Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sayori & Motoko Yukihiro

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1
- Hmmm... Haaaaa... Haaaaaaaaa...

- Haaaaaaaaaaanouuuuuiiiiiii !!!


Les deux jeunes Futa qui venaient de jouir ne retinrent nullement leurs cris de jouissance, ce qui ne fit qu'exciter plus encore les deux jumelles, qui se masturbaient en s'aidant du trou duquel sortait leur queue. Les deux filles de Sophiana jouirent généreusement sur leur mère durant de longues secondes, avant de se calmer. Leur sexe débanda un peu, mais redevinrent vite dure lorsqu'elles se caressèrent entre elle, se délogeant du mur pour se tripoter plus librement, l'une contre l'autre.

- Mmmmmmh.. c'est si bon... quant à vous...

La femme dans la cabine coinça alors la queue de Motoko entre ses seins, et Sayori lâcha un couinement surpris lorsque son chibre se fit également attraper. Tandis que l'a cadette était recroquevillée sur elle même en couinant de plaisir, l’aînée elle, profitait pleinement des sensations qui lui étaient offertes, en se malaxant sensuellement les seins, soupirant délicieusement.

- Quel dommage de ne pas me souillée violemment... et dire qu'il y a un mur qui nous sépare, vos spermes vont être gâchés...

- Ta gueule salope et fait ton taff... T'inquiète pas pour notre foutre, on a de la réserve...

- Hiii... Hiiii.... Haaaaaa... Hyaaaaa !! O... Onee-chan... Qu'est ce que tu... Haaaaaan !!


Avec un sourire qui en disait long, Motoko venait d'enfoncer un doigt entre les fesses de sa sœur et le remuait vivement, amusée par ses couinements, partagés entre embarras et plaisir. Avec un tel acharnement dans son cul et sur son vît, elle ne tarda pas à éjaculer copieusement en se cambrant contre la paroi, envoyant de puissants jets de sperme dans toute la cabine, arrosant littéralement la femme à l’intérieur, ainsi que les murs. Son orgasme dura de très longues minutes, repeignant très vite la petite pièce en blanc crémeux. Motoko se mit très vite à jouir a son tour, expulsant hors de son membre la même quantité de semence, à la même cadence. les deux sœurs ne arrentèrent d'éjaculer qu'au bout de 5 longues minutes et, contrairement à leurs copines, leur sexe était toujours aussi raide et dur.

Lorsque la femme lâcha leur sexe, Sayori bascula en arrière et s'écroula au sol, son chibre palpitant furieusement, la respiration saccadée. Motoko elle, se retira le plus simplement du monde, enjambant sa sœur pour déverrouiller la porte. En l'ouvrant, elle vit donc une femme aux cheveux roses et avec de gros seins, nue et recouverte de sperme de la tête aux pieds. Elle était loin d'être une élève.

- Mais... T'es qui toi ?

- C'est... Haaaaa... Haaaaa... C'est notre... Hmmmmm... Mamaaaaaan ♥


La brune se tourna vers ses amies, encore de leur coté. Yûko était en train de prendre sa petite sœur en levrette et celle-ci était en pleine extase.

- On vous laisse faire connaissance avec notre salope de mère, on vous rejoindra après. maman à l'air d'adorer vos queues ♪

L’aînée des jumelle souris de façon pervers. Elles allaient encore bien s'amuser, visiblement... Faisant le tour de la femme pleine de foutre, elle la pousse alors du pied en avant, vers le sol, avant de se positionner derrière elle, agrippant ses hanches couvertes de sperme.

- Puisque t'es qu'une grosse salope adoratrice de bites, je vais pas me gêner ♥

Elle poussa son gland gonflé de sang contre le petit puis secret de la femme... et pénétra son fondement, s'enfonçant entièrement d'un seul coup, aidée par la semence qui devait bien lubrifier, en lâchant un soupir de satisfaction. Faisant quelques vas et viens pour s'habituer à son intérieur, Motoko ne tarda pas a accélérer le rythme plus sauvagement. Sayori elle, repris ses esprits, observant sa sœur baiser la femme... et pu voir qu'elle aussi avait un membre masculin entre les cuisses. Un membre tellement long qu'elle se demandait comment une telle chose pouvait être possible...

