Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Formiens/La Horde

Pages: [1]
1
L'éboulement sembla faire trembler l'entierté de la base et les Sheevas auraient même pu croire l'espace d'un instant que celle-ci effondrerait en entier.
Quelques formiens furent écrasé alors que le plafond venait boucher définitivement le couloir, et les autres ne s’attardèrent pas. Fuyant pour aller chercher plus loin un autre moyen de se ruer sur les Sheevas.

En face d'elle, les formiens non carbonisé chargèrent avec rage Malakim qui c'étaient mise en avant, prête à les recevoir.
Le premier se ramassa un énorme coup de poing qui lui brisa la mâchoire et son corps sans vie s'écroula au sol. Un second lui sauta dessus et eut droit au même sort, venant repeindre le mur du couloir avec sa cervelle. Plusieurs formiens cherchèrent à se glisser dans son dos pendant qu'elle flanquait d'énorme tatane aux arrivants. Mais ils furent prit sous le feu chirurgical de Tsadkiel !

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L'explosion fut lourde est bruyante, s'en suivi une multitude de crie de douleur et des chocs violent. La créature ne semblait pas avoir apprécié cette sulfureuse attention de la part de Sérafim et cherchait visiblement à luter contre les flammes et gesticulant dans tout les sens.
Elle fini par tomber, poussant un long crie continue, qui ne se stoppa que lorsque son corps heurta le sol dans un grand "Sprotch" pas très ragoutant.

Dans le fond du puits, la créature grognait doucement... expirant lentement en grommelant.

Puis plus rien... l'espace de quelques instants, avant d'entendre d'autres cries en contre bas. Mais cette fois, aucune créature ne chercha à remonter. Sûrement avaient elles compris que ce n'était pas la meilleure des tactiques.

2
Une horde grouillante et pullulante comme des cafard. Visiblement assez stupide pour se jeter dans les flammes, espérant malgré tout les passer.
C'était en effet l'une des formes les plus primitives de cette ruche, aussi ne représentaient ils pas les plus coriaces des adversaires, misant essentiellement sur leur nombre. Cependant, ils s'adaptèrent assez rapidement. S'éparpillant en grimpant sur les murs et le plafond. Certes le jet de flamme couvrait toute la largueur et la hauteur du couloir, mais le cœur du jet de flamme rebondissant en un point pour ricocher sur les murs. Et ces gerbes de flamme étaient moins dense et moins intense que le jet principale... aussi, quelques rares formiens parvenait à passé, le corps fumant et roussi par l'Incinérator.

Cette avancée força la Tekhanne a réorienté sans cesse son jet, et la horde grappillait quelques mètres au prix de dizaine de perte.

Dans leur dos, une autre horde importante de formien convergea vers elles... optant immédiatement pour la même tactique que leur congénère, se hissant sur les murs et les plafonds...
Leur bouche pleine de croc s'ouvrir en grand et ils crièrent d'avantage... une piètre intimidation pour ces guerrières qu'étaient les Sheevas.

_________________________________________

Au même instant, en surface... La petite Sérafim cherchait désespérément à rentrer en contact avec le QG des Sheevas mais sans succès.
Elle avait à peine entendue la voix forte de Genovah s'énerver et puis plus rien... le même brouillage qu'avait subit ses amies lui parvient aux oreilles.
Probablement une onde parasite à en croire son expérience... Car Vigilance lui, continuait d'émettre. Le brouillage ne semblait viser que es communications.

Sous elle, venant du bas de l'échelle, elle put entendre quelques choses d'assez gros remonter avec rapidité, plantant des griffes ou des piques dans la parois en béton pour hisser son corps.

3
Les couloirs étaient mal éclairés, et l'obscurité ambiante n'était que rarement interrompue par des lumières de secoure d'un bleu sinistre. Bon nombre d'entre elles avaient tous simplement été explosé, ou arraché. Tandis que les autres clignotaient faiblement, éclairant par à coup les mètres et les mètres de couloir parcouru par les deux membres de la petite escouade.

L'une d'entre elle tambourinait joyeusement le métal creux de certain conduit dans lesquelles, certain bruit furtif venait trahir une présence inconnue.

