Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Illunia

Pages: [1] 2
1
Vous nous quittez déjà ? / Oui, je vous quitte.
« le: lundi 11 mars 2019, 13:28:58 »
Salut.

Je viens aujourd'hui pour vous prévenir de mon départ. C'est totalement volontaire, je dois me concentrer sur mes études et je n'ai plus suffisamment de temps pour RP. Je tiens à m'excuser auprès de tous mes partenaires de RP, je reste évidemment disponible sur le discord, ou en pv sur discord aussi ^^

Bonne continuation à tous !

EDIT : Après mûre réflexion, je ne garderais (que) Kane et Illunia, pour le moment

2
Ma petite Yuna, j'ai toujours du temps disponible pour toi, tu le sais bien. Allons dans ma chambre.
Oui, je sais bien votre bonté. Et je vous remercie de m’accorder de votre temps.

Tels furent les mots échangés dans l'entrée avec ma petite Yuna. Elle était vraiment adorable, une de mes préférées dans le harem. Elle avait l'air d'un petit ange, comme on peut le voir souvent, mais c'était une véritable tigresse dès qu'on entrait dans le domaine de la luxure. Quelque part, cela ne me surprenait pas. Elle avait toujours ce côté doux et réservé envers tout le monde, sauf moi, mais il fallait bien que son petit côté sauvage apparaisse de temps en temps, et si cela lui faisait plaisir de le faire lorsqu'elle était en plein abandon de son corps, alors autant qu'elle puisse s'exprimer totalement. Je défendais sa façon de se comporter, notamment lorsque certains venaient se plaindre qu'elle prenait trop la dominance. Elle était comme ça, elle savait se soumettre quand elle le désirait, et personne n'avait à la forcer à faire quoi que ce soit. Je prenais d'ailleurs toujours grand soin à ce qu'aucun membre de mon harem ne soit persécuté ou bien "violé" par les autres. Ils avaient tous droit de faire ce qu'ils voulaient, et si les autres n'étaient pas content de comment telle ou telle personne se comportait... Eh bien ils n'avaient qu'à ne pas s'envoyer en l'air avec la personne concernée, et puis voilà. Je défendais toujours ceux qui étaient accusés de ne pas plaire aux autres, parce que c'était ainsi et pas autrement. On ne plaît pas à tout le monde, alors il fallait savoir faire la part des choses et ne pas aller rejoindre dans les draps des personnes dont on se plaindrait par la suite. Je conduisis alors tendrement ma jeune amie dans ma chambre, afin qu'on y soit plus tranquilles pour discuter. Car, je le sentais, c'était bien ça qu'elle voulait, et non profiter d'une partie de jambes en l'air. Et j'étais capable de discuter sans lui sauter dessus, figurez-vous ! Je refermais derrière nous.
Elle se tenait, comme à son habitude, sur la droite de ma porte. Elle était très respectueuse de cela, bien qu'une fois dans mes appartements, elle pouvait se comporter de façon normale. Mais non, elle était toujours dans le respect et attendait que je l'invite à me rejoindre pour le faire. Je pris alors la parole pour lui annoncer, d'une certaine façon, que j'avais plus ou moins deviné ses intentions. Elle avait un comportement différent de d'habitude, quand elle voulait profiter d'un câlin approfondi. Elle restait assez neutre, assez peu tactile en quelques sortes. Je tapotais à côté de moi pour l'inciter à me rejoindre, cela serait plus confortable de discuter ainsi. Elle brisa alors la distance, quittant sa place à côté de l'entrée. Elle s'installa donc à ma gauche, et je posais mon regard rouge sur elle. Sapristi, je la trouvais vraiment très belle, même en dehors d'un contexte sexuel. La demoiselle savait ravir les coeurs dans sa façon d'être, sa façon de se tenir, et je comprenais qu'on veuille tellement être dans ses bras, et dans ses draps. Elle répondit doucement à mes paroles en affirmant qu'elle ne pouvait rien me cacher. Disons simplement que j'étais assez douée pour interpréter les gestes, et que je connaissais suffisamment ma petite protégée pour savoir quand elle était sérieuse et quand elle était désireuse. Et là, elle était sérieuse, donc je me montrait à la hauteur de son sérieux. D'ailleurs, j'enroulais ma queue caudale autour de mes hanches, comme pour preuve que j'étais prête à l'écouter, et que j'étais sérieuse. Je ne comptais pas lui faire de tripotages, ni quoi que ce soit, j'étais vraiment dans l'optique de discuter tranquillement avec elle, de prendre le temps de lui répondre avant toute chose. De ce fait, la demoiselle reprit la parole avec de légères hésitations :

Cela fait maintenant un petit temps que je suis là. Un peu plus d’un an. Et comme vous me l’aviez dit, je ne suis pas déçue. Néanmoins, je me suis rendu compte récemment que je ne connaissais absolument rien de vous Illunia. Enfin, je veux dire que vous m’avez admise ici comme bien d'autres. Je ne sais que ce que j’ai pu voir sur vous. Mais votre passé reste un mystère et cela m’intrigue fortement. Si cela vous chagrine, n’hésitez pas à me punir pour ma méconnaissance du règlement. Mais je dois bien avouer qu’ignorer cela alors que je suis dans ma deuxième famille ici, à comme un air de chanson inachevé à jamais.

C'était donc ça ! Je comprenais pourquoi elle avait un peu de pression sur ses épaules. Il est vrai que je ne me dévoilait que très peu, et j'avais mis certaines règles en place. Par exemple, les membres avaient le droit de parler de leur passé, mais ils n'avaient pas le droit de questionner les autres sur le leur. Bien évidemment, elle venait plus ou moins de franchir cette règle, mais cela n'était pas bien grave. D'ailleurs, comme pour me convaincre, elle vint enrouler ses bras aux miens, collant son corps contre moi. Elle voulait jouer avec son physique pour me décider, mais il n'en serait pas ainsi. Elle n'avait pas besoin de tenter de me prendre par les sentiments, il était naturel qu'elle se questionne sur moi. D'autant plus que j'avais une affinité assez particulière avec elle, je l'avais rapidement prise sous mon aile. Alors, quand elle me parla de ses questionnements, je ne pouvais que comprendre. Elle avait besoin de réponses, certainement, et cela ne pouvait pas être punissable. Elle avait le droit de se questionner, et puis venant d'elle, je savais que je pouvais en parler. Alors je glissais une main autour de sa taille, venant par la même occasion l'asseoir à cheval sur moi. Cette position, bien que suggestive, n'était en réalité qu'une façon pour moi de me retrouver face à elle pour discuter. Mes deux mains fermement posées sur son fessier, je la maintenais sur moi. Elle savait qu'elle pourrait encourir un risque de punition, surtout dans une telle posture, et je laissais planer le doute quelques secondes. Puis, tout tendrement, je décidais de briser le silence qui commençait à peser un peu dans le calme de ma piaule :

Il est vrai que je me dévoile peu, et qu'une règle interdit aux soumis de se questionner sur leur passé. Mais tu es tout à fait en droit de te poser des questions, ma chérie. Alors dit-moi, que veux-tu savoir ?

Je vins alors bouger mes mains de place, les installant par dessus sa robe, dans le bas de son dos. Ma queue se déroula, glissa le long de sa colonne vertébrale pour la soutenir, caressant sa nuque avec douceur. Pas d'excitation, rien de plus qu'une tendresse similaire à celle d'une mère envers son enfant. Je finis par demander :

Préfères-tu que je te raconte ce que j'ai vécu, ou bien as-tu des questions à me poser ?

Elle avait libre choix, comme bien souvent.

