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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]
« le: samedi 05 janvier 2013, 17:11:53 »Cassandre se mit dans la position que le dieu machiavélique avait sollicité. Cassandre se rendit rapidement compte que cette séance serait plus rude, car en générale elle est attaché aux poignets par des chaines et pouvait utiliser se support quand cela devenait trop douloureux pour rester debout. Mais là il n'y avait rien de tout cela et son "père" alla même jusqu'à bander ses yeux, la désorientant.
Enfin elle reçu l'information demandée, quarante coups, cela paraissait assez raisonnable ou sans doute Rahemar prenait en compte le fait que la jeune bourgeoise allait devoir rester debout malgré la douleur. La nuque de la jeune femme se mit à frémir, sentant la claquette glisser sur son sein. Puis vint les premier coups, cela la surprit, mais rapidement elle se mit à compter les coups à chaque fois qu'ils claquaient sur son corps.
Cassandre ne put rester immobile au bout du dixième coups, se tordant légèrement sous la douleur, Rahemar allant suffisamment vite pour que la jeune femme ne s'écroule pas et que sont corps aille dans le sens opposé du coups précédent.
Au bout du trente-cinquième coups la cravache céda, Cassandre tombant au sol en gémissant de douleur, son corps marqué de bleu tellement les coups n'ont pas été ménagé. Le dieu avait en face de lui un corps tremblant de douleur et de peur, un corps brillant légèrement de sueur sous l'effort de rester debout. La jeune bourgeoise ne sentit pas les cinq derniers coups et se mit donc naturellement à les demander, ainsi son calvaire serait terminé.
Cassandre savait déjà comment expliquer ses bleus à la classe et aux professeurs, elle ne voulait pas que son père soit inculpé de maltraitance, car ce serait elle qui en ferait au final les frais.
One Shot / Re : Le plaisir du combat.
« le: vendredi 04 janvier 2013, 04:12:54 »L'intimidation ne fit aucun effet désiré, bien au contraire, un sourire carnassier se mit à se dessiner sur le joli minois de la motarde. Son corps se mettait à trembler d'excitation devant le fait qu'elle tombe sur une personne qui n'est pas un enfant de coeur. La motarde ne fit aucun pas en arrière, ne cédant de cette manière aucun terrain à sa proie et encore moins se faire dominer.
Un soupir se mit à sortir de sa bouche, puis elle vint à amorcer un geste. Kaeru saisit sa fermeture éclair et tira dessus, pas complétement pour laisser voir sa poitrine et son soutient gorge en latex violet. Beaucoup interpréterait cette action comme une tentative de séduction, mais il s'agissait d'autre chose.
- Vois-tu poulette faudra bien me clouer au sol avant de passer, parce que les grande gueules je les explose ... avant de m'amuser avec eux.
La motarde initia les hostilités en envoyant un coup de son poing droit vers l'estomac de Stephanie.
Archives / Re : Kama sutra
« le: jeudi 03 janvier 2013, 19:03:01 »One Shot / Re : Le plaisir du combat.
« le: jeudi 03 janvier 2013, 01:33:56 »C'est alors qu'elle vit quelque chose de surprenant, le symbiote avait agit alors que la motarde matait justement Stephanie. Cela surprit tellement l'humaine, qu'elle mit un pied à terre, essayant de savoir comment cette femme c'était changé d'un coup, de plus elle était assez canon. Deux raison pour la pousser à sourire, un sourire sadique.
D'un geste fluide, elle ferme sa veste, resserre bien ses mitaines, puis elle se prépare pour un démarrage en trombe. Mais Kaeru est joueuse et préfère laisser Stéphanie faire encore une dizaine de pas avant de lancer sa bécane à vive allure.
La motarde se mit à rouler à contre sens, évitant à chaque fois les véhicules et créant un terrible carambolage, juste de quoi attirer l'attention de sa proie. Cette dernière n'eus pas le temps de comprendre, Kaeru la saisissant à la taille en passant et continuant sa route, pour prendre une rue étroite en jouant merveilleusement des freins et arriver dans un cul de sac, où elle balança ce qu'elle prenait pour une humaine comme un vulgaire sac à patate.
