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Le coin du chalant / Re : On ne s'ennuie pas à Seikusu ![CHLOÉ]
« le: lundi 19 avril 2021, 16:16:41 »Bonne journée
Le coin du chalant / Le retour d'un Metamorphe
« le: mardi 06 octobre 2020, 17:42:10 »Sur Terra : c'est un métamorphe plutôt autoritaire qui gerer une cité des miracles sur des terres calcinés. Ancien scientifique, il fait de nombreuses expériences sur les humains et les habitants de terra. C'est aussi un esclavagiste... qui règne sur la plebe !
Sur Terre : il a trouvé il y a peu un poste d'assistant auprès de Mona Duval et se cantonne à un rôle d'observateur scientifique de la race humaine. Cependant.... comme tout être démoniaque il est probable que sa nature prend le dessus et qu'ils chassent ! ^^
Si vous voulez rp avec moi, je vous invite à poster à la suite. Je suis très ouvert a la discussion !
Le coin du chalant / Re : Un Rp avec une petite succube ? :3
« le: mardi 06 octobre 2020, 12:24:41 »Je peux te proposer mon personnage un métamorphe au allure démoniaque. On peut développer nimporte quel trame que tu veux à priori tous me plairait ! A ta convenance !
La trame 3 collant le plus à mon personnage !
Bonne journée
Disponible en mp ou discord
Centre-ville de Seikusu / Re : As-tu peur de travailler pour une "salope" ? [PV]
« le: lundi 05 octobre 2020, 20:24:42 »Je m'étais intégré à ces rats pour mieux les connaître, leurs uses et coutumes pouvait d'ailleurs être bien étrange. Pour rentrer dans le rang, je devais trouver un travail. Ils y avaient de nombreuses petites annonces pour des boulots tous plus variés les uns des autres. Je ne cherchais pas n'importe quoi et j'avais trouvé le job parfait ! C'était visiblement une femme qui cherchait une assistante. J'avais fait quelques recherches, cette femme était considérée par certaines personnes comme innovatrice dans sa manière d'écrire, même par moment libératrice auprès des femmes et leur sexualité. D'autres, préféré des adjectifs plus vulgaire, désignant son travail d'écriture comme abject. Je souriais de par ma nature... démoniaque... je ne pouvais qu'apprécier de voir ce genre de personne.
J'avais donc sauté le pas et pris rendez-vous avec en postulant avec un CV quelque peu léger. Mais... avec une photo de moi qui, si je ne me trompe pas sur le personnage fera son effet. Rien de provocateur, une photo sexy tout en étant professionnel. Je me souviens de ce jour, où je me tenais devant le miroir à me décider de l'apparence que j'aurais. Ce jour là, j'écoutais une émission à la radio sur les supers héros. Une des questions banales posées par le présentateur était :
« Si vous aviez un pouvoir lequel ça serait ? »
Pour commencer, j'avais déjà un pouvoir étant une créature fantastique si on se base sur les critères d'étiquetage raciale humaine. Le mot créature était quelque peu fois rabaissant. Je préférais être doué de magie, ou métamorphe tout simplement, parce qu'après tout c'est ce que j'étais. Pour revenir à la question, oui j'avais un pouvoir, une capacité, appelez là comme vous voulez. Je pouvais me transformer à volonté, adopter n'importe quelle forme physique. C'était bien plus avantageux qu'on pouvait l'imaginer.
Ce jour-là, du coup, je me tenais dans le miroir changeant d'abord simple de sexe : homme ou femme. L'égalité dans leurs sociétés humaines étaient encore à travailler. Je ne cherchais cependant pas forcément un poste haut dans l'échelle entrepreneuriale, ni une forte volonté d'évolution. J'optais donc pour une féminine. Maintenant le reste, mon corps se transformait prenant du poids, en perdant, se transformait encore et encore, changeant la couleur des différents éléments composant ce vaisseau abritant mon âme. Après de longues minutes de concertation avec moi-même je me décidais enfin pour une silhouette assez fine avec une poitrine convenable et des cheveux d'un noir corbeau me rappelant les vastes étendues calcinés autour de la cité des miracles. Mes yeux, eux, aussi été sombre, laissant presque paraître ma partie « démoniaque ». Ma peau satiné d'une couleur aussi blanchâtre que les plus froids hivers du Nord, rendait l'ensemble presque surréaliste.
