takezo, seul sur le parking, face à la petite bâtisse à clocher.

Il avait avec lui un peu de nécessaire vital, mais aucun rechange, évidemment, puisque privé de valise.

Takezo envoya bien quelques messages à ses sœurs pour leur demander de faire demi-tour seulement, au bout d’un quart d’heure, l’une d’entre elles se contenta bien sûr d’un simple « oups, tant pis ! », ponctué d’un emoji qui ressemblait à s’y méprendre à un doigt d’honneur. Ç’en était sûrement un, d’ailleurs.

« Tss », pesta-t-il, en envoyant valser un caillou d’un coup de pied, avant qu’une vieille habituée de la paroisse ne l’interrompe pour lui demander un coup de main, les bras chargés de cartons dont il ne connaissait pas le contenu.

Comme elle le fit tous les ans, Madame Ieko lui tira la joue, avant de s’ébahir en lui disant qu’il avait encore bien changé au cours de l’année qui venait de s’écouler. Quel gigantesque gaillard tu fais, avait-elle dit avant de lui donner une grande tape dans le dos, alors qu’elle lui avait collé absolument toutes ses affaires sur les bras.

Ne voyant plus rien devant lui, Takezo s’avança donc, guidé par la vieille dame au ricanement ignoble, grinçant déjà des dents en s’imaginant l’avoir sur le dos tout au long du voyage.

Deux minutes à peine s’étaient écoulées qu’elle n’avait pas tarie de question quant à ses parents, et quant au motif de leur absence cette année… elle qui adoooooore tant son paternel.

« Oh, bonjour Sœur Blum. », fit-elle, avant de donner au garçon une seconde tape dans le dos, lui qui, en plein milieu des escaliers, des cartons toujours pleins les bras, ne voyait absolument pas leur nouvelle interlocutrice.

« Allez, dis bonjour, grand nigaud. Voici Takezo, le fils de Monsieur et Madame Mamoru. Dites, vous savez qu’ils ne seront pas là cette année ? Oh quelle histoire… moi qui me faisait une joie de les voir et de m’entretenir avec eux au sujet de leur formidable donation de cette année. Vous savez que c’est eux qui ont payé pour la réfection du clocher, hein ? Dans son intégralité. Ah, quels gens formidables. »

Une fois lancée, la vieille pie ne s’arrêtait pas.
Cette semaine allait être longue. Très longue.

3
One Shot / Quelques braises en hiver (OS - PV Rosalia Del Tredici)
« le: vendredi 22 novembre 2024, 01:31:06 »
« Les clients de la 4 sont partis, tu peux aller t’en occuper ? » lance Himiko, jolie brune quelque peu fluette, la quarantaine, depuis le large comptoir de bois, à l’accueil de son auberge, à l’espèce d’armoire à glace qui passe d’une porte à une autre, dans son dos.

« Quoi, déjà ? Je croyais que ceux d’la 4 devaient rester jusqu’au réveillon. Je pensais justement descendre au marché leur chercher du saumon, ce matin », rétorque le grand type bedonnant qui, ayant interrompu ses incessants va-et-vient d’une porte à l’autre, semble peu à peu perdre son large sourire.

« Hm. Faut croire que ton menu n’a convaincu personne, cette année non plus. » lâche Himiko avant de conclure par un soupir empreint d’une pointe de déception qu’elle ne cherche même pas à dissimuler.

Forçant pour feindre un nouveau sourire tout plein de bonhommie, le grand homme barbu pose doucement l’une de ses larges pognes sur l’épaule de sa femme, avant de déposer un petit baiser sur sa joue.

« Tss. », fait-elle en le repoussant discrètement, d’un geste de la main, juste derrière le comptoir.

« T’en fais pas, va. On va y arriver. On y arrive toujours, non ? Allez, tu devrais aller à la salle à manger. Moi j’te remplace ici, puis j’irai débarrasser la chambre. J’ai fait des croissants ce matin. Comme en France, tu sais ? Tu devrais en prendre un, je suis sûr que ça te ferait du bien. »

Soupirant de nouveau, Himiko s’écarte lentement du comptoir, l’air renfrogné, avant de prendre la direction d’une porte par laquelle elle disparaît aussitôt.

« Des croissants ? Sérieusement, Honda ? J’ai beau chercher, je ne comprends pas pourquoi tu t’entêtes à te démener de la sorte jour après jour. On n’a même pas dix clients, là. J’espère au moins que ça ne t’a pas coûté trop cher. »

Alors que disparaît progressivement l’écho de cette voix continuant encore un moment de maugréer, d’une pièce à l’autre, Honda, lui, reprend machinalement un peu de son habituelle douceur. Une heure passe et l’homme salue à chaque fois bien chaleureusement ses quelques clients qui passent par là, et quel que soit leur besoin.

Sa femme ayant déjeuné et, revenant donc à son poste habituel à l’accueil, Honda quant à lui, prend la direction des chambres de la seule aile occupée de son immense auberge de montagne. Évidemment inquiet d’avoir perdu ses seuls clients ayant réservé pour les fêtes, mais ne le montrant aucunement, le grand homme s’occupe tranquillement du linge en sifflotant, ne faisant montre d’aucun signe de fatigue quand bien même il aurait bien des raisons de se dire épuisé…

Passant ensuite inspecter ses cultures au dehors, presque toutes ensevelies sous la neige, maintenant que débute le mois de décembre, il prend un moment pour tout bien recouvrir de cette vieille bâche qui, jour après jour, ne cesse de tomber sans qu’il ne sache trop comment.

Ceci fait, il est presque dix heures, l’heure de prendre une pause bien méritée, lui qui s’est levé il y a déjà six heures pour s’adonner à un peu de pâtisserie. Fort heureusement pour lui, au vu de leurs retours, ses clients semblent conquis par cette petite attention, qui les changent un peu de leurs traditionnels petits déjeuners, quand bien même Honda les confectionne avec tout autant de soin.

« Pfioouuu… », soupire-t-il, alors qu’il se glisse, seulement vêtu d’une serviette, dans l’eau presque brûlante des sources chaudes naturelles qui occupent l’arrière du complexe, en pleine nature et donnant vue sur la chaîne de montagne entourant les environs.

Bien sûr, si Honda appelle cela une pause, ce n’en est pas vraiment une.

Ses articulations s’étant à peine détendues, l’homme s’élance aussitôt d’un bon pas dans les bains, les traversant de part en part pour s’assurer du bon fonctionnement de celui-ci. Briquant la rocaille et s’assurant qu’aucun des contours du bassin ne présente la moindre aspérité, la moindre petite cassure qui pourrait blesser un pied ou un dos, Honda fait son grand tour une bonne demi-heure durant, avant de sortir de l’eau en vitesse pour ouvrir la porte qui, depuis l’accueil, donne aux clients un accès direct sur les bains.

Il n’est pas dix heures trente pile, mais aucun client ne s’en est jamais plaint.

« Dix heures quarante-cinq. Bravo, tu t’améliores. » lâche Himiko en ne riant qu’à moitié, tapotant l’heure qui s’affiche sur sa caisse enregistreuse, du bout de l’attelle qui encercle trois de ses doigts, tandis que son mari apparaît dans l’encadrement de la porte, en train de finir de se sécher.

Sa femme poussant un énième soupir en apercevant les quelques gouttes qui perlent sur le pas de la porte et qui trempent les merveilleuses boiseries de ce qui, un jour, fut le domaine de ses parents, Honda s’empresse de se baisser pour les éponger de sa serviette, comprenant tout de suite ce que voulaient dire ses mimiques.

« R.A.S. dehors. J’ai remis la bâche sur les choux et sur la rhubarbe, aussi. J’comprends toujours pas comment… »

« Hm hm. Oui. Madame Satoshi est passée tout à l’heure, chambre huit, elle ne veut pas reporter son rendez-vous, elle dit que son vieux dos la fait trop souffrir. »

Terminant de sécher ses cheveux et son épaisse barbe noire, Honda rejoint sa femme jusqu’au comptoir, attrapant délicatement sa main blessée.

« J’comprends bien mais, tu peux pas t’occuper d’elle comme ça. Et… on en a déjà discuté, la dernière fois tu me l’a bien fait comprendre : on n’a pas les moyens d’engager quelqu’un, alors… qu’est-ce que tu comptes faire ? »

« Hm, nan. Rien. C’est toi qu’elle veut. »

« Pardon ? »

« Je lui ai demandé si cela lui poserait un problème, si jamais, pour une fois, c’était toi qui venait la masser. Son mari lui a dit que tu faisais ça très bien, pour les hommes, alors elle a dit qu’elle te faisait entièrement confiance… et même que ça lui ferait peut-être pas de mal, d’avoir un homme fort pour soulager ses vieux os. »

« Oh. Bon… eh bien, si tu n’y vois pas d’inconvénient et… et elle non plus, d’accord. Je peux faire ça. »

« On a trop besoin de cet argent pour cracher sur ce que nous rapportent les massages. Mais… t’avises pas de mettre tes mains sous sa serviette. Pigé ? »

« Q-quoi ? Madame Satoshi ? M-mais elle a… elle a… au moins soixante-dix balais ! »

« Ah parce que tu le ferais si elle était plus jeune ? »

« Non ! Bien sûr que non. Ce n’est pas ce que je dis… tu sais bien… »

« Bien. Non, mais parce que la vieille Satoshi, elle, elle pourrait bien te le demander, alors fais attention, d’accord ? Bon, très bien. Le rendez-vous est à… quatorze heures cet après-midi. Je vais décaler ton rendez-vous homme d’un petit quart d’heure, que tout s’enchaîne bien. »

« Ok, super. Merci. »

« Ça va aller, juste après le repas de ce midi, ou tu veux que je reporte aussi celui de Madame Satoshi ? »

« Non. Non non. C’est très bien comme ça, laisse. Je vais aller voir où en est le bouillon de ce midi et commencer à mettre la table. Je me dépêcherai de tout débarrasser quand tout le monde aura mangé et… tout ira bien, d’accord ? »

Ceci dit, Honda entreprit aussitôt de retourner en direction des cuisines, mais fut interrompu par Himiko, qui l’attrapa par la manche. D’un tiroir du comptoir, celle-ci tirait un grand livre de comptes noir.

