Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Illunia

Pages: 1 [2]
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En voyant que nous sortions de l'animalerie sans laisse, elle sembla soulagée. Comme si elle craignait ce genre de choses. Cela me rassura, je n'avais pas pour habitude de traiter les membres de mon harem comme des animaux. Même ceux qui étaient des hybrides, je les considérais comme des êtres vivants, libres de leurs mouvements. Je n'aimais pas voir un maître attacher son hybride au bout d'une laisse, ou d'une corde, et le promenant comme s'il exhibait une chose d'une grande valeur. Non, j'emmerdais profondément ceux qui osaient me regarder avec dédain en voyant que ma Neko n'était pas attachée. Elle n'était pas une bête, mais une femme à moitié chatte, et elle méritait qu'on lui démontre autant de respect que tous les autres. Je posais donc ma main contre ma hanche, gardant une légère distance avec elle. J'avais senti qu'elle n'appréciait pas qu'on la touche, et même si elle n'avait rien dit, je préférais faire en sorte qu'elle se sente à l'aise. Je tournais alors doucement le visage vers elle lorsqu'elle répondit à mes mots en se présentant à son tour :

Je ne me nomme Lidia Ranka,  Ne compte pas sur moi pour faire le ménage  et je  ne sais pas  si tu le sais mais je suis une hermaphrodite.  J’ai déjà   déçu  mes ancien maîtres  à cause de ça.

J'avais tout écouté avec attention, alors que nous ne croisions déjà plus personne. Elle semblait joueuse, comme en témoigna sa main sur ma poitrine. Je ne cachais pas mon amusement, j'avoue que j'aimais le genre de personne qui n'avaient pas froid aux yeux. Entrant alors dans un jardin, le mien, en refermant soigneusement la porte derrière nous, je collais la jeune hybride à moi. Mes lèvres se posèrent dans son cou, tout doucement, y laissant ensuite un beau suçon violet. Je reculais légèrement, ma queue caudale venant de frotter tout doucement contre son intimité encore couverte par ses vêtements :

Ma chère Lidia, je te rassure sur deux choses. Premièrement, je ne comptais pas te forcer à faire le ménage, cela m'aurait d'ailleurs embêtée de te laisser le faire. Et ensuite, ce que tu es ne me dérange pas. Tu verras qu'ici, il y a tout type de personne et que tout le monde s'accepte.

Ma queue caudale continuait de s'amuser au niveau de son entrejambes, et j'en profitais pour laisser ma main palper sa poitrine.

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J'avais tout simplement trouvé ce que je cherchais. Une hybride chat, qui semblait avoir de sacrés atouts. J'aimais bien ça, les femmes ayant de bons atouts physiques. Même si je ne me fiais pas qu'à ça, bien entendu. La démarche féline de la jeune femme m'arracha un petit sourire amusé, elle avait bien dans les veines du sang de ce prestigieux animal. J'avais toujours aimé les chats, c'étaient des animaux qui avaient chacun un caractère particulier. Certains étaient proches de l'Homme, vraiment en amour total avec eux, leur donnaient tout ce qu'ils avaient et allaient même jusqu'à leur offrir le droit de caresser leur ventre. Et d'autres, c'était tout le contraire. Sauvages, peureux, dangereux pour certains. Je savais que j'allais pouvoir en apprendre plus sur cette chatte en la côtoyant, mais sa phrase me fit doucement sourire. Elle avait un caractère fort, elle ouvrait la bouche sans craindre de s'en prendre une. Enfin, je n'allais pas la frapper, je n'aimais pas la violence. Je préférais qu'elle soit honnête et franche, comme à l'instant, au moins les choses étaient bien claires entre nous. Je posais ma main sur sa tête, la caressant doucement. Elle était mignonne, en fait. Je me dirigeais vers la caisse, l'emmenant avec moi. Je n'avais pas pris de laisse ou quoi, mais je me doutais que cette Neko ne s'enfuirait pas. Je payais la somme demandée, avant de sortir de cette boutique. L'air frais m'arracha un petit frisson, avant que je ne tourne mon visage vers la Neko que je venais d'acheter. Je fis un signe de tête, avant de sourire amicalement. Je ne voulais pas partir sur de mauvaises bases, cela serait con quand même. Alors je pris la parole, calmement :

Je m'appelle Illunia, mais tu peux m'appeler Illu, ou comme tu préfère.

J'attendais donc que la jeune femme me réponde, prenant la direction de mon château. Elle allait rejoindre mon harem, mais je voulais d'abord voir avec elle si elle le désirait. Elle pouvait aussi se contenter de faire le ménage, même si cela me chagrinerait qu'elle soit une esclave. Je n'aimais pas cette idée.

