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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: jeudi 04 décembre 2025, 09:30:01 »
« Assez tôt pour te regarder dormir un long moment… »

Il accède à sa demande et l’embrasse. C’est beau l’amour hein ? … Même sous cette forme douce et laissant penser qu’ils pourraient être proches d’une lune de miel. L’illusion est alarmante car ce n’est pas dans la nature de Ryo de se laisser aller à des élans de tendresse, surtout s’ils sont véritables. Une transformation est en cours, qui ne sera pas facile à gérer et qui risque de poser problèmes dans tout un tas de domaines liés aux activités criminelles du flic. Et à commencer par ceci : Cora peut très bien déjà s’imaginer que Ryo est borderline mais elle ne soupçonne absolument pas que la partie immergée de l’iceberg est énorme. La détention et l’usage de coke : justifiées par la dureté du métier qui nécessite un petit coup de pouce pour tenir. Ses relations avec des ripoux : si l’état mettait vraiment les moyens, il n’aurait pas à magouiller pour assurer la sécurité des habitants du quartier. Ses pots de vin : hum … il en reverse une partie pour les gosses du coin (mensonges évidemment). En tout cas, ça passe et il se dit que Cora qui ne semble pas avoir une vie facile à cause de son Pouvoir, préfère éviter de faire parler d’elle. Après, peut être qu’elle se sent en sécurité avec lui et que cela efface tous les reproches qu’elle pourrait lui faire.

Il la retourne et la serre contre lui afin qu’ils regardent ensemble les toits de la Toussaint.

« Je voudrais que tu emménages chez moi. Ici tu seras en sécurité, j’ai bien compris que tu as peur que quelqu’un découvre ton secret. Tu ne seras pas seule … et on pourra baiser comme des animaux. C’est pas mal comme plan non ? »

Et puis, il l’a sous les yeux et s’assure que personne ne la lui pique.

« T’es en forme pour aller faire un tour ? »

Bon gré mal gré, aller prendre l’air est le meilleur moyen de se remettre d’une biture. Alors qu’elle prend son ‘dej et se prépare, il ne mentionne à aucun moment une prise de coke. Si elle réclame, il verra. Forcément elle aura un petit coup de barre et son corps exigera un remontant mais encore une fois, il dosera au minimum. Cora shootée, c’est bien, mais Cora sous contrôle c’est mieux.

Ryo a passé un jean et un t-shirt sur lequel il a enfilé son vieux cuir râpeux. Ils sortent à pied et immédiatement, l’ambiance du quartier prend le pas sur les ressentis. Deux types à la sale gueule montent la garde devant l’entrée du vieil immeuble en brique. Sous ses apparences, l’endroit abrite quelques pontes de la pègre. Le voisin de Ryo est un jeune yakuza qui baigne dans le milieu de la prostitution.

Dans la rue : des putes par wagons entiers, des dealers et leurs sbires, des membres de gangas qui trainent. Ça et là, une bagarre éclate, un couteau est sorti. Et au milieu de tous ça, l’absence de flics est remarquable et point plus marquant encore, les habitants du coin déambulent, emmènent leurs gosses à l’école, et les petits commerces maintiennent leur activité. Ryo prend à l’un d’eux deux soupes à emporter, fortes, crevettes et citronnelle : un tue la gueule de bois aussi redoutable que le plus costaud des médocs.

Ryo et Cora n’ont pas encore vraiment eu l’occasion de se balader ici. Jusqu’à présent, le flic a préservé l’américaine des affres de la rue mais il est temps qu’elle s’y mette. Et comme l’info qu’il se trimballe une bombe sexuelle a déjà fuité, au moins, il marque sa possession. Bien sûr, ça ne va pas dans le sens de sa relation avec Boss Tanaka mais il trouvera une solution. Cora est à lui.

Elle attire les regards, ouais putain c’est flagrant. Et c’te manière qu’elle a de se foutre en avant, c’est hallucinant. Ryo entend quelques commentaires gras et déplacés mais ne relève pas. Pas envie de buter personne aujourd’hui. Et puis … ils n’ont pas tort. Elle est sa pute.



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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: mercredi 03 décembre 2025, 10:26:20 »
Deux infos importantes clôturaient cette longue journée. La première, Ryo venait de s'emparer d'un beau pactole qui lui assurerait un bon train de vie tant que le business de l'élu pourri tournerait.La seule chose qu'il avait à faire, c'était de surveiller l'activité de la police dans son secteur et d'orienter les flics trop curieux sur des pistes foireuses ou tenues par les concurrents du quartier de la Toussaint. En soi, ce n'était pas grand chose car les policiers affectés dans les commissariats locaux veillaient plus à ne pas être emmerdés qu'à vraiment faire leur boulot. La Toussaint était le furoncle de Seikusu et tant que les activités crapuleuses ne débordaient pas trop sur le reste de la ville, personne ne s'en souciait vraiment.
Avec tout ce pognon, il allait pouvoir offrir à Cora des ... Quoi ? Le grand flic secoue la tête et s'allume une clope en se dirigeant vers la grande baie vitrée à partir de laquelle il peut contempler les toits du quartier. Ce n'est pas une vision de rêve mais c'est là qu'il vit. L'homme a les sourcils froncés. L'introspection, ce n'est pas son truc mais quand même, il pense pas mal à Cora en images autres qu'objet sexuel bon à tout faire. Cette dérive ne fait pas partie du plan initial et les changements de cap de dernier instant, ce n'est pas bon. Il n'aime pas ça. Ses réactions montrent bien que l'américaine dispose elle aussi d'une certaine forme de main-mise sur lui. Ce qui l'amène évidemment à considérer la deuxième information: l'aptitude de Cora à dupliquer des objets. Là, faut vraiment être prudent car elle a lâché l'info sous l’effet des drogues et alcools ingurgités. Il ne faudrait pas que cela se reproduise avec quelqu'un d'autre.
Trop la shooter reviendrait à l'orienter vers sa fin, ce qui est maintenant totalement exclu. Mais ne plus la contrôler par ce biais reviendrait à prendre le risque de la voir s'émanciper, et cela aussi est totalement exclu. Donc, il faudrait qu'elle adhère à ce mode de vie qu'il lui a imposé. Pas simple.

Cora reste trois plombes sous la douche et Ryo ne la rejoint pas. Va falloir qu'elle redescende en pression sinon elle pourrait claquer nerveusement. Et puis lui aussi, il arrive au bout de ses capacités. Il n'est pas un surhomme question cul et pour aujourd'hui, il a atteint ses limites.

Quand elle apparait, il l'accueille avec un baiser et lui montre une enveloppe sur la table.

"Ta rémunération pour ta performance. Tu pourrais gagner bien plus si tu t'engages sur ce genre de trucs."

Y'a un paquet de fric là. Ce n'est rien pour un type comme Ryo pour un citoyen lambda, ça représente un bol d'air confortable.

Après, il la porte jusqu'au pieu tout en décryptant son regard.

"Je sais ce dont u as envie mais je serais le dernier des connards si j'acceptais. Là, tu vas pieuter et demain, on parle. Et pas de coke ce soir car pour aujourd'hui, ça suffit. C'est un petit plaisir qu'il faut savoir gérer, et là je t'y aide."

Tu parles ...

Mais ouais, dès demain, la poudre, ce sera limité. Il va falloir que Cora travaille à accepter une toute petite dose de fonctionnement genre après le petit déj, ou avant le boulot. Pas plus. Les écarts pourraient être autorisés par Ryo si nécessaire ou pour évènements comme le soir-même. Son plan: très simple. Ils se foutent en couple et elle crèche chez lui. Il l'a à l’œil. Les connards du coin sauront qu'elle est à lui et feront pas chier, et leur petit secret sera bien gardé à la Toussaint où les informations circulent plus vite qu'à la NSA.
Et pour bien verrouiller le tout, il peut s'arranger avec un type qu'il connait au service de  l'immigration pour mettre un coup de pression à Cora si elle en venait à vouloir sortir de sa descente aux Enfers. Enfin, ils n'en étaient pas là.

