Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Marie Anne

Pages: [1]
1
~~ Marie Anne ~~

Je ne pouvais que constater le bazar que San avait mit, tout le bureau, bien ordonné vint à devenir identique à mes longue séances de révision le soir.  Mais autre chose vint à attirer mon regard, quelque chose venait de glisser vers mes jambes, instinctivement, je vins à faire quelques pas en arrière pour voir ce que c'était. Ils me fallut cinq seconde pour que je décroche de la photographie et que je devienne aussi rouge qu'une tomate. Je ne savais pas trop quoi faire et San semblait redevenir nerveux envers cette femme.  Je ne pouvais dire si ce que j'avais vue sur la photographie était mal ou non, beaucoup de chose me traversait l'esprit, je voyais pourtant bien que ma prof de math était visiblement du genre à faire l'amour avec des élève de notre lycée, mais j'avais du mal à pouvoir articuler quelque chose.  Je vins à serrer San un peu plus fortement contre moi. Nous connaissions toute les deux un secret de l'autre. J'aurais certaine dû imposer ma demande en usant de cela, mais ne pouvais me résoudre à utiliser le chantage. Je ne pouvais blesser cette femme qui avait certainement de quoi me rendre la pareil et bien plus encore. Le silence devint rapidement pesant et San vint à miauler, comme pour briser ce poids pesant. Je vins à prendre une profonde inspiration, mais ne pouvais regarder Ichtora-senseï droit dans les yeux, j'étais trop gênée pour pouvoir faire cela.

- Je ne ... je ne dirais rien.


Je ne pouvais continuer ma phrase, pas de chantage. J'étais gênée, mais aussi un peu envieuse, ce n'était pas claire dans mon esprit, à vrai dire je ne savais pas trop quoi faire ensuite. Devais-je quitter la pièce ? rester ? Je ne savais pas et cette indécision me faisais peur, venant à trembloter. Allait-elle être comme les infirmière de l'hôpital, chercher à m'étouffer ? Allait-elle agir comme la femme qui m'avait sortie de cette cage aseptisée ?  Je ne pouvais retenir quelque pas en arrière, venant à sursauter en sentant la porte derrière moi. J'étais inquiète sur la suite. Je devais protéger San de toute danger, si cette femme devient violente, je n'aurais qu'à fuir à toute jambe. Fuir était une solution viable, vu que j'étais très douée en sport.  Je me sentais comme une brebis devant une louve, tremblante de peur.

~~ Sanaël ~~

Elle voulait me chasser, mais j'étais prête à mordre cette maudite créature. Sa beauté ne laissait aucun doute sur la nature de ce démon, une succube, bien que son odeur soit plus discret, une spécificité de se monde ? Sans doute. Cela n'empêchait pas cette femme d'être une créature indigne de ma maîtresse. Mon regard vint à croiser la photo, ne faisant que confirmer la monstruosité de ce démon. Je ne pouvais croire que cette photo soit laissé comme ça, sans arrière pensée, elle n'aura pas ma maîtresse, c'est à moi de prendre sa pureté et de devenir son amante, pas une créature engloutit dans la luxure.

Je vins donc à sauter au sol, me mettant entre ma maîtresse et ce démon, continuant à feuler et faire le dos rond. Ma maîtresse semblait indécise. C'était normale, elle n'avait plus souvenir de ses péripéties amoureuses, de ses nombreuses orgies, de son esprit libertin. Elle était actuellement dans un état de faiblesse et donc je me devais de la protéger de cette odieuse créature.

2
~~ Marie Anne ~~


Je passais la nuit sur le livre de mathématique. San étant à côté, semblant regarder les écritures, mais il ne pouvait pas comprendre les mathématique, tout comme moi. Je n'avais aucun soucis quand les problèmes étaient simple ou se basait sur des grammages, mais lorsque cela se compliquait trop, mon cerveaux fumait et je n'y arrivais pas. Je passais donc ma seconde nuit après ma rentrée scolaire, à essayer de résoudre les questions mathématiques. Je vins à me réveiller à la sonnerie de mon réveil, la tête contre le livre ... je m'étais encore une fois endormie sur le livre. San était à côté de mon visage, dormant tranquillement.

Je pris une douche, San me rejoignant. Je ne trouvais pas bizarre que ce chat aime l'eau et j'en profitais pour m'occuper un peu de lui, pour qu'il est toujours un bon poil et ait une odeur spéciale par rapport aux autre chats. C'était mon compagnon et je devais avouer que si j'ai voulu m'éloigner de lui la première journée d'école, je n'en ai éprouvé que plus de malaise. Dès lors je l'emmenais avec moi, il était intelligent pour signaler ses besoins sans que les autres camarades de classe ne le découvre. J'avais lu le règlement et savait pertinemment que les animaux n'étaient pas accepté, même si San était très silencieux, affectueux et propre, il restait, aux yeux des autres, un simple animal.  Je me demandais des fois si San était plus intelligents que les autres chats, il savait ouvrir les portes, il se tenait bien dans le sac de cour, ne miaulait que lorsque j'étais très proche ou seule. Il avait quelque chose en plus, sans parler qu'il m'arrivait le midi de m'enfermer dans une salle et jouer avec, lui parlant comme une personne l'aurait faire avec une autre.