- T'as fait quequ'chose qui m'a intrigué poulette. T'es passé d'une tenue d'américaine à cette tenue très moulante d'un claquement de doigt. J'veux savoir comment t'as réussi ton coups, sinon ...
Elle se mit à serre ses poings, faisant craquer les articulations. Kaeru s'attendait à ce que sa proie nie en bloc, offrant la possibilité à la mortade de tabasser cette idiote qui n'avait pas été assez fine. La taularde n'avait de toute manière pas envie de la laisser partir sans avoir vider son porte-feuille et servit de punching-ball.
One Shot / Le plaisir du combat.
« le: jeudi 03 janvier 2013, 00:24:20 »Cela fait à présent deux ans que la violente demoiselle erre sur le continent japonais, étant accompagné de ses fidèles amis, un jean avec une ceinture où est gravé un taureau, une veste qui s'ouvre via une fermeture éclair, un soutient-gorge en latex qu'elle kiff, le tatouage d'un crâne sur la nuque et sa paire de mitaine en cuir. J'oubliais sa moto une Ducati Desmosedici RR pouvant atteindre les 300 km/h et passer de 0 à 100 Km/h en moins de 2,5 seconde, une bête qui va bien avec sa maîtresse.
Sa source de revenu la plus rentable est sans doute le vol, la séquestration et le chantage, un mélange qui permet à la belle blonde de se faire plaisir dans des salles de boxes lorsqu'elle souhaite faire une petite pause. Kaeru est très sportive, sa veste dissimulant des muscles saillants mais restant féminine. Le genre de personne dont il vaut mieux réfléchir avant d'aller lui chercher des crosses.
La jeune rebelle adore une chose, se battre. Donner des coups ou recevoir est jouissif pour elle, éprouvant un plaisir proche de l'orgasme quand elle se fait péter la figure ou qu'elle se défoule sur une personne au point de presque la tuer.
Aujourd'hui Kaeru se trouve dans le centre commerciale de Seikusu, pour la simple et bonne raison qu'elle voulait se faire un bon repas bien gras pour contenter son appétit d'ogre. Frapper les gens et semer les flic sur l'autoroute ça donne faim. La jeune femme paya un liquide, elle n'est pas assez débile pour piquer des cartes bleues dont elle ne pourrait en faire l'utilisation. Le repas ne prit pas plus de cinq minutes, ce qui est extraordinaire au vue de la quantité de bouffe qu'elle a ingurgité.
Une fois de nouveau sur sa bécane, elle se mit à parcourir les allées en recherche d'une personne intéressante à voler ou simplement frapper pour son plaisir personnel ou bien les deux tiens.
Le coin du chalant / Historique rp [Bibliothèque des rps]
« le: mercredi 02 janvier 2013, 21:30:58 »Jigoku
Les bases c'est important avant de jouer les sorcières.[PV Adramelech]
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Foot Szél
L'ambassadeur se fait voler dans les plumes.[PV Ukiyoe]
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Graham
Une rencontre animalière. [ PV Nikolaus]
Un petit être qui sent l'animal [Yumena A.]
Graham part en apprentissange. [Crystal Isuzu]
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Symphonia
Le diplôme de la perversion [PV Lucifer Vespero]
Père ? Est-ce bien vous ? [ PV Rahemar]
Une source de financement ? [PV Onishiru]
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Yoshi, le pervers invisible
Cassidy Green, l'hermaphrodite.
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Astolfo Minae
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One Shot
Le plaisir du combat [PV Stephanie Marshall]
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]
« le: mercredi 02 janvier 2013, 21:11:09 »La jeune bourgeoise fut chanceuse, son père n'ayant visiblement pas prit le fouet, l'un de ses outils préférés quand il s'agissait de la dresser à obéir.
En tant normal Cassandre obéissait immédiatement, mais dans ce cas précis, elle semblait hésiter. Quoi de plus normal me direz-vous, nous sommes dans un lycée et non dans la pièce où son père la punissait, de plus elle était très proche de la fenêtre et craignait que quelqu'un ne la voit dénudée.
