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Messages - Cécil Harvey

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Les landes dévastées / Re : Ceci est MA proie ! (PV Cirillia)
« le: dimanche 13 octobre 2013, 15:20:44 »
La demoiselle, plus calme et apparemment assez apaisée par son orgasme, laissa plus de possibilités à Cécil qui en profita. Son membre à nouveau raide désirait une autre douceur que celle du vagin de Cirillia, et ses seins étaient parfaits pour cela. Elle ne sembla pas rebutée par l'idée, au contraire, exprimant son plaisir de voir les choses prendre cette tournure. Un sourire se dessina sur les lèvres du paladin qui ne répondit pas, son plaisir étant évident. Elle prit son sexe entre ses deux globes de chaire, s'installant sur ses genoux pour mieux le caresser. Elle enserra la verge tout en bougeant elle-même le long de la colonne de chaire. La tête balancée en arrière, il ne savait plus quoi pensé : son membre était encore tellement sensible qu'il était difficile pour lui de songer à autre chose que le plaisir.

« Mmhhhh... doucement, plus doucement. »

En temps normal, Cécil se retenait lors de ses ébats, mais sentant qu'il pouvait se laisser aller sans craindre d'être possédé par Golbez qui déformerait son plaisir sexuel pour le pervertir, il pouvait faire preuve d'un peu plus de laisser-aller. Agir comme si une femme était un simple objet sexuel, c'était compliqué lorsqu'on avait un côté sombre en-soi pouvant ressortir, mais c'était plus simple lorsque celui-ci était cloîtré et bloqué par la puissance divine de l'ange qu'ils avaient rencontré.

Elle jouait avec le sexe de Cécil comme si c'était un petit jouet vivant. C'était agréable, la manière dont elle le torturait et le plaisait en même temps. Elle ne se cachait pas de jouer ainsi avec lui, ce qui rendait la chose unique. On pourrait croire que dans cette position, l'homme avait le contrôle, mais c'était bien l'inverse. Aussi, pour éviter de voir la demoiselle trop jouer avec lui, il glissa sa main dans ses cheveux, agrippant doucement la demoiselle pour mieux lui faire comprendre ses désirs. Mais Cirillia s'en sortait tellement bien qu'il avait bien du mal à se concentrer là-dessus encore.

Elle accéléra son sexe, lui donnant la sensation qu'elle allait le lui arracher. Il tentait tant bien que mal de se maîtriser, mais elle était décidément bien gâtée par la nature, rendant cela vraiment très difficile. Il avait déjà joui une fois, allait-elle lui donner si vite un deuxième orgasme ? Non, il ne voulait pas, pas de suite. Il quitta le confort des seins de la demoiselle, avant de la relever et de l'appuyer contre la barrière.


« Je pense qu'on peut encore en profiter un peu, mais autant commencer l'échauffement de suite avant le combat qui s'annonce. »

Il prit la cuisse de Cirillia et la leva jusqu'à son épaule, sur laquelle il l'appuya. Il la tenait en même temps par la taille, lui donnant une certaine stabilité. Il présenta son sexe encore opérationnel à l'entrée du vagin de Cirillia. Il enfonça une nouvelle fois le membre en érection en elle, avec une certaine joie de retrouver le confort des milliards de mains massant son sexe délicatement. Mais dans sa hâte et dans l'excitation, sa verge la pénétra par l'anus, procurant des sensations agréables autour du sexe de Cécil qui, prenant trop de plaisir, ne remarqua pas que celle-ci était bien différente de celle d'une pénétration standard. Pendant les premiers instants, il profita de ces sensations, quand soudainement, il remarqua que quelque chose était différent d'avant. Il observa et ne put que, trop tard, constater qu'il s'était trompé. Il s'immobilisa soudainement, attendant une remarque de Cirillia. Il fallait l'avouer, cette sodomie était vraiment voluptueuse pour le paladin, mais qu'en était-il pour la demoiselle ?

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Ville-Etat de Nexus / Re : Marcher vers la lumière [PV]
« le: dimanche 04 août 2013, 23:13:09 »
Lorsque Cécil réapparu finalement aux yeux de la demoiselle, elle semblait rassurée et en même temps effrayée par ce qu'il s'était passé. Elle s'excusait de l'avoir amené là. C'est sûr qu'il aurait sans doute souffert autant que n'importe quel autre quidam ayant tenté sa chance si Golbez n'avait pas pris possession de son corps, utilisant le pouvoir des ténèbres pour éviter trop de dégâts. Elle continua à s'excuser, alors que Cécil ne semblait pas pour le moins du tout dérangé.

Elle baissait la tête en jouant avec son tissu, alors que les passants continuaient à regarder le paladin avec des yeux ronds, comme s'ils ne croyaient pas ce qu'ils voyaient. Elle semblait inquiète, et Cécil, dans son état actuel, avait une idée pour profiter de la situation. Il croisa les bras, prenant un air agacé, avant de dire, avec une voix accablante :


« Oui, c'était dangereux... J'ai bien failli mourir en voulant te faire plaisir. Tu te rends compte, à quel point c'était un combat rude ? »

Il fallait dire que les regards des gens autour et le colosse plié en deux en se tenant le bras n'était pas pour aller dans sa version des faits, mais il avait bien l'intention de profiter de l'occasion pour laisser aller ses désirs. Il s'approcha doucement d'elle, avant de se pencher en avant et de dire :

« Mais on va passer l'éponge, tu es d'accord ? Juste en échange d'un petit service, j'oublie que j'ai bien failli avoir ma colonne brisée. J'ai pas encore tout donné de mon énergie, dans ce combat, et tu peux m'aider là dessus. Suis-moi. »

Il fit doucement tourner la demoiselle en la prenant par l'épaule, avant de la guider hors de la foule qui s'écartait face à eux. Ils s'éloignèrent rapidement du la zone de la foire pour se diriger vers le centre de la ville. Tout le long de la promenade, Cécil n'avait rien dit, gardant sur son visage un sourire léger, un regard complètement différent de celui qu'il avait avant. Il ne lui fallut pas long pour arriver jusque-là où il voulait aller avec elle : une petite auberge du coin.

Il la poussa doucement à l'intérieur du lieu, la tenant toujours par l'épaule, avant d'approcher le réceptionniste. Il posa quelques pièces en demandant la chambre à lit double la plus confortable qu'il avait. Après un instant d'hésitation, l'homme donna une clé au couple que Cécil prit doucement en regardant sa petite protégée, pour ensuite l'emmener dans la chambre.

C'était une grande chambre avec un immense lit, avec une petite table avec de quoi faire sa toilette. Ce n'était pas le grand luxe, mais ce n'était pas là ce qui intéressait Cécil. Arrivé dans la chambre, il laissa Maelie passer avant de fermer derrière eux. Il s'approcha ensuite d'elle, son sourire ne dissimulant pas ses intentions.