Je fis le repas du matin, gardant un oeil sur l'heure. J'étais encore un peu chamboulée par le changement de rythme. Là où j'avais une journée rythmé par les infirmières, je devais prendre un autre rythme. Je pouvais passer ma nuit à dormir en toute tranquillité, mais aussi ... je devais me lever, me laver, m'habiller, manger, aller en cours. Prendre les cours avaient été un peu difficile. Les enseignants parlent si vite, les autres élèves semblant trouver ça normal. Je n'étais pas habituée à écrire, mon écriture étant de ce fait lente et assez illisible.  On m'avait donné cette nouvelle vie, je devais tout faire pour réussir. J'avais vite assimilé que le niveau d'étude définirais mon futur travail et que plus je serais loin, plus San et moi pourrons avoir une vie paisible.  Une vie paisible ... cela semble être un rêve.

Une sonnerie vint à m'avertir que je devais aller en cours. Je vins à saisir San et regarder sans ses yeux.

- Allez San, on va passer une autre journée ensemble. Ne fait pas de bruit, ok ?


Il me répondit par une petit miaulement et son regard si mignon.  Je le mit dans le sac de cours, faisant attention à ne pas lui faire mal et nous partîmes pour le lycée.

Le chemin était sûr et calme, cela ne le serait plus une fois dans l'établissement. Je n'étais pas intégrée à la classe, d'une part car je n'en avais pas envie, d'autre part car on me regardait d'un mauvais regard, le même que certains médecin ... une fille bénie ... une fille mystérieuse ... une fille anormale.  Les cours vinrent à se succéder, jusqu'à ce que le cours de math arrive. La professeur était très belle et semblait être le genre de femme à pouvoir venir en aide envers ceux qui le demande. San vint à s'agiter dans le sac. Cela faisait la troisième fois qu'il réagissait comme ça en math, il y avait-l quelque chose qui le déranges ? Je ne pouvais pas savoir ce qui lui passait dans la tête. J'avais l'habitude de glisser discrètement ma main dans le sac, pour le caresser et le calmer.

Une fois les cours fini, je vins à me diriger vers la salle des enseignants, venant toquer doucement avant d'entrer. Par chance la prof était présente. Je vins timidement vers elle.

- Excusez moi senseï ...

J'attendais qu'elle tourne son regard vers moi et, encore une fois, je fus éblouie par cette beauté. Je me reprit très vite, bien que sentant mes joues devenir chaude.

- Je souhaiterais savoir s'il était possible d'avoir des cours supplémentaire ... Je ne suis pas douée en math et j'aimerais m'améliorer.

San vint à sortir du sac en étant très agressif, j'eus un temps de blanc, avant de le saisir pour essayer de le calmer.

- Désolée madame, d'habitude il est calme et gentil. Vous pourriez ne rien dire aux autres, je n'ai que lui et sa présence m’apaise.


~~ Sanaël ~~

Nyaaaa ! Que c'est bien de pouvoir vivre toute seule avec ma maîtresse, sans avoir des humains pour nous déranger. J'avais été très peinée d'apprendre que le premier jours de sa sko ... skolarité  elle était partie sans moi. J'avais été tellement furieuse ce jours-là que je suis sortie de la demeure pour me venger sur le premier humain qui passait entre mes griffes. Je me suis bien amusée avec lui qui criait qu'il n'en pouvait plus et que je lui montrait qu'un humain pouvait être une bête de sexe.  Heureusement ma maîtresse est revenue le soir et prit la mauvaise habitude de lire des ouvrages. Dans ce monde les livres semblent assez facile d'accès. Je pus comprendre rapidement les mathématique, contrairement à ma maîtresse qui gardait sa difficulté à apprendre autre chose de l'alchimie. Elle que l'on disait être une grande alchimiste avait passé sa vie dans les livre pour avoir ce niveau.  Elle devait tout apprendre par elle-même et ne supportait pas de ne pas comprendre. Haaa ! Elle est si adorable quand elle se torture l'esprit pour devenir plus intelligente. Dommage que prendre mon apparence semi-humaine risque de la choquer et de l'effrayer, sinon je serais capable de faire comprendre à quoi rime tout ses chiffres et ses signes. 

Une chose venait gâcher cela, une odeur infecte, une odeur de démon. C'est pour cela que j'ai tant insisté pour venir le deuxième jours, pour déceler l’être immonde qui avait souillé de sa présence, ma divine maîtresse. Je ne pouvais pardonner à ses êtres, je ne pouvais laisser ma maîtresse se faire corrompre et la perdre. Je suis la seule et l'unique créature à pouvoir toucher le corps de ma maîtresse.  La deuxième journée, je pus aisément savoir le ... enfin la coupable. Une femme qui se disait être l'enseignante de mathématique. Ma haine fut tellement dirigé vers elle que les murmures dégradants envers ma maîtresse semblaient presque être inaudible. Mais ils ne perdent rien pour attendre, on ne traite pas ma maîtresse de monstre ou de fille anormale sans craindre la vengeance de sa compagne. Heureusement que ma maîtresse me caressait, sinon j'aurais certainement bondis sur cette mégère pour en faire du hachis.

