Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Furette

Pages: [1] 2 3 4
1
One Shot / Re : De l'autre côté de la laisse. [Pv Iki Ota]
« le: mardi 11 avril 2017, 22:12:15 »
L’ancienne amie d’Eve n’avait pas lésiné sur les moyens, l’esclave cherchant à faire plaisir à son maître en ramenant sa future proie dans l’état le plus propre qu’elle pouvait. La petite-fille n’avait pas encore conscience de la machination qui s’était faite dans son dos. Elle n’était à prison qu’une poupée facilement malléable. Quand Iki se mit à tapoter le visage de sa petite-fille, elle se mit à trembler des paupières, venant à sursauter quand les hommes se mirent à souhaiter un « Joyeux anniversaire. » Immédiatement, elle se rendit compte de son immobilisme forcée, tentant de tirer sur ses liens et croisant le regard de son grand-père.

- C’est une blague papy, hein ? J’ai fait une bêtise et tu souhaites juste me faire peur, n’est-ce pas ? 

On pouvait sentir toute la peur dans sa voix, qui était chevrotante. Elle se rendait compte qu’elle était dans une posture fort désagréable et qui était tout simplement ce qu’elle redoutait le plus, être dans un état de faiblesse telle, qu’elle pouvait être une proie. Elle qui pensait toujours être du côté des prédateur, sa situation de sacrifice la rendait extrêmement nerveuse, on pouvait sentir tout la détresse s’emparer de son esprit. 

- J’ai compris papy, détache moi, s’il te plaît. Je t’amènerais des jumelles de ma classe, d’accord ?

Eve n’avait jamais été en présence d’autant de personnes, les réceptions n’étant pas compté dedans, mais voir autant d’homme masqué la faisait prendre conscience qu’elle risquait de passer à la casserole. Elle, qui d’habitude gardait des cartes dans ses manches, venait à les abattre une à une. Après la peur venait la colère, la colère du désespoir. 

- Tu avais promis papy ! Défais mes liens, je serais une gentille petite-fille, comme je l’ai toujours été. 

On pouvait voir que la demoiselle avait le souffle court, son coeur battait la chamade sous cette peur qui s'insinuait partout en elle. 

2
One Shot / De l'autre côté de la laisse. [Pv Iki Ota]
« le: mardi 11 avril 2017, 13:24:26 »
Eve s'étirait, venant à sortir d'une réunion qui avait pris des plombs. Elle avait dû remplacer son père, devant user ses connaissances en économie pour que l'entreprise se focalise sur l'efficacité et non sur l'effectif. Elle n'avait suivi que les directive qu'elle avait reçu, à savoir réduire le personnel de manière légale. Ce genre de manipulation n'était pas rare chez elle.  Elle avait une bien plus grande ferveur envers son papy que son père, lui au moins n'était pas radin et avoir ce qu'elle voulait contre quelques filles de son lycée, ce n'était pas si cher payé. La jeune demoiselle n'avait aucune connaissance du prix d'une vie humaine et préférait de loin être celle qui tenait la laisse, que celle qui portait le collier.  Son papy avait fait de l’excellent travail, inculquant  la peur d’être la chienne et non la maîtresse, ce qui la rendait terriblement docile quand il fallait trouver des minettes pour le club.  Par la générosité de son papy, elle était devenue une jeune femme sublime, ayant la cote auprès des lycéens et de beaucoup d’homme. Mais un seul eut l’honneur de devenir le petit copain d’Eve.

Même si elle commençait à perdre patience avec c collègue de classe qui n’avait jamais trempé son pinceau. Eve avait été très claire avec lui, tant qu’il n’avait pas acquis d’expérience, il pouvait faire une croix sur le fait d’obtenir sa virginité. Le pauvre idiot pensait qu’il était le premier à goûter à sa bouche ou son cul, s’il savait seulement que le papy de la demoiselle était passé bien avant. Elle n’attendait pas grand-chose de ce petit copain et comptait larguer cet incompétent à la fin du mois. Au moins, pendant ce temps-là elle n’avait pas eu une avalanche de lettre de déclaration. C’était épuisant pour la lycéenne de répondre à toute ses maudites lettres et refuser toute les avances, même si elle pensait que le prochain petit copain serait certainement le comptable du lycée, elle savait qu’il avait des parents riches et son papy pourrait certainement l’aider à récupérer une partie du patrimoine.

Oui Eve n’était clairement pas une gentille fille, elle était cependant bien moins intelligente et manipulatrice que son cher grand-père, ne pouvant se douter qu’aujourd’hui, le jour de son dix-neuvième anniversaire, il avait préparé un cadeau des plus attentionné à son égard.  Elle vint à regarder son téléphone et vit qu’elle avait reçu un sms de son petit copain. Bon il avait toujours cette manière de faire des messages à ralonge pour dire qu’elle était belle, son rayon de soleil, etc. Seulement aujourd’hui, il voulait fêter son anniversaire et lui offrir un présent, laissant à la fin du message une adresse. Il ne fallait pas longtemps pour savoir que l’adresse indiquait un entrepôt qui se trouvait sur les docks de la ville. Eve se disait qu’il allait certainement offrir un bateau, cela faisait un moment qu’elle essayait de le manip … de lui faire comprendre qu’elle désirait avoir un bateau, afin de passer quelques vacances sur la mer. L’effort étant perceptible, Eve se dit qu’il méritait une tenue soignée et belle.  Elle se mit à passer un coup de fil à son papy pour lui demander conseil sur un magasin de prêt à porter pas trop cher. Elle aimait bien son grand-père, autant son sexe que son agenda de contact qui était bien fournit.  Une fois l’adresse reçue, elle vint à aller s’acheter une magnifique robe rouge, laissant les femmes ajuster le vêtement. Elle avait aussi choisi de porter un collier de perle et un bandeau dorée. Eve était certaine que son copain allait apprécier ce petit geste de sa part. Un peu de rouge à lèvre et le tour était joué.

