Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - La Foudroyante

Pages: [1] 2 3
1
Entre plusieurs convulsion, mon corps frémit de peur, face à ce que la sirène venait de dire, il faut se calmer, ne pas montrer sa peur sinon ...

Mmm

Quelque chose entra dans mon anus, c'était gros, ça faisait très mal, mon corps se cambra d'un coup, mes fesses se resserrant pour empêcher ce truc de renfoncer davantage en moi, peine perdu, cela continuait à entrer, mon corps semblait être parcourut de décharge, mon cerveau commençait à perdre un peu les pédales à cause de l'influx nerveux causé par la douleur, mais aussi par le manque d'air.

La main sur mon visage se resserra, la sirène semblait avoir pété son câble, elle enfonce plus rapidement son membre, cela ne pouvait être que ça, un long bâton de chair et chaude, cela ne pouvait être qu'un sexe masculin, ce dernier grossissait toujours, écartant les anneaux et étirant les parois sans la moindre douceur.

Je compris la douleur que mon amie devait avoir dû à subir, même si pour elle c'était le vagin, mais il était clair que si la sirène attaquait l'autre trou, elle allait me faire très mal.

Les convulsions se firent de plus en plus fréquent et plus violent, c'était tellement douloureux que mon corps se mit à faire des gestes frénétique pour se libérer et remonter à l'air, j'en avais besoin, je me mis à hocher de la tête sans réfléchir.

La peur de la mort est finalement quelque chose que personne ne peut affronter facilement.

2
La phrase de la sirène ne me fis pas frémir, elle n'allait pas me tuer, mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle me fasse pareille chose, mes poumons se vidèrent rapidement, car il n'y avait presque rien, La créature montra son sadisme, elle bloqua d'une seule main mes voies respiratoire, me préservant de la noyade, mais me faisant suffoquer.

Je tente de ma calmer, mais les dires de la sirène n'aidaient en aucun cas, elle voulait me voir souffrir, me disant que je risquais d'avoir des séquelles, je le savais, le manque d'oxygène crée des convulsion, suivit d'une évanouissement, si le manque perdure, cela peut entrainer la mort, le coma, des problème de mémorisations voire une amnésie partielle ou complète.

Je finis par me calmer, ma gorge me brulais, c'est alors que la sirène m'enfonça deux doigts dans l'anus, je en pouvais pas crier, sa main empêchant l'air de partir, je me sentais pleurer, elle aimait me torturer, mes poumons me brulaient, comme si j'avais avalé du charbon ardent, la sirène fit bouger ses doigts, faisant exprès de gratter avec ses ongles les parois de mon anus, elle prenait son pied à me faire souffrir.

Je me sentais partir, c'est alors que je me rappelle d'une amie, elle avait été violée malgré qu'elle ait obéit à son geôlier et se soit humilier en publique. Maintenant, elle était dans un hôpital psychiatrique du fait de violente rechute.

Cela me fis comme un coup de fouet et je plaque ma main contre son corps pour lui envoyer une petite décharge électrique, cela devait la chatouiller, mais je n'avais pas dis mon dernier mot, qu'elle me torture donc, jamais je ne lui obéirais, mieux valait mourir de ces tortures.

3
Le quartier de la Toussaint / Coupure de courant ? [Pv Haylen]
« le: samedi 08 janvier 2011, 17:27:06 »
 Hè ! Faites attention où vous marchez !

J'ai bousculer une personne, je m'excuse fébrilement puis repart vers le centre commerciale, la boite à médicament est vide et je dois refaire le stock, de plus mère et père ne sont pas là pendant deux semaines, ils voulaient se payer un petit voyage.

Alors que je suis dans une petite rue menant directement au centre commerciale, ma vision se trouble, les vertige se font plus intense et au bout d'un moment je bute contre une poubelle et me vautre, je ne sens pas tellement la douleur.

En m'accoudant au mur, je me relève, mon souffle est court, ma température est assez élevé, cela fait plusieurs jours que je suis malade et un constat alarment est survenue cette nuit, mon téléphone portable, qui est sur ma table de chevet était mort, un coups circuit d'après le vendeur, mais cela voulait dire que j'avais perdue le contrôle de ma capacité, sur mon forum certain ont dit que cela pouvait provenir d'une évolution de la capacité et que le corps ne savait pas encore gérer ce surplus d'électricité, certain ont dit que les victimes de ce genre de phénomènes, pouvaient en mourir. D'autre, moins défaitiste, émirent l'idée que cela serait dû à l'état de mon corps qui devenait plus faible avec la maladie et l'énergie utilisé pour lutter contre cette dernière causait des "pics" de surcharge.

je pus entrer dans le centre commerciale assez facilement, devant lutter pour ne pas tomber quand une personne de la foule me bousculais, je sentis mon corps se charger en électricité, aussi je pris le premier endroit où je poquais me cacher, les toilette pour dames.

