Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Stephen, l'errant

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1
Par bonheur, il a pu se relever avant qu'elle n'ait tenté quoi que ce soit, et tout son bric à brac s'est même étalé à terre. « Le bruit, putain, le bruit ! Elle va ameuter le quartier ! ». Lui revient l'image de cette vénézuélienne qu'il avait failli tuer du coup de poing qu'il lui avait asséné, afin de la faire taire ; fort heureusement, elle n'avait été qu'étourdie, et il l'avait même réveillée en la baisant. Mais bon, celle-ci semble autrement plus coriace.

La gifle, outre le répit qu'elle a permis, l'a fait aussi se claquer contre le capot, tête la première. Elle a l'air un peu sonnée, et il faut en profiter, surtout que ce joli petit cul, dans une telle posture, ne demande qu'à se découvrir. Mais pas le temps de rêver, la coriace a encore de la réserve. Stephen rate sa prise et, telle une couleuvre, elle glisse au long du capot, s'emparant d'un...

« Merde ! » lâche-t-il aussitôt. Le machin au poivre, il s'en rappelle ; ça lui a valu les yeux brûlés à deux reprises, et heureusement que celles qui s'en étaient servi n'avaient que l'envie de s'enfuir et non de le faire arrêter.

« Fichez-moi la paix ! »


C'est comme si elle avait un temps de retard ; mais, là, elle lui fait face, occupée à essayer de décapuchonner cette maudite bombe, empêtrée avec les lunettes qu'elle tient comme elle le peut. Alors, sans plus réfléchir, Stephen se jette en avant, saisissant le poignet pour faire tomber l'ustensile, la renversant sur la capot de la voiture.

« Lâche ça, salope, ou je te jure que je te fais la peau ! »


Leurs deux corps ont heurté le capot, et il fait pression sur elle ; elle résiste, elle pourrait le mordre encore. En plus, sa main droite lui fait toujours mal, et continue de saigner. Bloquant le corps de cette furieuse du poids du sien, il essaie d'arracher la bombe heureusement toujours munie de son capuchon, tordant le poignet sans aucune délicatesse, tandis que, de son autre main, il essaie tant bien que mal de retenir cette furie prête à tout. « C'est excitant une proie qui résiste, ça renforce le plaisir de chasser. Mais il faut, à un moment, en finir ». Et l'autre se débat toujours.

Il n'y a plus qu'une solution !

Gardant enserré le poignet où subsiste la bombe menaçante, il porte son autre main à la poche. Le claquement est instantané, et la lumière des réverbères se reflète alors sur la lame. Pas pour longtemps, car elle descend aussitôt au ras du cou de cette folle furieuse.

« J'ai dit stop ! C'est clair ? »

2
« Argh salope ! », Stephen rate son coup, ne serrant pas assez la bouche pour l'empêcher de crier, et cette petite garce tranche au vif dans les chairs de sa main. Ce ne sont pas des dents, ce sont des crocs, ou quoi ? Il en lâche de son autre main, et la garce en profite pour le dégager d'un coup de reins. Aussi rapide que fut son attaque, aussi rapide est la parade. « La garce, elle m'a fait pisser le sang ». La tranche entre le pouce et l'index semble comme entaillée d'un couteau, et lui fait atrocement mal.

Mais il n'a pas le temps de s'apitoyer sur son propre sort. « Espèce de barjo ! », lui hurle-t-elle en pleine figure, lui montrant son visage pour la première fois. Même si les réverbères dispensent une faible lumière, elle a de jolis traits, enfin qui doivent sans doute être plus jolis en d'autres circonstances. Mais là, il n'est pas question de réfléchir à ça, il faut vite la mater avant qu'elle déclenche une émeute à crier comme ça. « Faut que je le fasse taire, et vite ! »

Vu qu'elle farfouille dans son sac à main, elle a, si ça se trouve, un de ces petits pistolets, et, là, ça devient bien moins bon comme situation. Comme autonome, guidée par son propre élan, la main droite de Stephen décolle, et vient s'abattre sur la joue, « Tiens, salope, je vais t'apprendre, moi ! », dans un claquement que renvoie en écho le parking désert. « Putain, ça fait mal ! », peste-t-il car, sans même réfléchir, c'est de sa main meurtrie qu'il a balancé cette claque, et le sang en a encore davantage jailli.

Lui qui hait tout homme frappant une femme, il y a pourtant mis toute son énergie, et la jeune femme en a quelque peu perdu l'équilibre, seulement retenue par le capot de sa voiture, pour ne pas tomber la tête la première sur le bitume. Elle doit être un peu sonnée, vu la violence du coup, et ça laisse juste quelques secondes pour agir. « Les clefs ! Elles sont tombées, il me les faut », le court moment de répit devient, pour Stephen, l'obsession d'empêcher cette garce de prendre sa voiture pour s'enfuir. Il aperçoit, heureusement vite, le bout de métal brillant à terre, et se penche pour aussitôt s'en emparer.