3
C'est vraiment dommage. C'est dommage, mais je n'ai jamais vraiment été le genre à faire partie d'un groupe.

Il essayait vraiment de refuser mon offre ? Je n'avais pas peur du refus, c'était bien normal que les gens ne comprennent pas que le sexe était vraiment important dans ce monde. Mais, en plus de ça, sa force de conviction me mit la puce à l'oreille. Un humain lambda aurait immédiatement été saisi dans mes filets, tombé sous mon charme, mais pas lui. Donc, selon la magnifique déduction que je faisais, il n'était pas humain. Alors quoi ? Dans l'eau, les mouvements de reins du jeune homme allaient bon train, vu que les gémissements de la demoiselle se faisaient de plus en plus intenses. En posant mon regard sur eux, je vis du plaisir, beaucoup de plaisir, et une intense envie de se laisser aller. Je retirais alors ma main de la cuisse du nouvel arrivant, avant de claquer des doigts. Obéissants, dociles, les deux jeunes gens s'arrêtèrent immédiatement de faire du bruit. Les soumettre à un silence forcé, rien de tel pour leur donner une certaine frustration qui ne ferait qu'augmenter l'orgasme qui allait suivre. Je reposais mes yeux sur l'homme qui me faisait face, je ne comprenais pas pourquoi il résistait à mes charmes. Je ne lui voulais aucun mal, je ne l'avais pas menacé ni même attiré à moi contre son avis. Sa main s'approcha de mon visage, et je ne bougeais pas. Un mouvement trop brusque de ma part, et il risquerait de se retrouver avec une main en moins. Alors je ne bougeais pas, je le laissais glisser sa main entre mes mèches de cheveux. Pas d'invitation au sexe, ça je le sentais bien, mais quelque chose de particulier allait se passer. Comme un sixième sens, quelque part. Je sentis ses doigts sur ma corne, et alors je vis son corps dans ma tête, changeant de forme, comme s'il se métamorphosait. Un ESPer. Je n'exprimais pas de surprise, j'avais deviné qu'il était particulier.

Il y a sûrement une manière d'être en ta compagnie sans s'enchaîner, non ?

Alors le râteau qu'il m'avait mis n'en était pas un, finalement ? Je retirais doucement ma corne de sa main, restant parfaitement calme. Je me penchais légèrement vers lui, n'arrêtant ce mouvement que lorsque mes lèvres furent à 5 centimètres des siennes. J'étais suave, tentatrice, mais je comprenais ses réticences. Entrer dans un harem, cela ressemblait souvent à entrer dans une secte, comme si on se faisait entraver, enfermer dans une cage d'où on ne pouvait plus sortir. Pourtant, mon harem était bien loin de tout cela. Je finissais par venir m'asseoir à coté de lui, ma queue caudale glissant dans son dos, remontant tel un serpent le long de sa colonne vertébrale pour caresser avec douceur sa nuque. Il n'y avait aucune menace, aucun risque que je le blesse. Elle se faisait vraiment caressante, tendre, comme si elle rassurait un enfant terrorisé. Et, tendrement, je pris la parole :

Je sais que, bien souvent, le terme harem sous-entend qu'on doit rester avec sa Maîtresse, tout le temps, ne jamais sortir de l'habitation. Mais ce n'est pas ma vision des choses. Vois-tu, les personnes qui entrent dans mon harem peuvent vivre ailleurs, tant qu'elles répondent toujours présent lorsque je les contacte. Mais elles sont aussi libres de s'en aller, de le quitter, de changer de vie. Rejoindre mon harem ne signifie pas entrer dans une secte, je ne retiens personne par la force...
AHHHHHHHHHH !


La jeune femme dans l'eau venait de pousser un cri de plaisir. Quand je vous dit qu'un orgasme est meilleur quand on est contraint de se taire, je ne rigole pas. Cependant, elle venait de briser mon ordre, qui pourtant avait été ferme. D'elle-même, après que son amant se soit retiré, elle se dirigea vers moi et s'agenouilla. Ses yeux s'excusaient, elle n'avait pas besoin de mots. Alors je glissais ma main sous son menton, le forçant à relever la tête. Mes yeux étaient calmes, j'étais calme, et je terminais :

Je vois que, malgré mon ordre, tu as laissé le plaisir prendre le dessus, jeune femme. Ce soir, je mettrais ton corps à la disposition de ceux qui n'ont pas profité d'une nuit torride depuis quelques jours.
Bien, Maîtresse…

Bien que cette punition ait l'air cruelle, ce n'était pas le cas. Elle allait, certes, être soumise à plusieurs hommes à qui elle devrait obéir, mais je savais qu'il feraient bien attention à s'occuper soigneusement d'elle. Sa véritable punition serait de jouir un nombre incalculable de fois, ce qui ne la dérangeait pas. Je reportais mon attention sur le jeune homme :

Alors, si tu es tenté, tu peux toujours essayer de nous rejoindre, puis partir si cela ne te convient pas…

4
Mon bureau était une pièce à part dans cette énorme maison. Enfin, plutôt dans ce manoir, parce qu'on ne considère pas cette bâtisse imposante comme une maison. Elle est démesurée, dans Nexus, et on ne la loupe pas quand on passe devant. Elle en jette, comme disent les jeunes humains, et souvent on s'arrêtait devant en se demandant ce qui pouvait se passer entre ces murs. Eh bien, actuellement, les chambres étaient occupées. Je ne décrirais pas ce qu'il s'y passe, respectons quand même l'intimité de mes chers protégés. Ouais, je rigole, ils étaient en train de profiter de relations charnelles plus que passionnées. Mais pour l'heure, je ne m'en préoccupais pas vraiment. J'étais le nez plongé dans des papiers qui, je dois l'avouer, ne m'enchantaient guère. J'avais, devant les yeux, un papier administratif qui indiquait que deux de mes protégés n'avaient pas su "contrôler leurs pulsions naturelles et avaient donc décidé de les assouvir dans un lieu public". Voilà les mots exacts de la feuille, et donc on se retrouvait avec une plainte au cul. Je lisais tranquillement ce papier, en sentant au fond de moi une colère monter. Cependant, je gardais mon calme. Je ne devais pas laisser mes sentiments m'emporter avant d'avoir eu une explication de la part des deux fautifs. Alors, sans attendre plus longtemps, je laissais tous mes sens en alerte. Ils étaient dans une chambre, ce qui ne m'étonna pas vraiment, et étaient en train de finir ce qu'ils avaient commencé. Malheureusement pour eux, les choses ne finiraient pas encore. Je me mis debout, au beau milieu de mon bureau. J'allais les faire venir en moins de temps qu'il en faut pour le dire. Prenant une grande inspiration, qui serait nécessaire, avant de laisser toute ma voix s'élever dans le boucan de mon grand manoir jusqu'aux oreilles des intéressés :

Mania, Justin, dans mon bureau tout de suite !