A peine eus-je fais ça que mon corps se vit parcouru d'arc électrique, et d'un seul coups il y eu une surcharge, mon corps expulsa le surplus, le plus horrible dans tout ça c'est que j'en souffrait, c'est comme si des lames de dardaient le corps, les toilettes furent marqués de mon passage, des endroit calcinés, des néons ayant explosés, même les miroirs étaient à moitié fondu. Puis plus rien, je perdis connaissance.

A mon réveil, je suis sortie des toilettes, le centre était désert, les lumières avaient presque tout explosées. je me dirige vers la pharmacie et découvre que le système de sécurité est branché, entrer maintenant le déclencherait, je pose ma main sur le boitier et me concentre, il ne fallait pas que j'utilise trop ma capacité dans cet état, mais je ne pouvais pas sortir dehors non plus, qui sait ce qui arriverait si une personne me touche, mon état pouvait la tuer.

Allez ouvre toi s'il te plait.


Des décharges envahirent mon corps, m'obligeant à me mordre les lèvres pour supporter la douleur et ne pas me laisser emporter par les vertiges. D'un coup le système se désactive et je rentre. Je fouille et trouve les médicaments nécessaires, j'ouvre la caisse et met l'argent que je dois, laissant un petit mot avec ce que j'ai pris, avant de partir.

Je me dirige vers les parkings, le béton utilisé résistant bien à l'électricité, j'ouvre une des boites et avale deux gélules, je m'en foutais si j'aurais mal au bide, il fallait à tout prix que la fièvre tombe et que mon corps retourne à son état normale.

C'est alors que des vertiges refirent leurs apparition, je saisis un banc et tente de rester debout, si je m'assois je n'aurais plus la force de me relever.

4
Visiblement le message n'était pas bien passé et la sirène me prit la tête d'une manière que je n'appréciais pas et puis cette conne tire en même temps sur ma tignasse.

Pour dire vrai, les deux options étaient toute deux fausses, certes je ne voulais pas rester plus longtemps avec cette erreur de la nature, mais la simple idée de satisfaire ses envies m'aurais donné la gerbe, si je ne luttais pas intérieurement pour ne pas laisser échapper l'oxygène.

Visiblement elle ne semblait pas être capable de comprendre la langue des humains dans l'eau, cela étant une maigre consolation qui servirait à calmer ma colère, ainsi je pouvais la traiter de tout les nom, même si ce n'est pas trop mon genre.

J'eus l'immense "honneur" de me faire plaquer contre sa poitrine, apparemment ma résistance était aussi une torture pour la sirène, qui se caressait l'autre poitrine ou serais-ce un moyen de se calmer, après tout je n'y connait rien en langage poisson.

Vient alors une menace, je n'étaie pas bête comme elle, de toute façon fuir maintenant revenait à me noyer, tout comme ne pas avoir ma maigre réserve d'oxygène, mais c'était bon, je m'étaie maintenant habitué, en limitant mes gestes, calmant mon coeur et confinait mes sentiments pour ne pas les laisser s'exprimer, je pouvais supporter beaucoup plus longtemps le manque d'oxygène.

Elle pouvait toujours rêver, elle voulait me faire mourir noyer ? Je n'y croyais pas un seul instant, la sirène voulait un doigt qui vie et bouge dans son vagin, chose qu'une noyée ne pouvait offrir.

Je ferme les yeux et souris à cette pauvre créature qui ne pouvais pas satisfaire ses envies et étant tombée sur moi, j'eus de grande difficulté à retenir un rire.

5
Le coups de pied m'appris une chose, plus le temps passait, plus je m'habituais à manquer d'oxygène, pour preuve pendant ma suffocation je pus retenir les grimaces de douleur et aussi le fait que je suis restée consciente pendant environs cinq seconde, pour l'entendre dire qu'elle avait son temps, elle pouvait me retenir une nuit, un jour, un mois, un an, voire tout ma vie, elle n'arrivera jamais à me dompter.

Si la sirène, elle, avait envie de me plier, elle se prendra ma fierté dans la figure, douce je le suis, mais quand on m'oblige à faire une chose qui est hors de ma morale, je ne le fait pas, même si pour cela je dois souffrir.