Parce que là, Cora ronque et il est probable qu'elle ne bougera pas avant un moment. Ryo lui aussi poireaute sous la douche. Comment va t'il gérer le don de Cora? Trop de fric d'un coup, c'est pas simple à blanchir non plus et ça attire l'attention et les convoitises. Va falloir être malin.
Après, il la rejoint et pieu et il ne l'encule pas à sec. Il s'endort tout simplement pour ne se réveiller qu'à une heure avancée de la matinée suivante. Le cadavre à ses côtés ferait honte à un gros allemand entrain de rôtir sur la plage. Cora ressemble à un épouvantail, sur le dos, bras et jambes écartés, tout en vrac, mais trop craquante. Putain arrête ça!

Café, 'tit déj, tout est prêt, comme dans les films. L'amoureuse transie sera réveillée par l'odeur du pain grillée et du café ... et si nécessaire aura un médoc pour calmer la tempête qui laboure son cerveau.

Ryo traine un peu en calebard et t-shirt, il ne bosse pas aujourd'hui.

Il a son mug à la main et contemple depuis sa position préférée ce quartier qui est le sien.

"Hey salut Frankenstein! Ça va là-haut? Ça tape pas trop fort dans la boite?"

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: dimanche 30 novembre 2025, 20:05:23 »
Ryo manque sortir de sa voie et emboutir une camionnette arrivant en face. La Mustang fait une embardée, vrille de travers, se rétablie et freine à bloc pour s’arrêter près d’un abri bus heureusement vide.

« Putain de merde ! »

Cora n’est pas en mesure de lui glisser une blague de magicien de sous le manteau. Elle est limite stone est tient plus à cet instant de l’épave que de la fille capable de produire n’importe quoi d’intelligent. Ce qu’elle vient de faire, c’est de l’inné et ça pue les emmerdes à plein nez. Des cas comme elle, Ryo en a côtoyé quelque uns. Seikusu est une cité particulière, il s’y passe des trucs. En coulisse, il se raconte des trucs qu’il faut appréhender avec prudence et que même les pires des tordus évitent d’aborder. Le gouvernement est dans le coup, les services secrets de nombreux pays aussi donc, à ce niveau-là de jeu, Ryo n’est rien du tout. Le flic a déjà eu à faire avec une folle dingue de la gâchette increvable qui se régénérait dès qu’elle saignait. Il a buté une créature qui n’aurait jamais dû sortir d’un film d’horreur et il a aussi baisé une vampire mais ça, il préfère l’oublier. Ces faits remontent à quelques temps déjà et il s’était promis de s’en tenir éloigné. A chaque fois, ces aventures ont merdé et il a sévèrement morflé.

Mais là, c’est dans sa caisse que ça arrive et putain de merde, avec la nénette qui lui sert de vide-burnes en ce moment ! Donc, fais chier !
Maintenant, Ryo, il réfléchit vite et l’explication miteuse de Cora l’aide à prendre sa décision. Là, le mieux serait de la balancer dans le port, emballée dans un sac lesté, mais elle a du bol : sa tare peut être utile.

« Hey, cool ! C’te surprise que tu me fais. J’ai failli nous tuer. »

Une clope, ça reste une clope. Un billet de cent dollars, c’est autre chose. Si ce qu’elle dit est vrai, dans deux mois ils sont il est millionnaire et se la coule douce dans un coin peinard où personne voudra le buter.

« Ah ouais ? Vraiment ? Et ça marche donc avec à peu près tout ton truc ? »

Parce qu’il ne faut pas se créer de faux espoirs non plus… En plus, c’est louche non ? Qu’est ce qu’elle fout comme laborantine à tenter de grapiller trois sous alors qu’elle détient un trésor qui pourrait faire d’elle … un truc énorme.

« Le dire à quelqu’un ? Non ma chérie, tu m’es trop précieuse pour que je te fasse du mal. »

C’est discutable après la soirée qu’ils viennent de passer mais elle n’est pas en mesure de le contredire. Elle a déjà du mal à parler …

« Moi je trouve ça cool. J’y crois aux mutants. J’ai toujours dis que l’humanité avait besoin d’évoluer de la bonne manière et maintenant que je te connais, toi et notre petit secret à nous deux, je ne me suis pas trompé. »

Putain ce qu’il raconte comme merde, c’est minable mais au point où  il en est, il pourrait mettre un nez rouge pour la faire rire si elle le voulait. Heureusement qu’il la tient sous sa coupe …

« Je serais muet comme une tombe bébé. Mais pour fêter cette nouvelle, on va faire un détour chez un pote à moi qui vend de la premium. Tu mérites ce qui se fait de mieux. »

Le pote, c’est Yoshi, qui se procure de la blanche directement sur le continent d’en face, à la source, sans passer par la case mélange. Elle est pure et à user avec précaution. Son gramme, Ryo il le paie une fortune mais bon … il s’en branle, c’est pour la bonne cause. De retour dans la caisse, Cora n’a pas bougé.

« Tiens, envoie-toi ça, une pointe suffit, doucement, pas plus. »

L’effet est sidérant et avant qu’elle ne sorte une connerie stupide de plus, il la prend par la nuque et amène sa tête entre ses cuisses. Il vient de se libérer, qu’importe qu’elle flaire le jap’ à plein nez. Il a besoin de réfléchir et ne veut pas l’entendre. Y’a un peu de route pour rentrer au loft. Là, il la foutra au lit, l’enculera à sec peut être, et se projettera dans le futur. Un futur bien doré …

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: vendredi 28 novembre 2025, 17:08:39 »
C'est le Black Friday pour Cora. Sa prestation coûterait en réalité bien plus que le prix qu'elle a annoncé. L'américaine a sorti la réduction de l'année à s'offrir pour si peu. Le full-service qu'elle octroie relève de la perfection. Pour Ryo, spécialiste en la matière et derniers des salopards, c'est un crime qu'elle reçoive si peu en compensation. Maintenant, c'est elle qui balancé un chiffre donc il ne va pas intervenir pour faire remonter les gains. La fille prend une sérieuse dérouillée, et en l'absence de protestations, ses assaillants se lâchent furieusement. Le cul pour le cul, c'est cool. Mais le cul pour se sentir un homme un vrai, c'est merdique. Si Cora brille, les quatre débiles sont pathétiques. De vrais minables congénitaux plus proches de la larve écrasée que du prédateur sexuel de qualité. Le flic se dit même que pour au moins deux d'entre eux, c'est une première. Les gestes sont maladroits, trop brutaux pour être assurés. On se retire pas aussi vite d'un cul pareil après une giclée. On y reste au chaud, on se caresse un peu les couilles et on repart pour une deuxième virée. C'est le minimum. Et puis, quitte à lui baiser la gueule, autant aller jusqu'au bout et la plomber jusqu'à ce qu'elle tombe dans les pommes. Là, c'est du demi boulot. En plus, sûr qu'elle aurait adoré perdre pied c'te salope.

Enfin bon, c'est terminé et les quatre ramens restent pantelants, le froc sur les chevilles. Gros bides, petites jambes ... ça fait pas rêver hein ... C'est pourquoi quand l'autre con a essayé de venir tailler le bout de gras, Ryo a grogné, histoire que le puant comprenne que sa bite est trop proche du flic.

Le deal est clos donc on échange des banalités. Les mecs ont un peu honte, allez savoir pourquoi ... Maintenant que l'excitation est retombée et que l'âcre odeur de la pisse prend au nez, ils n'ont plus d'idées salaces ni de fantasmes délirants.