Mon ton montrait bien qu'ils feraient mieux de se pointer en moins d'une minute devant moi. Sinon, j'allais faire les choses à ma manière, en les trainant par les oreilles jusque dans ma pièce. Je savais être gentille et douce, comme souvent, mais je n'avais aucune hésitation à faire preuve de plus de... Fermeté, quand le moment l'imposait. Comme s'ils avaient lu dans mes pensées, je me retrouvais avec deux ESPers devant moi, honteux. Le papier dans ma main droite, je le plaçais sous leurs yeux. Un éclair de gêne passa, ils savaient très bien que je ne laisserais pas passer cette histoire sans leur taper assez violemment sur les doigts. Ils gardaient une certaine distance avec moi, pensant être hors de ma portée. Mais je ne comptais pas leur donner l'occasion de s'en sortir avec peu de choses. Je m'approchais, ne laissant bientôt qu'un petit mètre entre eux et moi. Ma queue caudale vint violemment s'enfoncer dans l'intimité de la demoiselle, qui grimaça. Elle ne portait rien, je le savais, et je comptais la punir. Je laissais donc la pointe de mon appendice faire des mouvements en elle, qui étaient désagréables, avant de retirer ma queue. Puis elle alla s'enrouler autour de celle du jeune homme, avec assez de force pour lui faire un peu mal. Lui aussi était à moitié nu, et lui aussi avait mal. Je faisais un semblant de mouvement sur son membre, lui arrachant un petit cri de douleur. Mais je ne m'acharnais pas, je laissais le papier sous leur nez. Mes yeux les contemplaient sans un mot, mon visage dur et fermé. Ils s'en voulaient, je le voyais, mais ils nous attiraient des ennuis. Alors je pris un peu plus de distance, gardant mon calme. Ils voulurent s'expliquer, mais je levais la main pour les en empêcher. J'avais entendu la douce voix d'une de mes petites préférées, ma jolie Yuna. Elle annonçait sa présence :

Je suis rentrée.

Je fis alors signe aux deux autres de repartir, ce qu'ils firent en boitant légèrement. Ils devaient avoir compris, ils m'expliqueraient une prochaine fois. Je reposais la feuille sur mon bureau, alors que j'entendais du bruit dans la réserve. Je devinais que ma jolie demoiselle était partie ranger les courses qu'elle avait ramenées dans l'endroit qui leur était réservé. Mais cela ne me donna pas envie de la rejoindre, j'avais encore des papiers à traiter. Des papiers moins graves, des factures, le quotidien d'un propriétaire. Je m'asseyais donc sur ma chaise, prenant un stylo pour noter sur une feuille blanche les différentes dépenses que j'avais à payer. Je tenais nos comptes avec assez de rigueur, contrairement à certains autres voisins. Ma queue caudale bougeait légèrement, au rythme de ma respiration. Elle ne tenait pas en place, surtout après une telle situation. D'ailleurs, je n'entendais plus les deux ESPers s'envoyer en l'air. Ma punition devait avoir eu l'effet escompté, c'est à dire leur couper l'envie de continuer de s'envoyer en l'air. Ils avaient eu mal, c'était pas forcément super bien, mais ils l'avaient mérité. Si les flics se pointaient chez nous, je devrais expliquer pourquoi autant de gens vivaient ici, tout en essayant de retenir les pulsions sexuelles de chacun, et cela ne m'intéressait pas plus que cela. Le bruit d'un mouvement de déplacement attira mon oreille. Ma Yuna venait de passer de la réserve dans l'entrée. Je restais attentive à ses mouvements, car elle était une des plus importantes pour moi. Elle était adorable, elle avait un fond assez timide, mais était une véritable tigresse au lit. C'était une des raisons qui faisait que j'aimais l'avoir dans mes draps. Sa voix me parvint alors, comme si elle venait du centre de mon bureau. Je devinais qu'elle n'y était pas, je la connaissais plutôt bien :

Dame Illunia, je viens de rentrer au manoir. Pourrais-je vous voir ?

J'entendis un mouvement, que je n'associais pas à un déplacement mais plus à quelque chose qu'elle enlevait. Je me doutais qu'elle se mettait à l'aise, si je puis dire. Je me levais alors tranquillement, sortant de mon bureau. Bingo, elle était dans l'entrée. Je descendis les marches, tranquillement, alors que les autres se questionnaient sur les intentions de la jeune femme. D'un simple claquement de queue sur chaque porte, je leur faisais comprendre de faire leurs affaires et de ne pas se mêler de ce qui ne les regardait pas. Je rejoignis rapidement ma demoiselle aux cheveux bleus dans l'entrée. Elle était ravissante, comme toujours, dans sa petit robe accordée à la couleur de sa chevelure. Je m'approchais, enroulais ma queue caudale autour de ses hanches avec douceur pour l'approcher de moi. Ma main glissa sur sa joue, j'étais toujours très douce avec elle. Mes lèvres se posèrent sur sa joue pour la saluer, alors que je la relâchais. Pas d'invitation à aller dans une chambre, je sentais qu'elle avait quelque chose d'autre en tête. Je pris alors doucement la parole :

Ma petite Yuna, j'ai toujours du temps disponible pour toi, tu le sais bien. Allons dans ma chambre.

Je l'invitais à me suivre. Ma chambre était une pièce richement décorée, avec un grand lit au milieu. Un meuble sur un côté, avec mes chaussures et quelques jouets. Je poussais la porte, l'entraînant à ma suite, avant de refermer à clé. J'allais m'installer sur mon lit, tranquillement, avant de reprendre la parole :

Tu voulais me voir, et je sens que ce n'est pas pour une raison de luxure. Je t'écoute, de quoi voulais-tu me parler ?

Je l'invitais à me rejoindre, avec un doux sourire sur le visage.

5
Prélude / Re : La mélodie de la luxure
« le: mardi 15 janvier 2019, 17:39:01 »
Quelle fiche, mais quelle fiche !

Vu que c'était mon prédéfini tu m'appartient je donne mon avis sur ce que tu as mis.
JE LA KIFFE ! Tout est bon pour moi, rien à redire, le staff n'a plus qu'à faire son travail !

Hâte de te prendre dans tout le manoir rp avec toi !

6
Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: mardi 15 janvier 2019, 12:29:14 »
Hmmm... Là, oui... !

Ma bouche était un endroit tellement délicieux pour lui, je sentais son envie continuer de croître. Il se plaisait entre mes lèvres, et je faisais tout pour qu'il se sente à l'aise. Ma bouche, douce et tendre, glissait sur son membre viril avec un plaisir qui se voyait par les gorges profondes que je faisais. Le sentir en moi, même si ce n'était que par la bouche, me donnait déjà envie de connaître la suite de mes aventures. Je le suçais avec ferveur, j'y mettais tout mon coeur, venant même laisser ma langue traîner sur son vit. Ses doigts agrippèrent mes cheveux, les serrant avec délice tandis qu'il profitait de ce cadeau buccal que je lui faisais. Je sentais son gland, si chaud et humide, venir buter au fond de mon gosier avec une envie débordante. Je continuais aussi de masser ses bourses, avec des mouvements de doigts lents, mesurés à la perfection, attendant qu'il s'abandonne totalement à moi. Il gémissait, il avait envie de moi, et cela ne fit qu'accroître mon désir. De la cyprine coulait le long de mes cuisses, signifiant clairement que ma chatte n'attendait qu'à être ouverte et bien baisée. Je retirais légèrement mes lèvres, comme pour le défier de revenir, ce qu'il fit rapidement en enfonçant sa bite toute dure jusqu'au fond de ma gorge. Il s'immobilisa, profitant du confort que je pouvais lui offrir, et je me mis à laisser ma langue le caresser comme elle pouvait. Puis il recula, avant d'y revenir avec toujours autant de force et de vigueur. Oh, un mâle qui avait l'air de vouloir faire sa loi et prendre les choses en main... Parfait, j'adorais qu'on s'occupe de moi. Alors, forcément, le fait qu'il vienne imposer son rythme dans ma bouche n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Et ses râles de plaisir éveillaient en moi une envie de lui offrir encore plus qu'une simple gâterie :

Là, Illunia, ouais...