Je repris connaissance, cette fois la sirène semblait vraiment furax, elle me saisit à la nuque, chose que je déteste, entre ça et un collier comme je vois dans les livres parlant des femmes soumises, la différence est faible, elle usa de la force pour que je lui suce son sein et que je lui caresse l'intimité avec ma main.

La colère fut telle, que mes cheveux se mirent à crépiter, de l'électricité passant, aucune chance que cela ne me blesse ou blesse cette créature immonde, dommage.

Je ne fis rien, mon regard change, devenant dure et sans appel, si elle voulait se faire du bien en utilisant mon corps, elle devra le faire par la force et encore elle pouvait se douter qu'après je ne serais en aucun cas plus docile.

Débrouille toi toute seule. Poiscaille.

C'est ce que ma bouche dit, tout en retenant l'oxygène dans les poumons.

6
Si j'étaie calme, c'est uniquement parce que j'étaie épuisée, donc effectivement je ne pouvais pas lui envoyer de décharge suffisante pour ne serais-ce que la chatouiller, contrairement à ce qu'elle pensait croire, je n'ai pas renoncé à me battre pour revenir sur la terre ferme et il était hors de question que je fasse plaisir à cette sangsue ... Oui une sangsue serait une parfaite représentation de cette sirène.

C'est alors que la créature aquatique se mit à user de sa bouche, enfonçant un autre doigts, qui me fit arquer moins que la première fois, je me sentais bizarre, mais le plus désagréable dans tout ça c'est quand elle s'amusait à écarter les parois de mon vagin pour s'insinuer plus loin, sans la moindre envie d'arrêter, grâce au renouveau de l'air, je pus souffler un coups.

Mais quand elle me redressa par les cheveux, je vis que mon intimité saignait un peu, la douleur était présente, car l'eau salé sur une plaie, cela pique affreusement. Elle approcha son intimité de ma bouche, chose qu'elle n'aurait pas dû faire.

Je n'allais pas me faire humilier davantage, qu'elle souille mon corps avec sa bouche et ses mains c'étaient suffisant. J'ai peur de la mort comme tout le monde, mais à cet instant ma rage était tellement présente combiné à un sentiment que je ne connaissais que  très peu, le plaisir, que ma peur de mourir dans cette eau froide était occultée.

*Tiens de la part de ta "petite soumise" *

Je fis semblant de vouloir lécher son intimité, mais mon but fut tout autre, d'un geste vif, j'ouvris la bouche et mordit son clitoris, aussi sirène qu'elle soit cet endroit était un point faible qu'il n'aurait pas mieux valut exposer. Je referme ma mâchoire aussi fort que je le peux.

7
Dans mon inconscience, j'eus l'impression que les ténèbres m'entourais, se faisant de plus en plus opaque et solide, au départ aussi imperceptible que l'air, elles devinrent aussi dure que de la roche. C'est alors que je me réveille, la première chose que je sentis fut les lèvres de la sirène contre les mienne, l'air passant au ralentit, gonflant à peine mes poumons, c'était tout juste si le simple fait d'ouvrir la bouche laisserait échapper la maigre quantité d'oxygène qu'elle me procurait.

la deuxième chose que je vis fut son visage, un visage déformé par la colère, mais aussi une envie de faire souffrir autrui, je connais ce regard et aussi les conséquences, elle voulait jouer avec moi, m'humilier, sans doute même me rendre docile vis à vis d'elle, une esclave ? Non impossible, personne ne possède un mentalité pareil, c'est démodé et aussi juridiquement impossible, mais il ne fallait pas écarter cette possibilité, après tout maintenant j'étaie sûr que ce n'était pas une humaine.

Le plaquage contre le sol était assez violent, je réussi tout de même à garder l'oxygène, sentant cette créature immonde s'installer sur moi et prenant une posture purement dominateur.

Lyli se mit à faire un bref résumé de ce qui allait m'arriver, rien de bien joyeux en vérité, elle s'amusait à vouloir me voir me noyer, pour continuer mon calvaire aussi loin que son esprit complètement dérangé le souhaitait et il était hors de question de penser à lui envoyer une décharge, mon stock se refaisait avec le temps, en mangeant et en buvant.

