Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Erwan Mc Laan

Pages: [1] 2 3 ... 18
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Les alentours de la ville / Re : Fin de mois difficile. [Erwan]
« le: lundi 19 août 2013, 16:54:00 »



Va pour un café. Silencieusement, tout en l'écoutant, Erwan se chargea de le préparer. Lui boirait ... La même chose, tiens. Encore un. Il avait quelques péchés mignons, propres aux français selon certains : le vin, la cigarette, le café. En soi, peu de choses étaient capables de le rendre heureux. Et la présence d'une jolie fille dans son salon aidait pas mal à cela. Tout en sortant deux tasses, il remarqua un papier, sur le bar. Le numéro de la midinette qui ne l'avait pas vraiment aidé à dormir, la nuit dernière. Il le jeta. Avant de relever les yeux vers Michiru, à peine étonné par ses propos. Punie pour s'encanailler une fois la nuit tombée. Dieu merci, le père d'Erwan ne lui avait pas fait subir ça. Ça aurait été un comble.

Une bouffée de tabac, dont la fumée dessina de jolies formes dans l'air. Rien que pour ça, il aurait continué à fumer.

- J'aimerais te dire que, si j'avais une fille, j'aurais agi de la même manière. Mais ... Je ne suis pas exemplaire.

Aussi m'abstiendrais-je d'avoir des enfants, songea t'il, silencieux. Un petit plateau , deux cuillères blanches, du sucre, deux tasses. Et il amena le tout dans son salon, déposant précieusement ce qui ferait office de petit-déjeuner sur une table basse noire toute simple, mais tellement propre qu'elle avait l'air toute neuve. La femme de ménage qu'il employait faisait décidément du bon boulot.

Erwan lui fit signe de la main d'attendre quelques secondes, le temps qu'il aille chercher portable et cendrier dans sa chambre. Et, laissant la porte ouverte, il lui parla posément.

- Décorateur ? Oh, non, dieu merci ...

Quelques sms attendaient d'être lus. Il les parcourut rapidement du regard tout en entrant dans le salon, le visage fermé. Un vigile avait le bras fracturé, deux strip-teaseuses réclamaient des congés et une autre le suppliait d'embaucher sa sœur jumelle. Pas con, cette idée.

- Je gère une boîte de strip-tease, plus bas, dans la rue. "Pigalle", tu connais ?

Relevant les yeux vers elle, sa bouche se fendit d'un léger sourire.

- Mh, il ne vaudrait mieux pas que tu connaisses. Tu as l'air ... assez jeune. Si un de mes vigiles t'avait laissée entrer, j'aurais du souci à me faire.

2
Les alentours de la ville / Re : Fin de mois difficile. [Erwan]
« le: dimanche 11 août 2013, 23:00:20 »



Jolie. C'est le premier mot qu'il eut en tête. Elle était plutôt jolie. Le jeune homme ne lui fit pas l'offense de la reluquer un bon moment. Erwan savait se tenir. Un français, s'il vous plait, et parisien de surcroît. Il se devait de perpétuer une sorte de french touch, même ici, à Seikusu, au Japon. Et puis, dans sa vie, il avait vu tellement de jeunes filles jolies qu'il n'avait plus ce regard affamé et plein d'envie. Nan, il était même plutôt lassé, au bout du compte. Aussi ne lui offrit-il qu'un léger sourire, la détaillant de haut en bas d'un rapide coup d'oeil. Une adolescente. C'était une adolescente. Une jolie adolescente, donc. Et elle semblait être l’archétype même de la petite lycéenne timide et douce. Inoffensive, donc.

Erwan écouta soigneusement son petit discours, sans rien ajouter, avant de lui faire signe d'entrer d'un hochement de tête.

- Je t'en prie. Entre.

La cafetière émit un petit cri, et il la fit taire immédiatement. On lui avait souvent parlé des problèmes encourus, quand on gardait chez soi une mineure. L'était-elle ? Peu importe. Le français lui fit signe de s'asseoir sur un des fauteuils du salon, lui montrant du doigt l'étalage d'assises qui trônait dans le salon. Canapé de cuir, amas de coussins dans un coin, 'fat boy' noir, fauteuils Voltaire ... On aurait presque dit une collection. Chaque meuble semblait venir d'une époque et d'un pays différents, mais tous s'assemblaient pour faire du salon un lieu chaleureux et mystérieux.