« Alors, ma petite Anastasia, tu m'as vu torse nu, je pense qu'il est de bonne guerre de me rendre l'ascenseur. Montre-moi ce que tu caches sous ces vêtements. »

Il croisa les bras, ne lui laissant pas vraiment d'issue ni de choix sur ce qu'il allait arriver. Était-ce une chance ou non pour elle ? Là était bien le cadet de ses soucis. Il voulait simplement s'amuser autant que possible avec cette demoiselle.

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Les landes dévastées / Re : Ceci est MA proie ! (PV Cirillia)
« le: samedi 03 août 2013, 12:53:43 »
La danse érotique de la demoiselle la rendait superbe, plus encore qu'au naturel. On avait du mal à croire que cette demoiselle était une chasseuse de talent mêlé d'un garçon manquait, bien au contraire, on s'imaginait plus une représentation de la féminité, une Vénus en tenue de Diane, si l'on peut dire. Sa manière de se mouvoir rendait fou le paladin qui, en plus du plaisir physique, en retirait un énorme plaisir visuel. Ajouter à cela les gémissements de Cirillia, l'odeur subtile de sueur et de phéromone et le goût de sa peau encore sur sa langue, tous ses sens étaient en éveil, en alerte. C'était tout ce qu'il pouvait espérer. Cet instant d'éveil fut interrompu par la demoiselle qui posa sa main sur ses yeux, le privant du plaisir visuel, décuplant cependant son plaisir physique et sonore.

Elle retira sa main, bougeant de manière plus vigoureuse encore, alors que son corps était parcouru d'un frisson d'extase. Soudain, comme si elle voulait l'achever, son vagin comprima le sexe de Cécil qui ne pouvait plus tenir. Le corps de la demoiselle se tendit, alors que celui de son amant se crispa, ses doigts s'enfonçant dans sa peau et sa semence se rependant en elle. Dans un grognement rauque, il bascula sa tête, fermant les yeux, interrompant tout mouvement de hanche de sa part, alors que ceux de la chasseresse semblaient pomper tout son jus. À peine son orgasme finit, il sentit son membre être repris d'assaut pas le con de la femme. Elle n'avait pas envie d'arrêter ? Entouré et malaxé de la sorte, le sexe de Cécil semblait également en redemander, gardant sa vigueur habituelle. Aussi, il fit un immense sourire à la demoiselle, tout en soupirant d'aise.

Il la laissa profiter de son corps quelques instants dans cette même position, avant de la forcer à s'allonger sur elle. Puis en se tournant sur lui-même, il passa sur le dessus de Cirillia, l'allongeant sur le balcon froid tout en gardant son sexe en elle. Il prit un de ses bras qu'il plaqua au sol, au dessus de la tête de Cirillia, avant de relever une de ses cuisses . Il avait pu récupérer, malgré les efforts fournis durant l'orgasme, et pouvait maintenant reprendre un peu les rênes. Il donna un coup de reins sec en elle, enfonçant le membre entier d'une traite, puis reprit les mouvements de va-et-vient en elle, son corps chaud comme la braise laissant couler des gouttes de sueur sur celui de Cirillia. Tenant fermement le bras de son amante, il montra une certaine vigueur dans ses mouvements tantôt secs et profonds, tantôt rapides comme un piston. Son sexe, à la fois sensible sur le gland et anesthésiée sur le reste, lui procurait un plaisir particulier, alors que l'impression d'être massé par des milliers de mains revenait douceur autour de son sexe.

Après quelque temps, il se retire d'elle et remonte vers sa poitrine, s'installant comme elle l'avait été sur lui, son gland dépassant de la poitrine. Tenant le membre dans une de ses mains et se masturbant devant elle, il lui sourit sans rien réclamer, attendant qu'elle s'exécute, son autre main passant derrière sa tête pour agripper ses cheveux. S'il y avait bien quelque chose qui plaisait à Cécil, en matière de sexe, c'était les caresses d'une poitrine sur sa pine. C'était, pour ainsi dire, sa position favorite, surtout avec les poitrines généreuses, comme celle de Cirillia qui lui donnait plus qu'envie.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Marcher vers la lumière [PV]
« le: vendredi 02 août 2013, 16:27:02 »
La demoiselle refusa son présent, mais pour autant, le paladin ne se sentait aucunement vexé. Loin de là même. Elle l'attira rapidement du côté des jongleurs. L'un d'entre eux montrait une grande habileté en jonglant avec plusieurs torches en même temps. Cecil admira la dextérité de l'artiste, en acquiesçant doucement à ce que disait la demoiselle. Elle avait été saltimbanque, autrefois ? Seuls les saltimbanques apprenaient à jongler ainsi, mais il fallait avouer, il n'en savait pas tellement sur ce monde. Donc cela pouvait bien être autre chose. Elle mima le fait de jongler en tirant la langue comme concentré sur des balles invisibles. Le paladin s'amusa du "spectacle" en riant doucement, alors que les autres personnes murmuraient l'impertinence de la jeune fille de se "moquer" ainsi du jongleur à côté duquel ils se trouvaient.

Soudain, une voix attira son attention. Sur le ring, un homme maigrichon l'invita à affronter le lutteur, un homme à forte carrure et apparemment ayant enchainé que des victoires jusqu'à présent. Il fit flamber la foule pour qu'il monte sur le ring et l'affronte. Gêné, il s'en alla refuser, lorsque la demoiselle dit timidement :


« C'est vrai que ça pourrait être amusant... »

Sur le coup, Cécil resta de marbre, avant de sourire en baissant les yeux. Il avait clairement peu de choix, il voulait faire plaisir à la demoiselle, après tout. Il se redressa et s'approcha du ring, en commençant à retirer son armure. Arrivé sur le ring, il posa ses pièces d'armure, avant de retirer le haut de sa tunique, dévoilant un torse musclé parfaitement lisse et clair. Face au lutteur, Cécil semblait être un nain et peu musclé, alors qu'il était déjà lui-même bien battis. L'homme maigrichon rappela les règles du combat qui, de toute manière, ne serait pas respecté. Cécil se mit en position de combat à main nue. En tant qu'ancien chef du corps armé de Baron, il avait une formation au combat sans armes.

Le combat débuta, le paladin fonça sur son adversaire, esquivant le coup qui lui était porté. Il passa à l'arrière de l'homme et l'attrapa aux hanches et tenta de le soulevé. Il avait estimé le poids de l'homme, et il aurait été largement capable de le soulever. Pourtant, il ne bougea pas d'un pouce. Comme s'il était attaché au sol. Il relâcha aussitôt et tenta de reculer, mais il reçut un revers de la main assez violent pour le projeter sur le côté. Il tomba dans les cordes, secoua sa tête pour reprendre ses esprits et se releva. Quelque chose clochait. Il fonça vers lui et se laissa glisser à ses pieds, frappant le tibia de toutes ses forces. Mais aucun mouvement, aucun signe de faiblesse. Au contraire, c'est Cécil qui avait alors mal au pied. Comment était-ce possible ?