« Attends deux secondes. J’peux te demander de regarder ça une seconde, avant que t’y ailles ? Il y a un truc que je ne m’explique pas. Regarde, chambre douze, la semaine dernière. Le petit garçon, il avait bien pris une glace, non ? Tu te rappelles, il en avait parlé toute la semaine mais ses parents n’arrêtaient pas de lui dire qu’on mangeait pas de glace en hiver, et… »

« … et je suis allé acheter de quoi lui en faire une avec les fruits qu’il nous restait. Oui. »

« Eh bien je trouve pas de glace, sur leur note. »

« Ah bon ? C’est… bizarre. »

Honda se pencha un instant pour inspecter le livre de comptes, ne sachant encore comment annoncer à sa femme que si cette glace n’apparaissait pas, c’est simplement parce qu’il l’avait offerte à l’enfant, lors du dernier repas de la famille, avant leur départ à tous.

Mais alors qu’il commença à bredouiller quelque chose à ce propos, l’homme se rendit compte que sa femme ne l’écoutait plus, son attention visiblement attirée par quelque chose d’autre… il ne savait pas quoi.

Au dehors et en pleine tempête, derrière la grande porte vitrée de l’entrée, repartait un taxi. La cloche à la porte tintait soudain, quelqu’un venait d’entrer, interrompant le couple dans leur conversation.

« Bonjour, soyez la bienvenue. », dit Himiko.

Honda n’eût même pas le temps de lever la tête que sa femme lui flanqua un petit coup de coude sous le comptoir, puis un autre, pour attirer son attention. C’est un truc qu’elle faisait, quand arrivait une jolie femme, comme pour dire à son mari « Non mais, tu l’as vue, celle-là ? Elle se prend pour qui cette pétasse ? ».

Il la connaissait bien.

« Va donc prendre ses valises, tu veux ? J’peux pas porter tout ça en ce moment, tu sais bien. J’vais aller voir le bouillon. », renchérit-elle discrètement à l’intention de son mari, avant de disparaître tout en roulant des yeux.

Honda ne l’avait pas encore vue, mais il l’avait déjà bien compris, elle ne devait pas être du genre à plaire à Himiko.
Doucement, il redressa la tête.

4
Salles de cours et bibliothèque / Re : Takezo & Rosalia ✦ Special Treatment
« le: dimanche 17 novembre 2024, 17:29:49 »
Pour un garçon aussi jeune, inexpérimenté et timide que Takezo, il y avait toujours eu quelque chose de très… intimidant, dans le fait de se voir devenir le centre d’attention d’une femme comme Rosalia.

Les filles l’observaient bien un peu, en sport le plus souvent, mais ne l’approchait guère. Aussi, l’idée qu’il se faisait d’une hypothétique vie sentimentale, comme des contacts charnels qui pourraient découler de telles relations s’était, à dire vrai, bâtie davantage au biais de séries ou de films. Souvent pas les mieux écrits, d’ailleurs.

Pour être tout à fait honnête, l’imaginaire du garçon à ce sujet s’était surtout garni, avec le temps, d’images et de situations rocambolesques, qu’il tirait simplement du sacré paquet de films pour adultes qu’il consommait soir après soir… tristement machinalement. Son rapport à l’amour et aux femmes en devenant évidemment quelque peu… biaisé.

Lui qui n’était déjà pas bien populaire, n’avait non plus pas la moindre idée de comment plaire, de comment se faire remarquer…

Alors, forcément, quand s’inscrit soudain dans le paysage de son morne quotidien, une femme comme Mademoiselle Del Tredici, sa professeure de langue étrangère, figure semblant tout droit sortie du panthéon de ses fantasmes charnels et amoureux, que celle-ci s’approche sans qu’il n’ait pourtant rien demandé… ça fait quelque chose.

Faite comme ces femmes qu’il a pris l’habitude de regarder nues, en pleine action et dans des positions souvent… dégradantes, plus que comme ces autres filles qui peuplent son entourage et son quotidien, elle, et seulement elle, dans la réalité du moins, semblait avoir ce pouvoir… cette… capacité, à mélanger dans sa petite tête à lui, déjà bien en bazar, réel et fiction.

Comme tout droit sortie de son écran d’ordinateur, tard le soir, ou bien d’un de ses rêves, la seule existence de sa professeure, et le fait qu’ils coexistent l’un et l’autre en une seule et même pièce relevaient tout droit du mythe devenu réalité. Rosalia Del Tredici se faisant… fantasmes inavouables faits femme, pour ce garçon qui venait à peine de fêter son dix-huitième printemps.

C’était déjà assez compliqué comme ça, d’ordinaire, alors imaginez-vous à quel point ça l’était pour le garçon, maintenant qu’il se trouvait seul avec elle, en tête à tête dans cette petite salle de classe dont la porte venait d’être fermée. Figurez-vous comme cela devient pire encore, dans la tête de l’adolescent quand, du coin de l’œil, il la voit, il la sent approcher, dans cette démarche chaloupée qui fait si bien balancer ses larges hanches, et dont il connaît déjà par coeur l’hypnotisant mouvement de balancier.

Sa gorge se serre, son rythme cardiaque accélère.
Il appréhende, se fige presque, intimidé par cette bien trop délicate silhouette qui vient soudain projeter son ombre sur cette petite table qu’il finit de mettre en ordre.

- « C’est mon devoir de professeur que d’aider les moins bons élèves à progresser. »

Aïe.
Réfléchie ou non, voilà une pique qui ne manque pas de déstabiliser le jeune homme, qui manque déjà bien assez de confiance en lui. Ce n’est sans doute pas grand-chose mais, puisqu’elle fait, en tant que professeure, figure d’autorité, voilà des mots qui résonnent soudain lourdement dans sa tête, n’en finissant pas de le mettre en position d’infériorité.

Comme figé, alors qu’il peine déjà bien assez à ranger ses affaires, Takezo ne sort même pas un mot, pas un merci, n’étant pas bien sûr que de tels mots soient censés le réconforter.

Elle s’approche encore, se penche juste au-dessus de lui, au moment même où celui-ci pose son sac tout contre ses genoux.

- « Ne te soucies pas tant du regard des autres. Ou les rumeurs te gênent ? »

Le cœur du garçon fait un bond dans sa poitrine, encore, alors que bien des choses lui viennent en tête suite à ces mots. Comme un animal pris sur le fait, surpris en pleine bêtise, Takezo pense à lever la tête pour faire face à sa professeure… gêné, comme s’il était sur le point de se faire gronder.

Mais… bien vite, son regard n’a d’autre choix que de tomber face à tout ce qu’il n’avait fait que deviner jusqu’ici, et qu’il essayait d’éviter. Ses yeux cherchent à monter, mais bloquent, se paralysent, à la vue du si large décolleté que Rosalia offre à sa vue, en se penchant ainsi devant lui. À hauteur de son visage, tout juste, pendent deux énormes seins lourds et ronds, une plastique toute de rêve et de fantasmes, qui semble atrocement comprimée par ce chemisier pourtant si ouvert, et par des dessous qui devaient -c’est en tout cas ce qu’imaginait le garçon- en cacher plus encore.

Juste sous son nez, balançaient ces deux énormes choses…
Takezo dut se taire une seconde, peut-être deux, avant de trouver la force de regarder ailleurs, de se recentrer un peu pour répondre.

« - D-des rumeurs ? Quelles rumeurs ? »

Son visage ayant blanchi, ou rougi, il ne le savait pas, Takezo s’était empressé de détourner le regard, de faire mine de vérifier son sac à dos, encore.

« - Tu préfères qu’elles deviennent réalité, Illo ? »

Et rebelote. Takezo se figea, alors que son regard, plein de surprise, s’était levé une fraction de seconde à peine, pour croiser celui de la jeune femme.

Il était bien trop honteux pour espérer faire autre chose, alors il avait tenté de jouer les innocents. Jamais l’élève n’avait pensé que de telles rumeurs arriveraient jusqu’aux oreilles du corps professoral aussi, il n’en fut que plus surpris d’entendre Rosalia les mentionner ainsi.

Évidemment qu’il savait de quoi parlait sa professeure.
Si vous saviez ô combien celles-ci étaient venues nourrir son imagination, et hanter certaines de ses nuits…

Lui qui n’avait déjà pas perdu de temps pour se donner du plaisir, au-dessus de sa photo, dès lors qu’était arrivé dans sa boîte à lettres le trombinoscope de cette année, ses hormones n’avaient eu aucun mal à faire le reste du travail quand, au lycée, il entendit de plus en plus d’élèves les imaginer ensemble, l’un et l’autre…

Dans certains de ces rêves absurdes et complètement fous, que Takezo teintait évidemment de son expérience personnelle de la chose, Mademoiselle De Tredici et lui se tenaient ici, dans cette même salle de classe, mais pas tout à fait au même endroit.