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Ville-Etat de Nexus / Nouvelle acquisition des plus intéressantes. [PV Lidia]
« le: samedi 10 novembre 2018, 19:14:54 »
Dans le peuple de terranides qui parcouraient les rues de Nexus, je ne passais pas inaperçu. Je savais que mon accoutrement, digne d'un de ces mangas terriens, pouvait parfois étonner. J'avais sur moi un haut moulant, en latex, noir, rouge et doré. Il s'agissait d'un corset serré avec de fins lacets noirs, qui mettait sacrément bien en valeur mes deux obus qui me servaient de nichons. Je voyais certains hommes louchaient dessus. Il faut dire que la façon dont il était coupé, laissant apercevoir une partie de ma poitrine, devait leur donner des envies loin d'être catholiques. Et pour le bas, je portais une jupe courte, comme une lycéenne, blanche et plissée. Mes longues jambes, fines mais musclées, complétaient le tableau que j'affichais. J'avais comme une ceinture autour de la taille, qui partait de derrière. En marchant, je laissais alors tomber ma queue caudale, que j'avais enroulée autour de mes hanches. Les regards surpris furent impossibles à compter sur les doigts d'une seule main, mais ce qui sembla finir de les surprendre, ce fut la présence de mes deux cornes noires sur le haut de mon crâne. Les passants finirent pas détourner la tête, alors que j'observais tout le monde avec mes yeux vairons. Ils avaient l'air impressionnés, pourtant je ne leur prêtait qu'une infime attention. J'étais venue ici pour trouver la perle rare, une nouvelle personne à ajouter à mon harem. Pourtant, j'avais fait quelques endroits intéressants sans trouver ce que je recherchais. Je n'avais pas vraiment de critères, mais je savais que je reconnaitrais la personne quand je la verrais. L'instinct féminin et l'instinct démoniaque, sûrement. Je n'en savais rien, pour être tout à fait honnête, mais je m'en fichais un peu. Je continuais de marcher sur quelques mètres, avant d'arriver devant une animalerie. Je poussais la porte, pas tout à fait convaincue.

En entrant, les bruits et les odeurs d'animaux m'assaillirent. Cela n'était pas spécialement plaisant, mais je ne dis rien. J'avais tenté d'autres animaleries, sans succès, mais peut-être que je trouverais mon bonheur ici. Je parcourais les premiers "rayons" de l'animalerie, examinant avec soin chaque animal. Certes, certains hybrides étaient mignons mais semblaient trop faibles pour résister à ce que je leur préparait. Pourtant, alors que je passais à côté d'une cage, mon regard fut happé par celui d'une Neko. Ce qui m'attira en premier chez elle, ce fut la couleur de ses yeux. Un était couleur d'émeraude, et l'autre était aussi bleu qu'un saphir. Elle aussi avait les yeux vairons, elle commençait déjà à me plaire. Sans demander une quelconque autorisation, j'ouvris la porte de la cage dans laquelle elle était. Elle avait beau l'air d'être une petite sauvageonne, je n'avais pas peur d'elle. Au contraire, c'est avec des gestes assez francs que j'approchais mes mains d'elle. Je déclarais, en même temps :

Toi, je t'emmène avec moi. Je ne te ferais pas de mal, viens par là.

J'esquissais un sourire, toujours aussi gentille malgré mon ton ferme.

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L'Art / Re : Maybe I can find help ?
« le: mercredi 07 novembre 2018, 15:29:11 »
Un petit up pour affirmer que cette publication est toujours d'actualité

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Prélude / Re : Like a ghost in your dreams
« le: dimanche 04 novembre 2018, 18:13:24 »
Et une succube, tu as déjà essayé ? XD

En tout cas, j'adore ta fiche, elle est super originale et agréable à lire  :D

Bienvenue à toi !