"Ouais on rentre."

Il ne va pas la féliciter ni la remercier. Peut être que cela viendra après. Là, il perdrait son prestige en se rabaissant devant ce qui reste d'une femme, une souillon dépravée et périmée pour la soirée.

"Lève toi et viens."

Par miracle  et respectant l'intelligence qui fait honneur à cet établissement réputé, l'ensemble du personnel trouve une tâche à faire quand le couple traverse la salle principale vidée de ses clients. Même le maitre d'hôtel se passionne soudainement pour la propreté d'un verre quand une Cora puante et digne d'une fontaine à foutre lui passe devant en flageolant sur ses jambes fatiguées.

Cora, c'est une pute, une salope, une catin de fond d'impasse. Elle sent la pisse et le foutre et sa robe tâchée et difficilement tirée sur son corps ne cache rien des méfaits qu'il a subit. Et elle est pieds nus car si elle portait ses escarpins qu'elle tient à la main, elle se vautrerait lamentablement. Dans cet état, elle n'est plus vraiment humaine, juste un truc usé qui sent pas bon. C'est pour ça que quand ils s'arrêtent devant la Mustang de Ryo, sa précieuse voiture, le flic hésite un instant. Ça dans sa caisse? Putain, les sièges en cuir ... Elle pourrait rentrer à pieds mais où elle va se faire ramasser par la brigade de nuit, ou elle va tomber sur l mauvais gang qui va la dépiauter pour revendre ses organes ... Fais chier ...

Le flic revient vite au restaurant pour prendre une nappe qu'il ne paie pas et vient la poser sur le fauteuil passager.

"Assieds toi, fais gaffe, t'es crade, t'en as partout."

Le moteur gronde au démarrage et Ryo se dit que c'est peut être le moment d'être reconnaissant.

"Tu t'es fait un max de pognon et t'as assuré. J'ai ce que je veux, comme je le veux. Je t'achèterai un truc qui te plairas. Ah non putain! Me touche pas!!!"

Il la repousse. Elle a les cheveux poisseux. Elle veut quoi? Un bisou. Lui tailler une pipe? Hors de question. D'ailleurs il ouvre les fenêtres, c'est vital.
Il y a été un peu fort.

"T'es une chouette fille Cora." Si ça peut la consoler...

Le flic fouille dans ses poches et en sort son paquet de clopes. De la dope, il en a plus, et shootée comme elle l'est, Cora pourrait claquer. Demain, elle aura mal au casque, elle aura mal au cul, et il devra s'occuper d'elle. Maintenant, c'est une vraie nympho ... Donc c'est pas dit qu'elle ait des supers pouvoirs de régénération sexuelle, ce que le flic pourrait commencer à croire.

"Fais chier!"

Une seule clope ... Il hésite. Il lui file et le tabac couvre son haleine de mulet ou alors, lui se l'envoie et elle risque de piquer une crise, vu son regard halluciné.

"Regarde dans la boite à gants si j'en ai un autre."

Évidemment y'a rien.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: lundi 17 novembre 2025, 16:32:02 »
"... et c'est par personne ... Ça fait 1200000 pour vous quatre. C'est un prix d'amis parce qu'elle sait qu'en retour, elle pourra compter sur votre influence si nécessaire, n'est ce pas?"

Ryo, c'était le boss, le maquereau, le protecteur. Pas bienveillant quoique d'une certaine manière, il ne s'était jamais aventuré à rendre le parti d'une nénette tout simplement parce que jusqu'à présent, il s'en foutait. Mais Cora, c'était SA pute même si il n'arrivait pas à s'en persuader. Si elle était vraiment ainsi, cela signifiait qu'elle pouvait claquer à ses pieds sans qu'il ne bouge. A la limite, il ferait l'effort de faire disparaitre le corps mais pas plus. Pour l'américaine, c'était différent bien qu'il n'arrive pas à mettre un terme sur son ressenti. Quand il avait rendez vous avec elle, il n'arrivait pas en retard, et il lui avait même offert deux trois trucs inutiles mais qui avaient fait plaisir à la jeune femme. Et là, à cet instant, alors qu'elle jouait le rôle qu'il lui avait assigné, il pourrait buter le premier qui lèverait la main sur elle. C'était un paradoxe car c'est bien lui qui l'avait mise dans cet état de dépendance: à la coke et au cul.

"C'est ... évident." Nobu à l'écume aux lèvres.

Elle était là sur ses genoux, légère et encore superbement désirable malgré l'état dans lequel elle se trouvait. Elle puait. Elle puait le foutre, son haleine était lourdement chargée, mais aussi la pisse et l'aigreur rance de la sueur des mecs qui s'étaient épanchés sur elle. Elle avait tout du déversoir, mais de luxe. Ses cheveux courts sont ébouriffés, son maquillage à coulé et son rouge à lèvres est étalé au delà de ses lèvres gonflées par l'effort d'avoir trop pompé; ou plutôt de s'être bien fait baiser la gueule. Sa robe est lamentablement souillée et sa blancheur immaculée d'origine s'est jaunie d'urine et de glaviots. Bref, Cora est crade, sent fort et représente bien ce pourquoi elle est venue.

Ryo la tient par les hanches. Il se dit qu'il a peut être trop forcé sur la dose de dope additionnelle car elle chauffe comme jamais. Il la sent frémir; le traitement humiliant qu'elle a reçu n'a en rien émoussé son désir de se faire sauter comme ... une pute. Il s'apprête à la lâcher comme on lâcherait une chienne de chasse; les mecs vont déguster et même s'il est faut de dire que les asiatiques ont une 'tite bite, ils font se faire découper la queue.

Le flic ne sait pas encore comment il gérera l'après. Fatalement, Cora retrouvera un semblant de conscience et sa faculté à réfléchir. Elle se posera des questions et il faudra que Ryo anticipe cette redescente. Ouais, il pourrait même faire en sorte qu'elle ait envie de recommencer. Peut être que lui acheter une petite bagnole fera passer la pilule ... Il connait du monde dans ce secteur lucratif, il n'aurait pas à dépenser bien cher.

"Montre leur Cora ..."

Il la repousse de ses cuisses, ce qui est un signal. Les quatre débiles se lèvent aussitôt et se désapent. Rien à foutre qu'on soit dans un restaurant. On se doute bien que Ryo a demandé lors de sa sortie un supplément de discrétion. Il se passe beaucoup de choses dans ces box privés et il y a déjà eu bien pire que ce qui s'y déroule actuellement.

Cora, c'est un objet. Un objet de valeur, certes, mais qui n'a droit à aucune considération. Alors elle est happée et balancée sur un guéridon. Le meuble est petit, parfait pour qu'elle s'y repose sur le ventre. Elle peut essayer de pousser sur ses mains pour se redresser, elle n'en a pas le temps. Un des types brutalise l'accès de ses lèvres, un vrai lapin. Il se donne et lui impose un facefuck minable car il n'a ni la longueur ni l'épaisseur nécessaire pour la faire dégueuler. En revanche, il risque de lui faire mal car sa frénésie le fait cogner de traviole dans la bouche qu'il occupe. Il l'abreuve d'insultes et parvient quand même à lui contraindre le cou de manière assez dégueulasse. Ça bave un max.

Derrière elle, le mec a la bite aussi large qu'une barre de soutien relève sa robe sur son cul. Il l'embroche, il plonge dans sa chatte et passe sans avoir même à forcer. Trop réceptive la pute occidentale! Il la tient fermement par les hanches et cherche à lui briser le dos tellement il cogne dur. Lui, il a un problème d'égo. Il veut dominer méchamment, blesser, aussi Ryo se tend. Fais pas d'erreur mon pote. Y'a des enjeux pour cette rencontre mais y'a aussi un facteur nouveau qu'il ne faut pas titiller. Encore une fois, Cora est à lui.