Je fus surprise lorsqu'elle se dirigeait vers la salle des enseignants, l'air empestait l'odeur de cette diablesse et je ne pus supporter qu'elle demande de l'aide à cette femme. Ma maîtresse n'avait pas besoin d'une école pour apprendre, aussi je vins à bondir du sac et atterrir sur le bureau, regardant cette femme en hérissant le poil et en grondant.  Mais je vins à me calmer, regardant ma maîtresse avec un visage presque larmoyant, poussant un miaulement. Elle ne comprenait pas que cette femme était mauvaise ?

3
Les alentours de la ville / Re : Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]
« le: vendredi 08 janvier 2016, 15:08:47 »
~~ Marie Anne ~~

Je restais sur la défensive, cette femme venant à continuer de parler. Je ne pouvais dire pourquoi, mais je semblais ressentir que cette femme ne me mentait pas, ses propose semblait si sûr. Non, non, non, ne te fais pas avoir, attend de toute entendre.  L'école je savais ce que c'était, un lieu pour s'instruire et forger son avenir. Je ne pouvais dire comment je savais cela. Elle vint à souligner que je ne pouvais être heureuse ici, cela me faisait plaisir, étant l'unique personne ayant fait cette remarque, même si parler de son passé me fis mal. Je n'avais aucun souvenir de moi et apprendre la vie des autres me faisait toujours un pincement au coeur.

Est-ce que je suis envieuse des autres ? Dire le contraire serait me mentir à moi-même.

Shelly vint à présenter les faits, j'avais pleinement conscience que si je restais ici trop longtemps j'en deviendrais folle. Il fallait que je pense davantage au bien-être de San, lançant un nouveau regard vers lui. Comment pourrait-il vivre sans moi, sans ma présence ? Nous ne nous connaissions certainement pas, mais nous étions tous deux à l’épicentre du tremblement de terre, nous avons subi le même événement ensemble et nous ne nous sommes pas lâché. Je ne désire pas que San dépérisse si je venais à disparaître.   J'en avais conscience, mais les mots ne sortaient pas de ma bouche, les laissant enlacer mon coeur de plus en plus fort.

La suite vint à me rendre pâle. Je n'avais rien de spéciale, j'avais juste été chanceuse pour n'avoir que des blessures légères et qu'aucun bâtiment n’atterrisse sur San et moi. Ce qu'elle disait avait sens, le fait que l'on ne veuille pas que je sois avec les autres. Sans doute pensaient-ils que ma "spécificité" pouvait être transmit aux autres patient et que San était déjà contaminé. Je frémissais à l'idée de ce qu'ils pouvaient faire à mon compagnon d'infortune.

Mon corps  n'arrêtait pas d'avoir des tremblements, je me sentais suffoquer, écoutant avec difficulté la suite. Ma proposition de choix n'en était pas une, qui pourrait supporter. Je n'avais pas le choix, pour le bien-être de San et le mien.  Aussi je pris la pause pour qu'elle puisse prendre une photo. Après le bruit de l'appareil, je vins à me plier en avant, mes tremblements se faisant plus intense, le son qui sortit de ma voix était comme si on m’étranglait à chaque syllabe.

- Aidez-nous ... Pitié.

Mes larmes ne pouvaient être contenues davantage. Tout ce que j'avais intériorisé en moi se relâchait d'un coup, ne pouvant en supporter plus. J'entendais San miauler, mais ne pouvais rien faire. J'étais prête à tous pour que nous puissions sortir de cette cage.


~~ Sanaël ~~

Voir ma maîtresse ainsi me fait tellement plaisir, heureusement que je ne suis pas sous ma forme semi-humain, sinon nulle doute que je serais toute mouillée. Un avantage d'avoir une apparence animale.  Mon plaisir était cependant gâché par une présence amère. Cette femme, bien que cherchant visiblement à nous faire sortir, était bien trop familière envers ma maîtresse. Une bonne relation ? Tout le monde sait où les bonne relations peuvent mener et il est hors de question qu'elle fasse de ma maîtresse sienne.

Le plus drôle était que je possédais toute les réponses aux questions posée et quand à la spécificité de ma maîtresse, je doutais franchement que la médéquine soit suffisamment puissante pour déceler la pierre philosophale dans l'âme de ma maîtresse. Certes, ils ont put remarquer une cicatrisation rapide, mais jusqu’à maintenant ils n'ont pas chercher à sectionner un membre et le premier qui tenterais cela se ferait arracher la gorge avant de passer à l'acte.

Avoir un endroit où loger était tentant et je ne pouvais m'empêcher de rire intérieurement devant les difficultés future de ma maîtresse. Il était vraiment dommage que je doive garder cette apparence, sinon j'aurais put me rendre encore plus indispensable et être son seul et unique amour. Quand je repense à la dernière déclaration qu'elle m'a faite, je ne peut m'empêcher de frissonner de plaisir.

Quand le bruit de la petite machine tenue par l'humaine vint à résonner ma maîtresse fondit en larme peut après en suppliant cette femme de nous aider. Je vins à garder mon rôle, non sans avoir une pensée assassine devant cette femme qui avait fait pleurer ma précieuse maîtresse.