Le lutteur l'attrapa et le souleva en l'air, avant de le poser sur ses épaules et tirer sur ses épaules et ses jambes, lui arrachant un cri de douleur, son dos en train d'être pulvérisé. Son esprit commença à partir, et il sentit le rire de Golbez plus présent que jamais. De manière soudaine, il tourna sur lui-même, glissant de l'emprise de son adversaire en retombant doucement au sol. Il se tenait le crâne, son esprit de plus en plus embrouillé. Le gros Hector fit mine de tomber en arrière, mais Cécil s'élança loin. Le lutteur se releva doucement, le sourire aux lèvres, en fixant le paladin qui l'observait, haletant de douleur, son dos le faisant souffrir. Non loin, le maigrichon continuait à provoquer les acclamations de la foule. Cécil fonça sur Hector, mais se prit son poing en pleine face. Tomba la tête en arrière, il s'évanouit. Le lutteur leva les poings en signe de victoire, alors que son acolyte comptait déjà.


« Un ! Deux ! Trois ! Qu... »

Cécil se relevait doucement, alors que l'acolyte ne comprenait pas. C'était la première fois que quelqu'un se relevait du coup porté par son partenaire qui, sous ses gants, portait des poids de fer, capable de pulvériser les os. Pourtant, Cécil ne portait aucune trace de sang ou de blessure sur le visage, à part quelques ecchymoses. Relevé, le paladin se craqua la nuque en souriant :

« Aller, Hector, on n'en a pas finis, toi et moi... »

Surpris, le lutteur se tourna vers son adversaire et s'élança. Cécil esquiva et attrapa son bras, avant de le passer dans le dos de ce dernier. Il frappa de tout ses forces dans les bottes en métal, la douleur parcourut son corps, mais il fit tomber le colosse vers l'avant. Tenant toujours le bras dans le dos, il maitrisait alors son adversaire qui criait de douleur et demandait grâce. Mais Cécil, pris par l'adrénaline et l'esprit maléfique, ne relâcha pas la pression, appuyant même davantage sous le regard horrifié des spectateurs qui hurlèrent lorsqu'un bruit sonore retentit depuis l'épaule de Hector qui hurla de douleur.

Le combat était fini. Cécil n'était pas satisfait du tout. Il tourna les talons alors que le présentateur accourait vers son ami pour lui demander ce qu'il avait. Cécil remit son armure, sans rien ajouter, avant de descendre. Les gens s'écartaient sur son passage, alors qu'il s'en retournait vers Maelie. Avait-elle apprécié le spectacle ? Et voyait elle l'aura sombre qui émanait discrètement de lui, imperceptible par les simples humains ? Pouvait-elle simplement voir dans ses yeux la créature maléfique qu'il était devenu après ce combat ?

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Les landes dévastées / Re : Ceci est MA proie ! (PV Cirillia)
« le: mardi 09 juillet 2013, 13:01:44 »
La demoiselle avait compris que son amant commençait à fatiguer, avant même qu'il ne lui dise qu'elle était une tigresse. Elle se retourna vers lui en souriant sous ses paroles. Elle se retira et se tourna complètement vers lui, le fixant de ses magnifiques yeux marron. Heureusement qu'elle lui souriait, sinon le paladin aurait craint le pire. Sa remarque amusa Cécil, dans le sens où il fallait reconnaître, chasser les dragons demandait bien une forme physique exceptionnelle, ce que, de toute évidence, la belle chasseuse avait. Elle posa doucement ses mains sur ses épaules, griffant au passage la peau du guerrier de la lumière avant de l'embrasser. Son membre, toujours raide, palpitait avec envie. C'était bien là la preuve qu'elle lui faisait un effet d'enfer. Elle joua de sa langue, mordilla sa lèvre inférieure pour l'exciter davantage, avant de le pousser soudainement.

Surpris, Cécil tomba à la renverse, allongée sur le dos, avant de relever les yeux vers la demoiselle qui avait déjà passé ses jambes à hauteur de ses hanches, lui offrant la charmante vision de son sexe trempé, la cyprine dégoulinante sur ses cuisses. Elle prenait donc tant de plaisir ? Cela flattait le paladin qui sentait qu'elle en avait attendu tout de même plus. Elle se posa à califourchon sur lui et, descendant sur lui, elle s'empala sur la colonne de chaire soudainement. Cécil grimaça : malgré ses allers et venues en elle, elle était toujours aussi serrée lorsqu'il la pénétra à nouveau. Sans faire attention, il porta, ses mains aux cuisses de la demoiselle qu'il enserra autour de ses doigts, la griffant légèrement, lâchèrent :


« Aaaahhh merde... Mais comment fais-tu pour être aussi serré. C'est presque inhumain. »

Cela était sorti tout seul. Il fallait l'avouer, il était totalement possédé par la demoiselle et son sexe qui n'en finissait plus, avalant son sexe au diamètre plus que raisonnable rapidement, comme un ogre avalerait son déjeuner. Difficile de trouver une comparaison plus subtile, car c'était bien ça : la vulve de Cirillia n'avait même pas pris le temps de s'habituer à la grosseur du jeune paladin pour prendre celui-ci en entier. C'était divin ! Et alors qu'il se remettait à peine de ses émotions, Cirillia commença à bouger sur le sexe tendu, donnant à Cécil des sensations étranges. Ce n'était pas simplement des mouvements de va-et-vient : elle bougeait de telle manière à ce qu'il sentait son sexe plier légèrement, se courber en elle tel un serpent. Loin d'être désagréable, l'effet sur les sensations du paladin était décuplé. Il n'en revenait pas d'avoir un tel plaisir sous les mains de la chasseuse qu'il savait pleine de surprises.

Après quelques minutes durant lesquelles elle s'amusait avec son corps, Cécil se redressa et attrapa les seins de la demoiselle avec ses lèvres. Comprenant que les simples caresses ne l'amuseraient pas longtemps, il commença à mordiller le téton, à tirer dessus comme elle l'avait fait avec ses lèvres, tandis que son autre main alla chercher l'autre sein qu'il malaxa et serra entre ses doigts, sa main libre s'étant glissée sur ses fesses qu'il gifla, comme pour lui indiquer d'accélérer le rythme. Son corps devenait de plus en plus chaud, il appréciait d'autant plus qu'il pût sentir le liquide lubrifiant de la demoiselle glisser sur ses jambes et sur le bois. Elle prenait un plaisir fou sur lui, et ce plaisir était partagé. Son sexe palpitait toujours en Cirillia, alors qu'il sentait son étreinte autour de lui se resserrer, rendant l'orgasme difficile tellement son sexe était comprimé.