Ce fut le coup de cravache sur le bras qui la fit réagir, malgré la honte qu'elle subissait en prenant le risque de se faire voir un peu plus bas dans la cour. Elle se mit à retirer son collier, évitant de cette manière que son père ne l'étrangle avec. Puis elle retira ses chaussures et ses collants. Elle fit glisser la robe, jusqu'à ce que le vêtement se froisse au sol, dévoilant son corps juvénile. Cassandre avait honte d'avoir si peu de forme et ses grandes soeurs avaient insisté sur le point qu'une femme sans forme ne sera jamais un bon parti pour un mariage.
La jeune bourgeoise se mit à regarder son père et vit dans ses yeux qu'il al voulait en tenue d'Eve. Elle ne pouvait se soustraire à la puissance de Rahemar, pouvant à tout moment abattre de nouveau sa cravache, aussi c'est avec l'appréhension des coups à venir, qu'elle défit son soutient-gorge et fit descendre sa culotte.
Avec une voix tremblante et les joues rouge de honte, elle se mit à parler.
- Voilà père.
Le corps de la jeune femme semblait se tendre. Cassandre se préparer physiquement et psychologiquement à se faire battre, elle ne pouvait pas l'éviter et plus tôt ils commenceraient, plus vite cela finira.
- Combien de coup comptez-vous me donner ?
C'était le même rituel à chaque fois, son père l'ordonnait de se déshabiller, Cassandre demandait le nombre de coups, le père répondait et donnait ses coups en demandant à la jeune bourgeoise de compter à voix haute. C'était un moyen vicieux pour éviter que la bourgeoise ne sert les dents et étouffe ses cris.
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 01 janvier 2013, 23:25:06 »Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]
« le: mardi 01 janvier 2013, 19:05:51 »Même la jeune bourgeoise savait que dans cet enveloppe se cachait quelque chose. son père n'était pas du genre à blaguer, aussi se mit-elle à appréhender le contenu de l'enveloppe. Ce fut avec des mains tremblante et peu assuré que la jeune bourgeoise défit le cache de l'enveloppe et sorte les feuilles.
Ses yeux se mirent à lire chaque lignes, certain termes juridiques ne furent pas difficile à comprendre, son tuteur ayant prit soin de faire d'elle une femme cultivée. Elle vit très rapidement que la conclusion approchait et enfin elle eut sa réponse. Le choc fut violant, elle vint à déposer sa main droite sur sa bouche, comme si elle avait des nausées. Jamais elle n'aurait cru être une fille illégitime, le fait de ne pas avoir l'héritage ne la dérangeait pas, il s'agissait plutôt de toute une vie de mensonge mis à nu.
Cassandre ne put retenir des larmes qui imbibent le papier, quelques feuille étant froissée par la main gauche de la bourgeoise, les doigts se crispant et tremblant. Elle vint à lever le tête et vit son père avec la cravache ne main, la peine fit place à des yeux terrifiés, elle avait peur de son père qui avait la détermination de la punir. Même elle savait que son père n'allait pas retenir ses coups suite à cette révélation.
Cassandre se mit à se relever, les yeux embrumés par les larmes. Elle se mit à reculer à chaque pas que faisait Rahemar, Cassandre ne pouvait fuir si ce n'est par la fenêtre, mais ils étaient au second étage. Il ne restait que la porte, mais sur le chemin se trouvait le dieu qui continuait son avancé.
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]
« le: mardi 01 janvier 2013, 14:01:02 »- Père lâchez moi, vous me faite mal !
La jeune femme fut forcée à s'assoir, cette dernière se massant le bras pour faire passer la douleur, elle était certaine qu'elle porterait une marque. Elle se mit à écouter de nouveau le dieu parler et elle ne put tenir sa langue, quand Rahemar dit qu'elle n'était gardée en réserve que pour une utilisation futur, le mariage arrangée elle s'en doutait un peu. Elle se mit à murmurer.