4
Les alentours de la ville / Re : Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]
« le: mercredi 06 janvier 2016, 03:52:56 »
~~ Marie Anne ~~

On vint à toquer à la porte. Je n’espérais aucune visite, alors cela devait être encore une infirmière qui désirait faire une prise de sang, pour le donner à analyser. Je pensais en avoir beaucoup et la crainte d'avoir une maladie incurable me traversait toujours, un temps l'esprit. Avant que la porte ne souvre je plaçait mon dos contre la tête de lit, prenant une position assise, mes jambes totalement détendue. Cela ne devrait pas prendre plus de cinq minutes, dix s'il s'agit d'un médecin qui soulignait que j'allais mieux mais que je ne pouvais pas être libre. De toute manière je n'avais pas le souvenir d'un quelconque foyer où aller. Je déprimais chaque jours un peu plus, comprenant le sentiment des oiseaux en cage, voyant le ciel sans pouvoir y voler.

Je ne pris pas la peine de tourner la tête vers la porte, à quoi bon, voir les mêmes têtes, entendre les mêmes voix, faire les mêmes gestes.  J'eus un sursaut en entendant une voix qui m'étais inconnue, tournant mon visage vers cette nouvelle personne et je ne pus bouger. Elle était très belle, mais ce qui me fascinait le plus était certainement son regard la couleur de ses yeux, un vert mélangé avec davantage de jaune, un regard presque félin.  Elle vint à se présenter. Shelly Gardener ... à la façon de dire le nom, elle semblait maîtriser d'autres langues que le japonais.  Elle se désignait aussi comme une enseignante à une école de la ville.  Je clignais les yeux d'incompréhension, pourquoi une enseignante venait me voir, j'étais une de ses élèves.

- Marie Anne ... c'est mon prénom.


Elle vins à porter son regard vers San et j'eus un frisson, quand elle vint à demander s'il était à moi ou s'il me suivait, je ne pus retenir une réponse légèrement agressive. San avait eu à peine le temps de renifler la main que je l'avais déjà saisi pour le coller contre moi. Il était mon seul ami et je ne voulais pas qu'il m'abandonne parce que cette femme inspirait la confiance. Le chat vint à miauler d'inquiétude  et je le caressais machinalement pour le calmer.

C'est alors qu'elle me proposait de me sortir d'ici, je vins à figer mes gestes, comme si le temps avait stoppé mes muscles.  C'était trop gros, une farce ? C'était possible, le personnel n'aimait pas San, il était tout à fait possible qu'il veuille me séparer de mon chat pour avoir un tracas de moins. Mon coeur me faisait mal, il battait vite, je ne pouvais dire si c'était un faux-espoir ou de la colère face à cette farce de mauvais goût.

- Je ne vous crois. Les médecins ne veulent pas que je sorte de cette pièce ou me mettre dans une salle commune, comment il pourrait bien laisser San et moi sortir d'ici ?

Le chat vint à nouveau à miauler et me concentrait sur lui en le caressant et en disant.

- Ne t'inquiète pas ils ne te séparont pas de moi.

~~ Sanaël ~~

Mes griffes n'étaient pas sortie, pas besoin de blesser ma maîtresse devant cet élément nouveau et potentiellement hostile. Lorsque la porte vint à s'ouvrir j'esquissais mentalement un e grimace. Elle était humaine en apparence et terriblement séduisante, le genre à ne pas laisser ma maîtresse indifférente, c'est ça quand on a passé son enfance entourée de femme d'une grande beauté. Je ne pouvais prendre le risque de me montrer hostile devant ma maîtresse. Après tout un chat ce n'est pas un être aussi complexe qu'un humain ou une créature au même niveau intellectuel.  Je notais les informations qu'elle donnait, son nom et son prénom.

J'avais comprit que sur Terre l'identité d'une personne était définie de cette manière. Elle vint à parler d'enseignante dans une ékole. Je pus deviner qu'il s'agissait d'une femme pouvant transmettre du savoir, bien que sur Terra, ce rôle soit réservé, la plupart du temps, à de vieux hommes.  Son regard vint à se porter sur moi et je pris immédiatement un air légèrement craintif, avançant très lentement vers la main tendu pour renifler. Aucune trace d'odeur bizarre, sauf celui du ... sssavhon. Ma maîtresse vint à me saisir, j'étais un peu surprise, trop concentré face à cette intruse. Je vins à tendre mon regard vers ma créatrice en poussant un miaulement mignon, feignant l'inquiétude. Après tout on pouvais supposer, d'un point de vu spirituel, qu'elle était ma maman. 

Mais très vite je ronronnais. Ma maîtresse était toujours aussi craintive d'être toute seule et ne pouvait se passer de ma présence. Que demander de mieux pour le moment ? Une opportunité de sortie ? J'avoue que ma maîtresse avait clairement besoin de prendre l'air, de sortir. Je la connaissais très bien, trop longtemps enfermé, elle risquait d'avoir des pensée suicidaire et ce serait dommage vu son magnifique corps. Elle s'empressait de ses cabrer, poussant de ce fait un autre miaulement du fait que ma "maman" s'énervait.