Il la tient, elle ne peut plus partir ! Il se redresse, triomphant.

3
Un chat, aussi souple et discret qu'un chat. Stephen s'était tapi juste à temps, pour voir passer cette silhouette de rêve dans l'escalier, cette jolie crinière. Cette femme qui descendait à la fois aérienne, mais aussi martelant de ses talons. Ah, le rêve ! A ne pas laisser fuir...

Et là, il est juste derrière elle. Il l'a suivie dans l'escalier, elle n'a pu le capter, puisque la musique de ses écouteurs résonne elle aussi dans les couloirs déserts. Il est juste derrière elle. Elle ne peut même pas voir son ombre, ni deviner sa silhouette, les lumières sont trop faibles. Il est juste derrière elle. Il voit, malgré tout, ses fesses onduler, et il se dit qu'elle doit encore être chaude d'avant. Il est juste derrière elle. Il lui suffit de tendre les bras, un pour l'empêcher de crier, un à passer direct sous sa minijupe. Il est juste derrière elle. Et m... son put... de portable qui s'allume ! Juste le temps de s'écarter, avant que d'être en pleine lumière.

Il est temps de ne plus jouer au chat et à la souris. Bâtiment délaissé, avec le vigile qui doit toujours se tripoter devant son film de cul. Pas de caméra sur le parking, Stephen l'avait déjà remarqué. Un bref clic déverrouille la voiture, envoyant quelques lumières oranges dans la nuit. D'un bond, bref, il saute sur l'inconnue, la plaquant contre sa voiture. Technique rodée, une main sur la bouche tout en redressant la tête vers l'arrière pour taire tout cri et toute résistance, l'autre main sous la jupe pour la déstabiliser et lui faire perdre pied.

« Un mot, un seul, t'es morte ! ». Court et bref, mais audible car, dans l'attaque, les écouteurs ont glissé. Il a comme soulevé la femme de terre, et ses jambes semblent battre dans le vide, tandis que ses bras essaient en vain de donner quelque coup ou d'agripper quelque chose. « Calme-toi, et tout se passera bien ! » ajoute Stephen, avant de renforcer la pression sur le visage, d'un « Et, si tu bouges encore, je te brise la nuque ! ».

Mais la main, sous la minijupe, renvoie des questions tout autres...

4
« Mal lavé ce lycée », avait songé Stephen, avant de remettre ses chaussettes bon gré mal gré, pestant contre ces longs couloirs au sol jonché de débris, parfois même de minuscules graviers qui lui avaient meurtri la plante des pieds. D'ailleurs, en avançant, il avait fini par plus ou moins se rhabiller ; pas facile de trimballer un sac et des fringues ! De toutes façons, si l'une de ces petites lycéennes s'aventure par là, son sexe est si à l'étroit sous son pantalon, qu'il n'aura aucun retard à exhiber une queue sitôt dressée et à lui fourrer dans la bouche.

Une fellation, ça l'obsède. Il y a si longtemps qu'il n'en a pas reçue. Mais une vraie ! Pas de celles faites à la va-vite par une pute de bar, dans un chiotte puant, et qui détourne le sexe vers le mur, quand elle devine que ça va envoyer. Non, il en veut une par une connaisseuse, celle qui utilise la langue, les lèvres, les doigts, celle qui continue à vous lécher quand vous éjaculez enfin, celle qui avale tout votre foutre en vous lançant un regard qui vous fait bander plus encore ! D'ailleurs, voilà que ça continue; il ne tiendra pas la nuit sans se soulager.

"Et puis non, tout bien réfléchi, pas cette fois..." Il se remémore ces jeunettes tout fraîchement arrivées à leurs dix-huit printemps. Il en bande comme un taureau, et son sexe est à l'étroit dans les tissus. Hum, ces lèvres arrondies qui glisseraient au long de sa queue dressée, une inexpérience qui rendrait ça encore plus excitant, quoiqu'il doive y en avoir des plus expérimentées, tiens comme la dénommée Aïkito qui se caressait sous sa douche, celle-là même qui avait un si joli petit cul que... Qu'il l'enfilerait bien, qu'il se plairait à écarter cet endroit encore trop serré et peut-être même inviolé, qu'il la défoncerait sans se soucier de ses cris, oui, c'est ça, que ses cris fassent comme un écho dans ces couloirs déserts.

En fait d'écho, c'est autre chose qui résonne ! Stephen s'arrête net, sous un écriteau de porte qui doit signifier lingerie. Non, pas les petites culottes de ces demoiselles, ni le porte-jarretelles qu'avait la dernière nana qu'il ait sautée, c'était il y a... Il y a trop longtemps !

