Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Patience Travers

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Episodiquement.
« le: lundi 12 septembre 2011, 20:27:47 »
Bonjour !

Ou bonsoir d'ailleurs.

Je m'excuse pour ma petite absence, et prend un peu d'avance. J'ai une connexion assez épisodique ne ce moment, donc ma présence sera aléatoire.

Bonne soirée !

2
Les alentours de la ville / Re : L'orage approche ... ( Patience )
« le: lundi 12 septembre 2011, 20:26:05 »
Elle commençait à regretter d'être venue ici avec Hector. En fait, elle aurait pu l'ignorer et continuer son chemin pour aller gambader sous la flotte encore un peu. Elle suivit Sappho en se maudissant d'être parfois si... Désinvolte. Frivole. Impulsive. Son regard se voilà alors. Colérique. Elle détestait ce pays. Elle détestait ses parents. Elle soupira. Et elle entreprit de passer un coton imbibé d'eau sur son haut, cherchant à enlever un maximum d'alcool. Elle lâcha un rire bref aux mots de l'homme.

- Oui. Un con fini.

Elle finit par essorer le bas de son haut -quelle phrase !- et rejoignit l'homme qui tenait la galerie. Un nouveau sourire passa sur ses lèvres. Ironique.

- Disons... Que je recherchais de la distraction. Et Hector s'est présenté à ce moment-là en bavant à propos d'une expo' où il aurait encore plus de succès au bras d'une charmante jeune femme...

Elle se tut, réfléchissant un instant, et rajouta :

- Je suppose qu'il comptait me mettre dans son lit après. Vaines illusions.

Elle se posa sur le bureau, légèrement, avant d'observer Sappho.

- Merci.. Pour m'avoir permis de détacher mon haut avant qu'il ne soit trop tard...

3
Les alentours de la ville / Re : L'orage approche ... ( Patience )
« le: mardi 06 septembre 2011, 14:45:26 »
Les doigts de cet homme qui l'accompagnait se crispère sur son épaule. Comme... Une mise en. Haha, comme si Patience allait écouter les mises en garde d'un mec qu'elle ne connaissait que depuis quelques dizaines de minutes. Elle esquissa un sourire ironique alors qu'ils parlaient d'elle comme une conquête. Elle serra les dents, et son regard brilla d'une lueur féroce. Elle n'est conquise par personne, c'est certain. Et surtout pas par Hector Adams.

Elle accepta la coupe de champagne avec un sourire plus poli, et grommela un " Je n'suis pas une conquête bordel ! " à peine audible. Toutefois, elle inclina la tête et remercia Sappho. Un passionné d'art donc... Elle le détailla à nouveau, rapidement, avant de détourner le regard pour le poser sur les oeuvres exposées.

- Merci beaucoup monsieur.

Un éclair illumina alors la pièce, et un grondement de tonnerre plus près que les autres fit sursauter la demoiselle. Non qu'elle ait peur des orages, mais qu'il soit tout près la surprenait. Surtout que l'éclair devait être tombé non loin, étant donné la forte luminosité qui a éclairé la salle. En sursautant, elle avant renversé du champagne sur son bustier. Elle grimaça, et s'adressa donc de nouveau à Sappho.

- Excusez-moi... Mais... Où sont les toilettes ? Il faut que je... Nettoie... Mon haut.

Autour d'elle, diverses dames bien nées avaient lâché des cris perçant lorsque le tonnerre avait grondé. Elle but une gorgée, pour éviter que ça se reproduise, et eut un sourire d'excuse. A ce moment, Hector revint avec quelques petits fours. Il en proposa à Patience. Elle secoua la tête, n'étant pas trop gâteau apéros.

4
Les alentours de la ville / Re : L'orage approche ... ( Patience )
« le: mardi 06 septembre 2011, 04:02:02 »
Encore une soirée dehors. Oui, Patience Travers restait rarement à la maison ces derniers temps. Elle vagabondait dans la ville jusqu'aux petites heures du matin, rentrait crevée, et séchait les cours. Elle faussait compagnie à Marie, qui devait la tenir à l'oeil, et buvait, faisait la fête, se droguait, etc... Et ce soir ne faisait pas exception. Sauf qu'au lieu de traîner dans le square, elle allait à une soirée chic. Enfin, ça n'était pas prévu au départ. Certes. Mais au final, ça r'vient au même.

