Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pages: [1] 2
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Vous nous quittez déjà ? / Report des réponses
« le: mardi 13 novembre 2012, 19:18:13 »
Comme j'ai un peu, beaucoup, de devoir cette semaine. Je ne pourrais écrire les réponses qu'à partir de vendredi soir. Désolé de l'attente.

2
Nous n'allions pas rester ainsi jusqu'au levé du jours, je pouvais savoir qu'il allait tout faire pour se barrer avant que les rayon du soleils ne le frappe. Pour moi le jour n'avait pas de grand effet. D'après ce que j'avais comprit une personne vampirisée est soumit aux faiblesses vampirique une fois la première goûte de sang humain ingéré. Dans mon raisonnement, ce vampire serait lui aussi victime aux faiblesses … Rha pourquoi faut-il que j'ai oublié à la maison mon sac … Il est trop loin du lac pour que je le pousse et puis je ne vois pas de branche assez résistante pour faire office de pieu. Tout cela était vraiment chiant.

Il se mit à me dire qu'il est spécial, il peut paralyser mon corps ? Ce n'est pas un vampire ordinaire, il faut que je le déstabilise un peu.

-Merci de l'offre, mais je ne suis attirée que par les femmes, tu peux dire merci au vampire qui m'a transformé.

Ne panique pas, respire un bon coups pour chasser tes pensées. Reprenons tout depuis le début. En face de moi se dresse un vampire en pleine forme, il peut donc prendre un avantage certain. S'il me mord mon corps sera sans doute victime du plaisir, il faut écarter le fait que mon sang de vampire annule les effets de ses canines. Les balles classiques ne lui causeront pas assez de dommage, hors je sais que dans ma poche arrière il y a un chargeur de balles confisqué à un marchand d'arme, cela est censé servir de preuve, mais c'est un cas de force majeur. Apaise ton esprit comme tu sais le faire, inspire l'air, sent là traverser ton corps de l'intérieur et expire là jusqu'à la dernière goutte.

Mon adversaire saura que je suis calme à cause de mes paupière qui se rapprochent un petit peu, vide ton esprit pour ne pas préparer ton corps à des gestes pensées, vide ta tête de tout raisonnement, devient cette jeune fille de ton passé, devient un fantôme, une poupée agissant par instinct, soit le vide lui-même tout en étant la matière, devient ce qui t'entoure, devient ce qui te définit comme un être de matière. Ferme les yeux et laisse tes sens te révéler un monde où l’avenir et le présent se mêlent


Laisse ton corps agir, même si tu es vampire ton corps reste humain, laisse donc tes deux côtés combattre pour toi. Maintenant ouvre tes yeux vide et voit derrière les yeux de ton ennemi. Laisse ton corps réagir, ne soit qu'une spectatrice.

Tu vois ton corps se jeter en arrière, tu sens tes mains user de ta rapidité vampirique pour garder une balle dans le canon, faire tomber le chargeur alors que ton autre main plonge dans ta poche pour sortir le chargeur en question et armer ton arme. Ta main portant l'arme appuie sur la détente et fait partir la première balle, celle classique, puis le doigt appuie sept fois pour vider ton chargeur.  Tu sens l'air froid frôler ton corps et t'annoncer que ce changement de balle, tirer ses huit balles n'ont durée que deux secondes. Tu vois ton arme exploser dans ta main, n'ayant pas supporter ce traitement, tu sens ta chair se faire déchirer par les morceaux et pourtant la douleur, la douleur n'existe pas .Tu es une poupée qui bouge, les sensations ne sont pas nécessaire. Ton ennemi ne pourra pas bouger assez vite, tu le sens, comme si tu étais le prédateur et que tu avais acculé ta proie. Il se prendra au moins une balle du chargeur, le genre de balle à ne par perforer la chair mais éclater au contact des organes ou des os. Ton  ennemi n'en mourra pas, il aura mal, il deviendra moins rapide.

Ton corps le sait et il se jette vers lui, tes jambes cours aussi vite qu'ils le peuvent, ton côté vampire te permet de courir très vite, tellement vite que s'en est presque jouissif. Tu vois ton poing le frapper au menton et ton corps se glisse derrière lui pour le mordre sauvagement au cou. Ton corps décide ensuite de prendre une distance, un bout de chair dans la bouche, dégoulinant d'un liquide que ton corps croit être du sang de ton ennemi. Ton corps attend, il attend le mouvement de ton adversaire, ton corps peut sentir le mouvement de ton ennemi un peu avant son geste. Ton esprit n'est que spectateur de ton corps qui veut tuer, peu importe l'être, qu'il soit humain ou non, il tuera.

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 10 novembre 2012, 11:29:20 »
Ma méthode c'est de taper mes réponses sur un fichier texte, j'ai quelque ligne, mais ça n'avance pas. Tout ce que j'ai à faire c'est ne pas m'acharner dessus et jouer un peu pour détendre mon esprit. J'espère retrouver l'inspi ce soir.

