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Prélude / Re : Diamant, l’elfe sorcière au passé brisé et à l’âme douce [Vanéalidée !]
« le: dimanche 22 décembre 2024, 15:53:48 »Prélude / Re : Reine perdue dans sa propre luxure
« le: dimanche 24 novembre 2024, 23:40:16 »Le coin du chalant / Re : [Ouvert] [0/2] Potentielle remontada
« le: jeudi 07 novembre 2024, 21:58:13 »J'envisage un retour potentiel sur LGJ, tout en progressivité. Comme d'habitude, les trames sont définies au cas par cas.
À bientôt possiblement.
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 07 novembre 2024, 21:32:38 »Hésite entre 1) faire de la paperasse, 2) lire mon bouquin sur les techniques de négociation du FBI ou 3) dormir pour me lever sereinement à 6h30.
Vous nous quittez déjà ? / Re : Trêve hivernale.
« le: mardi 09 juillet 2024, 22:15:46 »Ça ne surprendra personne, mais j'annonce entrer dans une période de ralentissement. Je suis plutôt dans le flou question rp.
Merci de votre compréhension.
Prélude / Re : Sareeth [Anéa]
« le: jeudi 09 mai 2024, 12:48:54 »La bienvenue !
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: vendredi 26 avril 2024, 00:49:40 »D'après vous, quel est votre point faible en RP ?
Prélude / Re : Myrella - Le Bijou d’un Royaume [Finie]
« le: vendredi 19 avril 2024, 22:24:16 »One Shot / Re : La fraîcheur dans le regard. [PV]
« le: lundi 15 avril 2024, 23:21:46 »Tandis qu’elle lui offrait sa croupe généreuse, dans une posture plus que suggestive voire carrément sexuelle, le bellâtre, jugeant cette opportunité de sceller une nouvelle complicité charnelle trop belle pour être ignorée, osa l’enlacer de ses bras souples et toniques afin de lui offrir une étreinte chaleureuse. Sans la moindre honte, il caresse, avec d’immenses renforts de sensualité et de délicatesse, son joli ventre ferme, sans oser toucher sa poitrine merveilleuse. Elle était alors comme captive de sa force, de sa poigne désarmante. À son oreille, il prononça ces paroles agrémentées de quelques espérances mielleuses : “Tu es si curieuse, ma petite colombe. Tu me plais. Nous parlons la même langue car j’ai voulu apprendre la tienne. Je t’ai accordé cet honneur car un songe m’avait prédit ta venue dans notre temple. Je suis un Demi-Dieu et mes visions se prophétisent toujours… Tu restes, effectivement, pour l’heure, une simple jeune femme, mais ton potentiel demeure en jachère. Pour me servir dignement, tu dois d’abord apprendre, apprendre à tenir ton rôle, honorer la mémoire des divinités de ton peuple, former d’autres prêtresses par la suite… En retour, tu seras protégée, aimée, respectée. Qu’as-tu appris dans ta tribu ? D’ailleurs, je voudrais que tu me brosses un portrait de cette dernière.”
Puis, il la libérait de son emprise avant de se rapprocher d’une petite table taillée dans le tronc d’un orme desséché sur lequel furent disposés deux pichets en adobe roussi contenant une belle rasade de café noir ou de thé mentholé. Elle était ravissante, polie et curieuse. Vittorio jeta sur les courbes voluptueuses de la princesse indigène une œillade presque contemplative, constatant l’absence apparente de sous-vêtements afin de dissimuler sa nudité. Là encore, cela ne le surprenait pas vraiment ; il avait, après tout, appris par le biais d’un rapport de la Compagnie Coloniale de Sémurie qu’il existait, plus au sud, un peuple de femmes allant et venant nues pour le reste de leurs vies bercées par la quiétude des jungles et des langues de sable. “Approche, ma princesse. Je te veux à mes côtés. Préfères-tu le café ou le thé ?” Alors qu’il s’apprêtait à remplir son calice frappé d’un émeraude scintillant, il envisagea de lui proposer un bon crû issu des vignes dorées du Domaine des Acres carmins, un vin sombre comme le crépuscule iazzaronien, épicé comme les bordées pimentées de la lointaine Zakkaresh, mais il s’y refusa. Cela serait malséant en présence d’une jeune femme de sa condition, surtout à l’aurore de leur première rencontre. “Je t’emmènerai ensuite dans tes nouveaux appartements. Tu logeras dans mon palais.” C’est-à-dire l’imposante pyramide dans laquelle ils se trouvaient tous les deux, imposante par son envergure, surprenante par la forme de son architecture hybride.