- Père taisez-vous, arrêtez de mentir. Je vous en prie.
Elle eut presque une sursaut en sentant les deux mains du dieu ternie fermement ses épaules. Il se mit à parler de ce qu'elle aurait fait si elle l'avait sut. Cassandre allait répondre à cette question quand elle se fit gifler de nouveau.
- Haaa !
Cette fois ont pouvait clairement la voir pleurer, la tête ayant légèrement suivit l'inertie de la gifle, ses cheveux cachant une partie de son visage. Vint de nouvelle réprimande et cette fois ce fut au dieu de se faire surprendre. La main de la jeune bourgeoise se mit à balayer la main tenant son épaule avant de s'abattre sur la joue de Rahemar, ce dernier n'ayant visiblement aucune difficulté à tenir le poignet et éviter la gifle. Cassandre se mit à crier contre son père, c'était bien la dernière chose à faire.
- Arrêtez cette comédie père, je ne peux vous croire ! Arrêtez donc de balayer mes seuls souvenir heureux par vos mensonge ! Ne voyez-vous donc pas que vous me faites plus de mal que de bien ?! J'accepte d'être punit pour mon attitude, mais arrêtez donc de me mentir. Je ne peux pas supporter cela.
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]
« le: mardi 01 janvier 2013, 01:58:03 »Quand la tirade se mit à parvenir aux oreilles de la jeune ESP.er, elle ne put y croire, c'était impossible, son père devait obligatoirement mentir. Pourquoi sa mère ou l'un des membres de sa famille ne lui avait pas dit qu'elle était une fille illégitime, son père devait mentir, mais Cassandre savait plus que quiconque qu'il était du genre à frapper avec la vérité, sachant que cela blesse plus que le mensonge. Elle se sentit suffoquer, ne pouvant clairement plus cacher le choc émotionnel que cela avait eut sur elle. La preuve la plus flagrante fut sans doute qu'elle s'assit sur une chaise, les yeux écarquillé, comme si elle avait vu un monstre.
Le pire fut certainement cette sensation que tout le monde avait joué une farce dont elle était le sujet, pourquoi croyait-elle aux dire de son père ? Elle ne pouvait le dire et très vite les idées s'embrouillèrent dans sa tête. Elle se mit à se lever et faire les cent pas, essayant de remettre en ordre ce puzzle, mais il y avait beaucoup trop de pièces pour un cadre assez étroit. Le dieu avait raison sur une chose, Cassandre ne semblait plus rien comprendre et son visage jadis rebelle laissait place à celui d'une jeune femme tourmentée par ses pensée.
La dernière phrase la fit frémir et elle répondit avec précipitation, sans même chercher à avoir une attitude sereine.
- Vous parlez de moi comme d'un outil. Ne suis-je donc que ça à vos yeux ? Un simple outils dont on dispose ? Vous ne pouvez que me mentir c ... c'est impossible que vous me disiez la vérité ... mon enfance ... tout aurait été orchestré ? Je ne peut pas croire, vous ne pouvez pas dire la vérité. Je vais aller appeler mère.
D'un pas rapide, elle se mit à marcher vers la porte, son but étant d'aller au bureau et téléphoner à sa mère pour obtenir la vérité. Cassandre voulait surtout fuir, pour une fois dans sa vie, elle préférait fuir un combat plutôt que de risquer d'être blessée profondément.
Salles de cours et bibliothèque / Re : Le diplôme de la perversion PV Symphonia
« le: mardi 01 janvier 2013, 01:40:14 »Quelques minutes plus tard la sonnerie fit son apparition, donnant ainsi le signal à la bourgeoise que le cour était fini. Elle fut la première à partir, ayant presque remballée ses affaires en avance. De toute manière ce n'est pas en math qu'elle allait avoir du mal. Ce qu'elle ne savait pas c'est que toute la classe s'était dispatché la surveillance de Cassandre, pour ne pas éveiller les soupçons de la petite peste.