Non, là, c'est un bruit de pas, enfin pas tout à fait. Il y a comme une démarche balourde et sautillante, genre gros mec pressé qui dévale quatre à quatre, vers le bas de l'escalier où il arrive. Ca ne doit pas être le vigile, il était devant son film de cul, en train de s'astiquer le chibre, tiens encore un qui a l'air de fantasmer sur les trucs où il dot s'imaginer, avec sa queue molle, attaché et fouetté, tout en suçant les pieds de quelque pseudo-dominatrice !

D'ailleurs, peu importe à qui sont les pas de ce gros lourdaud, puisqu'il se barre. Non, il y a autre chose, vers le haut de l'escalier, celui-là même qui mène au deuxième étage, là où il y a les chambres. Des pas plus légers, plus martelants aussi. Des talons, c'est sûr ! Pas une lycéenne, c'est sûr, puisqu'elles doivent toutes se balader en ballerines. Une femme, une vraie ? Sachant que les femmes de ménage ne travaillent pas en escarpins, et que ce rythme de pas est assez alerte, ça pourrait être intéressant...

Ca y est, rien que d'imaginer, Stephen bande encore. Pas à dire, qui que ce soit, il faut qu'il se soulage, et il a de quoi tenir toute la nuit, sans petites pilules bleues. Jeune ou vieille, bombe ou débris, celle-là, il va se la faire ! Il est au pied de l'escalier, sac au dos et sexe tout dur, invisible dans les frêles lumières des blocs de secours, observant l'escalier un peu plus éclairé. Les pas ont franchi la première volée, une jambe apparaît d'abord, longue et fine, au bout d'un escarpin ; rien que ça et son pantalon se tend encore. Deuxième jambe, une jupe pas très longue mettant en valeur ces jambes d'un galbe incroyable. Et le reste est à l'avenant ; dans la blancheur du bloc de secours à mi-escalier se dessine, à son tour, une poitrine arrogante, des rondeurs invraisemblables. Et tout cela ondulant juste ce qu'il faut. Ca y est, Stephen est en train de tomber amoureux !

"Eh non, ressaisis-toi ! Rappelle-toi, tu cherches un coup à tirer, une gonzesse à sauter dans une piaule du deuxième." La (mauvaise) conscience de Stephen le ramène sur terre. D'ailleurs, la silhouette s'est arrêtée à mi-palier, et, vu l'arrondi du cul qu'elle dessine, ça n'invite pas davantage à la chasteté. Mais il y a un truc qui cloche. Pourquoi s'est-elle arrêtée? L'a-t-elle entendu? Impossible! Elle semble comme se rajuster, comme tendre sa jupe, comme vérifier son chemisier. Eh ben c'est ça ; une secrétaire qui vient de se faire sauter par le gros lourdaud qui s'est enfui juste avant, pour vite retrouver bobonne et lui raconter un bobard. Il a dû la sauter vite fait mal fait sur un coin de bureau, il a dû larguer trois gouttes dans une capote qu'il a aussitôt glissée dans sa poche, et il a laissé sa secrétaire frustrée. Bon, si une secrétaire se fait sauter sans jouir par son patron, c'est qu'elle est prête à écarter les cuisses même pour une notation ou une promotion, alors elle ne rechignera pas à ce qu'un autre lui passe dessus à la suite, mais pas qu'une fois... Alors, pas de remords !

5
Bienvenue Violette.

6
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: jeudi 04 août 2016, 07:13:54 »
tout le monde hésitait entre m'appeler "monsieur" ou "madame"

Finalement, ces appellations ne sont-elles pas désuètes aujourd'hui ?
07h15
Elle étaient peut-être symbole de respect, elles sont désormais source de distanciation.

7
Le coin du chalant / Re : Psst ! hé ! venez par-ici !
« le: mardi 02 août 2016, 12:44:33 »
Hello,

Après avoir lu ta fiche, je déduis que tu aurais toujours cette relique.
Ne pourrait-elle pas tenter quelque(s) malfaisant(s) au travers de RP's ?

8
Stephen avait son pantalon de toile à la limite de la déchirure, et son excitation sexuelle est proche de l'explosion. Alors qu'il avait, au gré de ses pérégrinations, passé des semaines entières sans la moindre image érotique à se mettre dans l'imaginaire, voilà qu'il est à la limite de l'overdose !

Ce n'est pourtant pas la première fois qu'il pénètre, disons avec insistance voire sans autorisation, dans un établissement scolaire. Il sait d'expérience que ces lieux lui offriront la nourriture, fut-ce les restes de repas même pas distribués, mais aussi des installations sanitaires où il pourra se doucher et garder figure humaine.