Ha maîtresse ... toujours aussi mère-poule avec moi. Ce qui n'est pas pour me déplaire.

5
Les alentours de la ville / Bienvenue dans le monde réel [PV Naisho]
« le: mardi 05 janvier 2016, 23:26:23 »
~~ Marie Anne ~~

Je me suis réveillée à l'aurore, comme tout les jours. Cela était devenue rapidement une routine, me lever, observer le soleil se lever à travers la fenêtre, mettant le feu au ciel. Je trouvais cela magnifique, comme si cela donnais naissance à ce paysage que je voyais.  Mon état étant hors de danger, les médecins m'avaient placé dans une chambre, seule. Enfin seule non, il y avait San. Il ressemblait à monsieur le chat dont j'avais rêvé et je l'avait baptisé San ... même si je ne sais pas pourquoi ce nom m'est venu en tête. C'était mon seul compagnon dans cette pièce, faisant le pitre quand je n'allais pas bien, comme s'il arrivait à voir en moi.

Même si c'était vrai, je n'aurais pas été effrayée, car si les médecins et les infirmières sont très gentils, il est le seul à rester près de moi et s'inquiéter.

L'air aseptisée et les murs me sont désagréable, j'ai la sensation d'être dans une cage et cela m'oppresse.  Plusieurs fois j'ai demandé à être dans une chambre commune, mon état le permettant. Mais à chaque fois le même refus m'a été exposé "Il vous faudra vous séparer du chat, pour la santé des autres patients". Bien sûr je ne pouvais me séparer de ce chat. Il était la première chose que j'ai vu en me réveillant et aussi une source pour ne pas stresser.

Je n'avais pas grand chose à faire pendant la journée, si ce n'est attendre dans mon lit. Je  n'obéissais pas, venant des fois à me lever, marcher un peu et ouvrir la fenêtre pour profiter de l'air extérieur. J'avais une magnifique vu sur le petit parc, me donnant presque envie de m'enfuir pour aller me balader dedans et profiter de la nature apaisante.  Plus d'une fois on m'a disputé qu'il faisait froid et que donc ouvrir la fenêtre était dangereux. Je n'avais pas le droit de faire un effort trop important, sous peine de vertige. Même si j'étais apte à pouvoir sortir, les médecins me gardaient enfermé.

Je ne recevais aucune visite, avec mon seul prénom comme souvenir, je doutais qu'un possible parent puisse venir, je venais même à douter du fait que j'avais des parents. Les orphelins n'étaient pas si rare que ça, aussi je pouvais en être une, qui c'est trouvée au mauvais endroit au mauvais moment. La pensée que mes possible parents soient mort pendant le séisme ne m'attristait pas tellement, comment le pourrais-je vu qu e je n'ai aucun souvenir d'eux.

~~ Sanaël ~~

Ses humaine de la Terre son vraiment bizarre, pas plus que les paladins de l'Ordre Immaculé en vérité. En quoi construire des structures pour emprisonné des malades est une évolutions. Ho ... je pouvais quand même féliciter l'évolution technologique, la médéquine qu'ils appellent ça. Quoi qu'il en soit, l'état de ma maîtresse allait beaucoup mieux, mais ils la placèrent dans une cellule. La nuit, elle faisait des cauchemars aussi, prenais-je ma forme semi-humaine pour lui apporter un peu de chaleur humaine, la calmant. Ma maîtresse n'avait pas changé, ma présence pouvait l’apaiser, sous toute mes formes.

Je ne cache pas que je profitais aussi de ce contact physique, pour l'embrasser tendrement, elle était si magnifique en dormant. Bien qu'une fois j'ai failli me faire prendre la patte dans le sac, heureusement l'état de ma maîtresse n'était pas encore suffisant pour qu'elle percute immédiatement.

La journée je ronronnais en me faisant caresser, elle me parlait beaucoup, comme si j'étais une personne, riant par la suite en disant que c'était bête de parler à un chat. Dans sa situation j'étais la chose la plus importante et cela me plaisait, les médecins étaient froid et les infirmière avaient des fois une attitude trop proche envers ma maîtresse.  J'ai même hérissé mon poil, me faisant menaçante quand une infirmière voulait toucher ma maîtresse pendant quelle dormait.

Je haïssais ses humains qui ne comprenaient pas que ma maîtresse avait besoin d'air frais, nous avons toujours vécu en  nomade, fuyant les esclavagiste, fuyant les personnes trop puissance pour ma maîtresse.

Cette journée fut comme d'habitude, si ce n'est un bruit de pas s’arrêtant devant notre porte, je vint à bouger mes oreilles vers la porte, ma queue balayait nerveusement la couverture. Qui cela pouvait être ? Nous avait-on suivit ? S'il s'agit d'un démon ou d'un esclavagiste, il risquait d'être accueilli par mes griffes.

6
Prélude / Re : Alchimiste avec une yandere. [validémonisée]
« le: mardi 05 janvier 2016, 01:47:00 »
Merci tout le monde.  :D

7
Le coin du chalant / Réveil et éveil.
« le: lundi 04 janvier 2016, 06:48:23 »
La trame ayant été prise, pour le moment les demandes sont closes.