Dans celui-ci en particulier -même si tous ses fantasmes se ressemblaient un peu, il faut l’avouer-, Rosalia était penchée à son bureau, à côté du tableau et face à tous les autres élèves de la classe. Complètement nue, sa large croupe ronde rougissait, claquait sous les assauts brutaux du jeune homme, qui n’avait de cesse de la faire hurler à chaque coup de butoir plus fort encore, coulissant son puissant organe entre ses fesses dodues…

Cette scène n’avait rien de réelle, de bien… réalisable, à n’en pas douter, du fait de ses propres proportions notamment, mais que voulez-vous, toute expérience, toute idée que Takezo avait de la chose, n’avait pour provenance que de nombreux sites aux noms douteux.

Quoiqu’il en soit, c’est cette scène en particulier qu’il eût en tête, quand il prit vraiment conscience de ce que sa professeure venait de lui demander.

Il s’était de nouveau imaginé en train de la sodomiser jusqu’à l’extase, comme il avait pu le voir dans un film qu'il avait regardé récemment, et cela avait eu pour effet de réhausser un peu plus ce gros sac, qui reposait sur une jeune mais bien belle bosse, qui n’en finissait plus d’enfler.

À cet instant, Takezo était perdu. Complètement perdu, trop emporté qu’il était par l’élan soudain de ses propres hormones.

Ce fut le rire soudain de sa professeure qui le ramena durement, mais heureusement sans doute, à la réalité.

« - Ne fais pas cette tête, je rigole ! »

Attrapant la chaise devant lui, la plantureuse jeune femme s’installait en riant, tandis qu’il peinait encore à reprendre entière et pleine conscience. Il était… hors de ses moyens, clairement, ayant l’impression de retrouver l’énorme décolleté de Rosalia partout, quand bien même lui cherchait à regarder ailleurs.

Puis vint un grand frisson, une véritable décharge électrique, qui parcourut en un instant son corps tout entier, courant le long de son échine, à lui faire hérisser les poils. Takezo se raidit, en comprenant que c’était l’une des belles et longues jambes de Rosalia, qui remontait doucement contre la sienne.

« - Je peux te donner des cours privés, si tu préfères. En fait, je te laisse le choix. Je peux continuer à montrer à toute la classe que tu es mon chouchou ou m’occuper de toi à la fin des cours. »

Lui qui n’avait aucune expérience de ce type de contact, ne put que s’imaginer bien des choses encore, d’autant plus après pareille « proposition ». Nombreux étaient les semblants de scénario qu’il avait dévoré, qui commençaient comme ça, pour finir eh bien… en parties de jambes en l’air des plus torrides, alors… Takezo déglutit encore, ayant perdu pied avec la réalité, une fois de plus.

Il tentait bien sûr de raccrocher les wagons entre eux, mais ne comprenait pas où sa professeure voulait en venir. Lui s’imaginait bien des choses, mais raisonnait encore juste assez pour savoir que tout cela restait du ressort de la fiction…

Décidément, cette sorte de… piège, qui semblait se refermer sur lui, lui paraissait bien compliqué. Était-ce pour cela qu’elle lui avait demandé de rester ? Qu’est-ce qu’elle avait en tête, sérieux ? Espérait-elle soutirer un peu d’argent supplémentaire à des parents peu regardants, en donnant des cours de soutien, après l’heure des cours ? Était-ce une arnaque ?

« Hum… e-eh… eh bien… »

S’efforçant de regarder par la fenêtre, pour être sûr de ne plus l’avoir, elle, dans son champ de vision, le garçon serra son sac tout contre lui, pour se rassurer, comme pour masquer une envie dont la… « taille », l’ampleur démesurée, ne risquait que trop bien de susciter émoi et surprise…

Il se sentait pris au piège.
Attendez, quand on y réfléchit… c’est bizarre, non ? Ce serait… une sorte de chantage ? En tout cas, c’était clairement pas une invitation à un rencard, c’est sûr.

Résigné et, désirant plus que tout s’extirper de cette fâcheuse situation, le jeune homme poussa un soupir.

« Je… je crois qu’je préfère la deuxième solution, si ça peut rester entre nous. Juste entre nous… après les cours. »

Une pensée traversa son esprit et ses joues virèrent encore au rouge, avant qu’il ne secoue la tête comme pour la faire partir. Comme si une petite voix s’était adressée à lui dans sa tête, Takezo venait de se demander : si l’école fermait ses portes après l’heure des cours, où allaient-ils bien pouvoir se rencontrer ?

La petite voix suggérait un love hotel, trois à quatre fois par semaine, sur l’heure du midi, ou bien le soir.

5
La boule au ventre, Takezo appréhende déjà la fin de cette nouvelle journée.

Et on n’est que lundi… des cours d’anglais, le garçon va encore en subir quelques uns, avant que cette semaine n’arrive à son terme.

Il est presque seize heures. Leur professeure n’est pas encore arrivée que déjà, nombreux sont les élèves de la classe à quitter leur chaise pour l’assommer de questions dont il n’a pas la réponse. Qu’est-ce que Madame Del Tredici peut bien lui trouver ? Se connaissaient-ils d’avant ? Est-ce qu’ils… sont ensemble ?

Le pauvre garçon n’avait déjà pas la cote, du fait d’être perçu par tous comme un « ignare tout droit sorti de sa campagne » mais, depuis que la classe avait changé de professeur de langue étrangère, tout cela avait pris une tournure plus désastreuse encore.

Heureusement pour lui, Takezo avait cette chance d’être plus grand et mieux bâti qu’une bonne majorité des adultes du lycée, alors de ses camarades, n’en parlons pas… S’il n’était pas bien apprécié des autres, ces derniers avaient au moins la jugeote nécessaire pour comprendre qu’il ne serait pas dans leur intérêt de s’en prendre à lui… physiquement.

Dans d’autres circonstances, il aurait été tout à fait possible que cette bien étrange attention dont il jouissait de la part de cette femme, considéré par tous les autres garçons comme étant la prof la plus canon du lycée, lui fasse connaître les affres du harcèlement scolaire…

Mais tandis que les questions s’accumulaient, à tel point qu’il ne savait plus ce qui venait tout juste de lui être dit, Takezo se mit à se demander, une nouvelle fois : pourquoi lui ?

C’est vrai, quoi. Qu’avait-il bien pu faire pour se faire remarquer de la sorte ? Assis au milieu des autres, il était évident qu’il était le moins gringalet d’entre tous et qu’il fallait être aveugle pour le louper, toutefois, ce n’est pas comme si il était particulièrement brillant. Pire encore, puisqu’il se plantait au moins deux fois sur trois, quant sa professeure lui posait une question -et cela arrivait souvent-, les railleries des autres n’en finissaient jamais. À tel point que ces cours d’anglais lui semblaient être un véritable calvaire.

« - Nan mais… sérieux, vous l’avez fait, c’est ça ? », venait de lui demander un élève qui, avant cela, ne s’était jamais donné la peine de lui adresser la parole.

« - Q-quoi ? »

Vissé sur sa chaise, encerclé par une bonne douzaine de ses camarades, le grand dadais venait de rougir. Il lui avait fallu une demi seconde pour comprendre où l’autre adolescent voulait en venir mais, moins que ça pour s’imaginer la scène. Après tout, ce n’était pas comme si il n’y avait jamais pensé.

Tous les mecs de l’école avaient dû y penser.
Au moins une fois, c’est sûr.

Il fallait dire aussi que, Mademoiselle, hum… Madame De Tredici, c’était quelque chose. Elle était belle, assurément, très belle même. Mais… sexy était peut-être un terme plus éloquent ici, tant la plantureuse jeune femme, que la nature avait pourvue de courbes plus folles que folles, tendait à jouer continuellement de ses charmes.

C’est… le genre de femme qui se sait belle, vous voyez ?
Et qui, de fait, aime attirer l’attention, savoir que c’est là tout un monde qui gravite autour d’elle. Même à l’école, pas un jour ne passe sans que l’on n’entende quelqu’un commenter son vertigineux décolleté d’aujourd’hui, ou bien le serré de sa jupe.

Il est impossible qu’elle ne soit pas au courant, qu’elle soit si naïve au point de ne pas voir, de ne pas entendre tous ces bruits qui courent à son propos, tout autour d’elle. Non, elle le sait… et elle en joue, c’est certain.

Mais alors… les autres ont raison, que lui veut-elle… à lui ? Pourquoi jeter son dévolu sur Takezo plus que sur un autre ?

L’adolescent n’a même pas le temps de formuler une réponse à cette question, à voix haute, que le bruit distinctif de ces talons hauts martelant le plancher de la classe l’interrompt dans le cheminement même de sa pensée.

Notre fantasme ambulant, celui de presque tous les garçons, pire ennemie de bien des filles, vient tout juste de faire son entrée dans la classe. Telle une nuée de corbeaux effrayés fuyant un épouvantail laissé en charpie, planté au beau milieu d’un champ, l’attroupement d’élèves qui s’était formé autour de Takezo déguerpit aussitôt.

Et… comme à chaque fois, cette nouvelle heure d’anglais suit exactement le même schéma que les précédents : tout devient vite une occasion pour la professeure de mettre en lumière son chouchou tout désigné… et cela suscite bien des interrogations tout autour.

La jeune femme ne rate pas la moindre occasion pour venir se pencher un peu sur sa petite table, bien consciente des regards posés sur cet énorme décolleté qu’elle ne dévoile que pour lui… mais qu’une telle proximité l’oblige à fuir…

Évidemment, comme à chaque fois, sa vision périphérique n’en loupant pas une miette, c’est gonflé qu’il finit, là, sous la table, priant pour ne pas être de nouveau interrogé au tableau quand approche la fin de l’heure.

À chaque fois, il l’échappe belle.

Mais cette fois, aujourd’hui, alors que sonne enfin l’heure de la fin des cours, l’heure de la libération…

« - Tu peux rester, Takezo ? »

Dans une nuée de murmures disparaissent peu à peu les élèves, désemplissant la classe en hâte, le laissant… seul face à elle.