Je me soumettais à lui, je le laissais prendre ses aises dans mon bec, mais cela ne dura pas bien longtemps. J'avais envie de lui offrir bien plus, et il allait vite le comprendre. Je relâchais alors son membre, une lueur prédatrice dans le regard, avant de le pousser jusqu'au canapé. Bien rapidement, mon corset tomba au sol. Il dévoila une poitrine bien ronde, assez grosse pour la suite des évènements, avec mes tétons qui pointaient furieusement. Je me mis à quatre pattes devant lui, avant de glisser son membre entre mes seins avec délice. Il était brûlant, dur et j'avais pour projet de lui faire comprendre qu'il pouvait se laisser aller, et qu'il n'était pas prêt de sortir d'ici. Mes mains pressèrent ma poitrine autour de son sexe, ma bouche se déposa sur son gland sensible, et je commençais à masser sa queue avec ma poitrine. J'étais assurée dans mes gestes, certaine que tout allait se passer pour le mieux pour mon amant. Il allait ressortir d'ici avec une seule envie : revenir rapidement. J'allais en faire un amant régulier, sans doute, et quelque chose me disait que je pourrais m'amuser avec lui un bon moment. Mais pour l'instant, on en était qu'aux prémices de notre relation sexuelle. Parce que c'était juste ça, une bonne baise et ensuite tchao jusqu'à la prochaine fois. Enfin, ne pensons pas à ça. Ma bouche aspirait son gland, ma poitrine caressait son sexe, et les cris au dessus de nous trahissaient ce qui allait se passer. Oh oui, on allait bien s'amuser...

7
Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: mardi 11 décembre 2018, 15:27:09 »
Hmmm...

Je savais que mes actes le rendaient fou. Ma bouche se baladant sur son caleçon, ma bave dégoulinant sur son membre dur encore caché par un tissu qui collait de plus en plus à sa peau, tout cela devait le rendre dingue. Je le frustrais, même s'il allait pouvoir profiter pleinement de la suite quand j'aurais libérée son épée de chaire de ce fichu tissu qui la bloquait. Ma langue jouait avec son membre, elle le caressait avec avidité malgré la séparation qui n'allait bientôt plus être qu'un lointain souvenir. Mais pour l'heure, je comptais lui donner envie au maximum, quitte à m'arrêter juste avant qu'il ne se lâche dans son caleçon. Ses mains se crispèrent dans mes cheveux, alors que je continuais de m'amuser. Il m'éloigna de son membre, et je fis une petite moue déçue. Rien de tel que de lui faire penser que j'avais besoin de le lécher, de m'amuser avec son gros membre, pour augmenter son envie de me culbuter dans toute la baraque. Mais non, quand son mouvement pour supprimer son caleçon dévoila une trique impressionnante, je sus que j'avais bien fait mon travail. Il était tendu, et il n'attendait qu'une seule chose : que je le libère de sa dureté qui devait lui faire mal. Et, à en voir son regard, il était lui-même surprit de cette grosseur. Je n'étais qu'à quelques centimètres de sa queue, mon souffle glissait tranquillement sur son membre, le couvrant d'une chaleur sensuelle. Ses yeux croisèrent les miens, et je lui lançais une oeillade tentatrice. Allait-il céder à cette tentation luxureuse que je lui proposais ? Sa main se posa sur son sexe, alors qu'il en grognait de plaisir. Mes lèvres étaient humides, brillantes, et elles étaient prêtes à accueillir son sexe entre elles. Il l'approcha de moi, de mon visage, et je posais mes yeux dessus avant qu'il ne prenne la parole :
Michaël l’observa donc, et posa sa main sur son sexe, grondant sur place, avant de l’approcher du visage de la femme.

Prends ma queue en bouche, ma belle... Suce-moi !

Je souris doucement, abrégeant ses souffrances en prenant rapidement son membre dans ma bouche. Il était imposant, chaud, palpitant, et j'adorais sentir une telle dureté entre mes lèvres. Mes doigts continuaient de s'amuser avec ses boules, alors que je faisais de lents vas-et-viens pour prendre en partie son membre dans ma bouche. Mes yeux ne le quittaient pas, je m'amusais de ses réactions qui me ravissaient. Je faisais attention à épouser chaque forme de sa queue avec ma langue, prenant garde à ne pas le mordre. Et, finalement, je fis un profond mouvement pour emmener son gland frapper doucement le fond de mon gosier. Une première gorge profonde, qui s'ensuivit de plusieurs autres, lentes mais délicieuses. Ma bouche entière était remplie par cette délicieuse verge. Si chaude, si dure, j'allais bientôt pouvoir sentir son jus couler dans ma bouche, l'avaler avec plaisir, et surtout pouvoir la sentir dans d'autres endroits, cette grosse bite.

Qu’elle le veuille ou non, il guidait de lui-même son membre turgescent, afin qu’elle puisse s’occuper de son vit endolori et assoiffé.

8
Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: mardi 04 décembre 2018, 10:28:42 »
Dieu...

Son murmure étira mes lèvres roses, alors que mes doigts prenaient leurs marques sur son pantalon. Il était tendu, je le sentais, et je comptais bien l'aider à se sortir de cette situation tellement compliquée... Je suis gentille, n'est-ce-pas ? Mes doigts caressaient sa bosse par dessus son pantalon, dans un mouvement contrôlé à la perfection, et je faisais de légers appuis sur celle-ci. Mes lèvres étaient tellement proches des siennes que je sentais son souffle sur mon visage, il avait une odeur tentante. Ma main se fit plus perverse encore, venant mimer une branlette douce à travers le pantalon qui, indéniablement, devait serrer avec force son membre. Il devait avoir mal, le pauvre... Et moi, je continuais de m'amuser avec lui, frottant mon corps au sien avec une lueur lubrique dans les yeux. J'avais envie de lui, autant qu'il avait envie de moi, mais plus j'attendrais, plus il serait vif pour la suite. Le fait que je sois une succube semblait l'étonner, mais il continuait d'avoir une trique d'enfer. Ce qui m'arrangeait bien, parce que j'avais envie de me faire déglinguer. Mon buste frottait encore et toujours contre son torse, mes tétons se mettant à pointer sévèrement. Cette situation me plaisait énormément, d'autant plus que les bruits de plaisir qui résonnaient dans ma maison ne faisaient qu'en rajouter à l'excitation présente. Ses lèvres se posèrent sur les miennes avec vivacité, et je répondis à son baiser en appuyant encore plus mes mouvements de main. Je profitais de sa bouche, glissant ma langue contre la sienne avec force. J'allais le faire mien, le rendre totalement dingue, il ne pourrait pas sortir d'ici avant d'avoir les couilles totalement vides. Je fis un léger sourire assez carnassier, contre ses lèvres, tout en continuant de faire tourbillonner nos langues dans un échange buccal fortement plaisant.

Mes doigts vinrent finalement s'attaquer à la boucle de sa ceinture. Je commençais à lui défaire, en prenant mon temps. Il ne semblait pas apprécié que je sois aussi lente, mais rien que mon regard trahissait le fait qu'il n'allait pas regretter d'attendre. La boucle de sa ceinture fut rapidement un lointain souvenir, alors que le pantalon tombait sur ses chevilles. La belle succube que j'étais recula lentement, venant poser mes yeux sur la belle bosse proéminente qui, bientôt, viendrait m'écarter de l'intérieur. Ma main se mit alors à lui offrir des caresses bien plus sensuelles, passant sur son caleçon qui, désormais, n'étais plus qu'une petite couche de vêtement séparant sa queue de ma main. Je savais quoi faire, et je comptais bien le faire. Je décollais ma main de son sous-vêtement, avant de me mettre à quatre pattes devant lui. Il se douterait sûrement de la suite des évènements, mais je le laissais se faire des idées. Ma bouche vint se poser sur le tissu, embrassant avec envie le dureté de mon partenaire. Il était bien monté, il avait - il faut bien le dire - une virilité imposante, et j'étais en train de laisser ma langue se balader dessus. Il sentait le sexe, l'envie, le désir, et j'en avais au moins autant envie que lui. Je donnais des coups de langues sur son membre, avant de venir sucer le tissu avec plaisir. Je le mouillais de ma salive, il commençait à lui coller au corps, et je profitais de la situation comme une chienne en chaleur. Mon nez frottait parfois le long de son membre, alors que je continuais d'apposer ma salive tout le long de sa bite. Mon regard ne quittait pas son visage, alors que je me décollais seulement quelques secondes afin de lui murmurer :

Je ne te laisserais pas partir avant de m'avoir donné tout ce que tu as...