2
Asuka et Yûko se mirent à gémir de concert lorsque la mystérieuse fille empoigna leur bite pour commencer une masturbation experte. Etant donné le doigté et la dextérité dont elle faisait preuve, ce devait être loin d'être sa première fois avec des queues. Motoko n'était pas en reste, se crispant contre le mur, se cambrant délicieusement vers arrière, lorsqu'elle se mit à sucer son gros chibre avec gourmandise. A entendre les bruis pervers dans la cabine, cette fille devait se régaler. On était loin de la petite élève craintive d'il y a quelques secondes à peine. les deux sœurs se prirent par la main et se regardèrent, avant de se rouler une pelle magistrale, leurs langue tournoyant ensemble entre leurs lèvres, avant de s'éloigner l'une de l'autre, encore reliées par un mince filet de salive. La mystérieuse fille cessa vite de sucer le sexe de Motoko pour aller s'occuper des deux autres filles.

- Je.. je... c'est tellement de bonnes... de bonnes bites... je les veux... je les veux en moi... je les veux toutes...

- Hmmm... Haaaaa... Cette fille... Elle est diablement perverse en fait... ♥

- Oui... Une vraie salope... Ce doit pas être la première fois... Putain, elle cache bien son jeu en fait ♥

- Une vrai démone, oui...


Les deux sœurs se regardèrent en souriant, certaines de l'identité de cette fille. Ce n'était pas la première fois qu'elles jouaient avec leur mère. A force, elles savaient la reconnaître même sans la voir, elles avaient déjà dû baiser avec elle les yeux bandés après tout. Mais plutôt que de le révéler à leur amie, elles décidèrent d'entrer dans le jeu de leur génitrice, gardant la surprise pour Motoko. Celle-ci se tourna alors vers sa sœur jumelle pour voir ce qu'elle faisait. Sayori avait fini par lâcher sa tablette et se branlait, les yeux fermés et soupirait délicieusement. Son membre était aussi gros que celui de son aînée.

- Hey, p'tite sœur ! Viens t'amuser avec nous au lieu de rester dans ton coin. Je t'assure que cette fille est loin d'être une innocente lycéenne...

- Hmm... Si... Si tu l'dis... Haaaa...


Sayori rejoint donc sa sœur, se plaçant à coté d'elle et enfonça son sexe dans le trou. Sophiana verra donc une bite identique à celle dont elle s'occupait, juste à coté de celle-ci. Un membre délicieusement tendu et veiné, duquel coulait déjà un peu de pré-sperme.

- Je... je crois... que... que... que j'aime... ç-ça... je veux que... que... vous me baisiez... mes... Maitresses...

- Fait nous d'abord gicler, salope, et on en reparlera ♥

- Haaa... Haaaa... Hummmm...


Visiblement, elle n'avait pas tardée avant de sauter sur celle de Sayori. Durant les minutes qui suivirent, ce ne fut plus qu'un concert de soupirs et de gémissements. Les toilettes étaient emplis de sons féminins et de bruits luxuriants, en partit couvert par ceux, humides, de déglutissons et de salive. Les filles de Sophiana comme les deux jumelles, se caressaient et s'embrassaient langoureusement, les vêtements tombant rapidement au sol, finissant ainsi toutes nues. Yûko fut la première à gicler, envoyant son sperme dans la gorge de sa mère en très grande quantité, sa sœur la rejoignant très vite en arrosant généreusement le corps de sa mère. Les deux jumelles en revanche, n'avaient toujours pas jouis, endurantes comme elles étaient.