Elle se mit à entrer dans l’entrepôt en question, ne voyant pas bien à l’intérieur, étant très sombre. Eve pensait que son petit copain voulait garder le surprise plus longtemps. Elle fit une dizaine de pas avant que la porte derrière elle se ferme, avec le bruit du loquet condamnant toute sortie. Eve commençait à avoir une sueur froide sur le front.

- Paul ? Paul, sort de ta cachette, ce n’est pas drôle.  

La lumière vint à jailir d’un coup, éblouissant Eve, qui essayait de faire de l’ombre avec sa main gauche. C’est alors qu’elle vit une main féminine avec un torchon passer dans son champ de vision, le bout de tissus venant à se plaquer contre son nez et sa bouche, alors qu’une autre main empêchait la main droite de s’agiter. Un léger gloussement se fit entendre. Eve vint à détourner le regard et reconnu une ancienne fille qu’elle avait amené à son papy. L’agresseurs vint à parler, alors qu’Eve sentait l’odeur du chloroforme, se mettant à paniquer, essayant de gesticuler pour se sortir de ce piège.

- Le maître veut te voir chérie.  Laisse toi faire.  

Eve se mit à se débattre davantage, sentant ses forces se mettre à la quitter de plus en plus. Elle paniquait à l’idée de quelqu’un la kidnappe, qui sait ce qu’il pourrait arriver ensuite. Elle n’avait pas encore la présence d’esprit d’imaginer que son papy était dans le coup.

Après quelques minutes à se débattre, le chloroforme fit pleinement son office, Eve tombant dans les vapes.

3
Furette ne fit aucun rajout sur les propos de la vampire, sachant que cela ne servait à rien de tergiverser avec une personne aussi coincée d’esprit. Il cachait de son visage cette mine déçu, s’attendant à une femme un peu plus ouverte d’esprit. Cette vision étroite était suffisante pour ternir la beauté physique de Mélinda, pouvant sentir l’excitation redescendre un peu. Le jeune humain avait décidé de faire tout de même le massage qu’il avait prévu, mais après, il irait certainement retourner à son service.  Il était peut-être soumis avec les partenaires, mais, comme tout le monde, avait tout de mes des préférences concernant les dominants. Cela pouvait être par le jeu, la curiosité, la recherche d’affection. Beaucoup de chose permettait de rendre un partenaire intéressant, mais la vampire, par ses propos n’avaient au final que le physique de beau.  Il ne pouvait pas vraiment en vouloir, se disant que cette femme devait certainement avoir un esprit « supérieur » et sans doute une richesse plus grande, tout ce qui faisait qu’elle n’avait pas les inquiétudes et les difficultés de personnes moins aisé.  Mais Furette pensait beaucoup trop, il devait rester concentré sur son travail.

Il ne fit aucun geste pour empêcher le contact de ses lèvres, s’il restait souriant et radieux, dans son regard on pouvait voir que son opinion sur Mélinda était simple et claire. Il la laisserait s’amusera autant qu’elle souhaite, le temps que le massage soit complètement fait, ne se doutant pas des surprises que la demoiselle dissimulait, croyant n’avoir affaire qu’à une femme ayant une vie un peu trop gâtée. Le plaisir des yeux était là, mais l’étreinte des désirs voyait son avancé être plus lente et moins intense. La vampire ne pouvait lire dans l’esprit et si elle avait simplement tut sa remarque sur le fait de traiter Furette comme un esclave, elle aurait certainement eu des impressions un peu plus intense.  Il vint à hausser un sourcil en entendant la maîtresse venir à parler de la faire sentir mieux, laissant sa main se faire guider sur un des jolis seins de la créature. Furette ne put retenir un léger soupire d’exaspération avant de répondre d’un ton légèrement irrespectueux.  Il avait massé beaucoup de personne et la vampire ne semblait pas comprendre qu’un massage n’était pas là que pour faire jolie ou faire la causette.  Mélinda marquait de mauvais point à la chaine, s’en rendait-elle compte ? Furette ne pouvait le savoir. 

- Avec tout le respect que je vous dois, madame. Vous devriez éviter de sauter les étapes, à moins que vous ne désirez sortir de se massage avec des courbatures. Je m’occuperais de votre poitrine une fois que je serais certain que le premier massage est suffisant, ce qui ne saurait être trop long.  Si je puis me permettre une autre remarque, vous devriez davantage détendre votre corps dans un bain ou une douche chaude, vous aviez de nombreux nœuds, rien de bien dangereux en soi, mais mieux vaut prévenir que guérir comme on dit.