11:29

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 10 novembre 2012, 11:21:31 »
Les pannes d'inspi c'est terrible quand on est pourtant motiver à faire les reps. *hurle*

11:21

5
J’eus beau essayer de repérer cette lycéenne, il n'y avait aucune trace d'elle. S'en était presque à croire qu'elle c'était volatilisée, ce qui ne m'aurais pas surprit tant que ça.  Soudain j'entendis un bruit dans les escaliers, visiblement cette gamine avait choisit de se barrer. Il fallait impérativement que je trouve un moyen de la coincer, sinon j'allais encore perdre mon temps ce qui commençait sérieusement à m'agacer … Bon on se calme sinon mon enquête va rester au point mort. Bien évidement le temps que j'arrive elle avait fuit. J'allais abandonner quand une lettre me fut donné par un élève, l'emploi du  ''on'' signifiait qu'elles étaient deux. J'avais donc affaire à des jumelles ? Je comprend mieux pourquoi elle avait prit une telle avance.

Cependant elles étaient bien jeunes pour croire m'avoir par une technique aussi puérile.  Mais l'utilisation du mot ''fleur'' voulait dire qu'elle connaissait au moins mon prénom. Elles devaient avoir sois un pouvoir  dangereux pouvant connaître  l'identité d'une personne, soit elles avaient un réseau. Dans tout les cas il me fallait les rencontrer. Aussi décidais-je de mordre à leurs hameçon, ayant un plan de secoure en cas de lapin. Je pris donc le chemin vers l'entée, je ne fus pa surprise de constater leurs absence et sortie mon téléphone pour appeler mon chef.

-Allo, bonjour cher, j'ai un soucis avec des élèves, j'aimerais leurs faire comprendre que cela peut les nuire. Vous pourriez me couvrir, histoire que cela ne fasse pas de vague.

Pour les autres élèves, appeler hors du lycée était tout à fait normal. Ainsi il m'était facile de rentrer de nouveau, supposant que cet appel était important. Je pris la direction de l'administration, regardant les trombinoscope et demande à une femme d'appeler les jumelle. La voix sortie des haut-parleur.

-Mesdemoiselles Izuma et Izuma Kimura sont convoquées dans la salle de réunion.

J'attendis dans la salle, de toute manière elles n'avaient pas réellement le choix, même i utiliser ce genre de méthodes ne me plaît pas.

6
Les alentours de la ville / Re : Collaboration forcée [Semper]
« le: jeudi 08 novembre 2012, 21:25:03 »
Le Vampire. Pour beaucoup il s'agissait d'un serial killer des plus basique, un humain aux méthode de tuerie assez bizarre. Les psychologues sur le dossier avait jugé que la personne devait être un espèce de fanatique, le fait de vider totalement le corps de sang étant un simple rituel avant de se mettre à réaliser des pratiques. Le chef fut surpris de me voir m'impliquer autant dans cette affaire, lisant les rapports encore et encore, cherchant des preuves que mon intuition de vampire dégénéré me dictait. Le meurtrier n'était pas un humain, non, cela ne pouvait pas être un humain. Depuis la première victime je bûche jours et nuit sur cette affaire, emportant des photocopie des rapports pour étudier cela chez moi. Mon lit était envahit de paperasse où j’essayai de m’imaginer comment il avait procédé. Agir comme un vampire était fastidieux de part le fait que je n'avais qu'une année d'existence, pour le traquer il fallait que je devienne lui, que j'acquière ses forces et faiblesses, hors il n'avait pas laisser beaucoup de preuve. Le temps défila et le nombre de victime augmenta, cela me faisait bouillir à un point, le savoir en liberté, tuer en toute impunité sans que je puisse savoir où il va frapper., devoir aller voir les proches des victimes pour leurs annoncer les décès. Je me sentais coupable, car j'avais les capacités de pouvoir l'arrêter, mais je n'avais pas les moyens de le devancer.

Le chef finit par me convoquer, inquiet de mon acharnement à vouloir trouver se salopard pour lui faire payer ses crimes. Le chef fut conscient que rester le cul sur une chaise ou faire des patrouille n'allait pas me calmer, aussi me proposa-t-il un marché. Il faisait appel à des connaissances pour me laisser prendre l'enquête en main, mais en échange il allait falloir accepter de travailler en équipe, le genre de chose que j'appréciais car là où mes capacités seraient utile, il fallait que je les dissimule, ce qui contraint dans son usage et limite les résultats. Au final je me mis à accepter, même si le chef voyait bien qu'avoir un partenaire me faisait plus chier que plaisir.