Toujours vissé sur sa chaise, le dos droit, et raide, n’osant bouger, Takezo termine de réunir ses affaires… très lentement, retardant le moment où il devra quitter sa place pour se mettre debout.

« - O… oui ? Pourquoi moi ? »

« - Tu as l’air gêné, Illo. »

Et comment, qu’il l’est !
Fuyant son regard, comme la simple vue de ces courbes, à quelques mètres, l’ado cherche du regard un stylo, d’un côté, sa trousse, d’un autre… son sac, par-terre.

«  - Gêné ? Eh… eh bien… »

Les yeux rivés en direction de sa table, il range, prenant tout son temps, cherchant un moyen pour ne surtout pas tomber de nouveau nez à nez avec son décolleté. Le pauvre s’était déjà demandé quelle était sa taille de bonnet, ce genre de choses et là, maintenant, ce n’était surtout pas le moment d’y repenser.

Mais… peut-être pouvait-il aborder avec elle ces soucis qu’elle lui causait ? Après tout, elle était prof, non ?

« - Pourquoi… c’est toujours moi que vous interrogez ? C’est vrai que… je me suis un peu amélioré en anglais, depuis que vous êtes là, j’veux pas dire que c’est pas bien… mais vous avez remarqué que ça embête les autres, non ? »

Terminant de boucler ses affaires, le garçon reculait juste assez sa chaise pour pouvoir poser son sac sur ses genoux… et masquer son envie. Déglutissant avec difficulté, il priait pour que ses hormones le lâchent un peu, tandis que ses narines s’ouvraient, humant le doux parfum sucré de celle qui lui avait demandé de rester et… qui s’approchait maintenant.

6
Le coin du chalant / (OS) Dans l’espace, personne ne vous entendra crier…
« le: vendredi 25 octobre 2024, 17:25:12 »
Hello hello et joyeux (presque) Halloween, héhéhéhé !

Une fois n’est pas coutume, j’aimerais proposer ici, à qui le voudra bien, une nouvelle petite trame qui me trotte dans la tête depuis… un moment déjà. Je n’avais juste pas trouvé le temps de sauter le pas.
C’est désormais chose faite !

Le pitch :
Quelque part dans l’espace. Capturée à la suite de malencontreux événements, une célèbre pirate de l’espace décide, comme à son habitude, de jouer de ses charmes pour permettre son évasion avant d’être remise aux autorités. 

Pour plus de contexte :
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Le personnage à jouer :
Samus Aran as Capt. Mira
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Il s’agit évidemment d’un OS très porté sur la chose, mais je ne suis pas contre un peu de narration supplémentaire pour nourrir ce RP.
Je ne suis pas difficile non plus pour ce qui est de la longueur des posts, j’accueille avec plaisir les débutants comme les vétérans et m’adapterai en fonction, si tant est que cet OS trouve OSeur à son pied :-)

Voilà voilà !
Si jamais cette petite trame toute simple vous intéresse, n’hésitez pas à me répondre ici ou par MP. On peut encore l’étoffer un peu comme discuter de tout et de rien de sorte à en faire quelque chose de chouette (houhou).

À très vite o/


Petit plus à propos du Capitaine Mira :
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7
Le coin du chalant / Re : Beware, she plays for win. [0/2]
« le: mercredi 16 octobre 2024, 00:57:13 »
Une professeure, hein ?

Eh bien... si jamais tu as déjà quelques idées en tête, je me laisserai peut-être tenter, tiens  ::)

8
Prélude / Re : Bad Bitch
« le: lundi 14 octobre 2024, 01:36:44 »
Bienvenue à toi  :D

9
Vu ce qu’il venait de se passer, le vieux Honda était aux anges, tout ravi qu’il était de savoir qu’il allait passer du temps avec une certaine Tenshi, que l’adolescence avait plus que transformée.

La petite nympho de dix-huit ans à peine venait de passer de longues minutes à le soulager d’une merveilleuse façon et l’avait presque laissé sur le carreau. Sous ce pantalon que le vieil homme avait eu tant de mal à remettre, son sexe était encore trempé, tout couvert de bave… et ça se voyait, son bas se marquant d’une grande tache humide, courant jusqu’à l’un de ses genoux.

Heureux de la tournure qu’avaient pris les événements, ce dernier n’arrivait pas à redescendre, un énorme sourire marquant encore son visage d’une oreille à l’autre.

« Qu’est-ce qui te fait sourire comme ça ? », dit le vieux Gou qui émergeait alors de sa longue sieste, se tournant doucement sur le siège passager.

« Oh ! Tu es réveillé, vieux briscard, héhé. C’est rien, c’est rien… je suis content d’être là avec toi et ta petite-fille, c’est tout. Il fait beau, là. Ça fait du bien. »

Se redressant lentement, à son rythme, le grand-père de Tenshi tournait alors la tête à droite, puis à gauche, cherchant à comprendre où le groupe en était de son trajet, alors qu’Honda venait tout juste de se stationner, à quelques mètres d’une pharmacie.

« Où elle est, d’ailleurs, ma princesse ? »

Repensant à ce que sa « princesse » et lui avaient fait une petite heure plus tôt, Honda dut étouffer un petit rire.

« Ta princesse ? Oh, elle voulait que je m’arrête, là, pour acheter des trucs. Des trucs de fille, héhé. Tu sais ? »

« Oh, d’accord. »

« Tu as bien dormi… « papy » ? »

Gou se mettant à bailler aux corneilles, son ami prit ça pour un oui.

« Héhéhéhé, on a vu ça, oui… j’avais perdu mon copilote, héhéhé. Heureusement c’est une brave petite que tu as là… elle est venue me donner un coup de main, héhé. »

Tenshi faisant irruption, de retour de la pharmacie, les deux hommes s’interrompirent. Attendant que Gou regarde ailleurs un moment, tandis qu’ils reprenaient la route, le vieux dégueulasse plia en deux le gros chèque qu’il avait préparé pour Tenshi, avant de le glisser entre ses fesses, dès qu’ils les vit passer.

Avant que son grand-père ne se réveille, Honda avait pu s’amuser encore un peu, alors que la jeune fille s’était assise seins nus juste à côté de lui mais, désormais, il leur fallait être plus discret.

Aussi, quand Tenshi s’exclama après avoir vu les nombreux zéros indiqués sur le chèque, le vieil homme dut lui faire « chut » discrètement, pour n’éveiller aucun soupçon.

« Qu’est-ce qu’elle a dit ? »

« E-elle a vu une biche. Une biche. Tu l’as pas vue ? Elle était juste là, à côté. Heureusement que je roule pas trop vite, hein. Elle a bondi d’un coup. Merci ma chérie… on a failli avoir des ennuis, là. »

Plus tard encore, alors que le groupe s’aventurait toujours plus loin en forêt, traversant désormais des massifs plus montagneux, le vieil homme dut recommencer son manège.

Alors que, dans son rétroviseur, monsieur Honda avait vu Tenshi glisser la petite boîte de pilules dans son décolleté, il sentit son coeur se serrer alors que, sans trop de discrétion, la belle s’approcha pour lui demander, tout bas, s’il voudrait bien jouir dans un bol demain matin pour qu’elle ait un peu de son « lait » pour tremper ses tartines.

Ne pouvant refuser de répondre à pareille invitation, Honda le fit tout bas. Il murmura, et murmura vite moins fort encore, en constatant que derrière Tenshi, Gou, son grand-père, tendait une oreille curieuse.

« Oooh… petite coquine… héhé. Seulement si c’est toi qui viens le chercher… »

« Qu’est-ce qu’elle dit ? »

« Dis-donc, tu deviens sourd, héhé ? Ta petite-fille dit qu’elle a acheté du lait pour le petit-déjeuner, vieux curieux. Comme elle sait que tu aimes pas ça, elle demandait si j’en prenais aussi… c’est tout. »

« Oh. Tu es gentille, ma chérie. Mais moi j’aime pas ça, le lait. »

« Oui, c’est bien ce que je viens de dire, vieux grisou. C’est dommage hein, je voulais vous emmener chez mon frère demain. Dans sa ferme. Là-bas aussi ils ont du bon lait… C’est pas grave, Gou, je t’emmènerai pêcher pendant que les garçons montreront à ta petite chérie comment traire les vaches. On va tous s’amuser. »

Guettant du coin de l’œil comme Tenshi l’aguichait depuis l’arrière du camping-car, Honda se fit nerveux, cherchant un nouvel endroit où s’arrêter au plus vite… maintenant que Gou était réveillé, il lui serait sans doute plus difficile de passer du temps seul avec sa petite-fille, mais quand bien même, il lui fallait essayer. Après leur échange de tout à l’heure, le vieux porc mourait d’envie à l’idée d’enfiler la jeune fille.

Surveillant les panneaux à la recherche d’un coin tranquille, Honda finit par en laisser un capter son attention, signalant une vieille cité médiévale, et de caractère, qui semblait aussi comprendre un parc à thème. Perché à flanc de falaises rocailleuses, l’endroit paraissait -sur le panneau du moins- sublime.

Regardant Gou, puis Tenshi, Honda proposa :

« Vous voulez qu’on aille faire une balade ? »

Gou regardant le soleil déclinant, puis l’heure -il était presque 18h-, il soupira.

« Il se fait tard, Honda. Continuons un peu et trouvons un endroit pour la nuit. C’est qu’on n’est plus tout jeunes, nous, hein ? »

« Oooh… allez. Tu as dormi tout l’après-midi. Marcher te fera le plus grand bien. Et ta petite fille, alors ? Une princesse comme elle… elle mérite son château, tu crois pas ? »

S’imaginant un parc à l’entrée hors de prix, le pauvre Gou craint alors le pire.