Furette ne pouvait s’empêcher de faire des remarques pour le bien de ses clients et clientes. Il avait d’ailleurs arrêté de la nommer « maîtresse » pour montrer qu’il n’était pas son esclave. Après si la cliente venait à vouloir partir furax, ce n’était pas son souci, il était là pour servir les clients, leurs apporter du plaisir. S’il voulait être esclave, il n’avait qu’à le faire hors de son travail et non pendant.  Il attendait de savoir si Mélinda allait demander de stopper le massage, ce qu’il comprendrait aisément. Dans le cas où elle ne désirait pas stopper la séance, il pourrait débuter le massage tantrique, mais cela dépendrait avant tout de la réponse de sa cliente.

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Nouvelle adoption FURETTE
« le: mardi 11 avril 2017, 07:32:24 »
Le jeune homme vint à s’habiller et observait sa partenaire fermer les yeux, avant que la lumière oblige l’humain à fermer les yeux et se met à avoir un choc thermique en sentant la chaleur du désert léger sa peau et son visage. Son souffle se fit plus intense, ses jambes faiblissant un peu sou la rudesse du changement climatique et l’aridité si perceptible. Il vit sa bague se mettre à luir d’une fine aura, aura qui s’étalait doucement sur sa peau, comme si une main invisible venait à lui appliquer une crème solaire rafraichissante. Ce ne fut qu’au bout de quelques minutes, qu’il put regarder la ville, venant à mettre sa main au-dessus de son front, la lumière du soleil tapant assez fort. Même avec l’aide de la bague, il n’empêchait pas qu’il se mettait à un peu cuir dans sa robe noire, s’il avait su tout ce qui lui arriverait, il aurait opté pour une tenue plus légère et moins sombre. Il ne pouvait regarder la ville trop longtemps, la coupole réfléchissant très bien la lumière et piquant un peu les yeux. Il ne dit rien quand Eris fit la description des lieux, mais acquiesçait quand elle se mit à dire qu’une armée aurait du mal à l’assiéger, comment pouvait-on supporter à la longue cette lumière aveuglante, on devait avoir un bon mal de tête après une heure à la contempler, si ce n’est plus.

Une fois à l’intérieur, il pouvait enfin redresser le regard et se mettre à observer le marché. Il pouvait noter que tout avait un côté conte des mille et une nuit, il y avait énormément de tenue légère, toute issue des contes arabes. Furette suivait Eris, observant les vendeurs, les articles. Il se mit à avoir un petit rire quand Eris se mit à laisser entendre qu’il pouvait acheter ce qu’il pouvait.

- Ne revenez pas sur votre parole, car je pourrais être une personne de nature dépensières.

Il n’en fallait pas plus pour que Furette fasse les différents étales, venant à toucher les produits, pour connaitre leurs compositions. Comme on pouvait s’y attendre, tout semblait être naturelle, aucune composition synthétique comme il pouvait en trouver sur le marché terrien. Il ne savait pas à quoi correspondait les prix, n’ayant aucune notion de la monnaie ou des monnaies de Terra. Furette passait énormément de temps en voyant les vêtements. Il avait cette vilaine manie de s’imaginer dans les vêtements, de penser à l’utilité de ceux-ci, des circonstances pouvant le faire arborer une telle apparence, mais aussi comment perfectionner le tout. Il se posait beaucoup moins de question quand il achetait sur le net, n’ayant pas l’opportunité de constaté l’état du produit et acceptant le fait de se faire avoir. Mais là ce n’était pas le cas, il avait les produits à portée de main.  

Il débuta les achats par une robe, qui nouait sur une épaule, un vêtement rouge, léger et simple, mais il se mit à aller directement vers un autre marchand pour acheter dix bracelet d’or, dont deux ajustable pour le cou, avec cela il se mit à prendre un bijou qui s’attachait sur le haut du crâne, laissant pendre une petite pierre rouge, allant de pair avec cette robe qui était fendu du genoux droit à la hanche gauche. Il fit un arrêt devant un vendeur de potion, venant à écouter ce qu’il proposait, étant notamment intrigué par l’un qui faisait pousser la chevelure, redonnant force et brillance, une autre était un petit flacon semblable à ceux utilisé pour se mettre des gouttes sur les yeux. La différence était qu’ici, cela permettait de changer la couleur, le vendeur se mit à dire que cela pouvait même devenir fantaisiste. Furette se mit à avoir un petit rire en pensant à un jeu où consommer le moindre aliment pouvait changer l’apparence. Il percevait bien que même ici les fantasmes pouvaient être présents. Il prit un de chaque, voulant tester. Cet ensemble serait certainement sa tenue hors du harem ou lors de réception.  

Mais ce n’était que le début, venant à flasher sur une tenue de danseuse. Le ton étant cette fois entre le noir et le vert. Cela dévoilait énormément le ventre et les épaules, ce qui n’était pas un problème pour furette. Il put constater que les manches étaient tenu par un fin bracelet sertit de pierre verte, ne sachant pas trop s’il s’agissait de pierre de décoration ou des pierres précieuses. Il constatait qu’il y avait de quoi cacher le bas de son visage, le tissus étant doux au contact et semi-transparent.  La vendeuse se mit à saluer Eris et eut un petit sourire en voyant Furette observer ce produit en question. Elle prit la parole pour présenter la tenue en entière, les bijoux allant de pair. Elle précisait que les boucles d’oreilles tenaient avec un petit sortilège basique et que l’humain n’aurait pas à se faire percer les oreilles pour les porters. Les bijoux étaient dorés et finement ouvragé, ce qui ne pouvait qu’attirer le regard. La vendeuse vint à joindre des petits bracelets pour les chevilles, venant à flatter le goût de Furette.  Le second vêtement était donc acheté et Furette se rendit compte que cela serait difficile de tout porter, venant à demander à un vendeur de sac, le plus large qu’il pouvait avoir.  Le jeune homme refusait qu’Eris aide à porter, prétextant qu’il devait être capable de porter ce qu’il achetait.

