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« le: lundi 21 janvier 2019, 12:11:07 »
J’étais bien plus convaincante qu’elle, n’est-ce-pas ? J’avais rapidement deviné qu’une jeune fille de la sorte était forcément pure de tout. Pas besoin d’être devin, suffisait d’être intelligent, une petite fille catholique était forcément pure. Elle ne jurait que par Dieu, ce même Dieu qui l’avait laissée entrer dans une maison d’où elle ne sortirait pas. Elle ne le savait pas encore, la jeune chrétienne, mais cette maison serait le dernier lieu où elle vivrait. Les mains et la bouche de l’adulte s’amusaient d’elle, car après tout c’était ce qu’elle voulait. La jeune catholique elle-même l’avait admis, elle ne voulait pas que cela ne tourne autrement. Enfin, elle voulait que cela continue, mais vous avez saisi l’idée. Elle avait accepté beaucoup de choses, Claire, mais elle n’était pas au bout de ses surprises. Car Jeanne ne comptait pas la laisser lui échapper aussi facilement, vous vous en doutez. Où serait l’intérêt de l’attirer ici si c’était juste pour ça ? Elle ne comprenait pas encore ce qui était en train de se passer, mais elle ouvrirait les yeux. En attendant, la plus jeune venait de répondre à l’adulte :
Je… Bien… Je suppose...
Elle semblait déterminée à se laisser faire, ce qui ne manqua pas d’enchanter Jeanne. Elle allait en faire sa petite poupée, sa petite chose serviable, en jouant sans doute avec la religion en laquelle elle croyait tant. C’était, certes, assez sournois et machiavélique, mais pourquoi s’en priver quand l’enjeu était si… Mignon ? Elle voulait Claire pour elle seule, et elle ne serait jamais assez satisfaite pour la laisser partir avant que ce petit joyau ne soit une pierre. En attendant, les doigts de la maîtresse de maison s’amusaient entre les cuisses de la demoiselle, qui étaient de plus en plus trempées d’un liquide qui démontrait bien qu’elle adorait ça. Alors la plus âgée s’en donnait à coeur joie, lui offrant à la fois des pénétrations avec ses doigts de plus en plus profondes, mais aussi des tortures sur sa poitrine qui allaient bien vite la rendre accro à elle. Jeanne s’occupait bien de sa petite pierre précieuse, de son diamant qu’elle allait forger selon ses envies, ses désirs, et la rendre totalement nymphomane. Même si ce serait juste temporaire, puisqu’elle finirait par rejoindre les statues dans le jardin.
C’est si bon… Si bon...
Quand je vous dit que la petite n’a aucune envie de résister, vous le voyez bien. Elle aurait pu essayer de la repousser, même pour simuler, mais il n’en était rien. Elle se laissait aller, s’abandonnant pleinement aux mouvements précis et expérimentés de sa Maîtresse. Jeanne le sentait, la petite catholique laissait tomber les barrières de ses convictions, et surtout elle allait se laisser tomber dans l’orgasme. Les parois intimes de la jeunette étaient douces, encore si sensibles car c’était la première fois qu’elles se faisaient caresser de la sorte. La plus vieille y allait profondément, et surtout elle prenait soin de bien remplir l’intimité de la demoiselle avec ses doigts. Elle voulait la faire jouir, mais en beauté, avant de commencer à lui faire essayer d’autres choses. Des choses vibrantes, des plus imposantes que ses doigts fins et féminins. Après tout, en l’appelant ainsi, la catholique venait de signer une sorte de contrat mental. Elle se soumettrait à elle, elle serait sa petite chose qu’elle pourrait utiliser comme elle le souhaitait. Et alors qu’elle s’appliquait à la tâche...
Ah maîtresse !
Et voilà comment une petite fille pure et innocente s’engage sur le chemin de la luxure. Elle venait d’avoir son premier orgasme, et on peut dire que cela lui avait profondément plut. Suffisait de se fier à l’énorme tâche de mouille sur le canapé, j’ai envie de vous dire. Elle avait adoré se faire toucher, se faire prendre par des doigts, et elle n’imaginait pas ce que cela allait être par la suite. Elle se redressa, et fit mine de prendre la porte. Elle déclara même qu’elles s’étaient bien amusées, mais qu’elle croyait qu’elle allait s’en aller. Comment était-ce possible d’être aussi aveugle, hein ? Elle pensait pouvoir quitter ce lieu, comme ça, mais il n’en serait rien. Elle semblait prête à récupérer ses affaires, ce qu’elle commença d’ailleurs à faire, comme pour réellement s’enfuir d’ici. Jeanne ne fut pas pour autant immobile, loin de là. Elle attrapa une serviette et, comme pour l’aider, commença à la glisser le long des cuisses de la jeune femme. Après tout, elle l’avait forcée à faire couler de son corps son liquide intime, elle se devait de l’aider, non ? Puis elle commença à passer la serviette sur son intimité :
Tu n’as pas l’air de comprendre, ma poupée… Tu ne peux pas partir, tu m’appartiens maintenant…
Devant son air incrédule, la plus âgée se mit dans son dos, attrapant dans un tiroir un jouet vibrant. Elle le plaça pile sur son petit point d’amour, avant de terminer :
Tu te souviens, tu m’as appelée "Maîtresse"… Tu es à moi, et je vais t’apprendre tout ce que je sais…
Tout en susurrant à son oreille, elle faisait glisser le jouet le long de ses lèvres intimes, tout en lui enlevant peu à peu les vêtements des mains.