Les deux autres viennent l'encadrer. Elle a des mains, c'est pour s'en servir. Ses doigts sont refermés de force sur des queues poisseuses et odorantes qui durcissent dès qu'elle les touche. Les glands se frottent sur sa peau, suivent la ligne pleine de la courbe latérale de ses seins écrasés sur le guéridon. On lui crache sur le dos, on l'insulte encore et on lui tire les cheveux. Ramasse salope, vis ta vie de sac à foutre!

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: jeudi 13 novembre 2025, 20:50:58 »
Ryo était revenu pendant que Cora pompait l'avant dernier type. Il ne la voyait pas faire mais à voir l'expression du mec en costard, elle devait envoyer sévère. Quand il se crispa et convulsa, il entendit des gargouillis et des déglutitions sonores poindre de sous la table. Cora était dans son rôle... enfin, dans celui qu'il lui avait imposé sournoisement, et sa performance se calculait en milliers de dollars ... Cependant, le flic fronça les sourcils quand elle passa au dernier. Celui-ci avait le visage de la brute débile qui ne jurait que par la force. Hum ... venant de Ryo comme réflexion, c'était paradoxal mais lui au moins, n'était pas débile.
L'homme recule avec sa chaise et e flic voit "sa petite amie" suivre le mouvement. Elle avance à quatre pattes et sort à demie de sous le plateau de la table. De profil, Ryo voit la gorge de Cora déformée par la queue qui y pistonne. C'est crade, c'est bizarre à regarder. Ça lui fait comme un goitre énorme et la peau est tellement étirée à l'extrême que les veines du cou gonflent comme jamais. Le type veut la pousser au delà de ses retranchements et c'est le prix à payer pour que le deal soit conclu. Faut juste faire gaffe qu'elle ne clamse pas en cours de route.
Ce type officie comme chef de la sécurité de l'élu. Ça veut dire qu'il a en charge la sécu des établissements du ripoux. Ryo ne peut pas lui péter la gueule comme il le voudrait. Ça viendra peut être plus tard. EN attendant, l'homme s'accroche à la tête de Cora et se montre impitoyable. Il est tellement excité qu'il n'arrive pas à gicler. Il écrase en rythme le visage de la belle contre son pubis et l'insulte de tous les noms. On voit bien que c'est méchant. C'est brutal dans le mauvais sens du terme. Cora aura la gorge irrité voire plus car dans une ultime pression, il enfonce sa queue bien plus loin que le gorge. Tout est tellement distendu que ... Bref, c'est crade.

Quand il relâche Cora, il n'a pas réussi à éjaculer et la frustration se lit sur son visage. Mais il tente de faire bonne figure et c'est lui qui pose la question mortelle à Ryo. Ok, définitivement, dès qu'il en aura l'occasion, le flic lui brisera toutes ses putains de dents jaunes. Le mec plie sa jambe derrière la nuque de Cora et se replonge dans sa gorge. Il pompe comme un malade, arrachant de douloureux gargouillements à l'américaine. Mais ... non toujours pas.

"Ouais, elle peut aussi servir à ça."

Ryo a les yeux plissés, ceux d'un crocodile qui réfléchit à la manière dont il va bouffer sa proie. L'élu note bien la chose mais comme Ryo vient de lui soutirer plus qu'il ne l'escomptait, il ne réagit pas. En revanche, le porc, lui, crache au quart de tour. Gicler lui est impossible par contre, il déverse  dans Cora un tsunami de pisse alors que Ryo achève à peine sa réponse. Sa poigne est ferme, douloureuse, et il ne relâche la pression que quand il a fini. Sale bâtard!

L'homme éclate de rire et s'écarte pour qu'un autre vienne prendre sa place. Visiblement, celui ci hésite malgré tout à fourrer sa bite dans un urinoir déjà utilisé. Il ordonne à Cora de bien ouvrir la bouche et se soulage à une distance raisonnable, ce qui ne va pas dans le sens de la propreté. Les deux autres n'ont pas envie. Cora, bien que ce ne fut que des préliminaires, est réduite à l'état de loque.

Ryo choisit cet instant pour s'asseoir sous le regard bienveillant de Nobu,

"J'apprécie ton sens de la générosité Ryo mais j'ai une question. Est-ce qu'elle peut faire plus?"

Ryo regarde l'homme avec l'envie d'écraser son gros poing dans sa gueule de fils de pute.

"Ça entre pas dans le deal. Si tu veux plus, tu lui demandes et tu payes."

L'élu prend le temps de réfléchir. Il a suffisamment pris à Ryo et sait quand le danger risque d'apparaitre. Leur relation est particulière, basée sur menace, force et diplomatie ...

"Tu as raison. Cette demoiselle mérite notre considération. Même une pute peut être respectable."

Nobu tapote la tête de Cora.

"Combien tu prends pour qu'on te saute tous ensemble?"

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: lundi 10 novembre 2025, 16:40:22 »
Au moins deux des acolytes de l'élu s'imaginent très bien caler un shooter entre ses deux mamelles incroyables pour venir s'y abreuver alors que Cora les met en avant en parlant d'alcools forts. Tous sourient poliment à sa plaisanterie sans y accorder une once d'intérêt. Qu'une femme soit assise à leur table relève de la limite presqu'acceptable mais le fait qu'elle soit sexuellement si parfaite compense l'insulte. Son avis passe à des années lumières de leur considération mais au moins, la partie "échanges de politesse" est faite.

Ryo observe. Les choses vont évoluer. Là, on pose les bases. Chacun émet son point de vue. C'est très japonais comme hypocrisie, surtout en sachant que tout peut terminer dans un bain de sang très rapidement si susceptibilité blessée il y a. En vérité, Nobu va payer et Ryo touchera bien moins que le prix demandé; mais comme celui-ci est déjà calculé avec la perte des négociations ...

Les mouvement moyennement discrets de l'élu à l'égard de Cora ne lui échappent pas non plus, comme à personne. C'est pour cela, à minima, qu'elle est là. Elle fait de gros efforts pour rester américainement courtoise et c'est tout à son honneur; l'homme est répugnant.
Le flic a bien compris l'objet de ses œillades discrètes et il lui sourit. C'est un peu tôt pour la dose mais si elle en exprime le besoin, c'est qu'il existe. Alors que les attentions se plombent dans le décolleté de Cora, Ryo lui glisse ce qu'elle demande dans la main. En revanche et elle ne le sait pas, la coke est couplée avec un truc bien plus pernicieux, le genre de substance qui incite à bien plus que des papouilles tant ça chauffe le corps. C'est dégueulasse mais ... c'est comme ça.

Ryo s'est posé des questions à ce sujet mais quand on parle pognon ... y'a des priorités. Cora aura un petit billet, il la niquera bien méchamment après, et ce sera oublié ... Et puis au pire si elle fait chier, il a des films et des photos qui entrent dans la catégorie super compromettante. Il avait hésité, il l'aime bien Cora. Elle l'aura son diamant ...

Quand elle est partie, son cul captant encore toutes formes de fantasmes, il se cale dans sa chaise.

"Tu veux quoi?"

"Ta pute."

"Elle est pas à vendre Nobu."

"Ta pute, aujourd'hui et quand j'en ai envie. Et tu prends 15000 par mois"

"18000. Y'a aussi le palais de justice à endormir."

"... "

" ... "

"Elle suce bien?"


"Y'a pas mieux."

"Tu nous laisses un peu?"

"18000 ?"

"18000"

 Quand Cora revient, Ryo se lève à son tour pour aller aux chiottes. La fille a les yeux qui brillent, légèrement vitreux. J'reviens qu'il lui dit mais il ne va pas se presser.