J'en avais mis du temps pour me décider. Pour ce qui était des vêtements, cela avait été plus simple, j'étais parti sur un petit tailleur simple, élégant et professionnel. Qui pouvait dévoiler plus de chair, si je le souhaitais assez rapidement et facilement. Toute cette préparation avait bien pris la journée et le soir ainsi que l'heure du rendez-vous s'approcher fatidiquement. J'avais peut être une petite boule de stress au ventre... je ne sais pas si c'était dû à ma transformation en une forme physique... humaine. Les humains pouvaient être si fragiles... . Dans tous les cas, j'étais fin prêt et j'allais me rendre à l'adresse qu'on m'avait envoyée par mail de confirmation. J'attrapais mon parapluie et je sortis dehors. La pluie, autre élément dont je n'avais pas l'habitude. J'utilisais un parapluie, mais ce n'était pas si nécessaire que ça. Même si sur Terre, je n'avais pas les même pouvoirs, je pouvais encore utiliser un peu la magie. J'avais appliqué un petit sceau sur mes vêtements afin qu'ils ne prennent pas un plis, ni l'humidité. J'étais donc parfaitement sec en arrivant devant le bâtiment.
Les bureaux était facilement repérable dans le quartier. Il était posé là, entre les différents immeubles et bâtiments au style nippon, haut de ses quatre étage. Je ne comprenais pas le besoin de construire des bâtiments fait avec cet étrange matériaux appelé… béton. Je trouvais ça assez banale et moche. Je préférais dans l’architecture humaine, ce qu’il appelle le gothique. Je ne savais pas si c’était mon hubris ou juste que je trouvais jolie cette ornementation exubérante. Je soupirais un peu avant d’entrée dans le bâtiment. A l’accueil, une dame. Elle paraissait assez vielle et pas fortement agréable. Je me présenta brièvement.
« Bonsoir, j’ai rendez-vous pour passer l’entretien d’assistante de Madame Duval. »
— Votre prénom, s’il vous plait ?
— Merci vous aussi… Lucianne. »
Visiblement cette dame passait une mauvaise journée et je prenais pour la personne qui l’avait énerver. Ce que j’aime pas faut dire… Mais j’étais pas là, pour faire des vagues. Après avoir vérifier mon nom dans l’agenda et avoir passer un coup de fil. Elle me donna des consignes pour rejoindre le bureau où se passerait mon entretien. J’avais le choix entre les escaliers ou l’ascenseur. Vu que je devais me rendre au 4e étages et que j’étais en talon, mon choix se porta sur le dernier. J’arrivais devant le bureau et toquai en attendant qu’on me dise de rentrer.
Madame Duval m’ouvrit la porte du bureau. La pièce était tout à fait agréable. L’aspect ancien me rappelait un petit peu mes ateliers. Le bois brut et des sièges confortables. Mona Duval avait de bon goût en terme de décoration intérieur. Un petit coin, sûrement, destiné à accueillir ses rendez-vous était tout à fait cozy. Une petite table basse qui accueillait des macarons dans une boîte. Ce n’était pas quel macaron, je reconnaissais le drapeau, bleu..., blanc..., rouge.. la France ! J’avais fais un voyage là bas pour goûter leur gastronomie reconnu mondialement.
« Bonsoir, entre seulement. Cela ne te dérange pas si on se tutoie ? »
Non ça ne me dérangeait pas. Je fis un petit signe de tête timide. Je voulais un peu joué le jeu de la jeune effarouché perdu pour voir quel caractère cette jeune femme pouvait bien avoir. Elle me tenait la porte. Je baissais légèrement les yeux, faisant changer ma peau de manière presque imperceptible, pour laisser paraître un rougissement de ma part au vue de ce qu’elle venait de cacher en remettant son col de robe.
« Prends place où tu le sens. »
Intrigué par la grande bibliothèque, je me dirigeais instinctivement vers cette dernière n’écoutant déjà plus vraiment ce qu’elle me disait. C’est vrai qu’elle était écrivaine. Est ce que tout ces livres sont à elle ? Je me retournais, par respect, dans sa direction quand elle me parlait de Sayako. En y repensant si… j’étais l’assistante de Madame Duval. Sayako serait techniquement sous moi dans l’échelle hiérarchique. L’idée me plaisait. A voir comme je pourrais tourner cela à mon avantage surtout si Mona Duval ne l’appréciait pas forcément. Je venais de réaliser que je n’avais pas tout écouter à ce qu’elle avait dit à propos de cette pauvre dame. Je hochai de la tête malgré tout. Je fini par m’asseoir devant elle sur un des canapés. A ce moment là, Sayako vient poser les tasses et un plateau avec du sucre et de la crème. Elle finit par sortir dans une tension presque palpable entre les deux femmes.