Mes doigts vinrent se joindre à la partie. Ils malaxaient, effleuraient, pressaient, massaient, les deux boules de mon amant. Je savais y faire, cette partie était malheureusement souvent oubliée, et je comptais le rendre fou de moi et de mon corps.

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Mes yeux vairons se posaient sur les hommes, leurs maillots de bain, et je m'imaginais déjà trouver celui qui me ferait le plaisir de devenir mien. Je ne trouvais pas forcément mon bonheur au début, alors je laissais mes yeux se reposer sur mes amis. Ils barbotaient, faisant passer leurs attributs d'animaux pour de simples accessoires. Ils étaient intelligents, ils savaient qu'ici nous passerions pour des gens bizarres, et ils m'avaient déjà suivis à l'extérieur. Assez pour savoir que, si les gens découvraient notre véritable nature, on serait renvoyés sur Terra sans autre forme de procès. Mais moi, j'étais venue ici en chasse, pour trouver le mâle qui allait rejoindre mon lit. Je voulais un beau mâle, bien monté, qui m'attraperait avec force en me montrant à quel point il a envie que je lui apprenne des choses. Mes paupières se fermèrent, alors que je guettais toujours les bruits autour de moi. J'entendais toujours mes amis barboter, alors tout allait bien. Ma Neko, comme à son habitude, tenta de me faire venir dans l'eau. Elle m'envoya une petite gerbe d'eau, m'éclaboussant le ventre en riant. Je sursautais, avant de me retrouver face à face à... Un homme ? Enfin, un jeune homme, qui n'avait pas fait de bruit pour venir jusqu'à moi. Ou bien j'étais trop occupée à me détendre pour l'écouter, et faut dire que les rires de mes esclaves étaient assez forts pour couvrir les bruits les moins importants. Mon regard si particulier se posait sur lui sans un mot. Un beau jeune homme, aux cheveux noirs et aux yeux bleus, venait de s'asseoir à côté de moi. Ma chaise longue semblait être un siège confortable, vu qu'il s'installa près de moi. Un fin sourire étira mes lèvres, et je fis comprendre aux autres de me laisser tranquille. Ils obéirent, alors que le nouveau venu prenait la parole à mon égard :

C’est pas tous les jours qu’on voit quelqu’un comme toi sur ce monde. Tu sors souvent en public ?

J'avais envie de m'amuser. Il avait eu le culot de se mêler à mon petit groupe comme s'il en faisait partie, alors autant m'amuser à le traiter comme tel. Mes doigts glissèrent doucement sur sa cuisse, alors que les gens autour de nous commençaient à partir. L'heure de leur repas approchait sûrement, et au bout de quelques minutes, il ne restait plus que moi, mon groupe, et lui. Ma main s'était installée sur sa jambe, la caressant avec un grand calme. Je me redressais légèrement, pour lui donner une meilleure vue sur ma poitrine généreuse, et je répondis :

Je viens fréquemment sur Terre, mais quand je sors c'est surtout pour...

Un gémissement m'interrompit. Une ESPer était en train de se faire tripoter sans aucune gêne par un homme, qui faisait partie de mon harem. Je regardais la main de l'homme glisser sur le maillot de bain mouillé de la jeune femme, ses tétons pointant furieusement. Il lui malaxait habilement les deux seins, avec une fermeté qui la faisait gémir de nouveau. Elle se lâchait, ses gémissements se modulant quand il vint lui ôter son haut pour prendre d'attaque son décolleté nu avec sa bouche. Une main avait glissé entre ses cuisses, et on ne voyait pas ce qu'il lui faisait. Mais vu les bruits qu'elle poussait, nul doute qu'elle adorait ça. Son visage trahissait son envie, alors qu'elle poussait le vice plus loin en attrapant la tête de l'homme pour la presser davantage contre sa poitrine. Je tournais mon visage vers le nouveau venu, avant de terminer ma phrase :

Surtout pour chercher de nouvelles personnes à intégrer à notre communauté...

Ma main glissa alors sur son maillot de bain, sans doute pour tester ses réactions.

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Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: mardi 27 novembre 2018, 08:11:06 »
Le pauvre homme n'en menait pas large. Il y avait d'abord la découverte d'une splendide femme, une belle succube aux charmes indéniables - moi - et ensuite, ma belle Yuna emmenait son ami. En effet, la belle ESPer venait d'attraper le comparse de cet intrus, l'entraînant dans les escaliers en se dandinant légèrement devant son regard. Ma demoiselle savait se faire désirer, agiter ainsi son popotin devant le regard captivé du dénommé Hitsuko, je ne doutais pas une seule seconde de la suite des évènements pour lui. D'autant plus, il ne faut pas l'oublier, qu'il y avait encore deux autres individus en haut qui allaient bien s'occuper de lui. Je n'ignorais pas que la situation devait lui paraître plus qu'étrange, rien de tout cela ne correspondait à tout ce qu'il connaissait. Je le devinais quand il jura, en demandant ce qu'il se passait. Enfin, le terme exact qu'il avait employé pour désigner la situation actuelle, c'était "merdier". Je ne voyais pas en quoi c'était un "merdier", au contraire. Je tournais doucement autour de lui, comme une douce et dangereuse prédatrice, alors que ma queue caudale s'amusait. Mes mains se baladaient sur son torse, lorsque je m'étais positionnée dans son dos. J'avais, volontairement, laissé mon buste se coller à lui, entièrement, sensuellement, tout en jouant avec son corps. Je le sentais, cette excitation grandissante qui avait fait naître sous son pantalon une belle tension. Et cette tension, sous mes yeux, allait bientôt être servie. Il était venu, apparemment, dans l'espoir de voler des objets de valeur. Mais il ne repartirait avec rien, si ce n'est la possibilité de se soulager un bon coup avec une femme ouverte d'esprit... Et pas que. Je descendais mes mains à hauteur de sa ceinture, sans jamais passer dessous, comme pour le tester, le mettre à l'épreuve.

Tu... Tu es une sorcière ou quoi... ?!

J'esquissais un sourire à ce mot. Il pensait que j'allais lui faire du mal ? Certes, la façon dont ma jolie queue caudale s'enroulait autour de sa cuisse, comme un boa autour d'une proie, cela pouvait effrayer. Mais non, ma queue se montrait caressante, venant de temps en temps glisser contre le pantalon de l'homme avec une envie grandissante. Et puis, la façon dont mes mains découvraient son corps, musclé avec un peu de gras, n'avait rien à voir avec une quelconque envie de lui faire du mal. Les succubes n'étaient pas l'espèce parfaite pour profiter de la luxure sans se lasser ? J'étais très endurante, et cet individu avait attisé en moi une envie de le découvrir entièrement. Alors mes mains, peu à peu, se montraient un peu plus audacieuses. De caresses sur son torse, elles commençaient à glisser sur son pantalon, caressant la belle bosse qui s'y trouvait. Les soupirs de plaisir venant de l'étage semblaient être comme une invitation, celle de s'abandonner au plaisir que je lui proposais, et visiblement son corps n'attendait que ça. Mes mains appuyaient légèrement sur sa bosse, comme pour la tâter, la flatter, la faire patienter avant d'être découverte. Mais chaque chose en son temps, le jeune homme m'avait posé une question. Repassant face à lui, mon corps toujours proche du sien malgré un petit pas en arrière, je secouais la tête. Puis, d'une voix suave et sensuelle, je murmurais :

Non... Les sorcières ne sont pas comme moi. Moi, je suis une succube...