La troisième tenue était plus légère, le haut se constituant de deux larges bandes bleutées passant sur la poitrine, un bas turquoise descendant tout juste au-dessus des fesses, ce qui laisserait voir le dessous jaune offert avec. Il avait été intéressé par la tenue, car le voile était bridé à même une tiare dorée et qu’il y avait aussi un long ruban rose, pouvant l’enrouler autour de ses bras et l’utiliser s’il devait danser.  Il se basait sur les lectures et les jeux, où une danseuse orientale pouvait avoir ce genre d’accessoire. Il prit aussi un collier fait d’une barre dorée avec un rubis taillé en rond sur le devant. Le vendeur vint à user de magie pour ajuster le produit à Furette, se posant davantage la question de satisfaire le client, que de chercher à se questionner.

Il vint ensuite à prendre une tenue encore plus minimaliste, pour le haut. Cette fois il s’agissait d’une bande noire horizontale, avec des arabesques orange, la même chose était faite pour le cou et les bracelets. Le bas tenait par le même tyle de bande au niveau des hanches, laissant le tissu rose se laisser aller à la gravité, laissant voir les côté du fessier. Il s’agissait d’une tenue assez aguicheuse, mais que Furette jugeais potable s’il devait se balader dans le palais d’Eris. Il admettait que cette tenue n’avait pas besoin de plus d’accessoire, étant suffisamment explicite et parfaite en elle-même.

Le sac commençait à peser, mais Furette n’en avait clairement pas fini, le marché regorgeait de bien plus d’articles intéressants qu’au premier regard et le jeune homme se permettait de faire plusieurs fois le tour des marchands. Venant à voir un tissus bleu sous d’autre, étant une couleur qu’il avait peu vue. Il se mit à voir la tenue. Cette fois le haut était plus couvrant, laissant les épaules toujours à nue. Mais les manches se stoppaient avant le coude, par un épais bracelet dorée, au niveau de la poitrine il y avait deux bijoux, un rubis en haut et un saphir en bas, le tout agrémenté de dorure et de petite pierre précieuse vers le bas. Il y avait une longue robe blanche, avec dessus un tissu bleu et dorée. Il vint à joindre un collier doré avec un ensemble de saphirs taillée, ainsi qu’un ruban pour les cheveux bleuté et des boucles d’oreilles dorées. Furette vit la fille du marchand se mettre à offrir une petite bouteille qui permettait de teindre les cheveux d’un bleu clair. Furette se dit que combiné avec la lotion de pousse, cela serait effectivement d’un joli effet.  Il avait sa tenue aux couleurs rafraîchissantes.

Il allait partir vers un autre marchand, quand une femme attirait son regard. Cette dernière ne dit rien et son style était un mélange assez exotique, entre les tenues indiennes et arabes. Il prit le temps de s’arrêter et constatait que cette femme était muette, mais utilisait ses pouvoirs pour parler dans l’esprit des personnes. Furette fut un peu déstabilisé, mais la vendeuse fut douce dans ses propos. On pouvait supposer que la vendeuse n’avait pas que la faculté de parler par  l’esprit, venant à présenter rapidement une tenue qui était à l’image que Furette se faisait du mélange de ses deux cultures. Il eut en face de lui un ensemble se constituant d’un haut, qui mettrait les moindres forme en avant, d’un noir profond et hypnotisant, avec la dorure qui ne donnait que plus de beauté au corps. Joint à cela il y avait une jupe fendue des deux côté, un long tissus noire tombant jusqu’aux chevilles, avec en ceinture un tissus orange et une succession de ceintures dorée, le moindre mouvement des hanches faisant qu’il y aurait du bruit, un bruit clair. La vendeuse ne fut pas avare en accessoire, venant à proposer des bracelets de perles rouges, des bracelets dorée, un collier qui couvrait le bas du cou et plongeant vers la poitrine, des accessoires pour tenir donner de l’importance aux mèches et un diadème bien plus proche des couronnes d’une princesses. Elle mit aussi un peu de maquillage orange. Le prix de tout ça était terriblement … bas. Elle vint à justifier cela par le plaisir d’avoir pu observer une beauté unique et cela n’était pas en direction d’Eris. Furette sentit tout le poids de cette tenue, certainement, unique en son genre.