- Tu veux ... boire quelque chose ?

Lui était derrière le bar, qui donnait sur le salon.

- C'est la première fois qu'on ... me rend visite, par rapport à mon loyer. Ton père t'envoie t'il pour amadouer les locataires, quand il y a un problème ?

Le ton était amusé, sans qu'on sache pour autant s'il était sérieux ou non. Disons qu'il y avait, dans sa voix, une nonchalance mêlée à une froideur qui, franchement, laissait perplexe.

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Les alentours de la ville / Re : Fin de mois difficile. [Erwan]
« le: mercredi 07 août 2013, 14:33:37 »




Dure matinée. Erwan se retourna dans son lit, encore et encore, y cherchant sa place. Il avait pour habitude de dormir du côté droit du lit. Mais, ce matin, cette parcelle était occupée. Une jolie petite blonde - une japonaise aux yeux débridés et aux cheveux décolorés - dormait paisiblement à ses côtés. Il fronça les sourcils, s'allumant une cigarette. En son for intérieur, il espérait que l'odeur la réveillerait. Et puis qu'elle finisse par déguerpir sans demander son reste. Depuis qu'il n'avait plus de nouvelles de Miya, le jeune français s'occupait comme il le pouvait. Mais aucune de ces pimbêches perchées sur des talons aiguilles ne lui plaisait vraiment, au final. Pire, les couinements incessants de ces créatures asiatiques lui tapaient sur le système. Un petit voyage me fera du bien. C'est sur ce constat qu'il sortit des draps, pour se diriger vers sa cuisine. Un café. Un café noir, fort, qui le réveillerait, pour sûr. Le jeune homme écarta les rideaux de son salon, se laissant éblouir par les premiers rayons du soleil sans mot dire.

- Erwan ?

... Il l'avait presque oublié. La jeune fille, dont il ignorait l'âge et ne souhaitait pas vraiment le savoir, entra dans la pièce, tout en finissant d'enfiler sa robe. En le voyant, elle comprit qu'elle n'aurait pas le luxe de squatter cet appartement plus longtemps. Dieu merci. Erwan appréciait moyennement les midinettes qui pensaient qu'une nuit à ne pas dormir déboucherait sur une relation longue, durable, pleine d'amour et de bonheur. Il lui offrit un sourire.

- Je vais ... y aller, je pense.

En voilà une idée qu'elle est bonne. Le jeune homme lui indiqua la porte de la main, hochant la tête pour la saluer, la cigarette aux bords des lèvres. Et cette petite conne la claqua violemment en sortant. Il entendit un moment ses talons claquer sur les marches, avant qu'elle ne disparaisse complètement. Alors, il respira.

Cette journée serait bonne. Il le sentait. Il le voulait. Erwan fit sagement le tour de son appartement. Chambre, où il refit le lit. Salle de bain, où il prit la plus délicieuse de toutes les douches. Cuisine, où il ingurgita un café. Salon, où il s'affala pour mieux reprendre ses esprits. Les lieux étaient plutôt luxueux, il fallait l'avouer. La chambre était aussi vaste que le salon, qui, lui, donnait sur une petite cuisine où un bar et ses chaises faisaient office de salle à manger. Il y avait, ici et là, des tableaux, des photos, des cartes postales, qui s'étalaient sur tout un mur. Les autres étaient blancs, sauf un, dans sa chambre, où des personnes griffonnaient des mots, à l'encre indélébile. Il ne méprisait pas ces femmes qu'il baisait. Elles aussi pouvaient écrire quelque chose sur ce mur. Mais il appréciait que ces nuits soient uniques. A force de courir après un souvenir, de vouloir recréer un moment spécial, on se gâche la vie. Disons qu'il avait fait son choix. Le français écarta tous les rideaux noirs et longs, laissant la lumière entrer, ouvrit même une fenêtre pour aérer - putain, c'était quoi, ce parfum à deux francs six sous qu'elle portait ? - avant de s'allumer une nouvelle cigarette.

Et c'est à cet instant qu'il entendit sonner. Erwan en sursauta presque. Il habitait au dernier étage et, habituellement, il entendait les personnes monter jusque chez lui. Pas cette fois. Enfilant une chemise à peine fermée, un jean, il entreprit d'ouvrir la porte, le visage fermé.