Pour faire suite à l'histoire du personnage, le premier rp aura lieu dans un hôpital.

L'idée est la suivante : Pour une raison ou une autre vous vous intéressez à Marie Anne

- Vous êtes dans l'enseignement et Marie Anne aurait pu être une de vos élèves vu son âge.

- N'ayant aucun papier sur elle, pour certifier son identité, elle doit être sous tutelle ou alors envoyée dans un orphelinat.  

- Une autre raison qui vous pousserais à venir la voir.

/!\ Il vous faudra accepter un matou très possessif qui vous en feras voir des vertes et des pas mûres si vous semblez trop proche de sa maîtresse.  :P

Si je ne parle pas de maître(sse) d'alchimie c'est pour la simple raison que cela n'est pas repérable comme la magie.

8
Prélude / Re : Alchimiste avec une yandere. [validémonisée]
« le: lundi 04 janvier 2016, 06:14:24 »
Merci.  :D

9
Prélude / Re : Alchimiste avec une yandere.
« le: lundi 04 janvier 2016, 03:58:01 »
Merci et cela risque d'être très amusant en effet.

10
Prélude / Re : Alchimiste avec une yandere.
« le: lundi 04 janvier 2016, 03:49:12 »
Merci.  ;D

11
Prélude / Alchimiste avec une yandere. [validémonisée]
« le: lundi 04 janvier 2016, 02:22:59 »
♦ Comment t'appelles-tu mon enfant ? ♦

Hum ... Maria ... Marie Anne, monsieur le chat. Je ne me souviens pas de mon nom.

♦ Combien de printemps as-tu observé de tes yeux ? ♦

16 hivers et 15 printemps.

♦ Tu es bien une femme ?  ♦

*Gigote la tête de haut en bas* Oui, oui. Je suis une femme.

♦ Il est vrai que tu es très belle, serais-tu une sirène ? ♦

*rire* Mais non, même si parler à un chat qui parle c’est bizarre je reste une humaine.

♦ Te souviens-tu avoir découvert l'amour et ses plaisir ? ♦

Non, je ne me souviens pas, monsieur.

♦ Regarde dans ce miroir, défais-toi de tes vêtements si tu le souhaites et décris moi ce que tes yeux voient.♦
Je vois une femme assez mûre en terme de forme, plus vieille que son âge réelle … je ne suis pas une grande physionomiste alors je dis sans doute des bêtises. La peau semble si délicate, comme celle d’une princesse, si belle et parfaite.  Ce corps doit faire dans les 1m75, pour un poids que je dirais normal, vu l’aspect svelte de la femme. Par contre je suis beaucoup plus surprise par la chevelure que la taille de bonnet. Elle a une longue chevelure rouge, cela sent la rose et je ne sais pas quelle teinture a été utilisée, mais elle donne un aspect si naturel, même la racine semble teinte.  Ses yeux sont assez troublant, je peine à détourner le regard, tellement ce regard marin est envoutant. Si je n’étais pas sûr d’être humaine, je dirais que cela appartiendrais sans doute à un démon, sans doute un démon de la luxure, mais les démons ça n’existent pas *rire*.  Après … bon j’avoue que la poitrine attire mon regard, je dirais que c’est du D, mais comme je l’ai dit je n’ai pas un bon regard pour ce genre de chose. Elle parait bien faite, pas de chirurgie je pense vu comment ça se balance et réagit … quoi !!! J’ai bien de droit de toucher un peu … non ?  Le fessier est aussi bien fait, à croire que ce corps est fait pour être plaisant, je ne sais pas si je vais aimer me déplacer avec ce corps si attirant, même moi je ne peux rester stoïque devant mon reflet. Est-ce que j’étais attirée par les femmes ? Cela expliquerait ma fascination devant ce corps féminin.  Peu importe, voyons sa force.

*Tente de soulever une poutre.*

Gniinininini … pfff ! Si j’étais aussi forte que belle cela aurait été bien, mais visiblement on ne peut pas tout avoir.

*Lance sa jambe droite en l’air et la saisit en restant en équilibre.*

Hé hé ! Au moins je ne serais pas nulle en gymnastique.

Je devrais porter des tenues assez lâches, pour éviter que mettre trop ces formes en avant, tu en penses quoi ?

♦ Cela serait dommage selon moi, mais tu fais ce que tu souhaites, c’est ton corps après tout. Te rappelles-tu de ton caractère passé et celui présent ?♦

*Ferme les yeux et fronce du front.* Je ne me souviens de pas grand-chose, hormis le fait d’être humaine, ce qui est idiot car je ne suis pas un animal, et ma saison, ainsi que mon année de naissance … rien ne me viens en tête, pourtant j’essaie.  Je ne cache pas que ne pas savoir mon passé me fait un peu peur, surtout que je suis avec un corps pareil, je ne sais pas si je travaillais pour quelqu’un ou encore si j’ai une famille. Je reste souriante, mais au fond j’ai peur. Je ne sais pas comment je dois réagir devant de parfait inconnu.

♦ Pourtant tu m’as répondu et tu me parles, non ? ♦

Mais tu n’es pas un humain … pardon si cela t’a blessé.