Comme il sentait que cela commençait à devenir assez lourd, il se dit qu’un dernier achat sera certainement suffisant.  Il finit son petit tour vers un vendeur qui avait un accent marrant.  Furette parlait sans détour, il voulait une tenue opaque, assez légère, mais pas trop pour être utilisable, la nuit, quand le froid se faisait plus mordant. Il demandait aussi une tenue qui avait une taille modulable. Le marchand vint à échanger avec Furette, voyant qu’il avait un sac bien lourd, le marchand voulait un peu connaître les goûts de la personne. Le marchand se mit à rire en constatant que la plupart était féminine, disant qu’il était assez rare de voir ce genre de petit gars dans les environs.  Le marchand fini par sortir un espèce de kimono gouge, avec une bande couleur sable, venant à appeler sa femme, qui avait exactement la même tenue, ce qui mettait bien en avant sa poitrine généreuse. Le  marchand apprit qu’il était en présence d’Eris et vint à s’excuser en poussant un grand rire. La femme se mit à expliquer que son mari n’était pas du coin et qu’ils avaient décidé de loger ici pour bénéficier de la protection de la famille Langnar. Furette vint à observer la marchande et se dit que la tenue et les accessoires qu’elle portait était très beau, venant à demander s’il les différents produits étaient disponibles. Une fois tout mit dans le sac et constatant le poids final, il prit parole.

- Je crois que j’ai tout ce qu’il faut.

Il ne savait pas combien de temps il avait mis à faire ses « petits » achats, mais nul doutes que plusieurs heures s’étaient passé. Il se disait tout de même que la plupart de ses vêtements seraient mieux avec un petit quelques chose, qu'il n'avait pas en tant qu'homme, mais cela ne l'empêcherait pas de trouver des solutions à ce problème.

5
One Shot / Re : Maid sisterhood [PV]
« le: mardi 11 avril 2017, 04:05:22 »
Furette se mit à sourire en entendant Solène dire être impressionné. Le jeune homme n’avait pas appris tout cela en un jour, il avait fallu bon nombres d’heures d’exercices, dès fois même sous le regard de la gérante, qui était une femme très critique, donc une personne adaptée à juger un rôle. Il se rappeler le nombre de fois où cette posture qu’il prenait était un gage, quand il n’arrivait pas à atteindre ses objectifs. Cette féminité, cette aura, il l’avait acquis non par la volonté d’être une femme, mais des heures d’entrainement pour y ressembler.  Il se mit à pencher la tête sur le côté quand Solène allait dire quelques chose qui n’était pas une question, il se doutait, vu l’hésitation et un léger tic, que ce n’était pas quelques chose de facile à parler.

Il se rappelait que Solène avait été aussi  … timide, quand il avait essayé d’avoir un premier contact avec lui.  Furette savait que cela était d’autant plus difficile, que son ami se mettait à faire de très très longue phrase, lui qui préférait d’habitude faire au plus court et au plus clair. Ce ne fut qu’au « toit » qu’il comprit tous les enjeux de cette phrase. Une déclaration ? Ce n’était pas la première fois qu’il en recevait et cela ne serait sans doute pas la dernière. Cependant, il savait qu’il avait entretenue une  plus longue relation avec Solène, qu’avec quiconque. Refuser serait donc très douloureux et il ne pouvait cacher qu’il aimait bien sortir à deux et passer de bonne soirée. Du point de vue de Furette, cela serait aller un peu plus loin, mais pour se faire, il comptait lui aussi faire prendre de franchise.

- Je comprends tes sentiments et ne les renies pas. Tu n’as certainement pas observé ici, mais j’attire les regards, les désirs. Il arrive aussi que j’accepte des rendez-vous après mon travail, que je passe des nuits avec des clients et des clientes. Aussi, si tu souhaites quand même continuer d’être avec moi, il te faudra accepter que d’autres puissent profiter de moi. Sache cependant, que je ferais mon maximum pour te combler quand je serais là. Est-ce que cela te convient ?

Furette savait que partager l’amour n’était pas dans la nature humaine et qu’il s’agissait d’une chose que bon nombre refusait. Mais il croyait que Solène était capable de faire cet effort et le jeune homme n’allait pas revenir sur sa parole, quand on parle d’amour on ne peut mentir et là est la chose la plus complexe dans la relation humaine.


6
Furette se laissait caresser, tant que cela restait dans le cadre de simple attouchement, il était en droit de laisser couler et Mélinda était suffisamment belle et avenante pour que le jeune homme sache qu’il s’agissait d’un simple jeu sans envie de le nuire. Il vint à tiquer en entendant la vampire se mettre à parler du travestissement, il y avait des personnes qui arrivaient à voir derrière la supercherie, mais l’humain n’en était pas offusqué, cela voulait dire que la cliente avait de bons yeux ou une bonne intuition. Il vint à répondre, toujours avec cette voix qu’il avait choisie.

- N’en soyez pas offusquée, maîtresse, il s’agit là d’un choix personnel. Me vêtir du sexe opposé ne me dérange guère et apporte bien plus davantage dans ce lieu qu’en dehors, d’autant que beaucoup d’hommes raffolent des serveuses avec une poitrine naissante, ce qui fait que les pourboires sont plus conséquents. Je me permets de vous féliciter, rares sont les maîtres et maîtresses ayant pu voire à travers mes déguisements. 

Le jeune homme vit la cliente se poser sur le dos. Il eut un léger sourire en coin, se doutant que cette femme allait certainement jouer avec lui pendant toute la séance, pour le taquiner.

*Joli minois, mais un peu trop joueuse.* Pensait-il silencieusement.

Ce n’était pas le genre de client qu’il détestait, bien au contraire, mais le plus difficile était certainement de savoir, professionnellement parlant, savoir stopper la plaisanterie avant que cela n’aille trop loin. Il eut un nouveau tic en entendant la vampire utiliser le terme esclave et vint à rester un temps immobile, devenant un peu plus froid dans la voix, afin que le message puisse bien s’implanter dans le cerveau de Mélinda.