Le sol était jonché de gravas, de déchet... des objets de la vie de tout les jours. Des armes, parfois coupé en deux et un nombre incalculable de douille.
Il y avait du sang également mais en bien trop faible quantité en comparaison du nombre de soldate présente ici. Par ailleurs, aucun cadavre ne fut trouver. Mais c'était souvent le cas lors d'attaque formienne...

L'escouade venait de prendre un énième couloir, encore une fois vide de présence vivante ou d'indice leur permettant de comprendre ce qui c'était passé exactement.
Mais leur questionnement attendrait plus tard, car de petit crie sinistre firent écho dans la base... Le sol frémit et un bruit de grouillement parvient aux oreilles des Sheevas. Subitement, leur communication même courte distance avec Sérafim fut interrompu et de part et d'autre du couloir, des silhouettes aussi haute que de gros chien apparurent et s'élancèrent dans leur direction.

Au départ juste des ombres, les formes de vie en approche furent bientôt reconnaissable et l'escouade reconnu sans surprise une petite espèce de formien.

4
Le Bunker 147... une atmosphère lourde, une odeur de mort et de renfermé...


Leur arrivée fut spectaculaire ! Comme de véritable ange de la mort, elles fracassèrent l'entrée du bunker, sortant du visuel du Pyro en l'espace de quelques secondes. Un vacarme de tout les diables précéda leur arrivé au fond du trou, et les lourdes portes d'acier résonnèrent aux quatre coin base au même moment où l'Escouade se posa.
L'air était lourd, un odeur de sang, de peur et de cadavre... une odeur de pourriture. Deux semaines de décomposition en milieu humide ?

Les trois Tekhannes étaient au milieu d'une sorte de sas d'accueil. Une large baie vitré séparant un bureau et des appareils de surveillance visuel où était censé se trouver une soldate. Celle-ci aurait sans doute d'elle même ouvert les portes pour les laisser rentré. Mais il n'en était rien.
Visiblement, quelqu'un de plus costaud que les jeunes femmes avait décider de forcer le mécanisme de la porte, qui restait en partie ouverte, le sol maculé de sang à son niveau.

Lorsque Tsadkiel chercha à rentré en communication avec le central, elle émit un signale absolument dégueulasse et ne capta quasiment rien de plus claire. Visiblement leur système de communication personnelle était trop faible pour passer l'épaisse couche de terre et d'autre minéraux à l'origine de se parasitage d'onde.

Derrière la lourde porte éventrée deux couloirs, l'un partant à gauche, l'autre à droite... le sol, les murs, le plafond, semblaient avoir été les témoins d'une lutte sauvage et farouche. On y reconnaissait des impacts de balles et des impacts... d'autre chose. Des pieux peut être ? Ou peut être des énormes griffes plutôt...

5
Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: jeudi 14 juin 2012, 16:02:11 »
Elles ne comprenaient pas. Comment pouvait-elle comprendre, après tout ? Elles étaient incrédules, parlant dans leurs petits appareils de transmission. Si primitives, si ridicules... Elles n’arrivaient pas à comprendre ce qu’elles voyaient, et contemplaient, indécises, les cadavres massacrés, les cocons explosés, les œufs crevés, les corps éventrés. Elles ne comprenaient rien à sa souffrance. Rien à sa douleur. Car Il était triste. Comment aurait-on pu être joyeux en tuant ses propres hommes ? Car ces cadavres étaient à Lui. Ou, tout du moins, ils auraient normalement dû l’être, s’ils ne s’étaient pas rebellés contre son autorité, et si on n’avait pas tenté de le tuer. Il aurait d’ailleurs dû mourir, mais Il était plus résistant que l’Usurpateur avait semblé le croire. Son lien psychique avec le Grand Créateur était bien plus fort que ce que l’Usurpateur avait cru.

Il était profondément choqué et attristé par ce qu’il voyait. Qu’était-il, désormais ? Un général sans troupes, un Annexien qui avait perdu sa Horde. L’une des plus puissantes Hordes de la Fourmilière, car il était l’un des plus puissants Annexiens. Trônant dans le Triangle de Verre, Il contrôlait sa Horde, son peuple, tel un Dieu veillant sur ses brebis. Jusqu’à ce que l’Usurpateur arrive, et prenne sa place au Triangle de Verre, renversant, l’un après l’autre, les Annexiens qu’il ne pouvait pas briser. Les Traîtres étaient maintenant partout, mais l’Annexien, lui, restait fidèle à son Maître, au Grand Créateur. Et à ses désirs.