♦ Ne t’inquiète pas, je sais que tu ne dis pas cela pour faire du mal. Tu es gentille, si je peux te donner un conseil de mon expérience, c’est, des fois, faire un mal pour un bien. Tu comprends ce que je veux dire.♦

Je crois comprendre … Je vais essayer. Je pense que je ferais attention à ceux qui se disent mes amis et éviter ceux qui me voudrons du mal. Je connais tout de même beaucoup de chose. Je crois que c’est une amnésie partielle, mais cela veut dire que je devais passer ma vie dans les livres. Par exemple je peux citer la constitution d’un corps humaine ou encore la valeur atomique du fer et de l’or … *se met à humer l’air.*  C’est quoi qui sent comme ça ? Il y a quoi dans cette bouteille ?

♦ Du saké, de bonne qualité. Une boisson japonaise alcoolisée qui … Mais ne bois pas tout malheureuse … *met sa patte gauche sur son visage* C’est ce que je craignais, espèce d’alcoolique. ♦

Hin … mais ze zuis pas alcol *hic* z’était trop atti …rant, z’ai pas pu rézizté.

♦ Je te conseil d’aller te coucher, je vais t’apporter de quoi passer une bonne nuit. ♦

Mais ze zuis pas fatiguéééé !

♦ On ne discute pas, que dirais les autres chats si je te laissais avec la gueule de bois. ♦

[Une vingtaine de minute plus tard.]

♦ Ho … vous êtes encore là vous.  Eh bien, je présume que vous avez tout entendu. Vous désirez en savoir plus ? Non ? Alors je vais vous raconter l’histoire de cette femme, mais avant toute chose je me dois de me présenter. ♦



♦Mon nom est Sanaël. Je suis ce que vous nommez un familier … de qui me direz-vous, de cette femme. Elle n’est pas une sorcière, mais un alchimiste talentueux.  Je ne prends ma forme de familier que rarement, il est plus aisé pour moi d’être un simple chat blanc et je n’ai aucune pudeur. Hihihi ! ♦

♦Marie Anne, c’est ainsi qu’elle se nomme dans cette nouvelle vie, a vécu il y a fort fort longtemps, sur une contrée nommée Terra, une planète qui vit le jour avec le désir de survie d’une déesse nommée Aphrodite, la Survivante comme le dirais les autres dieux, s’ils avaient survécu.  Comme je sais cela ? Car Marie Anne est une descendante des prêtresses ayant nourris et aidés à façonner Terra. On a beau être dévouée corps et âme, elles restent humaines après tout et la monotonie est un poison que même les humains veulent se prémunir. ♦

♦ Marie Anne n’eut pas la même dévotion que sa tendre mère, amoureuse de la déesse, elle fut rapidement victime d’une désillusion, l’amour d’un être ne peut remplacer le pouvoir donné par une armée de mortel forniquant. Elle partit très jeune de l’Olympe, me créant en tant que compagnon de route. Je n’étais à l’époque qu’un simple chat banal, qui suivait sa maîtresse pour la réconforter et pouvoir me dorloter contre elle. Le temps vins à passer et Marie Anne se rendait compte qu’elle allait mourir, n’ayant pas l’immortalité de sa mère. C’est le prix de son errance. ♦

*S’étire et se pose sur le dos.*

♦ Elle vint à se tourner vers la magie, mais elle n’avait aucune affinité avec cette matière. Elle se mit trop tôt à la démonologie et invoqua une entité démoniaque puissante. Le démon ne put s’attaquer à ma maîtresse, me jetant sur son visage, il vint à me maudire avant de partir. Quelques mois plus tard je vins à mourir de la malédiction. Ce n’était pas agréable du tout de tousser tout le temps et sentir mes poumons se remplir de sang. C’est pour cela que je déteste les êtres démoniaques et que j’adore les griffer, voire les mordre, à mort. ♦

♦ Marie Anne vint à me ressusciter … au début je ne la reconnaissais pas. Il faut dire que ma maîtresse avait choisi la fois de l’alchimie et avait réussi un tour de force dans le domaine, créer une pierre philosophale. Ce n’était pas une pierre comme on le conçoit. Pensez qu’il s’agisse d’une pierre spectrale liée à  une âme, celle de Marie Anne par exemple.  Elle utilisa sa puissance  nouvellement acquise pour me faire renaître. Je ne fus parfaite, après tout nous parlons d’une âme humaine qui tente de faire renaître une âme de chat. Cet écart me donna mon apparence semi-humaine et en tant qu’être alchimique je naquis sous le pêché de l’envie.  J’aurais préféré la luxure, car quel humain n’aime pas jouer avec les chattes. ♦

♦ Une fois rétablit toute les deux nous avons attendu, ma maîtresse étant une conseillère alchimique à chacune de ses renaissances, moi la suivant et profitant pour pimenter sa vie, tant dans la vie que dans le lit. Hihihi ! Je peux vous dire que si elle est intelligente, elle est terriblement excitante une fois bien chaude et trempée. J’ai pu développer certaines capacités par cette relation très proche.  ♦