« C'est trop bon. Plus vite ! »

Il attrapa les fesses de la demoiselle en s'allongeant de nouveau et l'aida à les bouger avec plus d'ardeur. Allongé comme il était, il pouvait pleinement profiter du plaisir et le faire partagé, alors que debout, il se gardait de partager son plaisir verbalement. Surtout que les mouvements de Cirillia et la vision de cette danse érotique sur son corps lui enlevaient la retenue habituelle qu'il avait, sa timidité naturelle. Les deux globes bougeant en rythme sous ses yeux, les cheveux se laissant balancer au gré du souffle de la brise, le corps de la demoiselle brillant sous l'éclat de la lune à cause de la sueur, il fallait dire que tout cela mélangé au plaisir sexuel qu'il ressentait était le meilleur aphrodisiaque du monde.

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Les landes dévastées / Re : Ceci est MA proie ! (PV Cirillia)
« le: samedi 06 juillet 2013, 22:56:20 »
Cirillia semblait apprécier la taille de son sexe et la sensation l'intérieur d'elle tirer des deux côtés. Sa voix et ses paroles laissaient bien entendre qu'elle aimait ce que lui faisait vivre le paladin, alors que ses mains malaxaient ses fesses et sa poitrine. Leur corps fusionné était un plaisir pour l'homme. Mais rapidement, Cirillia montra qu'elle en voulait plus en frappant les fesses de son amant et en lui demandant d'y aller plus fort. Cécil ne voulait pas décevoir sa partenaire et obtempéra, faisant des mouvements plus brusques, plus raides et plus profonds. Il prit également une des jambes de la chasseuse pour la soulever et rendre ses mouvements plus simples pour lui.

Sentant leur sexe se contracter l'un sur l'autre, il semblait qu'elle appréciait vraiment leur partie de jambe en l'air. Lui aussi aimait cela. Il était bien plus habitué aux relations plus douces et charnelles, mais avoir l'occasion de pratiquer du sexe un peu plus brutal était très plaisant également. D'autant que les gémissements non dissimulés de Cirillia excitaient encore davantage le paladin qui y mettait du coeur à l'ouvrage, ramonant la demoiselle avec un certain entrain. C'était peu dire, car il se brisait presque les reins à bouger ainsi, sans s'arrêter, ses hanches frappant les fesses de la demoiselle, provoquant un bruit très agréable aux oreilles de Cécil.

Au bout d'un moment, pourtant, le rythme de ses va-et-vient s'amoindrissait. Il était si peu habitué à faire l'amour de manière si sportive qu'il s'épuisait rapidement, ses hanches un peu douloureuses d'un rythme si soutenu. Il tenait fermement la demoiselle, mais elle pouvait rapidement constater qu'il faisait preuve d'une certaine faiblesse. Malgré ses muscles et ses capacités guerrières, il n'était vraiment pas habitué à être un amant brutal ou, tout du moins, le genre d'amant à baiser simplement pour le sexe.


« Tu... es une vraie tigresse, ma parole. Si ça continue comme ça, tu auras ma peau avant ce démon ! »

Il valait mieux en rire, la situation étant assez gênante après tout : il avait l'occasion de satisfaire toutes ses pulsions, mais il n'arrivait pas à soutenir le rythme demandé par la demoiselle. Comme il le disait, il serait vite trop épuisé pour combattre par la suite, ce n'était vraiment pas la peine.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Marcher vers la lumière [PV]
« le: samedi 06 juillet 2013, 22:07:26 »
Le paladin c'était quelque peu lamenté. Ce n'était peut-être le meilleur moyen d'acceuilleir une demoiselle étant venue pleurer son père. Il aurait dû être plus joyeux, essayer de la réconforter, mais cela avait échappé au paladin, l'ambiance du lieu étant davantage propice au recueillement. Elle tenta de la réconforter, avant de dire qu'elle ne souhaitait plus parler de cela, la rendant sans doute triste. Elle fixa quelques instants le dessus de l'épaule de la demoiselle, avant de lui dire qu'elle souhaitait prendre l'air. Le paladin compris qu'elle voulait oublier cela. Il se leva en souriant, tendant sa main vers elle :

« Permettez-moi de vous tenir compagnie, mademoiselle Lughinine. »

Cécil savait qu'il y avait un marché, aujourd'hui. Les étalages proposaient des babioles et quelques gourmandises, ainsi que des petits jeux avec prix. Le paladin se disait que ces petits plaisirs lui feraient un bien fou, lui faisant oublier ses tracas et sa tristesse. Le tout était de permettre à la demoiselle de se détendre. Cela lui permettrait de se détendre par la même occasion, de profiter de la fête et de s'offrir un instant de paix au sein de la ville.

L'aidant à se lever, il se dirigea vers la sortie, où une prêtresse l'attendait avec son arme. Il la prit délicatement et l'attacha à sa ceinture, sans remarquer le léger éclat doré autour, signe qu'un démon se trouvait non loin. Il ne se serait même jamais douté que l'engeance en question se trouvait être la demoiselle qu'il venait de rencontrer dans l'église. C'est donc naturellement qu'il sortit en compagnie de sa petite protégée, rejoignant l'air libre et le soleil.

Dans la ville, c'était la fête partout : les étalages publics présentaient des produits locaux, des petits jeux comme faire tomber les bouteilles en verre avec un petit sac de sable ou attraper la pomme dans le tonneau d'eau. Plusieurs étalages étaient intéressants, et en se promenant, Cécil s'arrêtait de temps en temps pour les regarder. C'est ainsi qu'ils arrivèrent jusqu'à un petit étalage montrant des petites sculptures en bois. L'une d'elle était des plus effrayante, semblant représenter un démon cornu. En fixant celui-ci, Cécil porta machinalement sa main à son épée, avant de dire à la demoiselle :


« Impressionnant ces petites figurines, vous ne trouvez pas ? Vous en voulez une ? »

Il sortit doucement sa bourse en regardant le vendeur qui montrait à la demoiselle son étalage, comme des petites fées des bois, des sirènes sur des rochers et beaucoup d'autres. Cécil observait les environs, un peu inquiet, une sensation étrange le tenant aux tripes. Depuis qu'il avait quitté l'église, une sensation bizarre le rendait nerveux, comme s'il était non loin d'une créature maléfique. Il tenta de faire abstraction, retournant son regard vers la demoiselle. Il lui demanda, avec un petit sourire :

« Vous avez vu quelque chose qui vous plait ? Ne soyez pas gênée, cela me ferait plaisir. »

Il voulait rendre le sourire à cette demoiselle, ignorant qu'elle avait fait semblant de lui montrer de la tristesse. Gentil, peut-être trop. Mais il était bien comme cela.