Oui, à force de traîner dans la rue alors qu'il pleuvait à verse, la donzelle a été remarquée par un type en costard qui se rendait à un vernissage d'art. Ce type espérait bien se la faire après, mais Patience n'a pas prévu ça comme ça. Elle joue le jeu pourtant, et accepte de l'accompagner à cette soirée artistique, mais sait pertinemment qu'elle le fuira avant la fin, après s'être un peu distraite. C'est donc après cet homme qu'elle entre, avec un peu d'retard étant donné qu'elle a essoré ses cheveux sur le pas de la porte avant de rentrer. Elle garda aussi son manteau à la main, dévoilant son petit top-bustier noir et son mini-short en jean sombre.

Elle sursauta quand un homme s'approcha d'elle, lui demandant son identité. "Ne pas paniquer !" se répéta-t-elle avant d'oser sourire, comme tout à fait à son aise.

- Patience Travers. Et.. Vous ?

Ouais, ce n'était pas sa meilleurs réplique, mais qu'importe ? Elle observa l'homme qui venait de lui parler, oubliant totalement celui avec qui elle était entrée -et qui pourtant se dirigeait vers elle, comme soucieux de penser qu'elle ai pu l'oublier. Il n'avait pas tout à fait tord, mais venir poser ses mains, de manière possessive, sur les épaules de la jeune femme, ce n'est pas très poli... Même si le sourire paraissait avenant.

5
Prélude / Re : La Patience n'est pas son fort. ( Validhéra ! )
« le: vendredi 02 septembre 2011, 15:26:17 »
Merci

6
Prélude / Re : La Patience n'est pas son fort. ( Validhéra ! )
« le: vendredi 02 septembre 2011, 15:18:16 »
Merci ! :)

7
Prélude / Re : La Patience n'est pas son fort. ( Validhéra ! )
« le: vendredi 02 septembre 2011, 13:12:29 »
Merci

8
Prélude / Re : La Patience n'est pas son fort. ( Validhéra ! )
« le: vendredi 02 septembre 2011, 12:26:52 »
^^.

Merci à tous ! :)

9
Prélude / Re : La Patience n'est pas son fort. ( Validhéra ! )
« le: vendredi 02 septembre 2011, 01:41:43 »
Merci Reine des Dieux :)

10
Prélude / Re : La Patience n'est pas son fort.
« le: vendredi 02 septembre 2011, 00:43:35 »
Merci !

Possible Shikyotsume

11
Prélude / La Patience n'est pas son fort. ( Validhéra ! )
« le: vendredi 02 septembre 2011, 00:37:45 »
- Patience ! Reviens ici de suite !

La-dite Patience se rit de cet ordre et file comme l'éclair dans la ruelle mal éclairée. Et puis soudain, elle s'arrête, et fond en larme. Elle pleure ainsi cinq bonnes minutes, déversant son chagrin, et renifle fort peu gracieusement. Son regard noisette est noyé de larmes, son joli petit nez est rougi, ses joues sont ruisselante et ses lèvres d'un rose à peine soutenu sont tremblotante à mesure qu'elle sanglote. Elle tourne alors la tête, et sa chevelure acajou masque son visage. Ses cheveux sont longs, mais attachés en deux couettes enfantines. On peut ainsi nettement voir que ses oreilles sont percées et accueillent de perles de nacre bleues.

Et puis la demoiselle se reprend, redresse les épaules, bombe sa poitrine généreuse, met les mains sur les hanches, et se campe sur le sol jambes écartées. Elle arbore une moue boudeuse, et fait face à la petite femme replète qui lui cours après depuis près d'une heure. Elle résiste à l'envie de jouer avec le ruban qui souligne sa taille fine, et darde sur sa gouvernante un regard meurtrier. Celle-ci ne fait pas gaffe à cela et reprend son souffle, en haletant :

- Patience, vos parents vont être furieux après vous.

La jeune femme hausse les épaules, faisant tressauter sa poitrine, et lâche un ricanement désabusé.

- Peuh. Je suis effrayée.

Elle serre les dents, et défit du regard la vieille femme de venir la chercher pour la ramener à la maison. Celle-ci s'avance, et murmure d'une voix douce, apaisante :

- Patience... Vous vous êtes perdue trois fois aujourd'hui, il est temps de rentrer...
- La faute à qui si je me suis perdue ? C'pas moi qui ai voulu déménagé dans cette bourgade pourrie où personne ne parle un mot d'anglais. Ici, tout le monde piaille en Jap'. Au moins, à St Louis, j'pouvais d'mander mon chemin...