« On peut revenir demain si vous voulez. Il est tard maintenant. On n’aura pas le temps d’en profiter à cette heure. Ça ne te dérange pas Tenshi ? »

« Vieux rabat-joie, va. Peut-être qu’ils ont des spectacles de nuit, du son et lumière… on peut tout de même aller regarder, ça ne coûte rien. Puis ils ont peut-être des hôtels thématique aussi, héhéhé… Allez, allons voir. Pour faire plaisir à ta petite fille. Dis-nous tout ma chérie. Tu veux pas que tes deux papys te payent une belle robe de princesse, là ? »

« À quoi bon venir en camping-car si c’est pour dormir à l’hôtel, tu veux bien me dire ? »

« C’est pour nous changer un peu. Puis il n’y a peut-être déjà plus de place hein… je dis juste ça comme ça. On va passer les prochains mois dans cette vieille bicoque roulante, alors… ça nous changera. »

Bien embêté tandis que le vieux Honda avait pris la sortie en direction de la cité médiévale, Gou lâcha un nouveau soupir, signe qu’il avait déjà plus ou moins abandonnée la lutte.

« Bien, bien… si ça peut vous faire plaisir. On va aller voir si c’est toujours ouvert. Tenshi, c’est toi qui décides. Tu veux aller voir le parc et faire les boutiques, un peu ? Après tout, c’est ton premier jour avec nous. Ça se fête… »

Lentement mais sûrement, le camping-car prenait déjà la direction de la cité et de son parc, fléchés à quelques kilomètres plus loin.

10
Pour un vieil homme qui n’avait eu d’occasion de montrer le loup à une jeunette depuis longtemps, le vieux Honda se débrouillait encore pas trop mal, fallait-il croire !
Quand bien même Tenshi devait se retenir, de peur de réveiller son grand-père, la belle petite chatte ronronnait fort quand Papy s’occupait d’elle du bout de ses gros doigts. Elle semblait prendre du plaisir et ça, c’était quand même pas rien, pour un vieux hibou comme lui.

C’est qu’elle lui plaisait bien, en plus d’être terriblement canon, à lui balancer toutes ces insanités comme s’il s’agissait de mots doux. Qu’elle lui dise qu’elle n’avait jamais connu d’homme noir… ça, ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd.

La jeune fille l’aidant à se relever, il se décolla vite du lit, un sourire jusqu’aux oreilles.

« Hihihihihi… bien, bien. C’est bien, ça. Tu es une brave fille, ma jolie poupée. Si c’est des gros kikis noirs que tu veux, Papy y va t’en donner. Il va vendre tes grosses fesses là. Je vais t’emmener faire un petit tour de la région, tu m’en diras des nouvelles. Je vais t’amener chez les sauvages, moi… tu vas écarter tes belles jambes là, te mettre à quatre pattes. Et ils vont te baiser chacun leur tour. Comme une belle jument. héhéhé. À cent… peut-être mille, héhéhéhé. Si c’est ce que tu veux, je peux te présenter du beau monde, hé… »

Lâchant de telles obscénités sur le ton de la plaisanterie là encore, l’idée germa quand même un peu dans la tête du vieux pervers, que tout cela amusait sans doute un peu trop.

Laissant la jeune femme l’emmener avec elle jusque dans la minuscule cabine de douche, silencieusement, ce bon vieux monsieur Honda continua de se laisser faire, toujours attentif à ses moindres désirs. Continuant de caresser son petit sexe, il n’en oubliait pas d’autres attentions, comme l’embrasser dans le dos ou dans le cou, en pinçant deux fois ses belles fesses de sa grosse main libre.

Tenshi prenant vite place, dos à lui, l’homme se mit également à son aise, la laissant soulever à deux mains son gros bâton très lourd pour continuer de l’astiquer entre ses cuisses.

« Mmmmh… si tu te penches comme ça, c’est un peu comme si je baisais ton gros cul hein ? Héhéhé… »

Se mettant à la taquiner du bassin, le pervers de mit à balancer le popotin d’avant en arrière, mimant des va-et-vient qui firent vite rougir le cul de la rouquine.
À sa demande, il enfonça de nouveau ses gros doigts entre ses fesses, lui en mettant bel et bien trois d’un coup, sans plus la préparer, histoire qu’elle les sentent bien.

« Héhéhé… tu vas jouir aussi, hein ? Coquine… Tiens. »

Agrippant son cul d’une main ferme et féroce, il se mit à la culbuter de l’autre sans plus attendre, s’enfonçant en elle vite et bien, sans plus chercher à la ménager.

La belle étant déjà au bord de l’extase, son effort ne fut que de courte durée, avant qu’elle n’explose tout contre lui, retenant au mieux ses couinements. Se tordant dans tous les sens sous l’effet du plaisir, la jeunette se contractait, se lovant contre son gros ventre avant d’aller l’embrasser à pleine bouche.

Pour la peine, le beau mâle la lâcha pour la serrer tout contre son corps, empoignant ses gros nichons, les décollant de la vitre de la cabine pour l’occasion.

Imposant davantage dans sa bouche cette grosse langue baveuse qu’elle était venue chercher de son plein gré, le gros noir ne lui laissa pas le moindre répit, malgré son orgasme récent.

« Mmmlllmmmhmlmmm… tu as aimé, hein ? J’ai très très hâte aussi, moi. Tu le mérites hein… petite traînée, héhéhéhé. »

Voyant comme Tenshi se laissait glisser contre son corps, échappant lentement à son étreinte, l’ancêtre lâcha ses gros seins pour la laisser se tourner, se mettre à genoux, à hauteur de son prodigieux chibre.

Soulevant de ses deux mains l’épaisse bûche toute molle, qui n’avait de cesse de rebondir un coup à droite, un coup à gauche, la jeune femme la reprenait aussitôt en bouche, la couvrant de plus de traces de son rouge à lèvres… de sa salive…

Baissant les yeux pour la regarder, leurs deux regards accrochèrent l’un et l’autre intensément, tandis qu’elle lui bouffait le gland. Tendrement, le vieux Honda lui caressa la tête, passant ses doigts entre ses beaux et longs cheveux roux. La bouche légèrement entrouverte, le vieillard laissait échapper quelques petites soupirs… il était près de la fin. Il ne le hurlait pas, certes… mais il le sentait bien.

« Mmmmh… ou-ouiii… c’est ça. Mmmh… ouh, ça c’est la bonne fille à son Papy, hein ? Dis-le à Papy, tu as aimé le gros zizi de Papy Honda, hein ? Tiens… tends-moi donc ta joue, là. Je vais te la donner, ta crème solaire, là. Tu lui as fait beaucoup plaisir… c’est l’heure du dessert maintenant. »

Rentrant les fesses pour reculer d’un petit pas, le vieil homme se saisit de son sexe à l’aide de ses deux grosses paluches, l’extirpant de la bouche de Tenshi dans un soupir.

S’astiquant lentement d’une main, serrée contre sa base, Honda se servait de l’autre pour secouer son engin, tapotant la joue de Tenshi avec.

« ooooh… ooooooooooh… ouuh, ferme les yeux, mon trésor. Papy va te jouir sur ton beau visage. »

Attendant que la jeunette s’exécute, le vieillard entama quelques rotations de poignets censées l’achever. Son poitrail gonflait, gonflait et gonflait encore à mesure qu’il retenait son souffle… sur le point d’exploser.

« Mmmmmmmh. MMmmooh oui… ouiiiii. »

Et sans crier gare, alors que le bout de son gland était dirigé tout droit vers l’œil de la jeunette, son urètre gonfla… s’entrouvrit… pour libérer un premier jet de foutre. Long, épais… semblant intarissable, celui-ci vint frapper de plein fouet le visage de Tenshi tel une fontaine, la crépissant de blanc.

S’activant encore, se masturbant plus vite, plus vivement pour que sorte la suite, Honda se vidait les poumons, soufflant un grand coup. Un autre jet de même ampleur survint presque aussitôt après le premier… et puis encore un autre. Un autre…

Au bout d’une dizaine de jets de sperme, tous semblables à un torrent, ne restait plus rien à voir du visage de la belle Tenshi qui, même sous l’eau de douche, était méconnaissable, couverte de crème épaisse et chaude des cheveux au menton… et jusque dans les oreilles.

Lorsque la pauvre pensa le raz-de-marée passé, un énième jet vint même gicler dans ses yeux qu’elle venait tout juste de rouvrir…

Monsieur Honda ricana doucement, tout en reprenant son souffle.

« Haaa… héhéhéhé… pardon, pardon. Ooouuuh, c’était bon ça… ouuuuh, ça faisait longtemps. Trèèèès longtemps. Héhéhéhé, brave fille, hein. Je vais aller me rhabiller et retourner conduire un peu pendant que tu te débarbouilles un peu, d’accord ? Je vais faire attention à pas réveiller ton Papy. »

Ouvrant la porte de la cabine dans son dos, le vieillard reculait lourdement, légèrement chancelant comme s’il venait de se décharger d’un coup d’une dizaine de ses kilos.
Retournant enfiler son pantalon dans la chambre, il renfilait son t-shirt sur le chemin vers l’avant du camping-car, ne s’arrêtant qu’un bref instant pour jeter un regard vers Tenshi, nue et couverte de son sperme sous la douche.

« À tout à l’heure ma belle. Je vais aller regarder où est la pharmacie la plus proche, héhéhé. »

Lui envoyant un baiser à distance, le vieil homme retourna vers le volant, ricanant joyeusement en constatant comme son vieux copain Gou dormait toujours comme une souche. L’autre vieillard ronflait si fort que même si Honda avait enculé sa petite-fille à sec, celui-ci n’aurait rien entendu.