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Les landes dévastées / Re : Ceci est MA proie ! (PV Cirillia)
« le: vendredi 05 juillet 2013, 16:11:18 »
Cirillia était enflammée, sans doute par la frustration d'avoir été défait par Gravehammer, et souhaitait vite se débarrasser ce poids sur le corps, d'une manière ou d'une autre. Sur ce point, les deux compagnons étaient dans le même état d'esprit, le désir de Cécil alors étant uniquement dirigé sur son envie irrépressible de faire l'amour à la chasseresse. Mais le paladin sentit que ses petites caresses encore chastes n'étaient pas ce qu'elle voulait, bien avant que sa voix résonne pour exprimer ce qu'elle avait sur le coeur alors. Cependant, son corps réagissait, libérant le doux jus lubrifiant de son sexe, alors que celui de Cécil poussait ardemment contre le tissu de son pantalon.

Sa phrase laissant entendre ce qu'elle voulait réellement : du sexe, vrai et brut, pas de sentiments. Elle n'était effectivement pas une femme qu'on effraie sur le plan sexuel. Elle laissa glisser ses jambes à terre, ôta le pantalon de Cécil, ce dernier retirant le haut de sa tunique pour être plus à l'aise, dévoilant un torse musclé, digne d'un guerrier expérimenté et surentrainé. Elle lui murmura qu'elle le voulait en lui, qu'elle ne pouvait attendre et que, de toute évidence, lui-non plus. Il fallait l'avouer, même si Cécil était du genre fair-play, laisser libre cours à ses pulsions sans que Golbez n'intervienne était tellement rare qu'il fallait en profiter. C'est donc avec un léger sourire qu'il dit, baissant les yeux :


« Demandé si gentiment ... »

Il posa ses mains sur les épaules de la demoiselle et la tourna vers le mur, l'obligeant à se pencher en avant et à courber le dos. Ses fesses à l'air libre, il avait plaisir à admirer la croupe briller sous le clair de lune, le tatouage sur ses hanches donnant un effet des plus agréables. La situation était des plus idéale : son sexe dégoulinait de cyprine, alors que le sien palpitait rien qu'à la vision de la demoiselle en attente que le gourdin ne la pénètre. Il posa ses mains sur les fesses de la demoiselle, approchant ses hanches de celles de la demoiselle. Son sexe glissa le long de celui de la chasseuse, avant de s'enfoncer en elle, écartant les petites lèvres et les parois aussi soudainement que le coup de reins qu'il donna. Il glissa en elle avec une telle facilité qu'il en fut surpris, malgré l'étreinte de l'intérieur de la demoiselle sur son membre. Sur le coup, il eut une petite grimace, ne s'attendant pas à une telle pression sur son sexe. C'était comme si Cirillia avait attendu cela depuis longtemps, tout comme lui. Il vaudrait se retirait qu'elle arriverait à l'en empêcher et le retenant de l'intérieur.

Une ou deux secondes après, le temps de s'habituer à la douceur du sexe de la demoiselle, il commença à se mouvoir en elle, assez légèrement pour commencer, puis plus brusque et plus profondément par la suite. Tenant de ses deux mains fermes les hanches de son amante, le paladin observait les fesses claquer sur ses hanches avec une certaine délectation. Il aimait beaucoup cette sensation. Ses mains se détachèrent des hanches de Cirillia pour aller chercher la poitrine de la demoiselle, encore cachée par sa tenue de cuir. Penché sur elle, son souffle fort glissait sur la base de son cou, alors que ses mains tenaient les deux globes, encore enfermés dans leur prison dont il entreprit de défaire les liens. Une fois les lacets retirés, il libéra les deux globes dont il se saisit, malaxant ceux-ci quelques instants, avant de reprendre sa position de départ, plus confortable et offrant plus de mouvements possibles. Le souffle de Cécil devenait rauque, épais, lourd même. Il avait beaucoup de plaisir à dominer ainsi la demoiselle, bien qu'il ne verrait pas d'un mauvais oeil qu'elle soit d'humeur à prendre à son tour le taureau par les cornes.

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Les landes dévastées / Re : Ceci est MA proie ! (PV Cirillia)
« le: mardi 25 juin 2013, 13:45:01 »
Cirillia répondit positivement au baiser de Cécil, se collant un peu plus contre le paladin, courbant son corps pour se plaquer contre lui. Les mains du paladin, un peu plus assuré, se glissèrent plus loin sur son corps, entourant la courbe de son dos, frôlant les fesses de la demoiselle, l'autre ayant passé dans sa nuque, sous ses longs cheveux châtains. Les mains de cette dernière griffèrent légèrement le métal de ses gantelets, alors que ses lèvres de détachait pour murmurer son attirance pour les hommes bien bâtit en armure. Alors qu'elle le faisait frissonner en mordant la peau de son cou, le paladin ne put retenir un léger rire entre ses lèvres, continuant à caresser la nuque de l'aventurière.

Pour autant, il montra un grand intérêt pour la femme en agrippa l'une de ses fesses avec une main ferme, malaxant doucement celle-ci entre ses doigts. Un grand sourire se traversa le visage du paladin qui ferma doucement les yeux en profitant du contact de leur corps collé l'un contre l'autre, ainsi que la touche de délicatesse de la demoiselle contre sa joue. Elle remonta sa jambe le long de sa cuisse avant de l'enrouler, reprenant un baiser profond, plus puissant qu'avant. Elle se collait un peu plus contre le jeune homme, elle le désirait vraiment, et sa phrase laissait bien comprendre ce qu'elle attendait de lui, ses doigts glissants sur les lèvres du paladin.


« Pour être franc, j'espérai avoir cette possibilité depuis cet aperçu dans la tente. Comment résister à une si charmante vision ? »

Sa main tenant les fesses de la demoiselle glissa sur les lacets tenant le pantalon de cuir, les défaisant bout par bout, tout en glissant ses lèvres dans son cou, mordillant les bouts de peau qui passait à porter de ses lèvres, respirant le parfum de la demoiselle. Malgré les batailles, la sueur et le sang, son parfum était doux au nez du paladin qui s'enivrait les yeux fermés. Une fois les hanches de Cirillia légèrement libérées de l'étreinte du cuir, il glissa sa main sur son ventre, en direction de son entrejambe. Il la plaqua contre le mur du balcon, empêchant toute retraite de la demoiselle, son autre main à côté d'elle, son corps encore collé contre le sien.

Sa main descendait doucement jusqu'à la vulve de la demoiselle. Il laissa sa main atteindre doucement l'entrée de l'antre de la demoiselle où il laissa trainer ses doigts contre les grandes lèvres, sa bouche remontant sur celle de Cirillia pour l'embrasser plus intensément, leur langue dansant comme un ballet endiablé. Son sexe battait au rythme de son coeur dans son pantalon en tissu, fébrile de désir et d'envie. Cela faisait longtemps que Cécil n'avait pas goûté la saveur d'une femme, de l'acte charnel. Généralement, le paladin de la lumière était beaucoup trop préoccupé par sa quête et par les combats pour se préoccuper de ses besoins physiologiques.