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 06 août 2013, 18:45:19 »
J'ai reçu mon relevé de notes. J'ai eu mon année avec 13 de moyenne. Je respire, putain, je respire. Vu que je sortais des Beaux-Arts, je pensais me planter royalement en allant à la fac. Et non ! Oh putain. JOIE JOIE JOIE.



18 : 42

5
Le coin du chalant / Re : ... Je me permets.
« le: vendredi 02 août 2013, 21:46:15 »
Up !

6
Le coin du chalant / Re : ... Je me permets.
« le: mardi 25 juin 2013, 15:44:47 »
Oui, oui, absolument (:

Je peux même te lancer ça ce soir !

7
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: samedi 09 février 2013, 00:43:38 »
*passe un p'tit coup de lingette Swiffer© sur le perso*

~ 00:12 ~


Bien évidemment que le yaoi a sa place en ces lieux =D
Je trouve même assez dommage que ce soit un genre peu présent (comparé à d'autres) ^^
En avant messieurs, il est temps de se jeter à l'eau ! Point de réticences à avoir, dites-vous que c'est pour le bien et la diversité du fofo :3 ;D


Quand tu veux :D


00 : 48

Ri$h bit$h

8
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 13 janvier 2013, 19:44:35 »
Te lire est vraiment instructif, Enora. Oah. J'irais chiper du Tchekhov à la BU dés lundi.

Ouais, ma dimension se déforme quand je ne vais pas bien. Grands dieux. Comment ça, je dois arrêter de le fréquenter parce qu'il fait "des choses" ?


19 : 44


... Je ne sais même pas ce que sont ces "choses" ! Bordeldedieu.

9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 13 janvier 2013, 19:32:38 »
Eeeeeeeeh, voilà. J'devais écrire, mais j'ai appris une sale nouvelle.


A la fac, tout doit être souligné, pour les titres, même dans les devoirs tapés sur l'ordi. Ce sont les termes latins qu'on met en italique. Du coup, bon ... Réflexe. Sorry, je vais faire un effort éè


Si j'devais sauver un livre, ce serait sûrement pas de la littérature française, bon dieu. Jose Carlos Somoza ou Gabriel Garcia Marquez, oui. La dame n. 13 ou De l'amour et autres démons ... Mazette, ces livres ont changés ma vie !


19 : 92

10
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 13 janvier 2013, 11:57:58 »
Guinea Pig ** J'ai enfin un Guinea Pig !

... Non, pas la bestiole charmante, les films gores-underground-dégueu-tout-ça. Ahlala.


J'accuse de Zola ... Combien de fois ai-je pu l'écrire dans mes copies de partiels ! "Par cet article, Zola donne naissance à l'intellectuel, celui qui écrit au nom de valeurs, en faveur de causes qu'il jue justes." Et gnia, et gnia, et gnia.




11 : 57


J'espère être première de ma promo, avec tous les efforts que je fais. (Ouais, j'ai de l'ambition, t'as vu ça ?)

11
Le coin du chalant / ... Je me permets.
« le: vendredi 11 janvier 2013, 23:06:01 »



... Bonsoir mesdames et messieurs, je vous présente Erwan. Parisien de naissance et fils d'un gérant d'une boîte de strip-teases, il est venu s'installer au Japon pour en ouvrir une à son tour : "Pigalle". C'est un homme charmant. Cultivé, un peu froid, mystérieux, charmeur ... Bref. A vous de voir, vous pouvez allègrement lire mes anciens RP incluant Erwan pour vous faire une idée.



Quant aux trames ... J'ai quelques idées. Vous pouvez très bien être une future strip-teaseuse, qui cherche à se faire embaucher à "Pigalle". Ou encore une ancienne connaissance d'Erwan, pourquoi pas un(e) ancien(ne) petit(e) ami(e), ça pourrait être amusant. Pourquoi pas incarner une simple personne qu'il croisera, ici ou là, par pur hasard, en jouant la carte de la rencontre fortuite. Ou bien une petite curieuse qui se réfugie à "Pigalle" par erreur. Je ne cracherais pas sur un(e) charmant(e) adolescent(e), joueur ou joueuse. Il est envisageable, aussi, qu'il vous sauve la vie, étant après tout un parfait gentleman. Une romance, pourquoi pas, lors d'un voyage ?