3
Encore une journée bien chiante à Mishima. Motoko était clairement en train de se faire chier, à écouter les paroles incessantes de son prof de japonais, gribouillant des trucs sur son cahier, avachie sur sa chaise au fond de la classe. Est ce qu'il pouvait pas juste fermer sa grande gueule 5mn ? Elle ne supportait plus sa voix et jurait qu'elle allait le coincer un jour au coin d'une rue pour le réduire au silence, si elle ne craquait pas avant. Une belle japonaise qui ne l'ouvre que pour donner des explications intéressante serait bien plus agréable que ce type trapu avec sa calvitie, qui racontait des inepties inintéressantes. Se penchant sur le coté, elle vit sa sœur Sayori, au premier rang, qui prenait des notes. Celle-ci était bien plus sage et sérieuse que sa jumelle, toutefois, elle savait faire la différence entre ce qui était utile et qui ne l'était pas. Enfin si, ce que leur prof disait était utile, mais il fallait juste lui rappeler un jour qu'il était prof de langue, pas prof d'histoire. Savoir que l'écriture des Kanji avaient évolués une première fois durant l'ère Meiji était intéressant, mais les faits historique de cette période étaient inappropriés pour ce cours. Soufflant de lassitude, Motoko pris son portable et regarda ses SMS.

Heureusement pour Motoko, son calvaire pris fin avec la sonnerie annonçant la fin du cours. Elle fut donc l'une des premières élèves à sortir et attendit non sans une certaine impatience que sa petite sœur sorte à son tour. A peine Sayori franchi t-elle le pas de la porte, que son aînée lui pris la main et l'entraina bien loin de la foule, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'élèves autour d'elles.

- Oneesan, je sais que t'aime pas les cours, mais c'est pas la peine de me serrer aussi fort.

- Désolée p'tite sœur, Asuka m'a envoyée un SMS. Notre cabine s'est refermée sur une nouvelle proie et on s'est données rendez-vous pour jouer avec.

- Je suis vraiment obligée de participer ? C'est pas mon truc tout ça...

- Tu dis toujours ça, mais tu change vite de discours une fois ta queue bien raide.


Sayori rougis et détourna le regard, se laissant toujours traîner par une Motoko au sourire goguenard. Elles marchèrent ainsi jusqu'à une aile abandonnée de l'établissement et grimpèrent jusqu'au 3e étage, avant d'arriver devant les cabines de l'étage. Les sœurs Kiyamasa étaient déjà là. Asuka, la cadette était nonchalamment appuyée contre le mur en pianotant sur son portable, tandis que son aînée, Yûko, avait déjà sortie sa queue et se branlait en attendant ses copines.

- Putain, vous voilà enfin ! J'ai une envie folle de me vider dans la bouche de cette petite pute !

- Du calme grande sœur, tu vas la baiser...

- Ouais... Ouais, j'vais la faire hurler cette salope...

- Bon, maintenant qu'on est là, si on allait se présenter à notre nouvelle victime ?


Les quatre filles entrèrent donc dans les toilettes désaffectées et avisèrent les trous aménagés, recouvert de caoutchouc. Un système simple qui leur permettait d'y glisser leur queue et empêchait les victime de voir de l'autre coté. Elles purent entendre comme des sanglots étouffés de l'autre coté. Oui, elles allaient bien s'amuser. Ce fut Motoko qui annonça leur présence en frappant contre la porte.

- Hé toi ! j'imagine que tu te demande ce que tu fais enfermée dans ces chiottes puantes ? Tu as fait quelque chose de mal... De très très mal, qui nous as mis en colère... Mais on veux bien passer l'éponge si tu es une gentille fille... Et pour ça, rien de plus simple.

Motoko souleva sa jupe et baissa sa culotte, tout comme Asuka. Yûko fut toutefois la première à glisser sa queue raide dans le trou, très vite suivit par les deux autres. Comme d'habitude, celle de Motoko était énorme et pulsait de manière inquiétante.

- Tu vas sucer nos bite salope ! Tu vas les sucer et nous faire gicler, peut importe les moyens. Dis toi que tu restera enfermer là tant que tu y mettra pas du tient !

- On est pas pressées nous, on a tout notre temps... Mais je te conseil d'obéir... Ta maman pourrait s’inquiéter de ne pas te voir rentrer ce soir...


Sayori ne participait pas encore elle. Pour le moment, elle se contentait de dessiner sur sa tablette graphique, avançant sur son doujinshi. Mais elle pouvait néanmoins sentir son propre sexe commencer à grossir dans sa culotte. Si voir une pauvre fille se faire abuser ne l'excitait pas, voir les trois autres futa au contraire, commençait à l’émoustiller...

