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Les alentours de la ville / Re : Et c'est une évasion en direct de Seikusu [Réservé à Léona]

« le: vendredi 07 décembre 2012, 14:50:40 »

Lavis ne put pas s'apercevoir que le maton avait perdu la vie ;  Sans doute cela aurait remis en cause son envie de recevoir l'aide Léona.  La porte du bus ne résista pas longtemps à la force colossale de l'être surnaturel, tout comme le grillage séparant la cabine conducteur avec celle réservée aux prisonniers. Alice ne fit pas attention au côté irréaliste de la chose, aucune personne ne peut arracher une porte de bus et un grillage avec autant de facilité.  Pendant le démontage de Léona, la jeune femme se mit à saisir la boite de secours, qui avait glissé sous le grillage lors de l'impact,  pour se faire un bandage de fortune, évitant toute complication si la plaie était plus importante que ce quelle paraissait.

Alice fut surprise en voyant la femme la porter dans ses bras, elle ne se doutait pas qu'une femme pouvait paraître aussi forte, même si l'humaine ne pesait pas une tonne non plus.  La criminelle se mit enfin à observer l'apparence de cette femme bizarre. Elle put remarque le port d'un lourd manteau dont le col pouvait dissimuler une partie de son visage. Elle avait ses mains  contre sa poitrine, ne sachant pas sur le coups comment réagir, devait-elle se laisser faire ou au contraire se débattre.

Le temps semblait lui aussi se mettre dans la partie, les nuages sombres à l'horizon menaçait le paysage et la localisation des deux femmes d'une averse et pas une petite. Alice détestait devoir rester immobile pour éviter que Léona ne soit déséquilibrée, mais elle resta immobile le plus possible.  L'humaine put entendre le bruit du loquet qui fut coupé et jeta un vif coup d'oeil, voyant l'index transformer en une lame luisante et dangereuse.  L4humaine se mit à se poser des question sur sa sauveuse, mais l'important était d'être à l'abri et au sec.

Alice put remarquer de sa sauveuse n'avait par refermer la porte, chose qu'elle fit, prenant une chaise pour condamner la porte et éviter qu'un voisin ou une personne extérieur n'ouvre la porte et constate l'entrée par effraction des deux jeunes femmes.  Se remettant sur le canapé une fois cette tâche terminée.

Alice se mit à réagir avec violence face à l'attitude de l'être surnaturel, qui par ce geste avait fait rejaillir de profond  blessures. La jeune humaine se mit immédiatement à se relever et s'installer sur un sofa, on pouvait voir des larmes retenue, brillantes à la lueurs des la lumière artificielle.  Alice se mit à serrer ses mains, n'aimant pas parler d'elle, mais cette femme l'avait aidé dans son évasion et donc elle était impliquée dans sa vie.  Ne regardant pas Léona, car elle se mit à essayer de défaire ses menotte avec une aiguille qui traînait sur la table basse.

- Je devais être conduite à un pénitencier, Je me nomme Alice Des Vignes, j'ai été accusé d'un double homicide, homicide que j'ai fait de façon volontaire. Que cela soit de la vengeance ou une envie de justice n'a guère d'importance. Je ne suis pas une meurtrière sanguinaire, j'ai mes cibles et ferais tous pour les abattre.

Un clic se fit entendre et la prisonnière put retirer ses menottes. Alice se mit à faire un tour de l'appartement et trouva le frigo, piquant ce qui semblait frais c'est à dire une bière. La jeune femme se mit à boire la canette d'une traite, non sans faire al grimace. L'alcool c'est pas trop son truc, mais elle avait terriblement soif. Or on sait que l'alcool ça ne désaltère pas vraiment.  L'humaine se mit à se faire un sandwich.

Alice avait par cette action de découvert, éloigné sa distance avec la femme. Alice ne pouvait pas dire pourquoi, mais elle se sentait mal à l'aise et bizarre en présence de Léona. La criminelle gardait un œil vers la porte donnant accès à la cuisine, Alice restait sur ses gardes..

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Les alentours de la ville / Et c'est une évasion en direct de Seikusu [Réservé à Léona]

« le: jeudi 06 décembre 2012, 10:23:47 »

La jeune femme se mit à voir le panneau ''Seikusu''. Il faisait assez sombre, la nuit commençait à dominer. Alice pouvait voir sur la vitre s'imprimer la lune qui était pleine, le ciel totalement dégagé. Elle pouvait admirer les végétaux qui étaient recouvert de gel, preuve que dehors il faisait très froid. La jeune femme avait le regard vague, jusqu'à ce que le maton se met à regarder la prisonnière.