Je pris une moto du commissariat, je n'avait pas besoin de prendre un parapluie ou encore d'un manteau, la pluie n'allait pas me rendre malade et avoir une mains occupée ou des mouvements retreint ne me plaisait pas une seule seconde. A peine eus-je le temps de retirer mon casque et d'éteindre ma moto que déjà des rapaces me tournèrent autour, je parle bien sûr des journalistes. On a beau dire qu'ils véhiculent les informations, pour dire vrai ils en font ce qu'ils veulent, les tournant dans tout les sens pour que cela soit à leurs avantages, manque de chance me poser des question sur une affaire aussi importante entraînait une réponse nette et précise. Le chef savait d'avance que je n'aimait pas les journaliste et que ma réputation je n'en ai rein à faire.

-Allez donc faire vos sondages de satisfaction des concitoyens. Si dans deux heures vous n'êtes pas parti j'appelle un fourgon pour vous embarquer. Le motif sera clair : Entrave dans une enquête.

Allez, ils se mettaient à parler de liberté d'information, mais ce qu'ils ne comprennent pas c'est que la liberté n'est qu'un doux mensonge auquel seul les abrutis croient et les escroc contournent. Moi la dedans ? Je suis celle qui impose une justice et rien à faire d'une demi-liberté.  Je montre ma plaque et passe sous la banderole, un journaliste vint à faire un geste dangereux, il me lance une bouteille de bière, sans attendre je frappe la bouteille qui s’éclate et le liquide alcoolisé imbibe mon uniforme. Aussitôt, je vais à la rencontre de l’agresseur et le met à terre, lui passant les menotte. Je regarde avec des yeux énervé les autres.

-D'autre volontaire pour se faire coffrer ? Non ? Je vous laisse donc deux heures pas une seconde de plus pour déguerpir et laisser des professionnels faire leurs boulot.

Je passe un appel au commissariat pour que l'on récupère mon colis, tant pis pour mon uniforme. Je pris la direction du chef de section.

-Pouvez-vous me montrer les corps.

On me guide jusqu'aux deux cadavres, plus d'un policier aurait tourné de l'oeil en voyant létat des cadavre, une vraie boucherie, je reconnaissais bien là l'importance qu'avait les vampire pour leurs proies, de simple bête sanguinaire. En me penchant vers les cadavres une odeur se mit à picoter mon nez, étant devenu vampire mon odorat était plus développé. Cela sentait la fleur de lys, hors le seul endroit où j'en avait vu était dans le parc, il fallait donc plutôt s'orienter vers le parc pour trouver des indices. C'est alors qu'une homme se mit à me demander si j’avais des indices. A tout les coups il s'agissait de mon partenaire, chouette. Je me relève en soupirant.

-Je pense que les victimes ont été attaqués autre part, j'ai sentit un très légère odeur de verdure, malgré l'odeur de putréfaction. Pourtant dans la zone il n'y a pas un seul coin d'herbe, il n'est pas idiot, il sait pertinemment qu'une enquête se passe là où les cadavres sont retrouvé. C'est presque comme pour nous narguer.

Je vis une fleur sous l'un des cadavre, le bougeant légèrement pour sortir le végétal, il s'agit d'une fleur de lys, comme je l'avais sentit, ce qui étayait mon hypothèse.

-C'est une fleur de lys, le genre de plante à ne pas se trouver sur un ponton, soit il s'agit d'un geste du tueur, soit cela confirme mon hypothèse.  Je n'ai pas vu de lys hors du parc, lieu qui était aussi celui de la première victime. Par contre le moyen employé pour vider les cadavres de leurs sangs reste inexpliqué, on pourrait penser qu'il utilise un espèce d'aspirateur, mais les veines auraient des dégâts, hors il n'y a rien.

Je regarde le partenaire et lui dit texto.

-Tu en penses quoi.

7
J'avais eu un premier contact avec une personne appartenant à Terra, un autre monde médiéval où l'esclavagisme semblait être un métier porteur.. Il ma fallait des preuves plus tangible. Une seule personne n'avait aucune valeur, même si ses attributs  de chat faisaient une preuve concrète. Mais cela n'était pas suffisant pour autant, il me faut à présent un maximum d'information sur Terra et pour cela il est nécessaire de repérer d'autre personnes issu de Terra. Il fallait que je trouve la preuve que les ESP .re , Esp.aire, ESP. … Et puis zut, des humains dotés de pouvoir paranormaux et des magiciens. Nul doute que Sur Terre ils devaient se faire petit.

Ma seule chance était d'aller dans le lycée, mon intuition me disait que dans ce lieu il y avait toute les réponses à mes questions. Je fis une demande auprès de mon chef, mais la raison était fausse. Vous m'imaginez dire que c'est pour prouver l'existence d'un autre monde. Aussi gentil soit-il, il m'aurait prit un rendez-vous chez un psy, bonjour la tâche sur mon dossier. La raison donné fut de faire une prévention en lien avec de multiple agression ayant eut lieux ce mois présent.
L'ordre de mission fut approuvé et je pris rendez-vous avec la directrice pour expliquer concrètement mon action et le but à atteindre.