Plus Il voyait ses femmes, plus Il avait du mal à se calmer. Il aurait normalement du rester dans l’ombre, les laisser passer. Les humaines n’étaient pas la cible du Grand Créateur, mais le Grand Créateur était affaibli, et ne parvenait que difficilement à communiquer avec ceux qui lui étaient encore fidèles. Il écoutait fidèlement les instructions du Créateur, et ses instructions l’avaient mené loin de la Fourmilière, dans cet endroit, avec ses derniers fidèles, mais Il en ignorait les raisons. Muet, le Grand Créateur ne communiquait plus, et Il avait décidé de s’occuper en tuant les Traîtres... Comme cette petite bande qu’il avait massacré à lui tout seul. Ensuite, ces humaines étaient venues, et Il s’était dissimulé.

En l’absence du Grand Créateur pour le guider, l’Annexien sentait ses plus intimes désirs rejaillir. La Vie et la Mort. La procréation et le carnage. L’odeur du sexe et du sang. Elles restaient là, piaillant, telles de silencieuses offrandes, l’agaçant. Il détestait les humaines, mais il haïssait les Traîtres. Il avait néanmoins tué les Traîtres. Et le Grand Créateur restait muet. Alors, Il passa à l’action. Il fondit sur elles, et elles hurlèrent, ouvrant inutilement le feu. Leurs balles l’agaçaient. Certaines le chatouillaient, mais d’autres lui faisaient mal, l’énervant. Il fondit sur l’une des humaines, l’attrapant par le cou, la décapitant, et en attrapa une autre par la main, enfonçant ses griffes dans sa boîte crânienne, faisant fondre son cerveau entre ses doigts.

L’une des femmes de fer pointa ses lumières sur lui, l’agaçant encore plus, et tira. De longues balles, ressemblant à des espèces de traits, le frappèrent, le faisant couiner. Il ressentit la douleur, mais il n’était pas un stupide subalterne. Il était un Annexien, et il accueillait la douleur avec joie. Il plongea sur la femme de fer, qui n’était qu’une brindille contre lui, la souleva, et tira. Il eut bien du mal à arracher son corps, et choisit donc de se répandre à l’intérieur. Ses cheveux se faufilèrent dans les jointures de l’armure, et il se régala des hurlements de la femme de fer. Il atteignit le corps chaud de la propriétaire, et sentit l’excitation monter lorsqu’il glissa sur sa poitrine. N’y tenant plus, il se faufila dans son intimité, et commença à se nourrir.

Sa nourriture s’interrompit néanmoins vite, car les survivantes continuaient à lui tirer dessus. Il abandonna la carcasse désarticulée de la femme de fer, et se tourna vers les autres. Certaines tentèrent alors de se replier, tirant en arrière, et il bondit sur l’une des femmes restant en arrière. Il caressa avec ses griffes sa belle jambe, mais son corps ne lui convenait pas. Il se contenta de la faire entrer dans sa tête, la dévorant. Une autre courait, et elle, elle lui plaisait. Il avait vu son agréable fessier, son corps endurant, sa longue chevelure. Les poursuivre et les rattraper ne lui prit que quelques secondes. Il les tua toutes, sauf elle. Il lui prit son arme, car les balles l’irritaient de plus en plus. Il se tint devant elle, prostrée sur le sol, gémissant. Les humaines étaient fascinantes. Il l’attrapa par le cou, la regardant. Il n’avait pas de langue à proprement parler, et enfonça l’un de ses membres dans l’intimité de la femme, faisant jaillir un liquide écarlate, et fut satisfait. Elle ne l’ennuyait plus en émettant des sons insupportables.

Alors, Noggaroth, Annexien, prit son temps. Elle n’était qu’un prélude, un échauffement. Il avait repéré d’autres femmes, et Il comptait bien se servir des humaines pour soulager sa frustration. Le Grand Créateur étant silencieux, c’était peut-être après tout cela qu’il attendait de celui qui se considérait comme son meilleur guerrier : qu’Il se soulage en attendant que l’Usurpateur soit chassé.