- T'as de la chance petite, t'es trop jeune pour que les criminels te tue, par contre je ne dirais pas la même chose de ton corps. Les jeunes filles encore fraîche ça attire les prédateurs.

Alice se mit à regarder le maton avec ses yeux épuisée par le voyage. Elle n'arrivait pas à dormir, quelque chose lui disait que fermer les yeux serait une bien mauvaise idée. Elle se doutait bien que le maton avait des envies à assouvir, elle pouvait le voir dans son regard vitreux. La jeune  femme se mit à observer le paysage, sa pupille se rétractant à la lumière des lampadaire.  Alice vit un magasin de vêtement et aussi une armurerie, mais elle savait bien que sa destination était différente.

Le chauffeur et son acolyte se mit à parler de divers sujets qui n'intéressait pas la jeune femme. L'humaine se mit à regarder ses menottes. Les policiers lui avait confisqué tout éléments permettant à la jeune femme de s'enfuir . Elle n'avait même pas un épingle à nourrice, elle avait besoin d'une personne extérieur. 

D'un coups, Alice fut plaqué contre le grillage. Le chauffeur avait donné un coups de frein violent. Le bus se mit à faire une embardé sur le côté. Alice fut surprise de sentir le véhicule pencher dangereusement sur le côté et s'encastrer contre un poteau. La jeune femme entendis le maton se mettre à beugler.

- Non mais ça va pas de vous mettre sur la route, nous avons une dangereuse criminelle. Donnez moi votre nom immédiatement.

Alice entendis un bruit qu'elle connaissait bien, celui d'un corps qui tombe. Elle se mit à faire travailler ses neurones.  Alice avait tout de suite l'idée de s'enfuir. En quittant ce bus, elle pourrait terminer son but.

- Hé ! Hé ! Sortez moi de là s'il vous plaît. Je ne suis par armée.

Elle avait raison portant une tenue de prisonnière, ayant dû remonter le bas de son pantalon qui était trop long. Alice espérait que cette personne ne fuit pas, sinon elle allait devoir continuer son chemin vers le pénitencier. On pouvait déjà entendre la sirène de la police.

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Prélude / Re : Prisonnière pour avoir rendu justice.

« le: mercredi 05 décembre 2012, 22:08:54 »

Enora : J'ai fait la correction.

(C'est vrai que j'ai pas mal de faute avec les "s" et ce malgré que j'y pense. lol)

Tout le monde : Merci de l'accueil.^^

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Prélude / Prisonnière pour avoir rendu justice. [Valiprisonnée !]

« le: mercredi 05 décembre 2012, 21:34:24 »

Nom/Prenom/Surnom : Des Vignes Alice surnommée Clavis voulant dire "clef" en latin

Âge : 16 ans

Sexe : Féminin

Race : Humain de la Terre

Orientation sexuelle: Elle ne sait pas encore qu'elle est attiré par les femmes, chose qui aura bien du mal à être accepté par elle.

Description physique :

C'est une jeune femme qui mesure dans les un mètre soixante. Autant dire que ce n'est ni une naine, ni une géante. Elle est albinos, ce qui explique ses yeux écarlate. Si sa chevelure est grise, c'est pour montrer son deuil vis-à-vis de ses parents. Au lieu de porter des tenues sombres, elle a préféré se teindre les cheveux en gris, signifiant la dureté du temps.

Sa poitrine est assez modeste pour une jeune femme de son âge. Alice ne s'en plaint guère, pouvant bouger à sa convenance et trouver des sous-vêtements à sa taille aisément.

Alice le dissimule à tous, mais sa peau est assez sensible, ayant visiblement des nerfs beaucoup plus réactif que les personnes normales.

Caractère :

Alice n'est pas une mauvaise fille, malgré son inculpation de meurtre. Elle est juste très impliquée dans ce qu'elle entreprend. Son âme possède deux facettes.

La première est celle de la meurtrière, une personne méticuleuse, qui prend son temps pour élaborer un plan. Ce n'est pas avec une mentalité d'enfant qu'elle vous parle, mais bien celui d'une femme qui a vieilli sous le poids de son pêché.  Il n'est pas rare de penser qu'elle doit être plus âgée que son apparence le suggère.
Alice n'a plus la moindre confiance en la justice, ayant vite comprit que la justice véritable et celle écrite dans la loi est différente. Pour elle la vraie justice se teinte de rouge, car il faut savoir tuer et paraitre démoniaque aux yeux des autres.