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Je savais exactement ce que je faisais. Mes doigts s'amusaient sur son corps, appréciant les réactions que je procurais à la belle sirène. Je sentais, sous ma main gantée, ses tétons se tendre et gonfler, preuve que mes petites caresses ne lui déplaisaient pas. Au contraire, à en sentir les actions de tout son corps... Elle prit la parole, affirmant que je n'avais peur de rien, et évoquant alors les légendes parlant de sirènes qui attiraient leurs amant(e)s au fond de l'eau après leur dernière partie de jambes en l'air. Cela ne m'effrayait pas, j'avoue que j'étais curieuse d'en découvrir plus sur cette belle sirène. Elle n'avait pas l'air d'être ce genre de créatures, mais plutôt de celles qui les laissaient remonter pour leur laisser le loisir de revenir un jour profiter d'une bonne baise. Et je pensais ne pas me tromper, rien qu'à sentir son corps se frotter contre le mien. Sentir son dos faire de tels mouvements contre ma poitrine, qui n'était couverte que par du latex, c'était absolument plaisant. Je sentais bien que mon être entier réclamait d'en sentir plus, encore plus et toujours plus. Mes propres seins commençaient à se sentir à l'étroit dans ma tenue, qui glissait légèrement sous l'effet de ses mouvements. Si je ne pointais pas autant, cela ferait sans doute longtemps que mon corset aurait glissé le long de mon corps. Mes doigts tirèrent alors d'un coup, assez sensuellement, sur ses petits bouts de chair roses, tendus sous l'effet de mes caresses. Je laissais mes mains s'amuser, l'une continuant de martyriser ses seins tandis que l'autre commençait à s'aventurer dans l'intérieur de ses cuisses. J'avais bien envie de découvrir un peu son intimité, la rendre folle d'envie, même si cela n'était pas bien loin d'être le cas. Mes doigts commençaient, par de lentes caresses, à s'approcher de sa fleur d'amour.

Tu m'as trouvé hein ? Je sais pas ce que tu veux de moi mais... une sirène ça se mérite ma belle. Mais tu sais, tu ne vas pas me garder en place très longtemps belle succube.

En prenant la parole, elle commençait elle aussi à jouer. S'amuser, en frottant son intimité contre ma cuisse. Je sentais alors mes doigts s'en éloigner, et c'est avec une envie grandissante que je décidais de porter ma seconde main au même endroit que la première, pour continuer de malaxer sa poitrine. Elle était aussi émoustillée que moi, et je sentais contre ma cuisse un liquide plus chaud qui s'écoulait de son corps. Elle mouillait, et cela ne m'étonnait même pas. Elle avait l'air d'une sacrée cochonne, et quelque chose en moi m'affirmait que j'avais bien raison. Elle frottait cette partie si sensible d'elle contre moi, et j'avais même légèrement plié le genou pour lui rendre les choses plus faciles. Elle glissa alors, de façon assez rapide, ses bras dans mon dos. J'avais été surprise, tellement concentrée dans mes tripotages, j'en avais presque oublié de tenir ses bras. Elle posa alors ses mains sur mon postérieur, lui offrant un massage dont je profitais tout en lui rendant autant de douceur. Elle rapprocha alors peu à peu ses mains de mon trou de balles, et j'ai un instant cru que mes jambes allaient défaillir. Elle venait d'attraper ma queue démoniaque à la base, avec ses deux mains. Je ne cachais pas mon gémissement de plaisir, serrant subitement sa poitrine entre mes mains latexées. Elle avait trouvé mon gros point faible, et je sentis alors que j'allais finir par craquer. Elle la caressait avec douceur, me faisant alors frissonner de plaisir. Mais aussi de désir. J'avais envie de l'attraper dans tous les sens, de la laisser m'entraîner sous l'eau aussi longtemps qu'elle le désirerait. Et, justement, je sentais que je n'étais pas loin d'accéder à mes désirs les plus enfouis. Elle pris la parole, se mettant à caresser ma queue comme s'il s'agissait d'une belle verge gorgée de désir :

Aller ma belle lâche prise... je suis sure que même une succube comme toi n'as jamais partagée ses draps avec une sirène... je vais te montrer les sensations qu'ont peut éprouver à faire l'amour sous l'eau... Tu apprendras de nouveaux jeux vicieux dont tu ne te doutais même pas...

Comme si elle m'avait envoutée, j'obéissais à ses demandes. Ma main glissa entre ses cuisses, deux doigts s'enfonçant dans son antre. J'avais envie de lui rendre son plaisir, et c'est ainsi que je me mis à enfoncer mes doigts aussi loin que possible dans son corps. Ensuite, je les retirais et les remis, faisant des vas et viens avec envie. Ma queue frissonnait de plaisir, et cela se traduisait dans la lenteur de mes gestes. Je voulais la faire languir, lui rendre le plaisir qu'elle me donnait aussi longtemps que possible. Finalement, j'enfonçais mes doigts dans son antre un peu plus profondément, les laissant là. Je fis alors des ronds à l'intérieur, caressant les parois de son vagin avec délicatesse. Je vins mordiller son cou, y faisant un merveilleux suçon, bien rouge. Puis je murmurais à son oreille :

Je serais ravie d'apprendre de nouvelles choses, belle sirène... Je suis toute à toi...