- Vous faites erreur sur une chose, maîtresse. Il est de nature qu’une servante, d’où le mot « maid », appelle ses clients et clientes par maître et maîtresse. Nous travaillons en étant bien plus dans l’état d’esprit serviteur-maitre et non esclave-maître, sans quoi ce lieu se nommerait un slave-café. Il est assez irrespectueux que le personnel soit appeler esclave, ne espérant que vous avez compris, maîtresse.

Furette espérait réellement que la vampire ait assimilé cette petite leçon. Même une « servante » pouvait réprimander une maîtresse qui  a fait une erreur, mais cela restait dans le respect du rang. Après ce petit discours, il se mit à baigner ses main dans de l’eau chaude, afin de ne pas avoir un contact froid et débutait doucement le massage. Même s’il avait pour but de faire un massage tantrique, il devait commencer  par un passage simple, afin de défaire le corps de ses nœuds de stresse et Furette put constater que sa cliente avait tout de même beaucoup de nœud. Cela voulait-il dire que Mélinda était très nerveuse ? Non, l’inconscient pouvait aussi engendrer des tensions. Il allait de bas en haut, massant les muscles, les tendons. Il se mit à parler très doucement, comme un murmure, voulant que la cliente se détende totalement.

- Vous vous sentez bien, maîtresse ? 

Furette était calme, même s'il ne pouvait rester indifférente devant un corps aussi bien sculpté. Seulement, il était au travail et avait donc la posture de serviteur, tout ce qui faisait qu'il ne pouvait que se concentrer sur le plaisir de la vampire et non le sien.

7
Furette se mit à sourire, récupérant avec respect l’argent, répondant doucement.

- Vous n’êtes pas familière avec les maid-café, je me trompe ? Nous nous adressons aux clients et clientes par maître ou maîtresse, il s’agit d’une des bases de ce genre d’établissement.

Le jeune homme se mit à avoir un visage un peu plus séduisant, son regard se faisant langoureux et sa voix plus sensuelle. Furette sentait chez cette femme cette envie de se faire la « serveuse » en face d’elle et il allait jouer dessus. Que risquait-il après tout ? Rien si ce n’est de perdre une cliente, ce qui n’était pas un grand drame vu l’affluence dans ce maid–café, d’autant que si elle n’avait pas pris soin de lire à l’accueil le règlement parlant qu’il y avait des travestis, c’était elle qui était en faute, pas lui.

- Je n’ai pas le droit de donner mon prénom pendant le service. Appelez mois Furette, maîtresse.

Il ponctua la dernière phrase avec un sourire radieux.

- Je finis le service à 23h00, n’hésitez pas à prendre autre chose si vous le désirez. 

8
Le coin du chalant / Re : Vieil homme en quête de RP
« le: mardi 11 avril 2017, 03:13:29 »
J'ai envoyé un mp, étant intéressée pour l'OS.

9
Vous nous quittez déjà ? / Re : Quelques mauvaises nouvelles...
« le: mercredi 29 mars 2017, 20:08:51 »
gg

10
Centre-ville de Seikusu / Re : Nouvelle adoption FURETTE
« le: mercredi 29 mars 2017, 18:19:37 »
Furette comprit un peu plus le fonctionnement de la bague. C’était comme un accessoire qui permet l’économie du mana, n’étant qu’un catalyseur et un réservoir. Le jeune humain se mit à sourire devant l’exemple du météore. Il faudrait être complétement idiot ou avoir un grain dans la tête pour invoquer un corps céleste capable d’exterminer une race entière et plonger une planète dans l’obscurité et le froid. De plus, cela manquait de finesse, un flingue ou une lame était bien plus pratique à utiliser. Il avait bien évidement pensé à des vêtements de camouflages, mais apprit qu’il pouvait aussi avoir des tenues magiques.  Il se mit à penser qu’il devrait tester un jour cette possibilité, mais se disait que cela serait plus tard, l’heure était plutôt à tenir compagnie à la maitresse du harem.

Il laissait Eris, une nouvelle fois, le coucher sur le lit, venant à doucement sourire en la voyant reprendre une posture dominante. Il n’eut pas de réelle réaction en écoutant la femme du désert se mettre à prévoir l’attention qu’il aurait auprès des hommes et des femmes.  Il savait que son apparence androgyne pouvait être un appât pour les deux sexe, arborant un sourire complice en entendant le terme « appétissant », il savait qu’il était une délicieuse proie et la bague allait servir à donner à cette rose quelques piquants, ne rendant Furette que plus désirable.

Mais Eris avait oublié que le jeune homme était aussi taquin, entendant la proposition et venant à répondre tendrement. 

- Si j’ai beaucoup de chose à apprendre, il ne faudrait pas que je reste trop longtemps ici. De plus Terra m’intrigue. 

Il savait que cette réponse remettrait l’instant intime plus tard, ce qui ne le rendrait que plus … sauvage.

11
Le jeune homme allait prendre la robe et vint à faire un pas en arrière en voyant la vampire saisir le tissu. Il avait vite compris que la demoiselle comptait conserver le vêtement et se mit à avoir un visage un peu gêné, comme le ferait une servante ayant fait une erreur. Conservant sa voix féminine, il se mit à répondre.