♦ Ma maîtresse n’attendait qu’une chose, trouver un des portails que sa mère avait raconté dans son enfance, cela menait dans un monde triste et sans saveur, qu’elle disait. Selon sa mère la seule chose excitante ne se trouvait que dans des livres nommés  Mage a Zine, ni moi, ni ma maîtresse ne savaient où se trouvait cette ville nommée Zine.  Nous avons traversé un des fameux portails et ma maîtresse vint à souffrir avant de mourrir, engendrant un tremblement de terre, je crois que d’anciens bâtiment se sont détruite, de quoi bien mouvementer votre vie paisible. ♦

♦ Marie Anne vint à renaître sous cette forme que vous avez pu voir, des humains qui cherchait, ce que vous nommez l’épicentre, vinrent à tomber sur ma maîtresse et un chat blanc aux yeux rouge. Je ne suis pas idiote au point de laisser des humains me voir son ma véritable apparence.  Elle fut conduite dans une grande structure et les médecins ne purent m’arracher à ma maîtresse. Vous vous voyez, vous, arraché à la seule personne que vous adorez, tout ça parce que «  les animaux sont interdit ». Les pauvres finirent par abandonner devant ma furie, me laissant tout le plaisir d’être proche de ma maîtresse. C’était si amusant de prendre ma forme semi-humaine et profiter de la chaleur de ma maîtresse en toute impunité, sous le nez des humains. Hihihi ! ♦

♦ Je dois vous dire quelques chose … vous êtes actuellement dans un rêve. Tout le monde sait que les rêves sont liés, mais j’ai ouvert cette porte, normalement fermée, pour satisfaire votre curiosité. Je vais vous dire encore quelques secrets, avant que vous ne vous réveilliez. ♦

 ♦ Parlons de ma maîtresse … Comme vous pouvez vous en douter, c’est un alchimiste extrêmement doué, le genre qui ne nait que tous les millénaires. Elle croit être humaine et ne posséder aucun pouvoir. Cependant, elle possède déjà suffisamment de connaissance pour détruire et refaçonner la plupart des matériaux, comme elle pourrait soigner un os brisé ou un muscle déchiré. Il ne reste qu’à un alchimiste l’initier à cela.  Comme elle porte la pierre philosophale en elle, la tuer revient à la faire se réincarner dans un autre corps, moi seul sait dans lequel et que cela fait oublier ses anciennes vies, sauf le savoir alchimique de façon partiel. ♦

♦ Elle ne peut pratiquer la magie, ma maîtresse à mit du temps à comprendre que sa mère l’a maudite afin qu’elle ne puisse pas faire de mal aux prêtresses et à Aphrodite, drôle d’Amour n’est-ce pas ?  Ho … je vous préviens que toute tentatives de la rendre sorcière est inutile, à moins que vous ne vouliez la faire souffrir le martyr et je vous tuerais bien avant, de la manière la plus douloureuse et horrible possible. Hihihi ! ♦

♦ Son savoir ne s’étend que dans le domaine de la science alchimique, n’essayez pas de parler littérature, elle ne pourrait pas suivre, la spécialisation vous voyez.  Par contre un autre domaine où elle est douée est certainement tout ce qui a attrait à l’effort physique. Vous utilisez un terme spécifique pour ça … attendez … c’est  le spore … le  Spaur. Enfin un truc du genre. ♦

♦Une dernière chose à dire sur ma maîtresse, elle est vierge et quiconque vole sa virginité sans mon consentement risque de passer une très mauvaise nuit. ♦

♦Venons-en à moi. Tout d’abord le premier qui touche à ma maîtresse sans qu’elle soit consentante et sans mon accord peut se considérer comme mort, cela marche aussi pour les mort-vivant et autre horreur du même type. Je suis très possessive vis-à-vis de ma maîtresse et j’estime avoir le droit de l’être, je suis plus proche que n’importe quel prétendant et connait ses plats favoris, son style préféré. Miiaou ! Ma maîtresse est tout pour moi et le premier qui me la vole je le tuerais, en toute discrétion bien sûr, il ne faudrait pas que ma maîtresse sache que je peux tuer par amour pour elle. ♦

♦ Hormis prendre une apparence semi-humaine et celui d’un chat blanc aux yeux rouge, j’ai d’autre talents.  Tout d’abord celui d’aller dans les rêves de ma maîtresse et de pouvoir contrôler ce qui s’y passe. Ensuite je peux infiltrer les rêves des autres pour les faires cauchemarder et les rendre phobique des chats, ainsi vous n’approcherez pas de ma maîtresse. Je peux vous faire croire que je suis ma maîtresse ou mieux prendre directement son apparence, mais si je suis sous forme de chat, je n’aurais aucun vêtement. Mais si cela est honteux de dévoiler le corps de ma maîtresse ainsi, je suis prête à le faire pour écarter les personnes entreprenantes. Je peux donner des coups de griffes qui engendrent des lames de vent, formant une grosse trace de griffure profonde sur l’objet touché, sur un corps humain, cela le coupe comme du beurre. Hihihi ! ♦

♦ Ho … je crois qu’elle va se réveiller, il est temps pour moi de vous jeter hors de ce rêve, vous avez assez vu ma maîtresse et si vous revenez dans le monde onirique de ma maîtresse sachez que je serais toujours derrière vous, les griffes sorties. ♦

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