One Shot / Re : La fraîcheur dans le regard. [PV]
« le: lundi 15 avril 2024, 00:32:03 »Seul demeurait l’automate mentionné ci-dessus, servant des volontés de son Seigneur titanide. “Tu dois être Shaya ; enchanté de te connaître, ne crains plus rien, jeune vierge”, souffla-t-il, emmitouflant la belle indigène de son parfum de cèdre, mâtiné d’iode marine, véritable association des saveurs atrocement violente, entêtant pour ses sens. Tout en prêtant l’oreille à sa voix, il la regardait alors, ou plutôt il la fixait de ses prunelles mordorées, rutilantes comme ces rivières aurifères qui pulsent à travers les artères de ce sous-continent. “J’espère que personne ne t’a blessée lors de ton évasion ; tu dois être impeccable, saine de corps et d'esprit, intact. Si l’on t’a meurtri lors de ton trajet, donne moi les noms des responsables. Je ne veux pas d'incompétents parmi mes soldats.” Il voulait prendre la juste mesure de sa beauté, sa parure emplumée, ses courbes exceptionnelles, sa timidité fardée d’ingénuité, striée de crainte face à l’inconnu avec un grand i. Tenue en objet de curiosité, il ne voulait surtout pas qu’elle se sente rabaissée car notre bellâtre, à mi-chemin entre l’Homme et la Divinité, ne souhaitait clairement pas flétrir, encore moins salir, celle qui lui confiait sa loyauté. Il s’empara soudain de son petit menton, y joignant son pouce et son index, afin qu’elle puisse lire, dans ses yeux, toute sa détermination. “Tu es celle dont moi, Vittorio Vulcano, Gouverneur de la Reggia de Chesaltan, a besoin. Les imbéciles de ta tribu n’ont jamais pu concevoir ton potentiel et préféré faire de toi la vulgaire esclave d'un mari vieux, gras et laid. Avec moi, la donne change. J’aspire à te doter d’un rang associé à de nouvelles responsabilités ; aussi, tu revendiqueras la chaire de Haute Prêtresse lorsque ta formation sera achevée.” Ainsi parla le Titanide qui prophétisait un avenir glorieux pour cette charmante jouvencelle à la magnifique peau d’ébène. La prosodie du Demi-Divin était tranchante, vibrante comme un trait de foudre zébrant les canopées alentour lors des orages tropicaux, mais elle n'était nullement menaçante.
Puis voici qu’il lâche un soupir, de soulagement bien évidemment, tandis que sa main droite - sa main de sabre et de pistole - dévoilait ses doigts fins et graciles. Cette main noua une étreinte langoureuse avec celle de Shaya, celle-ci put alors ressentir toute la chaleur inouïe que produisait constamment le Néréide, son immense énergie vitale, inhumaine, qui menaçait d’exploser en toutes circonstances, d’irriguer la chair de la mortelle. Une sensation de profonde plénitude immergea les sens de la donzelle ; chaque marche qu’elle gravissait sur cet immense escalier en présence de son supérieur naturel lui procurait quelque extrait d'une prestigieuse vision prémonitoire ; un nouvel avenir s’offrait à ses yeux, un avenir doré faisant la part belle à la dévotion, au culte dont elle serait la garante, une liesse permanente dans une débauche de joie profonde. Une volupté de tous les instants. Le bellâtre se mordit les lèvres, tandis qu’il menait la belle dans son antre royal, menant à un couloir marbreux, d’un incarnat vif et frais, tapissé de beaux tableaux classicistes mettant les quatre saisons à l’honneur : l’Automne lascif, l’hiver chaleureux, le printemps sensuel et l’été volcanique… “À propos du roi et de la loi, c'était, en passant, juste une expression pour te signifier que tu prends un nouveau départ à bord de mon navire, tout simplement.” sussura-t-il en la gratifiant d'un simple clin d'oeil. Demi-Dieu ou non, il restait un jeune homme dans toute sa splendeur potache, précisons le.
Voici un projet très ambitieux, qui consistait à faire de cette belle anonyme originaire d’un obscur trou de verdure lointain une hiérarque de première importance dans le maillage bureaucratique de l’administration coloniale. C’était totalement surréaliste et impensable, voire foldingue, tanceraient les langues serpentines, mais cette perspective amusait énormément notre Néréide. La promotion de l’ascension sociale était essentielle pour tisser des liens de fidélité parmi les futures élites indigènes, au surplus.
Prélude / Re : Dionysia Laodice Sergotim - Apprentie magicienne cyborg (Terminé !)
« le: dimanche 14 avril 2024, 18:04:12 »Allez, bienvenue à toi !