Remettant les clés sur le contact et le pied au plancher, le vieux chauffeur pervers quitta le parking, reprenant la route vers de nouvelles aventures…

Bien heureusement pour ses affaires, il ne leur fallut qu’une petite heure pour rejoindre un petit bourg minuscule, comptant évidemment une petite pharmacie, dans laquelle Tenshi trouverait sans aucun doute tout ce dont elle avait besoin.

Préparant un gros chèque à son intention, à plusieurs zéros, Honda attendait que la jeunette lui passe devant pour le lui remettre.

11
Bien cramponné à ses fesses, pétrissant en grande pompe ces deux énormes miches toutes blanches, deux voire trois fois plus larges que sa tête, le vieux monsieur Honda broutait le joli petit minou de Tenshi sans chercher à retenir le moindre de ses coups de langue. Comme absorbé par le plus beau des rêves, le pervers fondait sur elle comme une pieuvre dont les ventouses viendraient tout aspirer.

L’ancêtre léchait, pourléchait à s’en mettre partout, s’éclaboussant le visage de mouille comme de bave, ne laissant pas une miette de ce succulent repas.

Léchouillant de part en part, il triturait en détail son délicieux abricot, jouant parfois de caresses buccales plus qu’insistantes contre son clitoris gonflé de désir. Le pauvre vieux, dont le coeur s’emballait comme jamais il ne s’était emballé, restait toutefois tout sourire. Ce depuis qu’il avait pu poser ses grosses mains sur ce cul. Le plus gros, le plus beau qu’il ait vu.

« Mmmh… slurp. Ton petit sexe est tout prêt pour un gros zizi tout dur là, oui. »

Puisque la jeunette avait mentionné l’idée qu’il puisse se vanter de faire jouir pareille bonnasse, Honda s’en donnait à cœur joie, ne retenant rien de ces envies qui avaient chatouillé son bas-ventre des décennies durant, mais qui fort malheureusement, étaient restées inassouvies.

D’autant plus que sous son gros ventre, là où Tenshi laissait ses deux nibards bien lourds reposer, la jeunette lui réservait un traitement plus que royal. Faisant totalement fi de sa vieille carcasse ventripotente, la petite reine lapait langoureusement son gros gland, le savourant tel une friandise.

Pour son jeune âge, quel jeu de langue ! C’est qu’elle en avait sous le capot, la petite. Sous son très gros capot, même, osa penser le vieux vicelard en gémissant.

Et puis encore… c’est que le vieux dodu n’était pas au bout de ses surprises ! Alors que la petite le chatouillait déjà, en faisant rouler ses deux énormes couilles pleines entre ses petits doigts tout fins, le vieil homme se sentit soudain comme aspiré, son énorme machin s’enduisant peu à peu de toujours plus de bave.

Monsieur Honda le sentait bien, Tenshi remuait la tête dans un sens, puis dans un autre, pour essayer d’engouffrer dans sa bouche son si long sexe noir. Tout mou, le bel objet peinait à entrer. Ce devait être comme tenter d’avaler un serpent, tant la chose se pliait d’un côté, puis d’un autre encore, pour lui échapper.

La tête enfoncée dans l’oreiller, il s’agrippa plus fort que jamais à son gros popotin, sentant bien que, à force d’efforts, la belle parvenait déjà à enfiler son gros bout dans sa gorge. Molle, la belle queue d’Honda devait bien faire dans les quarante centimètres et pourtant, à grands coups de « glrg », de « glarg », de « sluuurp » ou encore de « gulps »… la petite salope l’avalait tout cru.

Se crispant, l’homme se tourna vers l’avant du camping-car, s’assurant que le vieux Gou dormait encore. Le pauvre serrait les dents, mourrait d’envie d’hurler son plaisir alors que la jeunette, de dix-huit ans à peine, lui faisait reluire tout le mandrin, de la pointe jusqu’à la base. Tentant de calmer son souffle, il essayait de se faire le moins bruyant possible.

« Oh… oh… ooooh… oh, ma p’tite chérie. »

Incapable de continuer à la brouter alors qu’elle le mettait dans tous ses états, le gros vicelard se laissa faire, laissa Tenshi prendre sa main… se saisir de deux de ses doigts. La laissant forcer sans dire mot, ne faisant plus que gémir faiblement, il la laissa se les enfoncer dans le fion en se régalant bien du spectacle.

Vu la taille de ses gros doigts, ce devait être comme si deux beaux pénis noirs, pas trop gros non plus, certes, s’étaient soudain collés l’un contre l’autre pour la sodomiser à sec. Son cul n’était absolument pas préparé à un tel traitement, mais cela ne fit qu’exciter encore plus le vieux Honda, qui pensait alors au nombre d’hommes qu’elle pourrait bien prendre en elle en même temps. Bien sûr, ces deux doigts n’avaient rien de comparables en taille à son gros sexe qui, seul, pourrait occasionner bien des dégâts, toutefois il fallait bien reconnaître que ses efforts étaient plus que louables.

Maintenant qu’il avait pris cette chouette place entre ses grosses fesses, le gros homme noir se mit à bouger, lui assénant de longs et lents va-et-vient. Il ne tarda pas non plus à approcher son autre main, insérant un seul tout petit doigt dans sa chatte, afin de faire de même, en canon…

Ce petit jeu le calma un peu, lui permit de reprendre son souffle, quand bien même il se sentait encore avalé tout cru dans la belle petite bouche de sa formidable partenaire.

« Ouuuh… ça te fait du bien ça, hein ? Tu veux ça ? »

Se redressant pour couvrir son fessier de baisers, il n’arrêta pas de bouger un seul instant, guettant les réactions de la demoiselle qui, si elle ne se retenait pas un peu, pourrait bien finir par se mettre à hurler.

« Oulalah oui, hein ? Tu aimes ça… Oooouh… tu sais, mon petit frère a des petits-enfants aussi. Du même âge que toi ou un peu plus… dix ou douze je crois. Ils ont une petite ferme un petit peu plus au Sud. Si tu es gentille comme ça… je pourrais t’emmener les voir, hein. Ils n’ont jamais connu de fille ces gars-là, non non non… oh, je crois qu’ils seraient contents si Papy leur payait une petite prostituée comme toi. Tous ces grands gars noirs bien bâtis… ah je te paierai cher, hein… »

Écartant les jambes plus largement à mesure qu’il se sentait fébrile, le plaisir montant bien vite dans son très gros boudin, pompé si goulûment, le vieil homme dut prendre une nouvelle pause avant de reprendre. C’est qu’il n’avait pas fait de cochonneries comme ça depuis longtemps !

« Oouuh… oulalalala… ouuuuh oui. Mmmmh. Allons-nous mettre sous la douche tous les deux… sinon je vais tout te salir tout partout. Tu vas me faire gicler très très fort, hein ? Viens te coller à moi dans la cabine, que Papy te fasse un gros bisou, pendant que tu finis de lui caresser le serpent. D’accord ? Après ça, Papy t’emmènera à la pharmacie et… on se rapprochera de la ferme pour y aller demain si tu veux. Chut… il ne faudrait pas qu’on réveille ton grand-père hein ? Héhéhéhé… »

12
Veuf depuis plus d’une quarantaine d’années déjà, le vieux monsieur Honda s’était senti bien seul et ce, durant presque toute la moitié de sa longue vie. Sa femme et lui n’ayant point eu de descendance, le vieil homme n’avait ainsi personne à qui léguer la maigre fortune qu’il avait amassée tout au long de son existence.

Ainsi, s’il avait évoqué, plus ou moins sur le ton de la plaisanterie, l’idée d’acheter les faveurs de la jolie Tenshi, une part de vérité, comme de sincérité, résidait tout de même dans sa démarche.

Elle était jeune, belle à croquer… et ne voyait visiblement aucun inconvénient à s’occuper d’un vieillard comme lui, anormalement membré alors… cette idée, d’en faire sa gentille petite pute, continua de faire son chemin, peu à peu, dans sa vieille caboche.

Se déhanchant comme une belle diablesse, la sulfureuse rouquine avait attrapé son gros pénis pour le lui reposer sur le ventre, s’assurant ainsi d’y avoir un accès plus que privilégié. Le vieil homme soupira de bonheur en la sentant l’attraper ainsi, se délectant de voir comme, même avec ses deux petites mains toutes douces, elle ne pouvait entièrement l’empoigner.

Contre sa belle fente humide, lisse et chaude, parfaitement épilée, il sentit son gros bout se décalotter de lui-même, poussant les plis et replis de cette toute petite chatte… Son gros gland parvenant presque à entrer en elle. Chose qu’il ne parvint à faire, puisque sans dureté, sans force, lui restait bien impossible de faire pénétrer en elle une chose si énorme, plus grosse qu’un poing.

L’homme d’âge mur étouffa ses soupirs dans les gros seins de la donzelle, les lui bouffant comme il en rêvait. S’excitant de l’entendre gémir et de lui entendre lui dire qu’elle aimait ça.

« Mmmmh… hohoho… tu aimes bien, ça, toi aussi, hein ? Tu aimerais bien que Papy te fasse les fesses avec ce gros zizi, n’est-ce pas ? Héhéhé. C’est ça ma chérie, bouge bien…. »

L’attrapant par les hanches pour la guider, l’aidant à onduler si fiévreusement contre son sexe, Honda souriait, rêvait…

« Obèse ? Héhéhé… comment tu parles à ton Papy toi, hé ? Vilaine, va. Tu veux que je te donne du plaisir, hein ? Papy va te faire du bien, oui. Oui oui oui. »

N’ayant pas la moindre idée de ce que la jeunette avait en tête, nul besoin de dire que le grand-père ne fut pas déçu du voyage lorsqu’il sentit la jeune femme changer de position, se tourner, pour lui coller son popotin presque en plein visage. Le vieux vicelard eut alors l’occasion de la toucher tout partout, de caresser ses loches, ses gambettes comme ses hanches… et cela lui plut beaucoup.