Mes lèvres frôlèrent les siennes, toujours aussi tentatrice. Mes mains continuaient de le caresser au dessus de son pantalon, mais plus pour longtemps...

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Gymnase en plein air et piscine / Une nouvelle créature parmi nous ! [pv]
« le: jeudi 22 novembre 2018, 15:33:02 »
C'était un lieu où la débauche était le mot maître. Ici, pas de pudicité, pas de gêne, rien de plus que du sexe et de la luxure. Bien sûr, tout le monde n'était pas venu avec moi, mais j'étais suffisamment entourée pour passer ma journée au lit. Et pas à dormir, vous vous en doutez. Mon corps entier respirait l'envie de me faire culbuter, partout dans la baraque. Alors c'est ce qu'ils faisaient, quand ils n'avaient pas de partenaire. Ils étaient parfois occupés à plusieurs, mais il y avait toujours une personne, voire plus, qui venait me voir pour m'offrir du plaisir à n'en plus finir. Avec le temps, ils étaient devenus plus endurants, et sentir leurs bites épaisses me prendre par tous les orifices me comblait. Il n'y avait aucun mot pour décrire ça, j'avais envie de passer toute ma journée comme ça. Mais les heures passaient et, peu à peu, tous commençaient à tomber en fatigue. Ils s'endormaient les uns après les autres, et généralement c'était après m'avoir remplie de foutre, ou bien après que j'ai donné aux filles un orgasme fulgurant. Et au final, j'étais la seule encore réveillée dans cette maison, et j'avais faim. Je leur avais laissé les restes du plat de ce midi, mais il n'y en avait pas assez pour moi. Je préférais leur laisser ma part, je prenais soin de mes amis. Ils avaient à manger en quantité, et s'il en restait, je savais que ce serait mangé. Alors je les laissais se reposer, allant prendre une douche. Je me lavais, effaçant toutes les traces de sperme qui restaient, avant de m'habiller assez simplement. Un corset noir, avec de fins lacets rouges, ainsi qu'une jupe rouge avec les bordures noires. Mes habituelles bottes montantes, en cuir, et mes gants en latex complétaient ma tenue. Je me préparais rapidement, avant de sortir de chez moi. Ce soir, je dinerais en ville, et je comptais bien trouver une nouvelle proie.

Je me dirigeais alors tranquillement vers un restaurant réputé. Je savais qu'on y mangeait bien, et qu'il y aurait du monde. Mes yeux parcoururent la salle, avant qu'une table n'attire mon attention. Vide, avec deux assiettes, et visiblement elle n'était pas réservée. Je me dirigeais vers elle, demandant au passage à une serveuse si je pouvais m'y asseoir. Elle me répondit par l'affirmative, et j'allais donc m'y installer. Mes doigts saisirent la bouteille de vin rouge, m'en servant tranquillement un verre que je commençais à boire avec lenteur. Mes yeux vairons parcouraient les autres tables, décelant les maris infidèles, les femmes adultères, et les personnes qui étaient ici en repas d'affaire. Je souriais doucement, avec un grand calme, sachant que ma prochaine proie viendrait à moi d'elle-même. Que ce soit maintenant ou plus tard. Je dinais seule, dans un calme assez surprenant, envoyant balader les mecs qui se montraient trop provocants. Et finalement, à la fin de mon dessert, personne n'était venu. Tant pis, je savais que les choses viendraient à moi quand le moment serait opportun. Alors je réglais le montant de mon repas, avant de sortir et de regagner ma demeure. Je m'endormais rapidement, et ce fut les rayons du soleil qui me firent ouvrir les yeux. Et aussi le fait qu'une Neko était en train de sautiller à côté de moi, comme si elle avait une grande nouvelle à m'annoncer. J'ouvris les yeux, avant qu'elle ne mette devant mes yeux un bikini rouge et noir en m'annonçant qu'on allait à la piscine. Je ne savais pas pourquoi elle voulait ça, mais en voyant son air si heureux, je ne pouvais pas lui refuser. Alors j'enfilais le maillot de bain, avant que toute la troupe ne prenne le chemin de la piscine. Inutile de préciser qu'une Neko était en tête, en sautillant comme une enfant. Et cela me fit sourire.

Finalement, on arrivait à la piscine. Après un rapide tour au vestiaire, je pus montrer mon corps sensuel dans une tenue très simple. J'abandonnais mon corps sur un transat, profitant de ce moment de repos pour observer les beaux mâles autour de moi...

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Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: lundi 19 novembre 2018, 11:35:25 »
Je voulais les attirer dans mon lit, leur montrer ce qu'il y avait de mieux ici. Car après tout, le sexe était bien meilleur qu'un cambriolage. Oui, j'avais bien compris qu'ils étaient venus ici pour me cambrioler, me voler le peu de richesses que j'avais. Et je ne comptais pas les laisser faire, d'autant plus que ces fameuses richesses étaient dans un endroit assez bien caché. Je savais que mes amis ne laisseraient personne s'approcher du lieu, et ils étaient assez forts pour les en empêcher. Ils sauraient défendre mes intérêts, parce qu'ils savaient qu'ils auraient une bonne récompense en échange. J'avais donc parlé, avec sensualité, en prenant une pose sensuelle et tentatrice. Je saurais aussi satisfaire leurs envies, du moins je l'espérais. Je savais que cela les avait surpris de voir quelqu'un. Après tout, il y avait cette rumeur, ils devaient s'attendre à tomber sur une vieille maison dans un état pitoyable, avec des toiles d'araignée partout et de la poussière. Mais non, au lieu de ça tout était en ordre, bien rangé et propre. Celui qui ressemblait à un Américain se tourna vers son comparse en l'accusant de s'être foutu de lui. Pourtant, je ne connaissais pas cet homme, et je savais pertinemment que c'était un idiot qui avait cru à la rumeur, comme tant d'autres. Le dénommé Hitoshi était lui aussi très étonné, mais je n'avais d'yeux que pour l'autre homme. Je ne savais pas vraiment pourquoi, mais quelque chose me disait que j'allais pouvoir bien m'amuser avec tout ce qu'il croyait. J'étais sur Terre, ils ignoraient sans doute que les créatures de contes existaient, et que bien entendu j'en étais une. Cela me donnait envie de jouer avec eux, de les pousser dans leurs retranchements jusqu'à ce qu'ils deviennent fous de moi. Enfin, surtout l'Américain, en fait, l'autre ne m'intéressait pas.

Je me savais tentatrice, assez bien formée pour faire naître dans leurs esprits des envies farfelues. Et dans leurs pantalons, des envies plu concrètes. Alors je me décidais à tranquillement m'avancer, sans que mes bottes ne fassent de bruit sur le sol. En restant à un mètre d'eux, je pris alors tout doucement la parole en élevant un peu la voix :

Yuna, viens ma chérie.