Toute la journée d’hier je fis donc un exposé, ce matin aussi. Ce fut d'un chiant, sans parler de ma Soif qui était très difficile à contenir. Cependant grace à l'intensité, je compris très vite que des créatures se cachaient dans les classes. Deux élèves furent d’ailleurs dans mon champ de mire, des jumelles, non pas que je déteste les jumelles, mais leurs attitudes à mon égard était trop suspect pour être normal, pour des jumelle humaine je l'entend bien.

Le midi j'en vis une me dévisager, comme si j'allais la sauter dessus et cela eut le don de me mettre en rogne. Pourquoi m'évitait-elle ?  J'en vint presque à me demander si mes dents vampirique n'étaient pas visible, mais non, de mon côté tout était ''normal'' si on peut le dire pour une vampire dégénérée.

Ses jumelles commencèrent à me courir sur le haricot et je pris donc des dispositions un peu plus active. Je finis mon plat et voulut me diriger vers celle qui mangeait. Bizarrement, elle se mit à remballer son plateau et filer comme si elle avait oublié quelque chose d'important.  Cette technique était inutile et je me mis à la poursuivre, ne courant pas pour éviter les regards, ce qui aurait donné un motif de me dégager.

Puis plus rien, elle m'avait semé. Un soupir de frustration se mit à casser le silence du couloir.

-Punaise, elle est passé où.

Il était hors de question d'utiliser mes compétences de vampire.  Elle était encore une enfant, ne semblait pas dangereuse, je dis bien semblait avec un point d'interrogation, on ne sait jamais la ruse des créatures que l'on traque. Cela m'ennuyais grandement, je ne voulais pas ennuyer Yuri Kuzaha avec des questions qui la blesserait, je préférerais avoir affaire à quelqu'un qui possède un bon souvenir de Terra. Mais tout cela ne résolvait pas le problème de coincer ses jumelles dans un coin pour pouvoir discuter et rien de plus.

8
Les alentours de la ville / Re : La Neko et la Vampire [PV Semper]
« le: jeudi 08 novembre 2012, 17:06:11 »
Je me mis à écouter ce que la demoiselle disait. Elle commença par parler d'une traque qui avait  débuter dans sa plus tendre enfance.  Elle avait eut de la chance d'une certaine manière, même sans parent, elle avait reçu  de l'amour, une vraie ère qui voulait l'élever comme une bonne fille. Elle  avait eut une personne qui lui apprit à contrôler ses particularités.  Mais comme tout être spéciale sur Terre, elle subit la discrimination la plus violente qui soit. Elle se mit à parler de son premier meurtre, ses larmes attestant que pour cette neko, donner la mort n'était pas un plaisir, elle prouvait par son comportement, qu'elle n'était pas une créature qui profitait des humains par plaisir, mais par nécessité. Elle se mit à parler de son mode de vie, cela aurait été sans doute une voie similaire, si je n'avais pas eus ma fonction dans la police. D'un autre côté je n'aurais pas eus le ''plaisir'' de me faire transformer en dégénérée.  Elle se mit à parler de Caelestis, d'ange. Ce monde dont elle parlait était visiblement un monde fantastique.

Elle se mit à dire clairement qu'elle détestait les hommes, autant dire que cela ne me mis pas très à l'aise, imaginant que son orientation sexuelle avait aussi pâtit de son expérience traumatisante. Puis elle se dévoila totalement.

Je fus surprise de constater que ses oreilles et sa queue furent réelle, cela se balançait de manière trop aléatoire pour être un système mécanique.

Comment pouvais-je réagir, sont histoire semblait trop réel, mais si je m'attendrissais de trop cela allait sans doute me nuire. Mais je me devais de corriger des interprétations fausses.

- Mon enfance je l'ai passé dans l'Enfer, là où j'étaie la vie ne tenait qu'à un fil. Dès mon enfance j'ai appris que l'être humain n'est qu'une bête immonde, pourtant j'ai du vendre mon corps, me salir les mains, ne plus avoir de morale. J'ai enfouis mes sentiments pour survivre et ne pas mourir. Je dois mon salut uniquement  que par ma volonté et non par l'aide d'une personne. Si j'ai réussi à monter les échelons de la société c'est uniquement en sacrifiant des choses en retour. Cela ne fait qu'un an que je suis devenu une vampire dégénérée. Effectivement cela m'a fait mal,pour  te dire à l'heure actuel je lutte pour ne pas blesser  les personnes qui m'entoure. Mes pouvoirs je ne les utilises que sur les personne non humaine, tout comme je juge les créatures selon leurs attitude. Tu dis que je souhaite l'éradication des créature, je préciserais plutôt que je vais éradiquer les créature nuisible à la société. Nous avons deux vie différente, tu as la compréhension d'une vie en tant que terranide, moi j'ai la compréhension d'une vie d'humaine et une année en tant que vampire. Ce que je souhaite c'est que les innocents ne soient pas victime de créature malfaisante. Sans doute est-ce une utopie, mais c'est ainsi que je vois ma vie.