Dans le box, Nobu admire le retour de sa marchandise. C'est d'autorité qu'il lui palpe sa cuisse et qu'il prend la main de Cora pour la poser sur son paquet. Le déballage pourrait être imminent ... enfin, les déballages car ils sont quatre à convaincre, pour la forme.

"Passe sous la table."

C'est déjà moins sympa comme ton ...


   

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: vendredi 07 novembre 2025, 15:35:45 »
Superbe. Il fallait, et ce n'était pas difficile, le reconnaitre. La présence de Cora était absolument fascinante. Ryo en oublia de tirer ses taffes et apprécia chaque détail qu'elle lui exposait. Cette robe fourreau ivoire, d'une indécence absolue, était ce qui caractérisait le mieux la jeune femme: outrance, exposition, exhibition, déballage des atouts physiques. On ne pouvait que se perdre dans ce décolleté tellement profond qu'il ne cachait presque rien. La taille, les hanches étaient définies parfaitement et la coupe verticale sur le coté droit permettait un visuel effarant sur les bas ravageurs que portait Cora. Baisable comme jamais. S'il la lâchait ainsi sur le trottoir, le premier mec qui passait la foutait à quatre patte et la plombait en public.

"T'es craquante Cora. Me chauffe pas, faut qu'on y aille."

Il sort de sa poche intérieure un pochon de coke qu'il lui montre pour répondre à sa question et le remet à sa place. Bien sûr qu'elle va y avoir droit. Pour ce qu'elle va avoir à faire ce soir, elle en aura bien besoin. L'élu en question  n'est pas un beau gosse. Et nul doute que ce qu'il conserve dans son futal n'est pas des plus reluisants. L'abus d'alcool et de tabac se devine à la couleur de sa peau, plus foncée que le commun des asiatiques.

La rencontre à lieu au Takashiro's . Il s'agit d'un restaurant huppé, apprécié des connaisseurs pour la qualité de ses prestations mais aussi pour la discrétion du personnel. Et pour cause, le patron est un yakuza notoire et il a tout intérêt à faire de cet établissement prisé un lieu où l'argent transite loin des regards.

Quand Ryo s'y présente, Cora accrochée à son bras, fervente amoureuse au regard amouraché, l'effet est triomphal bien malgré eux. Quel couple parfait digne des meilleurs comptes Onlyfans! Beaucoup de tête se tournent et là  où les nénettes devraient engueuler leur mari trop voyeur, elles matent le flic colossal en retour. Après quelques pas sur une moquette épaisse, un maitre d'hôtel vient s'enquérir de leurs qualités, non sans manquer tomber dans le décolleté de Cora dont les seins semblent vouloir jaillir de l'ensemble.
Sobrement, Ryo donne juste un numéro de table et l'homme affable acquiesce et les mène dans le fond de la grande salle. Là, quelques box savamment isolés permettent aux Grands et aux Riches de faire leur petites affaires. Au numéro 2, le maitre d’hôtel tire un rideau lourd et leur permet le passage. Là, une table ronde, six fauteuils autour, et 4 occupants déjà bien installés. Tout comme le reste du restaurant, l'endroit est ultra luxueux. La table est nappée de draperies françaises, la vaisselle est de haute marque allemande et le vin déjà ouvert et servi est hors de prix. Le prix d'un seul des fauteuils doit valoir le salaire annuel d'un cadre moyen et le capitonnage du box est à l'épreuve des balles autant qu'il isole des bruits entrants et sortants. La lumière n'est ni douce ni vive, juste suffisante pour que tout soit apprécier à sa juste valeur.
En bref, ça pue le pognon.

Les quatre personnes présentes, tous des hommes, se lèvent à l'entrée du couple. Tous se foirent en louchant sur Cora. Si le japonais est réputé pour savoir masquer ses émotions, ce n'est pas le cas ce soir. Nobu Toshida, l'élu, les salue tandis que les autres s'inclinent. L'homme est gras, ventripotent même. Court sur patte et large, il occupera bien toute l'assise de son fauteuil. Son visage est un masque de tofu jaunâtre et ses cheveux noirs épars sont collés à son crâne à grands renforts de laque. On voit bien qu'il a chaud et le col boutonné de sa chemise lui rentre dans le gras du cou. Affreux ... mais important.

"Ryo! Mon brave Ryo ... Je disais justement à mes collaborateurs à quel point je t'apprécie."

"J'en suis ravi monsieur Toshida."

"Et tu nous fait le cadeau de nous amener une ... ton amie. C'est bien, c'est très bien! Bienvenue mademoiselle. Enchanté de faire votre connaissance. Nobu Toshida. Maire adjoint à la ville. Le titre est pompeux mais d'importance, vous comprenez? Asseyez vous donc."

Cora est assise entre Nobu et Ryo; Les autres hommes ne ressemblent ... à rien si ce n'est à des marionnettes dédiées au service de l'élu. Mais ils portent les attributs d'hommes aisés: montres de luxe, costumes de grandes maisons, mains entretenues ...

S'ensuivent les inévitables flatteries et de longues louanges, autoproclamées de l'élu. Tous approuvent, lèvent leur verres, puis après quelques minutes insupportables, le véritable sujet est déballé. Ryo n'en peux plus, il est prêt à exploser. Heureusement que les choses commencent.

"Ryo, mon ami, j'ai étudié tes tarifs. Je comprends ton point de vue mais mon établissement n'est pas lancé. Pour débourser de telles sommes, j'ai besoin d'asseoir la réputation de ma salle. De belles recettes entrainent de belles dépenses mais ce n'est pas pour tout de suite."

"C'est la cinquième salle que vous ouvrez monsieur. Les recettes seront de l'argent de poche; Mes tarifs sont calculés au plus bas, parce que nous nous apprécions."

"OH OH OH! Ryo Ryo ... Tu es malin. Tu prends notre amitié en otage. J'aime ta franchise mais tes tarifs sont trop élevés."

Les cinq derniers mots étaient tombés comme un couperet. C'est là que les négociations commençaient.

L'homme gras se tourna vers Cora et posa ses doigts huileux sur son avant-bras.

"Vous devez vous ennuyez mademoiselle. Parlez-nous un peu de vous. Vous aimez le vin? Quel est votre point de vue. Participez donc."

Son avis, il s'en cognait. Là aussi, les négociations commençaient.


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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: jeudi 06 novembre 2025, 15:39:46 »
La porte de la salle de bain était ouverte et Ryo l'avait vue, sa chose dépravée, sa catin de luxe incapable de se sorti du filet dans lequel il l'avait enfermé. Le loft du flic était devenu l'antre de la perversion, de la décadence et de la débauche.  Pas un meuble n'avait échappé aux positions imposées par Ryo à Cora. Écrasée contre un placard, allongée sur une commode, prise sur le plan de travail de la cuisine, bourrinée d'innombrables fois sur le grand sofa.  Et pas que ... Leurs jeux les avaient poussé jusqu'à utilisé des objets de la vie courante, tous insérés dans le corps de Cora: bouteilles de tailles et formes diverses et d'autres choses improbables.

Cora avançait comme une chienne blessée, à quatre pattes, se trainant vers sa gamelle: la douche, et son maitre: Ryo. L'homme l'attendait, grand seigneur, la bite molle mais fourmillante de ce qu'il avait a purgé. Gaver Cora de foutre n'était pas tout. L'esprit malade du policier voulait aller plus loin, tester d'autre chose, repousser les limites de la jeune femme et en faire l'objet sexuel parfait, capable de s'acquitter de toutes les ignominies. Il ne l'aida pas, la laissant galérer pour le rejoindre, ne bougeant pas d'un iota jusqu'à ce qu'elle s'agenouille devant lui, offerte mais aussi désireuse de s'abreuver du supplément proposé.