« Pourquoi as-tu décidé de postuler ? Et est-ce que tu sais ce que va impliquer le poste d’assistante ? Tu as sûrement entendu parler de moi et de ma vie. Je suppose que tu sais que je ne suis pas facile à vivre. Un magazine m’a qualifiée de « petite salope effrontée et capricieuse ». Je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer. A dire vrai, j’en ai beaucoup ri. Est-ce que tu te sens de travailler pour une salope ? »
Je me penchai légèrement, laissant tomber une mèche sauvage devant mes yeux, pour attraper un macaron. J’en attrapais un qui selon la carte de la boite était à la cerise. Le petit gâteau était d’un rouge vif de la même couleur que le rouge à lèvre que je portais. Le centre quant à lui était plus foncé. Je mordis dedans avant de le déposer sur le rebord de ma petite coupelle de tasse. Je poussais un petit soupire de plaisir, presque sexuel en fermant les yeux. Je réalisais que je n’avais pas encore pris la parole depuis que j’étais arrivé. Je finis donc par répondre à la question qu’elle m’avait posé.. enfin presque.
« Vous savez, j’ai fréque… je veux dire je connais de nombreuses femmes à travers l’histoire qui comme vous, on était jugé par toutes sortes de sobriquet tous plus original les uns que les autres. Pourtant ces dernières avaient bouleversé les domaines dans lesquelles, elles étaient expertes. L’importance n’est pas le regard que les gens vous porte, mais le regard que vous avez sur vous même. Est-ce que vous vous considérez comme une… salope… »
Sur ces derniers mots, j’avais énormément de sensualité et sexualité, même dans ma posture comme pour la provoquer. Je baissais la tête réalisant la profondeur de ce que je venais de dire. Mon réel moi, avait pris un peu le dessus, mais j’avais envie de jouer sur cette ambivalence. Je rougissais en secouant la tête. L’aura que je dégageais entre le moment où j’avais pris la parole et maintenant était volontairement bien différente. Montrant d’un côté une femme sur d’elle et ferme presque autoritaire, qui faisait presque la morale même à Mona. Et de l’autre se trouvait une femme timide, moins sur d’elle, presque soumise même à Dame Duval.
« Excusez-moi, je voulais pas vous manquez de respect... »
Je me cachais mon visage de mes fines mains aux longs doigts pour camoufler un léger sourire. J’étais rouge pivoine, même mes oreilles dépassant de ma masse de cheveux coiffé mais sauvage était toute écarlate. Je me demandais comment elle allait réagir. Est-ce qu’elle allait s’offusquer ? Venir chercher le contact et me rassurer ? Je me demande bien… Quel aspect d’elle, allait-elle me montré ? Je venais de réaliser aussi que dans ma réponse, j’avais même trahis mes origines très anciennes… Est-ce qu’elle allait le relever ?
Le coin du chalant / Re : Tu viens jouer avec moi ?
« le: mardi 08 septembre 2020, 20:17:56 »Le coin du chalant / Re : Tu viens jouer avec moi ?
« le: mardi 08 septembre 2020, 17:49:52 »Suite à une grande absence de ma part. Je compte reprendre le rp tout doucement et tes propositions me conviennent beaucoup. J'ai pas beaucoup développé l'aspect Terre de mon personnage. Et du coup j'aimerais bien le faire, du coup je viens vers toi car pour s'intégrer sur Terre pourquoi pas travailler pour quelqu'un ! Si ça t'intéresse je suis dispo discord ou mp !