La jeune femme descendit rapidement les escaliers, très peu vêtue. Elle ne portait qu'un haut, assez long pour cacher en partie son derrière. Elle s'approcha alors, je glissais ma main dans ses cheveux et ma queue caudale tout doucement contre son intimité en lui demandant d'emmener le Japonais en haut pour s'occuper de lui. Heureuse d'avoir un nouveau compagnon à découvrir, elle l'attrapa par la main et l'entraîna dans les escaliers, sans lui laisser le temps de réaliser. Pendant ce temps, j'étais toujours face à l'homme qui venait d'entrer par effraction chez moi. Il semblait assez impressionné, ou surpris. Après tout, on ne croisait pas de démone tous les jours. Je savais que je pourrais faire tourner ce cambriolage en luxure, mais je devais d'abord me le mettre dans la poche. Ce ne serait probablement pas simple, d'autant qu'il avait moins l'air de succomber à mes charmes que son compagnon, que Yuna avait emmené. Il ne s'était pas vraiment débattu, probablement parce qu'il avait les yeux trop concentrés à s'imaginer me déshabiller et me prendre là, dans l'entrée. Cette pensée me fit doucement sourire, alors que je continuais d'observer l'homme face à moi. Il était assez attirant, musclé et plutôt beau. Je mordais doucement ma lèvre en pensant que je pourrais en faire mon goûter, et peut-être aussi mon dessert. Mais avant cela, il me posa une question assez logique. Il se renseignait sur mon identité, avec un beau juron qui semblait trahir sa surprise. Grrr, je commençais à avoir vraiment envie d'en faire mon jouet. Alors je brisais le dernier mètre, passant doucement dans son dos. Il n'avait rien à craindre de moi, je n'étais pas méchante. Je passais doucement une main sur son torse, sous son bras, l'autre caressant sa joue. Ma queue caudale s'enroula autour de ses hanches pour le maintenir contre moi avec force :

Je suis celle qui va te faire basculer dans mon canapé...

Mes dents vinrent tout doucement attraper le lobe de son oreille, ma main glissant très lentement sur son torse en direction de son pantalon, avant que je ne reprenne :

Mais tu peux m'appeler Illunia... Et toi, qui es-tu ?

Je continuais à descendre ma main, l'arrêtant juste au dessus de son pantalon, et venant remonter sous son haut. Sa peau était douce, ferme, et il était effectivement assez musclé. J'allais pouvoir profiter d'un corps pareil, c'était une chance. En haut, les gémissements du Japonais et de la Neko, qui étaient les deux proies de l'angelot et de l'Esper, se faisaient un peu plus intense. Allait-il succomber, lui aussi ?

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C'était une vilaine sirène que j'avais avec moi. Elle me caressait la queue, source d'un plaisir non négligeable, mais je lui rendais bien la pareille. Enfin, au niveau du plaisir. Je jouais sur sa poitrine mais aussi dans son sexe, le pénétrant de mes doigts habiles pour la caresser de l'intérieur. Elle appréciait ça, je le sentais, mais elle voulait sans doute autre chose. Elle tira alors sur ma queue, la douleur se transformant en plaisir. Je la lâchais légèrement sous le coup de la surprise mêlée à l'envie. Elle était expérimentée, cela se sentait, mais je voulais en apprendre encore et encore plus. Elle se tourna alors, se mettant ainsi face à moi, collant tout son corps au mien. Et le pire c'est qu'elle commençait à se frotter, faisant monter en moi l'excitation comme la pluie dans le pluviomètre lors d'intempéries. Elle m'intima alors de prendre mon souffle, ce que je fis sans hésiter. Elle m'embrassa alors langoureusement, et je répondis à son baiser avec autant de fougue qu'elle. Elle se frottait toujours, la coquine, et nous enfonçait peu à peu dans l'eau. Je ne lâchais pas ses lèvres, comprenant alors pourquoi je devais prendre mon souffle. C'était une grande première pour moi de le faire dans l'eau, mais cela ne me dérangea pas. Elle éloigna alors sa bouche de la mienne, nos langues se quittant. Je retenais toujours mon souffle, avec facilité. J'étais une démone après tout, j'avais une endurance plus accrue qu'une humaine, et cela se voyait bien. En quelques secondes, elle s'était éloignée et je la sentis revenir se coller à moi, mais par derrière. Elle se tenait contre moi exactement comme je m'étais positionnée avec elle avant, et je sentais que j'allais pouvoir m'amuser. Je n'avais pas peur de me noyer, la sirène me permettrait de survivre, j'en étais persuadée. Alors elle pris la parole :

C'est mieux si on inverse les rôles non ? Toi avec ta queue, tu peux toujours me stimuler même prisonnière de mes bras...

Et nous plongions pour la descente ultime. Je n'avais pas peur, j'avais hâte de découvrir ça. On glissait doucement vers le fond de l'eau, je ne bougeais pas et je ne disais rien. J'avais, je ne sais pas pourquoi, confiance en cette sirène qui allait me faire vivre une partie de jambes en l'air mémorable. L'eau serrait ma tenue, elle en profita même pour venir malaxer mon sein avec une main, torturant mes tétons. Je me retenais de gémir, mais mes grimaces parlaient pour moi. J'en avais envie, vous n'imaginez pas à quel point. Ses doigts se promenaient sur mes cuisses, avec une tendresse qui me surprit, mais sans jamais satisfaire mon envie qu'elle me pénètre de ses doigts. J'aurais voulu lui demander, mais je ne pouvais pas. Elle était maline, elle jouait avec moi et le pire c'est que j'adorais ça. Ma cyprine coulait sur mes cuisses, je savais qu'elle le sentirait, mais je m'en foutait. Elle m'embrassa alors, la nuque et le cou, et alors je laissais échapper un gémissement. L'air manquait un peu dans mes poumons mais j'en avais assez pour tenir encore un moment. Elle prit la parole, dans mon oreille, susurrant de sa voix de sirène :

Tu vas sentir l'excitation grandir... grandir encore et encore au fur et à mesure que l'oxygène s'envolera... Ta perception ne sera plus la même, l'adrénalyne boostera ton plaisir et t'offrira un orgasme puissant, ma succube chérie...

En parlant, sa main alla se poser sur ma queue caudale et la caressant. Je me tortillais légèrement, sous le coup du plaisir. Elle savait ce qu'elle faisait, elle était vraiment une déesse du sexe. Et, rapidement, je sens son index se glisser sur la totalité de ma fente. Je ne pus m'empêcher de laisser ma tête tomber en arrière, sous le plaisir qu'elle me procure. Elle le fait tournoyer autour de mon bouton de rose, qui est bien sensible, alors que son majeur j'enfonce en moi pour s'y abandonner en des vas-et-vient qui me font tourner la tête. C'est tellement bon de faire ce genre de choses sous l'eau... Pour ma part, je venais titiller son entrée avec le bout de ma queue. Je ne faisais que la frôler, la faisant languir, mais rapidement ce petit jeu m'ennuya. Alors j'appuyais légèrement sur sa vulve, la pointe de ma queue venant légèrement se glisser en elle sans aller très loin. La forme n'était pas idéale pour se loger dans l'intimité d'une femme, mais je sus ce que j'allais faire. J'attrapais, avec ma queue, une herbe non loin. Rigide, assez grosse, elle serait parfaite. Je l'agitais un peu dans l'eau pour la nettoyer des saletés, avant de l'enfoncer vivement dans l'antre de la sirène. c'était donnant-donnant, et je faisais de mon mieux pour lui procurer du plaisir. Ma queue agitait l'herbe dans sa chatte, le bout de cette fameuse herbe venant de temps à autres chatouiller son clitoris. Mais, malgré tout, je restais soumise à elle, et je lâchais un gémissement qui vida mes poumons...