Il avait gagné. La coke et sa queue avaient fait de Cora ce qu'il en voulait: une femme capable de jouer les putes de caniveau comme les escorts de luxe, celles que l'on ne trouvait que dans les grands palaces, disponibles aux bars de ceux-ci, sirotant un champagne hors de prix dans l'attente d'un richissime client.
Cora était belle, sublime même, quel que soit son état. Il suffisait dorénavant de la gérer, c'est à dire de la maintenir dans un état acceptable pour en faire un atout de première main. Et premier test, ce soir!
Mais en attendant ...

"Arrête de gigoter putain, on dirait que c'est toi qui veux pisser. Redresse toi, ouvre bien la bouche. Ouais, comme ça. Interdit de cligner des yeux! Et tu recraches pas!"

Ryo orienta sa queue vers le visage de l'américaine et ne prit pas la peine de viser. Le geyser d'urine jaillit, assez chaotique. Si la trajectoire directe parvint à la bouche de Cora, des éclaboussures imbibèrent ses cheveux et son visage. Et puis, il y en avait bien trop en réalité donc il secoua sa molle un bon coup et termina de ruiner SA femelle.

"Bonne petite chienne. Lave toi maintenant et prépare toi ensuite. Applique toi, il faut que tu sois belle. Fais ça bien et j'te préparerais un kiff à la cuisine." (Il entendait par là un rail conséquent qui ramènerait Cora à une réalité sereine, loin des nécessités de la dépendance).

Il se lava, monopolisant la flotte et la laissa glander ensuite alors qu'il se préparait. Ils allaient rencontrer un élu de la ville, le directeur des projets immobilier et adjoint au maire actuel. Ce type était une crapule, un salopard de la pire espèce, fabuleusement efficace devant les médias mais cruel, avide et totalement corrompu dans son activité professionnelle. Il gérait ses petites affaires d'une main de maitre et Ryo le soupçonnait d'être justement soutenu par le maire contre lequel personne n'avait rien à dire ....

Mais ce qui amenait Ryo a rencontré l'homme véreux ce soir, c'était l'ouverture d'une tripot clandestin au cœur du quartier de la Toussaint. Par tripot, on entendait un établissement de luxe enterré sous les fondations d'un vieil hôtel pouilleux. Les yakuzas aimaient le jeu et les bimbos occidentales et les fonds dont ils disposaient intéressaient bien évidemment les loups des business moisis. Le quartier de la Toussaint, c'était le territoire de Ryo, son terrain de chasse et sa zone de prospection. Avec lui, l'élu voulait éviter l'intéressement de la police mais ce n'était pas gratuit et cette petite soirée allait définir les "avantages" que Ryo allait tirer de cette "collaboration". Et Cora allait contribuer à la générosité de l'élu, qui serait accompagné de "collaborateurs" importants.

Une fois n'est pas coutume, il se rasa et passa un costume couteux (sans cravate). Autant faire bonne impression, et particulièrement ce soir-ci.

Après, en attendant Cora, il lui prépara son rail , hautement mérité, puis s'alluma une clope.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: mercredi 05 novembre 2025, 16:36:06 »
Quelle faiblesse que celle de l'homme face à l'expertise d'une suceuse de l'envergure de Cora. S'il avait vraiment voulu s'arrêter là, il n'aurait pas réclamer la voracité de sa bouche. On n'interrompait pas gentiment une pipe de l'américaine comme on éteignait la télé. Non, nécessairement il fallait aller jusqu'au bout car lui comme elle ne toléraient pas la demie mesure. Si limites il devait y avoir à leurs relations, principalement sexuelles, ce serait comme restreindre un réacteur nucléaire au fonctionnement d'une mobylette.

Aussi quand Cora passa d'une fellation gourmande à une gorge profonde cradingue, Ryo ne put que suivre le mouvement et prit son tour de responsabilités.

Il fallait voir la scène que même un réalisateur de porno confirmé n'oserait pas demandé à une actrice chevronnée. Le sofa était le support de l'acte, les protagonistes une putain vampirique conditionnée au sperme et un colosse ultra violent sans aucune moralité, et l'objectif: purger les burnes de l'un pour remplir l'estomac de l'autre.
Ryo retira les mains de Cora de son corps et craqua un rictus quand il constata qu'elle l'avait griffé au sang: adorable! Il l'arracha à sa queue et la repoussa sur l'assise du sofa, mal foutue, à moitié posée sur le dos, à moitié prête à en tomber. Lui, vint s'agenouiller au dessus de la poitrine de Cora. Il lui coinça un bras contre le sofa en calant son genou au dessus du creux du coude de la jeune femme pour ne pas la blesser non plus. Ensuite il pivota son bassin pour accéder à son visage. Pas d'avertissement! Il pèse et force les lèvres pour lui plomber la gorge, de traviole, c'est dégueulasse. Qu'elle encaisse ou pas, rien à foutre! Le colosse neutralise l'autre bras de Cora en le verrouillant au dossier de sa poigne de fer. Elle est à lui, sa gueule de salope est à lui, exclusivement et totalement.

"HAN!"

Sa force pourrait lui déboiter la mâchoire.

"HAN! HAN!"

Deux coups de reins mal gérés l'empêche de passer là où il veut. Il remue, ajuste!

"PUTAIN, PRENDS CA!"

Il sait très bien que ce n'est pas clean tellement ça râpe sur les bords. Putain qu'il explose. La gueule de Cora, c'est une fosse, pas sceptique, mais pas loin.

"HA! HA! HA! BORDEL! ARGH !!!"

Les mouvements du flic sont désordonnés. Il nique comme un sauvage et la tête de Cora est prise dans un étau sans pitié. Le pelvis de l'homme s'y écrase furieusement. Là, on a dépassé l'acte sexuel, on est déjà plus dans l'extrême démesure de la décadence de ce couple improbable.

Et quand l'orgasme arrive, Ryo hurle comme un animal blessé et se fiche au plus profond de la gorge de Cora. Son énorme gland gonflé de sang se loge dans l’œsophage de la jeune femme, forçant le conduit à se dilater comme il ne l'a jamais fait. C'est une première fois ... et quelle première fois ...
La tête et les épaules de Cora sont masqués par l'énorme masse du flic. Il la comprime, lui interdit tout mouvement, empêche les spasmes de se libérer. Magnifique bouche à foutre, superbe outre à sperme que la nymphomane américaine.

Ryo ne la relâche pas, NE L'Y AUTORISE PAS!


Il abuse égoïstement et reste en elle. Putain ouais qu'il sent qu'elle veut réagir. Mais non salope! Encaisse putain!

C'est trop, c'est extrême. Et quand il se retire enfin, c'est avec une immense satisfaction qu'il contemple SA loque.

"J'vais pisser. Si t'as encore soif ..."

Il se dirige vers la salle de bain.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: lundi 03 novembre 2025, 12:12:30 »
Si Ryo s'était considéré comme une bonne personne, alors il aurait mesuré la chance d'avoir une bombe telle que Cora comme copine ... ou quel que soit le nom qu'on pouvait donner à leur relation. Elle représentait tout ce qu'un mec standard pouvait attendre de sa nénette, tant en comportement qu'en présence physique.
Mais le flic n'était pas un bon mec et la considération qu'il portait à l'américaine se limitait à ses capacités exceptionnelles à assumer sa condition de petite salope. Quoique ... peut être pas seulement car Cora diffusait aussi sa bonne humeur contagieuse et plus d'une fois, elle l'avait fait rire franchement. Lui qui était plutôt du genre loup solitaire se plaisait de la compagnie de sa cochonne de service, et même s'il la shootait volontairement et qu'il abusait d'elle à outrance, on pouvait considérer qu'il en prenait soin, à sa manière.