J'espérais que cette neko devienne plus une alliée qu'un ennemis.

9
Les alentours de la ville / Re : La Neko et la Vampire [PV Semper]
« le: jeudi 08 novembre 2012, 13:34:27 »
Au vue de son attitude et de sa posture,  mes mots avaient fait mouche. Sa première réponse se mit à attirer mon intérêt, elle parlait bien de créature mi-humain, mi-animal. Neko, Ushi, Inu, tout ses terme je les connaissais, ayant fait des recherche sur l'existence de telle créature.  Elle me parlait de la cruauté humaine, la pauvre ne pouvais pas savoir que j'en avais été victime dans ma jeunesse. Cette gamine ne devais pas comprendre comment cela était dure de survivre dans un monde où l'être même pouvait devenir une marchandise. Elle me parlait de terranide, étant convertit à l'état de simple jouet sexuel. Cela voulais dire qu'il existe un autre monde ? Que la Terre pouvait se faire envahir facilement par des créatures ? Que  toute les légendes sont vraies ? Elle continuait à me faire la morale, me demandant si c'était normal. Cette idiote devait savoir que si j’ai fait flic ce n'est pas pour accepter ce genre de chose.

[color=green}-Si je trouverais ça normal je serais dans la pègre. Des esclavagistes, des oppresseurs, je les met en taule, si je ne les tue pas de mes mains. Je n'aime pas que l'on s'attaque au faible, car j'ai connu ce que c'est.[/color]

Elle vint à se lever, regardant la fenêtre, son regard et son visage montrait qu'elle allait avouer quelque chose de difficile. Il fallait que je l'écoute sans l'interrompre, car cela pourrais m'apporter énormément d'information. Elle vint à me poser une question et j'y répondit avec une voix plus douce, cette douceur que j'avais et no montrait qu'aux personnes nécessitant cette douceur.

-Racontez moi donc cette histoire, je ne vous couperais pas la parole.

Pour une fois ma Soif semblait s’apaiser, comme si la réponse à un mystère suffisait à l'épancher ou était-ce mes sentiments qui contrecarrait cette envie de mordre.

10
Sa remarque est effectivement pertinente. Oui je me sens plus sereine avec mon flingue, mais c'est surtout que je ne comptais pas utiliser mes capacité vampirique. Mon arme était sans doute le seul avantage que je possède, autant dire que m'en débarrasser , c'est mort. Il semblait bien calme. Sans doute avait-il comprit que mon état ne me permettais nullement de lui tenir tête. Mais cette faiblesse est un choix comme un autre. S'il espérait que je baisse mon arme, il pouvait toujours rêver. Par contre ce qui me pénalise c'est cette soif qui est persistante, je n'avais pas assez de connaissance pour savoir ce que cette intensité voulait dire. C'est alors que j'eu ma réponse, un rictus apparaissant sur mon visage.

Un vampire, un putain de vampire était devant moi. Une sale bâtarde d'engeance qui mérite de crever. Ses propos ne faisait que rendre ma colère plus puissante … Calmons-nous, il ne faut pas laisser ta colère t'aveugler, c'est une erreur qui pourrait être mortel. Etant vampire il sait plus de chose que moi, il est donc normal qu'il sache les faiblesses d'une jeune dégénérée comme moi, de plus son arrogance confirme que les vampire de mon genre sont les punching-ball de la faction des vampires ''purs''. Sans doute croyait-il que j'étaie une femme faible dans mon esprit, trop douce. Il ne pouvait pas imaginer la haine qui palpitait dans mes veines. Le calibre de mon flingue était trop petit pour pouvoir  l'avoir, s'il se cachait derrière l'arbre, autant dire que mon seul point fort est mon humanité et garder mon saang-froid.

Il vint à appuyer sur le fait que j'avais perdu mon humanité, que je désirais le sang des humains, vint en guise de réponse un léger rire. Mon regard se posa furtivement vers tout les chemins qu'il pouvait prendre pour me fuir.  Il avait l’embarras du choix, mais seul quelques un permettait à cet enflure de me pousser à le  poursuivre. Il fallait le tenir ici, alors autant donner mon point de vue.

-Je fais tout pour rester humaine, comparé à toi qui l'a perdu. C'est par cette humanité me restant, que je n'attaque pas les humains, le sang des animaux sauvages me suffit amplement. Quand à ta ''sollicitude'' en ce qui concerne ma survie, j'ai connu bien pire et c'est ça qui m'a préservé de la corruption de ce sang qui n'est pas le mien. Je n'aurais de cesse de poursuive les créatures nuisible et les abattre.  Cependant je ne suis pas idiote, je sais que face à toi j'aurais très peu de chance de réussir, mais te laisser agresser les humains seraient une grave erreur. J'ai une question, mon sang suffirait-il à épancher ta soif ?