D'habitude, j'aimais dominer et partager mon savoir. Mais, pour une fois, je comptais me soumettre et apprendre de l'enseignement de ma sirène.

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Je ne craignais pas de me faire embarquer dans les fonds marins par la sublime créature qui sortit de l'eau suite à ma question. Elle était tout à fait le genre de femme que je voulais dans mon harem. Une jolie femme, aux cheveux courts, brun et paraissant tout à fait à l'aise dans l'eau. Pendant un instant, je me demandais comment elle avait pu arriver là, sans que je puisse m'en rendre compte. Mais elle avait un petit quelque chose, je ne saurais pas dire quoi, qui me disait qu'elle n'était pas comme toutes les personnes qui vivaient dans ce bas monde. Je laissais mes yeux parcourir son corps, sans aucune gène, me permettant de détailler son physique comme l'eau me le permettait. Intéressant... Une poitrine assez généreuse, mais loin d'être disproportionnée, une silhouette fine mais qui serait idéale pour être attrapée partout, et des gants roses qui couvraient la moitié de ses bras. J'en aurais bien fait mon goûter, ici et maintenant, mais pour l'heure je préférais laisser la jolie demoiselle parler, affirmant alors qu'elle aimait beaucoup mes bottes. J'esquissais un sourire, elle avait l'air dans le même état d'esprit que moi. Cette rencontre allait être intéressante, j'en avais bien l'impression. Elle aussi m'observa, et je la laissais faire. Je me savais désirable, et particulière. Ses yeux se figent alors sur les deux belles cornes qui ornent ma splendide chevelure. Brillantes, soignées, elles avaient le chic pour intriguer plus d'une personne. De façon assez soudaine, la jeune femme sort de l'eau habilement, venant s'approcher de moi. Ses yeux brillent d'un éclat curieux. Je devine ses doigts sur la surface dure de mes cornes, et je la laisse découvrir leur texture. Semblables à des cornes de rhinocéros, elles sont solides et pourraient sans peine lui casser la main si je faisais un mouvement trop brusque. Mais je n'en ai pas l'intention, je préfère me montrer docile et la laisser faire. Elle s'exclame alors, comme si elle comprenait tout juste ce que j'étais :

Waaaaaaaaaaaaaah ! Mais tu as des cornes, et ce sont des vrais... Alors ça veut dire que. Wah désolée mais c'est que... j'adore les démones, les succubes et tout ça ! Vous êtes vraiment des créatures magnifiques, et vous possédez tant de connaissance et d'ouverture d'esprit dans les domaines sexuels...

Ses doigts, lorsqu'ils s'étaient posés sur ma queue, m'avaient procurés un effet électrisant. En effet, car ce membre était, contrairement à mes cornes, un endroit assez sensible. C'était comme si elle venait de commencer à caresser une zone érogène, car il faut bien l'admettre, c'en était une. Je posais, presque par réflexe, mes mains sur ses hanches. Sa peau était douce, comme du velours. Elle avait l'air d'une gamine venant de rencontrer son idole, ou quelque chose comme ça. Cela pouvait se comprendre, sa réaction, et je ne lui en voulais pas. Une légère moiteur entre mes cuisses m'apprit qu'en effet, je n'allais pas partir d'ici sans en avoir fait une partenaire sexuelle. Son compliment à l'égard de notre ouverture d'esprit me fit doucement sourire lorsque je fis le rapprochement avec mes dizaines de chambres. J'aimais tout essayer, découvrir de nouvelles choses et partager mon savoir. Et j'avais comme l'impression que j'allais encore en apprendre des tas avec elle. Je ne savais toujours pas ce qu'elle était, cependant, et j'avais une irrésistible envie de le savoir. Après tout, elle avait découvert ma nature, mais j'ignorais encore tout d'elle. Elle sembla le comprendre, parce que rapidement elle vint effacer mes doutes avec une simple confidence. Je ne l'avais pas vue arriver parce qu'elle était une sirène. Ceci expliquait cela, elle devait alors été là avant que j'arrive, tout simplement. Elle m'expliqua ensuite sa situation, étant bloquée ici toute seule. Je lui trouvais un petit charme qui me donnait envie de lui sauter dessus tout de suite. Elle faisait mine d'être innocente, mais rien qu'à voir son savoir sur les succubes de mon genre, je savais qu'elle ne l'était pas. Elle me proposa alors de rester, finissant par me demander de lui parler de moi. Savoir d'où je venais, ce que je faisais ici.