Frottant bien son gros pétard, il fit glisser ses doigts boudinés, presque aussi gros que des pénis de taille moyenne, tout le long de sa sublime raie.

« Oulala c’est beau… c’est beau ça oui. Tu as des grosses fesses, hein ? J’adore ça moi… ton gros popotin. »

À ceci, le vieux Honda lui donna quelques petites tapes sur les fesses, avec amusement. Le vieil homme jouait était comme un môme devant pareil spectacle.

Quand d’un coup, il eût tout chaud.
Se penchant sur le côté pour voir ce qu’il pouvait bien se passer là en bas, le vieillard vit Tenshi gober son gros gland noir, finissant de le décalotter avec brio pour aspirer son gros bout.

« Ooooouuuuuuh… ouuuh oui. Oh, tu as une grande bouche aussi, hein ? Ma femme savait pas faire comme ça, hein. Tu aimes ça ? Mmmh… tu lèches bien hein. Toi tu veux la bonne crème de ton Papy, ça se voit. »

Ne prêtant pas tout de suite attention au téléphone que la jeunette venait de jeter près de lui, ne sachant pas trop se servir d’un tel appareil, Honda laissa sa tête retomber sur l’oreiller un instant, profitant de ce qui semblait être sa toute première fellation. Après tout, il était tellement bien membré que jusque-là en effet, pas une femme n’avait su le prendre ainsi dans sa bouche.

« Mmmmh… lèches bien. Tu aimes ça hein, mon gros zizi tout noir ? Mange-le. Mange-le bien. »

Attrapant les deux grosses miches de la jeune femme, Honda se redressa, y enfonçant sa tête sans crier gare. Sans aucune autre forme de procès, le vieil homme se mit à la brouter.

« Mmmmh… Papy va te faire un gros chèque. Je vais nous arrêter en ville pour que tu ailles m’acheter des petites pilules, héhé… tout le reste sera à toi. Si tu me dis que tu veux que Papy te paye pour faire l’amour à Papy Honda, que tu veux bien faire comme les putes, alors Papy te paiera tout, hein. Héhéhéhé. »

13
Allongé confortablement, bien à son aise, le vieillard levait les yeux en direction de la jeunette, nue, et à genoux juste à côté de lui. Ne pouvant contenir l’élan de malice et d’envie qu’il sentait monter en lui avec rage, à la vue de cette petite dévergondée, il se remit à ricaner tout bas.

Posant ses gros doigts sur la boucle de sa ceinture, il s’en défit vite, avant de se mettre à tirer doucement son pantalon vers le bas.
Tenshi ne s’attendait peut-être pas à ce que le vieil homme se déleste ainsi de ses tout derniers vêtements mais, quand bien même, c’est ce qu’il fit, trop alléché par l’idée de l’entendre commenter son gros pénis noir, qu’il savait gigantesque, démesuré.

« Il fait chaud là aussi, héhé… excuse-moi, je vais faire comme toi et me mettre tout nu dans le lit. Comme ça je sentirais tout bien, quand je vais te toucher. »

Remuant les fesses, se débattant un peu, Honda continua, avec difficulté, de baisser son pantalon tout contre ses cuisses.
Lentement, très lentement, commençait à apparaître là, entre ses grosses cuisses, les contours bien larges de son énorme bûche foncée, plus large encore que ne l’était son avant-bras.

« Tu voulais voir un gros zizi, hein ? »

Riant à pleines dents, le vieil homme redoubla d’effort pour tirer encore un peu sur le tissu de son pantalon, jusqu’à ce qu’en soit enfin extirpée jusqu’au bout, sa colossale colonne de chair noire. La… « chose » était telle, si longue, qu’elle pendait dans le vide, au bord du lit. Trop grosse, trop longue… celle-ci relevait toutefois du bel objet. Couverte d’un prépuce épais, elle était d’un noir profond mais était belle, si lisse… couverte de belles grosses veines qui, bien malheureusement, n’avaient su gonfler depuis bien des années. C’était en effet un pénis que tous et toutes auraient qualifié de trop gros, mais au moins… ç’en était un très beau.

Très attentif aux réactions de la jeunette, le vieux Honda sourit en entendant ce petite gémissement qu’elle lâcha, à la seule vue de son organe.

« Oh… je crois qu’il te plaît. »

Posant une de ses grosses mains sous son membre, il se mit à le faire sautiller, comme s’il se préparait à une érection… qui ne viendrait jamais, ou comme s’il cherchait à attirer l’attention de la jeune femme dessus.

« Alors, que disent les rumeurs maintenant, héhé ? Tu aimes ça quand c’est gros, hein ? Petite cochonne, va. »

La formidable bombe sexuelle qui l’accompagnait sur ce matelas ne se faisant pas attendre pour l’enjamber et pour se positionner au-dessus de lui, Honda lui glissa un sourire très satisfait. Le vieillard impuissant était aux anges. Ou presque, puisqu’à cet instant, il aurait rêvé pouvoir l’enfiler sauvagement.

Tenshi avait cependant de la suite dans les idées et, quand bien même Honda ne pouvait pas bander, il ne lui fallut que quelques secondes pour sentir sa chatte, si petite en comparaison, se glisser tout contre son gros serpent. Satisfait, il lâcha un petit sourire, signalant comme il était content de lui, mais remarqua également, et cela lui plut plus encore, que tout contre sa bite, la minuscule chatte de Tenshi était humide.

« Mmmmh… tout ce que je veux, hein ? Oh si, tu es une fille sage… une fille très très très sage, même. Viens là. »

Chevauché par cette véritable déesse de beauté comme de jeunesse, le vieil obèse arrêta les simagrées. Lâchant sa belle grosse queue, il prit les seins de Tenshi entre ses doigts, se mit à les masser, à les pétrir, à les malaxer tendrement… quand bien même il ne s’était pas encore servi en crème solaire. Sur l’instant, cela ne lui avait pas paru important.

Alors que la belle se mit à se déhancher fiévreusement, Honda se laissa guider, comme par une amante sur le point de le dévorer. Récupérant la crème solaire quand elle la lui tendit, il s’en saisit, mais ne s’en servit pas tout de suite. À cela, le vieil homme préféra se laisser faire. Curieux de voir où tout ça les amènerait et préférant profiter de l’instant, préférant le faire durer, il laissa la rouquine retirer sa main de son bel obus et la poser, en échange, sur son gros cul dodu… mais si ferme. Ooh, de ça il en rêvait.

« Oooh… c’est tout ce que je veux, ça, héhéhé. Pétrir ce gros cul, là. »

Pour conclure sa phrase, le vieux Honda donna alors à Tenshi la fessée.

« Baiser ton gros cul tout nu, là. Ça ça te donnerait du plaisir, hein ? »

Lâchant la crème solaire, sa seconde main vint vite rejoindre la première, attrapant sa deuxième fesse avec tout autant de vigueur. Sans plus discontinuer à partir de cet instant, il les malaxa joyeusement.

« Ah si je pouvais le faire… je paierai pour te baiser, hein. C’est sûr. Héhéhéhé. Excuse-moi, je m’emporte. J’en ai presque oublié la crème, héhéhé… mais tu me rends tout fou, là, avec ta petite chatte toute mouillée. Tu es toute jeune et toute belle… Tu dois vraiment aimer les gros zizis pour faire des cochonneries comme ça avec un vieux machin comme moi… »

La jeune femme se penchant alors plus encore, faisant pendre ses nibards à quelques centimètres à peine de la bouche du vieux dégueulasse, celui-ci continua, répondant aussitôt à la question qui lui fut posée, quand bien même il la trouva étrange.

« Ça oui, héhéhé. Je bande mou, je suis pas insensible. Je sens bien comme tu te frottes là… c’est bien pour ça que j’aimerai te donner mon argent, hahaha. Si par miracle je pouvais rentrer dedans et vider mes vieilles noix pleines… ce serait sûrement le paradis ! »

En effet, vu comme ses bourses étaient grosses, le vieil homme devait être plein… et n’avait sans doute pas connu de vidange depuis longtemps.

Les nichons de Tenshi s’approchant encore de son visage, le vieux porc ne put plus s’y soustraire. Dressant à peine la tête, il happa vivement, la bouche grande ouverte, l’un des larges mamelons de la belle, l’aspirant bruyamment, le suçotant… le mordillant avec envie, avec passion.

Lâchant enfin son cul, l’homme s’en prit de nouveaux aux gigantesques loches de la jeune fille, les pétrissant chacune, les embrassant, les léchant tour à tour, sans plus s’intéresser à la crème solaire.

« Mmmh… mwaah… ça aussi, je veux. Que tu donnes le sein à ton vieux Papy, comme ça… la crème solaire c’était rien. C’que tu voulais, quand tu as retiré ton petit string là… c’était ça, hein ? Que je m’occupe de tes gros nichons bien lourds… »

14
Plus qu’impudique, Monsieur Honda découvrait alors que la belle et jeune Tenshi était même carrément dévergondée. Ce, pour son plus grand plaisir.

Il rit à gorge déployée en entendant la jeunette, de soixante-douze ans sa cadette, parler de son gros engin en des termes si directs. Aussi inattendue soit-elle, cette réponse avait le mérite d’être franche et cela l’amusait beaucoup.