- Il n’y a pas de souci maîtresse, vous pouvez faire comme bon vous semble. Il risque cependant de sentir les huiles après.

L’humaine avait tout le plaisir d’observer le corps magnifique de Mélinda, il avait vu beaucoup de belles femmes et ne pouvait nier qu’il était légèrement influencé par la présence de ce genre de beauté.  Il vint à récupérer la culotte, qu’il mit sur un petit tabouret, où il mettait généralement les vêtements, il se mit aussi à prendre les sandales pour les mettre sous le tabouret. Furette se rendait compte que la vampire jouait avec lui, se voulant être charmeuse, seulement l’humain avait un rôle à jouer et persévérait donc dans le dit rôle.  Restant professionnel, il se mit à répondre à la question, venant à pencher à nouveau le buste.

- Normalement les clients se couchent sur le ventre, mais vous restez celle qui décidez, maîtresse.

Le sang du jeune homme était plus chaud, mais l’on pouvait sentir qu’il avait une assez bonne maîtrise de soi. Il était au travail, il ne pouvait pas agir aussi librement qu’à l’extérieur, il y avait la réputation de l’établissement entre ses mains, se devait d’être professionnel, même s’il pouvait se permettre quelques écarts. L'écart qu'il comptait faire était un massage tantrique, si la vampire voulait l'exciter, elle risquait de finir excitée en retour.

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Furette avait été appelé en urgence au maid-café, pour une raison assez simple. La gérante avait décidé de faire une journée moitié prix, ce qui voulait dire que le nombre de client allait exploser. Il était donc réquisitionné. Pour cette journée, il n’avait pas enfilé de perruque, c’était un risque de se faire reconnaitre, mais normalement tous les lycéens étaient plus occupés à travailler pour les examens qui approchaient. Il n’aurait qu’à travailler dans la soirée.  Pour le moment, il avait pris soin d’utiliser un peu de maquillage, d’avoir une tenue de maid assez courte, mais pas trop. Son objectif était d’avoir deux cent clients dans la journée. Avec les pourboires il pourrait, enfin, se payer une tenue gothique qu’il avait vu sur internet, mais qui était très cher, car fait main.

Il fut légèrement frustré de de constaté que la clientèle n’était pas présente le matin. Il aurait pu partir, mais se faire des heures supplémentaires étaient aussi un moyen d’avoir une bonne paie. Il vint donc à prendre la commande de Sophia, prenant une douce voix féminine. Il voyait que cette femme était légèrement musclée et donc partait du principe qu’une mignonne maid la ferait plaisir et serait aussi apte à dépenser un peu plus.

- un café brésilien sans lait et avec deux sucres, c’est noté maîtresse.

Furette cherchait à avoir une démarche sexy, il cherchait à faire en sorte que ses clients restent le plus longtemps possible, ce qui voulait dire une plus grande probabilité que les clients consomment plus. Une fois que la commande disponible, il saisit le café et la facture, qui était enroulé dans un petit cylindre en métal. Doucement, il vint à servir le café et se mit à poser le cylindre, assez loin pour qu’il n’empiète pas dans le champ de vision, mais pas trop loin pour que la cliente en oubli sa présence.  Il se mit à voir un sourire plus grand devant la générosité de la flic.

- Je vous remercies maîtresse.


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Le jeune androgyne subissait actuellement la perversion de l’alicorn. Il n’avait de toute manière pas le choix que de subir les assauts de la bête invoquée, le rythme premier n’étant pas assez ample pour que le corps du jeune homme se balance. Mais cela était bien avant que la magicienne ordonne à son familier de donner des mouvements de hanches plus brutale et donc moins rapide. Chaque fois que le culd e Furette claquait, sa bouche venait à prendre davantage le membre d’équidé en profondeur, cela se traduisant aussi par un recul de la tête, pour éviter d’avoir le gosier trop plein, la taille du chibre chevalin n’étant pas identique à un sexe d’homme.  Seulement le loup ne semblait pas de cet avis et Furette se mit à frémir en sentant le membre de Twilight aller de plus en plus profondément, venant à couper l’arrivé d’air nécessaire à sa survie. Il vint à arriver au moment où il était en apnée et que l’animal prenant son derrière essayait de le forcer à vider ses poumons, chose difficile, car le sexe de la magicienne semblait si épais que l’air arrivait à peine à ressortir.

Gémir se trouvait être difficile, l’humain se demandant comment le corps humain pouvait supporter une taille saillit orale. Le jeune homme se mit à avoir quelques spasmes, sentant l’air manquer, ses poumons devenant de plus en plus brulant, en pouvant ni se réapprovisionner en air ni évacuer convenablement le dioxyde de carbone qui s’accumulait dans ses deux poches d’air. Le membre chevalin semblait aller si profondément dans son corps, là où le sexe canin faisait son office, écartant toujours la petite entrée de Furette, comme le ferait un maçon avec une masse, à la bourrine.  Il se mit à nouveau à frémir en sentant sa tête bloquée par la magicienne, tentant de s’extirper de cet empalement pour ne pas mourir d’asphyxie. Il découvrait une pratique qu’il n’avait jamais expérimentée, à savoir éprouver du plaisir par le manque d’oxygène.  En effet, le plaisir de la sodomie se trouvait renforcé par l’état du cerveau qui mettait tous ses sens en éveille, le corps étant en danger de mort. Seulement la force de Furette était tout bonnement ridicule et n’arrivait pas le corps à s’extraire de cette situation mortelle. 