4
Prélude / Re : Des filles de Yakuza un peu spéciales x) (Valithée)
« le: mardi 02 mai 2017, 18:28:29 »
Oh bah hormis les noms et âges des perso et la profession des parents, tout le reste est libre.

Donc y'a pas vraiment de quoi faire un résumé de fiche ^^"

5
-- UP --

Petit ajout en fin de fiche avec la création du "Futa Sixe" :3

Vous pouvez créer un compte sur [Akiko & Megane] et sur [Asuka & Yûko] si le cœur vous en dit, mais respectez la brève description que j'ai fais sur leurs familles sivouplait ♥

6
Honnêtement, Sayori avait l'habitude d'être traitée de monstre et d'erreur de la nature quand on apprenait l'existence de son anormalité entre ses cuisses. Mais pour le coup, elle devait bien avouer qu'elle ne s'attendait pas à ce qu'un professeur — surtout un homme — puisse se branler aussi puissamment sur une photo d'elle. Quoique sur le cliché, seul le haut de son uniforme était retiré, le prof ne devait sans doute pas savoir qu'elle avait entre les jambes un sexe presque aussi imposant que le sien. Il était même probable qu'il ne réagirait pas comme ça s'il le voyait. La brunette se souvenait très bien du jour où elle avait surprise l'otaku la prendre en photo avec son portable, derrière la porte du vestiaire. Habituellement, il y avait toujours quelqu'un de son clan dans les environs pour veiller sur elle. Honnêtement, Takeda avait eu de la chance ce jour là.

Sayori était la fille d'un chef de clan yakuza très influent. Si elle disait que son prof de français se branlait sur des photos d'elle, il pouvait dire adieu à sa carrière tout de suite, ainsi qu'à sa vie. Il devait probablement s'en être rendu compte, car avant qu'elle ne réagisse, celui-ci lui bloquait déjà l'issu.

- Attends un peu. Je suis désolé, mais je ne peux pas te laisser partir. Du moins pas avant que nous soyons parvenu à un arrangement. Qu'est-ce que tu veux ? De la thune ? Un voyage ?

Étrangement, il ne paniquait pas et restait même calme. Seule sa bite pendouillant entre ses cuisses faisait un peu irréaliste. Toutefois, Sayori fut un peu surprise par ses paroles. Finalement, il était probable que son prof ignore tout de sa famille.

- Le clan Yukihiro est une des famille les plus influente de la ville. Vous croyez vraiment que ce genre de choses peuvent me faire taire ? Et si vous m'empêchez de sortir, mon chauffeur va se douter de quelque chose et en moins de deux, vous serez dans de sales draps.

En vrai, Sayori n'était pas fan de chantage, c'était plus le domaine de sa sœur ça. Elle se contentait juste de le mettre en garde sur sa famille. Non, plutôt que de le faire chanter ou d'abuser de sa "générosité", la lycéenne opta pour un échange de secret. Ainsi, rougissant très fortement de gène et détournant le regard, elle abaissa immédiatement sa jupe et sa culotte d'un même mouvement, lui révélant ainsi son service trois pièces qui, même s'il était au repos, restait malgré tout relativement imposant.

- Si vous révélez quoi que ce soit sur ma difformité, j'irais dire à l'administration que vous vous branlez sur des photos nues de vos élèves...

7
Sayori avait peine à le croire. Elle était en train d'embrasser et de caresser une Futanari autre que sa jumelle et, comble de l'excitation, elles étaient toutes deux nues dans les toilettes du lycée. De plus, l'autre fille était plutôt belle et agréable elle aussi et la brunette sentait qu'elle était également plus expérimentée dans les relations charnelles.

- Moi, c’est Cassidy… mes amis m’appellent Cassi… j’ai très envie de toi… tu me plais…

- Moi aussi... Cassi...


Sayori soupirait de désir et d'envie. Son amante la léchait dans le cou et la branlait doucement, son vît à elle frôlant sa cuisse. Cassi était beaucoup plus douce et sensuelle que sa jumelle, qui elle était résolument plus sauvage dans leurs ébats. Mais au bout d'une dizaine de minutes à se caresser et à s'embrasser langoureusement, Sayori était toute chaude, et l'autre lycéenne ne devait pas être en reste. Retirant le gode de son intimité, elle s'assit sur la cuvette, cuisses largement ouvertes et lui montra sa fleur intime ruisselante de mouille en soulevant ses lourds testicules.

