Le mage avait donné ses conditions pour qu'elle reste, pour le reste, il s'en foutait royalement, si elle avait le temsp de lire les ouvrages il ferait eut être bien de mettre en sureté certains savoirs trop dangereux pour elle, non, en fait il faudrait même qu'elle n'accède plus à la bibliothèque, ce serait plus prudent. Plus radical c'était certain, mais trier les livres trop dangereux pour elle viderait les neuf dixième des étagères… et il les stockerait où ? Bon, cela demandait une bonne organisation. Il fallait qu'il se rende à la biobliothèque pour pouvoir réglr cette histoire… pffff ce qu'il ne fallait pas faire… elle restait et ilo devait prendre des mesures…
Il commença à aller vers la bibliothèque et quand il y arriva, elle n'était pas là… il leva les yeux au ciel… travailleuse ? Alors pourqsuoi ne travaillait-elle pas ? Un sacré mauvais point. IL remonta ses manches et après un long mouvement du bras, fluide et précis comme un escrimeur, il y eut un crépitement dans l'auir. Des étagères se vidèrent, d'autres se remplirent. Il fallait encore trier les nouveaux livres, mais cela ça allait, il disposait dans chacun d'eux une signature magique pour les manipuler à distance… il y eut un nouveau crépitement alors que la bibliothèque se réarrangeait sous ses doigts expert , de petites plaques de méftral qui luisaient faiblement, il faudrait ls toucher pour prendre dans les étagères correspndantes et si il ne donnait pas l'autorisation, elle ne pourrait pas prendre les livres dans certaines étagères.
Il fallait qu'il véruifie sa magie et pour cela, il fallait qu'elle teste pour lui de prendre un livre défendu. Où devait-elle êttre déjà ? Que lui avait-il sonné comme ordre , Il ne savait plus . Qu'importe. Il se rendi(t à la cusine et se mit à préparer un ragout, alors qu'il se perdait dans ses pensées, celles-ci vadruillant vers ses recherches… versd la destructionde l'université de la magie, vers cette histoire de ersécution de la magie aussi, bien sur qu'il y pensait, que croyez-vous ? Il n'était pas insensible, mais ce qui l'ennuyait c'était le risqu de contagion d'un tel mal au reste du monde… et cela l'ennuyait profondément…
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Ces bestioles étaient perveses n'est-ce pas ? En effet, l'un d'eux s'était aggripé à sa cyuisse, y enroulant ses bras en se frottant contre elle, à la manière d'un chien, sa verge démesurée par rapport à sa taille, se frottant contre le hautr de on mollet et se genou alors que son visage approchait de ses sous-vêtements pour renifler… y frotter un eu son museau, presque, alors qu'il jhouissait le long de sa jambe et qu'il se recule, d'un air satisfait et extatique sur les lèvres.
Les autres s'étaient levfé et l'observaient avec de grabnds yeux ronds et un sourire bête sur les lèvres. Et c'est sur ses entrefaits qu'arriva Aetius… glapissement et tous les larbins s'égayèrent dans tyoutes lmes directions avant de se diriger vers la porte. D'un ton sec, Aetius les enjoignit à aller tous travailler dans la bibliothèque. Il resta seul avec la jeune femme qui se prétendait magicienne, oui, se prétendait. Elle avait eu un coup de bol en l'invoquant.
« J'ai verrouillé des sections de la bibliothèque. Je ne veux pas que tu puisses accéder à certains libv res trop dangereux pour toi, tu lme sentiras comme un petit choc électrique dans ta paume comme avertissement… si tunh'en tiens pas compte, les blessures seront graves... »Voilà qui était aussi simple que cela. Puis sur un ton caklme il lui lança, non sans faire remarquer à la jeune femme d'un regard éloquent ce qu'il pensait de sa tenue et de sa cuisse souillée de semence. Si la tenue lui allait bien, mettant e valeur ses courbes de la bonne manière, elle devait impérativement nettoyer le foutre qu'elle avait sur elle.
« Finis de me nettoyer ça. Va te laver. Nous mangerons ensuite dans la cuisine. Il y a un verrou intérioeur dans ta chambre. »