C'est alors qu'elle introduisit son doigts dans mon intimité, mon corps réagit au quart de tour, arquant mon dos d'un coups, je dus me mordre les lèvres pour ne pas ouvrir la bouche, cela était douloureux, mais ce premier round n'était pas finit, elle pinça le bout de mes seins, qui sont très sensibles, luttant pour ne pas ouvrir ma bouche, je ne pouvais pas saisir ses mains pour l'arrêter, cela dit si elle avait une main assez proche, je n'hésiterais pas à la mordre à sang.

8
Le coin du chalant / Re : Déesse de la luxure (cherche toujours)
« le: jeudi 06 janvier 2011, 13:16:09 »
Après mon rp avec Lyli, je serais ravi de faire un rp avec toi.^^

9
Je vis enfin mon haut et le saisis, heureusement il n'avait rien, pas de marque d'électrocution ni de lacération, après tout la sirène aurait put tout aussi bien le détruire sous la colère de s'être ramassée une châtaigne, mais visiblement cela n'était pas le cas. Je voulus le remettre quand deux mains me saisirent au ventre, le baisé au cou focalisant mon regard derrière et non sur les bras qui m'enlaçaient. La sanction fut expéditive, malgré ma tentative pour garder l'air dans mes poumons, la force de la sirène me les vidèrent aux trois-quart, autant dire que la remonté allait être difficile.

Puis Lyli expliqua la règle du jeu, je devais subir ses jeux pervers et la supplier pour survivre, seulement si l'eau n'existait pas autour de nous, elle aurait vue des larmes de colère, que dis-je, de rage apparaitre, c'était comme ça, je haïssait ceux qui rabaisse les autres, use de la violence et de leurs forces pour faire courber l'échine.

Elle me mit face à elle, puis se mit à peloter mes seins et caresser mon intimité, mais le plus humiliant de tout fut qu'elle descendait la seule pièce restante de mon bikini, mon intimité sentant davantage les frottements, mais aussi la fraicheur de l'eau, la honte me pris et il était temps de tenter le tout pour le tout.

Je fis semblant d'abandonner et profite de  l'effet de surprise pour donner tout ce que j'avais, le choc électrique fut violant, cela paralysa mes bras, mais forte heureusement les jambes étaient intacte, aussi je me mis à battre des pieds, je sentis un résistance, puis un craque, tant pis pour mon bas, l'important maintenant c'était de rejoindre le plus rapidement la surface et aller sur terre.

Le temps me paru une éternité, plus je battais des pieds, plus j'avais l'impression que la surface s'éloignait, sans compter la suffocation qui devenait oppressante, ma main droite pouvait bouger, mais l'air me manquait, dire que la surface semble si proche et pourtant si loin, dans un dernier geste, je me mis à tendre la main vers la surface, espérant sans doute qu'une personne me la prenne, puis les dernières gouttes d'oxygène disparurent, me faisant lâcher des bulles et tomber dans l'inconscience.

Je croyais être morte, mais ce n'était pas finit.

10
Je nage et finis par sentir l'air frais sur mon visage, immédiatement, je me met à respirer à plein poumons, c'est alors que la sirène apparu devant moi, j'étaie sur mes garde, elle allait sans doute essayer de me noyer, en tout cas c'est ce qu'une rancunière ferrait au vue de ses capacités aquatiques, mais cela n'eut pas lieu, au contraire, elle semblait calme. La fille se posait des question sur ma capacité à créer de l'électricité, ce qu'elle ne pouvait pas savoir c'est que sont utilisation dans l'eau consommait beaucoup plus d'énergie, par le fait que le courant se dissipait tout autour de mon corps et non dans une direction précise.

Je ne fis aucune remarque sur le fait que la sirène pensait que mon pouvoir ne s'activait que de façon contrôlé, sous le coups d'une émotion forte, comme la peur de mourir, entraine une décharge puissante mais incontrôlable. L'ennui c'est que dans l'eau je risquerais d'être trop épuisée, j'estimais qu'il me restait suffisamment de quoi lui envoyer une autre décharge plus puissante, de quoi la faire légèrement convulser, en plus de deux signaux d'alertes.

Elle s'approche de moi, je ne fis aucun mouvement de recule, je n'allais pas la fuir et puis cela ne servirait à rien vu qu'elle est beaucoup plus rapide que moi.

Mon visage prit une teinte rouge en sentant de nouveau sa main contre mon intimité, qui puis est elle fit de léger mouvement, le bas de mon ventre, qui c'était refroidit, chauffait de nouveau. Je ne savais pas ce qui se passait, mais il fallait arrêter ça rapidement.

D'un geste vif et puissant je saisis la main indésirable et la fait sortir de l'eau, je me mis à bafouiller.