6
Territoire de Tekhos / Re : Until The Last Back (Terra Hero Team)
« le: mardi 29 mai 2012, 20:33:43 »
Avaient-ils peur ? Avaient-ils senti la terreur les envahir quand ils avaient vu les feux de l’Enfer leur tomber dessus ? Quand les chasseurs étaient devenus les proies ? Quand la mort leur était tombée dessus sans leur laisser une seule chance de répit ? La réponse était simple. Ils ignoraient la peur, tout comme ils ignoraient la joie et le plaisir. L’émotion était un concept que le Guide avait annihilé, ou presque. La rage. La fureur. La haine. Voilà les seuls sentiments qu’ils éprouvaient, et c’était pour eux amplement suffisant. Ils ne réfléchissaient pas, ils n’en avaient pas besoin. Ils suivaient la Voix, et le Guide leur avait dit quoi faire. Il leur disait où agir, où frapper. Pourquoi auraient-ils peur ? Ils avaient été conçus pour détruire, pour tuer. Ils ne pensaient pas ; ils en étaient incapables. Tout comme la peur leur était interdit, la douleur était quelque chose qu’ils ignoraient. On avait beau briser l’une de leurs jambes, ils n’en étaient que toujours autant agressifs, voire même plus, car ils se sentaient handicapés, et compensaient donc en devenant encore plus sauvages. Quand la mort les saisissait, ils ne se rendaient pas, mais faisaient preuve d’une rage renouvelée. Le Guide leur disait quoi faire, et ils agissaient.

Quand le Feu du Ciel était tombé, ils n’étaient plus là. Beaucoup des leurs étaient tombés afin de leurrer les Cibles, ou tout simplement parce qu’ils n’avaient pas eu le temps de rejoindre les trous que les Frères avaient fait. Sous terre, le Feu du Ciel n’avait pas réussi à percer, et ils avançaient. Silencieux. Froids. Mortels. Le Guide leur avait ordonné de tous les massacrer. Mâles comme femelles, ils n’étaient que des Cibles. En temps normal, les Formiens avaient des pulsions sexuelles, qui les amenaient à prendre les femelles en vie. Mais la rage annihilait tout le reste., corrompait tout. Ils n’éprouvaient qu’une haine noire et indescriptible, qui n’avaient pas de raison d’être, qui n’avaient pas d’objectif. Ils étaient innombrables. Ils étaient légions, et allaient déferler sur les nids souterrains des Cibles. Ils n’auraient aucun espoir.

Ils affluaient de partout, suivant les conseils du Guide. Les premiers à attaquer firent fondre un mur en crachant de l’acide depuis leurs gueules, avant d’attaquer. Les premières Cibles n’eurent pas le temps d’hurler que les Frères leur sautaient dessus, les déchiquetant. Les balles les chatouillaient, les effleuraient. Ils regardaient les Cibles, et, en les démembrant, en les éviscérant, en répandant leurs viscères sr les murs, en plantant leurs queues dans leur ventre pour les projeter contre le mur, répandant des traînées écarlates sur des dizaines de mètres, ils ressentaient le plaisir. Le plaisir sexuel, naturellement.

Les Cibles ne comprenaient pas. Leurs alarmes les agaçaient. Ils s’étaient enterrés sous terre. Dans leur tombeau. Des herses en acier s’abattaient dans les couloirs pour les retarder. Du gaz nocif se répandait dans les couloirs, et les Frères commencèrent à tomber. Là où un tombait, dix le remplaçaient. Le Guide les conseillait. Il avait totalement annihilé en eux les souvenirs du Faux Prophète. Il était la Voie, le Chemin à suivre. Avec lui, ils se sentaient forts, invulnérables. Mais c’est parce qu’ils l’étaient. Ils auraient pu recommander aux Cibles de prier, si la prière signifiait quelque chose pour eux. Ils avaient une stratégie, et suivaient les plans du Guide, qui les dirigeait tous.

7
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 06 août 2011, 05:37:02 »
Pingas.

05:37

(Si le kit plaît pas, Sandji, j'en refais un demain, mais là un certain robot veut aller se pieuter donc j'ai fait vite D=)

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