Sauf que, au lycée Mishima, les seules douches sont celles des dortoirs, plus précisément des dortoirs des filles. Des dizaines, des centaines même, de jouvencelles tout juste majeures, et qui, entre elles, ne gardent plus la moindre pudeur. Des corps nus ou si peu vêtus à foison, des parfums aux senteurs plus capiteuses les unes que les autres, des rires vifs et des plaisanteries lestes.

Il pensait avoir le temps de se doucher, mais, en entendant cette nuée arriver, il a juste eu le temps de courir, même pas rhabillé, dans un cagibi au fond, dont la porte promptement refermée lui offre néanmoins la vision de ces corps nus courant en désordre. Des seins de toutes les formes mais cependant tous fermes, des sexes aux toisons pour tous les goûts voire totalement glabres, et même des mains baladeuses dont la précision ne laissait aucun doute quant à l'intimité de certaines des pensionnaires.

Nu comme un ver, il sent aussitôt son sexe se dresser, excité par cette vision paradisiaque, frustré par l'impossibilité de faire qui que ce soit, sinon se masturber. Et, sitôt les cabines de douches fermées, Stephen entend encore ces voix juvéniles, ces gloussements qui se répondent, ces plaisanteries qui fusent. Aucun doute, ces jouvencelles sont loin d'être innocentes, sous leur bel uniforme sage, et plus d'une a déjà dû voir le loup, avec un garçon ou avec ses colocataires !

Mais la joyeuse mélopée s'interrompt soudain, lorsque un « Silence ! » aussi fort que glaçant déchire l'ambiance, et fait aussi s'écrouler l'érection qui taraude Stephen. Comme tue l'amour, la garde-chiourme a de la compétence, et plus une voix ne vient troubler l'eau qui s'écoule sur ces corps pourtant désireux de folies.

Même ambiance sans rires, lorsque les douches s'arrêtent, et que Stephen voit, à travers la porte du cagibis, les lycéennes repartir en rang sans un mot. Heureusement que leurs petits culs ondulant en rythme lui offrent une ultime vision enchanteresse. D'ailleurs, voilà que son érection reprend de plus belle. Pas utile quand on n'a personne à se faire, pas pratique lorsqu'on dot se rhabiller pour aller dormir.

Eh bien tant pis ! A cette heure, les couloirs sont déserts. Stephen a déjà repéré, au dernier étage, de petites chambres, sans doute destinées aux professeurs remplaçants qui ne viennent que pour quelques semaines, et il n'est pas grave de s'y rendre discrètement, ses habits sur le bras.

Aucune probabilité, hélas, pour que quelque lycéenne échappée du carcan de l'autre garde-chiourme, ne vienne à le croiser, qui plus est à se dire qu'il serait dommage de passer à côté d'un homme nu sans s'y intéresser.

L'étage est désormais désert et silencieux, les lumières des blocs de sécurité lui dessinent un passage d'ombres, là où d'ordinaire piaillent des centaines de lycéennes si peu sages sous leurs sombres uniformes.

Ah, si seulement l'une d'elles pouvait soudain sortir d'une classe, et l'accompagner...

9
Le coin du chalant / Re : Journal de Vanessa
« le: lundi 01 août 2016, 15:49:22 »
Bonjour,

Le lien pour arriver à l'hébergeur Archive Host ne donne rien.

10
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 01 août 2016, 14:03:05 »
Merci Princesse.
14h03.
Je suis comme la Belle au bois dormant qui se réveille dans les bras du Prince.

Enfin, en toute relativité...

11
Le coin du chalant / Re : Un RP avec Suki ? C'est ici !
« le: lundi 01 août 2016, 13:50:41 »
Bonjour,

Je me demande si nous ne pourrions pas nous aventurer dans la trame 3...

12
Bonjour,

C'en est à se demander si une sage mère de famille rangée et fidèle pourrait être troublée par un vagabond si éloigné de sa vie tranquille...

13
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 01 août 2016, 13:07:25 »
13h08 - Retour à LGJ avec un réel bonheur.

14
Le coin du chalant / Les aventures de Stephen, le vagabond
« le: lundi 01 août 2016, 11:31:00 »
Bonjour,

Les aventures se sont poursuivies hors d'ici, et je prie mes ex-partenaires de RPG d'excuser ma disparition.
Mais il est des lieux où les aventures ont une saveur unique, et je ne pouvais que revenir ici pour les vivre.

Alors, au plaisir...

15
Blabla / Mon voisin du dessus
« le: lundi 09 juin 2014, 21:06:42 »
Pas forcément, VDD.

Mjoll pourrait être ennemie de Anna pour mieux donner l'illusion...  ;)

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