... Tout est envisageable, je sais très bien m'adapter. Je vous laisse choisir.

12
Prélude / Re : Corina Jackson
« le: samedi 05 janvier 2013, 22:28:19 »
... Bien le bonsoir, jeune fille.

(Oui, oui, je voulais que ce soit Erwan qui lui souhaite la bienvenue ... Mais ne vous inquiétez pas, Hera la modératrice va surgir pour valider cette fiche !)

13
Les alentours de la ville / Re : Symptômatique ... ( Miya's RP )
« le: vendredi 16 novembre 2012, 11:21:09 »



... Et puis sa patience s'effondra, et il fondit littéralement sur elle. Ses lèvres capturèrent les siennes, les mordant presque au passage. Il reconnait la saveur de sa bouche, et embrasse ses soupirs. Se faire désirer, ça, il adorait, à coup sûr. C'était un jeu qu'il se plaisait à maitriser parfaitement. La voir ainsi tressaillir sous ses doigts, sentir à quel point il la faisait soupirer l'avait lui aussi attisé. Il fallut un court instant à Erwan pour lui retirer définitivement son bas, cessant à contre-coeur ses caresses ; que ce soit la jupe, ou le dernier dessous qu'elle portait, qu'il fit glisser avec une certaine justesse. Alors sa main, celle qui était libre, celle qui étreignait sa chevelure tantôt, celle qui venait de la déshabiller, glissant vers le bas de son dos. Elle s'était rapprochée ? Pas assez à son goût. Une pression vive, et elle se retrouva à nouveau tout contre lui. Il sentait parfaitement, et avec un exquis plaisir, sa poitrine qui venait caresser son torse, et le creux de son ventre qui effleurait le sien. Ses lèvres, à nouveau, glissèrent vers sa nuque, tandis qu'il cherchait un meilleur appui.

Un baiser, encore. Une main, dans le creux de ses reins, l'autre revenue dans sa chevelure, avec une brutalité propre au désir. Il avait répondu à son murmure avec un sourire, amusé. Ses doigts effleuraient, étreignaient doucement sa peau, mémorisant son corps du mieux qu'il le pouvait. Mais il savait parfaitement que sa patience s'effondrerait, encore une fois. Sa main quitta son dos, un moment, un très court moment, juste le temps qu'il se dirige vers elle. Et, à l'instant même où il mordait son cou, avec ce qu'il fallait de violence et de douceur, il entra en elle. Leurs peaux claquèrent en se rencontrant, tandis que sa prise, dans sa chevelure, gagnait en force. Il captura entre ses doigts un de ses seins, ne bougeant pas encore, savourant ce court instant qu'il appréciait tant ; le calme avant la tempête.

- Tu es ma victime, alors.

Glissa t'il à son oreille, sa main se hâtant de caresser doucement sa poitrine, pour ensuite taquiner sa cuisse, tandis qu'il commençait à remuer en elle, par saccades lentes et profondes. Et il ne se priva pas, cette fois, de revenir l'embrasser, capturant ses lèvres, ses souffles, ses soupirs.

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Les alentours de la ville / Re : Symptômatique ... ( Miya's RP )
« le: mercredi 29 août 2012, 10:42:27 »




L'étreinte de ces deux genoux, là, autour de sa taille, arracha un sourire au jeune français. Il se sentait comme un adolescent, tout emporté par une fièvre que rien ne pouvait calmer. Un sentiment qu'il ne connaissait que trop bien ... Ce genre d'élans dévastateurs le caractérisait bien plus qu'il ne l'aurait souhaité. Sa bouche retrouva rapidement le cou de Miya, dont il s'accapara l'odeur un moment. Enivrante. Erwan retrouva bien vite les lèvres de son amante, pour les embrasser, encore, encore, avec cette passion aussi neuve que brûlante. Comme pour mieux lui répondre, il lui mordit la lèvre inférieure, lui aussi. Ses mains se glissèrent tout contre le creux de ses reins, pour finalement étreindre les fesses de la jeune femme. Il en profita pour l'attirer davantage contre lui, pressant presque le buste de Miya contre le sien. A nouveau, son portable vibra, là, dans la poche de ce pantalon qui n'était plus qu'un souvenir. Le jeune homme en profita pour s'en défaire carrément, et envoya paître ses chaussures par la même occasion.