Stop ! C'est bon tu t'es assez amusé comme ça, ton gage tu l'as eu en m'immobilisant dans l'eau et en retirant mon haut, maintenant, je vais aller le rechercher et je quitterais ce lieu, si tu tentes encore de faire des choses perverse, je t'électrocute davantage que tu ne l'as été avant.

Sans attendre sa réponse, je pris une inspiration et plonge, nageant lentement pour pouvoir récupérer mon haut, regardant de temps à autre en arrière pour ne pas me faire surprendre pas la sirène, si elle n'avait pas tenu compte de mon avertissement.

11
Je sentis une main me saisir la cheville, j'eus peur l'espace d'un moment, quelqu'un voulait me noyer, non ce n'était pas Lyli tout de même.

Ma surprise continua en entendant la demoiselle se mettre à parler sous l'eau, l'explication vint rapidement, c'était une sirène, en Amérique elles sont laide et des dévoreuse d'hommes, celle si était belle et semblait plus de l'autre bord.

L'air commençait à sérieusement me manquer, aussi eut-je la surprise de constater que la sirène pose ses lèvres douce sur les miennes, remplissant mes poumons d'air, l'espace d'une instant je sentis la langue de Lyli s'amuser avec la mienne, je voulus me débattre, mais elle se colle à moi, entravant mes geste, je ne pouvais pas lui faire de prise et si elle est une sirène, elle est plus rapide que moi, étant une créature aquatique.

*Mais oui, les sirène sont des créatures issue du milieu marin donc ...*

Lyli s'amusait à me caresser mon intimité par dessus le tissu, tout en s'amusant avec ma poitrine, je sentis le bas de mon ventre se réchauffer, non il ne fallait pas que je m'égare.

Je prend un regard sérieux, concentrant l'électricité dans mes paumes, je la repousse, lui envoyant une décharge électrique, qui m'affecte aussi, mais plus la sirène au vu de son cri.

Ni une ni deux, je bats des jambes et des bras pour remonter à la surface, sur la terre ferme j'aurais m'avantage, bon dieux, qui aurais pensé qu'une sirène existait à Seikusu, c'est totalement inimaginable, qu'elle soit une hydrokinésiste, je dirais pas non, mais une sirène, la pilule est un peu dure à avaler.

12
Lyli me défia dans un concours de plongé, bon si c'était de l'apnée j'aurais pas dit, mais la plongé c'est différent, je pris d'abord un rythme respiratoire plus lent, pour habituer mon corps à la plongée, je savais que j'allais perdre, mais autant montrer de la bonne volonté et essayer, on risque rien à essayer, sauf dans certain cas.

Je fis des geste lents, mais puissant, il ne fallait pas paniquer, sinon je risquais de produire de l'électricité et nous électrocuter au passage, ce qui n'aurait pas été très cool pour Lyli qui ne saurait pas pourquoi elle a reçu un coups de jus.

Je la suivit, on allait de plus en plus profondément, puis au bout d'une moment 'eus le hoquet, c'est terrible ne plongé ce truc, des bulle remontèrent et cela signifia la fin pour moi de la compétition, je remonte, un autre hoquet faisant surface, vidant plus mes poumons, je mets ma main devant ma bouche et remonte aussi rapidement que possible.

Tant pis j'aurais le droit à un gage.

13
Dortoirs et douches / Re : Une anguille et un géant. PV Don
« le: dimanche 02 janvier 2011, 00:30:33 »
J'allais savourer un bon sorbet à la fraise, quand l'alarme incendie se déclencha, tout de suite, je tente de trouver l'origine de l'incendie, une corbeille en feu, ni une ni deux, je saisis un extincteur et éteint l'incendie, aussitôt je le signale à un professeur et me range pour que l'on nous compte, visiblement personne ne manquait, mais par mesure de sécurité les cours sont annulés et les élèves sont invités à rentrer chez eux.

Visiblement cette journée semblait aussi désastreuse que celle d'hier, vraiment, qu'est-ce que je vais faire à présent. A part rentrer chez moi rien d'autre, sans doute fais-je faire un saut au commissariat pour voir mon père.

[Hacker]

- Punaise, ils sont assez fort ses type mine de rien, bon faut que je l'appel pour lui dire ça.

Il rit le combiné télephnique, relié à son ordinateur pour brouiller tout pistage des policier et d'organisation plus doué dans ce domaine.