La dernière fois, c'était dans une grotte, en compagnie d'une petite demoiselle qu'il avait sauvée des griffes de monstres assoiffés de sang. C'était il y a bien trois ou quatre mois. Donc, surtout après la peur de la mort qu'il eût vécu, la compagnie de Cirillia était des plus réconfortante et des plus agréable. D'autant que Golbez faisait silence, sans doute à cause de la présence de l'ange non loin. Il pouvait donc en profiter sans retenue, sans contrainte, sans peur de défaillir et que l'esprit l'habitant prenne le pas sur ses actes. Il voulait vraiment profiter de ce moment, oubliant la bataille à venir.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Marcher vers la lumière [PV]
« le: dimanche 23 juin 2013, 14:25:00 »
Cécil était le genre de personne à rester bienveillant autant que possible. Ses années de chevalier des ténèbres avaient eu suffisamment d'impact sur lui pour souhaiter éviter la violence à tout prix, une fois devenue paladin de la lumière. Non pas qu'il fut violent et sans pitié à l'époque, mais le regard des autres sur son armure noire et son épée couleur sang avait vite fais d'effrayer les gens. Aussi, à présent, même s'il n'avait pas de raisons particulières, il montrait une certaine gentillesse et une grande patience. Au détriment de sa sérénité, parfois. Mais c'était anecdotique.

De plus, cette demoiselle était agréable : polie, aimable et souriante. Cécil était donc le plus serein du monde, alors, entre le calme du lieu de culte et la présence d'une demoiselle aussi agréable à ses côtés. En engageant la conversation, cependant, il sembla noter une certaine hésitation dans la voix de la demoiselle. Il n'y fit pas attention, bien qu'il trouva cela quelque peu étrange. Elle se présenta et expliqua la raison de sa venue. En entendant qu'elle vint prier son père mort alors qu'elle n'était encore qu'une nouveau-née, le chevalier se sentit désolé pour elle. Son visage souriant devint solennel, alors qu'il dit doucement :


« Je suis désolé... »

Elle expliqua qu'il était un combattant mort en un royaume nommé Tchétchénie. Ne connaissant pas entièrement le territoire de ce monde dans lequel il était tombé à cause de son ennemi juré, Golbez, Cécil ignorait qu'il s'agissait d'un pays de la Terre, et non de Terra. Il acquiesça silencieusement, avant de dire :

« Vous êtes courageuse de venir prier votre père. Surtout pour votre âge. Beaucoup de personnes oublis trop rapidement ceux dont ils devraient se souvenir. »

Il disait aussi cela pour lui : il avait perdu de nombreux soldats du temps où il était chef de l'armée du roi de Baron. Des soldats de premier ordre, très capable et très discipliné. Aussi, chaque perte était un peu comme une plaie ouverte sur le coeur du paladin. Depuis qu'il avait rejoint l'ordre de la lumière, il n'avait de cesse de songer à eux, de prier parfois pour leur repos.

Cécil voulait éviter d'imposer à la demoiselle de parler de cette perte, sans doute douloureuse. Aussi, il laissa un silence s'installer quelques instants, avant de reprendre, comme dans une transition :


« Pour ma part, je prie pour mes compagnons d'armes que j'ai laissés derrière moi, sans nouvelles... non pas que je les ai abandonnés de mon propre chef, j'y ai été forcé. Je suis loin d'eux, à présent, et j'ignore s'ils se souviennent de moi. Je suis sans doute comme mort pour eux. »

Une pensée on ne peut plus déprimante, certes, mais le paladin affichait un sourire léger sur les lèvres. Cela faisait si longtemps qu'il était là qu'il s'était habitué à songer à cette éventualité. Peut-être avait-il fait une tombe, pour lui, quelque part en Baron, aux côtés du roi qu'il avait servi tant d'années. Son regard fixait le vitrail d'où émanait la lumière baignant le temple dans une lueur tamisée et légère, mais inondant l'autel de sa clarté.

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Le paladin fut surpris de la réponse de la demoiselle. Elle semblait sincèrement ignorer ce qui était gênant dans sa position et dans le fait de pouvoir voir cette partie intime de lui. Était-elle si ingénue qu'elle semblait le montrer ? Lui qui ne voyait pas forcement le mal chez les personnes qu'il rencontrait sans qu'elles n'indiquent réellement leurs intentions malfaisantes, il croyait en l'innocence de la demoiselle, ce qui lui retira un petit peu de sa gêne et le fit sourire, alors qui lui répondait :

« Non non, rien de mal. C'est juste qu'une jeune fille... ne devrait pas se dévoiler ainsi. »

Elle se regarda jusqu'à ce qu'elle remarque que son intimité était dévoilée. Elle comprit en s'excusant de cette méprise, demandant ce qui gênait le plus le paladin, de voir sa "minette" comme elle le disait ou de voir une partie de sa poitrine. Elle était innocente, mais pas non plus totalement ignorante. Le paladin vérifia une fois de plus vers l'entrée de la grotte, avant de répondre :

« Les deux. C'est quelque chose d'humain que d'avoir une gêne lorsqu'on découvre ainsi ces parties du corps d'une jeune femme. Peut-être êtes-vous encore jeune pour comprendre, mais veiller à ne pas ainsi vous dévoiler en face d'un inconnu. »

Heureusement, le paladin était vertueux et ne profiterait pas de l'innocence de la demoiselle impunément pour satisfaire ses envies primaires. Bien entendu, il était intrigué par la demoiselle, par sa beauté, mais il restait admiratif par sa pureté et ne souhaitait pas détruire cette pureté sans qu'elle ne le sache et qu'elle n'en comprenne les conséquences, les tenants et les aboutissants. La demoiselle s'approcha de lui et se colla à lui, cherchant la chaleur. Cependant, ce contact fit frissonner le chevalier de Lumière. C'était normal : il était déjà quelque peu excité par ce qu'il avait pu voir, et à présent, elle se collait contre lui, qui était le haut du corps nu. Il continuait à croire en une certaine innocence de la demoiselle, ce qui se confirma par sa demande suivante :

« Dis... Je peux te demander quelque chose?... En fait j'aimerais, si ça ne te dérange pas, te voir nu. Je n'ai jamais vu d'homme complètement nu avant et j'aimerais savoir à quoi ça ressemble. Mes gardes et mes servants ne veulent jamais le faire. »

Cécil l'observa quelques secondes, se demandant s'il avait bien entendu ce qu'il avait cru entendre. Il réfléchit ensuite s'il était raisonnable de le faire, ainsi, dans un lieu comme celui-ci. Au moins, ce qu'elle voulait était encore dû à son innocence. Elle devait ignorer ce que cela pouvait provoquer de voir un homme nu. Cécil hésita, puis posa sa main sur sa tête en souriant :

« Avant, il faudrait qu'on se présente. On doit connaître un minimum quelqu'un avant de le voir nu, c'est ainsi que cela se fait. Je m'appelle Cécil Harvey. Et vous, qu’elle est votre nom ? »

Une fois qu'elle s’est présentée, Cécil veilla à ce qu'aucun monstre ne soit à proximité. Avec la pluie, il devait avoir pris le chemin le plus court jusqu'à leur nid. Ils devaient courir très peu de risque s'il se déshabiller totalement. De toute manière, il était déjà sans son plastron, tout ce qu'il fallait, c'est qu'il garde son épée à proximité, s'assurer de pouvoir réagir s'ils étaient attaqués.