L'homme posa ses mains sur les hanches de Cora. Elle se dandinait sur ses cuisses, véritable vestale du culte du cul, topless, et ses grosses loches ballotaient sous le nez du flic qui durcissait déjà face à ce spectacle lourd de promesses.
Les doigts de Cora, agiles et expert dans le domaine du déshabillage d'opportunité, couraient sur les vêtements de Ryo et en moins de deux, il était torse nu, débraguetté, et le chibre à l'air.

Il était arrivé à ses fins et Cora était prête à être employée de la meilleure des manières. L'américaine était dépendante de ses services et il dosait savamment les rails qu'il lui permettait de s'envoyer pour la garder sous contrôle sans pour autant qu'elle se grille, et le cerveau, et au boulot. Il avait réfléchi un peu. Il l'aurait bien gardé juste pour lui mais elle représentait un atout pour ses business. Avec elle, il pouvait obtenir ce qu'il voulait. Le premier test serait pour le soir même.

Ryo lâcha les hanches de Cora pour saisir ses seins à pleines mains. Il les claqua entre eux, les pressa plus que nécessaire, imprimant la bonne mesure pour creuser un sillon à branlette espagnole. C'te paire de mamelles, il la kiffait. Très souvent, c'est par là qu'il commençait,et c'est aussi là qu'il se terminait, l'inondant de crème épaisse.

Mais à cet instant, alors qu'elle l'avait bien chauffé, il voulait autre chose. Rien de respectueux ni de mignon, non. Il se leva sans effort et pivota faisant glisser Cora sur l'assise du canapé. Elle s'y affala comme une loque et il lui retira son futal et sa culotte. Il allait l'enculer, lui faire le fion, lui péter le cul.
Depuis qu'il la connaissait il avait toujours un tube de lubrifiant à proximité et il s'enduisit la queue de la substance nécessaire à ce qui allait arriver. Ryo se laissa tomber sur elle de tout son poids, relevant une jambe de Cora et écartant l'autre. Il chercha à se guider sans trop y voir et quand il sentit la rondelle serrée s'opposer à son introduction, il y alla franco en grimaçant.  Ça faisait toujours mal au début mais il s'en foutait. Son gros gland domina la résistance et la perfora pour qu'il s'enfonce en elle et sente son rectum l'envelopper totalement. C'est seulement à ce moment là qu'il lui répondit.

"J'en dis que t'es une super coach du cul et que je vais te remplir le fion. Et si t'es une bonne salope, j'te repeindrai la gueule aussi."

Maintenant, elle avait l'habitude de sa vulgarité et des ses petits mots gentils. Pute, salope, cochonne,  sac à foutre, étaient des qualificatifs assumés que Cora savait authentifier à la perfection.

Il la défonça sauvagement. Elle pouvait gueuler ce qu'elle voulait, cela ne changeait rien. Quand il la sodomisait, il fallait que cela soit brutal, dur, intransigeant sur l'extrême violence de sa manière de faire. Cora était écrasée, tordue sous lui, dominée, contrainte. Comme toujours, Ryo cogna jusqu'à ce que Cora ait le cul explosé, et il s'y vida comme un porc en longues giclées poisseuses.

Bien sûr, il n'oubliait pas son plaisir à elle mais à défaut de bite, il utilisa une bouteille vide pour lui ramoner le vagin. Pratique dégradante et humiliante mais perchée comme elle l'était ... Et puis si elle l'ouvrait trop, il lui poudrait le nez et elle devenait enragée du cul. C'était une spirale sans fin.

Il s'était retirée d'elle, laissant une rondelle éclatée qui mettrait un moment avant de retrouver son élasticité. Il se redressa et la releva en la prenant par les cheveux, hissant sa tête à hauteur de sa queue. Il la tenait bien, les mèches de cheveux blonds-roses pointant entre ses doigts serrés.

"Nettoie!"

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: lundi 27 octobre 2025, 16:29:19 »
Alors que Cora recherche l'appât du gain, c'est à dire la grosse queue du flic et un rail de coke, Ryo reçoit un message. Boss Takeda!

Citer
"Hey Ryo!  J'espère que tu ne m'as pas oublié. On m'a dit qu'on te voit pas mal avec une bombe ces derniers temps. C'est ma marchandise?"

Ryo crispe ses mâchoires d'irritation. Le yakuza sait tout; la Toussaint, c'est son quartier et c'est vrai que Ryo lui a promis de lui rapporter une pute occidentale de qualité pour remplacer la dernière ... S'il met Cora entre ses mains, elle finira comme l'autre: dissoute dans un bain d'acide une fois qu'elle aura trop servie ... Mais il a d'autres plans pour elle, des plans plus personnels. Il répond sans attendre, Boss Takeda n'est pas homme à prendre à la légère.

Citer
"Je n'oublie pas mes promesses Boss mais celle-ci est mon casse dalle perso. Et puis, elle est déjà pas mal usée, elle en a pas pour longtemps. Ce serait de la mauvaise came pour vos clients spéciaux. Je traine pas et je vous en rapporte une premium."

De la mauvaise came? Surement pas. Cora c'est de la top qualité made in america. Il la regarde, alors qu'elle se trémousse façon junkie qui peut se lâcher, loin des regards de ses collègues. C'est une toute petite quantité de dope qu'il l'autorise à s'enfiler: pas assez pour se shooter, mais suffisamment pour combler le vide qui s'installe. Ensuite, il baisse sa braguette, sort sa grosse nouille, prend Cora par la nuque et ramène sa tête entre ses cuisses.

Le gros moteur de la Mustang vrombit quand il démarre et il s'engage dans le flux intense de la circulation de Seikusu. Quand ils arrivent et s'arrêtent devant la devanture rose fuchsia du Lady in Pink, il lui a déjà massivement giclé dans la gorge et il ne l'autorise à se redresser que quand il coupe le V8.

Le Lady in Pink est tenu par Sakura Masada, une ancienne pute qui a gravi les échelons jusqu'à tenir simultanément quatre bordels. Intelligente, elle s'est reconvertie dans la mode quand les Grands ont commencé à s'intéresser à ses business. Maintenant, elle gagne encore plus de frics en habillant une majorité des escorts et putes de la ville, et en fournissant aussi les clubs des yakuzas.

"Ryo ... Ça fait longtemps ... Tu m'amènes une ... amie?"

"Ouais madame, c'est une amie qui m'est ...chère."

"Et tu veux lui faire un petit cadeau pour la rendre encore plus ... expressive?"


"Ouais, c'est l'idée, plusieurs cadeaux même ... pour diverses activités."

"Très bien, laisse la moi, reviens dans une heure, je te la prépare."

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Une heure plus tard, le flic est de retour. Sakura est une pro et elle dispose encore d'une grande influence dans le Milieu. Sa boutique, elle la gère, c'est elle qui habille les filles et elle sait y faire. Deux gros sacs estampillés Bitch of the Day attendent sur le comptoir, bien remplis. Vêtements, pompes, accessoires, il y en a pour un demi million de yens. Putain! Il retira ça de ses impôts en frais courants! Mais au moins, ça envoie sévère et l'investissement vaut le coup pour la suite. Sakura a tiré quelques clichés pour présenter ses produits sur Cora et le résultat est époustouflant.
Ryo passe son bras autour des épaules de Cora.

"Ca t'as plu? Dès ce soir, tu pourras en porter une. On sort! Un diner élégant avec des personnes importantes ..."

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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« le: dimanche 19 octobre 2025, 16:15:07 »
La frontière entre délire, alcool, stups, sexe et réalité était ténue. Il suffisait de peu pour que tout bascule d'un côté ou de l'autre, entre une plongée dans le monde de la déchéance et un retour à une normalité plus rassurante. Cora en était là. Elle pouvait être prise d'un rejet violent de ce qu'elle avait fait ces dernières heures ou alors elle pouvait s'enfoncer en espérant retrouver les sensations intenses qu'elle avait vécu.
Devant son hésitation, Ryo revint vers elle, et d'une manière très virile, très masculine, la prit par le menton pour la tirer à lui et l'embrasser. Cora n'était pas une poupée de porcelaine. Pour la conquérir, il fallait être puissant, dominant, sûr de soi. Ce salopard de flic pourri le savait, l'avait compris. Une fille comme Cora, on ne lui faisait pas l'amour, on l'enculait comme une pute pour qu'elle puisse atteindre son point de jouissance.