« Oulala ! Toi tu es une bonne fille, hein ? Ah, c’est pour ça que j’ai toujours rêvé d’épouser une belle femme blanche comme toi, avec de gros nénés. Vous aimez ça les gros zizis tout noirs, hein ? Coquine. »

Souriant très largement, le vieil homme bifurquait, déjà impatient de se garer sur l’aire de repos, bondée de touristes de tous horizons.

« Tu aimerais savoir si les rumeurs sont vraies, hein ? Héhé. Je vais m’arrêter là, ici. Je peux te donner mon zizi si tu veux, hein. Si tu veux le toucher pour voir comment on est outillés, nous. Hahahaha… je plaisante, je plaisante. Mais c’est flatteur que tu m’envisages comme… partenaire, hahaha. Si seulement. »

Le véhicule à l’arrêt, au beau milieu d’un nouveau parking en lisière de forêt, Honda observa Tenshi, qui se penchait bien bas, récupérant le tube de crème solaire discrètement, aux yeux et à la barbe de son grand-père qui dormait à côté.

Les yeux rivés sur ses énormes fesses, tout sourire encore, le vieil homme dut se faire violence pour ne pas lui donner la fessée.

« Des belles grosses fesses comme ça… de mon temps, je t’aurais sodomisée très fort pour t’apprendre les bonnes manières. Avec ma grosse bite, là, comme tu dis… c’est pas des manières de parler à ses aînés, ça. »

Ricanant de nouveau, pour lui montrait qu’il blaguait là encore, le vieil homme se releva pourtant, plus que surpris, quand la jeune fille se saisit de sa main pour l’attirer jusqu’au fond du camping-car, à quelques mètres de là.

Se laissant faire, il la regarda se défaire de sa chemise, estomaqué, puis de son string, qu’elle laissa tomber au beau milieu du petit couloir les séparant de la chambre.

Monsieur Honda siffla doucement.

« Mets-toi toute nue, oui… Tu emmènes Papy dans ton lit, hein ? Attention, hein. Ce n’est pas comme ça que se comportent les filles sages… nan nan nan. »

S’arrêtant debout face au petit lit trônant au fond de la pièce, Honda se mordilla les lèvres, impressionné par le caractère bien trempé de la jeune fille. Décrivant du regard les contours de ses larges hanches, de ses jolis mamelons roses, puis l’intérieur de ses cuisses, il sentit comme cette vue lui ouvrait l’appétit. Un appétit… qu’il n’avait pas connu depuis des lustres.

Doucement, et de façon quelque peu hésitante, Honda tendit une main. Déglutissant bruyamment, voilà que le vieil homme appréhendait le contact avec pareille merveille.

Sa grosse paluche noire se posant sous l’un des seins de Tenshi, il se mit à le soupeser, évaluant son poids, sans pouvoir l’agripper pleinement tant il était gros.

« O-oh… c’est parfait. C’est bon, ça. J’ai jamais vu des lolos comme ça, moi. »

Se ravisant, replaçant son bras le long du corps, il s’avança d’un pas et s’assit au bord du lit, juste à côté de la plantureuse rousse.
Attrapant les plis de son très large t-shirt, le vieil homme dût se débattre un instant avant de réussir à s’en défaire, découvrant son large ventre noir, couvert ça et là de son épaisse toison blanche, comme l’étaient ses cheveux.

« Aaah… voilà. Voilà. Pardon j’avais chaud un peu, moi aussi. Si je m’allonge là, comme ça, est-ce que tu voudras bien te mettre au-dessus, à quatre pattes pour que je te les masse ? Ce sera plus facile pour moi comme ça, tu comprends ? »

Se laissant doucement tomber en arrière, Honda prit un oreiller, qu’il plaça derrière sa tête, et s’allongea, les pieds toujours hors du lit, posés au sol.

« J’en ai de la chance, hé… une belle fille comme toi. Mmmmh, on a envie de te croquer, là. Donne-moi la crème chérie, si tu veux que je t’en mette sur tes beaux nénés. »

15
Voilà une petite qui n’a pas froid aux yeux, pensa le vieux Honda lorsqu’il aperçut la petite-fille de son ami Gou, qui sortait nue de sa toute petite salle de bain.

Le pauvre vieux faillit même faire une embardée, trop occupé qu’il était à se rincer l’œil depuis son rétroviseur. Honda avait aperçu le gros cul de Tenshi et, ça, ça lui avait fait quelque chose… quel choc ! Son coeur en avait fait des bonds.

Comprenant à sa façon de se comporter que la jeune fille n’était ni timide ni pudique, le vieil obèse ne s’empêcha pas de lui adresser un grand sourire, affichant bien largement ses très belles dents blanches.

« Ah ça tu es belle, hein… ah oui oui oui. Comme tu es jolie… »

Puisqu’elle avait accepté de venir s’essayer au volant, il lui fit signe d’approcher avec sa main.

« Allez viens. »

Devant tout de même se concentrer sur la route, Honda ne se tourna pas pour l’admirer, mais devina, à ce qu’il voyait du coin de l’œil, que Tenshi lui était revenue très peu vêtue.

Lui tendant une main pour l’aider et s’adossant au mieux dans son siège pour lui faire de la place, le vieux vicelard guida la jeune femme pour qu’elle vienne s’asseoir à son aise, avant qu’il ne lui refile les rênes de son bolide.

Le vieil homme gardait bien les pieds sur les pédales, mais la laissa faire, confiant, lorsqu’il se dessaisît du volant. Baissant les yeux, il observa l’énorme croupe qui, doucement, lui tombait dessus, se positionnant de sorte à ce que son gros engin vienne prendre sa place entre ces deux fesses dodues et presque nues.
Tenshi lui paraissait lourde… mais sacrément confortable.

« Oh… tu es bien assise là, hein ? Oui ? Mets-toi bien à l’aise. Oh lala, tu as de belles fesses, hein ? Moelleuses et tout et tout… »

Ne pouvant pas non plus rester là à rien faire, puisqu’il était encore en charge des pédales, comme du passage de vitesse, Honda dut vite retourner se concentrer sur la route.

La route étant particulièrement mauvaise dans cette partie des bois, le vieil homme ne put finalement faire autrement que sourire, et profiter, en sentant ces grosses fesses dodues rebondir sur son braquemart tout mou.

« Tu te débrouilles bien, hein ? Comme une cheffe. Tu as du talent avec les gros engins. Je suis fier de toi.

Puis vint une bosse. Sur la route malheureusement.
Malheureusement, quoi que…
Déjà peu maintenus par cette chemise fine qu’elle portait, voilà que les deux énormes nibards de Tenshi en sortaient soudain pour se faire la malle au dehors. Quand bien même Honda ne la voyait que de dos, il les vit très bien, pendre et balancer sur les côtés, puis de sa hauteur également, puisque le vieil homme était aussi plutôt grand.

Incapable de résister, d’en rester à la route, le vieil homme se tourna vers le vieux Gou pour s’assurer qu’il dormait encore, et bien profondément, puis en revint à ces gigantesques lolos qui ballotaient dans tous les sens, au gré des nombreux nids-de-poule qui pullulaient sur cette vieille route en mauvais état.

« Oulala… c’est beau ça, hein. Tu as de beaux seins. J’aime bien, ça. Ça oui. Une belle femme blanche comme toi, oulala… Ton papy a raison, les hommes doivent beaucoup aimer te courir après. »

Malicieux, Honda se mit à la faire sautiller doucement sur ses genoux, lui assénant de petits coups de bassins, rendus imperceptibles puisque la route les faisaient déjà sautiller tous les deux.

« Si j’étais plus jeune ah… ça oui. »

Regardant ces gigantesques seins balancer, il se racla la gorge un court moment, se disant qu’il valait mieux clarifier les choses plutôt que trop en dire. Tenshi n’était pas pudique, mais il ne faudrait pas qu’Honda fasse quelque chose qui serait aller trop loin. Pour un vieil homme comme lui, voir pareilles fesses toucher son engin était déjà une aubaine, il ne faudrait pas qu’il offusque ou vexe la jeune femme en faisant une bourde.

« Ça ne te gêne pas si Papy regarde tes lolos, hein ? J’en ai pas vus depuis longtemps alors… et des comme ça, en plus ? Jamais ! Si j’étais plus jeune, je t’aurais volontiers donné mon zizi, hein. Si tu vois ce que je veux dire. »

Posant ses mains sur le volant lui aussi, pour éviter de poser ailleurs ses deux mains libres, un poil trop baladeuses, Honda s’approcha doucement de celles de la jeune fille.

« Si seulement j’avais vingt ans de moins… héhéhé. Par une chaleur pareille… j’aurais déjà baissé mon pantalon, hihihi. À l’air libre, zou ! »

Comprenant qu’il ricanait un peu trop fort, le vieillard se calma rapidement quand il vit Gou bouger. Heureusement pour lui, se dit-il, son ami, qui dormait encore à poings fermés, s’était seulement retourné.

« Tu dois avoir la peau douce, hein ? Est-ce que tu veux enlever ta chemise comme tout à l’heure et laisser Papy Honda te masser les épaules un peu, pendant que tu conduis ? Laisser Papy te toucher… Il va falloir penser à te mettre de la crème hein ? Le soleil tape fort cet été. Si tu restes comme ça, tu vas attraper des coups de soleil tout partout. »

Doucement, peu à peu, Honda avait fini par poser ses mains sur celles de Tenshi.

Observant le bas côté de la route, il laissa un panneau signalant une aire de repos, prévue pour les voyageurs effectuant de grands trajets, capter son attention.

« Ça fait déjà trois heures que je conduis. On peut s’arrêter là d’ici une petite demi-heure pour faire une pause. Regarde dans la boîte à gants, devant ton grand-père. Il doit y avoir un tube de crème solaire et… je ne sais plus trop quoi d’autre. »

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