Bonne journée
One Shot / Re : Plus d'obstacle à la violence humaine [PV]
« le: jeudi 27 septembre 2018, 10:32:42 »Je grimpais sur un arbre pour avoir une meilleure vue. L’ascension fut assez aisé. J’avais l’habitude de faire ça maintenant. Je m’installai sur une branche épaisse. J’attrapai la longue-vue accroché à ma ceinture, puis la portai à mon oeil. A cause de la végétation relativement épaisse, je pris du temps avant d’arriver à la retrouver. Elle essayait de fuir vers ce qui ressemblait à une grotte. Elle devait bien connaître la région. Il y avait deux possibilités, ces grottes étaient un réseau de tunnel et elle pourrait très bien me perdre à l’intérieur. Ou c’était une seule grotte et espérait me combattre en face à face. J’avais un grand doute sur la dernière possibilité. Si elle se dirigeait vers là bas, c’est qu’elle pensait que son salut y était. Elle était encore suffisamment près.
Je décrochais l’arbalète de mon dos. Je l’avais un peu modifier. Elle avait une longue vue fixé qui servait de viseur. Les carreaux étaient plus fin. Ce qui permettait d’accélérer leur vitesse. Elle avait certe une moins bonne pénétration dans les armures, mais ce n’était pas le but. Je plongeai ce dernier dans un tranquillisant liquide. J’encochai le carreau et visa. Je prenais mon temps. Je n’avais qu’une chance pour la toucher et ne pas la tuer. Je visais la jambe, cuisse ou talon. Je ralentis mon souffle et tira ! Le carreau vola entre les arbres et vient entailler assez fortement la cuisse de Narmacille. Zut ! J’espérais lui planter le carreau dans la jambe. Mais le tranquillisant que j’avais mis sur le carreau devrait faire effet. Dans mes souvenirs c’était une soigneuse. Elle saura surement comment réagir à ça. Mais ça la ralentit ! Et je pourrais la pister avec le sang. Je descendis de mon arbre et commença ma traque. J’espérais qu’elle allait m’amuser un petit peu.
Les terres sauvages / Re : La caravane à Sylvandel (Pv)
« le: jeudi 27 septembre 2018, 10:09:49 »“ Bien le bonjour. Créature ? Ou Dame ? Comment dois-je vous appeler ?.. Bâtard du démon peut être ? ”
Je n’avais pas pu m’empêcher cette petite attaque orale contre la succube. De toute façon, j’avais sûrement assez pour acheter son consentement. Je soupirais et fit signe que ce n’était que boutade. Mes gardes posaient le coffre rempli d’or sur la table. Je l’ouvris légèrement, pour que seulement la succube puissent voir ce qu’il y avait à l’intérieur. Le coffre était plein à craquer. Quelques pièces tombaient même sur la table au moment où je l’ouvris.
“ Offrait moi ce qui y a de mieux dans cette caravane. Je veux le meilleur. Et vous serez riche. ”
Je refermais le coffre d’un coup sec après ma phrase et fit comprendre que si je n’étais pas satisfait, la moitié de cet or pourrait très bien repartir avec moi.
One Shot / Re : Portes Célestes [PV]
« le: jeudi 27 septembre 2018, 09:50:45 »“ On ira chasser au crépuscule. Les animaux commenceront à sortir. Ca sera plus simple. Je connais la montagne comme ma poche. Il y a de nombreux danger. Tu devras m’obéir. Ca sera pas trop dur pour toi ? ”
Je soupirais en effet, à mon avis elle ne connaissait pas les montagnes enneigés d’Estasia et ça pouvait être danger pour une personne ignorante : créatures en tout genre, crevasse, zone glissante et j’en passe. Soudain elle avait commencé à observer la maison et me demanda curieusement à quoi servait cet endroit. C’était vrai.. ce n’était pas qu’une simple maisonnette perdu en pleine montagne. J’avais grandi ici, seul et il m’avait fallu battre mes ombres.
“ C’est ici que je suis devenu un Berserker. C’est une maison qui appartient à ma famille depuis longtemps. Dans mon peuple, et plus précisément dans ma Maison.. enfin tribu si tu veux selon vos coutumes, les plus braves ont l’honneur de devenir des valeureux guerrier. Il en existe très peu. C’est un honneur que la nature nous accordent. Au final ça ressemble un peu à vos traditions.”
Je montrai mon dos révélant une marque de naissance ressemblant vaguement à une patte d’ours.
