Le Palais Infernal / Re : Those who play with the devil's toys (Helel)
« le: jeudi 16 octobre 2025, 22:06:23 »Il pouvait sentir l’effet qu’il lui faisait à ainsi lui emplir la gorge de ce foutre brûlant. La diablesse frottait sa fleur en rythme avec les giclées de foutre qui envahissaient sa gorge, qui luisaient contre sa peau diaphane. C’est avec reluctance que la jeune démone laissait le monstre s’extraire d’entre ses lèvres, un geignement de dépit s’échappant alors qu’elle se retrouvait désœuvrée.
« Oh oui, Seigneur, exhala-t-elle en réponse. »
Affamée de son foutre. De son odeur musquée. De la chaleur insoutenable et pourtant si délicieuses qu’il émanait.
Dans un état second, les prunelles de Corona accrochèrent la gamelle qui s’approchait, qui tomba aux pieds du colosse. Elle se lécha les lèvres alors qu’il la remplissait, jet crémeux après jet crémeux. Ses mains se crispèrent sur ses cuisses tandis que sa queue fouettait l’air, trahissant son impatience, sa volonté de chasser après le récipient que son Maître éloignait du bout du pied.
Quand enfin Helel la laissa se repaître, qu’il le lui ordonna même d’un ton qui ne souffrait aucune désobéissance, la succube se jeta sur la gamelle comme s’il s’agissait du met le plus raffiné qu’elle ait goûté. Comme si elle venait de passer un siècle sans se sustenter. Son petit corps gracile se pencha, ses mains griffant presque le sol dans sa hâte de s’attabler comme la petite chienne qu’elle était, et elle le prit au mot. Les lippes sanguines de Corona s’écartèrent et elle plongea sa bouche dedans, aspirant, avalant, se gorgeant de la semence démoniaque qui lui semblait aussi aphrodisiaque qu’alléchante.
Ses reins arqués par les mains du Grand-Duc, la diablesse laissa sa queue venir lui caresser le torse comme si c’était sa petite main curieuse qui le faisait. Ses ailes, fermement repliées dans son dos, frémirent alors que les mains du colosse s’emparaient de ses hanches. Un gémissement étranglé lui échappa, avant qu’il ne lui interdise d’en émettre d’autres. La pauvre succube dû se faire violence pour se contenter de boire le foutre sans rien laisser échapper. Ses doigts agrippèrent la gamelle, ses ongles griffant et s’enfonçant même dans le matériau sous l’effort déployé pour rester silencieuse durant la délicieuse torture qu’était en train de lui concocter Helel.
Fermant les yeux, Corona ne laissa pas échapper un seul son semblable à un gémissement durant la lente intrusion qui lui écartelait les chairs intimes. A la place, et parce qu’il ne le lui avait pas interdit, la perverse petite démone avalait bruyamment de grandes gorgées de foutre. Tour à tour, elle lapait comme une petite chatte, avant d’inspirer de grandes goulées comme une chienne dévergondée. Elle avait la sensation de ne vivre que pour obéir à ce Maître cruel, la conviction qu’elle ne servait à rien si ce n’était à le satisfaire. Elle planait tout autant qu’elle avait l’impression que le sol se dérobait sous ses genoux.
Dans son esprit embrumé par le désir, par l’extase, une idée se fit soudain nette. Occupée à vider la gamelle comme elle était, Corona ne put s’empêcher de laisser un sourire mutin étirer ses lippes. Comme ordonné, pas un gémissement ne quittait sa gorge. Ils étaient étouffés, noyés par la semence du diable dont elle se gorgeait. Mais son corps menu se déhancha, se contracta autour du sexe démesuré qui l’investissait. Elle ne pouvait pas gémir ? Soit. C’est donc son Maître qui allait le faire à sa place.
Les yeux fermés, l’esprit divisé entre deux tâches, l’insatiable gourmande mettait tout son cœur à s’assurer qu’Helel donne voix à l’extase qu’il lui faisait ressentir. Elle s’était même aplatie contre le tapis, sa poitrine s’écrasant contre le sol, pour relever les hanches, creusant les reins et enserrant le monstre qui s’appropriait son corps. La pointe de sa queue vint griffer le torse musculeux, descendant entre ses pectoraux, ses abdominaux, pour venir contourner les hanches mâles et meurtrir les fessiers qui se contractaient. Puis elle se fit plus douce, et se glissa sur la cuisse masculine avant de venir agacer les bourses encore gonflées du monstre. Elle s’enroula autour comme les parois intimes de la belle se contractaient de plus belle contre le passage du mandrin démoniaque.
Bien évidemment, la petite maline jubilait de son idée. Électrisée par la présence d’Helel, il ne lui effleura pas l’esprit que son petit jeu pouvait être à double tranchant. Et pourtant, elle aurait dû s’en douter.
Léchant les dernières gouttes qui tâchaient encore la gamelle, la brune se prit à se mordre les lèvres pour contenir les sons d’extase qui voulait s’échapper. A trop vouloir forcer le monstre à exprimer les gémissement qu’il lui interdisait, elle s’exaltait elle-même en lui rendant la progression dans son antre chaude et serrée plus savoureuse encore.
Comme dernière parade, la jeune infernale exprima sa délectation à grands cris.
« Ah, Seigneur ! Que vous êtes délicieux ! Je vous en prie, ravagez-moi comme personne n’a su le faire jusqu’à présent ! »