Et puis ses lèvres retrouvèrent le cou de Miya. Ses épaules. Ses clavicules. L'aube de sa poitrine. Une de ses mains quitta le bas de son dos pour venir se glisser dans la chevelure de la jeune femme. A nouveau, ses doigts s’entrelacèrent dans les mèches de ses cheveux, et il tira dessus. Son cou lui était offert. Il en profita pour lui offrir un suçon, tandis que sa main retrouvait le chemin de sa poitrine, les contours de ses seins, les effleurant pour mieux les éprouver ensuite. Bientôt, il finirait par croire que tout était divin, chez elle ...

- Attends donc de voir ce que je vais te faire, lui murmura t'il à l'oreille.

Aussitôt, l'une de ses mains trouva un meilleur refuge contre la cuisse de la belle, qu'elle remonta doucement, soulevant la jupe au passage. Jupe qui ne serait, elle aussi, bientôt plus qu'un souvenir. Ses doigts glissèrent un moment vers l'intérieur de sa cuisse, mais ne s’arrêtèrent pas là pour autant ... Non, non. C'est entre ses cuisses, se glissant outrageusement dans la culotte de son amante, que ses doigts se pressèrent. Ils glissèrent un moment le long de son sexe, avec une certaine douceur, avant que deux de ses doigts ne viennent capturer son clitoris, lui offrant des caresses circulaires, pour le moment tout aussi douces.

Sa bouche, quant à elle, venait de retrouver la sienne ... Enfin, presque. Joueur, souriant, il conservait un petit centimètre d'écart entre ses lèvres et celles de Miya, l'empêchant gentiment de l'embrasser, ne se nourrissant que de ses soupirs.

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Les alentours de la ville / Re : Symptômatique ... ( Miya's RP )
« le: samedi 21 juillet 2012, 13:35:02 »


Cette déclaration, au creux de l'oreille, eut le mérite de le faire frémir comme un adolescent. Les doigts du jeune français se refermèrent sur la taille de sa compagne, avec fermeté. Il l'attira alors tout contre lui, savourant le contact de sa peau tout contre la sienne. Elle était bien plus tiède que lui, cette savoureuse brune ... Sa bouche retrouva très, très vite la sienne, et une de ses mains fit le choix de se glisser dans la chevelure de Miya, y trouvant un délicieux appui. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il tira sur cette chevelure, dévoilant le cou de l'immortelle. Et sa bouche retrouva le contact de ce cou délicat. Un baiser, puis un autre, et un suçon, s’enchaînèrent voluptueusement. Oui, sans doute laissait-il sa trace sur le corps de son amante. Une morsure ponctua ces tendres baisers, puis il l'embrassa. Encore. Cette fois, doucement.

Mais ce ne fut que le calme avant la tempête ... Beaucoup de gens, ici, pourront témoigner de la nature emportée d'Erwan. S'il paraît calme et tempéré, sans cesse, ce n'est que pour mieux dissimuler son côté sauvage, indomptable. Et, dans les bras de cette femme qui l'aliénait, au milieu d'un Paris tout éveillé, il n'avait guère envie d'être sage. Alors sa poigne se raffermit, brusquement, la peau de Miya rougissant presque sous ses étreintes. Un baiser. Et une main qui se glisse contre une de ces cuisses, furtivement, pour se retirer et caresser la joue de la belle.  Erwan la regarda un long moment, cessant ses baisers, savourant leurs souffles effrénés.

- Le temps s'est arrêté.

Murmura t'il, avant de l'embrasser à nouveau, avec la ferveur d'un amant qui part.

A côté d'eux se trouvait une commode. Simple, solide, blanche, aux coins un peu usés. Immédiatement, il sourit. Ses douces mains attrapèrent la taille et les fesses de la chanteuse, la soulevant du sol comme l'on soulève une plume, avec cependant un peu plus d'ardeur et de fièvre. En un clin d'oeil, elle se retrouva assise dessus, et une des mains d'Erwan envoyait paître les rares objets qui s'y trouvaient. Un vase, qui fit beaucoup de bruits en se brisant, un téléphone, un carnet de notes et deux trois chemises. Puis il retrouva son emprise sur ces hanches, cette taille, ce ventre qu'il commençait à connaitre, alors que sa bouche revenait à l'assaut de son cou et de sa nuque.

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