Une fois cela fait, il se leva et commença à retirer ses jambières et son pantalon de tissu. Il se retrouva ainsi nu devant elle, son sexe en début d'érection après avoir vu une partit du corps de la demoiselle sans rien pour la cacher. Il fixa la demoiselle, légèrement gêné, lui demandant :


« Voilà... le corps d'un homme est bien différent de celui d'une femme, vous l'aurez remarqué, je pense. »

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Les terres sauvages / Re : Ma vie pour le coffret [PV Sekhmet]
« le: lundi 13 mai 2013, 18:20:12 »
Le paladin tenta de négocier, en vain, avec le bandit qui tenait apparemment à obtenir les richesses qu'ils pouvaient avoir sur eux, lui et le diplomate. De toute évidence, elle n'allait pas les laisser partir. D'autant qu'elle le savait accompagné. Elle lui demande de faire venir le "vieil homme". Cécil hésita de toute évidence, alors qu'elle lui donna une raison qui, d'un point de vue logique, était raisonnable.

Cécil observa la demoiselle : elle n'était en effet pas encombré par une armure comme celle de son adversaire, il était clair que sur la question de la course, Cécil ne la rattraperai pas. Elle sortit une lame d'un style qu'il avait entrevue. Ces armes venaient d'un territoire avancé au niveau technologique. Certains des soldats de ce royaume détenaient même des "armes à feu", lançant des projectiles ou des rayons mortels à très haute vitesse, sans comparaison possibles avec les arcs ou les arbalètes qu'il connaissait bien. Autant dire qu'il pouvait avoir le désavantage.

Cependant, le chevalier de la lumière avait à sa disposition la magie pour lutter contre ces armes, à projectile ou à énergie, il avait donc plutôt intérêt de faire venir le diplomate pour s'assurer qu'il était assez proche pour le protéger en cas de besoin. Il se tourna légèrement vers lui et fit signe de s'approcher, gardant sa garde haute en direction du bandit, au cas où elle tenterait quoique ce soit contre lui, de lui faire le moindre mal. Il pouvait ainsi garder à l'oeil le diplomate et s'assurer de sa protection, quand bien même il lutterait contre elle.

Une dernière fois, il se tourna vers elle et lui adressa la parole :


« Moi, Cécil Harvey, paladin de la Lumière, ne tolèrera aucune action hostile contre cet homme de votre part, mademoiselle. Nous devons porter à la ville du Nexus, afin d'y apporter un témoignage de paix. Je ne peux laisser cet objet tomber entre les mains d'un voleur. »

Il fit un pas dans sa direction, toujours la garde haute vers elle. Il la fixa avec détermination, prêt à en découdre.

« Je vous donne une dernière chance de laisser notre convoi passer, je vous en prie. Je peux voir que vous avez un attirail capable de rivaliser contre n'importe quel garde d'Ashnard, mais je ne suis point quelque garde que vous avez affronté par le passé, vous devez le savoir. Notre combat n'apportera rien que sang, et je ne pourrai supporter que ce sang soit le votre sur mes mains. Je vous en conjure donc, passez votre chemin et laissez nous continuer le nôtre. »

De sa main libre, il concentra un peu de magie, prêt à créer une armure protectrice autour de lui, capable de le protéger contre les attaques physiques et énergétiques. Bien entendu, ce n'était pas une armure capable de lui éviter tous les dégâts, mais elle réduirait considérablement les effets mortels des armes que la demoiselle pouvait porter sur elle, des armes de la technologie tekhosienne.

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Les landes dévastées / Re : Ceci est MA proie ! (PV Cirillia)
« le: lundi 13 mai 2013, 17:26:49 »
Le paladin avait énormément de problèmes à se détacher de ses pensées alors qu'il regardait le ciel étoilé, son coeur battant toujours assez vite à cause de l'idée qu'il serait amené à devoir affronter une nouvelle fois son némésis, le chevalier des ténèbres envahissant son esprit et prenant le contrôle de son corps. Quand bien même l'ange interviendrait, c'était une épreuve réelle pour lui.

Soudainement, la chasseresse lui adressa la parole après avoir passé quelque temps à l'intérieur de l'habitation. Il sursauta lorsqu'il l'entendit, lui parlant aussi soudainement qu'un coup de feu. Il se tourna vers elle en la regardant lui parler. Sur le coup, il l'écouta, totalement inconscient de ce qu'elle voulait dire, en réalité. Pour lui, elle souhaitait s'occuper, rien de plus, peut-être en discutant, peut-être en jouant de leurs lames.

Et alors, elle prononçant ces mots en penchant la tête sur le côté, la main sur sa hanche. Elle le trouvait craquant. Un clignement d'oeil suffit pour que le naïf et vertueux chevalier de la lumière comprenne où elle voulait en venir. Son visage passa d'une certaine sérénité à une surprise suivie d'une gêne soudaine. Il réagissait mal à ce genre de déclaration quelque peu... soudaine. Soyons clairs, le rentre-dedans était un moyen de le rendre gêné. Il resta quelques secondes à la regarder, perturbées, puis eut un petit rire gêné, avant de dire :


« Hum... merci du compliment... »

Que dire d'autres ? Il n'avait aucune idée de quoi faire devant une femme aussi entreprenante ! Même à l'époque où il était un chevalier des ténèbres, il n'avait pas vraiment été entreprenant. Il était du genre romantique, tendre et quelque peu timide. De ce fait, qu'une femme devienne entreprenante le gênait réellement. Comme devait-il réagir, concrètement ? Se lever et l'embrasser ? Resté ainsi, à la regarder faire les premiers pas ? Était-ce d'ailleurs raisonnable de faire quelque chose avec elle, en ce moment de difficultés ? Il tenta de retirer sa gêne en se raclant bruyamment la gorge :

« Excusez-moi, Cirillia, mais j'avoue que cette... hum... demande, si je puis dire, me gêne quelque peu. Je reconnais que vous êtes vous même attirante. Très attirante même. »

Revint en mémoire le dos nu de la demoiselle, avec ses cicatrices et son magnifique tatouage. Cette image de la demoiselle au dos dénudé lui amena le feu aux joues. En plus de cette déclaration, son esprit s'embrouilla de pensées assez intrigantes et excitantes. Il fallait le reconnaître, hors du combat, la demoiselle avait tout d'une femme attirante et pleine d'une énergie plutôt captivante.