"Te mettre les menottes ... MMmm c'est une idée en effet. Mais pour cela, il faudrait que tu m'offenses et là, tu es la plus adorable merveille qu'un mec voudrait trouver dans son lit."

Il lui pelote un sein, ne mentionne ni ne regarde le rail de coke, puis retourne se faire couler un nouveau café, offrant à sa proie la vue de ses dorsaux massifs surmontés d'épaules de buffle.

"Tu devrais boire ma mixture même si ce n'est pas ragoutant. Avec ça, dans une heure, tu me grimpes dessus."

Il la laisse faire. Là, elle tergiverse et la presser d'une manière ou d'une autre pourrait être désastreux. Cora dispose d'un très gros potentiel et nul doute qu'une fois pervertie, elle fera un superbe objet sexuel pouvant peser lourd dans certaines négociations.

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One month later ...

Ryo attend au volant de sa Mustang. Il est garé devant l'entrée d'un labo dont le nom est connu de la communauté scientifique. En double file, il emmerde tout le monde et répond aux coups de klaxons polis par des doigts d'honneur bien plombant.
Cora ne va pas tarder à sortir. Sa petite cocaïnomane a plongé. Ce fameux rail de coke, elle se l'est envoyé et ça a été le départ d'une accoutumance consommée. De la coke, il en a toujours sur lui mais il joue le pote, l'amant, le maitre, protecteur :"Doucement Cora, c'est trop là..." ; "Ça suffit pour aujourd'hui ma belle".
Il s'arrange pour qu'elle demande, et pas que lui propose. Là est toute la différence. Et quand généreusement, il la poudre, généralement, il la défonce juste après. Parfois, ça va loin. Une fois, elle n'a pas pu aller au travail tellement son cul lui faisait mal...

La porte du labo s'ouvre en coulissant et les vigiles s'écartent. Boom! Prends ça dans ta gueule Ryo. C'te salope sait se faire remarquer, même quand elle s'habille comme une humaine et pas comme une chienne en chaleur. De loin, il lui fait un geste.

Ils vont faire du shopping ... Du putain de shopping de merde! Trainer dans des rayons à choisir des daubes qui finiront arrachées. L'angoisse...
Enfin ... il a promis et comme c'est un peu nécessaire pour ses projets, il va essayer d'y mettre du sien. Ils ne vont pas aller au mall sympa du centre où tous les débiles de Seikusu vont se fringuer "à la mode". Non, il l'emmène là où les putes se sapent. Y'a tout un tas de boutiques tenues par des maquerelles à la retraite  qui n'attendent qu'une pute occidentale à fringuer. Là bas, pas d'élégance: on exhibe pour gagner du fric. Et le corps de Cora, c'est un putain argument de vente.

"Salut ma belle!"

Ses lèvres sont fraiches, son parfum enivrant.

"Prête à vider mes poches?"

14
Citer
« Dans un monde où la conformité règne, une femme choisit la démesure. »

Hum, elle veut la voir ma démesure HOHOHO!!!

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C'était Ryo, pas moi  ;D
Bienvenue! Ou re-bienvenue j'imagine :)
Quelle garce en effet!

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One Shot / Re : The punk and the nerd [PV Nao]
« le: vendredi 29 novembre 2024, 12:44:40 »
Nao eut dans l'idée de bondir de son lit pour chopper Automne et la secouer. Mais rien que d'y penser lui faisait déjà mal à la tête. Une remontée de bile le rappela à son état actuel et il réussit à la ravaler difficilement afin d'éviter l'inondation de ses draps. Dégueulasse!
C'est l'entrée d'Automne dans sa chambre qui l'avait réveillé. Sa présence, son odeur, les quelques mots qu'elle avait prononcé étaient autant de balises vitales qu'il  lui en fallait, à ce pauvre Nao. Ce moment, ces "retrouvailles", il en avait posé des scénarios toute la soirée ... avant la biture. Explications au calme, compréhension, hurlements, mise au point, accusations ... il était prêt à tout! Seulement, ça, c'était effectivement avant de prendre cette méga cuite et avant de se faire retourner par l'autre idiot dont il se souvenait assez peu en fait.
Automne sanglotait près de lui et il ouvrit la bouche pour lui reprocher tous ses méfaits. Cela se traduisit par un long borborygme qu'il croassa péniblement. Il essaya bien aussi d'ouvrir les yeux mais ses paupières gonflées refusèrent d'obéir. Il se rendormit donc avant de se réveiller en sursaut, tenant toujours la main de sa perverse de dulcinée.

"T'es ... chiée."

Il était déjà plus clair et parvint à la regarder sans bouger la tête: Bouddah sur son lit de mort ... Quel bordel cette nénette ... La tornade polonaise méritait une sacrée fessée pour avoir tant bouleversé la vie geekiesque du garçon. Et puis elle méritait aussi un gros bouquet de fleur justement pour l'en avoir sorti. Nao l'aimait beaucoup cette fille, pour faire court et selon la formule d'usage correcte au Japon. Leur rapprochement forcé avec leur colocation avait grandement contribué à imposer ce sentiment qu'ils étaient vraiment très proches. Enfin ... c'était ce que croyait Nao mais la vérité vraie qui dominait à présent, c'est que ce n'était pas le cas. Et cette déception appelait fatalement à un fond de jalousie puisque apparemment, quiconque avait assez de pognon pouvait passer sur Automne.
Nao réprima cette pensée injuste mais elle était coriace. Lui, avait bien plus à lui offrir que tous ces connards profiteurs et pervers mais ça n'avait pas suffit à la faire basculer de son côté. Mais est-ce qu'il avait tout fait pour ça? Il s'aperçut que chaque question en entrainait une autre et qu'au final, il ne savait d'Automne que ce qu'il avait voulu bien voir.

"Combien cette nuit?"

Bing! Méchant Nao! C'est gratuit et ... ça ne lui procure aucun réconfort de cracher son venin. Il essaye de tourner le dos à sa coloc en supprimant de son esprit l'image de monticules de corps nus  entassés sur sa polonaise. Bouger lui fait mal et en plus, il a maintenant envie de pisser. A l'appart, ce ne serait pas un problème mais là, c'est gênant. Le tiraillement le force à se faire mal et il s'adosse à son coussin. Enfin, il peut la regarder: le juge accusateur devant la coupable. L'ancien Nao, le petit gros aurait haussé les épaules et serait passé à autre chose. Le nouveau Nao, celui qui avait fait de gros efforts sous l'égide de sa mini-sama ne pouvait pas.

"Tu m'as fait très mal. Et le pire, c'est ton sourire quand ils ... quand ils ..." ... te baisent, t'enculent, te giclent à la gueule, te gavent, et tellement plus encore dans cette vidéo qui ne reflète qu'une fraction infime des nuits d'Automne.

Il ne veut pas la perdre mais la suite de leur histoire parait bien difficile à imaginer. Nao a peur. C'est une sensation sournoise tapie derrière tous ses ressentis la concernant. Encore une fois, il l'aime beaucoup mais l'inverse est peu probable à ce niveau. C'était peut être mieux avant. Avant qu'il ne change pour lui montrer qu'il tient à elle. Peut être aurait mieux fallut rester sur les soirées poulets frits, pizzas coca, films débiles et parties démentielles sur Ark et autres ...

"Tu me manques ..."


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