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Les alentours de la ville / Re : Cambriolage [Illunia]
« le: mercredi 14 novembre 2018, 13:24:43 »
Beaucoup comparaient ma maison à un genre de... Ruine ? Je ne sais pas, mais en effet elle n'était pas spécialement entretenue à l'extérieur. Pour la simple et bonne raison que je ne voulais pas qu'on vienne toquer chez moi, je voulais pouvoir vivre ma petite vie démoniaque en paix. Et surtout, m'occuper de mes petits protégés sans que personne ne vienne me déranger. C'est vrai, imaginez si j'étais en plein ébat et qu'on toquait à ma porte, cela serait assez préoccupant. Alors j'avais laissé les herbes du jardin pousser, les fleurs mourir, et on pouvait même voir des plantes grimper le long du mur. Pour en rajouter un peu, mon portail principal avait de la rouille, et couinait quand on l'ouvrait. Cela donnait vraiment l'illusion d'une vieille maison abandonnée, d'autant plus qu'elle en avait la réputation. J'avais laissé entendre une rumeur, qui s'était propagée comme une traînée de poudre, en disant qu'il s'agissait d'une vieille maison dont la propriétaire - bien entendu riche - était décédée et que les enfants se disputaient l'héritage. Bon, j'avais aussi laissé sous entendre que les richesses de la maison avaient toutes été emmenées chez les différents enfants, pour être plus tranquille. Et cela avait fonctionné, je n'avais encore jamais eu de visites inappropriées, les gens étaient assez futés pour me foutre la paix, et heureusement pour leur petites fesses. Sinon, croyez-moi que je les aurais volontiers tirés jusqu'à l'Enfer pour avoir osé pénétrer dans ma maison, mon lieu de vie et de luxure. J'étais ainsi, protectrice de ce qui m'appartenait et surtout très maline. Je savais parler pour attiser la curiosité, mais aussi pour éloigner les gens de chez moi. Et jusqu'à aujourd'hui, tout avait fonctionné comme sur des roulettes. J'avais laissé une partie de mon harem sur Terra, leur confiant la "maison", et je profitais de la Terre quelques jours.

Mon manoir dans l'autre monde était bien plus richement décoré, et sentait la luxure à plein nez rien qu'en voyant à quel point la maison était bien entretenue. Mais ici, j'avais simplement emmenés les choses qui avaient la plus grande valeur à mes yeux, au niveau du prix. Je les avais toujours avec moi, au cas où. En dehors de ça, la décoration générale de la maison était plutôt sobre. De la tapisserie représentant des armoiries assez luxueuses, des meubles fait en bois précieux dont le vernis était encore présent, et sans aucune égratignure, c'était simple mais digne d'une femme riche. Les objets eux-mêmes prouvaient que la maison était à une riche femme, comme les statuettes en forme de lion disposées à certains endroits de la bâtisse, ou même les lampes avec leurs abat-jours fleuris. Comme si cela appartenait à une autre époque, tout était fait pour berner les humains. Mais personne n'était venu depuis que je m'y étais installée, cela prouvait que mon stratagème avait marché. J'étais aujourd'hui venue avec quelques créatures de mon harem, pour prendre du temps pour elles. Il y avait Luna, ma Neko qui cachait bien son petit jeu derrière une apparence de lycéenne sage et disciplinée, mais aussi Mikky mon angelot qui avait la capacité de prendre taille humaine et j'avais aussi emmenée avec moi la jeune Yuna qui, pour sa part, était une ESPer qui adorait faire l'amour en musique. Et nous n'étions que quatre, certes, mais cela me permettait de prendre du bon temps avec chacun d'eux, de leur offrir du plaisir à n'en plus finir, tant et si bien qu'ils terminaient souvent la journée avec plus de fatigue que s'ils avaient couru toute la journée. J'étais douée dans mon domaine, et je les connaissais assez pour tous savoir ce qui les faisait basculer dans la jouissance ultime.

Ils profitaient d'une petite pause, que je leur avais gentiment offerte après deux heures de baise intensive. Après tout, j'étais endurante mais eux moins, donc ils avaient besoin de souffler un peu. Luna était allongée sur le canapé, les cuisses écartées et respirant fortement. Elle avait pris très cher avec Mikki, et elle se remettait doucement de ses émotions. Je faisais en sorte de les forcer à se découvrir entre eux, et cela fonctionnait très bien. Elle était donc allongée, la maison était plongée dans le silence, quand je l'entendis lancer une phrase. Je ne compris pas ce qu'elle voulait dire, mais rapidement elle se précipita vers moi. Elle était encore nue, la cyprine dégoulinant sur ses jambes, mais il y avait dans son regard quelque chose. Elle avait peur, je ne savais pas de quoi mais elle me l'apprit très vite. Des humains venaient de se garer devant la maison. Alors je lui sommais d'aller se cacher, et de prévenir les autres. J'entendis quelques froissements de vêtements, puis ils furent si bien dissimulés que je ne les aurais même pas trouvés moi-même. Quant à moi, je portais sur moi mon habituelle ensemble, mon corset et ma jupe blanche, sans oublier mes longues bottes roses et mes gants en latex. Les humains venaient de crocheter la serrure, et je devinais sans peine qu'ils avaient l'habitude de faire ce genre de choses. Ils venaient donc cambrioler ma maison, pour y voler mes objets de valeur ? Oh, ça n'allait pas se passer comme ça. J'étais cachée dans le salon, enfin... Assise comme une Reine dans un fauteuil, mes yeux vairons attendant patiemment qu'ils fassent le premier pas dans la maison. Cela allait être amusant. Quand j'entendis le premier pas dans l'entrée, je me levais avec une prestance digne d'une Sexy Queen. Ce que j'étais, il ne faut pas le cacher non plus.

Alors je m'approchais de l'entrée, ma queue caudale bougeant lentement de gauche à droite dans mon dos. Longue, fine, elle semblait parfois inoffensive. Mais croyez-moi, quand elle venait s'enrouler autour d'une cuisse et qu'elle se resserrait jusqu'à couper la circulation sanguine, on se rendait compte qu'elle était loin d'être inutile. Mes doigts se posèrent sur le contour de la porte, qui était grande ouverte, alors que je me tenais droite devant eux. Un léger déhanché pris alors place, me donnant un air aguicheur. J'esquissais un petit sourire, calme, avant de prendre la parole :

Bonjour, Messieurs. Si j'avais eu vent de votre venue, je vous aurais sans doute servi un verre, malheureusement je n'ai rien de tout cela ici.

Je faisais maîtresse de maison, attisant ainsi leurs yeux. Il faut dire, j'avais un corps généreusement formé que la Nature m'avait offert. Alors je m'en servais sans gêne, montrant un décolleté à en rendre fou un homme. Mais pendant ce temps, mes trois compagnons s'impatientaient. J'entendais alors, à l'étage, un miaulement. Mais rien d'inquiétant, c'était un miaulement... D'envie ? Je levais les yeux au ciel, avant de m'excuser auprès des humains :

Excusez Luna, elle fait du bruit quand elle n'est pas bâillonnée... Ne vous en faîtes pas, elle ne se fait pas torturer, juste baiser.

J'étais crue, cash, mais cela correspondait à mon attitude depuis leur arrivée. Tentatrice, aguicheuse, mais bel et bien méfiante.

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L'Art / Re : Maybe I can find help ?
« le: mercredi 07 novembre 2018, 15:29:11 »
Un petit up pour affirmer que cette publication est toujours d'actualité

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