- Viens me prendre, Cassi... J'en ai très envie...

8
Sayori continua son œuvre tout en observant l'insolence de la Noko infirmière et la naïveté de la Neko soubrette. Clairement, les deux blondes l'excitaient tant elles ressemblaient, psychologiquement, à ses Neko. Durant quelques dizaines de minutes, elle continua ainsi de dessiner tout en se caressant. Mais il vint un moment où ses collants et sa culotte ne purent contenir d'avantage son imposante virilité et il y' eu un bruit de déchirure, qui résonna longuement dans la cave, tandis que son gland gonflé d'excitation vint taper contre sa tablette graphique. Le visage de la brunette était légèrement rougis, en sueur, et sa respiration elle, était plus chaude, plus lourde.

Lorsque les jumelles se tournèrent vers elle, leur regard se posa quelque part sous sa tablette, avant de se redresser vers son visage. Sayori leur adressa un piètre sourire d'excuse, ayant légèrement honte. Oh, elle ne s'inquiétait pas d'une réaction de dégoût de leur part, les Karistal ayant avouées plus tôt que son doujinshi spécial Futa avait été leur préféré, mais il fallait avouer qu'elle aurait préférée révéler son secret autrement.

- Désolée les filles... Vous m'excitez trop...

Sayori empoignait désormais son vît d'une main ferme et se masturbait sans vergogne sous sa tablette, restant, assez incroyablement, très professionnelle sur son travail en cours, ne tremblant pas un seul instant. Comme si elle était elle même habituée à ce genre de situation.

9
Blabla / Re : Le jeu de la fleur.
« le: lundi 16 décembre 2013, 14:02:53 »
cinq modo en activité cachée, j'ai l'impression d'avoir lancée un gros débat ;D

100e page du topic o/

10
Prélude / Re : Von Krone, la petite nonne effarouchée ♥ [Validée]
« le: lundi 16 décembre 2013, 11:01:14 »
Bienvenue ^^

Citer
Bonne chance pour me faire changer d'avis owo ! ♥

Est-ce vraiment uniquement les hommes que tu préfère, ou seulement ce qu'il ont entre les jambes ? ::)

Car dans le cas contraire, mom membre à moi te ferra bien plus d'effet :p

11
Depuis qu'elle savait qu'elle n'était pas la seule futanari du lycée, Sayori se sentait nettement plus à l'aise. Pour la première fois de sa vie, elle avait des amies, des vrais, avec qui elle pouvait tout partager, y compris ses problèmes plus intimes. Et il n'y avait pas que ça. A travers le "Futa-club" qu'elle avait ouvert avec Cassy et Asuka-Sensei, sous les dortoirs et – ironiquement – à coté d'une cave investie par le Cercle, elles avaient attirées d'autres Futa, ainsi que des femmes normales dont c'était justement le fantasme. Seules les membres connaissaient l'emplacement exacte ainsi que le code d'accès, ce qui garantissait leur sécurité et leur anonymat. Même sa garde du corp ne trouvait rien à redire la dessus, alors que sa psychopathe de sœur aînée trouvait juste dommage de ne plus avoir de bons prétextes pour violenter ses camarades.

Le veille, le club avait atteint la barre des dix membres. Ce n'était peut être rien dit comme ça, mais c'était le premier nombre à deux chiffres. Pour marquer le coup, elle et les deux autres fondatrices étaient revenues dans les toilettes du second étage, là où tout avait commencé, avec la nouvelle membres pour une délicieuse partie de jambes en l'air à quatre, la femme se faisant ainsi prendre par tout ses orifices, les trois futanari changeant de trou à tour de rôle, dans plusieurs positions différentes. La seule chose qu'elles ignoraient, c'est qu'un pervers avait installé des caméras de surveillance un peu partout dans l'établissement. Le gang bang avait continué jusque tard dans la soirée, si bien qu'elles étaient toutes plus ou moins exténuées à la fin des ébats et Sayori du rentrer chez elle sur le dos de Motoko, qui dû la porter des toilettes jusqu'à la douche du domaine Yukihiro, la semence blanche collant à son uniforme.