Je voulais lui tendre un piège. Pendant qui s’abreuve de mon sang j'allais lui tirer tout mon chargeur. Restait à savoir s'il allait mordre à l'hameçon.

11
-Convoquez moi Semper dans mon bureau. Tout de suite !

Le chef n'avait pas eut à attendre bien longtemps, vu que j'étais à côté. Bon dieu qu'est-ce que mes ''collègues' avaient bien put raconter comme connerie pour me faire porter le chapeau de la mauvaise policière. Je pris la clenche de la porte en soupirant, puis fit mon entrée, refermant soigneusement la planche de bois faisant office de porte.

-Semper j'ai une mission à te confier.

Je fus surprise, ce n'était pas le genre de la maison de me convoquer pour une mission. Je sentais à plein nez quelque chose de lourd et qui pouvait peser pour une promotion future.

Je vous écoute

-Nous avone reçu un ordre de mission de la part d'une base militaire non loin de là.

-Normalement ce n'est pas de notre ressort.

Cela m'étonnait, pourquoi appeler la police locale pour une mission qu'un militaire pouvait certainement faire mieux que nous. Il y avait décidément quelque chose de louche, un trafique ? Une preuve que certain militaire était corrompus par des mafieux ? Le chef fronça les sourcil. Aïe, je n'aurais certainement pas du lui couper la parole. Je me tus, écoutant ce qu'il avait à dire.

-Normalement ils s'occupent de leurs affaires, mais là il semble que notre aide est demandé.

Le chef écrasa son mégot, regardant une photo de sa famille.

-Il souhaite qu'une femme se lance dans une mission spéciale. J'aurais préféré envoyer quelqu'un ayant plus d’expérience, mais tu es la femme la plus expérimenté en ce qui concerne al traque de criminel. Ils ont perdu cinq de leurs gars. Une piste semble mener dans notre ville, le tueur se cache quelque part. Je n'aime pas envoyer des subordonné dans des missions qui sont périlleuse … tu pourrais bien ne pas en revenir vivante et c'est pour cela que je te pose la question suivante. Es-tu prête à risquer ta vie dans une affaire qui pourrait bien en rien te rapporter.

Un rire me pris, je ne pus le contenir. Le chef était sans doute la seule personne ici à me donner une chance de faire mes preuves. Le voir s'inquiéter pour moi était charmant et il était pour moi comme un second père. Il me fallut un peu de temps pour reprendre mon calme et répondre à sa question.

-Vous savez que je n'ai pas grand chose à perdre et qu'une mission de ce genre me plait. Alors je répondrais d'un grand oui.

Le chef me regardait, il semblait avoir de la peine de me voir accepter une mission aussi risqué.

-Tu vas devoir me laisser ton arme et ton badge, une personne te donnera des armes non officiel. Si tu te fais prendre on niera ton existence ou plutôt, on considérera que tu seras hors de ton service. Cela veut aussi dire qu'un policier pourrait te mettre une balle, te jugeant menaçante.

Sans broncher, je luis tendis mon arme de service et mon badge. Il mit ses mains massifs sur mes épaule et dit d'un ton inquiet.

-Reviens nous en vie, même si pour cela tu dois abandonner la mission qui t'as été confié.

-Je le promet, Chef.

[une semaine plus tard]

Mon sang palpitait, j'étaie sur le point d'attaquer un clan de vampire, des prédateurs fait pour tuer. Ma Soif voulait prendre leurs vie, savourer leurs sangs, mais l'heure n'était pas au festin, mais plutôt à l'infiltration. L'avantage d'être une dégénérée, c'est que je pourrais servie de divertissement. Après tout les faibles sont fait pour être martyrisé par les forts, mais la subtilité du piège était que leur chef viendrais aussi s'amuser et là mes deux colts l'enterraient définitivement.
Une intuition se mit à me dicter qu'un des prédateur étaient dans mon dos, j'allais le laisser venir, qu'il sente en moi cette faiblesse si amusante, qu'il joue un peu avec mon corps pour entrer dans leurs antre. Mais mon plan tomba à l'eau, dès qu'un coup de feu se mit à toucher ma proie … Il y avait un sniper, je le sentais, mais allait-il me tirer dessus. Le vampire était encore un vie, aussi sans réfléchir plus, je prend un des tuyaux en fer qui traîne et le plante dans son coeur. Mon plan devait être reprit de A à Z, à commencer par déceler se sniper et lui dire d’arrêter ses connerie.