Patience... Contrairement à cette légende qui raconte que l'enfant adopte le comportement donné par son nom, Patience est une jeune femme de 17 ans survoltée et avide de liberté. Elle a l'habitude de s'enfuir de chez elle pour aller rejoindre ses amis et faire la bringue toute la nuit. Mais voilà. Ses parents en ont eu marre, et l'ont exilée dans leur résidence secondaire à Seikusu, en compagnie de sa gouvernante : Marie. Patience déteste ça. Elle est perdue, et n'a aucun amis. Son ancien lycée lui manque. Elle regrette le temps où elle était la reine du lycée, et se retrouve seule dans celui de Seikusu. Cette adorable peste, provenant d'une richissime famille, n'est pas ce qu'on pourrait appeler une personne fiable et digne de confiance. Elle ment, vole, se drogue parfois, bois et fume, et fait tout un tas d'autres bêtises. C'est une vraie peste avec ses congénères féminines, et un putain d'allumeuse avec ses camarades masculins. Pas qu'allumeuse d'ailleurs. Elle n'hésite pas à aller jusqu'au bout, et adore se faire prendre par ceux qu'elle agace t qu'elle pousse dans leurs retranchements. Elle adore le sexe de manière générale, et est prête à toutes les expériences. Ou du moins, elle se plaît à le croire.

Car sous cette facade arrogante et hautaine, orgueilleuse et aventureuse, se cache une fille qui a tout de même un coeur. Un coeur qui la pousse à agir pour sauver les animaux, à risquer sa vie lorsque ça en vaut le coup, à pleurer lorsqu'elle est submergée de tristesse, etc... Elle n'est pas généreuse, loin de là. Mais elle est humaine. Et même si elle ne croit pas en l'amour entre deux personnes, elle croyait à l'amour filiale. Naïve petite enfant, si vite détrompée. Ses parents sont deux aristocrates très occupés avec divers business. Elle a passé son enfance solitaire, et compense par sa façade survoltée oui. Elle ne veut pas laisser voir ses faiblesses, et enchaîne les conquêtes pour combler un manque affectif.

Elle a grandit à Saint Louis, en Amérique, après une naissance difficile. La femme qui l'a mise au monde était une mère porteuse. Sa propre mère n'a pas voulu déformer sa si jolie silhouette pour un enfant. Dès le départ donc, elle n'a pas eu de chance. Elle a passé la plupart du temps seule, fuyant ses précepteurs et ses gouvernantes. On lui a fait l'école à la maison, sous prétexte que ça ne valait pas le coup de dépenser des sous pour le trajet jusqu'à l'école. Elle n'a jamais été à l'école, jusqu'à ses onze ans. Déjà affirmée, elle a tempêté jour et nuit pour qu'on la laisse aller au collège, et puis ensuite au lycée. Elle a alors tout fait pour être reconnue, pour être adulée. En troisième, c'était la Reine incontestée de son collège. Sa première année de lycée a été pour elle l'année de sa transformation en femme. Elle a passé le cap de la première relation sexuelle, et a commencé à boire et à fumer lors des rave party ou lors des fêtes organisées par ses amis. Alcools, sexe et drogues. Shopping et escapades interdites. Elle découchait souvent, et travaillait dur pour garder son statut de fille la plus populaire. Mais ses notes n'étaient pas touchées par cela. Très intelligente, elle n'avait pas besoin de beaucoup travailler pour obtenir de très bonnes notes.

Mais un jour, ses parents en ont eu assez de ses frasques. Pour ses dix-sept ans, qu'elle a bien fêté avec ses amis, elle a eu la surprise de trouver deux hommes en noir à la maison, l'attendant de pied ferme. Des armoires à glaces, engagées par ses parents pour l'escorter, avec sa gouvernante, jusqu'à l'aéroport. La maison avait déjà été vidée de ses effets personnels, et le tout se trouvait à Seikusu dans l'une des nombreuses résidences de ses parents. Elle a eu beau courir, les hommes en noir l'ont rattrapée. Elle a été droguée, et s'est réveillée dans une chambre à Seikusu avec un horrible mal de crâne. De là, elle a été inscrite au lycée local. Mais elle sèche souvent les cours, et se la joue inaccessible. Elle n'aime pas sa vie à Seikusu, et elle fuit la maison autant que possible.

Comme ce soir d'ailleurs. Elle a posé son sac de cours, et est partie vadrouiller en ville. Sa gouvernante sur les talons. Et la voilà, dans ce cul de sac, en train de lancer des injures à la vieille femme, de maudire ses parents, pour finalement s'effondrer, à bout. La fatigue a eu raison d'elle, et elle se réveillera dans sa chambre à nouveau, le lendemain. Voilà la vie de Patience Travers.


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