De fait, le lendemain, Sayori était légèrement à coté de ses pompes et avançait un peu comme un zombie, rentrant dans les autres élèves, malgré qu'elle essayait de faire attention. Sa garde du corps elle, restait à bonne distance, s'étant travestie en élève elle aussi pour rester au plus près de sa protégée, mais restant à bonne distance tout de même. A un moment de la journée, Sayori du retourner aux WC pour une activité qui n'avait absolument rien de sexuelle. Mais lorsqu'elle ressortit, Motoko vit un jeune homme sortir peu après et suivre sa protégée d'un peu trop près. Il du cependant sentir la présence de la garde du corps dans son dos, car il changea de chemin, se déplaçant plus rapidement, comme pour lui échapper. Motoko le suivit du regard un moment, avant de reporter son attention sur Sayori.

Aussi, la garde du corps fut à peine surprise de le voir dans un couloir adjacent avec un portable à l'oreille, entrer en collision avec Sayori à peine quelques minutes plus tard. Clairement, il avait provoquer cette rencontre, de manière brutale et grossière, digne d'un amateur selon elle. Sayori en revanche – entrant dans les gens depuis le début de la journée – ne remarqua pas grande différence. Autrement, la jeune fille aurais sans doute remarquée que le dit portable n'était même pas allumé, contrairement à Motoko qui le vit de suite, bien que l'écran n'avait été visible qu'une fraction de seconde.

- Excusez moi, je suis si tête en l'air, vous n'avez rien ? Je suis franchement désolé, je n'aurais pas du décrocher mon téléphone dans les escaliers.  Qu'est-ce que je peux faire pour m'excuser?

- Oh... Ce n'est rien, c'est plutôt à moi de m'excuser...J'aurais dû regarder où je mettait les pieds...


En bonne japonaise convenablement éduquée, Sayori s'inclina légèrement, les mains jointes, en signe d'excuse. Derrière elle, Motoko se rapprocha, un regard tueur braqué sur l'élève. Elle avait un mauvais pressentiment le concernant. Néanmoins, si la garde du corps souhaitait débuter des recherches sur lui, Sayori elle, semblait déjà détenir quelques informations.

- Vous devez être le fameux Louis de la Lavande, non ? Votre arrivée à Mishima à fait beaucoup de bruis parmi les élèves. Vous êtes très populaires.

12
Prélude / Re : Qu'est-ce que le Sex Slave Club ? [Validés]
« le: vendredi 18 octobre 2013, 18:21:12 »
Bienvenues o/

*Sent une grosse démangeaison dans sa culotte :p*

13
Prélude / Re : Mélisandre Cairn
« le: dimanche 13 octobre 2013, 22:11:20 »
Cet avatar est un véritable appel aux coups de fouets °w°

Je connais certain modo qui ne vont pas se gêner pour t'en donner ;D

Bienvenue =)

14
La demande de Sayori était parfaitement légitime après tout. Aussi, fut-elle à la fois rassurée et heureuse en constatant la belle verge de sa camarade, qui lui donnait déjà l'eau à la bouche. Mis à part des jouets en plastique, elle n'avait encore jamais eu de vrai pénis en elle... Ce sera une première.

- Comme tu peux le constater, je suis comme toi… mais tu en as une plus grosse que moi… attends, je vais me mettre à l’aise…

- Hmm... Tu sais, il doit y avoir à peine 5 cm d'écart entre nos deux queues...


Comparer la taille de son sexe avec une futanari... Décidément, elle vivait là un instant inédit dans sa vie. Sa nouvelle amie se mit dans un coin pour se déshabiller et Sayori décida elle aussi, qu'il était temps de retirer le haut de son uniforme, qui était seulement relevé pour le moment. Lorsqu'elle revint dans la cabine, les deux lycéenne étaient en tenue d'Eve, observant chacune la queue fièrement dressée de l'autre, la mouille coulant paresseusement entre leurs cuisses. La belle brune était relativement excitée à l'idée de couchée avec quelqu'un comme elle.