Elle s'éloigna ensuite, retournant dans son élément. L'eau glissait sur ses courbes, donnant à son corps une dimension bien plus perverse. Mes pieds la suivirent, presque d'eux-mêmes, pendant que mes yeux ne la quittaient pas. Elle était tout à fait à l'aise dans l'eau, et moi je me débrouillais assez pour aller nager avec elle. Cependant, je brisais rapidement la distance entre nous pour coller ma poitrine contre son dos. Elle m'avait aguichée, elle devait en payer les conséquences, et mon petit doigt me disait qu'elle n'allait pas dire non. Mes doigts glissèrent tout doucement sur ses hanches, plaquant ainsi tout son corps contre le mien. Je commençais, doucement, à caresser son ventre de bout des doigts, en faisant de petits cercles de ma main droite. L'autre la maintenait toujours contre moi, glissant lentement sur sa cuisse. Ma bouche se rapprocha de son oreille, je voulais bien lui raconter ce que je faisais là. Mais je comptais bien m'occuper un peu d'elle en même temps. Et voir si la jolie sirène savait concentrer son attention sur deux choses à la fois, ou si elle était bien trop perverse pour m'écouter. Mes ongles glissaient doucement sur son ventre, remontant parfois juste sous sa poitrine. J'avais toujours pieds, donc je n'avais aucun mal à rester à la surface. Et, finalement, ma main gauche s'agrippa à sa cuisse doucement. J'avais serré légèrement mes doigts au niveau de l'intérieur de sa cuisse, sans lui faire mal, mais assez fort pour qu'elle ne puisse pas se sauver. Je prenais les choses en main, comme on dit, et j'allais m'amuser avec la créature aquatique. Elle voulait découvrir les succubes, en apprendre plus sur moi, elle l'avait dit elle-même. Mes lèvres frôlèrent lentement son oreille, tandis que ma main continuait son petit jeu sur son ventre. Puis je pris la parole, assez calmement :

Je viens de Terra, et j'étais ici pour rechercher certaines personnes... Et je t'ai trouvée...

Finalement, ma main s'aventura sur son sein, le palpant et le malaxant. Elle avait une poitrine parfaite, comme le reste de son corps. Je voulais la faire mienne, m'envoyer en l'air avec elle autant de fois que nécessaire pour la convaincre de me rejoindre. Mes doigts finirent, inévitablement, par venir pincer son téton. Je guettais ses réactions, continuant ma torture sur sa poitrine. Et ce n'était que le début...

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La terre est une planète bien intrigante pour moi. Il y a des tas d'humains, qui semblent parfois étonnés de voir une démone se promener parmi eux. Mais cela ne me dérange pas, j'aime sentir leurs regards se poser sur moi. Bien souvent, ils regardent en premier les deux cornes qui s'enroulent de chaque côté de ma tête, et leurs yeux tombent ensuite sur la fine queue rouge, au niveau de mon postérieur. Ils s'étonnent de voir la forme qu'elle a au bout, une forme de coeur. Et ils prennent parfois peur quand ils comprennent que ce n'est pas un accessoire, que cette fameuse queue bouge toute seule. Mais je suis amusée de voir que certains sont plus vicieux. Malgré mon apparence qui peut surprendre, certains passent outre ça. Je sens les regards glisser tout le long de mon corps, épouser mes formes généreuses avec un plaisir qui se trahit souvent par un tressaillement de ma queue. Je sais que ma tenue, similaire au latex, qui laisse apparaître une partie de ma poitrine est assez tentatrice. Le joyau, bien entendu en toc, faisait parfois briller les regards des plus intéressés par l'argent, mais je les ignorais. Puis leurs pupilles croisaient les miennes, et dès lors que je leur faisait un clin d'oeil, en posant mon index ganté sur ma bouche, dans un geste paraissant si innocent, ils cédaient à la tentation de mon corps. Et ils n'étaient jamais déçus, certains en redemandaient encore et encore. Je leur faisais découvrir tellement de choses, ils devenaient accro à mon corps de déesse. J'avais pris cette vile habitude de les entraîner dans mes draps, de leur faire tellement plaisir qu'ils n'étaient jamais pleinement satisfait qu'après être passés dans chacune de mes chambres, qui toutes avaient un "thème". Grâce à moi, ils exploraient le monde de la luxure dans tous les sens, profitaient de tout mon savoir et en repartaient plus nymphomanes que moi.