« Extrêmement attirante... »

Après tout pourquoi pas ? Il se voyait mal se refuser à elle sans qu'elle ne le prenne mal. Elle semblait ne pas être le genre de femme à qui on dit non sans le regretter ou sans au moins s'attirer quelques foudres. Et comme il avait, comme elle le disait, le désir de chasser ses démons intérieurs, il était inutile de dire qu'il n'aurait rien à gagner à se refuser à elle.

Il l'observa ainsi, debout devant lui, attendant quelques instants. Puis il se leva et détachant son plastron qu'il laissa tomber à terre, de même que ses jambières. Il se retrouvait avec seulement sa tunique en tissu blanc, devant elle. Il n'était peut-être pas le plus entreprenant, mais il restait un homme. Aussi il s'approcha d'elle, la serra soudainement contre lui et lui prit les lèvres. Cet avant-goût, il l'espérait, plairait à la demoiselle pour ensuite aller sur quelques choses de plus charnelle, peut-être plus intense.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Marcher vers la lumière [PV]
« le: jeudi 09 mai 2013, 17:52:19 »
Le paladin, plongé dans sa prière, ne remarqua pas l'arrivée de la demoiselle à côté de lui. Il continuait, méditant, toujours un peu plus, jusqu'à ce que le bruit de coffret tombe sur le sol, le faisant sursautez, tout en sortant de sa rêverie. Il se tourna vers le coffret et les centaines de perles roulants sur le sol. L'ensemble des croyants et des ecclésiastiques se tournèrent vers la demoiselle, la dévisageant, tandis que le chevalier se mit à son tour à genou pour aider la demoiselle, lui murmurant :

« Allons, ce n'est rien, ne vous en faites pas. Laissez-moi vous aider. Ceux sont de magnifiques perles que vous avez là. »

Il prit le temps de ramasser les perles avec elle, remettant celles-ci dans leur coffret, jusqu'à ce que la dernière fut ramassée. Il tendit sa main à la demoiselle pour l'aider à se relever, lui faisant un grand sourire. Une fois qu'il l'aida à se redresser, il se réinstalla , toujours avec ce grand sourire. Il fixa le vitrail devant eux, en hauteur. La lumière filtrant à travers les vitraux colorés donnait une image magnifique sur le sol de la grande cathédrale. Le paladin se tourna vers la demoiselle qui semblait ne pas être vraiment du genre à venir dans ce lieu.

« Le lieu est vraiment paisible, ne trouvez-vous pas ? »

En effet, l'ambiance du lieu prêtait au recueillement, lorsqu'un coffret ne tombait pas sur le sol. Tout ce que Cécil pouvait dire, c'était que le silence pesant accompagné par de légers chants résonnant depuis la chorale au dessus de l'entrée sur tous les murs du lieu de prière. Il se tourna une nouvelle fois vers elle avant de se présenter :

« Je m'appelle Cécil. Cécil Harvey. Et vous ? Quel est votre nom, mademoiselle ? Que venez-vous prier en ce lieu ? Un besoin de vous soulager la conscience ? Une prière pour un être cher disparue ? »

C'était indiscret, mais c'était là un moyen d'engager la conversation. Et peut-être pouvait-il l'aider dans sa prière. C'était le moins qu'il puisse faire, dans un lieu comme celui-ci. Surtout qu'en tant que serviteur de la lumière, il se devait d'aider son prochain, et lorsqu'on venait dans ce genre de lieu, c'était rarement pour juste regarder les vitraux.

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Les terres sauvages / Re : Ma vie pour le coffret [PV Sekhmet]
« le: mardi 30 avril 2013, 12:55:25 »
Le paladin fut surpris en arrivant en haut du chemin escarpé, parce qu'il s'attendait à de nombreux bandits ricanant en voyant un seul chevalier. À la place, tout ce qui se trouvait devant lui était une demoiselle aux grandes oreilles, une Terranide, telle qu'ils étaient nommés. Des créatures mi-Homme, mi-animal, avec parfois des pouvoirs ou des particularités hors du commun. Il avait toujours sa main sur la poignée de son arme, observant la demoiselle qui s'adressa à lui de manière étonnement polie. Il sembla quelque peu perturbé par ce qu'elle disait, de manière très sereine, comme si elle n'avait rien de réel à craindre.

« Bien le bonjour, je vous offrirais bien un thé, mais je crains que le lieu ne soit pas vraiment adapté pour ça. Non, vous voyez, je crains que je ne sois ici pour vous dépouiller de vos valeurs. Un peu comme eux voulaient le faire. »

Cécil se tourna vers les nombreux cadavres, multiples, de ce qui semblait être une bande de bandits complète. Avait-elle tué l'ensemble à elle toute seule ? Si c'était la cas, elle serait bien plus difficile à combattre que les bandits en questions.

« Mais bon, comme vous le voyez, ils n'étaient pas vraiment préparés pour ce métier. Un groupement de plusieurs brutes ne fait pas vraiment une bande efficace après tout. Mais je ne suis pas une sauvage, si vous me remettez vos objets de valeur sans rechigner, je ne vois pas pourquoi j'aurais à vous attaquer. »

Elle marquait un point, mais cela restait impressionnant qu'une jeune demoiselle puisse tuer autant de personnes seules. Il fallait admettre que Cécil n'était pas rassuré d'affronter cette femme, mais il avait juré sur son honneur de protéger le diplomate et l'objet qu'il détenait. Il regarda la demoiselle, puis répondit :

« Je me dois de refuser votre proposition, mademoiselle. Notre cargaison est beaucoup trop importante pour la paix entre les royaumes pour vous laisser en prendre possession. De plus, je ne permettrais pas qu'un vol s'accomplisse sous mes yeux. Et comparé à ces hommes, je suis préparé à ce genre de cas de figure. »

Pour autant, il n'était pas rassuré d'affronter cette femme ayant été capable de décimer un groupe entier de bandit. Il ne voulait pas la blesser, mais il devait également éviter que le diplomate, plus loin derrière, ne se fasse repérer et blesser. De plus, sa cargaison était trop importante pour la laisser entre les mains de cette voleuse. Il retira la lame de son fourreau, celle-ci étincelante, sans défaut, éclatant à la lumière du soleil.

« Cependant, comme vous avez montré une certaine courtoisie à l'égard de nos vies, permettez-moi de vous retourner les faveurs : laissez-nous poursuivre notre chemin, votre vie sera épargnée et vous nous aurez en plus évité des difficultés à ce convoi important. Vous seriez sans aucun doute récompensé. »

Les bandits ne voyaient pas souvent l'honneur, mais l'intérêt. Obtenir une récompense pouvait être un moyen de la convaincre de laisser passer le chevalier et le diplomate.

« Mais si vous souhaitez tout de même prendre les armes, je suis à votre disposition. Je défendrai la cargaison de ce convoi jusqu'à ma mort. Pardonnez-moi si je vous ôte la vie durant le combat, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur dans l'autre monde. »

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