La seconde facette est celle visible uniquement si elle est en présence des femmes sûr d'elles et aussi assez entreprenantes, ne lésinant pas sur les sous-entendu. Vous aurez une jeune femme beaucoup plus timide, qui tentera d'être sur la défensive pour ne pas montrer son désarroi.

Histoire :

En date du premier décembre de l'année 2012.

- Accusée levez-vous. Des Vignes Alice, vous avez été jugé coupable des délits suivants : Usage d'une arme blanche, menace de mort et d'un double meurtre. Avez-vous quelque chose à redire à ces accusations.

La dénommée Alice se mit à regarder avec sang-froid le juge et se mit à prononcer sa phrase d'un ton calme.

- Si j'en avais eu l'opportunité j'aurais mis fin aux jours du directeur du commissariat, étant lui aussi un responsable de la mort de mes parents.

Dans les bancs une voix s'éleva.

- Qu'est-ce qui vous pousse à menacer une personne aussi impliqué dans son travail !!! Vous êtes un monstre !!!

Alice se mit à regarder l'opportun et eut un sourire moqueur, même si on voyait que les mots avaient atteint son coeur.

- S'il était si impliqué que ça, il aurait tout de suite protégé les deux victimes de mes mains.

Le juge se mit à taper de son marteau.

- Bon, silence dans la salle ! Je vais rendre mon jugement. Au vue de la gravité de votre geste et aussi des propos annoncés devant cette cours, je ne peux vous placer dans une maison de redressement. Des Vignes Alice, vous êtes condamnée à la prison à perpétuité, il vous sera possible de demander une remise de peine au bout de trente ans de bonne conduite. La séance est levée. 

Alice ne bougea pas d'un pouce, sans doute sous le choc de savoir qu'elle n'avait plus de vie. Elle ne versa aucune larme, ni ne protesta lors de sa conduite vers une prison quelconque, elle restait fière et droite.

Dans le bus l'amenant à son lieu de pénitence, elle se remémora sa vie. Alice était fille unique et c'est pour cela qu'elle était la source d'une attention particulière. Jusqu'à sa quatorzième année, elle n'avait manquée de rien, lisant de vieux livres et s'insérant bien dans la société.

Lors de son quinzième années son père mourut d'un accident de la route, c'est ce que tout le monde crû. Sa mère ne put supporter le choc et se suicida un jour de pleine lune. Alice fut toute seule et se mit à cloisonner son coeur derrière une attitude froide.

Elle fut adoptée par un oncle alcoolique, devant se protéger de manière constante face à des avances insistantes. Alice découvrit un jour la vérité au détour d'une ruelle, elle était au mauvais endroit au mauvais moment. L'humaine apprit la vérité, la voiture de son père avait été trafiquée, sa mère était harcelée sexuellement par son patron. Tout cela pour récupérer un héritage familiale, un collier sertis de diamant.

Cette annonce fit exploser les sentiments d'Alice, elle voulait laver la mort de ses parents dans le sang, l'humaine avait soif, soif d'une justice bafouée par la corruption.

Elle passa près d'une année à s'entrainer à manipuler un canif piqué dans le stock de son oncle. Alice se mit à faire l'école buissonnière pour être prête à tuer ce qu'elle considérait comme les meurtrier de ses parents.

Pour s'habituer à voir le sang gicler, elle se taillada plus d'une fois, allant jusqu'à chasser des sangliers ou des cerfs pour ne pas faiblir face à ses cibles.

Une semaine avant son jugement, elle avait appelé les deux principales cibles, menaçant  de tout dévoiler et qu'elle avait des preuves. La malchance voulut qu'un des deux soient intelligents et appel la police.  Cela n'empêcha pas Alice de tuer les deux personnes, ayant du coup des policiers comme témoins.

Elle n'offrit aucune résistance, sachant qu'elle ne pourrait pas avoir le temps de tuer la dernière cible. La jeune femme menti en disant qu'elle avait volé l'arme, pour ne pas impliquer son oncle, ayant quand même de la reconnaissance envers lui pour l'avoir hébergé un temps.

Son oncle surnommait la jeune femme Clavis, car elle est douées pour ouvrir n'importe quelle serrure.

Alice vit le panneau "Seikusu", sans doute était-ce une étape avant un pénitencier.

Situation de départ : Vierge

Autres : Elle est très habile pour manier le canif.

Alice peut facilement ouvrir des serrures.

Comment avez vous connu le forum :

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: porte à porte.