Elle se mit à passer devant les toilettes des garçons et un groupe se mit à lui barrer le passage, elle jeta un rapide coup d'oeil derrière elle et vit qu'une autre groupe la coinçait . Elle n'avait pas trente-six choix et choisit de forcer le passage en usant de son vocabulaire habituel, c'est-à-dire hautain.
- Laissez moi passer, j'ai autre chose à faire que participer à vos activités de prolétaires, nous ne sommes pas dans la même cours.
L'un des garçon voulut la saisir au poignet et d'un geste défensif fit claquer sa main contre la joue de l'opportun. Elle sortie un mouchoir de sa poche pour s'essuyer la main, comme si le contact avec le garçon était similaire que toucher une limace.
- Ne me toucher pas avec vos mains répugnantes. Maintenant laisser moi passer.
Plus elle avait peur, plus elle était agressive, hors là elle était un peu en panique, même si cela ne se voyait pas. C'est le principe des tsundere, se faire passer pour une méchante le plus possible pour cacher sa faiblesse d'esprit.
Or cela ne faisait que commencer.
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 01 janvier 2013, 00:28:13 »00h28
Salles de cours et bibliothèque / Re : Le diplôme de la perversion PV Symphonia
« le: lundi 31 décembre 2012, 18:47:09 »Elle allait être rappelé quand le nouveau se mit à apparaitre, La jeune femme ne porta pas une seule regard et fut vite excédé par tout les murmures des autres filles qui le trouvait canon. Il faut dire que la demoiselle ne s'intéressait pas aux prolétaires, elle n'avait pas encore de prétendant, mais il était hors de question de se donner à une personne du bas-peuple.
C'est alors que Seth eut la "merveilleuse" idée de s'installer à côté de Cassandre, qui ne prêta pas une seule seconde à ce jeune idiot. Elle ne répondit même pas à la présentation de Lucifer, c'est alors qu'enfin elle réagit. Effectivement traiter une petite bourgeoise qu'elle va devenir une catin est une insulte qu'elle n'est pas du genre à laisser passer. La main de la jeune femme se mit à se lever et le professeur demanda, non en montrant un air blasé, ce qu'elle désirait.
- Pourrais-je changer de place, mon voisin use un langage tellement fleurit que sa senteur m'insupporte.
Le professeur se mit à changer la place, mettant Cassandre dans les premiers rang, ainsi pouvait-il garder un oeil sur elle et la réprimander facilement. LA jeune femme se mit à se lever, prenant son sac et dit avant de quitter sa place.
- Sachez que les rats odorant ont rarement la cote auprès des canidés, sauf en guise d'apéritifs.
La traduction étant "cherche pas des crosses je suis plus forte que toi, alors écrase."
Ce fut une jolie blonde aux yeux bleus qui prit la place de la bourgeoise, se tournant immédiatement vers le trouble fête en murmurant.
- T'as pas de chance, cette fille est une vraie peste, fait pas attention à elle, quelqu'un finira bien par l'humilier en public. Ce jours là la classe et moi-même on espère être là. C'est une petite bourgeoise qui se croit invulnérable. Au fait moi c'est Alexendra, si tu as des question n'hésite pas.
Cassandre se mit à se faire interpeler par le professeur pour résoudre encore une formule. Elle se lève en soupirant, comme si cela était rébarbatif de répondre à des formules qu'elle ne mettait jamais plus de cinq minutes à développer et résoudre.
Dans le fond Seth était sujet à une admiration de beaucoup de filles, ces dernières n'hésitant pas à parler dans le dos de la bourgeoise qui se lève d'un coups et foudroie les mistinguettes du regard.
- Si mesdames se croient dans un salon de thé sachez que je connais des adresses intéressantes, avec un peu de chance trouverez-vous un homme qui apprécie les moulins à paroles débitant des inepties avec la langue fourchue comme le serpent.
Ce fut une explosions de protestations qui se mirent à voler, plusieurs filles voulurent tabasser la bourgeoise, mais le professeur réussit à maîtriser la foule. Un sourire narquois se dessina sur le visage de Symphonia. La tension était palpable, mais la bourgeoise semblait n'en avoir rien à faire.