- Ouais allo ? J'ai tes infos mon potes, mais va falloir me payer pour les avoir, si tu as une des tes nekos en stocke, j'aimerais te la prendre disons deux jours, c'est réglo non ?  Bon voilà tes info, le père de la p'tiote, il était dans les militaires, il a un listing impressionnant, il s'est enrôlé dans la légion étrangère, puis il est allez chez les marines et il a finit son service en travaillant sur les missiles nucléaires, il a une putain de bonne réputation et les contacts j'te dis pas, il pourrait avoir une nouvelles vie en un clin d'oeil. Pour la moman, elle était geisha, mais avant elle se prostituait et se droguait, elle a suivit une cure et maintenant elle s'occupe d'un magasin de fringue en tant que conseillère pour les clients. La p'tiote elle a pas de facebook, mais par contre c'la discute sur elle, elle semble joyeuse et pleine de vie, même si sur un site internet elle semble se rensiegner sur l'electrokinésie, c'est un truc qui te permet de concentrer ton électricité  à un endroit précis, d'après des spécialiste c'est bidon, mais d'autre dise que c'est possible, bref elle est un peu chtaré la gamine.

- Voilà cela mérite bien deux jours avec une de tes fille, non ?

14
Dortoirs et douches / Re : Une anguille et un géant. PV Don
« le: dimanche 02 janvier 2011, 00:00:24 »
Je fit l'essayage des vêtements, certains ayant des coupures mettant en avant ma poitrine et mes fesses, celui là je n'allais pas l'acheter, trop osé et puis cela n'allait pas avec mon caractère, je pris au final une robe noire assez moulante, pour réduire la taille de la poitrine, tombant jusqu'aux genoux, pour me permettre de courir sans être trop aguicheuse, vint ensuite l'essayage de lingerie, la mère de Shuko avait juste la taille qu'il me fallait, le plus marrant c'est que c'était une erreur de commande à la base. L'ensemble était noire et garnit de dentelles florale, c'est mignon et comme elle me fit un prix, je l'ai acheter.

Les filles ne revenaient pas, c'était bizarre, puis elles vinrent, avec des sandwichs. D'après ce qu'elle me disaient les magasins commençaient à fermer, la mère de Shuko expliquait qu'aujourd'hui les magasins devaient fermé plus tôt, pour une raison qu'elle ne connaissait pas.

Aussi le groupe partie faire un tour pour aller faire du karaoké, manque de chance, le magasin était exceptionnellement fermée pour cause de travaux suite à d'importante dégradation. Aussi nous réfléchissions à une autre activité possible, c'est là que s'arrêta notre balade, tous voulait au final rentrer chez eux pour faire le devoir de science qui était à faire pour demain, je l'avais fait en avance et donc je me mis à flâner dans le centre commerciale, toute seule, les magasins ouverts ne m'intéressait pas, l'un était une armurerie, je déteste les armes, cela peut tuer sous un coups de colère ou en étant maladroit, il y avait la pharmacie, je fis un rapide tour pour voir les médicaments, mais surtout les essences, je vis de l'encens, mais il ne fallait pas dépenser son argent inutilement.

Les autres magasins n'étaient pas intéressant du tout, aussi je pris le chemin vers le lycée, j'allais aller au réfectoire, histoire de grignoter quelque chose.

15
J'étaie contente, je suis tombée sur une fille connaissant les lieux, pratique pour comme amie, surtout les jours comme ça où le soleil brille et qu'une baignade est conseillé par mes parents, Je la vis prendre de l'avance, je n'avais rien de précieux sur moi, aussi je suivit Lyli, elle nage assez bien, sans doute passe-t-elle son temps à nager en allant rarement en cour. De toute façon ce n'est pas mes oignons.

Après cinq minutes de nage, nous arrivâmes à la crique, c'était un endroit bien jolie et bon hormis des curieux, c'est tranquille et isolé. L'endroit parfait pour se détendre un peu. Je me met sur un rocher bombé au bord de l'eau

Je vis Lyli s'amuser à nager, elle aime vraiment l'eau cette fille, ce n'est pas comme moi, nager sert juste à entretenir mon corps et éventuellement assainir la peau, l'eau de mer étant excellent pour le nez et la peau.

Je me lève et prend de l'élan.

Attention j'arrive !!!!

Je cours et saute aussi loin que je peux, allongeant mon corps pour transpercer l'eau comme une balle de revolver, je remonte à la surface en poussant un soupir d'aise, l'eau dans la crique est un peu plus froide, sans doute les rayons du soleil qui n'entre pas ici.

Dis Lyli tu nages souvent, j'ai constaté que tu sais nager très bien.

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