- On serait mieux dans les toilettes d’à côté… Et puis quitte à recommencer… autant en salir plus d’une…

Elle lui tendit une main, que Sayori prit avec plaisir, se rapprochant alors de sa nouvelle amie, se collant pratiquement à elle. Sentir sa virilité frotter celle d'une autre futa, pratiquement gland contre gland, lui était fort agréable. Rougissant de plaisir et d'excitation, elle approcha lentement sa main des deux verge, qu'elle enserra doucement avant de les masturber en même temps. Sayori ressentit alors comme des ondes de plaisir, excitée, et ses tétons pointèrent de nouveau, tant les sensations étaient agréables.

- Ce... C'est la première fois, que je peux toucher un autre pénis... que le miens...

Ce n'était pas tout à fait vrai, vu qu'elle avait déjà eu l'occasion de prendre celui de sa jumelle en main, à plusieurs reprises. Mais comme elles étaient jumelles, justement, c'était comme de toucher le sien, donc ça ne comptait pas vraiment. Prise d'une envie soudaine, Sayori se plaqua contre elle pour l'embrasser langoureusement, frottant son corps contre le siens, avant de se séparer brièvement de sa camarade.

- Je m'appelle Sayori... Et toi ?

15
C'était bon... Vraiment bon... Sayori pouvait sentir le fluide sexuel remonter le long de sa très longue verge, sous pression, près à exploser, lorsqu'à sa très grande surprise, la porte de sa cabine s'ouvrit sur une élève, qui resta un bref moment, en s'excusant, avant de refermer rapidement la porte. Mais la jeune futa n'eu pas vraiment les temps de réagir, qu'elle se mit à jouir de grande quantité de sperme, de long jets épais s'écrasant contre la porte, les cloisons et le sol, tandis que Sayori émettait un long gémissement de pur bonheur. La lycéenne eu à peine le temps de s'en remettre, que la porte s'ouvrit de nouveau sur la même élève, un étrange sourire en coin.

- Et bien… c’était bon, j’espère… et c’est un bien joli secret que tu as là…

- Eh ? N-Nan... C... C'est p-pas... Q-Que... ?


On pouvait voir une certaine lueur de panique dans son regard. Non pas pour sa propre personne, mais pour la fille devant elle. Sayori savait que sa garde du corps ne devait pas être loin, et si jamais l'élève devant elle avait dans l'idée de la traiter de monstre, de l'insulter, de la battre, de divulguer le secret de quelque manière que ce soit, de faire du chantage ou d'abuser d'elle, Motoko agirait dans la seconde et la ferai taire... à jamais. Sayori était après tout issue d'une famille de Yakuza. La violence et la mort était son quotidien, même si elle n'était pas aussi tordue que sa famille. D'ailleurs en parlant d'elle, son ainée avait postée une de ses servantes sur une branche d'arbre, à coté de la fenêtre donnant sur les toilettes, prête à intervenir au moindre souci. C'est alors que l'élève lui avoua une certaine petite chose.

- Je crois qu’on pourrait bien s’amuser toutes les deux… j’ai le même secret que toi… et j’aimerais bien avoir… ta chose en moi… après je pourrais mettre la mienne dans ton intimité.

Sayori, qui était actuellement avachie sur la cuvette, le gode continuant de vibrer en elle sans qu'elle n'y fasse attention, fit de grands yeux suite à cette révélation pour le moins... inattendue. L'inconnue devant elle était vraiment une hermaphrodite comme elle ? Quelles étaient les chances pour qu'une telle rencontre puisse se produire ?

- T'es... Tu es v-vraiment une... ?

La matraque de Sayori, étant devenue molle entre temps, se redressa de nouveau face à cette possibilité. C'était sa première rencontre avec une personne comme elle et Sayori se sentait... excitée, à la simple idée de pouvoir le faire avec une autre hermaphrodite. Mais elle ne devait pas tomber dans un quelconque piège non plus. Suspicieuse malgré tout, elle regarda plus fermement sa camarade, toute trace d'hésitation disparue, mais le visage rougis par l'excitation.

- Si t'es vraiment une hermaphrodite comme moi... Montre là moi...

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