Les spasmes se firent plus régulier, le corps tentant des fois d’avaler le membre, d’autre fois de le régurgiter, tentant tout ce que les muscles de la gorge s pouvaient réaliser pour permettre de respirer, au plus grand plaisir de Twilight.  Furette se mettait à avoir des larmes, des larmes  de panique, il n’était plus du l’heure de jouer la comédie, mais d’éviter de mourir, pensant que l’aliicorn allait e tuer en prenant son pied, ne sachant pas si la créature avait des tendances nécrophile.  Il comprenait, un peu tard, toute la dangerosité que pouvait représenter la créature qui le dominait. 

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Centre-ville de Seikusu / Re : Nouvelle adoption FURETTE
« le: lundi 27 mars 2017, 20:13:30 »
Furette entendait parfaitement son rôle. Il ne se rendait pas encore compte de la portée qu’il pouvait avoir dans les réunions diplomatique, son côté androgyne et sa nature plutôt docile, pouvant être employé dans des négociations. Tout cela il ne pouvait clairement pas se l’imaginer, étant une personne du peuple et non de la noblesse. Par contre être un serviteur, sexuelle et non, était clairement assimilé par l’humain. Il ne fut pas vraiment flatté par les compliments, étant habitué à cela. Il se mit à comprendre qu’il y avait des notions religieuses, ce qui ne lui faisait ni chaud ni froid, la religion ce n’était pas son truc et il s’en fichait, un peu comme la politique. Il fut par contre plus intéressé par cet anneau.

Il laissait l’anneau glisse le long de son doigt, l’observant sous toute els couture. Il n’avait pas l’œil d’un bijoutier, mais savait reconnaître un ouvrage finement conçu et aussi le prix, qu’il estimait exorbitant’ pour avoir un bijou aussi bien fait, les pierres précieuse ne donnant que plus de valeur à cet accessoire. Il écoutait ce qu’Eris disait. Comme il n’était qu’un simple humain, sans aucune formation magique, il ne pouvait sentir la puissance magique, ne pouvait que croire les mots de la charmante femme.  Bien évidement il comprit aussi qu’Eris n’était pas que douce. C’est ce qu’il pensait en entendant le fait que l’accessoire serait un bon repousseur envers les nobles trop lourd.

Il prit un peu de temps pour comprendre l’atout magique que cette bague avait. Il pouvait être utilisé pour tout. S’il y avait autant de réserve, il pourrait principalement l’utiliser pour se vêtir sans avoir à dépenser un centime.  Cela voulait aussi dire économiser pour d’autres articles, mais encore fallait-il qu’il test cela, les limites. Bon, il avait compris qu’il ne pourrait pas invoquer des boules de feux, mais rien que matérialiser une dague ou un flingue, même sans balles, pouvait avoir son petit effet. 

Furette apprit que cette bague était une sorte de radar, décelant les personnes se faisant passer pour des membres de la famille d’Eris.  Il se mit à fermer un instant les yeux, faisant une sélection d’articles et d’objet qu’il avait vu sur le net, le choix était difficile, partant du principe qu’il ne pourrait l’utiliser qu’une fois. Il avait compris que cet objet était une batterie de mana et comme tout objet, se basant sur les MMORPG, il y avait une limite d’utilisation que cela soit la réserve de mana ou le nombre d’utilisation tout court.  Il vint à faire sa sélection et se mit à le modéliser dans son esprit, imaginant l’objet sous toutes les coutures, tendant les bras pour récupérer l’objet en question.  Il sentit une légère sensation de faiblesse, l’usage de la magie n’était pas aussi simple que l’on pouvait le croire, même avec un artefact.

Il put sentir quelques choses d’assez lourd tomber dans ses mains, un tissu qui était parfaitement ce qu’il avait imaginé.  Quand il ne sentit plus rien se rajouter, il rouvrit les yeux. Il s’agissait d’un ensemble. Une robe à froufrou noire du style de la renaissance, avec un diadème au niveau de la poitrine. Un serre-taille gris à bouton noire. Ainsi qu’un chapeau, d’un style plus moderne  et une paire de talon noire. Un ensemble qui ressortait des tenues lambda et qui avait un sacré charme.  Furette sentait tout de même une légère fatigue au niveau du bras qui portait l’anneau.

- Le léger engourdissement est normal ? J’avoue ne rien connaître en magie, si ce n’est ce qui est montré dans les jeux vidéo.


Furette se disait qu’il n’y avait pas grand-chose à perdre, si cette bague pouvait faire apparaître des choses, il aurait toujours de quoi se sortir de possible ennuis.

- Le marché ne me semble pas mauvais.  J’accepte de vous servir.

   

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Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: samedi 25 mars 2017, 18:15:28 »
Citation de: réponse du dessus
D'accord.

Merci pour cette réponse rapide. Souriant


Je suis de retour ( et non ce n'est pas pour jouer un mauvais tour, quoi que.) pour avoir un réponse sur la question suivante :

Si une divinité confère à un mortel un de ses pouvoirs divins, le dit pouvoir conservera-t-il sa puissance divine et sera-t-il soumis à la même facilité de restriction qu'un Esp.er classique ?

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