“ Dès la naissance, je fus destiné à devenir un berserker. Mon père m’a donc amené à mes dix ans dans cette maison avec un simple morceau de pain et un couteau. ” Je soupira, relâchant mon haut cachant le dos. “ Je n’avais pas droit de revenir à la maison avant de dompter un ours. Chaque soir, l’Alchimiste des Montagnes venait me rendre visite pour me faire boire des mixtures dont il est le seul gardien. C’est un homme qui ressemble à vos chamans. Je te conseille de ne pas rôder vers chez lui en haut de la montagne. Les potions ont transformé mon corps, me rendant plus fort, plus résistant. Mais pour cela, j’ai dû subir le martyr. Mourir pour renaître. ”
Je n’avais pas pu m’empêcher de sourire quand elle avait dit qu’elle pourrait élever des louveteaux ici. Finalement elle s’était peut être fait un raison sur sa situation. C’était une bonne chose. Puis après on avait fini dehors. Je secouai la tête revenant un peu à la réalité des choses. Je tendis la main sur son visage pour essuyer une larme sur sa joue. Elle souriait baissant légèrement les yeux. Avec le recul des événements, je ne pouvais pas ignorer la beauté de cette femme. Je m’étais assis en tailleur sur le sol et j'affichai un regard surpris la voyant se mettre à quatre patte les mains sur mes genoux. Elle vient ensuite glisser ses mains froides dans mon dos. Je sentais des perles de glace fondu coulait sur ma peau. J’avais pris l’habitude de ce froid dans ces montagnes, mais je ne pus m’empêcher d’avoir un petit frisson. Les idées se bousculaient dans ma tête et j’avouais ne pas être insensible au charme qu’elle me faisait. Je ne comprenais pas alors que la veille, elle ne voulait absolument pas le faire. Elle enroulait ses jambes par dessus les mienne en ignorant la neige qui tombait doucement sur nous. Ma main glissait doucement sur le tissu qui couvrait ses jambes pour remonter vers le bassin. Son ventre commençait à effleurer le mien. Son regard était plongé dans le mien alors qu’elle se mordait les lèvres. Je rêvais ? Ou est-ce qu’elle avait fini par succomber à mon charme ? Bizarrement j’en doutais fortement ! Mais j’étais persuadé ne pas rêver. C’était son.. passage au croc noir qui l’avait transformé ce point ? Si c’était le cas, j’avais presque une fierté à ce qui arriver. Ma deuxième main glissa dans son dos se creusant pour coller sa poitrine contre mon torse. Mon souffle était calme et long. Je profitais de chaque instant. Ce ne serait pas raisonnable.. ? Pourtant elle posa ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser. Je m’allongeais dans la neige lui laissant le contrôle qu’elle avait besoin de ressentir. Je ne sais pas si elle était pleinement consciente de la situation ou si c’était un autre facteur qui l’a rendait comme ça. Mais le fait de lui donner la sensation de dominer la situation était une bonne idée. Ma main froide et légèrement humide avec la neige qui avait fondu dessus, glissait sous sa chemise avant de venir caresser du pouce la courbe sous son sein. Alors que ma deuxième main glissa dans son pantalon en passant pour le ventre pour venir caresser le contour du sexe de la jeune femme.
“ On ne peut pas savoir avant de l’avoir testé… ”
Les terres sauvages / Re : La caravane à Sylvandel (Pv)
« le: lundi 03 septembre 2018, 20:49:28 »Très rapidement, je fini par arriver au niveau du cercle formé par les caravanes. La nuit tombait déjà et les longues torches plantés dans le sol commençaient à éclairer les toiles de couleurs écarlates. De la musique vient caresser mes oreilles au fur et à mesure que j’avançais vers elle. Il y avait presque un aspect magique à tout ceci, je me faisais envoûter. Et la suite, n’allait pas me laisser sur la faim. J’arrivais enfin au niveau de l’ouverture du cercle. Il y avait des filles de joies en cage, qui attiraient les jeunes hommes et femmes. L’ambiance était enivrante. Je posais pied au sol. J’enfonçais ma main droit dans mon gant à l’aide de mon autre main. J’avais la tête haute regardant les péquenauds salivant devant les cages. Je demandais à un garde de détacher le coffret et de me suivre pendant que les autres surveillaient les chevaux.
Je ne portais pas d’arme. D’ailleurs le garde qui portait le coffre n’avait pas d’arme aussi. Ce n’était pas un problème car les armes n’étaient pas autorisé dans l’enceinte des caravanes et même les mercenaires ou brigand respecter ça.