Je me mis à courir, gardant une cadence humaine, il ne manquerait plus qu'il me vise se con. Je pris la voie des habitations et entra dans une des fenêtres ouverte, de cette manière, il ne pouvait plus me voir et me viser, devant essayer avec un peu de chance. L'avantage d'être à l'abri des regard, c'est que je put courir à ma vitesse vampirique, pétant quelque mur au passage. Je suis pas encore totalement habitué à cette vitesse surprenante. Une fois assez loin je rejoins ce que je croyais être le poste de tir du sniper. Silencieusement je me faufile  derrière cette femme et pose la bouche de mon canon sur son crane, faisant bien entendre la sécurité qui saute.

-Si tu tire encore une balle ils vont repérer cet endroit, moi j'y suis arrivé car j'ai un certaine entraînement dans le tir au pigeon.

Je retire mon flingue, sans pour autant baisser ma garde.

-On se casse d'ici, j'ai trouvé une planque près d’une bouche d’égout, avec ça leurs odorat ne nous repairera pas. Si tu ne me suis pas  soi sûr qu'ils te louperont pas à deux on est plus fort que seul.

Je pris le chemin vers le repaire nommé il y a peu, elle semblait intelligente et comprendrait qu'un petit briefing serait nécessaire avant toute nouvelle attaque.

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Les alentours de la ville / Re : La Neko et la Vampire [PV Semper]
« le: mercredi 07 novembre 2012, 19:47:33 »
A sa question je ne fis qu'un geste de la tête pour confirmer que nous allions parler de son agression, même si au final l’agresseur fut plus en piteuse état que l’agressée. SA phrase sur une non-intervention de ma part fit apparaître dans ma tête une petite flamme de colère  Cette jeune femme ne semblait pas savoir à qui elle parlait. Hors de mon boulot elle aurait certainement reçu une bonne paire de baffe pour se montrer un peu plus respectueuse envers ses aînés. Pour une fois mon sang de vampire était d'accord sur le fait que cette jeune femme devait calmer ses ardeurs, mais je ne réagis pas. Elle aura tout le temps de cracher son venin si c'est l'unique chose dont elle est capable.  Pour ma part il fallait rester calme, je jouais à présent mon image en ses lieux et il fallait que je puisses approcher les élèves et le personnel sans crainte de leurs parts.

Je me mis à la suivre, allant dans les dédales de ce lycée. L'architecture en soi était assez simpliste, même si le choix des bordures de porte et fenêtres était plus complexe, méritant un petit coups d'oeil discret. On ne sait jamais, peut-être il y a-t-il un secret dissimulé derrière un de ses murs. La jeune femme se mit à ouvrir une salle , m'y faisant entrer pour fermer  derrière, créant une salle close. L'humaine se mit à monter sur ses grand cheveux, la patience ne semblait pas être une vertus chez elle et j'allais lui apprendre le calme.

Je dépose sa carte d'étudiante sur son bureau et posa violemment la main dessus quand elle tenta de la récupérer.

-Tout d'abord mademoiselle vous allez me parler sur un autre ton. Sachez que je pourrais vous embarquer en le justifiant de votre attitude irrespectueuse et que je suis de service actuellement.

Je retire ma main et al laisse prendre sa fichu carte.  Je saisi une chaise et m'assit en face d'elle, la regardant dans les yeux.

-Hier soir je me suis mis à poursuivre une personne sous l'emprise de l'alcool, vous suivant. En temps normal j'aurais dû intervenir mais quelque chose de bizarre est survenu. L’agresseur c'est mit une première fois à voler contre un mur, comme si une personne lui était rentré dedans, hors entre vous et lui il n'y avait rien, pas une seule personne, pas un seul objet. La question que je me pose est la suivante : Comment une femme de votre corpulence peut envoyer un homme à distance, deux fois, sans objet, contre un mur en brique.

Je m'approche de la demoiselle, nos visage étant à quelque mètre, luttant contre l'envie de la mordre au cou, puis je la murmure.

-Rien de scientifique ne peux prouver un tel prodige, il ne reste que la solution du surnaturelle. Pour l'heure les dégâts visible sur votre agresseur pourrait porter à croire que c'est vous, avec des complices, qui lui avez tendu un piège. Je suis la seule personne à pouvoir vous éviter un jugement pour agression. Je vous proposes donc un marché. Vous répondez à mes questions bien gentiment et en échange je plaide en votre faveur, disant que je suis intervenu contre l’agresseur, cela serait plus crédible que vous. N'y voyez aucun chantage de ma part, mais je préfère largement mettre en prison une créature, possiblement dangereuse, que de prendre le risque d'avoir des pertes humaine. Je vous parais certainement comme une pourriture, mais comprenez que mon boulot est de protéger la population, même si cela veut dire avoir une réputation des plus détestable.

J'attendis sa réponse. Si elle refusait, alors j'allais en rester là et tant pis pour elle si son agresseur portait plainte. Restait à savoir si elle préférait jouer avec le feu ou non.