J'aimais leur faire découvrir mon corps, mais aussi le leur. Leur apprendre la frustration, leur montrer ce que je savais faire avec ma langue, mes doigts, mon intimité. Les hommes comme les femmes, tous aimaient passer entre mes mains expertes, et les plus chanceux avaient l'opportunité de rejoindre mon harem. Ils pouvaient échanger entre eux tous les moments qu'ils voulaient, chaque pièce était libre d'accès. Sauf ma chambre, bien entendu. C'était comme une grande famille, mais une grande famille incestueuse. Ils pouvaient faire leurs propres jeux de rôles, et je m'ajoutais parfois à leurs parties de jambe en l'air pour pimenter le jeu. Quoi de mieux qu'avoir sa Maîtresse en tant qu'amante ? Ils aimaient que je satisfasse leurs désirs, à l'unique condition que ce soit réciproque. Ils devaient être à mes ordres, obéir sans jamais rechigner, et surtout répondre à toutes mes exigences sexuelles. Je n'étais pas difficile, et beaucoup d'entre eux étaient avides d'apprendre de nouvelles choses appartenant au merveilleux monde de la luxure. J'aimais leur faire découvrir de nouvelles failles de la débauche, et leur faire partager ma couche pour mon simple plaisir personnel. Mais ils ne s'en plaignaient pas, loin de là. Et aujourd'hui, j'étais venue sur Terre pour agrandir mon harem, ma famille. Les Terriens ne m'intéressaient pas, bien que certains d'entre eux soient de bons coups. J'avais essayé tout types de gens, et je dois avouer avoir été surprise plus d'une fois par des personnes que je ne pensais pas ainsi. Mes pas me conduisirent, comme par un instinct qui m'était encore inconnu, au nord de la ville. Mes yeux parcouraient les alentours, tandis que les mouvements de ma queue trahissaient un grand calme intérieur. Je découvrais une nouvelle partie de cette grande ville japonaise.

Mes prunelles se posèrent sur la douceur automnale des feuilles, qui commençaient peu à peu à joncher le sol. Cela donnait un petit air de princesse, comme si la nature m'offrait un tapis de feuilles mortes, afin de saluer l'arrivée de la Maîtresse sur Terre. En même temps, c'est ce que j'étais, dans un sens. La Maîtresse de mon harem, que je venais agrandir avec une nouvelle personne. Femme, homme, hybride ou humain, peu m'importait. Mais je devais d'abord l'essayer, et encore une fois j'avais laissé mes pas me guider d'eux-mêmes vers ma nouvelle rencontre. Peu à peu, en passant entre les chemins qui se croisaient et se recoupaient, j'arrivais à un petit coin tranquille. C'était assez joli, je trouvais même cela assez romantique. Et, en m'approchant un peu plus près, je découvrais la surface légèrement opaque d'un lac. Assez grand, et semblant profond, je commençais à me demander pourquoi j'étais arrivée là. Mes pas me guidaient rarement dans une mauvaise direction, mais personne ne semblait être présent ici. Alors je m'approchais de l'eau, ôtant mes longues bottes en cuir rosé, venant alors plonger mes deux jambes dans l'eau fraîche. Cela me fit du bien, je commençais à avoir un peu chaud sous cette couche de cuir qui collait à ma peau. Mais, rapidement, je ressortis mes membres de l'étang. J'avais senti, non-loin de mes mollets, un mouvement aquatique qui ne me rassurait pas. Cela semblait trop gros pour un simple poisson, et je savais que bien des créatures pouvaient peupler le monde sous-marin. Je ne voulais prendre aucun risque, j'avais besoin de mes deux jambes. Je restais cependant proche de l'eau, afin d'observer si quelque chose passait. Presque comme si je m'attendais à une réponse, je pris la parole avec une voix assurée, regardant la surface opaque de l'eau :

Qui est là ?

Je n'avais pas peur, bien au contraire. Mon instinct me disait que c'était ça, la raison de ma présence ici.

24
Prélude / Re : The Lion Queen [Koya]
« le: samedi 27 octobre 2018, 00:27:00 »
Ah meeeeerde je croyais que les terranides pouvaient être humains !
Du coup non, je change ça, c'est un terrien (Kai est un autre joueur du fofo)

25
Prélude / Re : Mademoiselle aime le s... Chhht. [Desmina]
« le: jeudi 25 octobre 2018, 16:29:32 »
Ahhh
Non, je voulais bien l'appeler comme elle s'appelle

26
Prélude / Re : Mademoiselle aime le s... Chhht. [Desmina]
« le: jeudi 25 octobre 2018, 16:15:55 »
Hein?

27
Prélude / Re : Mademoiselle aime le s... Chhht. [Desmina]
« le: jeudi 25 octobre 2018, 15:25:07 »
Illunia n'est pas difficile, tant que ta perso n'est pas prude ça marche  :D ;D

28
Prélude / Re : Mademoiselle aime le s... Chhht. [Desmina]
« le: jeudi 25 octobre 2018, 14:14:48 »
C'est modifié, madame, j'espère que c'est plus précis ainsi ^^

29
Prélude / Mademoiselle aime le s... Chhht. [Valifessée]
« le: mercredi 24 octobre 2018, 20:20:15 »
Illunia

Who I am

Elle n’a qu’un prénom. Illunia. Cette jeune démone au nom si particulier autorise les hommes et les femme qui partagent sa couche, uniquement lorsqu’ils sont en pleine action, à l’appeler Illu. C’est plus simple à gémir, vous comprenez… Elle a à son compteur cent ans d’existence, bien que la demoiselle en paraisse quatre-vingt de moins. C’est un des avantages de sa race, elle semble figée dans l’époque de ses vingt ans. Mais ne vous trompez pas sur elle, elle a des décennies d’expérience en matière de relations consenties ~ ou non.

How I look

Lorsqu’on la regarde, elle semble tout droit sortie d’un manga de magiciennes. Vous savez, dans ses tenues. Elle porte des choses assez étranges, comme si elle était en costume tout le temps. Mais non, en fait elle se sert de ces vêtements si particuliers pour attirer les hommes et les femmes dans sa couche. Des corsets qui ne masquent que la moitié de sa poitrine, et des jupes qui remontent au-delà de la descendance, elle sait se faire désirer. Même les gants noirs, qu’elle porte en toutes occasions sauf lorsqu’elle se met à nue, sont une arme redoutable pour faire chavirer les autres dans la luxure. Ses cheveux sont toujours détachés, roses, et lisses. Et, parmi les tas de mèches qu’elle a, on peut distinguer deux cornes. Elles ressemblent à des os, sont très solides et elle ne ressent rien lorsqu’on les touche. Elle sont noires, et font partie de sa condition de démone. Dans le bas de son dos, juste au dessus de son merveilleux petit derrière, une longue queue fine, rouge et terminée par une pointe en forme de coeur apparaît. Il ne s’agit pas d’une simple queue, qui traîne derrière elle comme un bout de chair. Non, elle est pleine de muscles, et bouge au rythme des pas de la jeune femme. Et elle trouve cela bien utile pour attirer les hommes à elle, en les emprisonnant avec, par exemple. Elle est assez grande, fine et élancée. Et, comme si le diable avait décidé de faire d’elle une véritable femme fatale, elle a des formes généreuses et bien proportionnées. Et, bien caché sur sa hanche, elle a un léger tatouage. Il représente une simple rose, sans tige. Des traits fins, aucune couleur. Cela représente, à ses yeux, la partie douce dont la fleur peut faire preuve.

How I think

La jeune femme est une femme innocente. Bon, d’accord, ceci est totalement faux. Pour de vrai, c’est une femme fatale, qui sait ce qu’elle veut. Elle sait manipuler les autres pour leur faire dire la vérité, mais aussi pour les attirer dans ses draps. Car cette démone, au-delà d’une simple femme, aime la luxure. Pire qu’une passion, c’est devenu un mode de vie. Elle a son grand chez-elle, avec tout un tas de pièces. Pas parce qu’elle aime recevoir des invités, mais parce que chaque pièce a son thème. Elle aime explorer toutes les facettes du sexe, quitte à prendre des esclaves sous ses ordres. Elle est très dominatrice, elle aime prendre le contrôle sur ses partenaires. Pourtant, il lui arrive parfois de jouer la carte de la douce femme soumise. Illunia n’est pas une femme qui prend des pincettes, elle dit ce qu’elle pense – et souvent, elle pense ce qu’elle dit. À ses yeux, la clé d’une relation est la sincérité. Que ce soit en amitié ou en sexe, elle ne ment pas. Et elle n’aime pas les gens qui mentent. Elle est donc d’une grande franchise, et malgré son amour pour le sexe, elle est très respectueuse d’autrui. Elle ne viole pas, ne touche pas aux enfants et surtout, elle respecte les limites imposées par son, ou ses, camarade de jeu. Parce que oui, en matière de luxure, elle a des goûts variés. Elle aime les jeux de rôles, et accepte qu’on lui fasse pratiquement tout.