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Les alentours de la ville / Re : La Neko et la Vampire [PV Semper]
« le: mercredi 07 novembre 2012, 15:03:44 »
-Semper, c'est à toi de faire le tour des boîtes, tâche de ne pas t'enfiler des verres au passage, ça ferrait mauvaise impression.
Encore une remarque je retenais dans ma tête, pour éviter d'avoir encore à frapper. La dernière fois cela avait terminé avec quelque côtes en moins et un joli rapport à faire.

Devant faire le boulot, je pris mon arme de service, remplissant le formulaire de sortie du 9mm et du tazer, simple mesure de sécurité pour éviter la vente d'arme et éviter un trop gros nombre de bavure policière.
Je pris une des motos du commissariat, je ne supportais pas les voitures. La raison première à se dégoût est l'impossibilité de pouvoir circuler librement, ce qui est pénible quand on doit poursuivre un motard ayant un coup de trop.
Comme on pouvais s'y attendre je fus la seule sur le terrain, tout les autres devaient sans doute boire une bonne bière en se marrant de m'imaginer contrôler les mecs ivres. La soirée se promettait d'être d'un ennui mortel, sans parler de devoir contrôler ma Soif en étant en présence de « proie » facile.

A peine étais-je arrivé que je voyait un homme bien  beurrée, se mettre à poursuivre une jeune femme. Il avait la main dans la poche et je pouvais voir que ce n'était pas un téléphone portable. Ne pouvant pas laisser un incident se passer, je pris mon micro.

-Ici Semper, envoyez moi un véhicule, j'ai un mec suspect qui risque de planter une jeune fille. A vous.

Je n'eus aucune réponse, ouais. Décidément ses cons ne savent pas ce que veut dire leurs uniformes. Je devais agir moi-même et le mec risquait de se faire mettre à l'ombre pendant un petit temps, le temps de dégriser.
Je ne pris pas mon arme à feux, le tazer suffirait amplement. Restait à rattraper le duo et espérer que ce con d'ivrogne ne fasse rien de mal. Pour une fois mes sens vampiriques furent utile, je put pister l'odeur de l'acier qui traînait sur ce mec. J'allais intervenir quand je pus voir quelque chose de bizarre. Dès le premier coup d'oeil mon sang se mit à réagir, cette femme n'était pas humaine, télékinésie ? Vent ? Matérialisation invisible ? Je ne pouvais pas dire précisément comment elle l'avait rejeté.

J'attendis, espérant que cette jeune demoiselle ne fasse pas trop de dégât. Je vis que la jeune femme avait fait tomber quelque chose et le récupéra, une fois cette dernière partie. Il s'agissait d'une carte d'étudiante, au moins n'aurais-je pas à passer une nuit blanche pour la retrouver. Je coupa court à mon boulot pour amener l'ivrogne et lui faire comprendre que parler de pouvoir psychique, ne lui serait d'aucune utilité sauf mettre en cause l'alcool présent dans son sang.

Le lendemain je fis un coup de fil à la directrice du lycée où la jeune femme étudiait, demandant à venir pour demander des informations sur un incident où Yuri Kuzaka était un témoin important Je pris aussi la peine d'avertir qu'informer la personne en question pouvait la pousser à ne rien dire. Je me mis en tenue civile, gardant sur moi ma plaque de policier pour permettre une approche de cette jeune femme.

Arrivé au portail on me fit bonne accueil, me demandant s'il était nécessaire de prévoir une salle, mais il serait plus facile pour moi de la croiser dans la cour. Je me mis à attendre une  petite heure avant de la voir enfin sortir. Je m'approche d'elle et montre ma plaque de policier.

-Mademoiselle Kuzaka je présume, Agent Semper. J'aimerais vous poser des questions sur un incident survenu hier soir. Pouvons-nous trouver un endroit où parler calmement ?


Je n'avais pas le droit d'user de violence, mais si elle refusait cela allait donner l'impression de cacher quelque chose.  Nous étions sur un pied d'égalité, aucune de nous ne pouvait user de ses pouvoir, même si les miens étaient plus … discret.

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Le coin du chalant / Re : rp avec la flic-vampire
« le: mercredi 07 novembre 2012, 09:16:15 »
*Compte les rps que Semper va avoir*

Cela me va, par contre je ne vais pas être disponible dans l'immédiat, plutôt sur les coups de 10h00-10h30

Mais il me reste encore quelque minutes, donc envoi moi ton idée.^^

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Prélude / Re : Lust, déesse de la luxure et de la corruption [VAL.]
« le: mercredi 07 novembre 2012, 09:02:55 »
*Prend son carnet de procès verbaux.*

Si vous faites preuve d'exhibitionnisme dans les rues de Seikusu, je vous mettrais en prison avec une amande salée.

[Re-bienvenue dans ce monde de fou]

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