What happened

Cette histoire commence dans un lieu assez particulier. Un lieu où la débauche est permise, bien que ce soit un sujet assez tabou devant les invités. Elle ne se souvient pas de son enfance, ses premiers souvenirs remontent à l’anniversaire de ses 6 ans. Un anniversaire qui restera gravé dans sa mémoire comme le pire qu’elle ait eu. Car c’est à partir de ce jour, terrible jour, qu’elle et tombé dans les griffes d’un monstre. Enfin, c’est ainsi qu’elle le voyait au début, quand tout a commencé.
Elle vivait dans un endroit qu’elle appelait « Le Manoir ». C’était un grand manoir, justement, avec peu de pièces. Une chambre pour chaque servant, une chambre pour elle, et une chambre pour les maîtres de maison. Ce fameux manoir était situé dans une ville assez petite comparée à Tokyo, la capitale. La démone était arrivée ici un peu par "enchantement", selon ce que les maîtres de maison lui avaient raconté. Elle n'était qu'une petite démone, sans doute abandonnée, et ils l'ont recueillie.
De ce fait, elle ne sait rien de son passé. Elle ne se souvient de rien de ce qu'il s'est passé avant son anniversaire de ses six ans. L'anniversaire où ce cercle infernal de la débauche a commencé, avec un cadeau particulier. Sa première fois fut prise. Elle était le jouet d’un homme, un des serviteurs. Le soir de son anniversaire, il est venu la voir. Il disait qu’il venait parce que son maître l’avait autorisé à s’occuper d’elle. Bien entendu, il ne comptait pas lui lire une histoire. C’est ce soir-là qu’elle a commencé à être son jouet sexuel.
Elle n’aimait pas ça, au contraire. Mais elle n’avait pas le choix, apparemment, puisqu’elle avait beau essayer de montrer qu’elle n’allait pas bien, personne ne comprenait. Cela a continué, pendant des mois. Et puis les mois sont devenus des années. Des années de viol, mais un viol doux. Il ne la prenait pas comme une brute, il était doux et tendre avec elle. Lorsqu’elle eut atteint ses quinze ans, le viol est devenu autre chose. Elle ne savait pas comment ce changement s’était produit, mais elle aimait ça.
Le soir, elle attendait que le servant vienne la rejoindre, et lorsqu’il arrivait, elle était bien souvent déjà prête à le recevoir. Ils échangeaient caresses, baisers et tendresse avec la plus grande discrétion, et s’évitaient soigneusement la journée. Lorsqu’elle trouvait qu’il mettait trop longtemps à venir, elle le rejoignait dans sa chambre. Et vu que celle-ci était à l’écart, alors ils pouvaient se lâcher, faire autant de bruit qu’ils voulaient. Et c’est ainsi, avec un servant qui l’attrapait tous les soirs, qu’elle est devenue accro.
Ils se firent découvrir un soir, alors que le maître de maison venait vérifier que tout le monde dormait. Et ils furent mis à la porte, bien entendu. Pourtant, au lieu de se serrer les coudes, le servant l’abandonna. Elle se retrouva alors seule, à seulement 17 ans, à devoir se débrouiller par ses propres moyens. Vous n’imaginez pas à quel point elle se trouva désemparée. Mais, après quelques minutes de marche, elle tomba sur un hôtel. La jeune femme, intelligente, pris alors la décision d’y dormir, en échange de quelques services auprès du patron.
C’est ainsi qu’elle se débrouilla, pendant longtemps. Elle allait d’hôtels en hôtels, payant de son corps. Puisqu’elle était désirable, et qu’elle aimait qu’on l’attrape et qu’on la culbute, autant en utiliser pour sa vie. Elle avait tellement pris l’habitude de se faire prendre par le serveur, elle avait désormais besoin de ça. C’était comme une drogue, et elle sombra alors dans la nymphomanie. La belle démone s’arrêta de vieillir à ses vingt ans, trois ans après ses débuts dans la luxure. Les années passaient, et elle ne vieillissait pas.
Elle n’avait pas d’amis, pas de proches. Elle, contre le monde entier. Et l’amour ? Non, pas pour elle. Une nuit, deux maximum si la relation était au top, mais pas plus. Elle ne recroisa pas ce serveur, elle en avait presque même oublié son visage. Et, après cent ans d’existence, elle continue son chemin. Si ce n’est qu’aujourd’hui, elle a acheté son propre manoir, où chaque pièce a ses particularités. Cela lui permet de faire découvrir tout le monde de la luxure à ses amants. Elle aime ça, en plus.

More about me

En effet, mademoiselle possède des connaissances. Elle est fortement intéressée par la luxure, et aime découvrir tout ce qui y touche.

Behind the screen

DC d’Hisma. Et, encore une fois, je reconnais avoir pris connaissance du contenu du topic sur le traitement automatisé des données personnelles qui est fait par l'hébergeur de LGJ o/

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